Paschi Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier Près de 4 ans plus tard, le Brexit continue de diviser la société britannique. Le maire de Londres Sadiq Khan a appelé jeudi 11 janvier le Royaume-Uni à resserrer ses liens avec l'Union européenne, accusant le Brexit d'avoir coûté des dizaines de milliards de livres sterling à l'économie britannique. Dans un communiqué, l'édile travailliste souligne le besoin de nouer «une relation plus étroite avec l'UE», soutenant qu'un nouvel accord «dynamiserait notre économie et contribuerait à élever le niveau de vie des Britanniques». Cette prise de position tranche avec la réticence des principaux partis politiques, y compris le sien, à évoquer les répercussions du référendum de 2016, à quelques mois d'élections législatives pour lesquelles les travaillistes sont donnés largement en tête. https://www.lefigaro.fr/flash-eco/le-maire-de-londres-reclame-un-rapprochement-avec-l-ue-20240111 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pasha Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier J'espère sincèrement qu'on ne reproduira pas 2 fois la même erreur avec les Britanniques... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier il y a 23 minutes, Pasha a dit : J'espère sincèrement qu'on ne reproduira pas 2 fois la même erreur avec les Britanniques... Quelle erreur? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier Il y a 3 heures, Paschi a dit : Près de 4 ans plus tard, le Brexit continue de diviser la société britannique. Le maire de Londres Sadiq Khan a appelé jeudi 11 janvier le Royaume-Uni à resserrer ses liens avec l'Union européenne, accusant le Brexit d'avoir coûté des dizaines de milliards de livres sterling à l'économie britannique. Dans un communiqué, l'édile travailliste souligne le besoin de nouer «une relation plus étroite avec l'UE», soutenant qu'un nouvel accord «dynamiserait notre économie et contribuerait à élever le niveau de vie des Britanniques». Cette prise de position tranche avec la réticence des principaux partis politiques, y compris le sien, à évoquer les répercussions du référendum de 2016, à quelques mois d'élections législatives pour lesquelles les travaillistes sont donnés largement en tête. https://www.lefigaro.fr/flash-eco/le-maire-de-londres-reclame-un-rapprochement-avec-l-ue-20240111 Quand Boris Johnson était maire de Londres, il était peut-être pas exactement pro-Europe, mais très modéré dans ses critiques et très euro-compatible. Parce que la population de Londres est différente et n'est pas représentative du Royaume-Uni. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier Il y a 5 heures, Pasha a dit : J'espère sincèrement qu'on ne reproduira pas 2 fois la même erreur avec les Britanniques... Les laisser rentrer ou les laisser partir .... ? Les puristes diront que cela concerne surtout les Anglais, et pas les Britanniques ... Clairon 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pasha Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier Il y a 3 heures, g4lly a dit : Quelle erreur? Leur donner une place favorable s'ils veulent rentrer dans l'UE. Qu'ils aient comme avant, un pied dedans et un pied dehors. Ça devrait être TOUT ou RIEN. Je ne suis pas favorable à la structure de l'UE où certains pays n'ont pas les mêmes droits/devoirs que la majorité. Pour une entrée dans l'institution, je veux bien à la limite, le temps que tout s'accorde d'un point de vue macro-économique. Mais ce statut ne doit pas être définitif. Donc si demain le Royaume-Uni veut réintégrer l'UE, ils y entreront pleinement. Plus de £ également. Hop passage à l'euro obligatoire. Personnellement je ne suis pas pour les Anglais dans un système européen. Ça me va très bien le BREXIT. Mais bon c'est parce que je n'y ai aucun intérêt. Et je ne trouves pas que les intérêts soient convergeant avec les notre (AUKUS tout ça tout ça). Donc ma réponse pondéré c'est : l'erreur qu'ils avaient un statut particulier Ma réponse extrémiste : l'erreur de les laisser entrer 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier il y a 6 minutes, Pasha a dit : Hop passage à l'euro obligatoire. L'Euro n'est pas totalement lié à l'Europe, et n'a jamais été envisagé comme obligatoire ou contraignant, Danemark, Suède, Pays de l'Est ne l'ont pas adopté. Clairon Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier oui mais bon, à part les hongrois, c'est dur de trouver un pays qui chie autant sur l'institution à la quelle ils appartenaient, les british. On parle aussi d'une orientation UE moins US dépendante, ça me semblerait délicat avec un Perfide laquais dans les troupes. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Pasha Posté(e) le 12 janvier C’est un message populaire. Share Posté(e) le 12 janvier Bon ça reste du Wiki (je sais, désolé https://fr.wikipedia.org/wiki/Euro et https://fr.wikipedia.org/wiki/Élargissement_de_la_zone_euro) mais pourtant c'est bien précisé : Citation Le traité de Maastricht, signé en 1992, oblige la plupart des États de l'Union européenne (UE) à adopter l'euro dès qu'ils respectent certains critères monétaires et budgétaires, dits de convergence. Le Royaume-Uni et le Danemark ont cependant obtenu des options de retrait7, tandis que la Suède (qui rejoint l'UE en 1995, soit après la signature du traité de Maastricht) refuse d'introduire l'euro, après un référendum négatif en 2003, et contourne au surplus l'obligation d'adopter l'euro en ne respectant pas un des critères de convergence. Néanmoins, tous les pays qui adhérent à l'UE depuis 1993 se sont engagés à adopter l'euro en temps voulu. Et les pays de l'est sont donc bien tenu d'intégrer la zone euro in fine. Le Danemark et le R-U ont/avait un statut à part en effet. Mais ça été négocié. Donc on peut très bien demain ne pas vouloir faire une fleur aux Anglais. D'où mon une fois mais deux. Alors oui c'est pas contraignant, mais le caractère obligatoire, au termes d'un processus, a bien l'air d'être présent. 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier il y a 16 minutes, Clairon a dit : L'Euro n'est pas totalement lié à l'Europe, et n'a jamais été envisagé comme obligatoire ou contraignant, Danemark, Suède, Pays de l'Est ne l'ont pas adopté. Clairon Si, c'est écrit dans les petites lignes du traité, que si vous satisfaites aux critères de Maastricht, vous êtes obligé de passer à l'euro. Mais probablement il doit être possible de ruser pour montrer qu'on n'est pas tout à fait dans les critères de Maastricht. En particulier, les Britanniques qui veulent annuler le Brexit, je ne suis pas sûr qu'ils ont réalisé que ça veut dire qu'ils doivent accepter l'euro... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier (modifié) il y a 14 minutes, Pasha a dit : Bon ça reste du Wiki (je sais, désolé https://fr.wikipedia.org/wiki/Euro et https://fr.wikipedia.org/wiki/Élargissement_de_la_zone_euro) mais pourtant c'est bien précisé : Et les pays de l'est sont donc bien tenu d'intégrer la zone euro in fine. Le Danemark et le R-U ont/avait un statut à part en effet. Mais ça été négocié. Donc on peut très bien demain ne pas vouloir faire une fleur aux Anglais. D'où mon une fois mais deux. Alors oui c'est pas contraignant, mais le caractère obligatoire, au termes d'un processus, a bien l'air d'être présent. Super intéressant, je n'avais jamais saisi cette petite nuance. Citation Les quatre critères sont définis dans l'article 121 du traité instituant la Communauté européenne. Ils imposent la maîtrise de l'inflation, de la dette publique et du déficit public, la stabilité du taux de change et la convergence des taux d'intérêt. L'appréciation du non-respect de ces critères a été assouplie en mars 2005 sous la pression de l'Allemagne (engagée dans la procédure de déficit excessif) et de la France (proche de l'être), sous la justification de tenir compte de la situation économique et des réformes structurelles engagées. Un dépassement « exceptionnel et temporaire » est désormais autorisé. Les critères de convergence stipulent une zone à ne pas dépasser : Stabilité des prix : Le taux d'inflation annuel