Pakal Posté(e) le 9 janvier Share Posté(e) le 9 janvier La raison voudrait qu'ils abandonnent leur MRFA au profit de commandes supplémentaires de Rafale et de Tejas MK2, en attendant l'AMCA 54 Rafales pour l'Indian Air Force + 26 Rafale pour l'Indian Navy pourrait justifier une ligne d'assemblage en Inde Mais la raison toujours n'est pas la meilleure conseillère, surtout en Inde... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emixam Posté(e) le 9 janvier Share Posté(e) le 9 janvier il y a 2 minutes, Pakal a dit : Mais la raison toujours n'est pas la meilleure jamais conseillère, surtout particulièrement en Inde... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 9 janvier Share Posté(e) le 9 janvier il y a 44 minutes, Pakal a dit : La raison voudrait qu'ils abandonnent leur MRFA au profit de commandes supplémentaires de Rafale et de Tejas MK2, en attendant l'AMCA 54 Rafales pour l'Indian Air Force + 26 Rafale pour l'Indian Navy pourrait justifier une ligne d'assemblage en Inde Mais la raison toujours n'est pas la meilleure conseillère, surtout en Inde... Trappier a dit qu'il en fallait 100 pour envisager une production en Inde afin de préserver du plan de charge, et l'Indian Navy ne veut pas d'avions pas fabriqués directement par l'OEM à savoir Dassault en France, quant à DRAL il n'est pas encore en mesure de remplir un éventuel rôle industriel ne serait-ce que d'assemblage partiel de tronçons de Rafale. Donc ça ne marche pas et il faut attendre le lancement du MRFA ou son annulation au profit d'achats de gré à gré. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 9 janvier Share Posté(e) le 9 janvier Il y a 3 heures, emixam a dit : - une image positive du Rafale car 36 appareils à un bon prix car pas d'ISE à financer ni d'infrastructures (mais ça relancerai les pourfendeur du "Rafale Scam" -> 1er contrat 36 appareils 8 milliards, 2ème 4,5 milliards . Le 1er contrat est une arnaque !) On parle de l'Inde... 1er contrat en 2016, il y a 8 ans. On peut donc s'attendre à un gros surcoût (nouvelles ISE, modernisation des 36 premiers exemplaires, inflation...) à part l'infrastructure (et encore, ils voudront peut-être une 3ème base) tout devrait être plus cher. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) le 9 janvier Share Posté(e) le 9 janvier 4 hours ago, Picdelamirand-oil said: Un mégaprocessus d'acquisition de 500 avions de combat est en cours pour les forces armées T'imagines 500 Rafale ? (larmes de joie aux yeux) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 9 janvier Share Posté(e) le 9 janvier (modifié) Le 09/01/2024 à 18:10, Asgard a dit : T'imagines 500 Rafale ? (larmes de joie aux yeux) Non la dedans il y a déjà 200 Tejas Mk1A et MK2 et ils pensent au TDEBF AMCA ORCA et autre c'est souvent des rêves humides mais ça retarde les prises de décision. Par exemple il n'y a que 26 Rafale alors que le besoin a longtemps été de 57 avions pour l'IAC1. Pourquoi? parce que le Rafale n'est qu'un stop gap et que le vrai avion embarqué sera le TDEBF que HAL a proposé quand il a vu que l'Inde allait acheter des Rafale. C'est une mauvaise copie du Rafale inférieure dans toute ses performances bien qu'il soit plus lourd, mais il a des ailes repliables. Si tu regarde bien sa masse à vide est de 14 t et quand on passe du papier à la réalité, en général les surprises sont désagréables. Cette masse est proche de celle du F-18 SH... Or le F-18 SH a été éliminé parce qu'il était trop lourd pour le système d'arrêt de l'IAC1. Ce n'est qu'un exemple pour illustrer le pourquoi de mon appréciation de rêve humide lorsque l'on considère les propositions de HAL. Modifié le 14 janvier par Picdelamirand-oil 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
