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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

Ce sondage n’accepte plus de nouveau vote


Messages recommandés

à l’instant, g4lly a dit :

Quelqu'un t a demandé si tu voulais accueillir un millions de polonais?

Le jour ou les français accueilleront un million de polonais sans moufter on en reparlera.

Depuis le non à la constitution, ils se passent de ton accord avec un passe passe juridique....

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Il y a 5 heures, g4lly a dit :

Et donc ça les condamne à être les laquais des bourgeois ... :bloblaugh:

Sauf quand leur fierté passe avant leur pauvreté.

Vision petit-bourgeoise encore une fois...tout au moins dans sa dialectique

En l'espèce du Brexit, les travailleurs pauvres du centre de l'Angleterre,  espéraient simplement que la fin de la concurrence de la main d'oeuvre sous qualifiée mais sous payée de l'Est leur permettrait de retrouver du Boulot, une fois ceux ci éliminés.

Sans compter les mensonges des Brexiteurs sur le gain anticipté pour le fonctionnement du NIH, dans un pays où l'accès aux soins est une honte innomable pour un pays "avancé".

Mais sans avoir la vision que le cout du Brexit entrainerait un surenchérissement de leur pannier quotidien, ni que le Brexit risquait de faire décamper les grosses entreprises qui fournissent encore un travail aux quelques ouvriers existants encore dans ce pays largement et volontairement désindustrialisé.

Et sans parler de la perte des emplois de service, comme laquais de ces messieurs de la City, puisque les GiBi avaient largement misé là dessus...

Bref un truc un peu plus complexe que tous les scenarii à  2 balles vendus par les Brexiteurs et dans lequel la notion de Baroud d'honneur de la dignité ouvrière n'est probablement pas le primum movens :dry:

 

Révélation

 

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Il y a 8 heures, g4lly a dit :

L'objectif initial n'était pas de quitter l'Union, mais de faire cesser l'invasion étrangère au Uk.

De la même manière que dans beaucoup de pays le patronat aime les émigré parce qu'il sont moins cher et moins chien que les installés. Donc depuis toujours le Uk, coté patronat ... fait table ouverte en laissant n'importe qui embaucher n'importe quel clando. A la base il y avait plus ou moins des regles facilitant l'immigration venu du Commonwealth. Et après de nombreuse années - des centaines techniquement depuis l'empire des indes - a ce régime ... en tout et pour tout la plus grosse population immigrée les indiens était un gros millions. Ils parlaient anglais, jouaient au cricket, reconnaissaient la reine etc.

Puis d'un coup brutalement en quelques année ... un millions de polonais s'installent au Uk ...

Ce fut la tonne d'eau qui fit déborder le vase, pour les classes populaires.

L'Union a expliqué que c'était a ou rien ... Cameron était persuadé que les prolos se chieraient dessus ... les prolos ont voté Brexit.

Sauf qu'ici c'est un non choix ...

... il y avait un désaccord sur la politique immigrationniste interne a l'Union. En gros un pays peu très bien en envahir démographiquement un autre sans qu'on ai le droit de limiter quoique ce soit.

Et ni l'Union ni Cameron n'ont saisie l'ampleur du  mécontentement.

L'Union a tellement l'habitude de faire passer toute ses dondaines contre l'avis des peuple ... elle a cru que ca passerait une fois de plus. Cameron pareil...

Au final le peuple a voter qu'il en avait marre qu'on le prenne pour un con ... qu'on gouverne sans lui ... et a préféré envoyer tout le monde dans le chaos que d'y vivre tout seul.

Pour le prolos anglais rien ne va changer ... il restera pauvre avec ou sans l'Union. C'est pas comme si les prolos anglais avaient pas l'habitude de sucer es cailloux.

C'est les bourgeois que ça emmerde.

Tu oublis une donnée importante... L'optique voulue par les anglais... Le communautarisme... 

Et on en est arrivé à un stade où c'est devenu ingérable pour les anglais qui pensé que cela n'aurait aucune incidence sociétale dans la durée... 

Entre temp la crise et plus de boulots... 

Quand le prolo anglais depuis longtemps déjà dans la merde à du trouver plusieurs boulots pour survivre... Ben il y avait déjà du monde dans ses petits boulots... 

Alors je ne suis pas un fan de l'Europe telle qu'elle pense, mais cela a était l'excuse facile pour les anglais de taper sur l'Europe qui a effectivement des défauts mais pas que , d'un côté les bourgeois ( europsceptique ou pas) qui n'avaient pas assez d'avantages ( alors qu'ils ont imposé des conditions comme garder la livre) et qui a bien profité chez lui... En se foutant du sort de leurs propres prolos... 