d'un État membre donné ne doit pas dépasser de plus de 1,5 point de pourcentage la moyenne de ceux des trois États membres présentant les taux d'inflation annuels les plus basN 1 ; Situation des finances publiques : Déficit public (État + ODAC + Collectivités locales + sécurité sociale) inférieur à 3 % du PIBN 2 ; Dette publique (ensemble des emprunts contractés par l'État et l'ensemble des administrations publiques, dont les organismes de sécurité sociale) inférieure à 60 % du PIBN 2 ; Taux de change : Dévaluation exclue (mesure obsolète pour les pays de la zone euro) ; Taux d'intérêt à long terme : ne doivent pas dépasser de plus de 2 points de pourcentage la moyenne de ceux des trois États membres présentant les taux d'inflation annuels les plus basN 3. Bilan En ce qui concerne l'inflation, les critères de Maastricht ont été très bien respectés. Par contre, en 2012, les seuils d'endettement à 60 % du PIB sont dépassés par tous les pays sauf deux, et les déficits publics par tous les pays sauf trois. Même en 2004 avant la crise, quatre pays avaient un déficit supérieur à 3 % du PIB. En ce qui concerne les taux d'intérêts qui étaient proches en 1999, ils ont fortement divergé en raison de la crise de la dette. Si l'on croit le wiki, je suppose qu'on peut prendre le seuil d'endettement pour ne pas appliquer l'Euro comme nouvelle monnaie nationale. J'aime assez la petite remarque sur l'Allemagne, cette bonne élève (mais pas à cette époque )... Modifié le 12 janvier par rendbo 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mehari Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier 38 minutes ago, Wallaby said: Mais probablement il doit être possible de ruser pour montrer qu'on n'est pas tout à fait dans les critères de Maastricht. C'est ce que font les Suédois. Pour rejoindre l'Euro, il faut rejoindre l'ERM II, ce qu'ils ne font pas. D'une certaine manière, ils se mettent délibérément en non-conformité. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier En fait ce n'est qu'une étape parmi d'autres dans l'assimilation complète et totale à l'UE ( la monnaie ). Dès la candidature officielle acquise ( qui n'est que politique comme l'Ukr et la Turquie mais aucunement garante de convergences de critères acquis à ce stade ) alors débute le processus d'analyse et d'accompagnements. Donc le sas d'entrée peut être long ou même infini. La monnaie parachève le tout en dernière étape. Je peux me tromper mais je ne crois pas que du hors statut dès l'entrée ( comme le Danemark ou UK en son temps ) soit de nouveau envisageables. Aprés on peut jouer rusé renard, pour retarder le truc final. A considérer selon la force de sa propre économie, sa balance co avec l'UE et la force de sa monnaie. Reste l'inconnu du taux de change aprés intégration de l'économie UE sur sa propre monnaie. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier Il y a 7 heures, Clairon a dit : Les laisser rentrer ou les laisser partir .... ? Oui. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Wallaby Posté(e) le 14 janvier C’est un message populaire. Share Posté(e) le 14 janvier https://www.lenouvelespritpublic.fr/podcasts/477 (7 janvier 2024) Béatrice Giblin : Je n’aurai pas du tout la même appréciation de la situation britannique que Nicolas. Bien sûr, le sujet dont on nous a proposé de discuter est « le naufrage du Brexit », il est donc orienté, mais pour ma part, je ne crois pas qu’il s’agisse réellement d’un naufrage. Certes, le bateau prend l’eau et il faut sérieusement écoper, mais il n’a pas encore coulé. Que je sache, le R-U reste la 6ème puissance économique du monde, devant la France. Certes, il y a 14,5 millions de pauvres, mais j’ai regardé les chiffres et en 2015 (avant le Brexit, donc), il y en avait 15,8 millions. De ce point de vue, ce n’est pas brillant après le Brexit, mais ça ne l’était guère avant … Vous avez cité des chiffres de croissance, mais on en trouve d’autres, plus optimistes, on sait que les économistes se classent facilement en deux catégories, selon qu’ils voient le verre