penaratahiti Posté(e) le 11 août Share Posté(e) le 11 août il y a 21 minutes, pascal a dit : C'est quoi la norme ETOPS du F35 B? Ça va déterminer la distance max des côtes à laquelle les PA GB vont devoir naviguer désormais ETOPS c'est une norme civile (Extended-range Twin-engine Operational Performance Standards), en mili on parle plutôt de SEOW (Single Engine Over Water). L’équivalent ETOPS d’un F-35B britannique en opérations serait autour de ETOPS 40/45. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lordtemplar Posté(e) le 11 août Share Posté(e) le 11 août tres bon article sur l'etat des lieux de la RN https://www.navylookout.com/is-the-royal-navy-at-breaking-point-or-a-turning-point/ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 11 août Share Posté(e) le 11 août il y a 32 minutes, penaratahiti a dit : ETOPS c'est une norme civile (Extended-range Twin-engine Operational Performance Standards), en mili on parle plutôt de SEOW (Single Engine Over Water). L’équivalent ETOPS d’un F-35B britannique en opérations serait autour de ETOPS 40/45. ETOPS, c'est pour les bimoteurs... donc, pour un F-35 B, ça le fait. Ah, non, en fait... la soufflante dépend du GTR donc il ne peut pas y avoir de perte de l'un sans perte de l'autre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) le 11 août Share Posté(e) le 11 août il y a une heure, penaratahiti a dit : ETOPS c'est une norme civile (Extended-range Twin-engine Operational Performance Standards), en mili on parle plutôt de SEOW (Single Engine Over Water). Mon post était volontairement sarcastique Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
penaratahiti Posté(e) le 11 août Share Posté(e) le 11 août il y a 5 minutes, pascal a dit : Mon post était volontairement sarcastique my bad, je suis sûrement trop fatigué pour percevoir du sarcasme. Captain 1er degré au rapport ! vivement les vacances... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ponto Combo Posté(e) le 11 août Share Posté(e) le 11 août 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paschi Posté(e) vendredi à 11:37 Share Posté(e) vendredi à 11:37 Le 10/08/2025 à 08:09, mudrets a dit : Et encore un au tas ! Il va en rester combien ? https://vz.ru/news/2025/8/10/1351624.html Apparemment, il y est toujours. https://www.twz.com/air/uk-f-35b-still-stranded-in-japan-is-awaiting-spare-parts-to-return-to-hms-prince-of-wales 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARMEN56 Posté(e) vendredi à 12:10 C’est un message populaire. Share Posté(e) vendredi à 12:10 Ils vont perdre Révélation 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) vendredi à 13:16 Share Posté(e) vendredi à 13:16 il y a une heure, Paschi a dit : Apparemment, il y est toujours. https://www.twz.com/air/uk-f-35b-still-stranded-in-japan-is-awaiting-spare-parts-to-return-to-hms-prince-of-wales Turista ou maladie congénitale ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) vendredi à 13:18 Share Posté(e) vendredi à 13:18 il y a une heure, ARMEN56 a dit : Ils vont perdre Révéler le contenu masqué C'est vrai que nos virelangues sont moins compliqués et nos frégates plus belles. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) il y a 21 heures Share Posté(e) il y a 21 heures 3000 jours 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) il y a 20 heures Share Posté(e) il y a 20 heures il y a une heure, Titus K a dit : 3000 jours Quelle tristesse , propulsion ratée , programme raté , c’est catastrophique …. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lordtemplar Posté(e) il y a 19 heures Share Posté(e) il y a 19 heures https://www.navylookout.com/is-the-royal-navy-at-breaking-point-or-a-turning-point/ voici la traduction de l'article: L'état actuel de la RN est alarmant, presque tous les aspects de ses capacités étant sous-effectifs ou surchargés. Cet article long évalue la situation actuelle, analyse les causes profondes et examine comment des améliorations peuvent être apportées. Au cours des 3 dernières années (août 2022-25), la RN a mis hors service 2 LPD, 4 frégates, 1 SNA, 5 chasseurs de mines, 2 navires de prospection et 2 pétroliers. En outre, plusieurs navires et