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Un point intéressant sur les réalités de la campagne de 2016, suite à une étude menée sur les profils d'électeurs US dans leurs rapports à Internet, et qui tend, une fois de plus, à battre en brêche l'affirmation toujours martelée dans les médias que les Russes ont effectivement pesé dans l'élection du Donald.

Note; j'aime bien ce journaliste indépendant. C'est un ancien de Vice et Fusion (depuis racheté par Univision) entre autres, maintenant free lance, qui n'a pas hésité à claquer la porte quand ces organisations ont pris des virages selon lui idéologiques et/ou professionnellement douteux. Il ne se cache pas d'être berniste et un tantinet libertarien (tendance majeur levé à tout ce qui prétend avoir de l'autorité), mais a su garder pas mal de distance avec les tendances actuelles observées à gauche. Cette vidéo vient de sa chaîne secondaire, où il se lâche un peu plus, sa chaîne principale étant réservée à des documents plus travaillés. 

 

Modifié par Tancrède
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https://www.newyorker.com/magazine/2017/10/30/the-family-that-built-an-empire-of-pain (30 octobre 2017)

Ces trois noms propres : Oxycontin, Purdue Pharma, Sackler, sont dans l'ordre : l'un des médicaments au coeur de la crise des opioïdes, l'entreprise pharmaceutique qui le fabrique, et la famille qui détient cette entreprise. À l'instar des Rockefeller, cette famille, une des plus riches d'Amérique avec un patrimoine de 13 milliards, dore son blason par des activités philanthropiques : Sackler Gallery à Washington, Sackler Museum à Harvard, jusqu'à une "Aile Sackler" au Louvre :

https://www.lexpress.fr/informations/une-epoque-un-lieu-l-aile-sackler_626055.html (12 novembre 1997)

Dans ce nouvel espace sont présentées les collections de l'Iran, du Levant, de l'Arabie depuis l'âge du fer. La période perse est centrée sur le palais de Darius à Suse; les époques parthe et sassanide offrent de l'orfèvrerie et des mosaïques. Le mécénat a permis aussi d'équiper les lieux d'ascenseurs pour handicapés. Les Sackler en avaient fait une obligation.

Pourtant pour la plupart des gens, l'origine de leur fortune est aussi inconnue que celle des barons voleurs . (voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Barons_voleurs )

Mais l'OxyContin est un médicament controversé. Son seul ingrédient actif est l'oxycodone, un cousin chimique de l'héroïne qui est jusqu'à deux fois plus puissant que la morphine .

Les représentants de commerce ont promu OxyContin comme un produit "par lequel on commence et avec lequel on reste".

Depuis 1999, deux cent mille Américains sont morts de surdoses liées à l'OxyContin ou à d'autres opioïdes médicaux.

Selon la Société américaine de médecine de l'addiction, quatre personnes sur cinq qui essaient l'héroïne aujourd'hui ont commencé avec des analgésiques sur ordonnance. Les chiffres les plus récents des Centers for Disease Control and Prevention suggèrent que cent quarante-cinq Américains meurent chaque jour de surdoses d'opioïdes.

"Si vous regardez les tendances en matière de prescription pour tous les différents opioïdes, c'est en 1996 que la prescription décolle vraiment ", a dit M. Kolodny. "Ce n'est pas une coïncidence. Cette année-là, Purdue a lancé une campagne à multiples facettes qui a mal informé la communauté médicale sur les risques."

Arthur Sackler (1913-1987) était un génie du marketing :

Dans les années cinquante, il a produit une publicité pour un nouvel antibiotique de Pfizer, Sigmamycin : une série de cartes de visite de médecins, avec à côté les mots "De plus en plus de médecins trouvent que Sigmamycin est l'antibiothérapie de choix". En 1959, un journaliste d'investigation de The Saturday Review a essayé de contacter certains des médecins dont les noms figuraient sur les cartes. Ils n'existaient pas.

Pendant les années 60, Arthur s'est enrichi en commercialisant les tranquillisants Librium et Valium. Une publicité de Librium montrait une jeune femme portant un bras chargé de livres, et suggérait que même l'anxiété quotidienne qu'un étudiant de première année d'université ressent en quittant la maison pourrait être mieux gérée avec des tranquillisants.

Sackler a fait la promotion du Valium pour une telle variété d'utilisations qu'en 1965, un médecin écrivant dans la revue Psychosomatics a demandé : " Quand n'utilisons-nous pas ce médicament ?