Le Brexit à mis en avant une chose, avant il n'y avait que le city qui retombé sur ses pattes... 

Alors avec se cocktail explosif qu'ils se prennent en pleine face... Ben oui on ne va pas pleurer pour eux... De toute ils n'ont jamais put nous encadrer les anglais... Prolo ou bourgeois... 

Bon ils ne sont pas tous mauvais non plus, mais se brexit pour moi c'est l'image des gens qui ont toujours été les cocus de l'histoire et des bourgeois qui ont toujours cocufié les prolos via la city... 

Bien évidemment je ne juge pas la bourgeoisie, vu que chez les prolos il y a aussi des cons mode blaireau... 

Pour moi une société ça reste une pyramide qui devrait être équilibrée, pas toujours facile à gérer, mais qui reste un système logique. 

En GB à force d'avoir joué sur divers tableau optique géométrie variable ben cela leur a péter à la gueule et quand on voit que les dirigeants pro brexit ont déserté leur rôle de leader une fois face au réalité du Brexit... Ben les prolos ils ce sont surtout aperçu que leur affaire de brexit c'était surtout une crise anglo-anglaise... 

Qui a le mieux profité de l'Europe au final ? 

Les anti Europe anglais et les pro Europe anglais ( enfin pro quand tout allé dans leur sens...). 

Donc moi je peux entendre que le prolo anglais il en ai eu marre, mais il s'est surtout d'abord et principalement fait baiser par sa propre élite... Depuis très longtemps déjà et bien avant que la GB entre dans l'union... 

Bien évidemment cela ne veut pas dire que l'Europe elle est parfaite, mais le côté libérale qui s'est imposé dans la politique économique dans l'Union elle a été aussi animé par les anglais qui étaient dans l'Union , avec comme soutien des libéraux sans limite des autres pays qui ont suivi... 

Car oui les avantages qu'on obtenu les anglais en entrant dans l'Union et pendant a toujours en mode libéral... Européen mais avec des limites, fallait pas que le côté trop social vienne donner de mauvaises idées aux prolos en GB... 

En plus ils étaient comme le cheval de Troie des US... Enfin pas en mode théorie du complot bien évidemment mais c'est une réalité... 

Le pb c'est que se brexit n'a pas arrangé les US... Vu que l'optique libérale des anglais au sein de l'Union elle servait bien leurs affaires... 

Alors quand bien même l'Europe a des défauts, que j'ai souvent mis en avant via des critiques pas piquer des hannetons, mais le brexit c'est un pb anglo-anglais en premier... 

Je pense avoir fait le tour du sujet, enfin dans ma compréhension de celui-ci. 

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En passant, pour information, les sondages continuent à bouger dans le sens du rétropédalage au RU, avec mois après mois et de manière cnstante une majorité qui se renforce pour vouloir aller contre la sortie de l'UE et, au moins, voter une seconde fois.

The Independent pointait aussi récemment (toujours par un sondage, 1500 pers.) des mouvements importants de défiance envers les 2 grands partis historiques et une grosse envoie de centrisme pro-UE, dans tous les cas une montée très forte du sentiment de n'être pas correctement représenté par le Labour ou par les Torries.

Ca me rappelle quelque chose, mais quoi ?

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Il y a 1 heure, Boule75 a dit :

Ca me rappelle quelque chose, mais quoi ?

Le référendum de 2005? Alias: "vous avez voté mais vous avez mal voté, du coup on va revoter jusqu'à ce que vous ayez bien voté"?
Ah non c'est pas ça.
Un truc qui a rassemblé des transfuges des deux mouvements pour réussir à faire pire qu'eux deux réunis? tout en ne constituant certainement pas une majorité quelconque vu que les 4 plus gros partis en lice se sont retrouvés autour de 20% chacun, sachant qu'ensuite ce nouvel amalgame a trahi et éjecté son allié de circonstance de la campagne présidentielle, le modem?

Sinon, parmi les gaulois réfractaires illettrés qui ne sont rien, n'ont pas de costards car ils ne travaillent pas, coûtent un pognon de dingue avec leurs retraites et leurs minima sociaux, et feraient mieux de chercher des postes au lieu de foutre le bordel, les fainéants, cyniques et extrêmes, qui ont pourtant "fait barrage", je suis presque certain qu'il y en a aussi un bon paquet qui aimeraient aussi revoter.
On s'amuse à les compter?

...

Ce qui me ferait bien rigoler c'est si une fois de plus les jeunes anglais européistes n'allaient pas voter en se disant "ahah le return (appelons-ça comme ça) va forcément gagner" et qu'une fois de plus ce soit brexit pour tout le monde...

