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On prend les paris, les british quittent,ou pas, l'Europe?  

82 membres ont voté

  1. 1. pensez-vous que les brits vont quitter, ou pas, l'Union?

    • Ils se dégonflent et restent dans l'Europe.
    • Ils ont des "cojones" - des bollocks en fait - et quittent l'Europe.

Ce sondage n’accepte plus de nouveau vote


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il y a 14 minutes, g4lly a dit :

Rien ne sert de s'attarder sur le passé ici ... Je dis juste que ceux qui se gossent d'un UK chassé de l'Union et dans un état de décrépitude évoluant pas forcément dans le bon sens, devrait éviter de se réjouir.

Quoi qu'il en soit il reste nos voisins.

Et quoi qu'on en dise ils fournissaient un certain équilibre dans l'Union.

C'était les seul avec la France a avoir la nostalgie de leur empire passé et donc une vision OM des choses, une certaine tradition de souveraineté nationale, un engagement certain pour la défense etc.

 

S'ils pouvaient perdre un peu de leur arrogance lorsqu'ils viennent se faire soigner ici en Espagne, sans parler du bazar qu'ils mettent partout en exigeant que les locaux parlent anglais, la vie serait plus tranquille ici  

Modifié par mudrets
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19 minutes ago, MIC_A said:

Chassé de l'union ?
Là, tu réécris l'histoire !
D'accord avec toi pour le reste mais ne pas oublier lorsqu'ils étaient dans l'Union, les coups tordus alors qu'ils bénéficiaient de "largesses" que les autres n'avaient pas.
C'est regretable mais c'est leur choix et tant pis si aujourd'hui certains chez eux le regrettent.
Je ne serais pas étonné qu'ils y reviennent par la petite porte, quand leurs égaux seront digérés et leurs rêves de "grand large" évanouis.

Les Britanniques ont toujours été et de loin les plus carré dans le processus d'application des directives européennes... Et de loin.

C'est la France la moins bonne élève...

Moi je vois plus la position française comme une faiblesse... Accepter n'importe quel compromis, puis refuser de l'appliquer. Ça explique d'ailleurs en grande partie notre situation peu aimé dans l'union.

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19 minutes ago, mudrets said:

S'ils pouvaient perdre un peu de leur arrogance lorsqu'ils viennent se faire soigner ici en Espagne, sans parler du bazar qu'ils mettent partout en exigeant que les locaux parlent anglais, la vie serait plus tranquille ici  

l'Espagne impose des négociations en espagnol à la commission ? Ou elle négocie en anglais ?

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Il y a 1 heure, g4lly a dit :

l'Espagne impose des négociations en espagnol à la commission ? Ou elle négocie en anglais ?

La question n'est pas là. Pourquoi vouloir absolument imposer leur langue dans un pays qui n'est pas le leur? Je parle les trois, et il ne viendra jamais à l'idée d'EXIGER que les soignants, les caissières, les serveurs ... parlent français. 

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Il y a 2 heures, g4lly a dit :

Les Britanniques ont toujours été et de loin les plus carré dans le processus d'application des directives européennes... Et de loin.

Ils ont, pendant toute une période et à l'instar d'ailleurs des allemands, été beaucoup plus assidus à Bruxelles, beaucoup plus investis, avec mission de suivre rigoureusement les projets, de remonter/synthétiser l'information, d'influencer, d'user des processus de nomination pour faire en sorte que des fonctionnaires européens anglais occupent des postes utiles, participent aux bonnes commissions, etc... Et ils ont espionné aussi, beaucoup (on se souvient de l'épisode où la découverte de leur APT à la Commission a conduit à un blackout du réseau Belgacom quand il a été détecté).

Résultat net : la plupart des textes "leurs convenaient" (et pourquoi pas si c'est fait correctement ?). Et pour d'autres ils demandaient l'opt out, ces gros malins.