Arthur Sackler est devenu un éditeur, en lançant un journal bihebdomadaire, le Medical Tribune, qui a finalement atteint six cent mille médecins. Il s'est moqué des suggestions selon lesquelles il y avait un conflit d'intérêts entre ses rôles de chef d'une société de publicité pharmaceutique et d'éditeur d'un périodique pour médecins. Mais en 1959, il s'est avéré qu'une société qu'il possédait, MD Publications, avait payé le chef de la division des antibiotiques de la F.D.A., Henry Welch, près de trois cent mille dollars en échange de l'aide de Welch dans la promotion de certains médicaments.

Au début des années 60, Estes Kefauver, un sénateur du Tennessee, a présidé un sous-comité qui s'est penché sur l'industrie pharmaceutique, qui connaissait une croissance rapide. Kefauver, qui avait déjà enquêté sur la mafia, était particulièrement intrigué par les frères Sackler. Une note préparée par le personnel de Kefauver indiquait, "L'empire Sackler est une opération complètement intégrée dans la mesure où il peut concevoir un nouveau médicament dans son entreprise de développement de médicaments, faire tester cliniquement le médicament et obtenir des rapports favorables sur le médicament dans les différents hôpitaux avec lesquels ils ont des liens, concevoir l'approche publicitaire et préparer le texte publicitaire réel avec lequel promouvoir le médicament, faire publier les articles cliniques ainsi que le texte publicitaire dans leurs propres revues médicales, et préparer et planter des articles dans les journaux et les magazines".
 

"Il y a de plus en plus de littérature qui montre que ces médicaments peuvent être utilisés pendant une longue période, avec peu d'effets secondaires", a déclaré M. Portenoy [un spécialiste newyorkais] au Times en 1993. Décrivant les opioïdes comme un "cadeau de la nature", il a dit qu'il fallait les déstigmatiser. Portenoy, qui recevait des fonds de Purdue, a dénoncé la réticence des cliniciens à administrer de tels narcotiques pour la douleur chronique, affirmant qu'il s'agissait d'un signe d'"opiophobie" et suggérant que les préoccupations concernant la dépendance et l'abus constituaient un "mythe médical".

En 1997, l'American Academy of Pain Medicine et l'American Pain Society ont publié une déclaration concernant l'utilisation des opioïdes pour traiter la douleur chronique. La déclaration a été rédigée par un comité présidé par le Dr J. David Haddox, conférencier rémunéré de Purdue.

L'OxyContin a été approuvé par la F.D.A. en 1995, pour le traitement de la douleur modérée à sévère. Purdue n'avait mené aucune étude clinique sur la dépendance ou la prédisposition à l'abus de la drogue. L'examinateur de la F.D.A. qui a supervisé la procédure, le Dr Curtis Wright, a quitté l'agence peu de temps après. Deux ans après, il avait accepté un emploi chez Purdue.

On a offert aux médecins des voyages tous frais payés pour assister à des séminaires de gestion de la douleur dans des endroits comme Boca Raton [une station balnéaire en Floride]. De telles dépenses valaient l'investissement : les dossiers internes de Purdue indiquent que les médecins qui ont assisté à ces séminaires en 1996 ont rédigé des ordonnances OxyContin plus de deux fois plus souvent que ceux qui ne l'ont pas fait.

Purdue a demandé aux représentants des ventes d'assurer aux médecins - à maintes reprises et sans preuve - que "moins de un pour cent" des patients qui prenaient de l'OxyContin devenaient dépendants. (En 1999, une étude financée par Purdue auprès de patients qui utilisaient OxyContin pour des maux de tête a révélé que le taux de dépendance était de treize pour cent).

Les médecins qui étaient facilement manipulés par leurs patients - ou corrompus par l'argent du jeu - ont mis sur pied ce qu'on appelle des moulins à pilules, des cliniques de la douleur qui ont prospéré grâce à l'émission d'ordonnances d'OxyContin.

De nombreux fonctionnaires sont furieux contre les fabricants d'analgésiques puissants. Les ordonnances coûtent cher, et les contribuables paient souvent la facture, par l'entremise de programmes comme Medicaid. Puis, au fur et à mesure que les conséquences ruineuses de la dépendance aux opiacés s'installent, le public doit payer de nouveau - cette fois pour les services d'urgence, le traitement de la toxicomanie, etc.

Denham [fonctionnaire du parquet du Kentucky]  m'a dit que, en se préparant pour le procès, il a découvert une photographie de l'équipe de football de l'école secondaire de Pikeville en 1997. "Près de la moitié des joueurs étaient morts d'overdose ou dépendants."

L'an dernier, dans l'Ohio, un État particulièrement touché par l'épidémie, 2,3 millions de résidents - soit environ une personne sur cinq dans l'État - ont reçu une ordonnance pour des opioïdes.

