prof.566 Posté(e) le 20 juillet 2019 Share Posté(e) le 20 juillet 2019 On 7/18/2019 at 10:55 PM, Benoitleg said: Ça vaut le coup. Je pourrais raconter à mes petits-enfants avoir encore vu des hommes politiques lever des harengs fumés en l'air. D'ici là, on les aura peut-être tous pêchés .... Sans compter le balai de Schwazenegger. Ustensile probablement obsolète pour nos petits enfants... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 20 juillet 2019 Share Posté(e) le 20 juillet 2019 Citation « Non à Boris, oui à l’Europe », ont scandé des milliers de manifestants anti-Brexit à Londres. Des opposants au départ du Royaume-Uni de l’Union européenne ont défilé dans la capitale britannique, quelques jours avant la probable désignation de Boris Johnson comme premier ministre. https://www.lemonde.fr/international/article/2019/07/20/non-a-boris-oui-a-l-europe-ont-scande-des-milliers-de-manifestants-anti-brexit-a-londres_5491669_3210.html 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 20 juillet 2019 Share Posté(e) le 20 juillet 2019 https://www.lenouvelespritpublic.fr/podcasts/162 (7 juillet 2019) Marc-Olivier Padis : Ces élections européennes semblent aussi avoir clos un débat qui avait cours en France et ailleurs en Europe. Il porte sur l’idée que le referendum de 2016 n’avait pas été gagné « à la loyale » par les Brexiters, qu’il était le fait d’un malentendu. L’abstention des jeunes était massive, mais surtout la campagne en faveur du Leave avait accumulé les mensonges et les promesses démagogiques. Or, les européennes ont montré que les Britanniques veulent quand même sortir. Dans cette recomposition politique britannique, le petit parti appelé Change UK, mené par Chuka Umunna, n’a pas réussi à émerger. Il reprochait au parti travailliste sa position floue et s’affirmait comme le parti du maintien dans l’UE. Marc-Olivier Padis , qui a le sondage sous les yeux, en donne les chiffres, qui sont fascinants. L’intitulé du sondage est « le prix que les conservateurs sont prêts à payer pour obtenir le Brexit » : - Un impact économique négatif important : 61% des conservateurs y sont prêts. - La destruction du parti conservateur : 54% des conservateurs y sont prêts. - Le départ de l’Irlande du Nord du R-U : 59% des conservateurs y sont prêts. - Le départ de l’Ecosse du R-U : 63% des conservateurs y sont prêts. Les Écossais apprécieront. Le seul prix que les conservateurs ne sont pas prêts à payer dans ce sondage : que le Brexit amène Jeremy Corbyn au pouvoir. 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 20 juillet 2019 Share Posté(e) le 20 juillet 2019 Sidérent ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 20 juillet 2019 Share Posté(e) le 20 juillet 2019 En même temps, ils n'ont pas le choix. Ils brûlent leurs vaisseaux en espérant ne pas le regretter. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kelkin Posté(e) le 20 juillet 2019 Share Posté(e) le 20 juillet 2019 Ça m'étonne un peu qu'ils tiennent plus à l'Irlande du Nord qu'à l'Écosse ; vu qu'en général ils ont beaucoup de mal à se souvernir que l'Irlande du Nord existe... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
nemo Posté(e) le 20 juillet 2019 Share Posté(e) le 20 juillet 2019 il y a 20 minutes, Kelkin a dit : Ça m'étonne un peu qu'ils tiennent plus à l'Irlande du Nord qu'à l'Écosse ; vu qu'en général ils ont beaucoup de mal à se souvernir que l'Irlande du Nord existe... L'écosse est vue comme un repére de gauchiste contrairement à l'irlande du Nord, ceci peut expliquer cela. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 20 juillet 2019 Share Posté(e) le 20 juillet 2019 (modifié) Il y a 3 heures, Wallaby a dit : Ces élections européennes semblent aussi avoir clos un débat qui avait cours en France et ailleurs en Europe. Il porte sur l’idée que le referendum de 2016 n’avait pas été gagné « à la loyale » par les Brexiters, qu’il était le fait d’un malentendu. L’abstention des jeunes était massive, mais surtout la campagne en faveur du Leave avait accumulé les mensonges et les promesses démagogiques. Or, les européennes ont montré que les Britanniques veulent quand même sortir. Dans cette recomposition politique britannique, le petit parti appelé Change UK, mené par Chuka Umunna, n’a pas réussi à émerger. Il reprochait au parti travailliste sa position floue et s’affirmait comme le parti du maintien