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USA - Criailleries 2 - Rumeurs, controverses, polémiques


Messages recommandés

il y a 6 minutes, herciv a dit :

Columbia va devoir licencier 180 chercheurs. On ne sait pas encore quel catégories de recherche vont souffrir.

https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/L-universite-Columbia-licencie-pres-de-180-chercheurs-en-raison-des-coupes-budgetaires-de-Trump-49845786/
 

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La virologie semble entre autres dans le viseur 

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Je connais une thésarde française dans qui doit aller en Californie l'année pro après avoir été à Boston y a 2 ans, bah ... là c'est devenu très très compliqué. 

Les USA se tirent une balle dans le pied, mais d'une force ! 

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Il y a 15 heures, pascal a dit :

La virologie semble entre autres dans le viseur 

Parfait. C'est pas comme si on avait une épidémie virale a potentiel pandémique tous les ans

Ah ben si en fait

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Il y a 4 heures, Akhilleus a dit :

Parfait. C'est pas comme si on avait une épidémie virale a potentiel pandémique tous les ans

Ah ben si en fait

L'info vient d'un camarade chercheur à Luminy (Marseille) dont le labo est en contact avec des collègues américains dont certains se sont retrouvés du jour au lendemain portes closes ...

Ne pas oublier que la nouvelle direction US comporte un certain nombre d’antivax droits dans leurs santiags

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Le meilleurs moyen de se faire rouler dans la farine, l’interprète Russe prêté peut bien dire ce qu'il veut sans jamais retranscrire réellement ce que VP expose et les Russes sont en positions pour orienter à leurs guises le sens du contenu.
Il est à souhaiter que le représentant US n'ait rien signé avant expertise US des documents soumis.

 

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2 hours ago, olivier lsb said:

Corruption rendue quasi officielle, dans un pays où la culture de l'indépendance et le refus des compromissions conduit parfois à refuser tasse à café, d'un prestataire vis à vis de son donneur d'ordre fédéral.

J'espere que les mouchards sont plaqués or

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Avis de tempète  à l'eau glacial sur l'économie US :

Bon ben encore une adjudication des bon du trésor qui se passe mal. Le résultat est boursier mais surtout fait que les taux d'intérêt US ne peuvent pas baisser et ne peuvent que grimper :

https://www.zonebourse.com/cours/devise/EURO-US-DOLLAR-EUR-USD-4591/actualite/Devises-le-faiblit-1-135-E-malgre-taux-US-qui-flambent-50028688/

Devises : le $ faiblit (1,135/E) malgré taux US qui flambent

Publié le 21/05/2025 à 20:04

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Le Dollar qui avait prix un mauvais départ ce mercredi (-0,5% au moment de l'ouverture de Wall Street) accélère son repli depuis 19H : le '$-Index' perdait -0,75% vers 19H30, à 99,35 (99,45 à 19H45) et il achève d'effacer tous ses gains depuis le 6 mai dernier.

Pourtant, la rémunération du Dollar ne cesse de progresser depuis cette date et les rendements flambent aujourd'hui avec un '10 ans' qui prend +10Pts à 4,600%, le '30 ans' prend 11,5Pts à 5,0820% (pire niveau depuis plus de 20 ans) et le '2 ans' campe au-dessus des 4,00% (vers 4,02%), comme si les investisseurs avaient renoncé aux espoirs de baisse de taux en juillet, sinon à la rentrée .

Aux Etats Unis, aucun chiffre, aucune déclaration de Trump ou d'un membre de la FED n'explique ce coup de tabac sur l'obligataire... mais la tendance baissière du Dollar se renforce avec -0,55% face à l'Euro, -0,4% face à la Livre et -0,7% face au yen vers 143,5.

Quand au Japon, le krach obligataire continue -dans l'indifférence générale-avec un '30 ans' à 3,15% (un nouveau record inscrit à 3,200%) et un '40 ans' à 3,63% (pires niveaux de l'histoire)... mais le Yen se montre robuste contre toutes devises.
La Bank of Japan semble complètement prise au dépourvu, entre une croissance disparue (le japon est en récession), une inflation persistante, des déficits qui s'accumulent: les 'taux marché' dictent leur loi et la BoJ semble avoir perdu le contrôle.
Une adjudication de bons du Trésor à '20 ans' n'a pas trouvé preneur mardi matin, ce qui a fait exploser le taux de 2,41 vers 2,55%, alors que le rendement était de 1,915% le 7 avril.

La Livre semble un peu plus faible, malgré des 'Guilts' à 4,80%, suite à l'envolée de l'indice des prix à la consommation du Royaume-Uni (+0,9%), à 3,5% sur un an en avril (par rapport à 2,6% en mars) contre 3,3% attendu.