Comprends bien que je me fous du sort de la diplomatie britannique ou de leur intégrité territoriale, et que je considère le Brexit comme une ânerie sans nom, mais chercher à dénaturer le processus pour rentrer par la fenêtre après être sortis par la porte??? Avec toutes les concessions arrachées au fil du temps??? Les passe-droits, le cul entre deux chaises? Non, non, et non. Qu'ils assument. Entièrement. C'est 100% in ou 100% out.

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5 minutes ago, Patrick said:

Comprends bien que je me fous du sort de la diplomatie britannique ou de leur intégrité territoriale, et que je considère le Brexit comme une ânerie sans nom, mais chercher à dénaturer le processus pour rentrer par la fenêtre après être sortis par la porte??? Avec toutes les concessions arrachées au fil du temps??? Les passe-droits, le cul entre deux chaises? Non, non, et non. Qu'ils assument. Entièrement. C'est 100% in ou 100% out. 

Le fond du probleme c'est que sortie ou non ... ça ne règle pas le probleme de fond de l'immigration interne et externe dans l'Union ...

Et que pour le moment l'Union a décider de ne rien adapter - en gros de faire comme s'il n'y avait pas de probleme - ... alimentant grassement les politiques conservatrice anti immigration.

En gros l'Union continue de se pendre lentement ... sans ménager le moins du monde son acceptabilité.

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Il y a 1 heure, Patrick a dit :

Qu'ils assument. Entièrement. C'est 100% in ou 100% out.

Gainsbourg se pose des questions à ce sujet

 

Et encore... c'est bien parce que nous sommes sur un forum familial et de bonne tenue que je me suis retenu de faire certains commentaires sur la rhétorique du "in and out" :happy: ...

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Il y a 4 heures, Patrick a dit :

Le référendum de 2005? Alias: "vous avez voté mais vous avez mal voté, du coup on va revoter jusqu'à ce que vous ayez bien voté"?
Ah non c'est pas ça.
Un truc qui a rassemblé des transfuges des deux mouvements pour réussir à faire pire qu'eux deux réunis? tout en ne constituant certainement pas une majorité quelconque vu que les 4 plus gros partis en lice se sont retrouvés autour de 20% chacun, sachant qu'ensuite ce nouvel amalgame a trahi et éjecté son allié de circonstance de la campagne présidentielle, le modem?

Sinon, parmi les gaulois réfractaires illettrés qui ne sont rien, n'ont pas de costards car ils ne travaillent pas, coûtent un pognon de dingue avec leurs retraites et leurs minima sociaux, et feraient mieux de chercher des postes au lieu de foutre le bordel, les fainéants, cyniques et extrêmes, qui ont pourtant "fait barrage", je suis presque certain qu'il y en a aussi un bon paquet qui aimeraient aussi revoter.
On s'amuse à les compter?

...

Ce qui me ferait bien rigoler c'est si une fois de plus les jeunes anglais européistes n'allaient pas voter en se disant "ahah le return (appelons-ça comme ça) va forcément gagner" et qu'une fois de plus ce soit brexit pour tout le monde...

Comprends bien que je me fous du sort de la diplomatie britannique ou de leur intégrité territoriale, et que je considère le Brexit comme une ânerie sans nom, mais chercher à dénaturer le processus pour rentrer par la fenêtre après être sortis par la porte??? Avec toutes les concessions arrachées au fil du temps??? Les passe-droits, le cul entre deux chaises? Non, non, et non. Qu'ils assument. Entièrement. C'est 100% in ou 100% out.

ouais,

revoter pour qui, si on se base sur les mêmes qui étaient présents .

Marine, qui voulait sortir de l'UE ?

Hamon qui a à peine dépassé les 5 points...

La Méluche, pour qui le Vénézuela et Cuba sont des exemples à suivre...

La truffe des Républicains qui fait du Marine soft ??? (qui ne propose rien, mais conteste tout ce qui est fait).

Pour un vieux ????

 

L'arrivée de Macron a donné un coup de jeune et a viré tous les professionnels de la politique, qui n'avaient jamais travaillé mais qui faisaient nos lois.

Il n'y a pas UNE recette pour faire marcher le pays, mais, une pincée de ceci, un doigt de cela, un pouillième d'autre chose.... et nous sommes interdépendants d'autres pays, de l'UE, etc...

 

Les politiques d'avant ont continué à gérer comme avant, sans jamais vouloir innover, ne jamais prendre de risques. C'est pour cela qu'on se casse la gueule depuis 40 ans.

