Ponto Combo Posté(e) le 23 décembre 2024 Share Posté(e) le 23 décembre 2024 Il y a 3 heures, Patrick a dit : Ah, qu'ils sont cultivationnés dites-donc! On se sent déjà plus instructionisé. C'est du G Marchais dans le texte ça. Pour le coup ce n'est plus du pilotage mais plutôt de la fabrication chez Messerschmitt.... 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 22 janvier Share Posté(e) le 22 janvier Du nouveau en ALLEMAGNE avec ASTRA A320 DLR ( j'imagine une vocation plutôt militaire, donc, je l'ai mis ici, et peut-petre pas que pour l'EuroFighter ) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 22 février Share Posté(e) le 22 février (modifié) A refléchir ... Je te tiens, tu me tiens ... On sait déjà ... mais ... "L’illusion d’une autonomie militaire européenne s’effondre face à la dépendance aux États-Unis. Avec le F-35, décoller est une chose, rester opérationnel en est une autre : sans le feu vert de Washington, plus de maintenance, plus de pièces de rechange. « Dans l’Europe dite Union Européenne, c’est j’achète américain », déplorait Eric Trappier en 2018. Une soumission qui expose l’Europe à une paralysie stratégique. Chaque crise le prouve : suivre les consignes américaines ou voir ses forces clouées au sol. #Eurofighter, #Gripen, missiles Amraam… Derrière l’apparente diversité de l’arsenal européen, la chaîne logistique reste sous contrôle US. Même la dissuasion nucléaire britannique repose sur des missiles Trident fabriqués par Lockheed Martin. Au-delà de la souveraineté, le choix du #F35 est aussi un gouffre financier. Son coût d’acquisition dépasse largement celui du Rafale, et son entretien s’annonce ruineux : contrats de maintenance verrouillés par Lockheed Martin, mises à jour logicielles sous abonnement, et pièces détachées à prix d’or. Plusieurs pays ayant opté pour le F-35 commencent déjà à en mesurer l’impact budgétaire, avec des factures qui explosent et des flottes contraintes de rester au sol faute de moyens. À l’inverse, le #Rafale offre des coûts maîtrisés et une liberté d’exploitation sans intermédiaire. Comme le soulignait le PDG de @Dassault_OnAir en 2023 : « Il est remarquable d’avoir réussi à fabriquer un Rafale entièrement en France, à un prix qui est inférieur à celui d’un F-35 aujourd’hui ». Face à cette dépendance, le Rafale incarne l’exception française : autonomie totale, pas de verrou caché, pas de pièces sous embargo. Bravo à Dassault pour avoir maintenu un modèle souverain" Alors DASSAULT Gmbh c'est pour quand ? Via RheinMetal ?? Modifié le 22 février par Bechar06 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) le 23 février Share Posté(e) le 23 février Crois-tu que tous les clients UE ne le savaient pas avant de signer, comme une obole à l'appartenance OTAN qui maintenant au yeux de Potus II reste insuffisante et réclame beaucoup plus sans contres-parties ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 23 février Share Posté(e) le 23 février À part que les avions sont de plus en plus connectés il n'y a aucune différence avec le siècle dernier C'est marrant quand même toutes ces personnes qui redécouvrent la roue Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 23 février Share Posté(e) le 23 février (modifié) La Luftwaffe comme les autres avec le F35 a continué sur la lancée de ses acquisitions passées en cumulant soutien US, équipements de dernière génération, retour industriels et full compatibilité OTAN. Bon forcément aujourd'hui ça se crispe un peu avec le possible éloignement US, l'inflation des coûts et les difficultés technico-ops. Après, comme la Luftwaffe, les grandes nations n'ont pas mis tous leurs oeufs dans le même panier. Ça compense un peu. Modifié le 23 février par Ronfly 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 23 février Share Posté(e) le 23 février Le 22/02/2025 à 23:45, Bechar06 a dit : A refléchir ... Je te tiens, tu me tiens ... On sait déjà ... mais ... "L’illusion d’une autonomie militaire européenne s’effondre face à la dépendance aux États-Unis. Avec le F-35, décoller est une chose, rester opérationnel en est une autre : sans le feu vert de Washington, plus de maintenance, plus de pièces de rechange. « Dans l’Europe dite Union Européenne, c’est j’achète américain », déplorait Eric Trappier en 2018. Une soumission qui expose l’Europe à une paralysie stratégique. Chaque