ogo Posté(e) le 22 octobre 2018 Share Posté(e) le 22 octobre 2018 Il y a 6 heures, ARMEN56 a dit : Sinon , suggère d’aller faire un tour à bord du Triomphant via lien col bleu plus haut et d’examiner de près ( parquet , plafond , parois ..) les dispositions discrétions acoustiques dont attaches et suspensions en tout genre. Visite sans badge que je trouve du reste un peu déconcertante ...m' enfin !? En coursive centrale, on y trouve même une notice explicative pour les "berceaux suspendus" Citation Ensemble regroupant les installations générant des bruits et vibrations importantes (machines sonorisantes (???), circuits subissant des « coups de bélier », …) Il est monté ( ???) sur un système d’amortisseurs qui permet de ne pas transmettre les bruits et vibrations à la coque du sous-marin Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PolluxDeltaSeven Posté(e) le 22 octobre 2018 Share Posté(e) le 22 octobre 2018 Le 03/10/2018 à 15:17, xav a dit : Here is the First Image of the French Navy Next Generation SSBN - SNLE 3G https://www.navyrecognition.com/index.php/news/defence-news/2018/october-2018-navy-naval-defense-news/6538-here-is-the-first-image-of-the-french-navy-next-generation-ssbn-snle-3g.html Des indiscrétions que j'ai pu recueillir, la différence de taille ne serait que de 5-6m, le dessin suggérant plutôt 10m de différence. Mais à mon avis cette illustration est à prendre avec d'énormes pincettes ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 22 octobre 2018 Share Posté(e) le 22 octobre 2018 il y a une heure, ogo a dit : n coursive centrale, on y trouve même une notice explicative pour les "berceaux suspendus" J’avais vu , que des généralités Par exemple , une électo-pompe avec ses modes de fréquence est une machine sonorisante , un bruiteur et on doit faire ce qu’il faut pour que çà ne transfère pas vers l’extérieur par des découplages ; suspensions élastiques , flexibles , manchons compensateur , capotage ….etc les circuits fluides , air , eau , huile sont tracés en moindre pertes de charges , et moindre singularités bruyantes avec même des silencieux , et le tout intégré en berceau en respectant les règles d'éloignement ....etc http://events.femto-st.fr/sites/femto-st.fr.GdR-META/files/content/Documents/Reunion_Lancement/2016 01 22 GdR_META_ASM_Rev1_diffusion.pdf Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 23 octobre 2018 Share Posté(e) le 23 octobre 2018 Le concept SMX 31 est le navire qui manque à notre MN , bien plus qu'un second PA. C'est le pendant parfait "with a french touch" au concept de "large scale submarine" youesses https://www.meretmarine.com/fr/content/le-sous-marin-du-futur-selon-naval-group Citation Pendant plus d’un an, les ingénieurs de Naval Group ont planché sur l’avenir des sous-marins. Un travail qui va au-delà du simple « concept ship » puisqu’il a été conduit comme n’importe quel programme réel. « C’est un vrai bateau qui a fait l’objet de vraies études. Révélation Ce sous-marin du futur a été baptisé SMX 31. Il s’agit d’un bateau d’environ 70 mètres et 3000 tonnes... Le SMX 31 est également un sous-marin dont la largeur est très importante. Elle atteint en effet 13 mètres, soit presque moitié plus que sa hauteur... Au final, on estime qu’un sous-marin comme le SMX 31 pourrait surveiller une zone 10 fois plus étendue que ce que l’on fait aujourd’hui et que de tels sous-marins classiques dépasseraient en la matière les performances des bâtiments actuels à propulsion nucléaire ». Au final, le sous-marin pourrait donc se transformer en plateforme de déploiement de capteurs et de traitement de données, ses moyens déportés effectuant l’essentiel du travail ... Sous-marin à propulsion classique, le SMX 31 emploie une nouvelle génération de propulseurs et, comme source d’énergie, s’appuie sur des piles à combustible et des batteries de très fortes capacités dérivées de celles existantes employant la technologie lithium-ion. Pour gagner de la place et accroître les performances, les ingénieurs ont notamment imaginé des batteries stockées à l’extérieur de la coque épaisse, en reprenant certaines techniques de l’offshore, comme les bains d’huile. La capacité des batteries du SMX 31 est présentée comme six fois supérieure à ce qui existe aujourd’hui. « Le sous-marin a tellement d’énergie qu’il peut rester 40 jours sous l’eau à