Scarabé Posté(e) le 15 novembre Share Posté(e) le 15 novembre Il y a 2 heures, Polybe a dit : Non mais d'accord, c'est connu. Mais dans le cas du RIMa-PP, les moyens c'est compliqué. Là on a l'exemple de petits investissements très judicieux pouvant être l'ossature future d'effets démultipliés. En Nouvelle Calédonie C'est beaucoup plus sérieux Le RIMA NC est organisé en GTIA pratiquement un bataillon maintenant avec 24 VAB, 12 VBL, 6 PVP + Des Fardiers et VT4 et plusieurs drones Ils ont une ERI 2 Compagnie infanterie, 1 compagnie Para, une section génie + CCL avec beaucoup de matériels en stock sur place et depuis les derniers évènement il a encore été renforcé avec un un groupement ALAT DE 2 Cougars La Marine une FS, 2 POM, 1 BSAOM, 1 EDAS, 2 Falcon 50 vont arrivée en remplacement des Gardian AAE 2 CASA + 2 CARACL 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 15 novembre Share Posté(e) le 15 novembre il y a 28 minutes, Scarabé a dit : En Nouvelle Calédonie C'est beaucoup plus sérieux Le RIMA NC est organisé en GTIA pratiquement un bataillon maintenant avec 24 VAB, 12 VBL, 6 PVP + Des Fardiers et VT4 et plusieurs drones Ils ont une ERI 2 Compagnie infanterie, 1 compagnie Para, une section génie + CCL avec beaucoup de matériels en stock sur place et depuis les derniers évènement il a encore été renforcé avec un un groupement ALAT DE 2 Cougars La Marine une FS, 2 POM, 1 BSAOM, 1 EDAS, 2 Falcon 50 vont arrivée en remplacement des Gardian AAE 2 CASA + 2 CARACL Je subodore que c'est aussi plus adapté. Parce que pour le RIMa-PP, déployer une capacité équivalente, ça demanderait des moyens airs et maritimes très conséquent. Une équipe de dronistes FPV, ça se déploie avec pas grand chose. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 15 novembre Share Posté(e) le 15 novembre il y a 5 minutes, Polybe a dit : Je subodore que c'est aussi plus adapté. Parce que pour le RIMa-PP, déployer une capacité équivalente, ça demanderait des moyens airs et maritimes très conséquent. Une équipe de dronistes FPV, ça se déploie avec pas grand chose. Pour un ordre d'idée la Corse = 8 722 km² La nouvelle Calédonie = 18 576 km² A Noter qu'environ 30 escadrons de gendarme mobile sont aussi en NC avec 16 Centaure et 12 VBRG + des 4x4 blindée Nissan de chez Technamm 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 15 novembre Share Posté(e) le 15 novembre il y a 7 minutes, Scarabé a dit : Pour un ordre d'idée la Corse = 8 722 km² La nouvelle Calédonie = 18 576 km² A Noter qu'environ 30 escadrons de gendarme mobile sont aussi en NC avec 16 Centaure et 12 VBRG + des 4x4 blindée Nissan de chez Technamm D'accord, mais tu suggères quoi ? D'y stationner une brigade complète ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 15 novembre Share Posté(e) le 15 novembre il y a 1 minute, Polybe a dit : D'accord, mais tu suggères quoi ? D'y stationner une brigade complète ? Non mais vont positionner + de matos un peu comme on faisait en Afrique et si renfort arrive équipement sur place . Dans le nord de l'ile est à plum construction de piste sommaire pour les A 400 ainsi que d'une FOB et d'un dépôt carburant Et des DZ pour les helico Plusieurs appel d'offres sont sortie https://achats.defense.gouv.fr/les-appels-doffres?page=0 Pourquoi pas un jour un plot de 4 Rafale ? On peu facilement agrandir la BA 186 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capmat Posté(e) le 15 novembre Share Posté(e) le 15 novembre il y a une heure, Bechar06 a dit : Comment verrais tu une défense renforcée pour cet espace face aux défis du Pacifique ? L'Outre-Mer et la ZEE est un peu le parent pauvre d'une France plutôt "continentale" ... Il faut avoir conscience de l'ensemble de ce qui compose notre ZEE avec sa répartition géographique. Savoir et comprendre ce qui se passe dans cet ensemble géographique permet d'anticiper les réponses aux éventuelles crises. Le dispositif de sécurité de cet ensemble est une construction progressive. En priorité, la conception et la réalisation du système nerveux métropole-dépendances. D'après ce que j'observe, des gens compétents s'en occupent avec des résultats visibles dans la progression d'ensemble. Bavarder sur le coeur de ce sujet serait contre productif. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) le 15 novembre Share Posté(e) le 15 novembre Il y a 1 heure, Scarabé a dit : Non mais vont positionner + de matos un peu comme on faisait en Afrique et si renfort arrive équipement sur place . Dans le nord de l'ile est à plum construction de piste sommaire pour les A 400 ainsi que d'une FOB et d'un dépôt carburant Et des DZ pour les helico Plusieurs appel d'offres sont sortie https://achats.defense.gouv.fr/les-appels-doffres?page=0 Pourquoi pas un jour un plot de 4 Rafale ? On peu facilement agrandir la BA 186 Oui justement, il me semble que ça va plutôt dans le bon sens. il y a une heure, capmat a dit : Il faut avoir conscience de l'ensemble de ce qui compose notre ZEE avec sa répartition géographique. Savoir et comprendre ce qui se passe dans cet ensemble géographique permet d'anticiper les réponses aux éventuelles crises. Le dispositif de sécurité de cet ensemble est une construction progressive. En priorité, la conception et la réalisation du système nerveux métropole-dépendances. D'après ce que j'observe, des gens compétents s'en occupent avec des résultats visibles dans la progression d'ensemble. Bavarder sur le coeur de ce sujet serait contre productif. Pour ça un écosystème de drones ne serait pas idiot effectivement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 11 décembre Share Posté(e) le 11 décembre La « route la plus chère du monde » à la Réunion https://fr.wikipedia.org/wiki/Nouvelle_route_du_Littoral Cette route gagnée sur la mer d'une douzaine de kilomètres relie Saint-Denis à La Possession en remplaçant l'ancienne route du Littoral, trop exposée aux éboulis de la falaise au pied de laquelle elle se trouve et aux houles cycloniques et australes. L'avant-projet sommaire est approuvé le 5 juillet 2011 pour un coût du projet de 1 660 millions d'euros (base décembre 2011), soit 130 millions d'euros par kilomètre, à comparer aux 6 millions que nécessitent en moyenne un kilomètre d'autoroute en rase campagne[note 1],[8],[9]. Ce coût élevé vaut à la Nouvelle route du Littoral le surnom de « route la plus chère au monde »[10]. Le 28 août 2022, la nouvelle route est partiellement ouverte, sur une section de 8,7 km et dans un seul sens[21]. L'ouverture complète a lieu le 1ᵉʳ mars 2023, date qui acte également la fermeture de l'ancienne route du littoral sur cette portion[22]. À la mi février 2022, la nouvelle présidente du conseil régional Huguette Bello annonce sa volonté que la section La Possession-Grande Chaloupe prévue pour être construite sous la forme d'une chaussée le soit finalement sous la forme d'un viaduc similaire à celui de la section Le Barrachois-Grande Chaloupe[19]. Le coût de ce pont est estimé entre 500 et 700 millions d'euros et son ouverture est prévue sept ans après les démarches administratives et études préalables, soit au mieux pour 2029 ou 2030[19]. La nouvelle route du Littoral serait alors constituée d'une succession de trois viaducs, les chaussées se limitant aux portions de raccordement aux extrémités des différents viaducs[19]. L'un des arguments invoqués pour le choix de cette solution est notamment liée au passage du cyclone Batsirai début février 2022 dont les vagues ont en partie submergé la route du Littoral construite en remblai — obligeant à sa fermeture et à sa rapide remise en état[20] — alors qu'elles sont passées sans contrainte sous le viaduc du Littoral qui n'a pas été affecté par le passage du cyclone[19]. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 11 décembre Share Posté(e) le 11 décembre J ai retenu d un séjour de 3 semaines à La Réunion une circulation automobile qui consiste essentiellement en un tour de l île... sur voie express ( ou presque). Malgré cet équipement, en novembre: une circulation très difficile et l impossibilité d estimer un parcours... Donc on reste sur place, plutôt qu à découvrir des merveilles. Absence totale de transports en commun. Voitures locales mono passager. Absurdité. Trop de subventions sans doute qui conduisent à des absurdités égoïstes et à courte vue. D autres équipements de luxe, comme des collèges qui feraient baver d envie des professeurs de métropole. Absurdités pour acheter la tranquillité ? Le niveau de vie de la Réunion le semble très élevé par rapport à la métropole. Subventions sans aucun doutes, pour 900.000 habitants... Cela pose plein de questions ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) le 11 décembre Share Posté(e) le 11 décembre il y a 12 minutes, Bechar06 a dit : J ai retenu d un séjour de 3 semaines à La Réunion une circulation automobile qui consiste essentiellement en un tour de l île... sur voie express ( ou presque). Malgré cet équipement, en novembre: une circulation très difficile et l impossibilité d