dans l’UE. Le référendum de 2016 n'a probablement pas été gagné entièrement "à la loyale", non, et d'ailleurs les procédures sont toujours en cours outre-manche... Et les résultats des européennes ne montrent pas que les électeurs britanniques veulent sortir, j'ignore d'où ce charmant commentateur tire ça. En suffrages exprimés (me semble-t-il)(wiki) : Brexit Party 30.5% Conservative Party 8.8% DUP 0.1% UK Independence Party 3.2% Ulster Unionist Party 0.2% Traditional Unionist Voice 0.1% On est très loin des 50%. Edit : on pourrait pinailler en disant qu'il manque une fraction du Labour là dedans, ou encore que les conservateurs ne devraient pas y être tous ; à mon sens ça ne fait quand même pas 50%... Modifié le 20 juillet 2019 par Boule75 Lien, précisions. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 Ils ont un "joker" caché sous le chapeau ... Citation Et si les Britanniques envoyaient Elisabeth II à Bruxelles pour négocier le Brexit ? Citation La Reine Elisabeth II mandatée en urgence à Bruxelles pour empêcher un Brexit sans accord ? Le scénario a toutes les apparences d’un poisson d’avril, mais selon la BBC, il est évoqué par certains Conservateurs britanniques par crainte que le prochain Premier ministre ne contourne le Parlement pour décrocher à tout prix la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne. C’est l’émission "Newsnight" qui exposait ce scénario jeudi soir sur la BBC. Certains rebelles parmi les Tories ont tellement peur que Boris Johnson – favori pour succéder à Theresa May – ne passe outre l’opposition du Parlement à un divorce sans accord négocié qu’ils en sont venus à imaginer cette solution : le Parlement "demanderait humblement" à Elisabeth II de représenter le Royaume-Uni au sommet des chefs d’Etat et de gouvernement des 28 à Bruxelles. La tradition veut que la Reine reste à l’écart de l’arène politique. Mais dans ce scénario extrême, la souveraine de 93 ans irait en personne déposer à Bruxelles une nouvelle demande de report du Brexit au-delà de l’échéance actuelle du 31 octobre. L’émergence de ce scénario traduit sans doute moins une volonté réelle de faire monter The Queen dans l’Eurostar pour Bruxelles qu’une manière d’accentuer la pression sur les épaules du prochain Premier ministre, commentait la BBC. Elle montre aussi la fébrilité du climat politique à Londres et la détermination de certains responsables politiques à éviter un no-deal. Plus rationnellement, ce jeudi, les députés britanniques ont voté un amendement empêchant le prochain Premier ministre de suspendre le Parlement pour mettre en œuvre un Brexit sans accord sans que les parlementaires n’aient leur mot à dire. Un message clair à Boris Johnson, qui martèle depuis le début de sa campagne que le Royaume-Uni quittera l’Union le 31 octobre, accord ou pas. https://www.rtbf.be/info/monde/detail_et-si-les-anglais-envoyaient-elisabeth-ii-a-bruxelles-pour-negocier-le-brexit?id=10274822 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 Achtung. L'article 51 a été déclenché par "royal privilege" (essentiellement délégué au PM, certes). Je ne sais pas ce que la coutume veut, mais il me semble que la reine peut abroger pas mal de choses. et si quelqu'un peut obtenir un délai supplémentaire, c'est bien elle. (par contre son déplacement pour quémander à Bruxelles serait vu comme une humiliation sévère par les angliches) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoitleg Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 Il y a 13 heures, Wallaby a dit : .Or, les européennes ont montré que les Britanniques veulent quand même sortir. Dans cette recomposition politique britannique, le petit parti appelé Change UK, mené par Chuka Umunna, n’a pas réussi à émerger. Il reprochait au parti travailliste sa position floue et s’affirmait comme le parti du maintien dans l’UE. Marc-Olivier Padis , qui a le sondage sous les yeux, en donne les chiffres, qui sont fascinants. L’intitulé du sondage est « le prix que les conservateurs sont prêts à payer pour obtenir le Brexit » : - Un impact économique négatif important : 61% des conservateurs y sont prêts. - La destruction du parti conservateur : 54% des conservateurs y sont prêts. - Le départ de l’Irlande du Nord du R-U : 59% des conservateurs y sont prêts. - Le départ de l’Ecosse du R-U : 63% des conservateurs y sont prêts. Les Écossais apprécieront. Le seul prix que les conservateurs ne sont pas prêts à payer dans ce sondage : que le Brexit amène Jeremy Corbyn au pouvoir. Les conservateurs qui s'expriment ici sont donc près à la destruction du Royaume Uni ? C'est révolutionnaire . 