Copyright (c) 2025 CercleFinance.com. Tous droits réservés.

 

 

Ca aurait pu passer inaperçu au temps de superman mais là c'est plus possible compte tenu de l'immense abruti qu'ils ont mis à leur tête :

https://www.zonebourse.com/cours/indice/S-P-500-4985/actualite/Wall-Street-cesse-enfin-d-ignorer-la-degradation-des-taux-50033959/

Wall Street : cesse enfin d'ignorer la dégradation des taux

oudain ressorti d'un climat de complaisance que rien ne semblait pouvoir dissiper vers 19H en découvrant une adjudication mal souscrite de Treasuries à '20 ans'.

C'est ce qui a soudain aggravé la situation sur le compartiment obligataire américain, lequel ne cesse de se dégrader dans l'indifférence générale depuis le 7 avril (début du 'rallye' des indices US) et surtout le 1er mai, avec +45Pts sur le '10 ans', lequel explose de +11Pts à plus de 4,600% tandis que le '30 ans' affiche +10,5Pts à 5,0800%.

Les pertes marginales du début de la séance ont soudain pris de l'ampleur et au final, le S&P500 lâche -1,6%, le Dow Jones -1,9% et le Nasdaq s'enfonce de -1,4% malgré les +2,8% d'Alphabet.

Mais c'est le Russell-2000 qui a littéralement dévissé avec -2,8% et qui efface tous ses gains depuis le 9 mai (perte annuelle de plus de -8%).

Coincidence troublante, mardi matin, c'est également une adjudication de bons du Trésor à '20 ans' au Japon qui n'avait pas trouvé preneur, ce qui avait fait exploser leur taux de 2,40 vers 2,55% (alors que le rendement était de 1,915% le 7 avril).

Depuis 4 semaines, les acheteurs, majoritairement des particuliers pour qui les marchés obligataires appartiennent à un autre univers, ne se sont pas préoccupés des taux, ni des révisions à la baisse des bénéfices et des objectifs de vente (ne comptait que les trimestriels 'meilleurs que prévu' et l'appétit pour les '7 fantastiques', ou le 'top-10' du S&P500 qui pèse de nouveau 37% de l'indice).

A noter que le VIX, retombé sous les 20% depuis le 9 mai dernier a bondi de +16% vers 21.

'Le rebond massif des actions auquel nous assistons depuis quelques semaines soulève des interrogations légitimes sur sa solidité, tant les valorisations et l'environnement dans lequel il intervient est différent de 2018 ou de 2020', selon des experts d'IG France.

Signe d'un certain regain d'aversion au risque de quelques investisseurs, l'actif refuge par excellence qu'est l'or avait fortement progressé ce mardi, le métal jaune s'établissant ainsi au-dessus des 3.300 dollars l'once, et 3.320 ce mercredi soir.

'Les inquiétudes persistantes concernant la santé budgétaire américaine et les risques macroéconomiques plus larges ont continué de lui offrir un soutien', expliquait Quasar Elizundia, expert research strategist chez Pepperstone.


Ce dernier pointe aussi des récents commentaires de membres de la Fed, qui ont insufflé de la prudence quant à des baisses de taux au second semestre, ainsi qu'une situation géopolitique qui 'ajoute à la complexité'.

Signe que le contexte 'risk-on' n'est pas complètement hors de propos, le Bitcoin, arraché à la hausse par Michael Saylor, le PDG de Microstrategy qui recommande dans un tweet d'acheter le Bitcoin au plus haut comme lui (afin de faire sauter la barre des 109.000$ du 20 janvier dernier), a effectivement établi un nouveau record absolu à 109.500$.

 

Parce que à la toute fin il s'agit de financer le train de vie des US et le projet de budget actuel va rajouter entre 10 à 15 % de rab à la dette US actuelle. Ca rend nerveux les grands investisseurs internationaux qui voient bien que Trump ne veut pas faire porter la casquette à sa population et fait voter des baisses d'impôts colossales et dans le même temps un moindre financement de Medicaid.

https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Le-projet-de-loi-de-Trump-sur-les-reductions-d-impots-fait-l-objet-d-un-test-de-resistance-inhabi-50018625/

Le projet de loi de Trump sur les réductions d'impôts fait l'objet d'un test de résistance inhabituel pendant la nuit avec les républicains de la Chambre

Publié le 21/05/2025 à 06:01, mis à jour le 22/05/2025 à 05:20

Le projet de loi sur les réductions d'impôts et les dépenses du président Donald Trump sera soumis à un test de résistance crucial mercredi, alors que les républicains de la Chambre des représentants des États-Unis tentent de surmonter leurs divisions internes sur les coupes dans le programme de santé Medicaid et les allégements fiscaux dans les États côtiers où le coût de la vie est élevé.

