C’est un message populaire. HK Posté(e) le 5 août C’est un message populaire. Share Posté(e) le 5 août (modifié) 22 minutes ago, Titus K said: Ca va être difficile non ? Des accords de coopération industrielle contraignants doivent être conclus, dans le cadre de projets directs ou indirects, qui garantissent que le fournisseur s'engage à une coopération industrielle correspondant à 100 % du montant du marché (y compris tout achat supplémentaire) Domaines d'expertise nationaux prioritaires en matière de technologies de défense : Munitions, moteurs de fusée et explosifs militaires Technologie des missiles Systèmes de commandement, de contrôle, d'information, de communication et de gestion des combats Intégration des systèmes Systèmes autonomes et intelligence artificielle Technologie sous-marine Technologie des matériaux spécialement développés ou traités à des fins militaires Soutien au cycle de vie des systèmes militaires Pouquoi? Le soutien réprésente le gros des dépenses sur le tres long terme donc rien qu'en localisant l'entretien dans un chantier norvégien cela doit permettre de "retourner" 100% du montant du marché. Puis ensuite il suffit d'intégrér quelques blocs construits dans le pays client, l'achat de petits équipements, d'autres prestations de service (gestion de projet etc)... Et puis le MinDef peut parfois apporter quelques commandes étatiques pour des besoins francais... obus de Nammo, systemes de communication de la nouvelle JV Thales/Kongsberg, systemes nautiques (hélices, bossoirs Vestdavit etc). Modifié le 5 août par HK 1 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lordtemplar Posté(e) le 5 août Share Posté(e) le 5 août 16 minutes ago, jisse said: Ils ont obtenu le même genre d'offset de la part des US lors de l'achat des F-35 ? d'ailleurs je ne vois pas le RU ni l'Allemagne achete du matos/services norvegiens equivalent a la valeur du contrat. il y a quoi concretement que la Norvege offre que lesautres ne font pas? a part le NSM et JSM. majs la encore le RU va les remplacer par le FMAN avec la France quand les fregates seront livres a la Norvege Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 6 août Share Posté(e) le 6 août Il y a 5 heures, Lordtemplar a dit : d'ailleurs je ne vois pas le RU ni l'Allemagne achete du matos/services norvegiens equivalent a la valeur du contrat. il y a quoi concretement que la Norvege offre que lesautres ne font pas? a part le NSM et JSM. majs la encore le RU va les remplacer par le FMAN avec la France quand les fregates seront livres a la Norvege Lors de HX en Finlande la proposition Française incluait une configuration à 4 JSM. Ce serait une piste à creuser je pense. Si ce n'est en France, l'accès à un marché de 323 appareils exportés pourrait convenir aux Norvégiens. Du moins c'est une piste. Quant au NSM il utilise un moteur Français (TRI-40). Mais je doute qu'il soit si intéressant que ça par rapport à un Exocet block 3C en termes de portée. En termes de furtivité en revanche c'est une piste à creuser, en guise d'armement intermédiaire en attendant le FMAN. De la même façon Nexter pourraient être intéressés par un partenariat avec NAMMO sur certains obus. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 6 août Share Posté(e) le 6 août (modifié) Il y a 12 heures, Titus K a dit : Domaines d'expertise nationaux prioritaires en matière de technologies de défense : Munitions, moteurs de fusée et explosifs militaires Technologie des missiles Systèmes de commandement, de contrôle, d'information, de communication et de gestion des combats Intégration des systèmes Systèmes autonomes et intelligence artificielle Technologie sous-marine Technologie des matériaux spécialement développés ou traités à des fins militaires Soutien au cycle de vie des systèmes militaires C'est marrant cette liste correspond bien à différent savoir-faire de la France. Mais c'est toujours pareil les offsets ressemblent très fort à du ToT et ce ToT n'est pas demandé au US par exemple. Modifié le 6 août par herciv 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 6 août Share Posté(e) le 6 août Il y a 9 heures, herciv a dit : C'est marrant cette liste correspond bien à différent savoir-faire de la France. Mais c'est toujours pareil les offsets ressemblent très fort à du ToT et ce ToT n'est pas demandé au US par exemple. En l'occurence la Constellation "américaine" fait bien partie des 4 candidats retenus, donc ils sont aussi soumis aux même critères. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 6 août Share Posté(e) le 6 août il y a 14 minutes, Titus K a dit : En l'occurence la Constellation "américaine" fait bien partie des 4 candidats retenus, donc ils sont aussi soumis aux même critères. Je me suis mal exprimé. Pas demandé habituellement en dehors de ce marché . 