crise le prouve : suivre les consignes américaines ou voir ses forces clouées au sol. #Eurofighter, #Gripen, missiles Amraam… Derrière l’apparente diversité de l’arsenal européen, la chaîne logistique reste sous contrôle US. Même la dissuasion nucléaire britannique repose sur des missiles Trident fabriqués par Lockheed Martin. Au-delà de la souveraineté, le choix du #F35 est aussi un gouffre financier. Son coût d’acquisition dépasse largement celui du Rafale, et son entretien s’annonce ruineux : contrats de maintenance verrouillés par Lockheed Martin, mises à jour logicielles sous abonnement, et pièces détachées à prix d’or. Plusieurs pays ayant opté pour le F-35 commencent déjà à en mesurer l’impact budgétaire, avec des factures qui explosent et des flottes contraintes de rester au sol faute de moyens. À l’inverse, le #Rafale offre des coûts maîtrisés et une liberté d’exploitation sans intermédiaire. Comme le soulignait le PDG de @Dassault_OnAir en 2023 : « Il est remarquable d’avoir réussi à fabriquer un Rafale entièrement en France, à un prix qui est inférieur à celui d’un F-35 aujourd’hui ». Face à cette dépendance, le Rafale incarne l’exception française : autonomie totale, pas de verrou caché, pas de pièces sous embargo. Bravo à Dassault pour avoir maintenu un modèle souverain" Alors DASSAULT Gmbh c'est pour quand ? Via RheinMetal ?? Alors là... L'Aberration qui défend Dassault et le Rafale, je ne l'avais pas sur ma carte de Bingo! 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 23 février Share Posté(e) le 23 février il y a 7 minutes, Patrick a dit : Alors là... L'Aberration qui défend Dassault et le Rafale, je ne l'avais pas sur ma carte de Bingo! On vit une période singulière quand-même. Il mets un sacré bordel le père Trump... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 23 février Share Posté(e) le 23 février à l’instant, Ronfly a dit : On vit une période singulière quand-même. Il mets un sacré bordel le père Trump... Oui t'as vu ça? On se retrouve à devoir soutenir des gens improbables, les alliances changent du tout au tout, des tabous sautent en un tournemain... Je m'étais dit il y a un moment que l'Ukraine, c'est une vraie guerre, et que le propre des vraies guerres c'est que c'est toujours le bordel. Mon exemple historique préféré à ce sujet. Bien lire la partie "belligérants": 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 23 février Share Posté(e) le 23 février il y a 6 minutes, Patrick a dit : Oui t'as vu ça? On se retrouve à devoir soutenir des gens improbables, les alliances changent du tout au tout, des tabous sautent en un tournemain... Je m'étais dit il y a un moment que l'Ukraine, c'est une vraie guerre, et que le propre des vraies guerres c'est que c'est toujours le bordel. Mon exemple historique préféré à ce sujet. Bien lire la partie "belligérants": Effectivement c'est éclairant. L'histoire est un éternel recommencement... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 5 mars Share Posté(e) le 5 mars (modifié) @herciv Cadeau ! Les experts mettent en garde contre la dépendance à l'achat d'avions de chasse américains https://www.spiegel.de/politik/deutschland/verteidigungsausgaben-aufruestung-experten-warnen-vor-kauf-von-us-kampfjets-a-f5d7c75e-7159-4bb2-b39b-8e373ac25c67 Compte tenu de la situation géopolitique, un groupe d'experts s'attend à un budget militaire nécessaire de plus de 500 milliards d'euros. Au lieu d'utiliser des avions américains, il est préférable de dépenser l'argent pour les drones et la protection de la mer Baltique. Dans une déclaration commune avec plusieurs entreprises allemandes, le président de l'Institut de Kiel pour l'économie mondiale (IfW), Moritz Schularick, met en garde contre l'achat d'avions de combat américains. Leur exploitation, par exemple de type F-35, nécessite des mises à jour logicielles et une maintenance régulières, qui sont contrôlées du côté des États-Unis, "ce qui entraîne une dépendance durable". Le «Frankfurter Allgemeine Zeitung» avait rendu compte à l'avance du document de position. Dans le texte commun, les participants - outre Schularick, l'ancien patron d'Airbus Tom Enders, l'actuel chef du conseil de surveillance d'Airbus René Obermann et l'entrepreneur Jeannette zu Fürstenberg - augmentent également les prévisions précédentes concernant les besoins financiers de la Bundeswehr