sous-marins sont également en désarmement à long terme. Au cours de la même période, un seul SNA a été mis en service et 2 deux navires marchands ont été achetés pour être convertis. Bien qu'en fin de compte, les capacités soient plus importantes que les plates-formes, une marine ayant des ambitions mondiales a besoin de navires et de sous-marins fiables et efficaces. Les résultats sont évidents : l'incapacité de soutenir les opérations en mer Rouge pour protéger la marine marchande et presque aucune présence navale au Moyen-Orient. L'incapacité de fournir des escortes adéquates ou un SNA pour le groupe aéronaval. Pas de SNA prêt à dissuader l'activité sous-marine russe à proximité du Royaume-Uni ou dans l'Atlantique Nord. De petits P2000 sont déployés pour des exercices en Norvège et dans la Baltique, où des navires de guerre auraient été envoyés. La présence mondiale avancée, qui était autrefois l'œuvre des combattants, n'est maintenue que par des OPV légèrement armés. La liste est longue. Problèmes sous-jacents Le sous-financement persistant demeure au cœur de bon nombre des difficultés actuelles de la Royal Navy. Le plan d'équipement le plus récent du ministère de la Défense identifie un déficit de financement de 16,9 milliards de livres sterling dans l'ensemble du portefeuille de la défense, illustrant ainsi comment les engagements financiers dépassent constamment les ressources. Pour la RN, cela s'est traduit par des décennies d'investissements différés dans l'entretien, l'infrastructure et l'inventaire. Il en résulte des périodes de réaménagement plus longues, des stocks limités et des temps d'arrêt prolongés pour les actifs critiques. La flotte fonctionne à ses limites ou presque, souvent sans financement pour se régénérer ou maintenir son élan. La fragilité industrielle aggrave encore ces pressions. L'érosion des capacités de construction navale à la suite du retrait de l'après-guerre froide a entraîné l'érosion des compétences clés, des installations et de la mémoire institutionnelle. Les écarts entre les grands programmes de construction dans les années 1990 et au début des années 2000 ont causé des dommages à long terme qui affectent encore aujourd'hui la livraison. Bien que les investissements reviennent, la base industrielle actuelle reste tendue. Le dysfonctionnement de l'approvisionnement est un autre problème persistant. Le ministère de la Défense a une tendance de longue date à rechercher des plates-formes complexes et sur mesure commandées en très petit nombre, souvent sans disposer de la marge budgétaire nécessaire pour s'adapter aux retards inévitables ou à la croissance des coûts. Malgré les promesses incessantes de réformes, l'inertie bureaucratique décourage toujours le développement progressif ou en spirale, tandis que les cadres d'acquisition restent lents et inflexibles. Les initiatives prometteuses, en particulier celles des petites entreprises, sont souvent frustrées par la lenteur des procédures ou le manque d'alignement entre la stratégie et les ressources. Les pénuries de personnel continuent de menacer la capacité de l'infirmière autorisée à respecter ses engagements fondamentaux. Le service a enregistré une perte nette de 1 600 personnes en 2022-23, avec des défis particulièrement aigus dans les branches techniques d'ingénierie et spécialisées. La RFA a du mal à retenir l'équipage en raison d'une rémunération inférieure à celle de ses équivalents commerciaux à un moment où il y a une pénurie mondiale de marins. Le moral est affecté par le surmenage et l'écart croissant entre les responsabilités et les récompenses. En l'absence d'autres mesures visant à résoudre le problème de la rétention en particulier, il existe un risque réel qu'il ne soit pas possible de générer suffisamment de SQEP pour les nouveaux navires qui doivent être mis en service. La réglementation, la bureaucratie et une culture d'aversion au risque font grimper les coûts, ajoutent des retards et étouffent l'innovation. Par exemple, les exigences réglementaires entourant l'infrastructure des sous-marins nucléaires sont devenues si strictes qu'elles augmentent considérablement les coûts et la complexité, ce qui ralentit finalement les progrès. L'évolution de l'autonomie maritime est entravée par un état d'esprit en temps de paix et la réticence du ministère de la Défense à mettre en œuvre des exemptions à la réglementation, où le développement rapide de capacités de combat crédibles devrait être la priorité. 