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mehari Posté(e) le 6 août Share Posté(e) le 6 août 15 hours ago, Patrick said: Quant au NSM il utilise un moteur Français (TRI-40). Mais je doute qu'il soit si intéressant que ça par rapport à un Exocet block 3C en termes de portée. En termes de furtivité en revanche c'est une piste à creuser, en guise d'armement intermédiaire en attendant le FMAN. >300km d'après Kongsberg. Le truc c'est que je pense que long terme, le JSM est plus intéressant à cause de son emport en soute et son lancement par sous-marin (qui ne sont pas garantis pour le FMAN). Plus, ça pourrait aussi faire un missile de croisière léger. Mais le JSM utilise un moteur US plutôt que le TRI-40 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 6 août Share Posté(e) le 6 août il y a 20 minutes, mehari a dit : >300km d'après Kongsberg. Oui, pour la dernière version, en effet. J'en étais resté à la première. Une sacrée amélioration. On aimerait voir une augmentation de performances aussi marquante pour l'Exocet... il y a 20 minutes, mehari a dit : Le truc c'est que je pense que long terme, le JSM est plus intéressant à cause de son emport en soute et son lancement par sous-marin (qui ne sont pas garantis pour le FMAN). Plus, ça pourrait aussi faire un missile de croisière léger. Mais le JSM utilise un moteur US plutôt que le TRI-40 le JSM n'est pas non plus exactement la même arme que le NSM. Quant à la question du FMAN, pour une fois encore revenir dessus, je trouverais hallucinant qu'il ne puisse pas être emporté par des tubes lance-torpilles, surtout que le changement de design, avec le passage d'une aile médiane à une aile haute, me semble être un indicateur assez clair qu'il y aura un dispositif de pliage des ailes vers le bas (ou de déploiement vers le haut) afin de plaquer lesdites ailes contre le fuselage à section plus ou moins carrée de l'engin. Nous verrons bien, mais comme j'avais déjà argumenté à ce propos, le SM-40 est un concept qui arrive aujourd'hui avec 30 ans de retard, et avec seulement 120km de portée il est d'ores et déjà totalement obsolète même dans un contexte d'autodéfense du sous-marin, et ce malgré son autodirecteur AESA moderne issu du MM40 Block 3C. Si nous devions ne pouvoir plus compter que sur ce missile pour remplacer les SM39, alors dans un tel cas, sans mise au point d'une version anti-navire du MdCN, nous serions quasiment à poil face aux nouvelles menaces qui se profilent d'ores et déjà à l'horizon. Déjà que la F21 n'est pas particulièrement impressionnante face à une SeaHake Allemande en termes de portée là encore... Je veux bien qu'on aime le dogfight en France mais ça devient franchement gênant à un moment. Donc dans le pire des cas, oui, le NSM-SL à lancement sous-marin deviendrait une option intéressante voire une planche de salut. Après-tout les Espagnols avec le S-80 et les Pays-Bas avec le Orka (!) comptent d'ores et déjà dessus. Mais quel camouflet ce serait de s'auto-infliger une telle blessure pour la BITD Française. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 8 août Share Posté(e) le 8 août Ce pourrait être la nouvelle frégate de la Norvège – avec des systèmes israéliens https://www.vg.no/nyheter/i/yEP19a/dette-kan-bli-norges-nye-fregatt-med-systemer-fra-israel Quatre pays sont en compétition pour fournir les nouvelles frégates de la Marine royale norvégienne. La frégate britannique Type 26 compte parmi ses sous-traitants clés des entreprises israéliennes. Points essentiels Quatre pays se disputent le contrat pour les nouvelles frégates de la Norvège, dont le Royaume-Uni avec sa Type 26. La candidate britannique utilise des systèmes de défense israéliens. Le gouvernement est sous pression après les investissements du Fonds pétrolier norvégien dans des entreprises israéliennes. Le ministère de la Défense n’a pas répondu aux questions de VG sur ces fournisseurs israéliens. Le Parlement norvégien a décidé que le pays achètera au moins cinq nouvelles frégates. Le coût total de cette flotte pourrait atteindre 125 milliards de couronnes. La décision du gouvernement est attendue cet automne. Le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et les États-Unis sont en lice pour ce contrat majeur. Favorite La frégate britannique est considérée comme l’une des favorites. BAE Systems construit actuellement la nouvelle flotte britannique de frégates Type 26 dans son chantier naval de Glasgow, en Écosse. L’entreprise a signé d’importants contrats avec au moins deux sociétés israéliennes pour la fourniture de systèmes de défense et de protection des Type 26, selon des recherches dans les médias spécialisés en défense. Actuellement, le gouvernement norvégien est sous