Il y a 2 heures, g4lly a dit :

C'est la France la moins bonne élève...

Moi je vois plus la position française comme une faiblesse... Accepter n'importe quel compromis, puis refuser de l'appliquer. Ça explique d'ailleurs en grande partie notre situation peu aimé dans l'union.

J'ai le sentiment que cette analyse est datée et que l'actuel pouvoir à Paris a procédé différemment, avec des résultats tangibles. Par exemple, voilà des années que je n'ai pas vu passer de condamnation de la France pour non-transposition des directives ; as-tu des exemples récents ?

Modifié par Boule75
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Bcp de pays ont compris que ce qui passe au niveau EU est important, donc ils "envoient" des élus chevronnés et travailleurs.

Chez nous, ça sent quand même pas mal, pour un grand nombre, le bar des plaqués et des branleurs. Mais on a peut être les élus qu'on mérite, je ne sais pas. En tout cas, celà n'aide pas notre pays, car dans tous groupe celui qui n'est pas là ou est invisible aura rarement gain de cause....

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Il y a 1 heure, g4lly a dit :

Quoi qu'il en soit il reste nos voisins.

Et quoi qu'on en dise ils fournissaient un certain équilibre dans l'Union.

C'était les seul avec la France a avoir la nostalgie de leur empire passé et donc une vision OM des choses, une certaine tradition de souveraineté nationale, un engagement certain pour la défense etc.

D'accord là-dessus mais encore une fois je ne vois pas en quoi nous aurions une quelconque responsabilité à ce titre.

Effectivement ça devrait même énerver les souverainistes ou eurosceptiques chez nous de les voir partis, même si c'est paradoxal: c'est une voix de moins dans l'UE susceptible de s'aligner sur leurs intérêts.

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  • 2 months later...
  • 2 weeks later...

https://unherd.com/2023/09/is-starmer-doomed-to-be-britains-merkel/ (6 septembre 2023)

Starmer a cinq "missions", comme il les appelle : assurer la croissance soutenue la plus élevée du G7 ; faire de la Grande-Bretagne une "superpuissance de l'énergie propre" ; construire un NHS "adapté à l'avenir" ; rendre les rues britanniques sûres ; et "éliminer les obstacles aux opportunités à tous les stades". Ces missions sont une sorte d'amalgame des "cinq tâches" de Thatcher et des "cinq promesses" de Blair.

Mais au cœur de tout cela, une question évidente : ces missions peuvent-elles être accomplies en dehors de l'UE ? Si c'est le cas, pourquoi Starmer et l'ensemble de son cabinet fantôme ont-ils fait tant d'efforts pour éviter de quitter l'UE ? Si l'on peut avoir la plus forte croissance du G7, des services publics de qualité et une indépendance énergétique, qui se soucie d'Erasmus ou de quelques files d'attente supplémentaires au contrôle des passeports ?

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il y a une heure, Wallaby a dit :

Si c'est le cas, pourquoi Starmer et l'ensemble de son cabinet fantôme ont-ils fait tant d'efforts pour éviter de quitter l'UE ?

Ils sont débiles chez Unherd ? Les travaillistes n'ont fait aucun effort pour que le RU évite de quitter l'UE. Absolument rien, pas même un appel clair contre la sortie du Brexit, un appel à un vote de confirmation de la décision : rien ! Nada.

Encore aujourd'hui, alors même que sondage après sondage, les britanniques sont de plus en plus majoritairement certains qu'ils ont collectivement fait une énorme erreur pour leur pays, la question du Brexit reste absolument taboue pour Starmer.

Qu'est-ce que Unherd raconte, pourquoi relais-tu ça Wallaby ???

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il y a 25 minutes, Boule75 a dit :

Ils sont débiles chez Unherd ? Les travaillistes n'ont fait aucun effort pour que le RU évite de quitter l'UE. Absolument rien, pas même un appel clair contre la sortie du Brexit, un appel à un vote de confirmation de la décision : rien ! Nada.