estimer un parcours... Donc on reste sur place, plutôt qu à découvrir des merveilles. Absence totale de transports en commun. Voitures locales mono passager. Absurdité. Trop de subventions sans doute qui conduisent à des absurdités égoïstes et à courte vue. D autres équipements de luxe, comme des collèges qui feraient baver d envie des professeurs de métropole. Absurdités pour acheter la tranquillité ? Le niveau de vie de la Réunion le semble très élevé par rapport à la métropole. Subventions sans aucun doutes, pour 900.000 habitants... Cela pose plein de questions ! La circulation est difficile dans la plupart des "grandes" iles OM. Martinique / Guadeloupe / Tahiti. Je ne sais pas comment se positionne la circulation à la réunion par rapport à ces autres iles exactement. Mais c'est clairement problématique. Tahiti a mon avis reprend des problématiques proches. L'intérieur de l'ile est très escarpé. La route est donc un cordon littoral qui dessert tous les centres d'activités : aéroport / port de commerce / port de plaisance / lieu touristiques etc. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 12 décembre Share Posté(e) le 12 décembre Il y a 9 heures, Eau tarie a dit : La circulation est difficile dans la plupart des "grandes" iles OM. La géographie n'est pas une excuse aux difficultés de circulation automobile ... Au contraire elle serait un critère n°1 pour réguler la circulation, grâce à des transports en commun sur route => Navettes car ou bus avec voie de circulation réservée, même sur autoroute ou voie express, tout simplement ! A la Réunion la proportion de VI véhicules individuels / Habitant est très très fort ... surprenant même Peut-être des choses là-dedans ... Flemme https://www.reunion.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/immatriculations_neuves_reunion_2016.pdf ou un n° suivant ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 12 décembre Share Posté(e) le 12 décembre (modifié) Il y a 10 heures, Bechar06 a dit : J ai retenu d un séjour de 3 semaines à La Réunion une circulation automobile qui consiste essentiellement en un tour de l île... sur voie express ( ou presque). Malgré cet équipement, en novembre: une circulation très difficile et l impossibilité d estimer un parcours... Donc on reste sur place, plutôt qu à découvrir des merveilles. Absence totale de transports en commun. Voitures locales mono passager. Absurdité. Trop de subventions sans doute qui conduisent à des absurdités égoïstes et à courte vue. D autres équipements de luxe, comme des collèges qui feraient baver d envie des professeurs de métropole. Absurdités pour acheter la tranquillité ? Le niveau de vie de la Réunion le semble très élevé par rapport à la métropole. Subventions sans aucun doutes, pour 900.000 habitants... Cela pose plein de questions ! Méconnaissance du terrain, poujadisme bon teint, vague relent paternaliste. Bienvenue dans le monde merveilleux du bar PMU le plus proche. Il y a 10 heures, Eau tarie a dit : La circulation est difficile dans la plupart des "grandes" iles OM. Martinique / Guadeloupe / Tahiti. Je ne sais pas comment se positionne la circulation à la réunion par rapport à ces autres iles exactement. Mais c'est clairement problématique. Tahiti a mon avis reprend des problématiques proches. L'intérieur de l'ile est très escarpé. La route est donc un cordon littoral qui dessert tous les centres d'activités : aéroport / port de commerce / port de plaisance / lieu touristiques etc. En Corse, c'est la même chose. On compte les trajets en heures et non en kilomètres, avec un variable supplémentaire, le trafic touristique qui vient se rajouter aux flux ordinaires sur une bonne partie de l'année. Modifié le 12 décembre par Ciders Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) le 12 décembre Share Posté(e) le 12 décembre il y a une heure, Bechar06 a dit : La géographie n'est pas une excuse aux difficultés de circulation automobile ... Au contraire elle serait un critère n°1 pour réguler la circulation, grâce à des transports en commun sur route => Navettes car ou bus avec voie de circulation réservée, même sur autoroute ou voie express, tout simplement ! A la Réunion la proportion de VI véhicules individuels / Habitant est très très fort ... surprenant même Peut-être des choses là-dedans ... Flemme https://www.reunion.