à moitié vide ou à moitié plein. Les chauffeurs routiers ont par exemple vu leurs salaires augmenter de plus de 20%. Malgré tout, il est indéniable que la situation est très difficile, et les Britanniques l’admettent en regrettant le choix du Brexit. Mais ce qui est fait est fait, on n’y reviendra pas avant longtemps. Pour autant, je ne crois pas que tout se soit arrêté au R-U. Est-ce que Londres aurait cessé d’être une place financière d’envergure mondiale ? Bien sûr que non. Oui, la City a perdu environ 7.000 emplois, déplacés vers Francfort ou Paris, mais elle reste incontournable. Oui, ils ont perdu des investissements étrangers, et la situation est devenue fragile. Oui, faire des affaires avec le R-U est devenu très compliqué (et le sera encore davantage quand toutes les régulations post-Brexit seront en place), car cela implique des paperasseries interminables et des contrôles multiples. Pour autant, je crois que les termes de « naufrage » ou « d’impasse » sont exagérés. Considérons par exemple l’Ukraine. C’est tout de même le R-U qui a réagi le premier pour soutenir Kyiv, et continue de le faire de façon exemplaire. Sur le plan de la Défense, on n’a pas fait tellement mieux … Enfin, à propos de l’immigration, elle n’est certes plus européenne, mais elle a monté en qualification de façon tout à fait notable. Les grandes universités britanniques attirent toujours des étudiants du monde entier, on aimerait bien pouvoir en dire autant … 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SLT Posté(e) le 15 janvier Share Posté(e) le 15 janvier Il y a 13 heures, Wallaby a dit : Que je sache, le R-U reste la 6ème puissance économique du monde, devant la France. J'aimerais bien savoir comment cela est compté, en détails... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 15 janvier Share Posté(e) le 15 janvier il y a une heure, SLT a dit : J'aimerais bien savoir comment cela est compté, en détails... https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_countries_by_GDP_(nominal) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Julien Posté(e) le 15 janvier C’est un message populaire. Share Posté(e) le 15 janvier Il y a 14 heures, Wallaby a dit : https://www.lenouvelespritpublic.fr/podcasts/477 (7 janvier 2024) Béatrice Giblin : Je n’aurai pas du tout la même appréciation de la situation britannique que Nicolas. Bien sûr, le sujet dont on nous a proposé de discuter est « le naufrage du Brexit », il est donc orienté, mais pour ma part, je ne crois pas qu’il s’agisse réellement d’un naufrage. Certes, le bateau prend l’eau et il faut sérieusement écoper, mais il n’a pas encore coulé. Que je sache, le R-U reste la 6ème puissance économique du monde, devant la France. Certes, il y a 14,5 millions de pauvres, mais j’ai regardé les chiffres et en 2015 (avant le Brexit, donc), il y en avait 15,8 millions. De ce point de vue, ce n’est pas brillant après le Brexit, mais ça ne l’était guère avant … Vous avez cité des chiffres de croissance, mais on en trouve d’autres, plus optimistes, on sait que les économistes se classent facilement en deux catégories, selon qu’ils voient le verre à moitié vide ou à moitié plein. Les chauffeurs routiers ont par exemple vu leurs salaires augmenter de plus de 20%. Malgré tout, il est indéniable que la situation est très difficile, et les Britanniques l’admettent en regrettant le choix du Brexit. Mais ce qui est fait est fait, on n’y reviendra pas avant longtemps. Pour autant, je ne crois pas que tout se soit arrêté au R-U. Est-ce que Londres aurait cessé d’être une place financière d’envergure mondiale ? Bien sûr que non. Oui, la City a perdu environ 7.000 emplois, déplacés vers Francfort ou Paris, mais elle reste incontournable. Oui, ils ont perdu des investissements étrangers, et la situation est devenue fragile. Oui, faire des affaires avec le R-U est devenu très compliqué (et le sera encore davantage quand toutes les régulations post-Brexit seront en place), car cela implique des paperasseries interminables et des contrôles multiples. Pour