une vitesse de patrouille classique (de l’ordre de 6 nœuds, ndlr) ». En matière de collecte des renseignements, le SMX 31 est équipé de senseurs très puissants et, comme on l’a vu, de nombreux moyens déportés. L’une des originalités du bâtiment réside dans l’intégration, à l’arrière, d’une soute à drones, capable d’accueillir des engins de différentes tailles, notamment des UUV de gabarit torpille ou autres... Le déploiement des nageurs de combat et de certains robots se fait quant à lui via une ouverture sous le bateau, qui n’est autre qu’une « moon pool »... ... Il y a à bord des locaux dédiés pour les commandos et leur matériel, pas moins de 21 couchages étant prévus en plus de ceux de l’équipage. Il est conçu pour être mis en œuvre par un équipage très réduit, de 15 marins seulement, dont 3 officiers, le sous-marin pouvant accueillir un maximum de 36 personnes. Le garage à drones est partiellement mutualisé avec la soute principale pour l’armement, le SMX 31 étant conçu pour pouvoir embarquer jusqu’à 46 armes, ce qui est énorme. Il y a notamment là des torpilles lourdes, des missiles antinavire ou encore des missiles de croisière, avec bien entendu la possibilité de mouiller des mines. En plus de cette partie arrière, d’autres tubes sont situés à l’avant du sous-marin. .. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 23 octobre 2018 Share Posté(e) le 23 octobre 2018 Il y a 2 heures, BPCs a dit : Le concept SMX 31 est le navire qui manque à notre MN , bien plus qu'un second PA. ils n'ont pas le même rôle ni les mêmes outils Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 23 octobre 2018 Share Posté(e) le 23 octobre 2018 Il y a 2 heures, BPCs a dit : Le SMX 31 est également un sous-marin dont la largeur est très importante. Elle atteint en effet 13 mètres, soit presque moitié plus que sa hauteur... Vue longitudinale semble révéler deux coques épaisses communiquant par sas ; coques épaisses circulaires ,rectangulaires ? quelle immersion ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) le 23 octobre 2018 Share Posté(e) le 23 octobre 2018 il y a une heure, pascal a dit : ils n'ont pas le même rôle ni les mêmes outils Mais l'évolution des moyens de détection de même que les contraintes budgétaires amèneront probablement des choix entre un programme et un autre... Cela a déjà été le cas précédemment. il y a 56 minutes, ARMEN56 a dit : Vue longitudinale semble révéler deux coques épaisses communiquant par sas ; coques épaisses circulaires ,rectangulaires ? quelle immersion ? Oui des coques épaisses rondes comme des camemberts (ou plutôt des chaources) communiquant via un sas. Pas de précision sur l'immersion mais le concept est vendu comme pouvant se poser et rester longtemps au fond. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 23 octobre 2018 Share Posté(e) le 23 octobre 2018 Article sur la construction en cours des Suffren : https://actu.fr/normandie/cherbourg-en-cotentin_50129/le-president-naval-group-fait-point-sur-marche-sous-marins_19189729.html/amp Cinq navires sont en cours de construction sur le site de Cherbourg, à différents stades d’avancement. Pour le Duguay-Trouin, deuxième de la série, la partie avant du navire a rejoint l’atelier d’assemblage, à côté du Suffren. Nous avons procédé à des jonctions de blocs et à l’embarquement de nombreux équipements, dont la chaufferie réalisée par nos équipes de Nantes. Les premiers blocs du troisième, le Trouville, ont été réalisés. Des sections ont été jonctionnées, et des éléments importants de la cuve de chaufferie ont été assemblés cet été. Le De Grasse a vu sa construction débuter fin 2016. Enfin, les premières tôles du cinquième, le Rubis, sont en production. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 26 octobre 2018 Share Posté(e) le 26 octobre 2018 Le 23/10/2018 à 09:43, BPCs a dit : Oui des coques épaisses rondes comme des camemberts (ou plutôt des chaources) communiquant via un sas. Pas de précision sur l'immersion mais le concept est vendu comme pouvant se poser et rester longtemps au fond. Quelques données dont l’immersion de 250 m. A cette profondeur les lois de la physique recommandent de l’annulaire pour la coque épaisse, vaut mieux. Design épuré de mammifère marins dans ses lignes à moindre appendice, réduction des bruits hydro , plus de massif ….etc Images ; extraits reportage twitter du Marquis de seignelay ( merci ) https://twitter.com/FauteuilColbert/status/1054701309369171968 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 31 octobre 2018 Auteur Share Posté(e) le 31 octobre 2018 Selon député JC Larsonneur, le calendrier du programme de SNLE 3G, successeur des SNLE de classe le Triomphant, est "aujourd’hui en question", en raison des 3 ans de retard du sous-marin nucléaire d’attaque (SNA) Barracuda qui occupe le chantier de Naval Group à Cherbourg 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 1 novembre 2018 Share Posté(e) le 1 novembre 2018 Les tuile de la peau du sous marin sont des hydrophone visiblement ... ... les pompe hélice sont mise en mouvement par la jante et non par le moyeu. Il y a des module armement partout ... devant, derriere, au milieur, dessus ... 8 tubes a l'avant ... 4 tubes a l'arriere - plus 4 torpilles de recharge a priori -. 6 VLS a l'avant ... plus a priori 12 VLS de chaque coté au milieu ... ca fait 46. 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 1 novembre 2018 Share Posté(e) le 1 novembre 2018 On notera aussi la forme des appendices hydro ... comme des nageoire de baleine, avec une sorte d'indentation. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 1 novembre 2018 Share Posté(e) le 1 novembre 2018 c'est la chenille d'Octobre Rouge ! en tout cas le concept est très intéressant et semble particulièrement automatisé Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 1 novembre 2018 Share Posté(e) le 1 novembre 2018 Il est tout simplement surarmé. Je ne sais pas si c'est une bonne ou une mauvaise chose, mais en tout cas avec tout cet arsenal, je le vois plus dans un rôle de bâtiment de harcèlement que de contrôle de zone littorale ou d'insertion de commandos, ce à quoi sa propulsion et sa profondeur d'immersion maximale relativement modeste semblait pourtant le destiner. Imaginez du missile anti-navire à vol rasant dans ces silos, si l'engin est assez discret et suffisamment bien doté en capteurs divers, être en mesure d'engager des flottes de surface va être son pain quotidien. Et je ne parle pas d'éventuels SAM emportés eux-aussi en cocon, du fait de la présence potentielle, avec la bouée drone, d'un système de radar ou de capteur optique 360° à la surface de l'eau par exemple. Naval Group parle d'un petit équipage, est-ce que ce serait malgré tout suffisant pour simplement opérer tout ces systèmes à la fois et traiter certaines données qui ne peuvent pas l'être par ordinateu grâce à des bibliothèques de menaces? Parce que de ce que j'en vois c'est au moins le quart de l'équipage qui devra être constitué "d'oreilles d'or" pour écouter tout ce que les divers sonars vont pouvoir capter en environnement de combat. Bref un beau concept comme le SMX25, mais y-a-t-il seulement un marché pour ça? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. g4lly Posté(e) le 1 novembre 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 1 novembre 2018 1 hour ago, pascal said: c'est la chenille d'Octobre Rouge ! en tout cas le concept est très intéressant et semble particulièrement automatisé L'équipage est très réduit ... seulement 15 personnes ... même pour un SSK de 70m c'est très peu. 34 minutes ago, Patrick said: Bref un beau concept comme le SMX25, mais y-a-t-il seulement un marché pour ça? L'objectif c'est surtout de montrer de DCNS travaille, et propose des briques techno et tactique utile ... en gros on a un démonstrateur de technologie. Il y a des pistes intéressante ... comme le quasi abandon des recharge pour torpille ... et a la place pléthore de tube préchargé. Le retour en grave des tube verticaux ... modulaire ... les VLS a priori peuvent céder la place a un sac à dos intégré transportant des véhicule sous-marin plus complexe qu'un engin de la taille d'une torpille. L'absence de massif et l'aspect "plat" plus la formule cachalot ... intéresse les opération par "petit" fond - du moins des fond suffisamment hauts pour que le sous marin puisse s'y poser soit grosso modo moins de 300m -. On note ici la parenté avec le SMX-26 ... surveillance de longue durée ... déploiement rapide de nageurs de combat. Le SMX-26 était donné pour 40m de long, 15 de large, 8 de haut ... pouvait naviguer dans des eaux de seulement 12m de profondeur. Il était notoirement peu armé avec seulement 2 torpilles lourdes. Un mat missile ou canon... et des tube pour torpille légère - peut être un modèle plus dédié a l’anti-navire que les modèle tres typé anti sous marin proposés actuellement - ou engin de taille équivalente - on pense a des mines par exemple -. Le concept-ship SMX-31 lui offre un grand frère avec la possibilité d’être sérieusement armé pour l'action vers la terre a base de missile ou drone kamikaze et l'anti-navire a base de missile - via les 30 VLS - . 1 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