 

Il fallait quand même être sacrement immature pour s'imaginer que le lendemain de l' élection de Macron, les décisions seraient prises, les effets négatifs nuls et les résultats positifs étincelants et immédiats. Comme s'il avait LA solution.

 

 

 

Il y a 2 heures, mehari a dit :

cut

 

Après, on peut se plaindre quand un politicien ne remplit pas ses promesses de campagnes mais se plaindre quand il les remplit, c'est un peu fort quand même...

et pour Macron, il a promis du changement, c'est en partie pour cela qu'il a été élu...

s'il fait, ça rale,

s'il ne fait pas, ça va raler, alors ???

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il y a une heure, christophe 38 a dit :

ouais,

revoter pour qui, si on se base sur les mêmes qui étaient présents .

Euh :smile: il me semble bien que l'argument de Patrick n'était pas "Faut qu'on revote à l'élection présidentielle de 2017, là tout de suite sans attendre 2022"

Mais bien "Il serait aussi ridicule de refaire maintenant le référendum britannique de 2016 que de refaire maintenant la présidentielle française de 2017".

Et si c'était bien le message... alors je dois avouer être tout à fait d'accord :happy:

Les élections ont des conséquences. Ce sont des prises de décision. Qui sont valables... du moins pour un certain temps.

Il n'est d'ailleurs pas plus impossible pour les Britanniques de poser à l'avenir leur candidature pour revenir dans l'UE - s'ils le décident - que pour les Français de voter en 2022 dans un autre sens que pour un candidat et une politique du genre Macron - si c'est notre choix.

Mais en attendant, une décision doit être appliquée. Les fantasmes du genre "et si on revotait là maintenant avant de sortir"... ne sont que des fantasmes justement. J'irais jusqu'à dire des criailleries, sans vouloir insulter personne mais en pensant aux diverses billevesées et mouvements d'humeur qui s'aperçoivent ces temps-ci chez l'oncle Sam.

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Il y a 11 heures, g4lly a dit :

Le fond du probleme c'est que sortie ou non ... ça ne règle pas le probleme de fond de l'immigration interne et externe dans l'Union ...

Et que pour le moment l'Union a décider de ne rien adapter - en gros de faire comme s'il n'y avait pas de probleme - ... alimentant grassement les politiques conservatrice anti immigration.

En gros l'Union continue de se pendre lentement ... sans ménager le moins du monde son acceptabilité.

Je vais me répéter, mais vu l'intitulé du sujet, l'immigration interne et externe dans l'Union, c'est H.S. La GB se débrouille très bien toute seule pour faire venir des travailleurs sous qualifiés. Elle n'a pas besoin de l'UE ou du Brexit pour faire évoluer sa politique sur le sujet.
Ensuite, la question de la politique menée par Bruxelles vis-à-vis des migrants, c'est un vrai problème, mais je pense qu'on devrait plutôt le traiter dans un autre sujet du forum. Par exemple [Union Européenne] nos projets, son futur ( http://www.air-defense.net/forum/topic/6986-union-europ%C3%A9enne-nos-projets-son-futur/ ) 

Quitte à faire un HS, je voudrais quand même rappeler que ce type de décision de la Commission est validée par nos dirigeants, comme ce sera le cas demain à Strasbourg :  

https://www.lemonde.fr/europe/article/2018/09/19/migration-et-brexit-au-menu-du-sommet-europeen-de-salzbourg_5357103_3214.html

Et que même un pays membre de Schengen, peut prendre des  décisions unilatérales, comme quand Angela-Merkel-conscience-de-l'Europe a décidé d'accueillir un million de Syriens.

Les institutions européennes ont bon dos ...

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bah ! il suffit de mettre les frontières entre l'irlande du nord et le reste, du moins pour le contrôle des marchandises essentiellement.

Brexit: May va rejeter l'offre "améliorée" de l'UE sur l'Irlande

https://fr.yahoo.com/news/brexit-may-va-rejeter-loffre-améliorée-lue-sur-114621367.html

 

Actualités

Brexit: May va rejeter l'offre "améliorée" de l'UE sur l'Irlande

 LONDRES (Reuters) - Theresa May va rejeter une offre européenne "améliorée" visant à résoudre la question de la frontière irlandaise, estimant que cette proposition continue d'enfreindre les lignes rouges qu'elle s'est fixées sur le Brexit, rapporte mercredi le quotidien The Times.

La Première ministre britannique signifiera son rejet lors du dîner informel des dirigeants européens qui aura lieu ce mercredi soir à Salzbourg. Elle leur dira que toute solution doit convenir à l'ensemble du Royaume-Uni et que son propre plan de sortie est justement conçu pour répondre à ce problème.