La commission des règles de la Chambre des représentants, qui fait office de gardienne, a prévu une audience inhabituelle à 1 heure du matin (5 heures GMT), qui devrait se prolonger jusqu'en début de journée, au cours de laquelle les membres débattront des détails de la mesure. Si elle est adoptée par le Congrès, elle réduirait certaines prestations de santé et alimentaires pour les Américains à faibles revenus, annulerait des programmes d'énergie verte et allouerait des dizaines de milliards de dollars à l'application des lois sur l'immigration. M. Trump s'est réuni mardi avec des parlementaires pour tenter de persuader les récalcitrants de son parti de se rallier à ce qu'il qualifie de « grand et beau projet de loi », mais cette visite n'a pas réussi à convaincre les nombreux parlementaires qui s'opposent à certaines dispositions spécifiques.

Le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson, n'a guère de marge de manœuvre, car son parti ne dispose que d'une faible majorité de 220 voix contre 213, et une poignée de votes négatifs de son camp pourrait faire échouer le projet de loi, que les démocrates jugent favorable aux riches et préjudiciable aux programmes sociaux indispensables.

Les faucons budgétaires ont bloqué le projet vendredi dans une autre commission, avant de céder tard dimanche soir. Ce scénario pourrait se reproduire au sein de la commission des règles, qui comprend plusieurs républicains qui réclament des coupes plus importantes dans le programme de santé Medicaid, qui couvre 71 millions d'Américains.

Le projet de loi prolongerait les réductions d'impôts de 2017, qui ont été la principale réalisation législative du premier mandat de Trump, et ajouterait également des allégements fiscaux sur les revenus provenant des pourboires et des heures supplémentaires, qui faisaient partie de son programme populiste pendant la campagne électorale. Selon des analystes indépendants, cela pourrait ajouter entre 3 000 et 5 000 milliards de dollars à la dette fédérale, qui s'élève déjà à 36 200 milliards de dollars.

S'il est approuvé par la commission, Johnson pourrait demander un vote à la Chambre dès mercredi. Medicaid s'est avéré être un point de discorde majeur, les faucons budgétaires poussant à des coupes pour compenser en partie le coût des mesures fiscales du projet de loi, qui, selon les républicains modérés, nuiraient aux électeurs dont ils auront besoin pour les élections de mi-mandat de 2026.

Le projet de loi se heurte également à l'opposition d'une poignée de parlementaires républicains centristes issus d'États à forte fiscalité, notamment New York et la Californie, qui souhaitent assouplir le plafond de 30 000 dollars applicable aux déductions fiscales au titre des impôts locaux et régionaux.

M. Trump cherche à obtenir le soutien unanime des républicains et a déclaré mardi que les récalcitrants pourraient être exclus du parti.

La semaine dernière, l'agence de notation Moody's a retiré la note maximale au gouvernement américain, invoquant l'endettement croissant du pays.

Si le projet de loi est adopté par la Chambre des représentants, il sera ensuite soumis au Sénat, où les républicains détiennent une majorité de 53 sièges contre 47. Cela ne devrait pas se produire avant le mois prochain, car le Congrès s'apprête à quitter Washington la semaine prochaine pour une semaine de vacances. (Reportage de Bo Erickson et David Morgan, rédaction d'Andy Sullivan ; édité par Scott Malone et Rod Nickel)

Modifié par herciv
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Il y a 4 heures, herciv a dit :

Avis de tempète  à l'eau glacial sur l'économie US :

Bon ben encore une adjudication des bon du trésor qui se passe mal. Le résultat est boursier mais surtout fait que les taux d'intérêt US ne peuvent pas baisser et ne peuvent que grimper :

https://www.zonebourse.com/cours/devise/EURO-US-DOLLAR-EUR-USD-4591/actualite/Devises-le-faiblit-1-135-E-malgre-taux-US-qui-flambent-50028688/

Devises : le $ faiblit (1,135/E) malgré taux US qui flambent

Publié le 21/05/2025 à 20:04

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Le Dollar qui avait prix un mauvais départ ce mercredi (-0,5% au moment de l'ouverture de Wall Street) accélère son repli depuis 19H : le '$-Index' perdait -0,75% vers 19H30, à 99,35 (99,45 à 19H45) et il achève d'effacer tous ses gains depuis le 6 mai dernier.