Encore aujourd'hui, alors même que sondage après sondage, les britanniques sont de plus en plus majoritairement certains qu'ils ont collectivement fait une énorme erreur pour leur pays, la question du Brexit reste absolument taboue pour Starmer.

Qu'est-ce que Unherd raconte, pourquoi relais-tu ça Wallaby ???

Ce n'est pas ce que dit l'article, qui au contraire s'étend sur les efforts faits par les travaillistes autour de Keir Starmer pour s'opposer autrefois au Brexit ou aux formes les plus brutatles de hard Brexit.

C'est pour mieux souligner que le programme actuel de Keir Starmer qui ne met pas à l'ordre du jour le retour du Royaume Uni dans l'UE n'est pas cohérent avec la posture "remainer".

Ce programme promet aux Britanniques monts et merveilles, sans pour autant revenir dans l'UE, alors qu'un remainer conséquent dirait que ce n'est tout simplement pas réaliste et que le retour dans l'UE est indispensable.

Modifié par Wallaby
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Le 08/09/2023 à 23:45, Wallaby a dit :

Ce n'est pas ce que dit l'article, qui au contraire s'étend sur les efforts faits par les travaillistes autour de Keir Starmer pour s'opposer au Brexit ou aux formes les plus brutales de hard Brexit.

Je ne lis rien de tout ça dans l'article.

Les travaillistes n'ont pas été des opposants radicaux au Brexit, loin s'en faut. Lors du vote, ils ont été profondément divisés et n'ont appelé à voter ni pour ni contre, notamment parce que leur base populaire de province avait largement été convaincue par Boris Johnson, sa faconde amusante, ses boniments populistes, et peu importe qu'il mente en permanence et à tout le monde, au moins "il n'est pas du système" (Oxford...) et "je le comprend" (comme Mr. Bean)...
Il se sont effectivement opposés à certaines des pires décisions du hard brexit mais ont été infichus de proposer grand chose de leur cru.

Bref : l'article salue la mainmise de Starmer sur les Travaillistes, loue sa proximité avec d'ex-conseillers de Blair (hum !) et spécule sur le côté désormais universellement anti-Brexit du parti, qui serait une nouveauté dont on aimerait discerner les preuves et la sédimentation jusque dans l'électorat (les tabloïds bêtes à bouffer du foin, méchants comme des teignes et menteurs comme Johnson, n'ont pas disparu).

Une ou deux citations franches seraient les bienvenues, quand même.

Pour l'instant, je n'ai pas vu passer de "nous voulons que le RU revienne dans l'UE quand ce sera possible" ni de "nous devons réfléchir à nos rapports avec l'UE, jusqu'à même se demander si nous ne souhaiterions pas y retourner."

Modifié par Boule75
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il y a 24 minutes, Boule75 a dit :

Histoire avec paroles : le Rule Britannia est un vieil - et bel - hymne nationaliste anglais qui est chanté année aux Proms de la BBC, une grande soirée musicale populaire.

 

 

Bof...

A Strasbourg les trois quarts de la population connaissent la Strasbourgeoise par coeur, est-ce que ça en fait de dangereux germanophobes ?

 

(oui)

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Le 10/09/2023 à 18:11, Heorl a dit :

Bof...

A Strasbourg les trois quarts de la population connaissent la Strasbourgeoise par coeur, est-ce que ça en fait de dangereux germanophobes ?

 

(oui)

Regarde les drapeaux agités... c'était ça qui a fait disjoncter les brexiteurs...