Mark Sullivan, psychiatre à l'Université de Washington, a distillé l'argument de Purdue : "Notre produit n'est pas dangereux, ce sont les gens qui sont dangereux." [le même argument que la NRA et les marchands d'armes ?]

Entre 2006 et 2015, Purdue et d'autres producteurs d'analgésiques, ainsi que les organismes sans but lucratif qui leur sont associés, ont dépensé près de neuf cents millions de dollars en lobbying et en contributions politiques, soit huit fois plus que le lobby des armes à feu durant cette période.

À l'Université de Toronto, l'entreprise a parrainé un cours sur la gestion de la douleur à l'intention des étudiants en médecine et en dentisterie. L'instructeur était membre du bureau des conférenciers de Purdue. Les élèves ont reçu un manuel gratuit, produit par Purdue, qui décrivait l'oxycodone comme un opioïde "modéré".

En mai, plusieurs membres du Congrès ont écrit à l'Organisation mondiale de la santé, l'exhortant à stopper la propagation de l'OxyContin et mentionnant la famille Sackler par son nom. David Kessler, l'ancien commissaire de la F.D.A., estime que la déstigmatisation des opioïdes aux États-Unis représente l'une des "grandes erreurs" de la médecine moderne.

Un bébé toxicomane naît toutes les demi-heures. Dans des endroits comme Huntington, en Virginie-Occidentale, dix pour cent des nouveau-nés sont dépendants des opioïdes.

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Il y a 7 heures, Tancrède a dit :

Des incendies de cette taille et de cette intensité peuvent créer leus propres systèmes météorologique dans une vaste zone, et des nuages de fumée tels que celui-ci peuvent adopter la taille et la forme d'un champignon nucléaire, avec un fort impact sur le climat local.

Impact sur le climat régional actuel et à venir, notamment en raison de la modification des couverts et des échanges surface/atmosphère. En outre, conséquences probablement très lourdes, mais relativement difficilement à établir, sur la santé humaine étant la dégradation de la qualité de l'air (émission de carbone suie, carbone brun, CO2, ozone, composés organiques volatiles; production d'ozone et de particules secondaires, etc.)

La National Oceanic and Atmospheric Administration estime que l'on devrait voir les superficies consumées doubler pour chaque degré d'augmentation de la température au titre du réchauffement climatique.

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2 hours ago, Skw said:

Impact sur le climat régional actuel et à venir, notamment en raison de la modification des couverts et des échanges surface/atmosphère. En outre, conséquences probablement très lourdes, mais relativement difficilement à établir, sur la santé humaine étant la dégradation de la qualité de l'air (émission de carbone suie, carbone brun, CO2, ozone, composés organiques volatiles; production d'ozone et de particules secondaires, etc.)

Déjà que les zones urbaines du centre et du sud de la Californie ont une qualité de l'air dégueulasse.... Los Angeles doit vraiment être insupportable ces temps-ci. 

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Il y a 3 heures, Tancrède a dit :

Déjà que les zones urbaines du centre et du sud de la Californie ont une qualité de l'air dégueulasse.... Los Angeles doit vraiment être insupportable ces temps-ci. 

Ouaip. Los Angeles est sujette a des inversions thermiques. Dans ce contexte, c'est tout particulièrement dû au rôle de l'Océan Pacifique qui vient refroidir les couches basses de l'atmosphère à l'interface eau-air. La couche refroidie se glisse sous une strate d'air urbaine/continentale plus chaude qui tend à emprisonner la couche froide et accumulant les polluants. Disons que le site tend naturellement à induire ce phénomène, d'autant plus que l'ensoleillement local participe aussi grandement, mais l'usage débridé des sols pour le développement urbain aggrave la situation. Sans compter que la quantité de polluants émis par les voitures/camions est immense.

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D'un autre côté, la puissance du courant froid là-bas fait que la température de la côte jusqu'à dix kilomètres rarement dépasse les 30C au prix certes d'une grande humidité. Mais sincèrement, je préfère avoir des nuages et 28C humide que le soleil de Californie tapant à 90° et faisant monter le mercure à 45° comme c'est le cas déjà à l'est de l'agglomération.

De façon plus générale, ils paient le prix d'une organisation spatiale un peu inepte par rapport au contexte naturel: cette partie-là de la Californie est trop sèche et agréable 4 mois sur 12 (l'hiver sinon c'est trop chaud) seulement.