en ce qui concerne la situation politique mondiale. En conséquence, le déficit de financement pourrait "encore augmenter de manière significative et se situer à plus de 500 milliards d'euros". Selon le journal, le nouveau calcul repose sur l'hypothèse que l'Allemagne devra probablement investir trois à 3,5 % de son produit intérieur brut dans la défense à l'avenir. Cela correspondrait à 130 à 150 milliards d'euros par an. En outre, le calcul intintue dix milliards d'euros, que le futur gouvernement fédéral devrait réaffecter à partir du budget régulier de la défense. Selon Schularick et les dirigeants de la signature, les milliards supplémentaires doivent servir à créer une «supériorité asymétrique». Pour ce faire, ils énumèrent des mesures concrètes qui pourraient toutes être mises en œuvre dans un délai de six mois à cinq ans au maximum. Il s'agit par exemple d'un "large mur de drones au-dessus du flanc est de l'OTAN" et du renforcement de la surveillance sous-marine dans les pays baltes afin, avec les États partenaires, d'"empêcher la guerre hybride de la Russie dans le domaine des infrastructures critiques". Pour la dissuasion nucléaire, les parties prenantes recommandent une coopération plus étroite avec la France et la Grande-Bretagne. En revanche, il n'est pas utile de mener un débat sur le nombre de chars et d'avions. Modifié le 5 mars par Titus K 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MatOpex38 Posté(e) le 6 mars Share Posté(e) le 6 mars Il y a 12 heures, Titus K a dit : @herciv Cadeau ! Les experts mettent en garde contre la dépendance à l'achat d'avions de chasse américains https://www.spiegel.de/politik/deutschland/verteidigungsausgaben-aufruestung-experten-warnen-vor-kauf-von-us-kampfjets-a-f5d7c75e-7159-4bb2-b39b-8e373ac25c67 Compte tenu de la situation géopolitique, un groupe d'experts s'attend à un budget militaire nécessaire de plus de 500 milliards d'euros. Au lieu d'utiliser des avions américains, il est préférable de dépenser l'argent pour les drones et la protection de la mer Baltique. Dans une déclaration commune avec plusieurs entreprises allemandes, le président de l'Institut de Kiel pour l'économie mondiale (IfW), Moritz Schularick, met en garde contre l'achat d'avions de combat américains. Leur exploitation, par exemple de type F-35, nécessite des mises à jour logicielles et une maintenance régulières, qui sont contrôlées du côté des États-Unis, "ce qui entraîne une dépendance durable". Le «Frankfurter Allgemeine Zeitung» avait rendu compte à l'avance du document de position. Dans le texte commun, les participants - outre Schularick, l'ancien patron d'Airbus Tom Enders, l'actuel chef du conseil de surveillance d'Airbus René Obermann et l'entrepreneur Jeannette zu Fürstenberg - augmentent également les prévisions précédentes concernant les besoins financiers de la Bundeswehr en ce qui concerne la situation politique mondiale. En conséquence, le déficit de financement pourrait "encore augmenter de manière significative et se situer à plus de 500 milliards d'euros". Selon le journal, le nouveau calcul repose sur l'hypothèse que l'Allemagne devra probablement investir trois à 3,5 % de son produit intérieur brut dans la défense à l'avenir. Cela correspondrait à 130 à 150 milliards d'euros par an. En outre, le calcul intintue dix milliards d'euros, que le futur gouvernement fédéral devrait réaffecter à partir du budget régulier de la défense. Selon Schularick et les dirigeants de la signature, les milliards supplémentaires doivent servir à créer une «supériorité asymétrique». Pour ce faire, ils énumèrent des mesures concrètes qui pourraient toutes être mises en œuvre dans un délai de six mois à cinq ans au maximum. Il s'agit par exemple d'un "large mur de drones au-dessus du flanc est de l'OTAN" et du renforcement de la surveillance sous-marine dans les pays baltes afin, avec les États partenaires, d'"empêcher la guerre hybride de la Russie dans le domaine des infrastructures critiques". Pour la dissuasion nucléaire, les parties prenantes recommandent une coopération plus étroite avec la France et la Grande-Bretagne. En revanche, il n'est pas utile de mener un débat sur le nombre de chars et d'avions. c'est un Neerlandais qui poste ça, ;;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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