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https://www.spiked-online.com/2023/09/11/the-imperial-nostalgia-of-the-eu-flag-wavers/

Prenons l'exemple de Last Night of the Proms. Ce qui était autrefois un carnaval de patriotisme et d'excentricité britanniques sans intérêt mais inoffensifs, au cours duquel le public brandissait des drapeaux de l'Union et chantait "Rule, Britannia !", a été envahi par la nostalgie impériale de l'UE. Depuis des années, des groupes anti-Brexit distribuent des drapeaux de l'UE à l'extérieur (sachant que les personnes aisées qui fréquentent le Royal Albert Hall font partie des principales bases sociales du Remain), transformant ainsi la finale des Proms en une mer de bleu et de jaune de l'UE, plutôt que du rouge, du blanc et du bleu traditionnels.

Cette année n'a pas dérogé à la règle. Selon le compte-rendu dithyrambique du Guardian, les drapeaux de l'Union ont été "facilement mis en minorité par ceux de l'UE" samedi soir, caractérisant une "sorte de patriotisme différent et plus optimiste" qui aurait fleuri à Last Night of the Proms après l'adoption du Brexit. Dans le même temps, le même journal s'est moqué de quelques éminents Brexiteers qui ont osé critiquer le spectacle Remoaner que sont devenus les Proms.

Je ne suis pas un nationaliste britannique vieux jeu. Je n'ai ni regardé ni assisté à Last Night of the Proms. Je n'irais certainement pas aussi loin que l'ancien député conservateur Harvey Proctor, qui a demandé à la BBC d'enquêter sur tous les drapeaux de l'UE. Mais la colonisation par les Remainers de cette occasion autrefois authentiquement britannique a quelque chose d'à la fois bizarre, de boiteux et de révélateur. D'une part, il s'agit d'un résumé presque parfait de la façon dont cette sous-culture bourgeoise pro-UE est façonnée au moins autant par le malaise des Remainers de l'élite avec la Grande-Bretagne - son histoire, ses symboles et son peuple - que par leur amour pour la bureaucratie bruxelloise, distante et sans visage.

Ces gens détestent simplement les Leavers de la classe ouvrière qui se sont immiscés si brutalement dans l'histoire, qui ont exigé plus de poids dans la politique et qui ont rendu leur voyage vers leurs résidences secondaires dans le sud de la France un peu plus difficile.

Modifié par Wallaby
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Il y a 2 heures, Wallaby a dit :

https://www.spiked-online.com/2023/09/11/the-imperial-nostalgia-of-the-eu-flag-wavers/

Prenons l'exemple de Last Night of the Proms. Ce qui était autrefois un carnaval de patriotisme et d'excentricité britanniques sans intérêt mais inoffensifs, au cours duquel le public brandissait des drapeaux de l'Union et chantait "Rule, Britannia !", a été envahi par la nostalgie impériale de l'UE. Depuis des années, des groupes anti-Brexit distribuent des drapeaux de l'UE à l'extérieur (sachant que les personnes aisées qui fréquentent le Royal Albert Hall font partie des principales bases sociales du Remain), transformant ainsi la finale des Proms en une mer de bleu et de jaune de l'UE, plutôt que du rouge, du blanc et du bleu traditionnels.

Cette année n'a pas dérogé à la règle. Selon le compte-rendu dithyrambique du Guardian, les drapeaux de l'Union ont été "facilement mis en minorité par ceux de l'UE" samedi soir, caractérisant une "sorte de patriotisme différent et plus optimiste" qui aurait fleuri à Last Night of the Proms après l'adoption du Brexit. Dans le même temps, le même journal s'est moqué de quelques éminents Brexiteers qui ont osé critiquer le spectacle Remoaner que sont devenus les Proms.

Je ne suis pas un nationaliste britannique vieux jeu. Je n'ai ni regardé ni assisté à Last Night of the Proms. Je n'irais certainement pas aussi loin que l'ancien député conservateur Harvey Proctor, qui a demandé à la BBC d'enquêter sur tous les drapeaux de l'UE. Mais la colonisation par les Remainers de cette occasion autrefois authentiquement britannique a quelque chose d'à la fois bizarre, de boiteux et de révélateur. D'une part, il s'agit d'un résumé presque parfait de la façon dont cette sous-culture bourgeoise pro-UE est façonnée au moins autant par le malaise des Remainers de l'élite avec la Grande-Bretagne - son histoire, ses symboles et son peuple - que par leur amour pour la bureaucratie bruxelloise, distante et sans visage.