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La justice américaine a temporairement suspendu mardi 31 juillet la mise en ligne de plans numériques permettant de fabriquer des armes à l’aide d’une imprimante 3D, une perspective qui avait ému une partie de la classe politique américaine. Saisi lundi en urgence, un tribunal fédéral de Seattle a fait droit à la demande des procureurs de huit Etats américains et de la capitale fédérale Washington, qui voulaient empêcher l’accès à ces plans.

Le magistrat Robert Lasnik a indiqué qu’il examinerait le dossier sur le fond lors d’une nouvelle audience le 10 août. Le groupe visé par les procureurs, Defense Distributed, semble toutefois avoir pris tout le monde de court : son fondateur a, en effet, déclaré qu’il avait déjà publié les plans sur internet. Fin juin, après une longue bataille judiciaire, le gouvernement fédéral avait autorisé Defense Distributed à mettre en ligne des schémas numériques permettant de fabriquer depuis chez soi une arme à partir d’une imprimante 3D.

L’objet est en plastique mais fonctionne comme une arme bien réelle. Il est potentiellement intraçable et indétectable par les détecteurs de métaux. « L’âge des armes téléchargeables commence réellement », promet le site du groupe, fondé par Cody Wilson, un libertarien âgé de 30 ans. Officiellement, la mise en ligne des programmes d’instruction devait intervenir le 1er août. Mais M. Wilson a indiqué mardi au magazine Wired qu’il avait déjà publié les schémas le 27 juillet. Et, selon la revue, ils ont déjà été « téléchargés des milliers de fois ».

« Il est simplement fou de donner aux criminels les outils pour imprimer en 3D des armes intraçables et indétectables rien qu’en appuyant sur un bouton », s’est insurgée Barbara Underwood, procureure de l’Etat de New York, qui s’est jointe à la procédure devant la justice.

 

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Il y a 6 heures, g4lly a dit :

« Il est simplement fou de donner aux criminels les outils pour imprimer en 3D des armes intraçables et indétectables rien qu’en appuyant sur un bouton », s’est insurgée Barbara Underwood, procureure de l’Etat de New York, qui s’est jointe à la procédure devant la justice.

Bah quoi, les criminels ont bien eux aussi le droit de se défendre ?! :sleep:

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il y a 3 minutes, TarpTent a dit :

Bah quoi, les criminels ont bien eux aussi le droit de se défendre ?! :sleep:

LIBERTY ! 'MERICA !

Ca sent quand même de plus en plus la décadence. Quelqu'un a le numéro d'Edward Gibbon au paradis des historiens ?

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il y a 2 minutes, Ciders a dit :

LIBERTY ! 'MERICA !

Ca sent quand même de plus en plus la décadence. Quelqu'un a le numéro d'Edward Gibbon au paradis des historiens ?

Plus sérieusement, jusqu’à présent, les conséquences de leur c***rie pathologique sur l’accès aux armes restaient à l’intérieur de leurs frontières, comme une tare consanguine. Mais avec les plans 3D, c’est toute la planète qui va en «  bénéficier ». :angry:

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6 minutes ago, TarpTent said:

Plus sérieusement, jusqu’à présent, les conséquences de leur c***rie pathologique sur l’accès aux armes restaient à l’intérieur de leurs frontières, comme une tare consanguine. Mais avec les plans 3D, c’est toute la planète qui va en «  bénéficier ». :angry:

La planète n'a pas attendue les américain  pour fabriquer des armes?!

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il y a 14 minutes, g4lly a dit :

La planète n'a pas attendue les américain  pour fabriquer des armes?!

Ce n’etait pas le sens de mon propos. Les armes en vente libre et leur libre circulation n’étaient pas vraiment la norme de ladite planète.

Or nos lois et restrictions en France ne pourront rien contre des plans 3D d’armes indécelables. En cela leur c***rie pathologique va se diffuser partout.

Modifié par TarpTent
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41 minutes ago, TarpTent said:

Ce n’etait pas le sens de mon propos. Les armes en vente libre et leur libre circulation n’étaient pas vraiment la norme de ladite planète.

Or nos lois et restrictions en France ne pourront rien contre des plans 3D d’armes indécelables. En cela leur c***rie pathologique va se diffuser partout.

Par ailleurs, c'est pas comme si un géoblocage allait marcher. Il suffit de lancer un VPN vers les US pour obtenir les plans.

La partie plus compliquée cependant, c'est les munitions. Est-ce qu'il y aussi moyen de les imprimer ou est-ce qu'il faut toujours utiliser des munitions normales? Si c'est des munitions normales, ce n'est plus un problème (il faudra toujours passer par le marché noir pour s'en procurer). Si c'est imprimable, alors on a un problème...