Le livre sterling a cédé du terrain contre le dollar après la diffusion de l'article.

Michel Barnier, négociateur en chef de l'UE, a déclaré mardi que l'UE était prête à mettre sur la table une nouvelle proposition de clause de sauvegarde ("backstop") - permettant d'éviter le rétablissement d'une frontière entre Irlande et Irlande du Nord en cas d'absence d'accord commercial entre Londres et Bruxelles - susceptible de plaire à la Première ministre britannique.

L'UE ne proposerait plus de contrôles douaniers en mer d'Irlande - ce qui constituerait de facto une frontière entre Grande-Bretagne et Irlande du Nord - et s'engagerait à respecter "l'intégrité territoriale du Royaume-Uni".

Selon un haut responsable britannique cité par le Times, Michel Barnier n'a cependant pas renoncé à exiger que l'Irlande du Nord soit traité comme un territoire douanier séparé du reste du Royaume-Uni.

"Nous saluons l'engagement à trouver une solution, puisque la proposition avancée par la Commission en mars était inacceptable. Nous avons été très clairs sur le fait que nous ne pouvions pas accepter que l'Irlande du Nord soit séparée de la zone douanière du Royaume-Uni", a commenté un source gouvernementale, contactée par Reuters après les révélations du Times.

(Andy Bruce et Elizabeth Piper; Jean-Stéphane Brosse pour le service français

Modifié par zx
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Le 19/09/2018 à 02:38, mehari a dit :

Après, on peut se plaindre quand un politicien ne remplit pas ses promesses de campagnes mais se plaindre quand il les remplit, c'est un peu fort quand même...

Ben oui, justement, tout le monde sait qu'un politicien élu applique l'exacte opposée de son programme, donc là Sarkozy avait triché en ne respectant pas cette règle !

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AFP: Brexit: l'UE accroît la pression sur Londres dans le sprint final

https://fr.yahoo.com/news/ue-dernière-ligne-droite-tension-négociations-brexit-020447790.html

 

Salzbourg (Autriche) (AFP) - Les dirigeants européens ont accru la pression jeudi sur la Première mnistre Theresa May, l'appelant à revoir sa copie pour finaliser les négociations du Brexit, entrées dans leur phase décisive mais toujours bloquées par le dossier irlandais.

Même s'ils ont salué des évolutions "positives" du Royaume-Uni et une meilleure "atmosphère" dans la préparation du divorce, prévu fin mars 2019, les 27 ont surtout demandé à la dirigeante conservatrice d'améliorer ses récentes propositions, lors d'un sommet de l'UE à Salzbourg (Autriche).

"Le cadre des relations économiques tel qu'il est proposé ne fonctionnera pas, ne serait-ce que parce qu'il saperait les fondements du marché intérieur" de l'Union, a affirmé le président du Conseil européen, Donald Tusk, à l'issue de la rencontre.

Les propositions britanniques ne sont "pas acceptables en l'état", car elles "ne sont pas respectueuses de l'intégrité du marché unique", lui a fait écho le président français Emmanuel Macron, jugeant que "l'heure de vérité" des négociations était arrivée.

Mme May a répliqué que son plan dit de "Chequers" restait "la seule proposition sérieuse et crédible" sur la table, qui permettrait de garantir à long terme qu'une nouvelle frontière physique n'allait pas réapparaître entre l'Irlande du Nord et l'Irlande.

"Nous présenterons bientôt nos propres propositions", a-t-elle toutefois ajouté, pour régler le problème irlandais, devenu le principal risque d'échec des négociations, et d'aboutir à un départ britannique sans accord.

- 'Créativité' -

Londres et Bruxelles ont trouvé des compromis sur la plupart des questions à régler avant leur rupture programmée, notamment celle de la facture à régler par Londres. Mais ils continuent de buter sur certains points, et principalement sur cette question irlandaise.

Les deux parties sont d'accord pour éviter le retour d'une frontière physique entre la province britannique d'Irlande du Nord et la République d'Irlande, mais Londres conteste les termes du "filet de sécurité" ("backstop") réclamé par l'UE pour garantir ce résultat.

La solution préconisée par les 27 --qui prévoit le maintien de l'Irlande du Nord dans l'union douanière s'il n'y a pas d'autre solution satisfaisante-- est jugée "inacceptable" en l'état par Londres, car elle créerait à ses yeux une frontière de fait entre l'Irlande du Nord et le reste du Royaume-Uni.

Mme May continue elle de défendre son plan de Chequers: le maintien d'une relation commerciale étroite avec l'UE après le divorce, grâce à la mise en place d'une zone de libre-échange pour les biens, qui résoudra de fait selon elle le problème de la frontière irlandaise.