pression, car le Fonds pétrolier détient des actions dans des entreprises israéliennes qui soutiennent l’effort de guerre d’Israël à Gaza et en Cisjordanie. « Mon conseil au gouvernement serait de rester très loin des composants israéliens pour les nouvelles frégates norvégiennes », déclare Raymond Johansen, secrétaire général de Norwegian People’s Aid (Norsk Folkehjelp), à VG. Entreprises israéliennes impliquées Le plus grand fournisseur de défense d’Israël, Elbit Systems, doit fournir des technologies pour la guerre électronique des nouvelles frégates. Elbit livrera également un système de surveillance pour détecter les navires ennemis pouvant menacer la frégate. Selon Janes, le contrat a été signé en 2021. En 2009, Elbit a été exclu du Fonds pétrolier norvégien. L’entreprise devait alors fournir un système de surveillance pour le mur de séparation en Cisjordanie, ce qui, selon le Conseil d’éthique du Fonds, représentait un « risque inacceptable de contribuer à de graves violations des normes éthiques fondamentales ». Elbit fournit aussi des drones à l’armée israélienne. Le Fonds pétrolier a par ailleurs investi dans la société israélienne Next Vision Stabilized Systems, qui fabrique des caméras utilisées notamment sur les drones d’Elbit. Une autre entreprise israélienne, Plasan, fournit des plaques de blindage en composite pour les frégates britanniques, un élément clé de la protection contre les missiles et autres armes. Le premier contrat avec BAE a été signé en 2018, et, selon Israel Defence, il a été étendu en 2022 à plusieurs frégates en construction. Plasan fabrique également des chars et véhicules blindés pour l’armée israélienne (IDF). Avant la guerre de 2023, l’IDF a reçu gratuitement plusieurs dizaines de véhicules blindés dans le cadre d’une « mobilisation d’urgence ». Selon les recherches de VG, aucun fournisseur israélien n’est impliqué dans les projets de frégates des autres pays candidats. Pressions politiques Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, espère que la Norvège choisira la frégate britannique. En mai, il est venu à Oslo rencontrer son homologue norvégien, Jonas Gahr Støre. Cette semaine, VG a posé au ministère de la Défense plusieurs questions sur les évaluations faites concernant les fournisseurs israéliens et sur un éventuel impact sur la sélection des frégates. Jeudi, le ministère a indiqué ne pas avoir la capacité d’y répondre pour l’instant. Faut-il chercher d’autres fournisseurs ? Raymond Johansen mène une campagne pour exclure du Fonds pétrolier les entreprises israéliennes impliquées dans des violations du droit international. « Nous ne demandons pas un boycott total des produits israéliens. Mais Elbit et Plasan fournissent directement à l’armée israélienne. Le gouvernement doit au minimum vérifier si ces entreprises et ce matériel de guerre participent à un possible génocide ou à des violations du droit international », dit-il. À la question de savoir si cela doit exclure la frégate britannique, il répond : « De toute façon, il est évident que le gouvernement doit chercher des alternatives et voir s’il existe d’autres fournisseurs pour ces systèmes. » Identiques ou pas ? Pour Ståle Ulriksen, chercheur à l’École de guerre navale, la Type 26 britannique est l’une des deux options les plus probables pour la Norvège, l’autre étant la frégate française. « Si le gouvernement ne veut absolument pas de pièces israéliennes, il est toujours possible de trouver d’autres fournisseurs d’électronique et de blindage. Mais alors, les frégates ne seraient plus totalement identiques, et on perdrait des avantages comme la maintenance commune », explique-t-il. « Faut-il éviter d’acheter des frégates avec du matériel produit en Israël ? » « À mon avis, ce serait aller trop loin », conclut-il. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 8 août Share Posté(e) le 8 août Il y a 1 heure, Titus K a dit : Ce pourrait être la nouvelle frégate de la Norvège – avec des systèmes israéliens https://www.vg.no/nyheter/i/yEP19a/dette-kan-bli-norges-nye-fregatt-med-systemer-fra-israel Quatre pays sont en compétition pour fournir les nouvelles frégates de la Marine royale norvégienne. La frégate britannique Type 26 compte parmi ses sous-traitants clés des entreprises israéliennes. Points essentiels Quatre pays se disputent le contrat pour les nouvelles frégates de la Norvège, dont le Royaume-Uni avec sa Type 26. La candidate britannique utilise des systèmes de défense israéliens. Le gouvernement est sous pression après les investissements du Fonds pétrolier norvégien dans des entreprises israéliennes. Le ministère de la Défense n’a pas répondu aux questions de VG sur ces fournisseurs israéliens. Le Parlement norvégien a décidé que le pays achètera au moins