Armée de l'air du Canada

[Alberas]

il y a 45 minutes, Ciders a dit :

Pourquoi mauvais ? Le Canada tape là où ça fait mal. Avec un peu de chance, Musk viendra les aider en insistant sur le fait que le F-35 est une bouse et que sa boîte peut produire dix fois mieux pour dix fois moins cher, demain s'ils veulent.

D'abord, il ne "tape" pas. Il "menace de taper", ce qui est évidemment très différent. Et puis surtout, il est en campagne électorale. Donc il parle haut.

Quant à savoir si le F35 est une bouse ou pas, c'est hors de mes compétences. Et je ne me fierais pas non plus aux déclarations multiples de Musk, qui mélange sans vergogne les affaires publiques et ses affaires privées.

[Bechar06]

il y a 4 minutes, Alberas a dit :

surtout, il est en campagne électorale. Donc il parle haut.

Eh ... tu retarde pas un peu ?  Je sais le temps passe de + en + vite, grâce à mon copain Trump

https://www.ouest-france.fr/monde/canada/pourquoi-mark-carney-le-nouveau-premier-ministre-canadien-fait-sa-premiere-visite-detat-en-france-a3ee58e4-02f5-11f0-a848-8deb61924784

[Alberas]

il y a 12 minutes, Bechar06 a dit :

Eh ... tu retarde pas un peu ?  Je sais le temps passe de + en + vite, grâce à mon copain Trump

https://www.ouest-france.fr/monde/canada/pourquoi-mark-carney-le-nouveau-premier-ministre-canadien-fait-sa-premiere-visite-detat-en-france-a3ee58e4-02f5-11f0-a848-8deb61924784

Mark Carrey n'est 1er ministre que pour quelques mois! élections fédérales au plus tard en octobre 2025.

 

[Ciders]

Il y a 2 heures, Alberas a dit :

D'abord, il ne "tape" pas. Il "menace de taper", ce qui est évidemment très différent. Et puis surtout, il est en campagne électorale. Donc il parle haut.

Quant à savoir si le F35 est une bouse ou pas, c'est hors de mes compétences. Et je ne me fierais pas non plus aux déclarations multiples de Musk, qui mélange sans vergogne les affaires publiques et ses affaires privées.

C'est le principe de "je monte doucement en pression et je ne vais pas t'écorcher tout de suite avec une épingle à nourrice".

Ceci étant dit, les Canadiens étant menacés toutes les deux semaines d'invasion, note que déjà le ton a vraiment changé.

[FATac]

il y a 29 minutes, Ciders a dit :

les Canadiens étant menacés incités toutes les deux semaines d'invasion à accepter une prise de contrôle

Tu permets que je te corrige ?

Parce que, si la promesse est ferme, elle n'est pas à ce niveau de violence... C'est un peu "Ce soir, tu vas prendre" mais avec une voix suave.

[Ciders]

il y a 2 minutes, FATac a dit :

Tu permets que je te corrige ?

Parce que, si la promesse est ferme, elle n'est pas à ce niveau de violence... C'est un peu "Ce soir, tu vas prendre" mais avec une voix suave.

Il va falloir revoir la notion de consentement.

[FATac]

il y a 6 minutes, Ciders a dit :

Il va falloir revoir la notion de consentement.

De la part de quelqu'un qui clame "Grab'm by the pussy" comme axe de séduction ? Vraiment ??

Modifié le 18 mars par FATac

[Ronfly]

Allez les Canadiens, faites le grand saut...

https://www.lesailesduquebec.com/rafale-f4-f5-scaf-une-solution-a-court-moyen-et-long-terme-pour-le-canada/

Révélation

Rafale F4, F5, SCAF, une solution à court, moyen et long terme pour le Canada

Avant de parler d’une solution de rechange au F35, il convient de faire le point sur la situation actuelle du Canada en matière d’avions de combat ainsi que des menaces réelles qui pèsent sur le pays.