LBP Posté(e) le 1 novembre 2018 Share Posté(e) le 1 novembre 2018 Il y a 11 heures, g4lly a dit : Les tuile de la peau du sous marin sont des hydrophone visiblement ... ... les pompe hélice sont mise en mouvement par la jante et non par le moyeu. Il y a des module armement partout ... devant, derriere, au milieur, dessus ... 8 tubes a l'avant ... 4 tubes a l'arriere - plus 4 torpilles de recharge a priori -. 6 VLS a l'avant ... plus a priori 12 VLS de chaque coté au milieu ... ca fait 46. On dirait un cachalot. On retourne dans le passé avec une salle des torpilles arrière. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ponto Combo Posté(e) le 28 novembre 2018 Share Posté(e) le 28 novembre 2018 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 28 novembre 2018 Share Posté(e) le 28 novembre 2018 On 11/1/2018 at 2:03 PM, LBP said: On dirait un cachalot. On retourne dans le passé avec une salle des torpilles arrière. Il faut peut être y voir une contre mesure envisageable contre les solutions de détection satellitaire de sillage en surface. Il est pas impossible qu'un sous marin aplati et sans kiosque génère nettement moins de mouvement décelable en surface qu'un sous marin tubulaire. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 29 novembre 2018 Auteur Share Posté(e) le 29 novembre 2018 Le Suffren sera livré en 2020, soit avec trois ans de retard. "Ce n'est pas une trottinette mais un engin difficile à construire", avait rappelé le chef d'état-major de la marine Christophe Prazuck en 2017 Le programme Barracuda étant chiffré à 9,1 milliards d'euros (source DGA). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PolluxDeltaSeven Posté(e) le 29 novembre 2018 Share Posté(e) le 29 novembre 2018 Petite question à nos amis connaisseurs. J'avais eu la réponse auprès de DCNS en 2016, mais j'avoue que j'ai oublié depuis. Quelle est la capacité d'emport en armes des Suffren? Il me semble que c'est quelque chose comme 20-24 armes, mais je ne me souviens plus exactement. Par comparaison, les Rubis c'est quoi? 14 ou 16 torpilles/missiles non? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 29 novembre 2018 Share Posté(e) le 29 novembre 2018 De mauvaise mémoire, c'était quelque chose comme ça : 20 armes en "magasin" et possiblement 4 en tubes. Les Rubis sont donnés pour 14 torpilles et 2 missiles. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 29 novembre 2018 Share Posté(e) le 29 novembre 2018 13 minutes ago, FATac said: De mauvaise mémoire, c'était quelque chose comme ça : 20 armes en "magasin" et possiblement 4 en tubes. Les Rubis sont donnés pour 14 torpilles et 2 missiles. Les Rubis c'est 10+4 ... Les Suffren c'est a priori 20+4 ... Le +4 correspondant au 4 tube pleins. Pour comparer les Seawolf c'est 42+8 ... mais ils sont presque deux fois plus gros. Les Virgina c'est 27+4 ... plus 12 VLS sur les premier ... et encore 28 VLS - 4 gros tubes de 7 tube - de plus sur le block 5. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) le 29 novembre 2018 Share Posté(e) le 29 novembre 2018 ça me fait penser que j'aimerais bien savoir, hors exercice de tir combien la France a tiré de torpille depuis disons 30/40ans... Et s'ils ont déjà été ciblé etc. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. g4lly Posté(e) le 29 novembre 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 29 novembre 2018 Hernu préférait les nageurs de combat ... 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Philippe Top-Force Posté(e) le 30 novembre 2018 Auteur Share Posté(e) le 30 novembre 2018 Sur le chantier des sous-marins de classe Suffren à Cherbourg https://www.meretmarine.com/fr/content/sur-le-chantier-des-sous-marins-de-classe-suffren-cherbourg 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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