cinq nouvelles frégates. Le coût total de cette flotte pourrait atteindre 125 milliards de couronnes. La décision du gouvernement est attendue cet automne. Le Royaume-Uni, la France, l’Allemagne et les États-Unis sont en lice pour ce contrat majeur. Favorite La frégate britannique est considérée comme l’une des favorites. BAE Systems construit actuellement la nouvelle flotte britannique de frégates Type 26 dans son chantier naval de Glasgow, en Écosse. L’entreprise a signé d’importants contrats avec au moins deux sociétés israéliennes pour la fourniture de systèmes de défense et de protection des Type 26, selon des recherches dans les médias spécialisés en défense. Actuellement, le gouvernement norvégien est sous pression, car le Fonds pétrolier détient des actions dans des entreprises israéliennes qui soutiennent l’effort de guerre d’Israël à Gaza et en Cisjordanie. « Mon conseil au gouvernement serait de rester très loin des composants israéliens pour les nouvelles frégates norvégiennes », déclare Raymond Johansen, secrétaire général de Norwegian People’s Aid (Norsk Folkehjelp), à VG. Entreprises israéliennes impliquées Le plus grand fournisseur de défense d’Israël, Elbit Systems, doit fournir des technologies pour la guerre électronique des nouvelles frégates. Elbit livrera également un système de surveillance pour détecter les navires ennemis pouvant menacer la frégate. Selon Janes, le contrat a été signé en 2021. En 2009, Elbit a été exclu du Fonds pétrolier norvégien. L’entreprise devait alors fournir un système de surveillance pour le mur de séparation en Cisjordanie, ce qui, selon le Conseil d’éthique du Fonds, représentait un « risque inacceptable de contribuer à de graves violations des normes éthiques fondamentales ». Elbit fournit aussi des drones à l’armée israélienne. Le Fonds pétrolier a par ailleurs investi dans la société israélienne Next Vision Stabilized Systems, qui fabrique des caméras utilisées notamment sur les drones d’Elbit. Une autre entreprise israélienne, Plasan, fournit des plaques de blindage en composite pour les frégates britanniques, un élément clé de la protection contre les missiles et autres armes. Le premier contrat avec BAE a été signé en 2018, et, selon Israel Defence, il a été étendu en 2022 à plusieurs frégates en construction. Plasan fabrique également des chars et véhicules blindés pour l’armée israélienne (IDF). Avant la guerre de 2023, l’IDF a reçu gratuitement plusieurs dizaines de véhicules blindés dans le cadre d’une « mobilisation d’urgence ». Selon les recherches de VG, aucun fournisseur israélien n’est impliqué dans les projets de frégates des autres pays candidats. Pressions politiques Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, espère que la Norvège choisira la frégate britannique. En mai, il est venu à Oslo rencontrer son homologue norvégien, Jonas Gahr Støre. Cette semaine, VG a posé au ministère de la Défense plusieurs questions sur les évaluations faites concernant les fournisseurs israéliens et sur un éventuel impact sur la sélection des frégates. Jeudi, le ministère a indiqué ne pas avoir la capacité d’y répondre pour l’instant. Faut-il chercher d’autres fournisseurs ? Raymond Johansen mène une campagne pour exclure du Fonds pétrolier les entreprises israéliennes impliquées dans des violations du droit international. « Nous ne demandons pas un boycott total des produits israéliens. Mais Elbit et Plasan fournissent directement à l’armée israélienne. Le gouvernement doit au minimum vérifier si ces entreprises et ce matériel de guerre participent à un possible génocide ou à des violations du droit international », dit-il. À la question de savoir si cela doit exclure la frégate britannique, il répond : « De toute façon, il est évident que le gouvernement doit chercher des alternatives et voir s’il existe d’autres fournisseurs pour ces systèmes. » Identiques ou pas ? Pour Ståle Ulriksen, chercheur à l’École de guerre navale, la Type 26 britannique est l’une des deux options les plus probables pour la Norvège, l’autre étant la frégate française. « Si le gouvernement ne veut absolument pas de pièces israéliennes, il est toujours possible de trouver d’autres fournisseurs d’électronique et de blindage. Mais alors, les frégates ne seraient plus totalement identiques, et on perdrait des avantages comme la maintenance commune », explique-t-il. « Faut-il éviter d’acheter des frégates avec du matériel produit en Israël ? » « À mon avis, ce serait aller trop loin », conclut-il. Je n'ai absolument pas compris où l'article veut en venir. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 8 août Share Posté(e) le 8 août il y a 3 minutes, Patrick a dit : Je n'ai absolument pas compris où l'article veut en venir. La T26 est favorite mais elle est équipée le matériels israéliens et par les temps qui courent ça fait jaser ... Donc deux solutions On choisit la T26 sans matériels israéliens avec les incertitudes et hausses de coûts que cela => On prend des FDI ... 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 8 août Share Posté(e) le 8 août il y a 15 minutes, pascal a dit : La T26 est favorite mais elle est équipée le matériels israéliens et par les temps qui courent ça fait jaser ... Donc deux solutions On choisit la T26 sans matériels israéliens avec les incertitudes et hausses de coûts que cela => On prend des FDI ... J'avais surtout le sentiment qu'ils voulaient dire que le matos Israélien dans ces frégates n'était pas une raison de les ostraciser. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) hier à 12:36 Share Posté(e) hier à 12:36 Le 08/08/2025 à 16:30, Patrick a dit : J'avais surtout le sentiment qu'ils voulaient dire que le matos Israélien dans ces frégates n'était pas une raison de les ostraciser. Non c'est présenté comme un problème par beaucoup de médias, l'info est reprise dans plein d'articles. Un exemple --> L’équipement pose problème pour le favori des frégates https://www.kystens.no/nyheter/utstyr-skaper-hodebry-for-fregatt-favoritten/2-1-1855117 Du matériel israélien pourrait bloquer l’accord sur les frégates. Cet automne, le choix devra probablement être fait. Cela pourrait être une bonne nouvelle pour le chantier naval norvégien Westcon. Quatre pays – les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France – se disputent le contrat pour fournir la nouvelle flotte de frégates de la Norvège. La facture pourrait rapidement atteindre 125 milliards de couronnes. La frégate britannique Type 26 apparaît comme l’un des deux favoris – mais embarquerait à bord du matériel provenant de deux entreprises israéliennes, selon VG, qui a révélé l’affaire. C’est l’ONG Norwegian People’s Aid qui met désormais en garde contre ces investissements. Raymond Johansen, son secrétaire général, a déclaré à VG : « Mon conseil au gouvernement serait de rester très loin de tout composant israélien dans les nouvelles frégates norvégiennes. » Une ouverture pour la France Des sources interrogées par Kystens Næringsliv estiment qu’il pourrait devenir difficile de choisir la solution britannique après la polémique autour des investissements du Fonds souverain norvégien – en particulier à l’approche des élections cet automne. Cela pourrait faire du design FDI du chantier français Naval Group le grand favori. Une victoire française serait une véritable aubaine pour Westcon. Le groupe de chantiers navals a signé en juin un protocole d’accord avec Naval Group. Le PDG de Westcon Yards, Øystein Matre, et Guillaume Weisrock de Naval Group ont signé cet accord prévoyant que Westcon assurerait la maintenance des nouvelles frégates norvégiennes si les Français remportaient l’appel d’offres. « Si la France gagne l’appel d’offres, il y aura plus d’un employé chez Westcon qui devra s’acheter un dictionnaire franco-norvégien », plaisantait Matre à l’époque. L’accord pourrait aboutir à un contrat de maintenance de longue durée pour les frégates – si les Français l’emportent. Aujourd’hui, Matre reste prudent : « Nous restons calmes et attendons. Je crois que c’est ce que fait toute l’industrie », a-t-il déclaré à Kystens Næringsliv. Le directeur de l’association des chantiers navals norvégiens, Asle Strønen, ne souhaite pas non plus commenter : « En tant qu’organisation professionnelle, nous ne prenons pas position sur les sous-traitants dans le dossier des frégates. » Un précédent avec le Fonds souverain La Type 26 britannique, construite par BAE Systems en Écosse, utilise des technologies fournies par les entreprises israéliennes Elbit Systems et Plasan. Elbit avait déjà été exclue en 2009 des investissements du Fonds souverain norvégien. Cette affaire survient alors que le Fonds souverain est critiqué pour ses investissements massifs dans des entreprises israéliennes participant à l’occupation et aux opérations militaires en Cisjordanie et à Gaza. Les solutions britannique et française restent considérées comme les principales favorites. Technologie norvégienne à bord Il y a également de la technologie norvégienne à bord, moins controversée : en mai, Kystens Næringsliv rapportait que Umoe Mandal avait livré des mâts en composite à BAE Systems pour la première frégate Type 26, le HMS Glasgow. Elbit fournit des systèmes de guerre électronique et de surveillance, tandis que Plasan livre des blindages composites pour les frégates britanniques. Le problème de la standardisation Un point sensible reste la question de savoir si l’avantage de disposer de navires standardisés, similaires à ceux d’autres pays de l’OTAN, disparaîtrait si la Norvège choisissait d’autres équipements à bord. Cela pourrait rendre difficile une solution basée sur des adaptations. Le ministère norvégien de la Défense n’a pas commenté les évaluations faites concernant les sous-traitants dans les différentes offres. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Patrick Posté(e) hier à 12:41 C’est un message populaire. Share Posté(e) hier à 12:41 il y a 2 minutes, Titus K a dit : Non c'est présenté comme un problème par beaucoup de médias, l'info est reprise dans plein d'articles. Un exemple --> L’équipement pose problème pour le favori des frégates https://www.kystens.no/nyheter/utstyr-skaper-hodebry-for-fregatt-favoritten/2-1-1855117 Du matériel israélien pourrait bloquer l’accord sur les frégates. Cet automne, le choix devra probablement être fait. Cela pourrait être une bonne nouvelle pour le chantier naval norvégien Westcon. Quatre pays – les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France – se disputent le contrat pour fournir la nouvelle flotte de frégates de la Norvège. La facture pourrait rapidement atteindre 125 milliards de couronnes. La frégate britannique Type 26 apparaît comme l’un des deux favoris – mais embarquerait à bord du matériel provenant de deux entreprises israéliennes, selon VG, qui a révélé l’affaire. C’est l’ONG Norwegian People’s Aid qui met désormais en garde contre ces investissements. Raymond Johansen, son secrétaire général, a déclaré à VG : « Mon conseil au gouvernement serait de rester très loin de tout composant israélien dans les nouvelles frégates norvégiennes. » Une ouverture pour la France Des sources interrogées par Kystens Næringsliv estiment qu’il pourrait devenir difficile de choisir la solution britannique après la polémique autour des investissements du Fonds souverain norvégien – en particulier à l’approche des élections cet automne. Cela pourrait faire du design FDI du chantier français Naval Group le grand favori. Une victoire française serait une véritable aubaine pour Westcon. Le groupe de chantiers navals a signé en juin un protocole d’accord avec Naval Group. Le PDG de Westcon Yards, Øystein Matre, et Guillaume Weisrock de Naval Group ont signé cet accord prévoyant que Westcon assurerait la maintenance des nouvelles frégates norvégiennes si les Français remportaient l’appel d’offres. « Si la France gagne l’appel d’offres, il y aura plus d’un employé chez Westcon qui devra s’acheter un dictionnaire franco-norvégien », plaisantait Matre à l’époque. L’accord pourrait aboutir à un contrat de maintenance de longue durée pour les frégates – si les Français l’emportent. Aujourd’hui, Matre reste prudent : « Nous restons calmes et attendons. Je crois que c’est ce que fait toute l’industrie », a-t-il déclaré à Kystens Næringsliv. Le directeur de l’association des chantiers navals norvégiens, Asle Strønen, ne souhaite pas non plus commenter : « En tant qu’organisation professionnelle, nous ne prenons pas position sur les sous-traitants dans le dossier des frégates. » Un précédent avec le Fonds souverain La Type 26 britannique, construite par BAE Systems en Écosse, utilise des technologies fournies par les entreprises israéliennes Elbit Systems et Plasan. Elbit avait déjà été exclue en 2009 des investissements du Fonds souverain norvégien. Cette affaire survient alors que le Fonds souverain est critiqué pour ses investissements massifs dans des entreprises israéliennes participant à l’occupation et aux opérations militaires en Cisjordanie et à Gaza. Les solutions britannique et française restent considérées comme les principales favorites. Technologie norvégienne à bord Il y a également de la technologie norvégienne à bord, moins controversée : en mai, Kystens Næringsliv rapportait que Umoe Mandal avait livré des mâts en composite à BAE Systems pour la première frégate Type 26, le HMS Glasgow. Elbit fournit des systèmes de guerre électronique et de surveillance, tandis que Plasan livre des blindages composites pour les frégates britanniques. Le problème de la standardisation Un point sensible reste la question de savoir si l’avantage de disposer de navires standardisés, similaires à ceux d’autres pays de l’OTAN, disparaîtrait si la Norvège choisissait d’autres équipements à bord. Cela pourrait rendre difficile une solution basée sur des adaptations. Le ministère norvégien de la Défense n’a pas commenté les évaluations faites concernant les sous-traitants dans les différentes offres. Nouveau "piratage" de Naval Group, avec cette fois des photos de Pierre Eric Pommelet aux côtés de sa maîtresse et des plans secrets du sauna du Charles de Gaulle (alimenté par le circuit primaire d'un K-15) dans 3, 2, 1... 4 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