La situation actuelle

 Au milieu des années 50, le Canada pouvait compter sur la deuxième plus grande force aérienne au monde. Mais surtout, nous fabriquions alors nos propres avions avec tous les avantages que cela comporte. 70 ans plus tard, il nous reste à peine 75 CF-188 encore utilisables aujourd’hui et nous ne pouvons pas prétendre être en mesure de contrôler notre espace aérien en cas de conflit. Pire encore un rapport du gouvernement fédéral publié en décembre 2024, mentionne que la disponibilité de notre flotte aérienne avait chuté à 43,88% en 2022-23 pour remonter à 48,9% en 2023-24, cliquez ici. L’arrivée des F-18 australiens a certainement aidé à l’amélioration de la disponibilité de nos avions. Mais même avec un taux avoisinant les 50%, nous ne disposons de 40 appareils pour nous défendre. Étant donné l’extrême faiblesse de notre aviation militaire, je serais inquiet si un pays comme le Botswana nous menaçait d’une attaque aérienne. Et c’est à peine une caricature. Nous sommes dans une situation gênante et troublante qui va demander une bonne décennie avant de pouvoir être corrigée.

Si l’on maintient de la commande de F35, les premiers avions seront livrés en 2026 et les derniers en 2028. Si tous se déroulent bien, il est prévu que la flotte soit pleinement opérationnelle en 2032, pas avant. Mais avec le F35, la possibilité qu’il y ait des retards est bien réelle. En fait, les seules choses que cet avion n’ait jamais réussi à abattre, ce sont les promesses de son fabricant Lockheed Martin. Le meilleur exemple est son coût exorbitant d’opération par heure de vol qui est au-delà de 40 000$ américains. Cela fait plus de 10 ans que l’avionneur promet de le ramener sous les 25 000$ l’heure et pourtant, il n’y a eu aucune amélioration. Selon une étude du directeur parlementaire du budget, le coût d’entretien des 88 gloutons serait de 53 Milliards canadiens pour leur durée de vie utile. Et à cela il faut rajouter que même avec 88 F-35, nous serions toujours dépendants des États-Unis pour nous protéger. Bref nous sommes dans la chnoute et pour plusieurs années encore.

Les menaces qui nous guettent

Je tiens à être claire : bien que notre défense aérienne soit à plat, nous ne risquons pas d’être envahis par les États-Unis au cours des 10 prochaines années. La véritable menace avec le président actuel, c’est qu’il est obnubilé par Vladimir Poutine conjugué à son incapacité à protéger les informations confidentielles, dont celles sur l’armement. Je vous invite à lire le texte suivant qui explique cette menace de fuite et de trahison : cliquez ici

Le 24 mars, le magazine américain The Atlantic, a révélé avoir reçu par erreur les plans détaillés d’une attaque de l’armée américain contre les Rebels Houthis quelques heures avant l’heure avant le début de l’offensive. Cliquez ici. Cela relève d’un niveau d’amateurisme et d’insouciance inégalé.

Sur un horizon de 10 ans, la Russie est une menace que l’Europe prend très au sérieux. Advenant une trêve en Ukraine, il faudra de 3 à 4 ans à la Russie pour se réarmer convenablement et revenir à la situation d’avant. C’est ce qui explique la décision de la communauté européenne de se réarmer rapidement et surtout sans les États-Unis.

De plus, Vladimir Poutine a un œil sur les ressources naturelles de l’Arctique et c’est pour cela que la Russie augmente actuellement sa présence militaire dans cette région, mais sa capacité de passer à l’offensive reste encore à construire. Surtout si l’Europe se réarme massivement. Suite à l’effort intense qu’a demandé la guerre en Ukraine, l’industrie militaire russe ne sera pas capable de produire suffisamment pour soutenir deux fronts. Donc, une plus forte présence militaire du Canada dans le Nord est non seulement bénéfique pour nous, mais elle l’est également pour l’Europe puisque la Russie serait obligée de scinder en deux le déploiement de son armée. Devant la nécessité de contrer les visées expansionnistes de Vladimir Poutine et par sa situation géographique, le Canada sera donc appelé à jouer un rôle beaucoup plus important dans une nouvelle alliance militaire sans les États-Unis. Cela explique sans doute l’enthousiasme et la rapidité avec laquelle l’Europe souhaite voir le Canada se joindre à son programme de réarmement.

La première offre de Dassault

Bien avant que le processus de remplacement des CF-118 Hornet ne soit lancé officiellement, Dassault avait annoncé son intention d’offrir au Canada la propriété intellectuelle du Rafale ainsi que le code source de l’avion. En plus de cela, la compagnie française offrait d’assembler les appareils ici ainsi que des retombées industrielles de 9 milliards de dollars canadiens. En septembre 2017, j’avais écrit que c’était une excellente offre. Mais lorsque le Canada a rendu publics ses critères de sélection, Dassault s’est retiré de la compétition jugeant que les dés étaient pipés en faveur des Américains et en particulier du F35. Par la suite, Airbus s’était également retiré pour les mêmes raisons. Depuis, le Rafale a remporté plusieurs commandes et ce même au détriment du F35. Loin d’être à bout de souffle, c’est programme qui dont les caractéristiques techniques continuent de s’améliorer avec les nouvelles versions et il va encore s’améliorer.