Pour les Européens, cette solution relève de la relation future avec Londres, qui devra être négociée dans le détail après les termes du divorce. Et surtout, elle est contraire aux règles européennes, qui lient la liberté de circulation des biens à celle des personnes.

"On peut encore faire preuve de beaucoup de créativité pour trouver des solutions réalisables en pratique, satisfaisantes et solides", a estimé Angela Merkel. "Mais il y a encore un certain chemin à parcourir", a ajouté la chancelière allemande.

Son homologue autrichien, Sebastian Kurz, avait assuré dans la matinée qu'un sommet extraordinaire serait organisé en novembre pour finaliser les discussions, en plus d'un sommet déjà prévu le 18 octobre, initialement censé boucler les négociations.

Mais M. Tusk a précisé que son principe n'était pas gravé dans le marbre. Il a expliqué qu'il convoquerait ce sommet, les 17 et 18 novembre, s'il apparaissait nécessaire pour "finaliser" légalement l'accord de retrait, dont le contenu reste à définir principaement en octobre selon lui.

"Derrière les prises de positions publiques dures dans les médias", "j'ai l'impression que les deux parties sont conscientes que l'on peut seulement trouver une solution si chacun fait un pas vers l'autre", a estimé le chancelier Kurz.

- Second référendum? -

"Il y a un point de vue unanime, ou presque unanime autour de la table, selon lequel nous aimerions que (...) le Royaume-Uni tienne un autre référendum", a plaidé de son côté le Premier ministre maltais Joseph Muscat à la BBC, alors que Mme May a fermement exclu cette hypothèse.

Plusieurs sources ont toutefois assuré que les 27 n'avaient pas abordé le sujet à Salzbourg.

"Il ne m'appartient pas de me prononcer sur le choix souverain du peuple britannique. Les choses avancent mais elles ne sont pas aussi simples" que ne l'ont dit "ceux qui ont promis monts et merveille" au moment du référendum sur le Brexit, a expliqué le président français Emmanuel Macron, en les traitant de "menteurs".

Avant le déjeuner à 27 consacré au Brexit jeudi, les dirigeants européens ont débattu dans la matinée de questions de sécurité, comme la coopération policière ou la lutte contre les contenus terroristes sur internet.

Ils avaient aussi eu la veille un long débat sur les migrations. S'il s'est déroulé sans tensions majeures selon des sources européennes, la discussion n'a guère fait évoluer sur la question du partage de l'accueil des demandeurs d'asile arrivant sur les côtes européennes, rejeté catégoriquement par les pays de l'Est.

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Actualités

REUTERS: Brexit: La France veut parer à un torpillage des liens militaires

https://fr.yahoo.com/news/brexit-la-france-veut-parer-à-un-torpillage-171004488--business.html

LONDRES-PARIS (Reuters) - La France et le Royaume-Uni doivent relever le défi du Brexit, accord ou pas, en approfondissant leur partenariat militaire et stratégique à condition qu'il ne souffre pas de restrictions budgétaires et n'"affaiblisse" pas l'Europe de la Défense, a déclaré jeudi la ministre française des Armées.

"Nous devons trouver une solution pour avancer", a souligné Florence Parly à Londres, alors qu'un périlleux épilogue se dessine dans les négociations sur la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne.

"Le Brexit rend notre coopération encore plus nécessaire, mais il ne la rend aucunement plus facile", a-t-elle jugé lors d'un discours en anglais devant la 7e conférence Défense du Conseil franco-britannique, une instance réunissant représentants civils et militaires et industriels des deux pays.

"Nous allons continuer à renforcer notre partenariat stratégique, mais pas au prix d'un affaiblissement de l'Europe."

Paris et Londres sont liés depuis novembre 2010 par les accords de Lancaster House qui ont notamment institué une force expéditionnaire commune interarmées, avec l'objectif de déployer 10.000 hommes en cas de crise. Le sommet de Sandhurst, en janvier dernier, a scellé de nouveaux rapprochements, particulièrement dans l'industrie (missiles, drones, "avion du futur"-FCAS, un programme de deux milliards d'euros).

La Première ministre britannique, Theresa May, avait appelé de ses voeux en février dernier la conclusion d'un traité de défense et de sécurité d'ici le 29 mars 2019, date-butoir pour la sortie du Royaume-Uni.

"Le choix stratégique des Britanniques, c'est soit rester proches du logiciel européen, soit donner corps à une 'global Britain'. Tout cela dépend aussi des choix économiques et commerciaux qu'ils feront", estime un diplomate européen.

