BPCs Posté(e) le 31 octobre 2018 Share Posté(e) le 31 octobre 2018 (modifié) Il y a 2 heures, Picdelamirand-oil a dit : Oui mais il y a des élections au milieu. Est-ce que dans les faits, ce choix du f-35 et ses magouilles sous jacentes sont un sujet exploité par l'opposition pour tacler la coalition coalition en place ? Cela m'a un peu surpris ce choix phase pré-électorale car l'argument du "c'est du fric jeté en l'air" est facilement facilement porteur ... Modifié le 31 octobre 2018 par BPCs Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 31 octobre 2018 Share Posté(e) le 31 octobre 2018 3 hours ago, zx said: 2023, juste avant le gros patch du block 4, LM va se régaler. Petit rappel du calendrier... Ca fera toujours quelques clicks sur le site http://www.portail-aviation.com/blog/2017/03/29/appel-doffres-belge-pour-de-nouveaux-avions-de-combat-multiroles-decodage/ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MrBlue Posté(e) le 31 octobre 2018 Share Posté(e) le 31 octobre 2018 (modifié) il y a 12 minutes, prof.566 a dit : Petit rappel du calendrier... Ca fera toujours quelques clicks sur le site http://www.portail-aviation.com/blog/2017/03/29/appel-doffres-belge-pour-de-nouveaux-avions-de-combat-multiroles-decodage/ Le lien vers l'article Rafale F4 est mort. Modifié le 31 octobre 2018 par MrBlue Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 31 octobre 2018 Share Posté(e) le 31 octobre 2018 (modifié) 8 minutes ago, MrBlue said: Le lien vers l'article Rafale F4 est mort. bizarr. Je vais voir. En attendant (je rappelle que c'était avant la grosse interview de la DGA sur le F4) https://www.portail-aviation.com/blog/2017/03/22/le-rafale-f4-a-lhorizon/ Edit : réparé, merci. Modifié le 31 octobre 2018 par prof.566 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bat Posté(e) le 31 octobre 2018 Share Posté(e) le 31 octobre 2018 Il y a 5 heures, BPCs a dit : Est-ce que dans les faits, ce choix du f-35 et ses magouilles sous jacentes sont un sujet exploité par l'opposition pour tacler la coalition coalition en place ? Cela m'a un peu surpris ce choix phase pré-électorale car l'argument du "c'est du fric jeté en l'air" est facilement facilement porteur ... Plusieurs membres/partis de l'opposition (en particulier le SP.A - socialistes flamands) ont avancé l'idée qu'il y aurait anguille sous roche, magouilles et compagnie, et force est de constater que ça a globalement fait flop. Sans doute parce que les accusateurs se sont décrédibilisés eux-mêmes en diffusant des e-mails "fuités" qui se sont avérés des faux (ou en tout cas des messages détournés de leur sens et contexte). L'argument du "c'est de l'argent jeté par la fenêtre" a été exploité, mais pas contre le F-35: contre l'idée même d'acheter un remplaçant au F-16. Après, ça n'a pas donné grand chose électoralement, et c'est normal: on n'élit pas son bourgmestre sur un tel dossier! Je note quand même que le parti qui a le plus progressé en Wallonie (le PTB marxiste-léniniste vaguement post-stalinien) est aussi le plus opposé à tout investissement dans la Défense. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 31 octobre 2018 Share Posté(e) le 31 octobre 2018 (modifié) On peut reprocher beaucoup de choses au PTB, maintenant cette antienne qui veut que le parti soit plus ou moins stalinien ou post-stalinien est assez infondée. C'est clairement un parti de gauche (comme le PS l'a été avant de prendre le virage de la mondialisation et du libéralisme débridé), mais les accusations qui disent que "le PTB c'est Cuba-la Corée du Nord-Staline" sont assez ridicules. Et, paradoxalement, favorisent le PTB qui a force de se faire caricaturer, en devient sympathique. Si on lit son programme, ce que j'ai fait, c'est simplement le programme du PS du début du vingtième siècle. Pas une hagiographie de Staline ou de la Corée du Nord. ------ Concernant le F-35 et son choix, difficile de dénoncer des magouilles… qui n'ont jamais été prouvées (pas de traces de pots-de-vin par exemple). Son choix résulte de décisions politiques certes contestables, mais légales. Modifié le 31 octobre 2018 par Kiriyama Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 31 octobre 2018 Share Posté(e) le 31 octobre 2018 Nom, mais tu peux avoir des super postes chez LM ou à l'otan, etc... