Nico 84 Posté(e) le 8 février Share Posté(e) le 8 février Bonjour, je suis d'accord, trop de parachutistes dans les forces conventionnelles, j'ai décidés de ré-organiser tous cela ! pourquoi ne pas les spécialiser pour les opération coup de poing ! plutot qu'une organisation en régiments pourquoi pas en groupements de 300 pax : 1 génie, 1 art sol sol, 1 art sol air, 2 ou 3 antichar, et 2 ou 3 style ''gcp'' pour les opé plus''pointues'' . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 8 février Share Posté(e) le 8 février Pour les planeur la spec implicite de l'AdT c'est 48" de large, parce que ça correspond à une palette de roulement pour le lancement depuis l'avion (si j'ai bien compris) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 8 février Share Posté(e) le 8 février Il y a 3 heures, Nico 84 a dit : Bonjour, je suis d'accord, trop de parachutistes dans les forces conventionnelles, j'ai décidés de ré-organiser tous cela ! pourquoi ne pas les spécialiser pour les opération coup de poing ! plutot qu'une organisation en régiments pourquoi pas en groupements de 300 pax : 1 génie, 1 art sol sol, 1 art sol air, 2 ou 3 antichar, et 2 ou 3 style ''gcp'' pour les opé plus''pointues'' . Tu es décideur ? ^^ Je pense que l'idée est moins quoi faire des parachutistes, plutôt que de chercher de quoi à besoin l'Armée De Terre. Un groupement de 300 paxs à l'heure de la HI, c'est ou trop (concentration repérable) ou pas assez (masse critique insuffisante à la manœuvre de décision). Générer 300 para-co' ça me parait compliqué en terme RH. Le potard n'existe probablement pas. Nos régiments d'infanterie sont tous identiques pour être interchangeable. Cela permet un emploi simple, dans toutes les configurations et plus de potard de relève. Aussi de partager l’expérience en opérations. La spécificité TAP/léger vient dans un second temps. Je pense même que la culture de l'urgence passe avant sur ces dernières décennies. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nico 84 Posté(e) le 9 février Share Posté(e) le 9 février Bonjour, non je ne suis pas décideur, c’était une façon de m'introduire dans le file... les groupements de 300 soldats dont je parle, seraient organisés en une cclt et 2 cc d'environs 100 pax chacune (dont 20/100 de sur effectif). pour des opé soit un peu spéciale(ratissage, capture d'un aérodrome, ou action de sabotage dans uns zone proche des forces amies), soit pour apporter des moyens(mortiers, mistral, éléments génie, etc... ) au profit d'une unité qui en aurait besoin ou dans une zone ou il serait intéressant d'avoir un œil ! Après quand je dit 300 soldats c'est comme pour un petit bataillon, une seule compagnie(voire une section) pourrait être déployé ! Ces unités pourraient être composée de soldats issues des autres unités de combat conventionnelles, mettons d'au moins 2-3 ans d'ancienneté ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 9 février Share Posté(e) le 9 février il y a 8 minutes, Nico 84 a dit : Bonjour, non je ne suis pas décideur, c’était une façon de m'introduire dans le file... les groupements de 300 soldats dont je parle, seraient organisés en une cclt et 2 cc d'environs 100 pax chacune (dont 20/100 de sur effectif). pour des opé soit un peu spéciale(ratissage, capture d'un aérodrome, ou action de sabotage dans uns zone proche des forces amies), soit pour apporter des moyens(mortiers, mistral, éléments génie, etc... ) au profit d'une unité qui en aurait besoin ou dans une zone ou il serait intéressant d'avoir un œil ! Après quand je dit 300 soldats c'est comme pour un petit bataillon, une seule compagnie(voire une section) pourrait être déployé ! Ces unités pourraient être composée de soldats issues des autres unités de combat conventionnelles, mettons d'au moins 2-3 ans d'ancienneté ! Donc des structures qui seraient un cauchemar à soutenir en temps de paix. Ratissage = Barkhane, c'est plus d'actualité. Actuellement on arrive déjà à générer ça à la demande, ça s'appelle une SGTIA et ça se nourrit de la structure régimentaire (qui entend entre autre une base arrière...). Pour le reste des missions, en HI ça s'appelle du suicide donc. Ou une manœuvre dans un ensemble plus vaste, on revient aux SGTIA/GTIA actuels (Serval par exemple). Tu proposes donc en plus qui en terme de RH serait un enfer. Cela reposerait littéralement sur toute la RH de l'AdT pour espérer alimenter les rangs. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) le 9 février Share Posté(e) le 9 février dans le parisien du jour, un article sur les drones : https://www.leparisien.fr/high-tech/drones-comment-larmee-de-terre-francaise-compte-passer-a-la-vitesse-superieure-09-02-2025-P522WTZK2NCMLADOA5RJ4T7FF4.php (en gros, la vie humaine et rare et précieuse, pourquoi prendre le risque de la perdre contre des drones ???) Décryptage Futurs,High-tech Drones : « Vers un haut degré d’autonomie », comment l’armée de terre compte passer à la vitesse supérieure Influencé par les opérations militaires en Ukraine, l’état-major a engagé un changement profond dans sa politique d’achat et de déploiement de ces engins devenus incontournables dans les conflits modernes. Par Damien Licata Caruso Le 9 février 2025 à 08h50 Semoutiers (Haute-Marne), le 30 janvier 2025. Le 61e régiment d'artillerie, qui abrite l'école des drones, a accueilli le Forum Innovation Drone et ses démonstrations. LP/Damien Licata Caruso La scène se déroule sur le stand de l’Ukraine au dernier salon CES de Las Vegas. Un visiteur avec un peu discret badge « French minister of Defence SOF » s’émerveille devant les drones de toutes tailles et pour toutes missions présentés par la délégation jaune et bleue. « Ils ont développé dans la contrainte un savoir-faire et des technologies low-cost qui doivent nous faire réfléchir », lâche-t-il, un brin admiratif. Cette réflexion était largement partagée par son état-major et par la cinquantaine d’exposants du forum Innovation Drone, un salon réservé aux industriels venus convaincre fin janvier l’armée de terre de sortir le chéquier. À grand renfort de vagues destructrices de drones kamikazes et de vidéos de propagande de drones artisanaux, la guerre en Ukraine a clairement rebattu, depuis trois ans, les cartes dans la stratégie militaire et l’emploi des engins sans pilote. Longtemps cantonnés à des rôles d’observation ou de frappe aérienne en profondeur, les drones moyenne altitude à longue endurance (Male) comme le Reaper ont cédé la place — dans l’imaginaire militaire autant que dans l’usage — à une nouvelle génération d’appareils bien plus petits et surtout à la portée de beaucoup plus de budgets militaires. Les missions de ces nano-drones ou drones tactiques se sont ainsi étoffées avec des attaques ciblées sur des blindés ou des soldats. Sans oublier l’essor des munitions rôdeuses ou « munition téléopérée » (MTO) en jargon militaire qui visent les infrastructures critiques comme des centrales électriques et des raffineries. « Il ne pleut plus des bombes mais des drones dans les tranchées à l’est », résume un haut gradé de l’armée de terre. « Payer pour ce qui est disponible maintenant » Sur le papier, tous les régiments de l’armée de terre ont à disposition des drones militaires. Dans la réalité, c’est bien plus variable. En témoigne les déboires de déploiement du drone lourd Patroller de Safran, livré mais encore peu opérationnel. Le conflit dans le ciel ukrainien a-t-il sonné l’alarme pour l’armée du 2e exportateur d’armes au monde ? Il aurait simplement accéléré un mouvement bien engagé, en conviennent les discrets participants d’un forum abrité dans deux hangars du 61e régiment d’artillerie de Chaumont (Haute-Marne). « L’ambition date de 2019 avec les recommandations de l’État-major de l’armée de terre de déployer rapidement 3 000 drones. Cela correspondait à une prise en compte de l’apparition des drones légers de loisirs depuis 2015 », rembobine le colonel Pierre-Yves Le Viavant, commandant de ce régiment spécialisé dans le renseignement par l’imagerie. « Le conflit ukrainien a accéléré la politique d’achat sur étagère et dans une logique inédite de masse et de réactivité dans le renouvellement », assure-t-il. Fini les appels d’offres publics sur plusieurs années. « Nous sommes passés à une logique de payer pour ce qui est disponible maintenant et pas ce qui pourrait l’être plus tard », tranche cet ancien opérateur de drone en Afghanistan. Les exposants du salon biannuel Forum Innovation Drone proposaient des drones d'infiltration. LP/Damien Licata Caruso Avec des actes forts comme la commande, par le ministère des Armées, de 2 000 MTO produites par le droniste toulousain Delair et l’armurier KNDS. La création d’une école des drones en juillet 2023 a aussi formalisé cet objectif : 1500 pilotes de drones de tout format en sont sortis l’an dernier. La transition vers une armée de terre « dronisée » s’est également accélérée avec l’adoption par le ministère des Armées d’un pacte « drones aériens de défense » au salon Eurosatory en juin dernier. « Le ministre a enfin appelé à faire émerger des champions nationaux et à se bouger. On passe à une doctrine d’économie de guerre avec de grandes quantités, soit des dizaines de milliers de drones et moins de procédures administratives. Si la technologie marche, on signe le chèque tout de suite », illustre Stéphane Morelli, responsable de produit chez Sogitec qui édite un simulateur de pilotage. La souveraineté en ligne de mire C’est donc une belle opportunité pour l’industrie du made in France qui n’attendait, selon ses représentants, que ça. « La