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/immatriculations_neuves_reunion_2016.pdf ou un n° suivant ? vivre à la Reunion est un peu complexe : d'une part, certains résident dans la commune où ils sont nés et peuvent travailler à 50 km de là, je veux dire à plus d'une heure de trajet aller... D'autre part, il y a, pour moi, 2 spots, avec les 2 grandes villes, St Denis (la pref) et Saint Pierre, au sud.. Le reste, ce sont des villages, des petites villes... en gros, si pas de moyen de transport, c'est la punition ultime. Il existe bien au moins une ligne de bus qui relie ces deux villes (les cars jaunes), mais, faute de voies dédiées, ils se retrouvent englués dans les bouchons. et, comme la NRL a couté tres cher.... et qu'il n'y a jamais eu une voie prévue pour le covoiturage et les bus... qu'il n'y a pas d'alternative crédible (passer par la montagne, c'est juste bon quand la NRL est fermée : le délai de route explose et ce n'est pas prévu pour absorber des dizaines de milliers de voitures quant à contourner par l'est (dire à quelqu'un que sa destination est à 30 km par là et à 120 en passant de l'autre coté...) bref, ça fait son charme ; il y a des heures où il ne faut pas partir.. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) le 12 décembre Share Posté(e) le 12 décembre (modifié) Il y a 3 heures, Bechar06 a dit : La géographie n'est pas une excuse aux difficultés de circulation automobile ... Au contraire elle serait un critère n°1 pour réguler la circulation, grâce à des transports en commun sur route => Navettes car ou bus avec voie de circulation réservée, même sur autoroute ou voie express, tout simplement ! A la Réunion la proportion de VI véhicules individuels / Habitant est très très fort ... surprenant même Peut-être des choses là-dedans ... Flemme https://www.reunion.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/immatriculations_neuves_reunion_2016.pdf ou un n° suivant ? Sur la théorie je l'admets. Mais dans la pratique ça demande un changement culturel fort. Et de facto encore de grosses dépenses pour avoir une solution adaptée aux mode de vie. Les modes de vie pourront évoluer, mais c'est lent, et on ne changera pas du tout au tout. Tu prends les tahitiens, ils aiment faire des activités nautiques, ou alors aller passer la journée en groupe dehors avec des énormes glacières etc. => Ils voudront toujours une voiture. Ce qui n'empêche pas d'aller au boulot en bus, je te l'accorde. Tout est quand même géographiquement étalé 'en long', et très rapidement vraiment escarpé. Tu vas chez des amis, ils sont sur les versants des montagnes, t'as vite 200/300m de dénivelé ! C'est pas les transports en commun façon "ville plate" (Paris / Bordeaux etc.) Même Lyon, à part Fourvière et Croix Rousse, c'est plat. Presque toutes les grandes villes Françaises avec des solutions qui marches bien sont principalement plates. Les grandes villes avec du relief fort ont du mal à avoir des solutions de transport en commun efficace (je pense à Nice, Monaco, Toulon il y en a peut être d'autres). Et en plus, il ne faut pas oublier un paramètre. Le combo chaleur humidité locale te dissuade quand même pas mal de faire des efforts physiques "complémentaires". Si tu vas au boulot avec pas mal de marche ou du vélo en plus de ton bus, tu sors ultra trempé ! ça n'a absolument rien à voir avec la métropole. Dans la voiture il y a la clim, l'air sec. C'est presque reposant dans la journée. De plus, les iles sont rythmés par l'arrivée des marchandises par les porte containers. Donc il reste un gros traffic routier quoiqu'il arrive. Je ne dis pas que c'est impossible, pour que ça marche il faudrait de sacrés investissement dans le temps long. Je ne connais pas, mais j'imagine que certaines villes asiatiques y arrivent très bien. Mais probablement avec un activité économique ++. Si tu condamnes une voie pour "inciter" les gens à covoiturer, mais que dans les faits ce n'est pas adapté au mode de vie de là bas, tu passes pour un administrateur parisien lambda qui ne comprend rien aux problème locaux. Et ça sera encore plus rejeté... Modifié le 12 décembre par Eau tarie 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 15 décembre Share Posté(e) le 15 décembre https://www.lefigaro.fr/actualite-france/pourquoi-la-justice-reconnait-la-responsabilite-de-la-france-dans-les-emeutes-en-nouvelle-caledonie-20251214 (14 décembre 2025) Le tribunal administratif de Nouméa a condamné l’État à payer près de 28 millions d’euros, jugeant qu’il n’avait pas mis en place un « niveau raisonnable de sécurité » dans les jours précédant les émeutes de mai 