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Bat Posté(e) le 31 octobre 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 31 octobre 2018 (modifié) Il y a 2 heures, Kiriyama a dit : On peut reprocher beaucoup de choses au PTB, maintenant cette antienne qui veut que le parti soit plus ou moins stalinien ou post-stalinien est assez infondée. C'est totalement HS sur ce fil, donc je fais court et on ne va pas polémiquer là-dessus, mais historiquement et jusqu'il y a peu (2008), le parti condamnait officiellement "le révisionnisme khrouchtchévien de l'œuvre du Camarade Staline" (et Gorbatchev était qualifié de "révisionniste petit-bourgeois"). Alors, certes, depuis, le parti a cherché à s'ouvrir, se rajeunir, s'ancrer dans une approche (un peu) moins doctrinale avec un programme concret clairement de gauche, qui, il est vrai, n'est pas sans rappeler celui des partis socialistes du début du XXè siècle (avant la césure socialisme/communisme) depuis qu'il ne cite plus les auteurs marxistes-léninistes habituels et ne contient plus son préambule et les statuts du parti qui expliquent sa vision de la société. Il a même des militants intelligents, ouverts et sympathiques (j'en ai d'excellents parmi mes étudiants). Mais les cadres du parti n'ont, pour la plupart, pas changé. Notamment Ludo Martens (son ancien dirigeant) qui faisait encore publiquement l'apologie de Staline jusqu'à sa mort en 2011 (je te conseille ce florilège de discours/interviews —compilé par ses propres militants— présentant ses thèses et sa lecture du monte). Son actuel dirigeant, Peter Mertens, défend le modèle maoïste. Le directeur de son service d'études, David Pestieau, s'il condamne "l'excès de militarisme" et le culte de la personnalité du régime nord-coréen, trouve légitime la répression des opposants "impérialistes" et "contre-révolutionnaires" car ils seraient à la solde de l'ennemi impérialiste américain... Bref, si on creuse le vernis jeune et sympathique des brochures et du programme prônant les cantines scolaires gratuites ou des espaces verts dans les villes, on trouve aussi des choses quand même un peu plus inquiétantes. Je ne dis pas que tous ses militants et électeurs sont staliniens, mais en tant qu'organisation, le parti continue encore à se structurer aujourd'hui sur la vision très orthodoxe stalinienne de Ludo Martens. Ceci étant, je dirais que sur ce fil, peu importe l'étiquette ou ce qu'on pense de ce parti. Qu'il soit ou non "vaguement post-stalinien" comme je l'avais écrit (je n'ai pas dit qu'il était "stalinien" tout court), ce qui est important de constater, c'est qu'il a le plus progressé tout en portant un discours radicalement contre les investissements dans la défense, dont il voudrait consacrer les moyens au logement social, à la lutte contre la pauvreté et aux hôpitaux populaires. Pourquoi pas: c'est légitime, la politique est affaire de priorités et d'arbitrages en regard d'une vision de la société et il défend la sienne. La seule question qui vaille ici est: est-ce dû au rejet de la population envers le F-35 (ou le remplacement du F-16, quel que soit l'avion)? Personnellement, si cela a pu jouer à la marge dans les raisons des électeurs pour confirmer leurs choix, j'y crois assez peu. On a un vote qui semble avoir deux grands déterminants: l'ancrage local du parti qui porte des revendications concrètes dans les communes, et qui logiquement rapportent des voix à un scrutin communal (on vote pour des gens proches, qui vont changer le quartier, pas pour l'instauration de la dictature du prolétariat et la dissolution de l'armée), et un vote protestataire, notamment contre le PS jugé par une partie de l'électorat de gauche comme étant trop centriste, trop liés avec les sociaux-traîtres Humanistes (au gouvernement de la FWB notamment), et surtout trop mouillé dans les différentes affaires (Publifin et compagnie). Modifié le 31 octobre 2018 par Bat 1 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DEFA550 Posté(e) le 1 novembre 2018 Share Posté(e) le 1 novembre 2018 Je lis PTB un peu partout, ça veut dire Passage Très Bas ? (rapport au sujet) 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. herciv Posté(e) le 2 novembre 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 2 novembre 2018 (modifié) Oiseau de mauvais augure : Un article dans dedefensa écrit par un contributeur inhabituel : Yves Mollard La Bruyère http://www.dedefensa.org/article/brexit-et-belxit-la-belgique-quitte-t-elle-lue J'en reproduit ici la dernière partie. " (..) le BREXIT nous rappelle cruellement combien l’ambivalence est porteuse de tragédies, combien les proclamations atlantiques excessives devant une Europe qui a besoin de tous sont incapacitantes ; combien jouer sur plusieurs tableaux à la fois brise plus sûrement les liens entre alliés qu’un chantier politique sérieux et des engagements muris. Très