OysterCultist Posté(e) il y a 14 heures Share Posté(e) il y a 14 heures (modifié) Bizarre cet argument de l'exclusion du fonds souverain. Safran, Lockheed, Boeing, Airbus etc... sont exclus car ils participent à la production d'armes nucléaires. (Alors que BAe n'est plus dans la liste alors qu'ils bossent sur le Trident... leurs décisions sont nébuleuses pour ne pas dire incohérentes) Ca n'empeche pas le gouvernement Norvégien de travailler avec ces entreprises. Modifié il y a 14 heures par OysterCultist 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Beachcomber Posté(e) il y a 10 heures Share Posté(e) il y a 10 heures (modifié) Tout cela reste de la com, donc du vent, mais il transpire quand même quelques interrogations bien naturelles de ces articles. Concernant le fond souverain norvégien, ils viennent d'annoncer s'être retirés de toutes les entreprises israéliennes liées à la guerre en cours à Gaza. Ils ont communiqué après, donc à leur habitude sans avoir provoqué de krach ou de mouvement de panique et en faisant les choses lentement mais sûrement. C'est logique, leur fond souverain est le plus puissant au monde (1,5% de l'économie mondiale, c'est énorme). C'est donc une arme économique et politique majeure, et BAE a dû bien recevoir le message transmis. Leur problème semble être la standardisation. Autre source d'inquiétude pour BAE puisque si une alliance RU, Canada, Norvège a du sens, le fait d'avoir des options différentes pose forcément problème. Maintenant l'offre française : ils nous prennent pour des latins, pour être polis, et ont déjà testé des bateaux espagnols. Je dirais qu'ils doivent penser que les latins font des jolis bateaux, qui coulent juste quand on les effleure, et qu'il est temps de re-travailler avec des gens sérieux, teutons ou anglo-saxons... Sauf que les offres de ces partenaires habituels ne sont pas au rdv question timing. Ça doit donc phosphorer sévère dans les crânes, avec la possibilité sans aucun doute poussée par la France de faire un package scandinave danois, norvégien, suédois autour de la FDI. Avec offre de standardisation et maintenance locale. Ça a évidemment du sens. Ça explique aussi les injonctions ministérielles à MBDA de passer la surmultipliée au niveau des missiles Aster, ou le test réel d'explosion sous-marine sur une FLF récemment. Histoire de montrer un peu de sérieux et de savoir-faire. Reste le fond du problème : ces pays ne nous font pas confiance pour gérer leur défense, alors que les US et leurs affidés britanniques l'avaient à 100% avant l'élection de Trump. Ce n'est donc, de mon point de vue, pas une question de matériel. Modifié il y a 10 heures par Beachcomber 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures (modifié) Il y a 19 heures, Titus K a dit : Non c'est présenté comme un problème par beaucoup de médias, l'info est reprise dans plein d'articles. Un exemple --> L’équipement pose problème pour le favori des frégates https://www.kystens.no/nyheter/utstyr-skaper-hodebry-for-fregatt-favoritten/2-1-1855117 Du matériel israélien pourrait bloquer l’accord sur les frégates. Cet automne, le choix devra probablement être fait. Cela pourrait être une bonne nouvelle pour le chantier naval norvégien Westcon. Quatre pays – les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France – se disputent le contrat pour fournir la nouvelle flotte de frégates de la Norvège. La facture pourrait rapidement atteindre 125 milliards de couronnes. La frégate britannique Type 26 apparaît comme l’un des deux favoris – mais embarquerait à bord du matériel provenant de deux entreprises israéliennes, selon VG, qui a révélé l’affaire. C’est l’ONG Norwegian People’s Aid qui met désormais en garde contre ces investissements. Raymond Johansen, son secrétaire général, a déclaré à VG : « Mon conseil au gouvernement serait de rester très loin de tout composant israélien dans les nouvelles frégates norvégiennes. » Une ouverture pour la France Des sources interrogées par Kystens Næringsliv estiment qu’il pourrait devenir difficile de choisir la solution britannique après la polémique autour des investissements du Fonds souverain norvégien – en particulier à l’approche des élections cet automne. Cela pourrait faire du design FDI du chantier français Naval Group le grand favori. Une victoire française serait une véritable aubaine pour Westcon. Le groupe de chantiers navals a signé en juin un protocole d’accord avec Naval Group. Le PDG de Westcon Yards, Øystein Matre, et Guillaume Weisrock de Naval Group ont signé cet accord prévoyant que Westcon assurerait la maintenance des nouvelles frégates norvégiennes si les Français remportaient l’appel d’offres. « Si la France gagne l’appel d’offres, il y aura plus d’un employé chez Westcon