Pourtant, la rémunération du Dollar ne cesse de progresser depuis cette date et les rendements flambent aujourd'hui avec un '10 ans' qui prend +10Pts à 4,600%, le '30 ans' prend 11,5Pts à 5,0820% (pire niveau depuis plus de 20 ans) et le '2 ans' campe au-dessus des 4,00% (vers 4,02%), comme si les investisseurs avaient renoncé aux espoirs de baisse de taux en juillet, sinon à la rentrée .

Aux Etats Unis, aucun chiffre, aucune déclaration de Trump ou d'un membre de la FED n'explique ce coup de tabac sur l'obligataire... mais la tendance baissière du Dollar se renforce avec -0,55% face à l'Euro, -0,4% face à la Livre et -0,7% face au yen vers 143,5.

Quand au Japon, le krach obligataire continue -dans l'indifférence générale-avec un '30 ans' à 3,15% (un nouveau record inscrit à 3,200%) et un '40 ans' à 3,63% (pires niveaux de l'histoire)... mais le Yen se montre robuste contre toutes devises.
La Bank of Japan semble complètement prise au dépourvu, entre une croissance disparue (le japon est en récession), une inflation persistante, des déficits qui s'accumulent: les 'taux marché' dictent leur loi et la BoJ semble avoir perdu le contrôle.
Une adjudication de bons du Trésor à '20 ans' n'a pas trouvé preneur mardi matin, ce qui a fait exploser le taux de 2,41 vers 2,55%, alors que le rendement était de 1,915% le 7 avril.

La Livre semble un peu plus faible, malgré des 'Guilts' à 4,80%, suite à l'envolée de l'indice des prix à la consommation du Royaume-Uni (+0,9%), à 3,5% sur un an en avril (par rapport à 2,6% en mars) contre 3,3% attendu.

Copyright (c) 2025 CercleFinance.com. Tous droits réservés.

 

 

Ca aurait pu passer inaperçu au temps de superman mais là c'est plus possible compte tenu de l'immense abruti qu'ils ont mis à leur tête :

https://www.zonebourse.com/cours/indice/S-P-500-4985/actualite/Wall-Street-cesse-enfin-d-ignorer-la-degradation-des-taux-50033959/

Wall Street : cesse enfin d'ignorer la dégradation des taux

oudain ressorti d'un climat de complaisance que rien ne semblait pouvoir dissiper vers 19H en découvrant une adjudication mal souscrite de Treasuries à '20 ans'.

C'est ce qui a soudain aggravé la situation sur le compartiment obligataire américain, lequel ne cesse de se dégrader dans l'indifférence générale depuis le 7 avril (début du 'rallye' des indices US) et surtout le 1er mai, avec +45Pts sur le '10 ans', lequel explose de +11Pts à plus de 4,600% tandis que le '30 ans' affiche +10,5Pts à 5,0800%.

Les pertes marginales du début de la séance ont soudain pris de l'ampleur et au final, le S&P500 lâche -1,6%, le Dow Jones -1,9% et le Nasdaq s'enfonce de -1,4% malgré les +2,8% d'Alphabet.

Mais c'est le Russell-2000 qui a littéralement dévissé avec -2,8% et qui efface tous ses gains depuis le 9 mai (perte annuelle de plus de -8%).

Coincidence troublante, mardi matin, c'est également une adjudication de bons du Trésor à '20 ans' au Japon qui n'avait pas trouvé preneur, ce qui avait fait exploser leur taux de 2,40 vers 2,55% (alors que le rendement était de 1,915% le 7 avril).

Depuis 4 semaines, les acheteurs, majoritairement des particuliers pour qui les marchés obligataires appartiennent à un autre univers, ne se sont pas préoccupés des taux, ni des révisions à la baisse des bénéfices et des objectifs de vente (ne comptait que les trimestriels 'meilleurs que prévu' et l'appétit pour les '7 fantastiques', ou le 'top-10' du S&P500 qui pèse de nouveau 37% de l'indice).

A noter que le VIX, retombé sous les 20% depuis le 9 mai dernier a bondi de +16% vers 21.

'Le rebond massif des actions auquel nous assistons depuis quelques semaines soulève des interrogations légitimes sur sa solidité, tant les valorisations et l'environnement dans lequel il intervient est différent de 2018 ou de 2020', selon des experts d'IG France.

Signe d'un certain regain d'aversion au risque de quelques investisseurs, l'actif refuge par excellence qu'est l'or avait fortement progressé ce mardi, le métal jaune s'établissant ainsi au-dessus des 3.300 dollars l'once, et 3.320 ce mercredi soir.

'Les inquiétudes persistantes concernant la santé budgétaire américaine et les risques macroéconomiques plus larges ont continué de lui offrir un soutien', expliquait Quasar Elizundia, expert research strategist chez Pepperstone.