ancien pratiquant des affaires de sécurité européenne, je ne compte plus les confidences de ces diplomates belges entêtés mis au pilori par leurs collègues britanniques, de préférence à la dernière minute, pour bloquer toute dynamique européenne qui ne se rangerait pas sous la bannière américaine. (..) Le F-16 fut une œuvre d’art et de maîtrise des enjeux politiques. Vainqueur à l’origine d’un programme d’étude de faisabilité pour un démonstrateur aérien léger (Light Weight Fighter), lancé sous l’impulsion d’un ancien pilote d’essai (John Boyd) et d’un ingénieur système français (Pierre Sprey) début 1971, il n’avait à l’origine aucune vocation à équiper l’aviation américaine. Fin 1973 le YF-16 de General Dynamics fut de toute urgence basculé vers un véritable programme d’avion de combat et rebaptisé pour la cause en ACF (Air Combat Fighter) : les industriels américains s’étaient avisés que plusieurs pays européens cherchaient à renouveler les tristement célèbres F-104 Starfighter. Le premier YF-16 sortit d'usine à la fin de l'année. Il fit son vol inaugural le 2 février 1974. Un an plus tard soit à la mi-1975 (on en est 18 ans pour le F-35), l’avion sortait en série des usines de General Dynamics et en 1979 l’USAF recevait ses premiers appareils certifiés. Le F-16 fut l’exact inverse du F-35 : mise au point en un temps record, léger, simple, de coût d’acquisition et d’exploitation abordable et fabriqué sur le continent pour ses clients européens. Les autorités belges se sont laissé convaincre par les experts (ceux qui ont un peu de « bouteille » connaissent bien comment fonctionne un expert) que l’Europe aura 30% des composants du F-35 sur le continent. Outre que cela se saurait (l’avion vole), on ne peut qu’être interdit devant la méconnaissance complète de la genèse du F-35 à ce niveau de responsabilité politique. La Belgique ne construira pas une miette du F-35 et ne recevra pas une miette de compensation du programme en dehors de quelques engagements de principe : les autres participants au programme bataillent déjà trop pour avoir leur part promise (et totalement « contrôlée » en techno) du processus industriel ou de maintenance. La Belgique en prime voit s’échapper toute opportunité de participation directe et entière à la modernisation des Rafales, Eurofighters ou autres Gripens, là où les bénéfices industriels eussent été considérables. Coût immédiat du BELXIT : l’ambitieux programme franco-allemand SCAF d’avion de combat européen se fera sans Belges. Le paradoxe est que quelle que soit l’indignation belge à l’égard de ce panneau d’interdiction levé par une ambassadrice lucide, le tabou viendra beaucoup moins sûrement de Paris ou de Berlin que des ingénieurs américains de chez Lockheed-Martin ou du Pentagone pour qui l’entrée dans le « club fermé » du F-35 ne saurait être compatible avec des passerelles technologiques vers les concurrents européens ! Le Royaume-Uni en a fait l’amère expérience deux fois dans son désir de travailler avec Dassault Aviation : deux bureaux d’études conjoints en dix ans, deux équipes triées sur le volet et enthousiastes, finalement paralysées par les tabous américains qui empêchaient toute participation des ingénieurs britanniques à des concepts s’approchant des technologies américaines dans lesquelles les britanniques étaient un tant soit peu engagés (furtivité sur les avions de chasse et sur le drone FR-UK Telemos, etc.) Deux essais pour rien des deux plus grandes puissances militaires européennes – interdites de fiançailles par le protecteur d’outre atlantique. Londres est resté otage de cette logique, absent sur le drone franco-italo-allemand MALE (Airbus Defence and Space, Dassault Aviation, Leonardo-Finmeccanica) ; idem pour le NeuRon européen (France, Grèce, Suède, Espagne, Italie) piloté par Dassault. Il est des coopérations qui ne sont même pas envisagées… La file d’attente pour participer au programme d’avion de combat futur britannique Tempest Concept (MBDA, Leonardo Finmeccanica…) ne saurait tarder à faire l’objet de l’attention soutenue des conservateurs américains plus vigilants que jamais sur les quelques secrets technologiques partagés avec sa Gracieuse Majesté. La Belgique a-t-elle compris le BREXIT ? Vouée à remplacer le Royaume-Uni autour de la table du Conseil européen lorsqu’il faudra verser les contributions au Plan d’action Défense [2], elle perd définitivement son statut de pays fondateur et la légitimité qui en découle. Regardée avec ironie par ses voisins néerlandais (plus francs atlantistes depuis le début) ou luxembourgeois (plus