 

Au niveau des performances, le Rafale a une vitesse maximale de 1,8 Mach ce qui est 0,2 de plus que le F35 et la charge utile ainsi que l’autonomie des deux avions sont similaires. Mais c’est au niveau du coût d’opération et d’entretien par heure de vol qu’il y a une grande différence entre les deux. En effet, le Rafale a un coût d’opération qui est de la moitié du F35. Avec le même nombre de Rafales que le F35, nous économiserions 26,5 G$ sur la durée de vie utile des appareils.

 

Dassault vient tout juste d’atteindre la cadence de trois appareils par mois. Son président, M. Éric Trapier, a déclaré dernièrement que Dassault serait en mesure d’augmenter la cadence de production à la condition d’avoir suffisamment de commandes pour justifier les investissements. Selon certaines sources que j’ai consultées, il serait en effet possible d’accélérer la mise en place d’une deuxième ligne d’assemblage avec une cadence de trois appareils par mois et avec une première livraison d’avion en 2028. Certes, cela demanderait un effort exceptionnel, mais c’est réalisable.

Donc en optant pour le Rafale on perd deux ans dans le remplacement de nos CF-188 Hornet, mais cela me paraît être un compromis nécessaire dans les circonstances.

Le Standard F4

En matière de connectivité et de combat collaboratif, le Rafale F4 n’a rien à envier au F35 et il dispose d’une capacité, limitée, mais tout de même présente, d’intelligence artificielle. Il possède déjà des capteurs de 5e génération et il vient avec le viseur de casque Scopion fourni par Thales. Il est également équipé du radar RBE2 ainsi que d’une antenne active qui comprend mille modules émetteurs-récepteurs au gallium. Ce radar très performant augmente considérablement la portée de détection de l’avion. Il est également en mesure de suivre plusieurs cibles mobiles au sol.

 

Le Standard F5

Rafale et drone de combat

Rafale et drone de combat

La grande innovation avec le Rafale du F5 sera la possibilité d’utiliser un drone de combat qui l’accompagnera. Pour y arriver, le câblage ainsi que la capacité d’intelligence artificielle seront améliorés afin de soutenir cette nouvelle fonction. C’est donc un pas dans le futur et vers le chasseur de 6e génération qui pourra être franchie dès 2035, car il sera équipé entre autres de capteurs de 6e génération. De plus, tous les avions du standard F4 produits après 2030 pourront être mis au niveau du F5. Les pays qui choisissent le Rafale auront donc un chasseur qui ne sera pas obsolète avant 2045.

 

Le SACF

Le système de combat aérien du futur est le programme d’avion de 6e génération sur lequel planche Dassault avec ses partenaires. Une bonne partie des armements traditionnels seront remplacés par des lasers et il sera équipé de système de communications par faisceaux lumineux qui sont très résistants au brouillage. Bien entendu, il pourra travailler avec des drones de combat et il y a fort à parier que les drones compatibles avec le Rafale F5 le seront également avec le SCAF. Bien entendu, une participation à ce programme nous coûterait plusieurs dizaines de milliards, mais si les retombées industrielles et technologiques sont au rendez-vous alors cela en vaudra la peine.

 

En optant pour Dassault et le Rafale, nous nous assurons que dans 40 ans nous aurons encore accès à de la technologie de pointe et que nos avions de combat seront toujours efficaces dans 60 ans. Il n’y a qu’un seul fabricant d’avions capable de nous faire une telle offre et nous ne devrions pas hésiter.

 

Modifié mardi à 06:46 par Ronfly

[herciv]

il y a 32 minutes, Ronfly a dit :

Allez les Canadiens, fait le grand saut...

https://www.lesailesduquebec.com/rafale-f4-f5-scaf-une-solution-a-court-moyen-et-long-terme-pour-le-canada/

EH ben. Je remarque surtout le ton du journaliste. Il est affirmatif et très sûr de lui. Il ne craint pas de se faire étouffer par une propagande pro F-35 ou NGAD.

[OysterCultist]

Pourquoi pas une flotte mixte avec un escadron de 16x F-35, et du Rafale pour les autres ?
Un peu comme va le faire la Grèce (pas des nazes). 