Ce dernier pointe aussi des récents commentaires de membres de la Fed, qui ont insufflé de la prudence quant à des baisses de taux au second semestre, ainsi qu'une situation géopolitique qui 'ajoute à la complexité'.

Signe que le contexte 'risk-on' n'est pas complètement hors de propos, le Bitcoin, arraché à la hausse par Michael Saylor, le PDG de Microstrategy qui recommande dans un tweet d'acheter le Bitcoin au plus haut comme lui (afin de faire sauter la barre des 109.000$ du 20 janvier dernier), a effectivement établi un nouveau record absolu à 109.500$.

 

Parce que à la toute fin il s'agit de financer le train de vie des US et le projet de budget actuel va rajouter entre 10 à 15 % de rab à la dette US actuelle. Ca rend nerveux les grands investisseurs internationaux qui voient bien que Trump ne veut pas faire porter la casquette à sa population et fait voter des baisses d'impôts colossales et dans le même temps un moindre financement de Medicaid.

https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Le-projet-de-loi-de-Trump-sur-les-reductions-d-impots-fait-l-objet-d-un-test-de-resistance-inhabi-50018625/

Le projet de loi de Trump sur les réductions d'impôts fait l'objet d'un test de résistance inhabituel pendant la nuit avec les républicains de la Chambre

Publié le 21/05/2025 à 06:01, mis à jour le 22/05/2025 à 05:20

Le projet de loi sur les réductions d'impôts et les dépenses du président Donald Trump sera soumis à un test de résistance crucial mercredi, alors que les républicains de la Chambre des représentants des États-Unis tentent de surmonter leurs divisions internes sur les coupes dans le programme de santé Medicaid et les allégements fiscaux dans les États côtiers où le coût de la vie est élevé.

La commission des règles de la Chambre des représentants, qui fait office de gardienne, a prévu une audience inhabituelle à 1 heure du matin (5 heures GMT), qui devrait se prolonger jusqu'en début de journée, au cours de laquelle les membres débattront des détails de la mesure. Si elle est adoptée par le Congrès, elle réduirait certaines prestations de santé et alimentaires pour les Américains à faibles revenus, annulerait des programmes d'énergie verte et allouerait des dizaines de milliards de dollars à l'application des lois sur l'immigration. M. Trump s'est réuni mardi avec des parlementaires pour tenter de persuader les récalcitrants de son parti de se rallier à ce qu'il qualifie de « grand et beau projet de loi », mais cette visite n'a pas réussi à convaincre les nombreux parlementaires qui s'opposent à certaines dispositions spécifiques.

Le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson, n'a guère de marge de manœuvre, car son parti ne dispose que d'une faible majorité de 220 voix contre 213, et une poignée de votes négatifs de son camp pourrait faire échouer le projet de loi, que les démocrates jugent favorable aux riches et préjudiciable aux programmes sociaux indispensables.

Les faucons budgétaires ont bloqué le projet vendredi dans une autre commission, avant de céder tard dimanche soir. Ce scénario pourrait se reproduire au sein de la commission des règles, qui comprend plusieurs républicains qui réclament des coupes plus importantes dans le programme de santé Medicaid, qui couvre 71 millions d'Américains.

Le projet de loi prolongerait les réductions d'impôts de 2017, qui ont été la principale réalisation législative du premier mandat de Trump, et ajouterait également des allégements fiscaux sur les revenus provenant des pourboires et des heures supplémentaires, qui faisaient partie de son programme populiste pendant la campagne électorale. Selon des analystes indépendants, cela pourrait ajouter entre 3 000 et 5 000 milliards de dollars à la dette fédérale, qui s'élève déjà à 36 200 milliards de dollars.

S'il est approuvé par la commission, Johnson pourrait demander un vote à la Chambre dès mercredi. Medicaid s'est avéré être un point de discorde majeur, les faucons budgétaires poussant à des coupes pour compenser en partie le coût des mesures fiscales du projet de loi, qui, selon les républicains modérés, nuiraient aux électeurs dont ils auront besoin pour les élections de mi-mandat de 2026.

Le projet de loi se heurte également à l'opposition d'une poignée de parlementaires républicains centristes issus d'États à forte fiscalité, notamment New York et la Californie, qui souhaitent assouplir le plafond de 30 000 dollars applicable aux déductions fiscales au titre des impôts locaux et régionaux.

M. Trump cherche à obtenir le soutien unanime des républicains et a déclaré mardi que les récalcitrants pourraient être exclus du parti.

La semaine dernière, l'agence de notation Moody's a retiré la note maximale au gouvernement américain, invoquant l'endettement croissant du pays.