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 C'est très Britsh ca, des révolutionnaires conservateurs... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 Il y a 15 heures, Wallaby a dit : Marc-Olivier Padis , qui a le sondage sous les yeux, en donne les chiffres, qui sont fascinants. L’intitulé du sondage est « le prix que les conservateurs sont prêts à payer pour obtenir le Brexit » : - Un impact économique négatif important : 61% des conservateurs y sont prêts. - La destruction du parti conservateur : 54% des conservateurs y sont prêts. - Le départ de l’Irlande du Nord du R-U : 59% des conservateurs y sont prêts. - Le départ de l’Ecosse du R-U : 63% des conservateurs y sont prêts. Les Écossais apprécieront. Le seul prix que les conservateurs ne sont pas prêts à payer dans ce sondage : que le Brexit amène Jeremy Corbyn au pouvoir. Pour moi ça exprime surtout un ras-le-bol général, un truc du genre "qu'on en finisse mais délivrez nous de ces cries d'orfraies" avec un départ accordé à ceux qui crient le plus fort si il y a besoin. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lordtemplar Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 (modifié) 23 minutes ago, herciv said: Pour moi ça exprime surtout un ras-le-bol général, un truc du genre "qu'on en finisse mais délivrez nous de ces cries d'orfraies" avec un départ accordé à ceux qui crient le plus fort si il y a besoin. Oui mais ce sondage ne represente que les membres du parti conservateur. Les autres partis ne font pas parti du sondage, et les conservateurs n'ont pas une majorite au parlement. Tout ca pour dire que ce sondage n'est pas representatif de l'opinion du pays. En tous cas le pays est bien divise, et un 2eme referendum sera vraiment le seul moyen de trancher. Il y a pas si longtemps, personne osait parler d'un 2eme referendum, les choses evoluent et plus de politiciens aujourd'hui le demandent A suivre... Modifié le 21 juillet 2019 par Lordtemplar Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 (modifié) Il y a 2 heures, Lordtemplar a dit : Oui mais ce sondage ne represente que les membres du parti conservateur. Les autres partis ne font pas parti du sondage, et les conservateurs n'ont pas une majorite au parlement. Tout ca pour dire que ce sondage n'est pas representatif de l'opinion du pays. En tous cas le pays est bien divise, et un 2eme referendum sera vraiment le seul moyen de trancher. Il y a pas si longtemps, personne osait parler d'un 2eme referendum, les choses evoluent et plus de politiciens aujourd'hui le demandent A suivre... et, donc ? si un second referendum donne l'exact inverse, il en faudra un troisieme pour départager ??? quel déni de démocratie ! on ne gouverne pas au doigt levé ils doivent voter jusqu'à ce que les résultats soient conformes à ce que certains attendent ??? reportons donc cela chez nous : on fait du dégagisme ??? au bout de X mois à l'essai, on vire et on en met un pire ??? ou on a fait un choix et on l'assume ! pour les Gibi, ils ne voulaient pas de l'Europe et de l'Union ; ils sont venus à la demande des US pour foutre le boxon de l'interieur.... ils ont fait un choix, leur choix... on ne va pas marchander pendant longtemps... l'unanimité des 27 pour une prolong n'est pas acquise Modifié le 21 juillet 2019 par christophe 38 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 ils ont eu une deuxième chance avec les dernières élections européenne. la messe est dites. maintenant il faut arriver à les mettre dehors. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 Il y a 5 heures, prof.566 a dit : Achtung. L'article 51 a été déclenché par "royal privilege" (essentiellement délégué au PM, certes). Je ne sais pas ce que la coutume veut, mais il me semble que la reine peut abroger pas mal de choses. et si quelqu'un peut obtenir un délai supplémentaire, c'est bien elle. (par contre son déplacement pour quémander à Bruxelles serait vu comme une humiliation sévère par les angliches) Ce scénario me semblerait bien être un baiser de la mort. Certes Boris n'en ressortirait pas grandi, mais ensuite l'UE dirait quoi à la Reine ? Celle qui était déjà reine quand d'autre n'avaient même pas leur premier mandat électif.... pas sur que ce soir une option préférable: dire non à la Reine, c'est se brouiller non plus seulement avec les politiciens Britanniques mais avec tout le peuple, c'est Elle ensuite qui donnera la direction avec force conviction du grand large, vers les US. Si on souhaite continuer à consommer du pop-corn en regardant avec délectation, tristesse et espoir ce "Hunger Games" à l'Européenne, je suggère le vote d'une motion de censure suivi d'une dissolution automatique du parlement Britannique Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 il y a 10 minutes, olivier lsb a dit : Ce scénario me semblerait bien être un baiser de la mort. Certes Boris n'en ressortirait pas grandi, mais ensuite l'UE dirait quoi à la Reine ? Celle qui était déjà reine quand d'autre n'avaient même pas leur premier mandat électif.... pas sur que ce soir une option préférable: dire non à la Reine, c'est se brouiller non plus seulement avec les politiciens Britanniques mais avec tout le peuple, c'est Elle ensuite qui donnera la direction avec force conviction du grand large, vers les US. Si on souhaite continuer à consommer du pop-corn en regardant avec délectation, tristesse et espoir ce "Hunger Games" à l'Européenne, je suggère le vote d'une motion de censure suivi d'une dissolution automatique du parlement Britannique oui, m'enfin, bof ! la reine n'est pas la Cheffe de l'UE ; elle ne régente pas des états vassaux. rien n'oblige à se coucher. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 Entièrement d'accord, mais je pense qu'en terme d'unité nationale Britannique, elle changerait beaucoup de choses dans le débat: je sais que c'est difficile à concevoir pour nous autres, Coupeurs de Têtes de Royales mais c'est une réalité. La ferveur royale est sincère Outre-Manche. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 Il y a 1 heure, olivier lsb a dit : Entièrement d'accord, mais je pense qu'en terme d'unité nationale Britannique, elle changerait beaucoup de choses dans le débat: je sais que c'est difficile à concevoir pour nous autres, Coupeurs de Têtes de Royales mais c'est une réalité. La ferveur royale est sincère Outre-Manche. elle prendrait donc partie pour l'un ou pour l'autre des partis... pas forcement bon, non plus.. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 (modifié) Non, mais elle peut faire une analyse objective sur la sortie ou non de l'UE avec ses conséquences Modifié le 21 juillet 2019 par zx Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 il y a 16 minutes, zx a dit : Non, mais elle peut faire une analyse objective sur la sortie ou non de l'UE avec ses conséquences et donc remettre en cause le vote de ses sujets ?? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zx Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 il y a 1 minute, christophe 38 a dit : et donc remettre en cause le vote de ses sujets ?? pas forcément, mais clarifier les risques. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 (modifié) il y a 30 minutes, zx a dit : pas forcément, mais clarifier les risques. il est tard : nous sommes déjà dans les prolongations de la prolongation... en gros, je ne vois qu'une sortie, hard, puisqu'en 2 ans et plus, ils n'ont pas été capable de trouver une solution... et ne semblent pas dans cet état d'esprit. donc, à quoi bon leur donner un délai supplémentaire ?? la reine ne pourrait qu'y perdre en crédibilité Modifié le 21 juillet 2019 par christophe 38 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 21 juillet 2019 Share Posté(e) le 21 juillet 2019 il y a 8 minutes, christophe 38 a dit : donc, à quoi bon leur donner un délai supplémentaire ? Bahhh les faire changer d'avis?! L'objectif des report a rallonge c'est de mettre les brexiteur dur au pied du mur ... en leur disant vous voulez y aller ... aller y ... mais vous ne pourrez faire retomber la faute sur l'union. Et comme prévu ... ils n'y vont pas. Au bout d'un certain temps ... les britanniques vont finir par comprendre que ce sont des clown ... et les britanniques pourront commencer a se dire que finalement c'était peut être pas une si bonne idée. Rien ne presse ... ni pour l'Union ni pour les britannique dubitatif ... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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