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hypsen Posté(e) il y a 19 heures Share Posté(e) il y a 19 heures il y a 20 minutes, Lordtemplar a dit : https://www.navylookout.com/is-the-royal-navy-at-breaking-point-or-a-turning-point/ voici la traduction de l'article: L'état actuel de la RN est alarmant, presque tous les aspects de ses capacités étant sous-effectifs ou surchargés. Cet article long évalue la situation actuelle, analyse les causes profondes et examine comment des améliorations peuvent être apportées. Au cours des 3 dernières années (août 2022-25), la RN a mis hors service 2 LPD, 4 frégates, 1 SNA, 5 chasseurs de mines, 2 navires de prospection et 2 pétroliers. En outre, plusieurs navires et sous-marins sont également en désarmement à long terme. Au cours de la même période, un seul SNA a été mis en service et 2 deux navires marchands ont été achetés pour être convertis. Bien qu'en fin de compte, les capacités soient plus importantes que les plates-formes, une marine ayant des ambitions mondiales a besoin de navires et de sous-marins fiables et efficaces. Les résultats sont évidents : l'incapacité de soutenir les opérations en mer Rouge pour protéger la marine marchande et presque aucune présence navale au Moyen-Orient. L'incapacité de fournir des escortes adéquates ou un SNA pour le groupe aéronaval. Pas de SNA prêt à dissuader l'activité sous-marine russe à proximité du Royaume-Uni ou dans l'Atlantique Nord. De petits P2000 sont déployés pour des exercices en Norvège et dans la Baltique, où des navires de guerre auraient été envoyés. La présence mondiale avancée, qui était autrefois l'œuvre des combattants, n'est maintenue que par des OPV légèrement armés. La liste est longue. Problèmes sous-jacents Le sous-financement persistant demeure au cœur de bon nombre des difficultés actuelles de la Royal Navy. Le plan d'équipement le plus récent du ministère de la Défense identifie un déficit de financement de 16,9 milliards de livres sterling dans l'ensemble du portefeuille de la défense, illustrant ainsi comment les engagements financiers dépassent constamment les ressources. Pour la RN, cela s'est traduit par des décennies d'investissements différés dans l'entretien, l'infrastructure et l'inventaire. Il en résulte des périodes de réaménagement plus longues, des stocks limités et des temps d'arrêt prolongés pour les actifs critiques. La flotte fonctionne à ses limites ou presque, souvent sans financement pour se régénérer ou maintenir son élan. La fragilité industrielle aggrave encore ces pressions. L'érosion des capacités de construction navale à la suite du retrait de l'après-guerre froide a entraîné l'érosion des compétences clés, des installations et de la mémoire institutionnelle. Les écarts entre les grands programmes de construction dans les années 1990 et au début des années 2000 ont causé des dommages à long terme qui affectent encore aujourd'hui la livraison. Bien que les investissements reviennent, la base industrielle actuelle reste tendue. Le dysfonctionnement de l'approvisionnement est un autre problème persistant. Le ministère de la Défense a une tendance de longue date à rechercher des plates-formes complexes et sur mesure commandées en très petit nombre, souvent sans disposer de la marge budgétaire nécessaire pour s'adapter aux retards inévitables ou à la croissance des coûts. Malgré les promesses incessantes de réformes, l'inertie bureaucratique décourage toujours le développement progressif ou en spirale, tandis que les cadres d'acquisition restent lents et inflexibles. Les initiatives prometteuses, en particulier celles des petites entreprises, sont souvent frustrées par la lenteur des procédures ou le manque d'alignement entre la stratégie et les ressources. Les pénuries de personnel continuent de menacer la capacité de l'infirmière autorisée à respecter