Si le projet de loi est adopté par la Chambre des représentants, il sera ensuite soumis au Sénat, où les républicains détiennent une majorité de 53 sièges contre 47. Cela ne devrait pas se produire avant le mois prochain, car le Congrès s'apprête à quitter Washington la semaine prochaine pour une semaine de vacances. (Reportage de Bo Erickson et David Morgan, rédaction d'Andy Sullivan ; édité par Scott Malone et Rod Nickel)

Assouplissement quantitatif 5... 4... 3...

J'imagine difficilement que la Fed maintienne des taux élevés longtemps, au risque non seulement de provoquer ou du moins d'approfondir une récession mais aussi de laisser un certain nombre d'acteurs financiers (y compris l'État fédéral ?) dériver vers un risque de faillite 

La solution pour que les T-Bonds trouvent preneur, même avec des taux contenus ? Les acheter elle-même, bien sûr. Augmenter le bilan. Assouplir tout cela 

Enfin la planche à billets, quoi

Naturellement, l'argent frais ainsi créé n'a aucune conséquence sur le reste. Aucune inflation du prix des actifs (cours des actions) n'est à prévoir. Encore moins, dans un second temps, aucune inflation du prix des biens (immobilier) Ni du prix des biens et services (inflation au sens courant du terme)

Rappelons qu'une banque centrale responsable fera tout ce qui sera nécessaire pour que le système continue tel qu'il est 

Comme le disait Neel Kashkari de la Fed à un autre moment de tension (la crise COVID en 2020), "there is an infinite amount of cash at the Federal Reserve"

The show must go on

 

Bien sûr, il ne durera pas indéfiniment. Mais ce n'est probablement pas le prochain assouplissement quantitatif qui l'amènera à sa fin. Ni le suivant 

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Il y a 5 heures, herciv a dit :

Avis de tempète  à l'eau glacial sur l'économie US :

Bon ben encore une adjudication des bon du trésor qui se passe mal. Le résultat est boursier mais surtout fait que les taux d'intérêt US ne peuvent pas baisser et ne peuvent que grimper :

https://www.zonebourse.com/cours/devise/EURO-US-DOLLAR-EUR-USD-4591/actualite/Devises-le-faiblit-1-135-E-malgre-taux-US-qui-flambent-50028688/

Devises : le $ faiblit (1,135/E) malgré taux US qui flambent

Publié le 21/05/2025 à 20:04

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Le Dollar qui avait prix un mauvais départ ce mercredi (-0,5% au moment de l'ouverture de Wall Street) accélère son repli depuis 19H : le '$-Index' perdait -0,75% vers 19H30, à 99,35 (99,45 à 19H45) et il achève d'effacer tous ses gains depuis le 6 mai dernier.

Pourtant, la rémunération du Dollar ne cesse de progresser depuis cette date et les rendements flambent aujourd'hui avec un '10 ans' qui prend +10Pts à 4,600%, le '30 ans' prend 11,5Pts à 5,0820% (pire niveau depuis plus de 20 ans) et le '2 ans' campe au-dessus des 4,00% (vers 4,02%), comme si les investisseurs avaient renoncé aux espoirs de baisse de taux en juillet, sinon à la rentrée .

Aux Etats Unis, aucun chiffre, aucune déclaration de Trump ou d'un membre de la FED n'explique ce coup de tabac sur l'obligataire... mais la tendance baissière du Dollar se renforce avec -0,55% face à l'Euro, -0,4% face à la Livre et -0,7% face au yen vers 143,5.

Quand au Japon, le krach obligataire continue -dans l'indifférence générale-avec un '30 ans' à 3,15% (un nouveau record inscrit à 3,200%) et un '40 ans' à 3,63% (pires niveaux de l'histoire)... mais le Yen se montre robuste contre toutes devises.
La Bank of Japan semble complètement prise au dépourvu, entre une croissance disparue (le japon est en récession), une inflation persistante, des déficits qui s'accumulent: les 'taux marché' dictent leur loi et la BoJ semble avoir perdu le contrôle.
Une adjudication de bons du Trésor à '20 ans' n'a pas trouvé preneur mardi matin, ce qui a fait exploser le taux de 2,41 vers 2,55%, alors que le rendement était de 1,915% le 7 avril.

La Livre semble un peu plus faible, malgré des 'Guilts' à 4,80%, suite à l'envolée de l'indice des prix à la consommation du Royaume-Uni (+0,9%), à 3,5% sur un an en avril (par rapport à 2,6% en mars) contre 3,3% attendu.

Copyright (c) 2025 CercleFinance.com. Tous droits réservés.