2024. https://www.lemonde.fr/politique/article/2025/12/14/nouvelle-caledonie-le-gouvernement-abandonne-le-projet-de-consultation-anticipee_6657303_823448.html (14 décembre 2025) Le gouvernement abandonne le projet de consultation anticipée Le prochain conseil des ministres du 17 décembre n’adoptera pas, comme prévu, le projet de loi sur une consultation anticipée des Néo-Calédoniens, que le gouvernement souhaitait appeler à se prononcer le 15 mars 2026 sur « l’accord de Bougival ». https://www.leclubdesjuristes.com/opinion/nouvelle-caledonie-une-etonnante-consultation-citoyenne-13299/ (8 décembre 2025) Une étonnante « consultation citoyenne » Six des huit présidents de groupe politique du Sénat déposèrent une proposition de loi. Celle-ci visait à reporter, au plus tard au 28 juin 2026, le renouvellement général des membres du Congrès et des assemblées de province de la Nouvelle-Calédonie. Adopté en première lecture par le Sénat le 15 octobre 2025, au terme d’un parcours à l’Assemblée nettement moins consensuel, le texte fut promulgué le 7 novembre 2025. Quelques jours plus tard, sans aucun signe précurseur, la ministre des Outre-mer surprit en annonçant cette « consultation anticipée » aux fins de « redonner sa force à cet accord qui n’est pas unanimement porté ». Sauf que cette annonce peut aussi ressembler à un « passage en force » comme l’a interprété le FLNKS le 24 novembre, dénonçant un « dispositif fabriqué à la hâte » pour « imposer le projet (…) sans consensus ». De surcroît, l’accord stipule que c’est le projet de loi constitutionnelle lui-même qui devait être soumis au référendum, ce qui diffère sensiblement de la démarche engagée par le gouvernement actuel. D’abord, le fondement même de l’initiative apparaît problématique. Le terme de « référendum » étant proscrit par la Constitution — seuls sont prévus les cas organisés par son article 11, l’article 53 alinéa 3 et l’article 89 — le gouvernement a choisi d’évoquer une « consultation citoyenne » dépourvue de tout effet juridique obligatoire. D’ailleurs, déjà en juillet 2022, le Sénat, dans un rapport sur l’avenir institutionnel du territoire éreintait le « référendum dit « de projet » annoncé par Sébastien Lecornu qui ne semble pas disposer d’un fondement juridique clair »… Ensuite, le corps électoral appelé à se prononcer est pour le moins improbable. Enfin, la vocation même de la consultation demeure illisible. Dans de telles conditions, il serait prudent que si la ministre des Outre-mer persistait, le Parlement s’oppose à au projet de loi déposé. https://la1ere.franceinfo.fr/nouvellecaledonie/plus-de-chance-d-enterrer-bougival-que-de-le-sauver-trois-formations-politiques-prennent-leur-distance-avec-le-projet-de-consultation-1647676.html (28 novembre 2025) Dans un communiqué diffusé ce vendredi [28 novembre], Calédonie Ensemble regrette de son côté un projet de loi "juridiquement douteux, politiquement inapproprié, et temporellement inadéquat, (qui) a plus de chance d'enterrer Bougival que de le sauver". "On peut s’interroger sur la possibilité, pour une loi ordinaire, d’instaurer un corps électoral restreint, sans base constitutionnelle, pour l’organisation d’une consultation qui n’est pas prévue par le Titre XIII" de l'accord de Nouméa, relève Calédonie Ensemble dans son communiqué. https://www.lnc.nc/article/nouvelle-caledonie/politique/consultation-sur-bougival-l-association-des-maires-juge-le-calendrier-intenable (5 décembre 2025) L’Association des maires de Nouvelle-Calédonie (AMNC) – qui regroupe 22 communes sur 33, celles de sensibilité indépendantiste – s’oppose à la tenue de la consultation au 15 mars 2026, en même temps que le premier tour des municipales. Pour l’AMNC, organiser deux scrutins le même jour serait "source inévitable de confusion et d’erreurs" : listes électorales différentes, procédures séparées, enjeux sans rapport. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 16 décembre Share Posté(e) le 16 décembre « Un tournant symbolique majeur » : Hunter et Matthew, ces bouts de France qui pourraient être cédés au Vanuatu https://www.lefigaro.fr/actualite-france/un-tournant-symbolique-majeur-hunter-et-matthew-ces-bouts-de-france-qui-pourraient-etre-cedes-au-vanuatu-20251214 ANALYSE - Alors que des négociations sont en cours sur une possible cession au Vanuatu de ces deux îlots français inhabités du Pacifique, situés au large de la Nouvelle-Calédonie, des voix s’élèvent pour alerter sur les risques géopolitiques majeurs que pourrait créer un tel précédent. 