qui devra s’acheter un dictionnaire franco-norvégien », plaisantait Matre à l’époque. L’accord pourrait aboutir à un contrat de maintenance de longue durée pour les frégates – si les Français l’emportent. Aujourd’hui, Matre reste prudent : « Nous restons calmes et attendons. Je crois que c’est ce que fait toute l’industrie », a-t-il déclaré à Kystens Næringsliv. Le directeur de l’association des chantiers navals norvégiens, Asle Strønen, ne souhaite pas non plus commenter : « En tant qu’organisation professionnelle, nous ne prenons pas position sur les sous-traitants dans le dossier des frégates. » Un précédent avec le Fonds souverain La Type 26 britannique, construite par BAE Systems en Écosse, utilise des technologies fournies par les entreprises israéliennes Elbit Systems et Plasan. Elbit avait déjà été exclue en 2009 des investissements du Fonds souverain norvégien. Cette affaire survient alors que le Fonds souverain est critiqué pour ses investissements massifs dans des entreprises israéliennes participant à l’occupation et aux opérations militaires en Cisjordanie et à Gaza. Les solutions britannique et française restent considérées comme les principales favorites. Technologie norvégienne à bord Il y a également de la technologie norvégienne à bord, moins controversée : en mai, Kystens Næringsliv rapportait que Umoe Mandal avait livré des mâts en composite à BAE Systems pour la première frégate Type 26, le HMS Glasgow. Elbit fournit des systèmes de guerre électronique et de surveillance, tandis que Plasan livre des blindages composites pour les frégates britanniques. Le problème de la standardisation Un point sensible reste la question de savoir si l’avantage de disposer de navires standardisés, similaires à ceux d’autres pays de l’OTAN, disparaîtrait si la Norvège choisissait d’autres équipements à bord. Cela pourrait rendre difficile une solution basée sur des adaptations. Le ministère norvégien de la Défense n’a pas commenté les évaluations faites concernant les sous-traitants dans les différentes offres. Pour moi c'est un article très favorable à la FDI. Il s'agit de rendre les Type 26 difficiles à porter politiquement et médiatiquement parlant à cause des équipements israéliens. A l'inverse l'article montre que l'industrie norvégienne attend que la FDI soit désignée et que politiquement çà serait très porteur. L'article va jusqu'à couper l'herbe sous le pied des T26 en disant qu'un simple changement d''équipement serait contraire à la notion de standardisation des équipements dans l'OTAN. J'aime bien aussi quand l'article mentionne que "VG" a fait des recherches sur l'équipement israélien comme si ils indiquaient être en guerre pour la FDI. WESTCON semble être le financeur de ce lobbying très actif vu comment il est cité en tête de l'article. Modifié il y a 7 heures par herciv 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) il y a 8 heures Share Posté(e) il y a 8 heures Quand on en est à ce genre d'arguments, il y a trois interprétations, de la pire à la meilleure: 1. C'est quasiment perdu et on essaye de lancer une boule puante pour inverser la décision; 2. L'hésitation de l"acheteur est extrême, un argument nouveau peut faire pencher la balance du bon coté; 3. le choix de la FDI est certain, on utilise cet argument gcomme un critère de plus. Bref on est dans le brouillard, et cet argumentation me semble être d'un niveau plus bas que la ceinture. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 7 heures Share Posté(e) il y a 7 heures (modifié) il y a 44 minutes, Alberas a dit : Bref on est dans le brouillard, et cet argumentation me semble être d'un niveau plus bas que la ceinture. 4 - C'est du lobbying qui a deux objectifs : maintenir la pression et préparer les contre-attaques politiques et médiatiques le cas échéant le choix de la FDI et donc les articles et les plaintes inhérentes à un tel choix. Le principal argument étant que "L'industrie soutient ce deal" et se mouille dors et déjà. Modifié il y a 7 heures par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) il y a 7 heures Share Posté(e) il y a 7 heures il y a 38 minutes, herciv a dit : 4 - C'est du lobbying qui a deux objectifs : maintenir la pression et préparer les contre-attaques politiques et médiatiques le cas échéant le choix de la FDI et donc les articles et les plaintes inhérentes à un tel choix. Le principal argument étant que "L'industrie soutient ce deal" et se mouille dors et déjà. Donc tu te places dans le cas d'un choix de la FDI Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures Il y a 4 heures, Alberas a dit : Donc tu te places dans le cas d'un choix de la FDI Oui Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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