Ces gens détestent simplement les Leavers de la classe ouvrière qui se sont immiscés si brutalement dans l'histoire, qui ont exigé plus de poids dans la politique et qui ont rendu leur voyage vers leurs résidences secondaires dans le sud de la France un peu plus difficile.

Oulla ! Le niveau de fiel trollesque est johnsonesque !
Quand brexiteur fâché lui parler comme ça.

Ca a bien pincé une corde et ça a fait vibrer l'autre.

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  • 3 weeks later...

https://www.theguardian.com/business/2023/oct/01/we-really-could-still-rejoin-the-eu-but-tory-britain-isnt-up-to-it

Je recommande aux dirigeants du parti travailliste une lettre récemment publiée dans le Financial Times par Paul Rayment, ancien directeur de l'analyse économique à la Commission économique des Nations unies pour l'Europe. Les lecteurs réguliers se souviendront peut-être que j'ai parfois souligné qu'au fil des années d'adhésion à l'UE et au marché unique, notre économie est devenue une partie intégrante de l'économie européenne. M. Rayment le dit très bien : "En rejetant d'emblée toute forme de retour au marché unique ou à l'union douanière, il [Starmer] ne parvient pas, comme les Brexiters, à reconnaître (ou à réaliser) à quel point le Royaume-Uni était, et pour l'instant est toujours, intégré aux économies de l'UE."

La direction du parti travailliste s'est mise dans le pétrin à propos du Brexit. S'ils ne parviennent pas à en sortir, leurs plans pour toutes sortes d'opérations de sauvetage coûteuses pour cette économie mal en point sont compromis.

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  • 3 weeks later...

Royaume-Uni : les constructeurs automobiles inquiets du surcoût des droits de douane post-Brexit :rolleyes:

Les constructeurs automobiles britanniques tirent la sonnette d'alarme sur la possible entrée en vigueur l'année prochaine de droits de douane post-Brexit de 10% sur les véhicules électriques qui traversent la Manche. Selon eux, cela pourrait ajouter 4.150 euros aux coûts de fabrication de leurs véhicules vendus en Europe. Ils plaident pour le report de trois ans de cette mesure, mais la Commission européenne s'affiche pour le moment inflexible.

https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/automobile/royaume-uni-les-constructeurs-automobiles-inquiets-du-surcout-des-droits-de-douane-post-brexit-980593.html

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Il y a 5 heures, Julien a dit :

Les Allemands qui sont prêts à laisser le UK se mitonner un petit régime "en dehors de l’UE mais sans les inconvénients", quitte à prendre le risque de donner des idées à d'autres pays et flinguer l’UE, juste pour continuer à vendre des bagnoles dans ce pays.

:huh:

Dans l'article posté par @ARMEN56 , tout ce qu'on trouve à ce sujet, c'est 

Citation

Le Financial Times avait en effet indiqué début septembre que l'Allemagne y serait aussi favorable, citant des sources proches du dossier.

C'est un peu l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'ours. Pour rappel, pendant les négociations du Brexit, les journaux britanniques ont mentionné la possibilité que l'Irlande parte avec la GB. Ce genre de rumeur n'a duré que quelques jours, mais les médias français en ont fait leurs choux gras. On a vu ce qu'il en est advenu.:rolleyes:

Les anglais sont très fort en narration, en story telling, mais parfois leurs grands communiquant, leurs spin doctors, prennent leurs désirs pour des réalités. Jusqu'ici, le moins que l'on puisse dire, c'est que leur wishful thinking n'a pas trop marché. :ph34r:

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