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Scarabé Posté(e) le 16 décembre Share Posté(e) le 16 décembre il y a 40 minutes, Titus K a dit : « Un tournant symbolique majeur » : Hunter et Matthew, ces bouts de France qui pourraient être cédés au Vanuatu https://www.lefigaro.fr/actualite-france/un-tournant-symbolique-majeur-hunter-et-matthew-ces-bouts-de-france-qui-pourraient-etre-cedes-au-vanuatu-20251214 ANALYSE - Alors que des négociations sont en cours sur une possible cession au Vanuatu de ces deux îlots français inhabités du Pacifique, situés au large de la Nouvelle-Calédonie, des voix s’élèvent pour alerter sur les risques géopolitiques majeurs que pourrait créer un tel précédent. Ca ne passera jamais au vote du parlement c est deja arrivé dans le passé pour d autres iles de l indien et des caraibes. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) jeudi à 20:55 Share Posté(e) jeudi à 20:55 et, coté Mayotte, actuellement, c'est le recensement... (jusqu'au 20 janvier 2026) un papier sur ce qui est : https://www.ifrap.org/europe-et-international/mayotte-le-recensement-exceptionnel-debute Mayotte : le recensement exceptionnel débute Samuel-Frédéric Servière Publié le 29 octobre 2025 à 17:35 Mis à jour le 04 novembre 2025 à 13:13 Du 27 novembre au 10 janvier 2026, près de 800 agents seront mobilisés afin de procéder à un recensement exceptionnel de la population sur l’archipel de l’Océan Indien. Pour cela l’INSEE a noué un partenariat avec les communes du département. Un décret du 28 août 2025 en organise les modalités. Il s’agissait d’une demande du Premier ministre François Bayrou afin de clarifier les questions démographiques entourant l’évaluation de la « population réelle ». Cette question n’est pas triviale car elle devrait permettre de mieux cerner les enjeux entourant la question de l’immigration illégale sur l’île, mais aussi de calibrer de façon plus juste les investissements à programmer dans le cadre de la reconstruction des infrastructures après les destructions opérées par le cyclone Chido le 14 décembre 2024. Elle permettra surtout de vérifier si la population actuelle atteint bien les 329.282 habitants (notamment via la consommation de riz) ou si elle est plus nombreuse du fait de l'immigration illégale. Elle permettra également de vérifier si notre estimation d'une population étrangère à 55,8% dès 2024 sur le sol mahorais (soit près de 179.000 habitants) est juste. Une population au 1er janvier 2025 estimé à 329.000 habitants D’après une récente publication de l’INSEE[1], au 1er janvier 2025 la population de Mayotte est estimée à 329 282 habitants[2], soit une croissance de 2,8 % par rapport à l’année précédente (+9 000 habitants). Une forme de décélération puisqu’auparavant, la croissance tournait plutôt autour des 3,8 %/an, entre 2014 et 2020, pour ensuite baisser autour des 3,4 %/an entre 2021 et 2024. Mis en perspective par rapport aux scénarios de projections réalisés en 2020 par l’INSEE à horizon 2050[3], cette petite inflexion ne serait pas encore de nature à faire décrocher de façon substantielle l’évolution de la population du scénario haut (excédent migratoire), bien qu’une petite inflexion soit perceptible en 2025 (329 000 habitants contre 332 000 dans la projection du scénario haut). Source : INSEE, 2020 et 2025. Une croissance de la population portée d’abord par les naissances de mères étrangères L’évolution de la population s’explique d’abord par le dynamisme des naissances. Cependant nous informe l’INSEE, la fécondité chute à Mayotte pour atteindre 3,58 enfants par femme en 2024, contre 4,21 en 2023. La baisse intervenant sur l’ensemble des catégories d’âges susceptibles de procréer : Année Mayotte Hexagone ICF des 15-24 ans ICF des 25-34 ans ICF des 35-50 ans ICF ensemble ICF des 15-24 ans ICF des 25-34 ans ICF des 35-50 ans ICF ensemble 2014 1,17 1,95 0,99 4,12 0,27 1,27 0,44 1,97 2015 1,49 2,26 1,11 4,87 0,26 1,23 0,44 1,93 2016 1,55 2,33 1,06 4,95 0,24 1,21 0,44 1,89 2017 1,55 2,28 1,08 4,92 0,23 1,19 0,44 1,86 2018 1,42 2,21 1,02 4,66 0,22 1,17 0,44 1,84 2019 1,36 2,19 1,03 4,58 0,22 1,16 0,45 1,83 2020 1,24 1,95 0,97 4,16 0,21 1,13 0,44 1,78 2021 1,37 2,21 1,07 4,65 0,19 1,14 0,46 1,79 2022(p) 1,35 2,18 1,02 4,55 0,19 1,10 0,45 1,74 2023(p) 1,26 1,99 0,96 4,21 0,18 1,01 0,43 1,62 2024(p) 1,07 1,69 0,82 3,58 0,17 0,98 0,43 1,59 Source : INSEE, 24/04/2025[4] Le niveau atteint est désormais inférieur à celui qu’il était en 2014, où il atteignait 4,12 enfants/femme. L’indicateur conjoncturel de fécondité (ICF) reste toutefois à