riches), elle verra arriver ses premiers « prototypes » de F-35 au moment où l’Europe de la défense aura cédé sous les coups de ses inventeurs les plus déterminés. A moins que, la situation mondiale l’imposant, les vrais Européens marquent le coup, investissent et réussissent à maintenir et développer en commun des capacités industrielles. Mais cela se fera sans le Royaume de Belgique. Économies d’échelle, développement industriel européen dans le domaine de la défense, etc. a signé encore récemment le gouvernement fédéral – sans rire. Les Américains ne partagent jamais une technologie sensible avec leurs partenaires. Allemands, Français… y sont en Europe aujourd’hui obligés et en font publiquement acte politique et de crédibilité. Cécité belge. Les Anglais avaient à composer flegmatiquement avec le « No » US. Ils s’en vont. Il restera bien une crédibilité belge au Conseil européen pour répliquer à la pluie d’offensives politico-commerciales américaines contre l’Europe. Taxer les F-35 à l’importation par exemple… BREXIT Soft et BELXIT Hard ? Monnet, Schuman, Paul-Henri Spaak et nos industriels croient rêver. " https://www.consilium.europa.eu/fr/press/press-releases/2017/06/22/euco-security-defence/ Modifié le 2 novembre 2018 par herciv 7 6 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 2 novembre 2018 Share Posté(e) le 2 novembre 2018 Oui mais comme le répétait Bourdin à la ministre des Armées, le PM belge dit qu'ils n'ont pas pu choisir le Rafale par ce que l'on n'a pas respecté la procédure, sinon bien sur que la Belgique aurait fait le meilleur choix cad le Rafale pas le F35. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Teenytoon Posté(e) le 2 novembre 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 2 novembre 2018 il y a 42 minutes, gargouille a dit : sinon bien sur que la Belgique aurait fait le meilleur choix cad le Rafale pas le F35. Oui, oui... 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bat Posté(e) le 2 novembre 2018 Share Posté(e) le 2 novembre 2018 ça n'est pas en lien direct avec la Composante Air, mais comme on a discuté et spéculé dessus plus haut: La N-VA ne propose pas Theo Francken pour succéder à Steven Vandeput à la Défense Citation La N-VA propose Sander Loones comme nouveau ministre de la Défense La N-VA a proposé vendredi le député européen et vice-président du parti Sander Loones comme nouveau ministre de la Défense et de la Fonction publique en remplacement de Steven Vandeput qui deviendra bourgmestre de Hasselt. Agé de 39 ans, M. Loones est entré au Parlement européen après les élections de 2014, en remplacement de Johan Van Overtveldt devenu ministre des Finances. Au sein de l'hémicycle de l'UE, Sander Loones s'est montré particulièrement actif en tant que membre de la commission des Affaires économiques et monétaires. Egalement chef de file de la délégation des nationalistes flamands, il a régulièrement plaidé pour que l'Europe ne s'implique que dans les domaines où elle peut véritablement démontrer une "valeur ajoutée". Dans cette optique, il défendait entre autres une baisse du prochain budget pluriannuel de l'Union, etant donné la sortie du Royaume-Uni prévue en 2019. Sur la scène nationale, M. Loones était par ailleurs impliqué au sein du think tank Objectief Vlaanderen, dont il avait pris la tête après le départ fracassant des parlementaires Veerle Wouters et Hendrik Vuye, qui reprochaient à la N-VA de ne pas consacrer suffisamment d'attention au programme communautaire. A la manoeuvre de ce think tank, M. Loones a notamment expliqué qu'il entendait créer une base de soutien plus forte pour les idées confédéralistes de son parti en Flandre, mais aussi du côté des francophones dont la participation s'avèrerait indispensable pour faire évoluer la structure institutionnelle du pays. La désignation de Sander Loones à la Défense constitue une petite surprise, alors que beaucoup pensait que la N-VA nommerait l'un de ses deux secrétaires d'Etat, Theo Francken ou Zuhal Demir, à ce poste. M. Loones, qui vient d'Oostduinkerke (commune de Coxyde), devrait prendre ses fonctions à la mi-novembre. Il deviendra ainsi le plus jeune ministre du gouvernement Michel. "Lors de la formation du gouvernement en 2014, Sander était l'un de nos plus importants négociateurs. En tant que vice-président de la N-VA, il suivait par ailleurs attentivement le travail du Fédéral", a souligné le président des nationalistes flamands, Bart De Wever. (...) Suite: https://www.rtl.be/info/belgique/politique/sander-loones-sera-le-nouveau-ministre-de-la-defense-1074008.aspx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PolluxDeltaSeven