Par ailleurs, si on a des munitions normales, est-ce que ça ne rendrait pas l'arme détectable ou est-ce que les balles sont exclusivement composées de matériaux non-magnétisables?

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25 minutes ago, mehari said:

Par ailleurs, c'est pas comme si un géoblocage allait marcher. Il suffit de lancer un VPN vers les US pour obtenir les plans. 

La partie plus compliquée cependant, c'est les munitions. Est-ce qu'il y aussi moyen de les imprimer ou est-ce qu'il faut toujours utiliser des munitions normales? Si c'est des munitions normales, ce n'est plus un problème (il faudra toujours passer par le marché noir pour s'en procurer). Si c'est imprimable, alors on a un problème... 

Par ailleurs, si on a des munitions normales, est-ce que ça ne rendrait pas l'arme détectable ou est-ce que les balles sont exclusivement composées de matériaux non-magnétisables? 

Pour le moment il est compliqué d'imprimer des armes fonctionnels.

  • Les matériaux d'impression classiques ne sont pas assez résistant.
  • Imprimer a l'ABS ça demande une certain savoir faire déjà.
  • Imprimer "métal" ça demande pas mal de bricolage perso.

En gros a mon sens aujourd'hui il est plus facile de s'équipé en machine outils pour faire des armes a la sudamércaine ... que d'imprimer un PM.

Pour les munitions c'est pas vraiment imprimable ... a part les ogive à la limite.

En gros pour le moment le vrai probleme c'est la facilité avec laquelle on pourrait faire des armes en plastique, capable de tirer quelques coups ... et surtout passant les détecteur de métaux.

A priori ça ne devrait pas passer la sécurité "gamma" des aéroport, l'opérateur devrait détecter la forme suspecte. Sauf si un malin fabrique une arme plastique avec une forme plu quelconque.

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En même temps, la banalisation de la technologie, quelque soit sa nature, c'est un peu" le sens de l'histoire" depuis qu'on a inventé la roue.

ça ne veut pas dire qu'il ne faut rien faire, mais être bien conscient du fait quand ça remettra en cause - et le fait déjà- les termes du débat sur la détention des armes à feu.

 

Autre chose : on prévoit de façon cyclique des catastrophes à chaque innovation, mais celle-ci se concrétisent rarement. 

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D'après ce que j'ai compris, les imprimantes 3D capables de fabriquer quelque chose d'un peu sérieux sont, en tout cas pour l'instant, au-delà de 100 000$ la pièce, et ne permettraient pas de produire quelque chose de même un petit peu comparable à ce qu'on trouve dans de vraies armes industrielles en termes de qualité. A comparer avec un AR-15 à 1500$ ou moins dans les Etats où on peut en acheter. Comme le dit Gally, tout ce qu'on peut réellement obtenir et qui peut poser problème aujourd'hui et même pour l'avenir visible, ce sont des armes pouvant tirer quelques coups au mieux, et dont le seul avantage qui fait peur est d'être non traçables, ce qui n'est en fait pas vraiment un problème vu l'abondance, aux USA et ailleurs, de flingues illégaux (cad venant de sources autres que le marché légal) voire fabriqués clandestinement (mais de façon "traditionnelle"). Et la question des matériaux semble appelée à demeurer encore un bon bout de temps vu que certaines pièces doivent être faites en métal (et du bon), ce qui écarte, aussi pour un bon moment, le problème de leur détection. Certaines choses dépendent donc de l'évolution à venir de la qualité des matériaux que ces machines pourront cracher, mais là y'a pas de grand mystère: plus ces matos seront de qualité, plus cela voudra dire une machine vraiment chère pour un bon bout de temps. Les alternatives existant aujourd'hui pour se procurer des armes illégales fonctionnant correctement sont, aux USA et ailleurs, beaucoup trop nombreuses pour que l'impact de l'impression 3D soit réellement alarmant. Faudra attendre le moment où une machine ne coûtant pas plus que l'imprimante normale pourra produire quelque chose de comparable à une arme industrielle pour le prix de quelques kilos de pâte à modeler, pour avoir à se poser de vraies questions. 

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Il y a 2 heures, g4lly a dit :

Pour le moment il est compliqué d'imprimer des armes fonctionnels.

  • Les matériaux d'impression classiques ne sont pas assez résistant.
  • Imprimer a l'ABS ça demande une certain savoir faire déjà.
  • Imprimer "métal" ça demande pas mal de bricolage perso.

En gros a mon sens aujourd'hui il est plus facile de s'équipé en machine outils pour faire des armes a la sudamércaine ... que d'imprimer un PM.

Pour les munitions c'est pas vraiment imprimable ... a part les ogive à la limite.