autant, je crois que les termes de « naufrage » ou « d’impasse » sont exagérés. Considérons par exemple l’Ukraine. C’est tout de même le R-U qui a réagi le premier pour soutenir Kyiv, et continue de le faire de façon exemplaire. Sur le plan de la Défense, on n’a pas fait tellement mieux … Enfin, à propos de l’immigration, elle n’est certes plus européenne, mais elle a monté en qualification de façon tout à fait notable. Les grandes universités britanniques attirent toujours des étudiants du monde entier, on aimerait bien pouvoir en dire autant … Bah ca roule alors. S'ils pouvaient refaire une connerie de cette envergure dans les années qui viennent vu qu'y a encore quelques trucs qui marchent bien au UK à détruire. En tant que Frog moi ca me va. 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Desty-N Posté(e) le 17 janvier Share Posté(e) le 17 janvier Le 14/01/2024 à 21:52, Wallaby a dit : https://www.lenouvelespritpublic.fr/podcasts/477 (7 janvier 2024) Béatrice Giblin : (...) Je n'ai pas le temps de répondre à tout, mais j'ai pu vérifier quelques points (grâce à ChatGPT et Copilot ) avec des résultats contrastés. Le RU est toujours la 6ème puissance économique mondiale (derrière l'Inde son ancienne colonie...) mais avec un taux de croissance sur 2020-2022 de 0.2% en moyenne contre 0.57% pour la France et 0.77 pour l'UE. Révélation Source COPILOT : Voici les taux de croissance du PIB pour la France, le Royaume-Uni et l’UE entre 2020 et 2023 : France : 2020 : -7,9%1 2021 : +7%2 2022 : +2,6%3 2023 : +0,2%4 Royaume-Uni : 2020 : -11,0%5 2021 : +7,5%6 2022 : +4,1%7 2023 : Non disponible Union Européenne (UE) : 2020 : -5,9%8 2021 : +4,2%9 2022 : +4,0%10 2023 : +0,8%11 En comparant ces chiffres, on peut constater que le Royaume-Uni a connu la plus forte baisse en 2020, mais a également enregistré la plus forte croissance en 2021. Cependant, en 2022, la France et l’UE ont connu une croissance plus élevée que le Royaume-Uni. Pour 2023, nous n’avons pas de données pour le Royaume-Uni, mais la croissance prévue pour l’UE est plus élevée que celle de la France. Il est important de noter que ces chiffres sont des estimations et peuvent varier en fonction des sources et des mises à jour des données économiques. Source : conversation avec Bing, 17/01/2024 (1) Les comptes de la Nation en 2020 - Insee Première - 1860. https://www.insee.fr/fr/statistiques/5387891. (2) La croissance française atteint 7 % en 2021, du jamais-vu en 52 ans. https://www.lepoint.fr/economie/la-croissance-francaise-atteint-7-en-2021-du-jamais-vu-en-52-ans-28-01-2022-2462387_28.php. (3) La France enregistre une croissance de 2,6% en 2022, selon l'Insee. https://www.lefigaro.fr/conjoncture/la-france-enregistre-une-croissance-de-2-6-en-2022-selon-l-insee-20230131. (4) La France évite la récession et enregistre une croissance meilleure que prévu en fin d'année. https://www.msn.com/fr-fr/finance/economie/la-france-évite-la-récession-et-enregistre-une-croissance-meilleure-que-prévu-en-fin-dannée/ar-AA1mLV7i. (5) Indicateurs et conjoncture - ROYAUME-UNI - Direction générale du Trésor. https://www.tresor.economie.gouv.fr/Pays/GB/indicateurs-et-conjoncture. (6) Le Royaume-Uni affiche la plus forte croissance des pays développés. https://www.lesechos.fr/monde/europe/le-royaume-uni-affiche-la-plus-forte-croissance-des-pays-developpes-1386315. (7) Présentation de l'économie britannique - ROYAUME-UNI | Direction .... https://www.tresor.economie.gouv.fr/Pays/GB/presentation-de-l-economie-britannique. (8) Taux de croissance annuel moyen du PIB dans l’UE 2013-2023. https://fr.statista.com/statistiques/1336869/taux-croissance-annuel-moyen-pib-ue/. (9) La croissance de la zone euro sera plus forte que prévu en 2021 et 2022 .... https://www.capital.fr/economie-politique/la-croissance-de-la-zone-euro-sera-plus-forte-que-prevu-en-2021-et-2022-selon-lue-1402951. (10) Prévisions économiques de l'hiver 2022 : la croissance devrait .... https://france.representation.ec.europa.eu/informations/previsions-economiques-de-lhiver-2022-la-croissance-devrait-retrouver-de-lelan-apres-avoir-ralenti-2022-02-10_fr. (11) [Carte] La