Posté(e) le 3 novembre 2018 Share Posté(e) le 3 novembre 2018 Le 02/11/2018 à 13:36, Teenytoon a dit : Oui, oui... Il n'empêche que si la France avait répondu au RfGP, les tenants du Rafale en Belgique auraient eu bien plus d'armes pour défendre l'avion français que ça n'a été le cas aujourd'hui. Dans mon article pour DSI sur l'appel d'offre belge disponible ici, je reviens sur le fait que l'argumentation de Dassault ("l'appel d'offre est taillé sur mesure pour le F-35") n'aurait pas du empêcher la France de participer. D'autant plus qu'entre la prise de décision (rapide et à l'emporte pièce) de Dassault autour de 2014 et le lancement de l'appel d'offre, BEAUCOUP de choses avaient changé sur ce marché (posture diplomatique de Trump, BREXIT, avancées sur l'Europe de la Défense, etc.). Depuis lors, j'ai eu de nouveaux échos, de nouveaux témoignages, très bien placés, en France et en Belgique. Et oui, beaucoup regrettent en Belgique que la France n'ait pas respecté les règles. Et beaucoup dans la diplomatie française reconnaissent que ça a été une énorme erreur de ne pas participer. Et la lettre de Parly à la dernière minute avec cette proposition de partenariat stratégique, c'était bel et bien une prise de conscience tardive. Sinon on aurait ET répondu au RfGP, ET proposé à côté un partenariat stratégique complet et construit autour du Rafale F4 et du SCAF. Là, on s'est planté dans les grandes largeurs, n'en déplaise à Cabirol qui préfère parler de "honte" et de "trahison" de la part de la Belgique. Si tous les éléments du dossier "Rafale en Belgique" sont révélés un jour (et je ne le ferais pas, je suis trop jeune pour m'embrouiller avec tous ces gens ! ), on verra bien que ça aura été LITTERALEMENT du même acabit que l'échec du Rafale au Maroc, avec des conséquences bien plus dramatiques sur l'Europe de la Défense et la redistribution des cartes dans l'OTAN, malheureusement. 3 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. DEFA550 Posté(e) le 3 novembre 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 3 novembre 2018 il y a 38 minutes, PolluxDeltaSeven a dit : Il n'empêche que si la France avait répondu au RfGP, les tenants du Rafale en Belgique auraient eu bien plus d'armes pour défendre l'avion français que ça n'a été le cas aujourd'hui. (...) On peut refaire le film tant qu'on veut, le résultat aurait été le même. 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kiriyama Posté(e) le 3 novembre 2018 Share Posté(e) le 3 novembre 2018 Effectivement. La France a même joué la seule carte qu'elle avait, la compétition normale étant jouée dès le départ. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TarpTent Posté(e) le 3 novembre 2018 Share Posté(e) le 3 novembre 2018 (modifié) Il y a 1 heure, PolluxDeltaSeven a dit : Il n'empêche que si la France avait répondu au RfGP, les tenants du Rafale en Belgique auraient eu bien plus d'armes pour défendre l'avion français que ça n'a été le cas aujourd'hui. Dans mon article pour DSI sur l'appel d'offre belge disponible ici, je reviens sur le fait que l'argumentation de Dassault ("l'appel d'offre est taillé sur mesure pour le F-35") n'aurait pas du empêcher la France de participer. D'autant plus qu'entre la prise de décision (rapide et à l'emporte pièce) de Dassault autour de 2014 et le lancement de l'appel d'offre, BEAUCOUP de choses avaient changé sur ce marché (posture diplomatique de Trump, BREXIT, avancées sur l'Europe de la Défense, etc.). Depuis lors, j'ai eu de nouveaux échos, de nouveaux témoignages, très bien placés, en France et en Belgique. Et oui, beaucoup regrettent en Belgique que la France n'ait pas respecté les règles. Et beaucoup dans la diplomatie française reconnaissent que ça a été une énorme erreur de ne pas participer. Et la lettre de Parly à la dernière minute avec cette proposition de partenariat stratégique, c'était bel et bien une prise de conscience tardive. Sinon on aurait ET répondu au RfGP, ET proposé à côté un partenariat stratégique complet et construit autour du Rafale F4 et du SCAF. Là, on s'est planté dans les grandes largeurs, n'en déplaise à Cabirol qui préfère parler de "honte" et de "trahison" de la part de la Belgique. Si tous les éléments du dossier "Rafale en Belgique" sont révélés un jour (et je ne le ferais pas, je suis trop jeune pour m'embrouiller avec tous ces gens ! ), on verra bien que ça aura été LITTERALEMENT du même acabit que l'échec du Rafale au Maroc, avec des conséquences bien plus dramatiques sur l'Europe de la Défense et la