DarkLabor Posté(e) le 1 avril Share Posté(e) le 1 avril https://sturgeonshouse.ipbhost.com/topic/1576-french-flair/page/24/#comments Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 1 avril Share Posté(e) le 1 avril Il y a 2 heures, DarkLabor a dit : Toujours aucune réaction. Comme quoi avec KNDS on est bien protégé... Triste qu'à la fin, la personne qui trime au quotidien paiera le prix du sang; tandis que le bobo parisien n'aura aucune conséquence de ses actes. Il y a 2 heures, DarkLabor a dit : https://sturgeonshouse.ipbhost.com/topic/1576-french-flair/page/24/#comments Pareil que Pascal : que veux-tu dire ? Réaction à quoi ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 1 avril Share Posté(e) le 1 avril https://www.forcesoperations.com/un-nouveau-chapitre-dans-le-viseur-du-systeme-ascalon/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 1 avril Share Posté(e) le 1 avril Par curiosité, pourquoi vont-ils au Portugal pour toutes ces campagnes de tir ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MrSpirou Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures Les actionnaires familiaux allemands de KNDS auraient l'intention de réduire leur participation dans le fabricant de chars, soit par une entrée en bourse, soit par une vente de parts. L'objectif est de profiter de l'intérêt croissant des investisseurs pour les entreprises d'armement, selon des sources informées. KNDS est né en 2015 de la fusion de Krauss-Maffei Wegmann avec le groupe d'armement français Nexter. Selon certaines informations, les familles qui se trouvent derrière Krauss-Maffei Wegmann ont fait savoir au gouvernement fédéral qu'elles envisageaient de vendre une partie de leur participation de 50%. Selon des personnes informées, elles envisagent plusieurs options, dont une entrée en bourse et une cession partielle. Dans ce contexte, Berlin examine, selon des initiés, à un stade précoce si l'acquisition d'une minorité de blocage de 25,1% est envisageable. Selon les initiés, une éventuelle vente de parts du fournisseur franco-allemand de systèmes de défense terrestre suscite un intérêt précoce de la part de sociétés de capital-investissement, de fonds souverains du Proche-Orient ainsi que de gestionnaires de patrimoine et de family offices allemands. Parmi les intéressés, on trouverait Advent, CVC Capital, KKR et Warburg Pincus, qui mènent les premières discussions sur un éventuel investissement. Néanmoins, l'introduction en bourse reste l'option privilégiée par les propriétaires de KNDS pour monnayer une partie de leur participation. Selon les informations, des discussions sont déjà en cours avec des conseillers potentiels en vue d'une cotation. L'introduction en bourse pourrait avoir lieu l'année prochaine et valoriser le groupe d'armement à 20 milliards d'euros ou plus. Dans l'hypothèse d'une introduction en bourse, la famille allemande et l'État français - qui détient également 50% des parts - pourraient céder chacun un peu plus de 10% de leurs parts, selon les informations disponibles. Parallèlement, les familles allemandes - dont les Bode et les Braunbehren - sondent, selon des initiés, l'intérêt d'investisseurs financiers pour éventuellement réduire encore leurs parts. Une option serait également d'explorer les discussions avec de grands concurrents comme Rheinmetall. L'accord du gouvernement fédéral devrait toutefois être nécessaire pour tout nouvel actionnaire. Il est de notoriété publique que le conseil de surveillance de KNDS examine d'éventuelles modifications de la structure de l'actionnariat, a expliqué une porte-parole de l'entreprise par e-mail. Parmi les options stratégiques envisagées figurerait une éventuelle introduction en bourse. En cas d'échec d'une introduction en bourse ou de la vente de parts de KNDS, les propriétaires allemands du groupe de défense pourraient envisager une scission de l'entreprise, selon des personnes proches du dossier. Cela reviendrait à annuler la fusion entre Krauss-Maffei Wegmann et Nexter, réalisée en 2015. Cette option est actuellement considérée comme une solution d'urgence, mais elle pourrait être approuvée par une partie de la classe politique allemande et des syndicats, tandis qu'elle offrirait aux actionnaires familiaux une plus grande flexibilité en cas de désengagement, ont indiqué les informateurs. La structure de propriété franco-allemande complique la prise de décision, car les deux parties peuvent bloquer des changements stratégiques. A cela s'ajoutent des divergences internes du côté allemand, qui ont un impact sur la direction à prendre. Dans sa déclaration, KNDS a souligné qu'aucune décision n'avait été prise « à ce stade » et que les décisions futures seraient guidées par les intérêts à long terme et la croissance durable du groupe. Les projets d'introduction en bourse pourraient être retardés ou abandonnés en raison de deux autres transactions sans rapport. KNDS fait partie des derniers prétendants à l'acquisition de l'unité de défense d'Iveco Group NV, a précédemment rapporté Bloomberg News. La direction de KNDS s'intéresse de près à l'unité Iveco, mais les propriétaires allemands s'opposent à un accord, car ils craignent que l'acquisition ne pèse sur les activités existantes de l'entreprise et ne la détourne d'une éventuelle introduction en bourse, ont indiqué des personnes familières avec le dossier. L'entreprise est également en litige avec Triton Partners après que ce dernier a refusé de lui céder une participation dans Renk Group AG, un important fournisseur de réservoirs. Le journal Börsen-Zeitung a rapporté précédemment que le gouvernement se préparait à la nécessité éventuelle d'acquérir une participation minoritaire de blocage dans KNDS et a ajouté que les actionnaires familiaux allemands souhaitaient se retirer progressivement de l'entreprise. Les représentants d'Advent, de CVC, de KKR et de Warburg Pincus se sont refusés à tout commentaire. Un porte-parole de Rheinmetall n'était pas immédiatement disponible pour commenter en dehors des heures d'ouverture. Un porte-parole du ministère allemand de la défense s'est refusé à tout commentaire. https://archive.is/20250717034252/https://www.bloomberg.com/news/articles/2025-07-16/tankmaker-knds-explores-ipo-stake-sale-as-buyout-firms-circle 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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