croissance dans l'Union européenne - Touteleurope.eu. https://www.touteleurope.eu/economie-et-social/la-croissance-en-europe/. Révélation Toujours Copilot : les taux de croissance moyens pour la période 2020-2022 pour la France, le Royaume-Uni et l'UE. **France** : Le taux de croissance moyen sur la période 2020-2022 est de $$\frac{-7,9\% + 7\% + 2,6\%}{3} = 0,57\%$$ **Royaume-Uni** : Le taux de croissance moyen sur la période 2020-2022 est de $$\frac{-11\% + 7,5\% + 4,1\%}{3} = 0,2\%$$ **Union Européenne (UE)** : Le taux de croissance moyen sur la période 2020-2022 est de $$\frac{-5,9\% + 4,2\% + 4\%}{3} = 0,77\%$$ Ces chiffres indiquent que l'UE a connu la plus forte croissance moyenne sur cette période, suivie de la France, puis du Royaume-Uni. Cependant, il est important de noter que ces chiffres sont des estimations et peuvent varier en fonction des sources et des mises à jour des données économiques. A ce rythme-là, d'ici 2-3 ans, la France aura rattrapé la GB. En ce qui concerne les facs, c'est plus nuancé. Oxford et Cambridge tirent, comme toujours leurs épingle du jeu et de manière générale les étudiants chinois compensent les pertes européennes . Révélation Encore COPILOT : Depuis 2020, les universités du Royaume-Uni ont connu une baisse significative du nombre d'étudiants européens. Cette baisse est en grande partie attribuée au Brexit et à la crise sanitaire⁸⁷. Par exemple, certaines universités britanniques ont connu une baisse de leur recrutement européen de 90%⁸. L'Université du Bedfordshire a enregistré la plus grande perte en pourcentage, avec 35 admissions contre 670 en 2020, soit une baisse de 95%⁸. Le University College de Londres a connu la plus grande baisse absolue, avec une chute de 51%⁸. En ce qui concerne les universités d'Oxford et de Cambridge, elles continuent d'attirer des étudiants internationaux malgré la tendance générale à la baisse¹². Cependant, les demandes d'admission d'étudiants européens pour 2022 dans ces universités prestigieuses ont chuté d'environ 16%⁷. Malgré la baisse du nombre d'étudiants européens, le nombre global d'étudiants étrangers inscrits dans les universités britanniques a augmenté de 1 point⁸. Cette hausse s'explique par le nombre record de 111.000 candidatures d'étrangers hors-UE, soit une augmentation de 12% par rapport à 2020⁸. Les étudiants chinois sont, à eux seuls, presque aussi nombreux que tous les étudiants européens⁸. En ce qui concerne les revenus des universités, la baisse du nombre d'étudiants européens a entraîné une diminution des revenus provenant des frais de scolarité et des activités connexes, comme les logements étudiants, les conférences et les événements⁷. On estime que cette perte pourrait totaliser environ 11 milliards de livres sterling⁷. Cependant, les universités cherchent à compenser cette perte en encourageant activement d'autres étudiants internationaux⁷. Les frais de scolarité pour les étudiants internationaux peuvent atteindre plus de 40.000 euros par an⁶. Il est important de noter que ces informations sont basées sur les données disponibles jusqu'en 2023 et peuvent être sujettes à des changements. Source : conversation avec Bing, 17/01/2024 (1) Avec le Brexit, le nombre d’étudiants européens au Royaume-Uni dégringole. https://etudiant.lefigaro.fr/article/avec-le-brexit-le-nombre-d-etudiants-europeens-au-royaume-uni-degringole_36dbc604-8505-11ec-a11c-f853482a4e33/. (2) Chute dramatique du nombre d'étudiants étrangers au Royaume-Uni depuis .... https://www.easyexpat.com/fr/mag/2022/01/06/chute-dramatique-des-etudiants-etrangers-au-royaume-uni-apres-le-brexit.htm. (3) Intégrer l'université d'Oxford : le guide - Étudier à l'étranger. https://www.etudionsaletranger.fr/etudier-en-angleterre/etudier-a-l-universite-d-oxford-en-angleterre-le-guide. (4) Université d'Oxford : des études pas comme les autres. https://www.etudiant-voyageur.fr/pourquoi-faire-ses-etudes-a-oxford/. (5) Combien coûtent les études en Angleterre ? - L'Etudiant. https://www.letudiant.fr/etudes/international/combien-coutent-les-etudes-en-angleterre.html. Mais le point WTF, c'est au sujet de l'Ukraine : Le 14/01/2024 à 21:52, Wallaby a dit : Considérons par exemple l’Ukraine. C’est tout de même le R-U qui a réagi le premier pour soutenir Kyiv, et continue de le faire de façon exemplaire. Sur le plan de la Défense, on n’a pas fait tellement mieux … Depuis quand la défense fait-elle partie des attributions de l'UE? 