En gros pour le moment le vrai probleme c'est la facilité avec laquelle on pourrait faire des armes en plastique, capable de tirer quelques coups ... et surtout passant les détecteur de métaux.

A priori ça ne devrait pas passer la sécurité "gamma" des aéroport, l'opérateur devrait détecter la forme suspecte. Sauf si un malin fabrique une arme plastique avec une forme plu quelconque.

Imagine qu'un malin fasse une copie de cette arme:

 

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Il y a 2 heures, Tancrède a dit :

D'après ce que j'ai compris, les imprimantes 3D capables de fabriquer quelque chose d'un peu sérieux sont, en tout cas pour l'instant, au-delà de 100 000$ la pièce, et ne permettraient pas de produire quelque chose de même un petit peu comparable à ce qu'on trouve dans de vraies armes industrielles en termes de qualité. A comparer avec un AR-15 à 1500$ ou moins dans les Etats où on peut en acheter. Comme le dit Gally, tout ce qu'on peut réellement obtenir et qui peut poser problème aujourd'hui et même pour l'avenir visible, ce sont des armes pouvant tirer quelques coups au mieux, et dont le seul avantage qui fait peur est d'être non traçables, ce qui n'est en fait pas vraiment un problème vu l'abondance, aux USA et ailleurs, de flingues illégaux (cad venant de sources autres que le marché légal) voire fabriqués clandestinement (mais de façon "traditionnelle"). Et la question des matériaux semble appelée à demeurer encore un bon bout de temps vu que certaines pièces doivent être faites en métal (et du bon), ce qui écarte, aussi pour un bon moment, le problème de leur détection. Certaines choses dépendent donc de l'évolution à venir de la qualité des matériaux que ces machines pourront cracher, mais là y'a pas de grand mystère: plus ces matos seront de qualité, plus cela voudra dire une machine vraiment chère pour un bon bout de temps. Les alternatives existant aujourd'hui pour se procurer des armes illégales fonctionnant correctement sont, aux USA et ailleurs, beaucoup trop nombreuses pour que l'impact de l'impression 3D soit réellement alarmant. Faudra attendre le moment où une machine ne coûtant pas plus que l'imprimante normale pourra produire quelque chose de comparable à une arme industrielle pour le prix de quelques kilos de pâte à modeler, pour avoir à se poser de vraies questions. 

Merci Tancrède.

Je me suis retenu de poster, j'allais m'énerver.

Je laisse donc le compère de Ian Mc Collum, Karl Kassarda le faire à ma place avec cette vidéo troll dont la bande-son est constituée d'un message PAS DU TOOOUUUT destiné à faire flipper les "gun-illiterates" à propos des "ghost guns" terme qu'ils ne comprennent même pas.

Je recopie ici:

"THESE GHOST GUNS ARE THE NEW WAY OF AMERICAN GUN VIOLENCE. YOU WILL SEE THEM AROUND OUR STREETS, IN OUR AIRPORTS, OUR TRAIN STATIONS. THEY ARE UNDETECTABLE, UNTRACEABLE, FORGET ABOUT THE TSA GUARDING THE PLANE THAT YOU BOARD"

Sérieusement l'abruti qui a balancé ça s'est cru dans "l'arme fatale" et son "pistolet glock 7 en porcelaine indétectable"... :sleep:
Foutus politicards et journaleux à deux balles... Si c'est pas ça une idiocratie, ça y ressemble beaucoup.

Edit: explication de texte:

La blague ici c'est la question que se pose tout détenteur d'une licence conceal carry: "AM I PRINTING?" C'est à dire se demander si on voit la forme ou la marque de l'arme sous ses vêtements ("to print"), ce qui détruit l'intérêt du port dissimulé qui comme son nom l'indique, n'est pas supposer laisser savoir que l'on porte légalement une arme cachée sur soi.

Les "ghost guns", c'est-à-dire tout receveur d'arme à feu (rien d'autre n'est considéré légalement comme une arme aux USA dans la plupart des états) non sérialisé fabriqué ou terminé dans son garage, et qui concernent surtout les AR15 auprès d'une minuscule frange de militants des droits aux armes, n'ayant RIEN à voir avec ces histoires d'impression 3D, et ne constituant pas des armes fonctionnelles entières, la vanne de monsieur Kassarda consistait donc à dissimuler une AR15 (sans couvre-canon/garde-main/Rail interface system) dans son pantalon... Voilà voilà.