redistribution des cartes dans l'OTAN, malheureusement. ET il se serait passé exactement ce que Dassault ne voulait pas : que le Rafale perde sans avoir pu concourir de façon honnête et transparente face au F-35. Que je sache, une entreprise industrielle a entièrement le droit jusqu’à preuve du contraire de NE PAS participer à une compétition si elle ne le souhaite pas. Que la France (qui n’est pas Dassault !) ait ensuite voulu se positionner malgré tout dans le cadre de sa - nouvelle - vision de l’Europe de la Défense, en se précipitant un peu parce qu’elle n’avait plus vraiment de temps devant elle et que les têtes politiques venaient juste de changer, et en offrant tant bien que mal à Dassault un cadre qui lui évitait de retomber dans les travers de l’appel d’offres belge, ça ne change strictement rien à la donnée de départ, et peu importe ce qu’en pensent les politiques et diplomates de tous bords. Pourtant, tu le dis bien dans ton article, et c’est bien là LA raison essentielle (bien cachée quand même au beau milieu de ton pavé, des fois que les gens puissent se remettre en tête les circonstances de départ...) . Donc le reste, c’est juste du délayage pour le plaisir de taper sur du politique. Dassault n’aurait pas, quelles que soient les circonstances, participé au RfGP belge en l’état, point. (1) Je suis très souvent d’accord avec toi et j’apprécie vraiment la majorité de tes interventions, mais sur ce terrain-là et même si ça ne changera pas grand chose, je ne te suis pas du tout. ( (1) Je précise quand même au cas où, mais ce n’est pas un pays qui répond au RfGP, c’est une entreprise industrielle...) Modifié le 3 novembre 2018 par TarpTent 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 3 novembre 2018 Share Posté(e) le 3 novembre 2018 il y a une heure, PolluxDeltaSeven a dit : Là, on s'est planté dans les grandes largeurs, n'en déplaise à Cabirol qui préfère parler de "honte" et de "trahison" de la part de la Belgique. Si tous les éléments du dossier "Rafale en Belgique" sont révélés un jour (et je ne le ferais pas, je suis trop jeune pour m'embrouiller avec tous ces gens ! ), on verra bien que ça aura été LITTERALEMENT du même acabit que l'échec du Rafale au Maroc, avec des conséquences bien plus dramatiques sur l'Europe de la Défense et la redistribution des cartes dans l'OTAN, malheureusement. Et donc quand Boeing, pourtant boite US en odeur de sainteté au Pentagone (Block III signé, nouveaux exemplaires à venir) s'est barré en parlant de compétition biaisée, c'était du flan? Tu le mentionnes toi-même dans ton article: Citation Très vite, néanmoins, certains concurrents ont exprimé leurs doutes sur l’objectivité de cet appel d’offres, qui serait orienté en faveur du F‑35 américain. En avril 2017, Boeing renonçait à participer au RfGP, qui ne laisserait pas assez de chances à son appareil. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Boule75 Posté(e) le 3 novembre 2018 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 3 novembre 2018 (modifié) Il y a 3 heures, PolluxDeltaSeven a dit : Il n'empêche que si la France avait répondu au RfGP, les tenants du Rafale en Belgique auraient eu bien plus d'armes pour défendre l'avion français que ça n'a été le cas aujourd'hui. Dans mon article pour DSI sur l'appel d'offre belge disponible ici, je reviens sur le fait que l'argumentation de Dassault ("l'appel d'offre est taillé sur mesure pour le F-35") n'aurait pas du empêcher la France de participer. D'autant plus qu'entre la prise de décision (rapide et à l'emporte pièce) de Dassault autour de 2014 et le lancement de l'appel d'offre, BEAUCOUP de choses avaient changé sur ce marché (posture diplomatique de Trump, BREXIT, avancées sur l'Europe de la Défense, etc.). Depuis lors, j'ai eu de nouveaux échos, de nouveaux témoignages, très bien placés, en France et en Belgique. Et oui, beaucoup regrettent en Belgique que la France n'ait pas respecté les règles. Et beaucoup dans la diplomatie française reconnaissent que ça a été une énorme erreur de ne pas participer. Et la lettre de Parly à la dernière minute avec cette proposition de partenariat stratégique, c'était bel et bien une prise de conscience tardive. Sinon on aurait ET répondu au RfGP, ET proposé à côté un partenariat stratégique complet et construit autour du Rafale F4 et du SCAF. Là, on s'est planté dans les grandes largeurs, n'en déplaise à Cabirol qui préfère parler de "honte" et de "trahison" de la part de la Belgique. Si tous les éléments du dossier "Rafale en Belgique" sont révélés un jour (et je ne le ferais pas, je suis trop