Avantages:
- Pas de désengagement de la supply chain du F-35 (et les emplois associés)
- Posture politique maintenue sans rupture totale des relations (difficile d'oublier les Five Eyes et le NORAD)
- 16 F-35 ont été "payés", donc autant les réceptionner
- Suppression de la dépendance a un seul pays/fabricant
- Sécurisation du remplacement des CF-18 avec des livraisons entre 2026 et 2029 en attendant les livraisons du Rafale vers 2029
- Ouverture de débouchés industriels pour le programme SCAF

Inconvénients:
- Couts de maintenance en hausse
- Formation des pilotes plus complexe (sujet compliqué au Canada notamment)

Modifié mardi à 07:50 par OysterCultist

[FATac]

il y a 10 minutes, OysterCultist a dit :

- Couts de maintenance en hausse

Sur ce point, je ne serais pas aussi catégorique.

Troquer 60 appareils dont la maintenance coute 100 pour autant dont la maintenance coûte 80 (chiffres arbitraires) peut représenter une économie qui va absorber les surcoûts liés à une double chaine d'approvisionnement et de compétences et rendre l'opération globalement rentable.

En fait, on n'en sait rien, nous, quidam lambda, n'avons pas de visibilité sur les coûts d'opération et de maintenance à l'heure de vol des uns et des autres appareils...

[OysterCultist]

20 minutes ago, FATac said:

En fait, on n'en sait rien, nous, quidam lambda, n'avons pas de visibilité sur les coûts d'opération et de maintenance à l'heure de vol des uns et des autres appareils...

Meme les gens sensés etre au courant n'ont pas cette visibilité (ahem)

Modifié mardi à 08:24 par OysterCultist

[Alberas]

il y a une heure, herciv a dit :

EH ben. Je remarque surtout le ton du journaliste. Il est affirmatif et très sûr de lui. Il ne craint pas de se faire étouffer par une propagande pro F-35 ou NGAD.

Je remarque que cette posture vient d'un journaliste québécois. La même prose coté Toronto aurait plus de crédibilité!

[herciv]

il y a 3 minutes, Alberas a dit :

Je remarque que cette posture vient d'un journaliste québécois. La même prose coté Toronto aurait plus de crédibilité!

Elle n'en est pas moins inédite d'assurance.

[mgtstrategy]

Posture, Posture, Posture....

Tout pr la nego ensuite. 

[Alberas]

En campagne électorale, le nationalisme, et son pendant anti-américanisme, permet toujours de galvaniser les foules.

[emixam]

il y a 17 minutes, Alberas a dit :

En campagne électorale, le nationalisme, et son pendant anti-américanisme, permet toujours de galvaniser les foules.

Vive le Canada Libre !

[Ronfly]

Il y a 13 heures, Alberas a dit :

Je remarque que cette posture vient d'un journaliste québécois. La même prose coté Toronto aurait plus de crédibilité!

C'est les gènes Gaul(l)ois ça...

Les Canadiens côté Toronto devraient s'inspirer de cet irrépressible besoin de ne pas être assujetti à une nation voisine et prendre en main son avenir.

INDÉPENDANCE!!!

[Patrick]

Il y a 99% de chances que le Canada n'abandonne rien du tout et réceptionne bien ses F-35.

Déjà parce qu'ils ont gratté du workshare depuis un petit moment.

Il pourrait cependant être tenté par un avion "secondaire" mais pour des questions de coûts et surtout pour s'assurer de pouvoir continuer à opérer sa force aérienne même en cas de vrai coup dur.

Cependant cette flotte devrait être compatible avec les réseaux d'échange d'info du NORAD. Et on sait que c'est ce point là qui a provoqué le départ de Dassault de la compétition Canadienne la dernière fois, parce qu'il était simplement question de tout ouvrir aux yeux des Américains, pas juste des Canadiens... Modes radars, modes de guerre électronique, portées d'engagement, la totale.

Dassault a essayé d'emmener avec lui Eurofighter et SAAB, qui sont restés dans la compétition, avant qu'Eurofighter ne décide lui aussi de partir quelque temps plus tard, et que SAAB soit retoqué en faveur... Du F-35 bien entendu.

Et ça c'était déjà sous trudeau...

Carney, s'il passe (un comble...) ne fera pas autre chose. Poilièvre, s'il passe, ne ferait rien d'autre non plus.