Modifié par Patrick
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Il y a 1 heure, Fenrir a dit :

Imagine qu'un malin fasse une copie de cette arme:

1: bon courage à lui. Il y a quand même des mécanismes complexes dedans (détente à double action par exemple). Les criminels assez cons pour avoir besoin de détenir illégalement un machin pareil ne sont généralement pas les plus intelligents ou doués de la planète sinon ils feraient fortune dans un business, même illégal. Donc plutôt que construire un truc pareil (s'ils pouvaient) ils feront l'acquisition d'un vieux flingue par des circuits illégaux.
2: il aura 2 balles de .380acp. Quelle puissance de feu démentielle! Ou pas.
3: il compte aussi imprimer les canons en métal avec du plastique d'imprimante 3D? Le mec est alchimiste donc??? Dans la vidéo il est question de "SHEET METAL". Ça ne s'imprime pas en 3D.
4: vu la longueur du tube et l'ergonomie de ouf du machin, ainsi que l'absence d'organes de visée, il pourra s'en servir à à peu près 15 mètres maximum (le mec de TFBTV parle de 7 yards... Soit 6 mètres 30). Soit 3 secondes en marche à pied avec un couteau dans sa poche.
5: la vidéo fait une comparaison entre un pistolet de poche en .380 et ce machin... Le .380 compte 7 coups (6+) et ce machin seulement 2. Et bien le pistolet de poche est moins long, moins large, moins haut, donc plus facilement dissimulable.

Conclusion:
Ce truc n'est pas imprimable en 3D et c'est un gadget inutile plus qu'une dangereuse arme à feu indétectable machin-bidule patin-couffin.

Et cerise sur le gâteau, ça ne ressemble même pas vraiment à un téléphone portable...

Modifié par Patrick
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https://www.project-syndicate.org/commentary/trump-loses-trade-war-with-china-by-joseph-e--stiglitz-2018-07 (30 juillet 2018)

Pour Joseph Stiglitz, le déficit commercial est consubstantiel au déficit fiscal, donc avec la guerre commerciale contre la Chine, tout ce que Trump réussira à faire dans le meilleur des cas, sera de déplacer le problème : le déficit continuera avec d'autres pays même si ce n'est plus avec la Chine.

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J'adore les Chinois ... ce n'est plus une probleme commercial ... c'est un probleme de dignité ... et ça n'a pas de prix ... enfin plus ou moins ... presque de la philo :bloblaugh:

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La Chine prête à des représailles sur 60 milliards USD d'importations américaines

La Chine s'est dite vendredi prête à imposer de nouveaux droits de douane sur environ 60 milliards de dollars de biens américains, au risque d'une escalade du conflit commercial entre les deux puissances.

Selon le ministère chinois du Commerce, il s'agit de représailles élaborées en réaction à la récente menace de la Maison Blanche de relever de 10% à 25% les tarifs douaniers sur 200 milliards de dollars d'importations en provenance de Chine. Pékin avait aussitôt crié au "chantage".

"La date d'application" de ces nouvelles surtaxes douanières par le géant asiatique "est suspendue aux actions des Etats-Unis", a précisé le ministère dans un communiqué.

Aussitôt après, la Maison-Blanche a répondu que la Chine "ne devrait pas sous-estimer la détermination" du président Donald Trump à "aller encore plus loin" et de "changer les pratiques commerciales", par la voix de son conseiller économique Larry Kudlow.

Dans le détail, les surtaxes douanières élaborées par Pékin s'échelonnent entre 5% et 25%, et s'appliqueront à 5.207 types de produits américains, a précisé dans un autre communiqué le ministère chinois des Finances.

Ils visent notamment une large variété de produits agricoles, dont le boeuf, des textiles, des composants chimiques, des pièces aéronautiques, ou encore le gaz naturel liquéfié.

La Chine se réserve le droit d'adopter "d'autres contre-mesures", ajoute le ministère du Commerce, avant de marteler: "Toute menace ou tout chantage unilatéral ne feront qu'exacerber les différends et nuire aux intérêts de chaque partie".

Cette menace de représailles intervient alors que le chef de la diplomatie chinoise, Wang Yi, a exhorté les Etats-Unis à "garder la tête froide" et à négocier "sur un pied d'égalité".

De fait, le régime communiste ne ferme pas la porte à une reprise des pourparlers, mais seul "le dialogue, sur la base du respect mutuel, de l'égalité et des bénéfices communs, est une voie efficace pour résoudre nos différends commerciaux", soulignait le ministère du Commerce.

- 'Comportement préjudiciable' -

La Maison Blanche accuse la Chine de pratiques "déloyales" et de "vol de propriété intellectuelle", l'enjoignant de réduire de 200 milliards de dollars son excédent commercial annuel avec les Etats-Unis et d'ouvrir davantage son marché aux firmes américaines.