Mayotte 2,25 fois plus élevé que celui de métropole en 2024. Si l’on veut maintenant décomposer le croît de la population entre 2024 et 2024, celui se répartit comme suit : Estimations (INSEE avril 2025)Evolution (VA) par rapport à l'année n-1Décès domiciliésNaissances domiciliéesSolde naturelEcart (flux entrant – flux sortant) 2014 223,7 7,31 2015 232,2 8,5 -0,6 9,0 8,4 0,1 2016 241,0 8,8 -0,7 9,5 8,8 0,0 2017 250,1 9,2 -0,7 9,8 9,0 0,1 2018 259,6 9,5 -0,8 9,6 8,8 0,6 2019 269,6 10,0 -0,8 9,8 9,0 1,0 2020 279,7 10,1 -1,0 9,2 8,2 1,9 2021 289,0 9,3 -1,1 10,6 9,5 -0,1 2022 299,6 10,6 -1,0 10,8 9,8 0,8 2023 310,2 10,6 -1,0 10,3 9,3 1,2 2024 320,3 10,1 -1,0 8,9 7,9 2,2 2025 329,3 9,0 Source : INSEE, calculs Fondation iFRAP octobre 2025 Il apparaît en particulier que le solde naturel (décès domiciliés – naissances domiciliées) représente la principale cause de l’augmentation de la population estimée à Mayotte. Or ces naissances se font majoritairement par des mères de nationalités étrangères. Leur répartition est la suivante : Source : INSEE, octobre 2025 op.cit. En 2024, les naissances sur l’archipel de mères comoriennes représentaient 65% des naissances contre 26,7% de mères françaises. Une proportion qui tend cependant à évoluer en sens inverse de façon symétrique. En 2024, le nombre de naissances de mères françaises était en augmentation de près de 1,6 point contre une baisse du côté comorien de 2 points. Source : INSEE, octobre 2025 op.cit. La répartition des naissances en fonction de la nationalité des parents permet de vérifier la prépondérance des parents étrangers, père/mère et des couples binationaux dans la pondération des naissances à Mayotte. On vérifie cependant une augmentation sensible des naissances avec deux parents étrangers (+17,3 points entre 2014 et 2024) et à l’inverse une baisse de l’ensemble des autres catégories associant au moins un parent français ou les deux. (en %) Nationalité des parents 2014 2024 Ecart Parents étrangers 28,2 45,5 17,3 Au moins un des parents français Mère étrangère et père français 34,5 27,7 -6,8 Mère française et père étranger 9,4 7,5 -1,9 Parents français 27,9 19,3 -8,6 Total 100,0 100,0 0 Source : INSEE avrli 2025 op.cit. Le nouveau recensement à Mayotte permettra de déterminer la part de la population étrangère Les derniers chiffres publiés par le service statistique du ministère de l’Intérieur pour 2022[5] font apparaître pour Mayotte une population immigrée recensée représentant près de 34,73% de la population totale estimée de l’archipel. Pour rappel la population immigrée doit s’entendre comme rassemblant toute personne « née étrangère à l’étranger et résidant en France ». Cette définition ne tient donc pas compte de la population de nationalité étrangère née à Mayotte et n’ayant pas acquise la nationalité française. Nous estimions en 2024 que sous toutes vraisemblances (mais le recensement lancé pourra le confirmer ou l’infirmer) la population étrangère sur le sol mahorais devrait dépasser les 55,8% de la population totale en 2024 contre 48% en 2017 (date pour laquelle on dispose de la dernière estimation officielle[6]). Il faudra corriger ce flux des naturalisations acquises à Mayotte et qui ne sont recensées par ce territoire que depuis 2022. Le ministère de l’intérieur indique à ce sujet dans une note statistique récente[7], que pour 2022 les naturalisations concernant les Comoriens avaient représenté près de 2.999 individus – sans préciser leur répartition géographique – à Mayotte, dans un autre DOM ou en métropole. En sens inverse la pression migratoire des flux illégaux semble toujours importante[8], et le bilan 2024 de la lutte contre l’immigration clandestine à Mayotte fait apparaître une baisse des interceptions de Kwassas (bateaux de transports de migrants) de 25% en 2024 par rapport à 2023 (avec 493 interceptions contre 661 interceptions l’année précédente) contre une baisse des détections de 16% (809 détections contre 965 détections en 2023). Cela laisse augurer du débarquement potentiel de près de 316 embarcations en 2024 soit une hausse de 4% en un an. Par ailleurs 6.764 étrangers en situation irrégulière ont été interpelés en mer contre près de 8.669 en 2023. Cela représente environ 13,7 personnes par embarcation. Les flux migratoires illégaux peuvent donc être estimée à 4.329 personnes parvenant à débarquer sur l’île. Ce flux putatif doit cependant être diminué de la lutte contre l’immigration irrégulière sur terre. Celle-ci a donné lieu en 2024 à près de 