ses engagements fondamentaux. Le service a enregistré une perte nette de 1 600 personnes en 2022-23, avec des défis particulièrement aigus dans les branches techniques d'ingénierie et spécialisées. La RFA a du mal à retenir l'équipage en raison d'une rémunération inférieure à celle de ses équivalents commerciaux à un moment où il y a une pénurie mondiale de marins. Le moral est affecté par le surmenage et l'écart croissant entre les responsabilités et les récompenses. En l'absence d'autres mesures visant à résoudre le problème de la rétention en particulier, il existe un risque réel qu'il ne soit pas possible de générer suffisamment de SQEP pour les nouveaux navires qui doivent être mis en service. La réglementation, la bureaucratie et une culture d'aversion au risque font grimper les coûts, ajoutent des retards et étouffent l'innovation. Par exemple, les exigences réglementaires entourant l'infrastructure des sous-marins nucléaires sont devenues si strictes qu'elles augmentent considérablement les coûts et la complexité, ce qui ralentit finalement les progrès. L'évolution de l'autonomie maritime est entravée par un état d'esprit en temps de paix et la réticence du ministère de la Défense à mettre en œuvre des exemptions à la réglementation, où le développement rapide de capacités de combat crédibles devrait être la priorité. Sur le papier, ils ont un plus gros budget que le France. Ils font quoi de leurs sous ? L'article apporte des éléments de réponse, mais j'ai pourtant l'impression que la France est confrontée à des problèmes similaires. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. pascal Posté(e) il y a 11 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 11 heures Comme disait le Prince de Joinville: "Pour avoir une Marine, il faut la vouloir beaucoup, et surtout la vouloir longtemps" ce qui sous entend qu'il ne faut jamais interrompre ou relâcher l'effort ... voici le résultat. Dejà en 82 aux Falklands on pouvait entrevoir certains prémices. Si on compare RN et MN en 1986 (mon premier Annuaire des flottes de combat) et aujourd'hui la comparaison tant quantitative que surtout qualitative est absolument édifiante 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
KnewEdge Posté(e) il y a 11 heures Share Posté(e) il y a 11 heures (modifié) Ils ont peut-être un budget supérieur à celui en France, mais pour un lointain observateur qui voit de temps en temps passer des articles, on a l'impression que ce qui leur manque le plus c'est la COHERENCE. Le sentiment qu'il n'y a pas de vision globale de l'appareil militaro-industriel dans le temps long, et qu'ils passent leur temps à mettre des rustines partout plutôt qu'à bâtir et entretenir correctement un édifice à leur mesure. L'appareil français est sûrement loin d'être parfait et a des lacunes, mais il semble que le mot de cohérence qui est très présent dans les discours des gradés permette de garder un certain équilibre sur le temps long: Rafale et ses évolutions (vs Eurofighter qui est mauvais pour l'attaque au sol et non navalisable); Suffren (moins ambitieux que Astute, mais dont les moyens d'entretiens sont en construction en parallèle); un seul porte-avion plus petit, mais un vrai avec des "vrais" avions opérationnels etc etc; une aviation de patrouille maritime entretenue; pas besoin de jeter des awacs; pas de frégate à quai depuis 6 ou 7 ans.... Modifié il y a 11 heures par KnewEdge 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
OysterCultist Posté(e) il y a 10 heures Share Posté(e) il y a 10 heures 8 hours ago, Hypsen said: Sur le papier, ils ont un plus gros budget que le France. Ils font quoi de leurs sous ? Des contrats mal gérés? BAE c'est pas Naval Group ou Fincantieri (qui sont en partie gérés par l'Etat). Une tendance à la sous-traitance pour tout et n'importe quoi qui permet a des entreprises comme Serco ou Babcock de traire la vache à lait qu'est le MoD? Ou peut-être l'acquisition de navires trop lourds et en trop grand nombre alors qu'ils n'ont personne pour les armer et pas de moyens pour les entretenir. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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