Modifié mercredi à 12:31 par Patrick

[emixam]

Il y a 2 heures, Patrick a dit :

Dassault a essayé d'emmener avec lui Eurofighter et SAAB, qui sont restés dans la compétition, avant qu'Eurofighter ne décide lui aussi de partir quelque temps plus tard, et que SAAB soit retoqué en faveur... Du F-35 bien entendu.

Et ça c'était déjà sous trudeau...

Carney, s'il passe (un comble...) ne fera pas autre chose. Poilièvre, s'il passe, ne ferait rien d'autre non plus.

Surtout qu'il y a 10 ans Trudeau faisait compagne sur l'annulation de la commande des 65 F-35 du gouvernement Harper pour prendre un appareil plus "abordable". 

Au final il a commandé 88... F-35

 

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/739881/trudeau-annulerait-achat-f-35-liberal-armee

 

Modifié mercredi à 14:34 par emixam

[FATac]

Il y a 6 heures, Patrick a dit :

Il pourrait cependant être tenté par un avion "secondaire" mais pour des questions de coûts et surtout pour s'assurer de pouvoir continuer à opérer sa force aérienne même en cas de vrai coup dur.

Cependant cette flotte devrait être compatible avec les réseaux d'échange d'info du NORAD.

Justement, si les canadiens s'orientaient vers un avion "secondaire", serait-il vraiment indispensable que cette flotte soit compatible avec les réseaux d'échange d'information du NORAD.

N'y aurait-il pas un monde où le F-35, garant de la sécurité du continent nord-américain, est compatible NORAD quand le second appareil est incompatible parce qu'il n'a pas un vrai rôle sécuritaire, si, si, je vous jure, c'est juste un appareil d'aéroclub pour assurer les heures de vol de nos pilotes. Bon, il peut faire la guerre, c'est vrai, c'est un peu plus qu'un LIFT ou un advanced-trainer, mais finalement, ce serait bien pour les Opex et ça éviterait de dépoiler la métropole en en retirant les F-35 pour taper du barbu en slapette. Hein, d'accord, on fait comme ça ?

[Ciders]

il y a 52 minutes, FATac a dit :

Justement, si les canadiens s'orientaient vers un avion "secondaire", serait-il vraiment indispensable que cette flotte soit compatible avec les réseaux d'échange d'information du NORAD.

N'y aurait-il pas un monde où le F-35, garant de la sécurité du continent nord-américain, est compatible NORAD quand le second appareil est incompatible parce qu'il n'a pas un vrai rôle sécuritaire, si, si, je vous jure, c'est juste un appareil d'aéroclub pour assurer les heures de vol de nos pilotes. Bon, il peut faire la guerre, c'est vrai, c'est un peu plus qu'un LIFT ou un advanced-trainer, mais finalement, ce serait bien pour les Opex et ça éviterait de dépoiler la métropole en en retirant les F-35 pour taper du barbu en slapette. Hein, d'accord, on fait comme ça ?

Ce serait difficile à faire avaler par MERICA. Et financièrement, faut voir mais ça semble compliqué, surtout si les deux modèles sont bien séparés et pas faciles à intégrer.

Et puis, acheter quoi pour quoi faire ? Du FA-50 ou équivalent ?

[Patrick]

il y a 8 minutes, FATac a dit :

Justement, si les canadiens s'orientaient vers un avion "secondaire", serait-il vraiment indispensable que cette flotte soit compatible avec les réseaux d'échange d'information du NORAD.

C'est un bon argument dans l'absolu mais je pars du principe que s'ils ne bénéficiaient pas de ce réseau, des avions surnuméraires ne serviraient à rien au-dessus d'un espace aussi vaste que celui du Canada.

il y a 8 minutes, FATac a dit :

N'y aurait-il pas un monde où le F-35, garant de la sécurité du continent nord-américain, est compatible NORAD quand le second appareil est incompatible parce qu'il n'a pas un vrai rôle sécuritaire, si, si, je vous jure, c'est juste un appareil d'aéroclub pour assurer les heures de vol de nos pilotes. Bon, il peut faire la guerre, c'est vrai, c'est un peu plus qu'un LIFT ou un advanced-trainer, mais finalement, ce serait bien pour les Opex et ça éviterait de dépoiler la métropole en en retirant les F-35 pour taper du barbu en slapette. Hein, d'accord, on fait comme ça ?

Possible mais il faut vendre une telle idée à la population. Et disons que quand dans le même moment on s'échine à rendre Rafale et F-35 capables de s'échanger des infos, ça fait un peu désordre.