22.016 interpellations dont 19.262 reconduites à la frontière. Encore une fois, le recensement exceptionnel entamé en octobre et clôturé en janvier 2026 devrait permettre d’y voir plus clair sur cette question. [1] INSEE, L’essentiel sur… Mayotte, 17 octobre 2025. https://www.insee.fr/fr/statistiques/4632225#consulter [2] INSEE, estimation de la population, Ensemble – Mayotte Identifiant 001760180, Séries chronologiques, 04/04/2025. https://www.insee.fr/fr/statistiques/serie/001760180#Tableau [3] INSEE Analyse Mayotte n°26, 15 juillet 2020, https://www.insee.fr/fr/statistiques/4628193 [4] INSEE, Forte baisse des naissances, Bilan démographique 2024 à Mayotte, 24/04/2025. [5] L’immigration dans les départements en 2022, Ministère de l’Intérieur, 22 octobre 2025, [6] https://www.insee.fr/fr/statistiques/3713016 [7] Intégration et accès à la nationalité française, Ministère de l’Intérieur, 26 juin 2025. [8] Comparer le Bilan de la lutte contre l’immigration irrégulière à Mayotte, publié par la préfecture en 2025 (bilan 2024) à celui de l’année précédente. Voir également https://www.infomigrants.net/fr/post/66311/mayotte--nette-baisse-des-interceptions-et-des-expulsions-de-migrants-en-2024 ., ainsi que pour l’année 2022, la Question au Gouvernement de M. Mansour Kamardine, publiée le 26 mars 2024, https://questions.assemblee-nationale.fr/q16/16-5550QE.htm tuutut.. je me permets de kalxonner : je cite ce passage : Les derniers chiffres publiés par le service statistique du ministère de l’Intérieur pour 2022[5] font apparaître pour Mayotte une population immigrée recensée représentant près de 34,73% de la population totale estimée de l’archipel. Pour rappel la population immigrée doit s’entendre comme rassemblant toute personne « née étrangère à l’étranger et résidant en France ». Cette définition ne tient donc pas compte de la population de nationalité étrangère née à Mayotte et n’ayant pas acquise la nationalité française. Or, l'amendement THANI (pour la faire courte, il faut, à cette époque, que la mère soit sur le territoire national depuis plus de 90 jours avec papiers) fait qu'il y a des enfants, nés en 2018 et après (ceux d'avant sont aussi complexes) qui ne rentrent pas dans les cases : cette définition ne tient pas compte de la population étrangere née à Mayotte et il y en a. concernant la consommation de riz, https://afrimag.net/mayotte-la-consommation-de-riz-revele-le-nombre-dhabitants/ 23 000 tonnes importées en 2023 ou, ici, page 17 https://www.bnsp.insee.fr/ark:/12148/bc6p09mhk34.pdf 23 ou 25 000 tonnes... mais, mais, si les statisticiens estiment que les locaux consomment 220 grammes par jour.. il ne faut pas oublier qu'il y a 10 000 naissances par jour (plus de 60% sont des femmes comoriennes sans papier, 30% des françaises, et le reste... pour le reste du monde du coin).. donc, depuis le dernier recensement, en 2017, il s'est passé 8 ans, soit 80 000 naissances ; les plus jeunes sont au biberon, mais, ceux de 10 ans ne consomment pas 220 grammes de riz à chaque repas... mais ils sont là (et passent sous les radars comme une tres grande partie des 117 000 enfants scolarisés) Tous les jours arrivent des kwassas (entre 5 et 10, avec une vingtaine d'occupants) ... au bout du compte, ils sont dans une impasse et on ne peut pas continuer à ne pas vouloir les voir... 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) jeudi à 22:40 Share Posté(e) jeudi à 22:40 https://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/gendinfo/actualites/2025/le-major-general-de-la-gendarmerie-nationale-en-deplacement-en-nouvelle-caledonie (18 décembre 2025) Le général de corps d’armée André Petillot, Major général de la Gendarmerie nationale (MGGN), s’est rendu en Nouvelle-Calédonie, du 12 au 15 décembre 2025 Afin d’assurer sa mission de sûreté publique, le Commandement de la gendarmerie pour la Nouvelle-Calédonie, armé par quelque 700 militaires, s’appuie notamment sur quatre compagnies, une Section de recherches (S.R.), une Section d’appui judiciaire (SAJ), deux Brigades motorisées (B.Mo.), une Brigade de gendarmerie des transports aériens (BGTA), une Brigade nautique (B.N.), un Peloton de surveillance et d'intervention à cheval (PSIC), une Cellule prévention technique de la malveillance (CPTM), ainsi qu’une Maison de protection des familles (MPF). Le COMGENDNC bénéficie du renfort de 17 EGM et de l’appui de nombreux réservistes. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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