PERTE DE LEADERSHIP

Pour la sénatrice (PS) Hélène Conway-Mouret, vice-présidente de la commission des Affaires étrangères et de la Défense du Sénat, l'offre de May s'inscrit "dans un calendrier trop serré".

"Je ne vois pas comment les relations de sécurité et de défense pourraient ne pas être impactées par le Brexit, même s'il y a une volonté affichée de participer au programme de l'UE post-Brexit", a-t-elle estimé lors des Universités d'été de la Défense. "Une approche à la carte pourrait fonctionner."

Il y a un an, par un document sur "la politique étrangère, la défense et le développement" post-Brexit, les Britanniques ont proposé de participer à des opérations de défense européennes, d'échanger des personnels militaires, de partager des informations confidentielles sur une base de réciprocité, et même de contribuer financièrement à la Défense européenne.

Londres souhaiterait en contrepartie être associé à la "Coopération structurée permanente" mise en place en décembre 2017, dans la ligne du traité de Lisbonne, pour renforcer la coopération militaire et sécuritaire entre 25 Etats membres.

"Au-delà des partenariats bilatéraux, l'Initiative européenne d'intervention peut-être aussi un cadre", juge-t-on au ministère français des Armées. L'IEI, une coalition de neuf pays européens, dont la France et la Grande-Bretagne, qui complétera la CSP dans le domaine de la planification opérationnelle, devrait prendre corps en novembre prochain.

Un parlementaire britannique partisan du maintien du Royaume-Uni dans l'UE considère que "l'appel du grand large" de Winston Churchill, en matière de Défense, ne trouve pas d'écho au sein de l'administration britannique, "Brexiters" compris.

"On n'aime pas la réglementation, mais on veut conserver de bons liens. Face au défi que représentent aujourd'hui les Etats-Unis de Donald Trump, il y a encore plus de raisons de participer à la Défense européenne", relève-t-il.

Même si Michel Barnier, chargé des négociations du Brexit pour l'UE, "juge lui-même qu'on peut aller vers un partenariat sans précédent sur les questions de Défense, le Royaume-Uni va perdre en leadership", note pour sa part le diplomate européen.

L'INCONNUE BUDGÉTAIRE

L'appréciation militaire diffère.

"Ça reste et va rester 'business as usual'. La bascule du commandement d'Atalante, c'est un détail technique, les échanges de renseignement continueront comme avant", analyse un membre de l'état-major de la marine française.

Le transfert programmé de l'état-major opérationnel de la mission européenne Atalante contre la piraterie dans le golfe d'Aden et l'océan Indien, de Northwood à Rota (Espagne) et Brest, est un coup porté à la prééminence britannique.

Les armées françaises mettent aussi en avant la contribution britannique à l'opération Barkhane au Sahel avec l'arrivée de trois hélicoptère "Chinook" à Gao en août, ou le déploiement de forces britanniques et françaises en 2019 en Estonie dans le cadre de la "présence avancée renforcée" de l'Otan.

"Il n'y a pas de cloisons étanches entre les différents outils au service de la défense collective en Europe. Le Brexit ne constitue pas une nouvelle cloison étanche entre nous", avait déclaré le général André Lanata, ex-chef d'état-major de l'armée de l'air française, en mai dernier.

Un représentant de l'industrie française de Défense temporise : "Il est dangereux de rentrer dans ce débat avec un esprit pragmatique par trop britannique. Il nous faut un outil juridique, un traité, pour rendre compatibles l'autonomie stratégique européenne et la souveraineté britannique."

Si un cadre global s'esquisse, une inconnue demeure : le Royaume-Uni sera-t-il en mesure de maintenir un budget à la hauteur des enjeux?

Florence Parly, jeudi, a été sans détour: "Nous voulons être sûrs que notre coopération ne sera pas impactée par la réduction des ressources nationales - singulièrement pour nos programmes d'équipements conjoints".

Premier budget militaire d'Europe, le Royaume-Uni pourvoit avec la France, à ce jour, à près de la moitié du budget de Défense de l'Union européenne.

"Les Britanniques n'ont plus d'argent. On pouvait imaginer avant le Brexit qu'on jouerait un jeu à trois avec l'Allemagne, aujourd'hui on n'a pas d'autre choix qu'un face-à-face avec l'Allemagne", tranche un haut responsable militaire français.

Brexit : Londres sommé de revoir sa copie

http://www.lefigaro.fr/international/2018/09/20/01003-20180920ARTFIG00305-brexit-londres-somme-de-revoir-sa-copie.php

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Le 20/09/2018 à 23:13, Boule75 a dit :

Oui : le sommet n'a pas été une franche réussite pour May en dépit de tout le spin déversé en amont. La séquence ressemble un peu à ça, d'après ce que j'ai glané dans la presse britannique.