base industrielle et technologique de défense (BITD) a tous les atouts pour faire des technologies souveraines, notamment dans les capteurs », souligne Paul Vassy, responsable commercial drones chez Safran Electronics & Defense. Et d’insister : « Il n’y a pas de blocage technique majeur, c’est une question de volonté politique car la souveraineté a un coût d’investissement. » La partie est loin d’être perdue malgré un retard évident. « La souveraineté technologique peut se jouer dans la partie logicielle au milieu de composants chinois et des puces d’IA américaines », formule Sébastien Changey, responsable du groupe contrôle des drones à l’Institut de recherche Saint-Louis. « Des algorithmes développés en Europe peuvent très bien piloter des essaims de drones, reconnaître des cibles et faire du guidage automatique », liste ce chercheur. La solution pourrait aussi venir de l’armée, elle-même bien inspirée par l’inventivité ukrainienne. Conçu par le 17e régiment d’artillerie de Biscarrosse, le drone SL450 (pour Super Low-cost 450 euros) va arriver en masse dans les unités. « L’idée est de créer des fermes à drones FPV (vue à la première personne) pilotés à travers un casque pour plus de précision », promet le colonel Pierre-Yves Le Viavant. La DGA a développé un drone équipé de munitions issues des vieux stocks. LP/Damien Licata Caruso Autre piste, la Direction générale de l’armement (DGA) prépare la validation avant l’été d’un concept, lui aussi inspiré du front ukrainien : équiper des drones légers de munitions recyclées — des grenades et obus en stocks importants — à détonner au contact. Mais aussi des drones plus gros capables de tirer au bazooka. Il faudra alors se poser la question du degré d’autonomie à accorder à l’intelligence artificielle embarquée dans des drones de plus en plus performants. Et là aussi, la doctrine française évolue. « Nous allons vers un haut degré d’autonomie avec un pilote au-dessus de l’IA pour être plus réactifs, sinon nous prendrons le risque de nous faire battre », prône le colonel Rémi Pellabeuf de l’état-major de l’armée de terre. « Celui qui l’utilisera restera responsable dans tous les cas des dégâts qu’il occasionnera dans la mission confiée au drone » prévient-il. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nico 84 Posté(e) le 9 février Share Posté(e) le 9 février Dans mon message, effectivement, je ne l'ai pas préciser, je ne parle pas de l'armée de terre actuel qui est rachitique, mais d'une armée de terre avec beaucoup plus d'effectif... ! Pour quelle raison ce serait un cauchemar ? Les régiments de l'armée de terre fonctionnent déjà comme cela avec un peu plus d'effectif par unité, à ce que j'ai compris les unités para sont cèlent dans lequel vont les soldats parmi les mieux notés, donc trouvés environs 2000 soldats pour les unités que je cite ne me parrait insurmontable ! A ce que j'ai compris les commandos marine alignent environ 600 soldats recrutés parmi 1800 fus marin soit équivalent d'un quart de l'effectif (c'est un exemple, je ne confonds pas les commandos-marine et les para). Ce que je propose est tres loin en terme de pourcentage forces conventionnelles/forces para, tout au plus quelque pour-cent et même en terme de niveau demandé ce serait très différent pour la plupart des groupements para que je décris ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 9 février Share Posté(e) le 9 février Plus d'effectif, donc moins de qualité. Cela ramène à la conscription, avec un niveau technique beaucoup plus pauvre. C'est contradictoire avec l'objectif de petites unités très entrainées. C'est plus ou moins ce qu'était la FAR avant l'armée de métier, et on était loin d'une armée commando taillée pour la HI. Un cauchemar parce que tu multiplies les parcs de matériels à soutenir, sans pooling de soutien possible. On a déjà du mal avec des structures régimentaires, alors si on atomise encore plus... J'ajoute qu'en terme de moyens de projection, tes paras ils sont pas prêt de voir le champ de bataille. On a pas assez d'avions et d'hélicos. Or planté au sol, ils ne sont pas non plus réversibles comme actuellement en INF MOTO. Tu suggères un système à 600 à 900 GCP (ce qui est plus ou moins le 1er RPIMa)... Pour avoir ça, il faut recruter sur toutes les armées, en dépoilant autant de potentiels candidats au COS. Et ce pour une utilité douteuse (bonne chance pour arrêter un déboulé blindé avec une unité commando). Retire des CODOMAR les fonctions de soutien et d'appui... Pour moi tu proposes un outil dispendieux et inutile. Le but n'est pas d'avoir son super-outil auquel on cherchera une mission. Le but c'est de voir les besoins et d'y adapter l'outil. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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