Depuis fin mars, Washington inflige déjà des tarifs douaniers supplémentaires de 25% sur l'acier et de 10% sur l'aluminium chinois.

Et le 6 juillet, des surtaxes douanières américaines sur 34 milliards de dollars d'importations de biens chinois ont été imposées. Pékin a aussitôt répliqué en taxant le même montant d'importations provenant des Etats-Unis.

Mais Washington a, une semaine plus tard, tiré une nouvelle salve en dressant une liste supplémentaire de produits chinois importés d'un montant de 200 milliards de dollars par an, qu'ils menacent de taxer dès septembre...

Ce répertoire hétéroclite comprenait poissons, pneus, articles en cuir, bois, papier ou composants chimiques.

Ce sont les tarifs douaniers sur ces produits que Washington envisage désormais de relever drastiquement, jusqu'à 25%, selon des déclarations mercredi du représentant américain au Commerce (USTR), Robert Lighthizer.

Selon lui, il s'agit d'"une option supplémentaire pour encourager Pékin à changer sa politique et son comportement préjudiciables".

- 'Défendre sa dignité' -

Pour le régime communiste, la responsabilité de l'escalade est imputable aux Etats-Unis.

Le président chinois Xi Jinping lors du sommet des Brics à Johannesburg en Afrique du Sud, le 26 juillet 2018 / © POOL/AFP / GULSHAN KHAN

"C'est parce que les Américains n'ont eu de cesse d'aggraver toujours davantage la situation, au mépris des intérêts des entreprises et consommateurs des deux pays, que la Chine s'est vu forcée d'adopter des contre-mesures", soulignait vendredi le communiqué du ministère du Commerce.

Ces représailles étaient "nécessaires (...) pour défendre la dignité du pays et les intérêts de son peuple et préserver le libre-échange", ajoutait-il.

Pour autant, la stratégie du "dent pour dent" sur les droits de douane pourrait trouver ses limites, la Chine important presque quatre fois moins qu'elle n'exporte vers les Etats-Unis...

En revanche, le pays asiatique pourrait absorber plus facilement les contrecoups économiques, "en accroissant ses dépenses budgétaires et les prêts bancaires", estime Fred Bergsten, directeur du Peterson Institute for International Economics.

"Les Etats-Unis et la Chine ont des plans de secours dans des secteurs comme la technologie et l'agriculture, où ils pourraient importer des biens depuis des pays tiers", a affirmé à un journaliste de l'AFP Ye Tan, une économiste indépendante, notant également l'atout pour les exportateurs chinois de la récente glissade du yuan.

Donald Trump avait d'ailleurs accusé récemment Pékin de "manipuler sa monnaie" à son avantage.

Mais ce repli rapide du yuan, au plus bas depuis plus d'un an face au dollar, est à double tranchant, susceptible aussi d'accélérer les fuites de capitaux hors de Chine et d'affoler le système financier local...

Signe de la grande prudence des autorités, la banque centrale chinoise (PBOC) a dévoilé vendredi des mesures réglementaires renforçant le niveau des fonds à mettre de côté pour investir à la baisse sur la devise --afin précisément d'enrayer la baisse du yuan.


(©AFP / 03 août 2018 17h18)

 

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Attention quand même. La dignité et l'image de soi donnée aux autres sont très importantes en Chine. Il n'y a rien de pire que de donner l'impression (ou d'être) humilié en public, en Chine mais aussi dans pas mal d'endroits en Asie. Et ils oublient très rarement l'humiliation ou l'injure publique. Côté américain, si j'étais à leur place, j'aurai déjà bouché le fondement avec du béton armé parce que du côté de POTUS, ça risque d'être délicat de ne pas faire d'entorses...

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il y a 35 minutes, g4lly a dit :

J'adore les Chinois ... ce n'est plus une probleme commercial ... c'est un probleme de dignité ... et ça n'a pas de prix ... 

Ou surtout le prix que les gouvernants estiment nécessaires pour ne pas passer pour des clowns aux yeux de la population. Car c'est un réel enjeu côté chinois.

Monsieur Jinping qui nous vient de Pékin tente le Super Banco ! ... Super ! Super ! Super !

 

il y a 22 minutes, Ciders a dit :

Attention quand même. La dignité et l'image de soi donnée aux autres sont très importantes en Chine. Il n'y a rien de pire que de donner l'impression (ou d'être) humilié en public, en Chine mais aussi dans pas mal d'endroits en Asie.

Oups. J'avais pas vu, mais oui, d'autant plus dans la relation de gouvernant à gouverné.

Modifié par Skw
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