 

 

Ca aurait pu passer inaperçu au temps de superman mais là c'est plus possible compte tenu de l'immense abruti qu'ils ont mis à leur tête :

https://www.zonebourse.com/cours/indice/S-P-500-4985/actualite/Wall-Street-cesse-enfin-d-ignorer-la-degradation-des-taux-50033959/

Wall Street : cesse enfin d'ignorer la dégradation des taux

oudain ressorti d'un climat de complaisance que rien ne semblait pouvoir dissiper vers 19H en découvrant une adjudication mal souscrite de Treasuries à '20 ans'.

C'est ce qui a soudain aggravé la situation sur le compartiment obligataire américain, lequel ne cesse de se dégrader dans l'indifférence générale depuis le 7 avril (début du 'rallye' des indices US) et surtout le 1er mai, avec +45Pts sur le '10 ans', lequel explose de +11Pts à plus de 4,600% tandis que le '30 ans' affiche +10,5Pts à 5,0800%.

Les pertes marginales du début de la séance ont soudain pris de l'ampleur et au final, le S&P500 lâche -1,6%, le Dow Jones -1,9% et le Nasdaq s'enfonce de -1,4% malgré les +2,8% d'Alphabet.

Mais c'est le Russell-2000 qui a littéralement dévissé avec -2,8% et qui efface tous ses gains depuis le 9 mai (perte annuelle de plus de -8%).

Coincidence troublante, mardi matin, c'est également une adjudication de bons du Trésor à '20 ans' au Japon qui n'avait pas trouvé preneur, ce qui avait fait exploser leur taux de 2,40 vers 2,55% (alors que le rendement était de 1,915% le 7 avril).

Depuis 4 semaines, les acheteurs, majoritairement des particuliers pour qui les marchés obligataires appartiennent à un autre univers, ne se sont pas préoccupés des taux, ni des révisions à la baisse des bénéfices et des objectifs de vente (ne comptait que les trimestriels 'meilleurs que prévu' et l'appétit pour les '7 fantastiques', ou le 'top-10' du S&P500 qui pèse de nouveau 37% de l'indice).

A noter que le VIX, retombé sous les 20% depuis le 9 mai dernier a bondi de +16% vers 21.

'Le rebond massif des actions auquel nous assistons depuis quelques semaines soulève des interrogations légitimes sur sa solidité, tant les valorisations et l'environnement dans lequel il intervient est différent de 2018 ou de 2020', selon des experts d'IG France.

Signe d'un certain regain d'aversion au risque de quelques investisseurs, l'actif refuge par excellence qu'est l'or avait fortement progressé ce mardi, le métal jaune s'établissant ainsi au-dessus des 3.300 dollars l'once, et 3.320 ce mercredi soir.

'Les inquiétudes persistantes concernant la santé budgétaire américaine et les risques macroéconomiques plus larges ont continué de lui offrir un soutien', expliquait Quasar Elizundia, expert research strategist chez Pepperstone.


Ce dernier pointe aussi des récents commentaires de membres de la Fed, qui ont insufflé de la prudence quant à des baisses de taux au second semestre, ainsi qu'une situation géopolitique qui 'ajoute à la complexité'.

Signe que le contexte 'risk-on' n'est pas complètement hors de propos, le Bitcoin, arraché à la hausse par Michael Saylor, le PDG de Microstrategy qui recommande dans un tweet d'acheter le Bitcoin au plus haut comme lui (afin de faire sauter la barre des 109.000$ du 20 janvier dernier), a effectivement établi un nouveau record absolu à 109.500$.

 

Parce que à la toute fin il s'agit de financer le train de vie des US et le projet de budget actuel va rajouter entre 10 à 15 % de rab à la dette US actuelle. Ca rend nerveux les grands investisseurs internationaux qui voient bien que Trump ne veut pas faire porter la casquette à sa population et fait voter des baisses d'impôts colossales et dans le même temps un moindre financement de Medicaid.

https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Le-projet-de-loi-de-Trump-sur-les-reductions-d-impots-fait-l-objet-d-un-test-de-resistance-inhabi-50018625/

Le projet de loi de Trump sur les réductions d'impôts fait l'objet d'un test de résistance inhabituel pendant la nuit avec les républicains de la Chambre

Publié le 21/05/2025 à 06:01, mis à jour le 22/05/2025 à 05:20

Le projet de loi sur les réductions d'impôts et les dépenses du président Donald Trump sera soumis à un test de résistance crucial mercredi, alors que les républicains de la Chambre des représentants des États-Unis tentent de surmonter leurs divisions internes sur les coupes dans le programme de santé Medicaid et les allégements fiscaux dans les États côtiers où le coût de la vie est élevé.