jeune pour m'embrouiller avec tous ces gens ! ), on verra bien que ça aura été LITTERALEMENT du même acabit que l'échec du Rafale au Maroc, avec des conséquences bien plus dramatiques sur l'Europe de la Défense et la redistribution des cartes dans l'OTAN, malheureusement. Un autre aspect pris en compte, peut être, pourrait avoir trait à la certitude que le process étant truqué dès le début dans les grandes largeurs, il n'était pas souhaitable de transmettre quelque élément confidentiel ou secrets que ce soit de crainte qu'ils ne soient immédiatement transmis à LM. Je pense notamment à tout ce qui a trait à Spectra. Quand on met bout à bout la somme des biais finalement relevés ici autour de cette procédure, quelle pantalonnade ! Les scénarios imposant non seulement une situation et des objectifs, mais surtout les tactiques conçues pour le F-35 (et donc a priori très sous-optimales pour les autres concurrents) ; dans la même veine : le nombre d'avion fixé a priori sans tenir compte de la capacité ni de la disponibilité : une paille ; les généraux mentant ouvertement (le Rafale "incompatible OTAN" reste ma préférée, mais j'ai souvenir d'un autre qui prétendait qu'il n'avait jamais été engagé en opérations ; contrairement au F-35 probablement) ; les clauses non seulement secrètes mais dont l'existence est tenue cachée sans être jamais nettement démentie ; l'absence de rapport d'experts, même édulcoré (si j'ai bien lu la transcription postée ici plus tôt des débats au Parlement) ; la compromission par LM d'au moins un collaborateur du Ministre ayant piloté l'affaire (et il n'avait nommé ou coopté personne, hum... ? Combien le croient ici ? ; et il n'est pas poursuivi) ; le grand n'importe quoi autour de l'offre française : "on a rien reçu" d'abord, "3000 pages mais on ne veut pas les lire" ensuite, puis "rendez-vous compte : ils exigent un NDA !" ou encore "Parly a envoyé une lettre ni datée ni signée" (sur du papier-toilette pendant qu'on y est ?) ; "on va étudier la proposition française après l'examen du RFGP" puis "En fait : non." ; les arguments juridiques en bois contredis par la propre lettre du RFGP : "on serait attaquables si on étudiait l'offre française, même si le RFGP écrit explicitement le contraire ; en fait on s'applique, euh... les règles des appels d'offre de l'UE sur le matériel non-militaire, le tout dans une requête d'information sur du matériel militaire au-delà de l'UE. Voilà. Lalala." les communications américaines donnant des montants du simple au double. Au final : c'est combien ? Et si c'est une vente à perte, est-ce normal si on respecte les règles générales de l'UE, hors matériel militaire ? Hum ?? Tantôt on les respecte, tantôt non ? Au final, côté français : je trouve dommage qu'on ait jamais seulement prétendu répondre aux points de l'appel à propositions hors du cadre mais répondu quand même, sans respect des tactiques prescrites par exemple. C'était peut être dans les 3000 pages, mais on en a jamais rien su. j'ai le sentiment très net que, contrairement à ce qui s'est passé avec le Maroc, c'est Dassault qui ne s'est nullement investi, qui a toujours refusé d'y croire. Peut être n'était-ce pas absurde, d'ailleurs, vu le contexte. Autre point étonnant : silence total sur l'affaire dans la presse anglaise, vu de moi, en dehors du Daily Mail ou je-ne-sais quel torchon qui était juste "content que ce ne soit pas les français". Avez-vous vu quelque chose ? Edit : @PolluxDeltaSeven, je n'avais pas lu ton article dans DSI mais vient de le faire ; du coup voici plein de redites... Modifié le 3 novembre 2018 par Boule75 4 2 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 3 novembre 2018 Share Posté(e) le 3 novembre 2018 il y a 11 minutes, Boule75 a dit : Au final, côté français : je trouve dommage qu'on ait jamais seulement prétendu répondre aux points de l'appel à propositions hors du cadre mais répondu quand même, sans respect des tactiques prescrites par exemple. C'était peut être dans les 3000 pages, mais on en a jamais rien su. Si les 3000 pages n'ont pas été lus... on ne peut pas critiquer le contenu de l'offre française. Il y avait peut être ma réponse à toutes les questions et c'était peut être même rédigé en flamand. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 3 novembre 2018 Share Posté(e) le 3 novembre 2018 il y a 6 minutes, ARPA a dit : Si les 3000 pages n'ont pas été lus... on ne peut pas critiquer le contenu de l'offre française. Il y avait peut être ma réponse à toutes les questions et c'était peut être même rédigé en flamand. C'était demandé en anglais. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 3 novembre 2018 Share Posté(e) le 3 novembre 2018 (modifié) Il y a 6 heures, PolluxDeltaSeven a dit : Il n'empêche que si la France avait répondu au RfGP, les tenants du Rafale en Belgique auraient eu bien plus d'armes pour défendre l'avion français que ça n'a été le cas aujourd'hui. Dans mon article pour DSI sur l'appel d'offre belge disponible ici, je reviens sur le fait que l'argumentation de Dassault ("l'appel d'offre est taillé sur mesure pour le F-35") n'aurait pas du empêcher la France de participer. D'autant plus qu'entre la prise de décision (rapide et à l'emporte pièce) de Dassault autour de 2014 et le lancement de l'appel d'offre, BEAUCOUP de choses avaient changé sur ce marché (posture diplomatique de Trump, BREXIT, avancées sur l'Europe de la Défense, etc.). Depuis lors, j'ai eu de nouveaux échos, de nouveaux témoignages, très bien placés, en France et en Belgique. Et oui, beaucoup regrettent en Belgique que la France n'ait pas respecté les règles. Et beaucoup dans la diplomatie française reconnaissent que ça a été une énorme erreur de ne pas participer. Et la lettre de Parly à la dernière minute avec cette proposition de partenariat stratégique, c'était bel et bien une prise de conscience tardive. Sinon on aurait ET répondu au RfGP, ET proposé à côté un partenariat stratégique complet et construit autour du Rafale F4 et du SCAF. Là, on s'est planté dans les grandes largeurs, n'en déplaise à Cabirol qui préfère parler de "honte" et de "trahison" de la part de la Belgique. Si tous les éléments du dossier "Rafale en Belgique" sont révélés un jour (et je ne le ferais pas, je suis trop jeune pour m'embrouiller avec tous ces gens ! ), on verra bien que ça aura été LITTERALEMENT du même acabit que l'échec du Rafale au Maroc, avec des conséquences bien plus dramatiques sur l'Europe de la Défense et la redistribution des cartes dans l'OTAN, malheureusement. Il est difficile de refaire le match et dire que l'équipe de France a bien joué serait une erreur. Mais au final c'est moins le Rafale que l'Europe de la défense qui s'est pris un camouflet. La Belgique a quand même en connaissance de cause choisi US pour les 30 prochaines années sachant que le F-35 est à peine utilisable et qu'il risque de coûter bien plus que le chiffre annoncé. Dans ces conditions comment cette même Belgique pourra avoir une contribution à une armée de l'air européenne avec le f-35 si les US décident que ce n'est pas possible, et qu'en plus le budget disponible est évaporé pour le F-35 ? Evidemment on pourra dire de même pour la Hollande ou le Danemark. La seule solution pour ces trois pays pour avoir une contribution "Chasse" à la défense européenne ce sera uniquement d'acheter des appareils en plus des f-35, mais avec quel budget ?? C'est moins vrai pour les autres acheteurs du F-35 puisqu'ils ont d'autres effecteurs à verser dans la corbeille. Modifié le 3 novembre 2018 par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 3 novembre 2018 Share Posté(e) le 3 novembre 2018 il y a 14 minutes, herciv a dit : La seule solution pour ces trois pays pour avoir une contribution "Chasse" à la défense européenne ce sera uniquement d'acheter des appareils en plus des f-35, mais avec quel budget ?? Et pourquoi ne pourraient ils pas utiliser leurs F-35 ? Autant j’approuve Dassault et je suis persuadé que les jeux étaient fait d’avance, autant tant qu’on ne se retourne pas contre les États Unis je ne vois pas ce qui bloquerait l’utilisation des Lightning II. Faut pas déconner non plus ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 4 novembre 2018 Share Posté(e) le 4 novembre 2018 (modifié) Il y a 6 heures, Teenytoon a dit : Et pourquoi ne pourraient ils pas utiliser leurs F-35 ? Autant j’approuve Dassault et je suis persuadé que les jeux étaient fait d’avance, autant tant qu’on ne se retourne pas contre les États Unis je ne vois pas ce qui bloquerait l’utilisation des Lightning II. Faut pas déconner non plus ! Autrement dit tu estimes que le f-35 ne sera utilisable dans le cadre d'une défense européenne que si il y a coalition avec les US !!! Et si la défense européenne veut mener une intervention en propre sans l'aval des US, il se passe quoi ? Modifié le 4 novembre 2018 par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TMor Posté(e) le 4 novembre 2018 Share Posté(e) le 4 novembre 2018 N'a-t-on pas déjà discuté de tout ça dans les 283 pages précédentes ? 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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