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 17 janvier Share Posté(e) le 17 janvier Il y a 11 heures, Desty-N a dit : $$\frac{-7,9\% + 7\% + 2,6\%}{3} = 0,57\%$$ Question de matheux : tu as fait des moyennes arithmétiques, mais n'aurait-il pas mieux valu faire des moyennes géométriques ? C'est à dire (en instructions Google) : (((100-7.9)*(100+7)*(100+2.6))^(1/3))-100 = +0.37 (((100-11.0)*(100+7.5)*(100+4.1))^(1/3))-100 = -0.13 (((100-5.9)*(100+4.2)*(100+4))^(1/3))-100 = +0.65 Question d'informaticien : c'est quoi ce langage avec les accolades, les dollars, le mot "frac", etc... C'est quel logiciel qui lit ce type d'instructions ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Albatas Posté(e) le 17 janvier Share Posté(e) le 17 janvier Il y a 1 heure, Wallaby a dit : Question d'informaticien : c'est quoi ce langage avec les accolades, les dollars, le mot "frac", etc... C'est quel logiciel qui lit ce type d'instructions ? C'est du TeX ou plutôt du Latex (mais pour une formule ça ne change rien) Et effectivement pour évaluer une croissance moyenne sur 3 ans il faut faire une moyenne géométrique. Dans ce cas le plus simple c'est de comparer la croissance global sur 2020-2022. On a pour les Gibi : 0.89 * 1.075 * 1.041 = 0.996 soit une baisse globale de 0.4 % Pour l France : 0.921 * 1.07 * 1.026 = 1.011 soit une hausse globale de 1.1 % On peut prendre la racine cubique pour avoir un taux annuel équivalent sur les trois ans mais ça n'apporte rien de plus. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Desty-N Posté(e) le 17 janvier Share Posté(e) le 17 janvier il y a 9 minutes, Albatas a dit : On a pour les Gibi : 0.89 * 1.075 * 1.041 = 0.996 soit une baisse globale de 0.4 % Pour l France : 0.921 * 1.07 * 1.026 = 1.011 soit une hausse globale de 1.1 % C'est encore mieux que ce que j'avais proposé, ça me va très bien Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 26 janvier Share Posté(e) le 26 janvier https://www.theguardian.com/uk-news/2024/jan/26/eu-citizens-ulez-fines-data-breach-tfl Selon les gouvernements européens, des centaines de milliers de citoyens de l'UE ont reçu à tort des amendes pour avoir conduit dans la zone d'air pur Ulez à Londres, dans ce qui a été décrit comme "probablement l'une des plus grandes violations de données de l'histoire de l'UE". Le Guardian peut révéler que Transport for London (TfL) a été accusé par cinq pays de l'UE d'avoir obtenu illégalement les noms et adresses de leurs citoyens afin d'émettre les amendes. Plus de 320 000 amendes, dont certaines s'élèvent à des milliers d'euros, ont été envoyées depuis 2021. 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. collectionneur Posté(e) le 28 janvier C’est un message populaire. Share Posté(e) le 28 janvier Caramba, encore raté. L'accord de libre-échange avec le Canada tombe à l'eau : https://www.rfi.fr/fr/économie/20240126-le-canada-et-le-royaume-uni-interrompent-leurs-négociations-de-libre-échange 5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 28 janvier Share Posté(e) le 28 janvier https://www.lefigaro.fr/conjoncture/londres-rompt-ses-negociations-commerciales-avec-ottawa-20240126 En échange d’importations sans quota de cheddar ou de stilton britannique, les Canadiens espéraient pouvoir exporter au Royaume-Uni du bœuf élevé aux hormones. L’interruption des pourparlers est «un soulagement pour les fermiers» anglais, s’est félicitée la présidente du syndicat National Farmers Union, Minette Batters. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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