Après un petit battage médiatique assurant que l'UE se fissurait (énième occurrence), May a signé un édito dans Die Welt pour vanter la proposition d'accord dite de Chequers, concernant l'économie, le seul qu'elle soit parvenu à faire difficilement avaler à sa majorité, dont il lui avait pourtant été dit et redit par Barnier, Macron et plusieurs autres qu'il n'était pas tolérable, qu'il créait une distinction facilement contournable et d'abus aisé entre services et biens, par exemple.

Viktor Orban a fait le baisemain à May et a assuré qu'un nombre croissant de chefs d'états étaient opposés à la "punition des britanniques", qu'ils avaient de bonnes cartes.

Puis May a rencontré le Premier Ministre irlandais Leo Varadkar pour lui annoncer que finalement, le sort de l'Irlande du Nord et de sa frontière avec le Sud ne pourrait être scellé à court terme, qu'il fallait accepter de discuter finalement de ça plus tard, qu'on verrait bien, que ça irait, etc. Elle a apparemment cru que ça passait, à tort manifestement : le RU avait pris des engagements sur l'Irlande, avec des échéances fermes...

Puis elle a continué à rencontré Donald Tusk qui lui a signalé que le recul sur l'Irlande et l'absence de progrès au-delà de Chequers irritait profondément.

Mais ça n'a pas suffit à l'attendrir, suite à quoi elle s'est faite démonter au dîner, notamment par Macron qui a lapidé les chefs des brexiters (menteurs, démissionnaires le lendemain), pendant qu'Orban observait attentivement le bout de ses chaussures et que personne ne disait le contraire.

Côté Brexiters, on s'offusque ! Et on invite Macron à ne pas empiéter sur la politique britannique en criant à la dictature de l'UE :

La température monte et les anglais ont besoin d'une élection générale...

sympa l’ambiance !!

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Royaume-Uni: Toyota menace d'interrompre sa production en cas de "Brexit dur"

Le patron du constructeur automobile japonais Toyota au Royaume-Uni, Marvin Cooke, a prévenu samedi que l'usine britannique de Burnaston verrait sa production temporairement interrompue en cas d'une sortie de l'Union européenne sans accord.

https://www.challenges.fr/monde/europe/les-menaces-de-toyota-en-cas-de-brexit-dur_616189#xtor=CS3-89-[Royaume-Uni%3A Toyota menace d'interrompre sa production en cas de "Brexit dur"]

 

 

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Le 20/09/2018 à 23:13, Boule75 a dit :

Côté Brexiters, on s'offusque ! Et on invite Macron à ne pas empiéter sur la politique britannique en criant à la dictature de l'UE :

La température monte et les anglais ont besoin d'une élection générale...

La rhétorique escalade.

Lors d'une conférence du parti conservateur, le nouveau ministre des affaires étrangères Jeremy Hunt a pris des accents de Boris Johnson, et carrément comparé l'UE à ... L'URSS.
Il a eu une volée d'applaudissement dans la salle ... puis une volée de bois vert de la part des autres partis et pays européens.

https://www.irishtimes.com/news/world/uk/brexit-jeremy-hunt-compares-eu-to-prison-and-soviet-union-1.3646873

https://www.politico.eu/article/jeremy-hunt-to-brussels-dont-turn-eu-into-prison/

https://www.ft.com/content/39d24b02-c56f-11e8-8670-c5353379f7c2


Après, l'objectif était peut être de se positionner comme alternatives à T.May attaquée de toutes parts, pour de nouvelles  élections.

C'est peut être pour ça aussi que Jeremy Corbyn (Labour tendance très alter-xyz) a lancé une grande offensive de charme ...
Ce qui inclut d'accepter publiquement la culpabilité russe pour l'affaire Skripal.
https://www.mirror.co.uk/news/politics/jeremy-corbyn-says-accepts-evidence-13312716
Je ne sais pas s'il y croit personnellement, mais c'est un faible prix à payer pour monter au pouvoir.
Londres vaut bien une messe :tongue:

(il faut dire aussi que des médias russes officiels commencent aussi à démonter la version officielle...)
Plus d'info à venir sur le fil UK (quand j'aurais le temps) et Russie...

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J'espère que vous n'avez pas de projet expat  pour aller au RU, ca en promet des tracasseries administratives

Brexit : Londres traitera les Européens comme les autres immigrés

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2018/10/02/97001-20181002FILWWW00010-brexit-londres-traitera-les-europeens-comme-les-autres-immigres.php

 

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