La commission des règles de la Chambre des représentants, qui fait office de gardienne, a prévu une audience inhabituelle à 1 heure du matin (5 heures GMT), qui devrait se prolonger jusqu'en début de journée, au cours de laquelle les membres débattront des détails de la mesure. Si elle est adoptée par le Congrès, elle réduirait certaines prestations de santé et alimentaires pour les Américains à faibles revenus, annulerait des programmes d'énergie verte et allouerait des dizaines de milliards de dollars à l'application des lois sur l'immigration. M. Trump s'est réuni mardi avec des parlementaires pour tenter de persuader les récalcitrants de son parti de se rallier à ce qu'il qualifie de « grand et beau projet de loi », mais cette visite n'a pas réussi à convaincre les nombreux parlementaires qui s'opposent à certaines dispositions spécifiques.

Le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson, n'a guère de marge de manœuvre, car son parti ne dispose que d'une faible majorité de 220 voix contre 213, et une poignée de votes négatifs de son camp pourrait faire échouer le projet de loi, que les démocrates jugent favorable aux riches et préjudiciable aux programmes sociaux indispensables.

Les faucons budgétaires ont bloqué le projet vendredi dans une autre commission, avant de céder tard dimanche soir. Ce scénario pourrait se reproduire au sein de la commission des règles, qui comprend plusieurs républicains qui réclament des coupes plus importantes dans le programme de santé Medicaid, qui couvre 71 millions d'Américains.

Le projet de loi prolongerait les réductions d'impôts de 2017, qui ont été la principale réalisation législative du premier mandat de Trump, et ajouterait également des allégements fiscaux sur les revenus provenant des pourboires et des heures supplémentaires, qui faisaient partie de son programme populiste pendant la campagne électorale. Selon des analystes indépendants, cela pourrait ajouter entre 3 000 et 5 000 milliards de dollars à la dette fédérale, qui s'élève déjà à 36 200 milliards de dollars.

S'il est approuvé par la commission, Johnson pourrait demander un vote à la Chambre dès mercredi. Medicaid s'est avéré être un point de discorde majeur, les faucons budgétaires poussant à des coupes pour compenser en partie le coût des mesures fiscales du projet de loi, qui, selon les républicains modérés, nuiraient aux électeurs dont ils auront besoin pour les élections de mi-mandat de 2026.

Le projet de loi se heurte également à l'opposition d'une poignée de parlementaires républicains centristes issus d'États à forte fiscalité, notamment New York et la Californie, qui souhaitent assouplir le plafond de 30 000 dollars applicable aux déductions fiscales au titre des impôts locaux et régionaux.

M. Trump cherche à obtenir le soutien unanime des républicains et a déclaré mardi que les récalcitrants pourraient être exclus du parti.

La semaine dernière, l'agence de notation Moody's a retiré la note maximale au gouvernement américain, invoquant l'endettement croissant du pays.

Si le projet de loi est adopté par la Chambre des représentants, il sera ensuite soumis au Sénat, où les républicains détiennent une majorité de 53 sièges contre 47. Cela ne devrait pas se produire avant le mois prochain, car le Congrès s'apprête à quitter Washington la semaine prochaine pour une semaine de vacances. (Reportage de Bo Erickson et David Morgan, rédaction d'Andy Sullivan ; édité par Scott Malone et Rod Nickel)

Le projet de loi est passé de 1 vote :

 

 

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il y a 8 minutes, vincenzo a dit :

Le projet de loi est passé de 1 vote :

Demain on rase gratis.

Bref si le pekin doit être soulagé du paiement de ses dettes, je crois que de moins en moins d'investisseurs institutionnels le feront. Le résultat est visible. Plus personne n'achète de T-Bond. Les adjudications sont désespérément non souscrites.

il y a 55 minutes, Alexis a dit :

"there is an infinite amount of cash at the Federal Reserve"

Cape Diem. A mon avis il va découvrir que non finalement le montant n'est pas infini.

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il y a 57 minutes, herciv a dit :

Cape Diem. A mon avis il va découvrir que non finalement le montant n'est pas infini.

Euh, désolé, mais... il a raison. Le montant de dollars que la Réserve Fédérale peut créer est littéralement infini :happy: Enfin plus exactement illimité, si on veut être précis sur le sens des mots

Toutes les banques centrales depuis 2008 au moins ont toujours fait le choix de l' "assouplissement" et de la création de nouveaux signes monétaires quand c'était face à un risque de récession importante, encore plus de faillites nombreuses voire de faillites d'Etat. Y compris la BCE qui avait eu quelques velléités dans l'autre sens, avant de se raviser rapidement

Il est toujours possible d'imaginer que la Fed ou une autre banque centrale majeure va se mettre à faire le choix inverse, mais le mot le plus important est alors "imaginer" :smile: Ca n'arrivera pas

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