elannion Posté(e) le 9 janvier Share Posté(e) le 9 janvier il y a une heure, Picdelamirand-oil a dit : Non la dedans il y a déjà 200 Tejas Mk1A et MK2 et ils pensent au TDEBF AMCA ORCA et autre c'est souvent des rêves humides mais ça retarde les prises de décision. Par exemple il n'y a que 26 Rafale alors que le besoin a longtemps été de 57 avions pour l'IAC1. Pourquoi? parce que le Rafale n'est qu'un stop gap et que le vrai avion embarqué sera le TDEBF que HAL a proposé quand il a vu que l'Inde allait acheter des Rafale. C'est une mauvaise copie du Rafale inférieure dans toute ses performance bien qu'il soit plus lourd, mais il a des ailes repliable. Si tu regarde bien sa masse à vide est de 14 t et quand on passe du papier à la réalité, en général les surprises sont désagréables. Cette masse est proche de celle du F-18 SH... Or le F-18 SH a été éliminé parce qu'il était trop lourd pour le système d'arrêt de l'IAC1 ce n'est qu'un exemple pour illustrer le pourquoi de mon appréciation de rêve humide lorsque l'on considère les propositions de HAL. Du coup ils reprendront du rafale M à coup sûr dans les 10/15 ans alors ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. herciv Posté(e) le 9 janvier C’est un message populaire. Share Posté(e) le 9 janvier (modifié) AU départ Manu n'était pas prévu en Inde. C'est Biden qui a fait faut bon à MODI. (SI l'article propose un autre hypothèse on peut aussi penser la cause du F-18 ??) Emmanuel Macron invité d’honneur de la journée de la République en Inde après le faux bond de Joe Biden : une occasion impromptue de réaffirmer le partenariat stratégique franco-indien https://www.iris-france.org/181405-emmanuel-macron-invite-dhonneur-de-la-journee-de-la-republique-en-inde-apres-le-faux-bond-de-joe-biden-une-occasion-impromptue-de-reaffirmer-le-partenariat-strategique-franco-indien/ Tribune 9 janvier 2024 Par Olivier Da Lage Chaque année, l’Inde organise un imposant défilé militaire le 26 janvier à l’occasion de la Journée de la République (Republic Day), commémorant l’entrée en vigueur de la constitution du 26 janvier 1950, trois ans après l’indépendance. Traditionnellement et depuis l’origine, un invité d’honneur, placé à côté du Premier ministre indien, assiste au défilé. Cette invitation souligne les liens étroits avec l’Inde du pays qu’il représente. Le 8 septembre dernier, en marge du sommet du G20 qui se tenait à Delhi, le Premier ministre indien Narendra Modi a invité Joe Biden à être à ses côtés le 26 janvier 2024. La presse indienne, qui s’en est fait l’écho, a même suggéré que les autres membres du Quad (Australie et Japon) pourraient se trouver également à la tribune avant de se réunir formellement en sommet pour discuter des questions de sécurité dans l’Indo-Pacifique. La rumeur d’une invitation a été officialisée le 20 septembre par l’ambassadeur américain à New Delhi, Éric Garcetti, un proche de Joe Biden. La dernière fois qu’un président américain s’était trouvé aux côtés de Narendra Modi sur la grande avenue Rajpath (« avenue du roi », renommée depuis Kartavya Path, « avenue du devoir » au nom de l’authenticité indienne), c’était en 2015 et il s’agissait de Barack Obama. La visite n’avait pas laissé un excellent souvenir au Premier ministre indien, car Barack Obama s’était permis de mettre en garde son hôte contre les discriminations à l’encontre des minorités religieuses. Après sa visite réussie à Washington en juin dernier, au cours de laquelle toute l’administration Biden avait fait assaut d’amabilité à son égard, Narendra Modi attendait beaucoup de la présence du président américain au début d’une année électorale au cours de laquelle son parti, le Parti nationaliste hindou (BJP), cherche à obtenir un troisième mandat de cinq ans. En s’affichant avec Joe Biden, Narendra Modi entendait confirmer la primauté de l’Inde dans les nouveaux rapports de force internationaux, après le succès de la présidence indienne du G20 en 2023. Mais les jours passent, et aucune confirmation ne vient de Washington, jusqu’à ce 12 décembre où la presse indienne indique que, « pour des raisons d’agenda », il est « improbable » que le président américain puisse honorer cette invitation. Certes, Joe Biden, également en pré-campagne pour les élections de novembre 2024, accaparé par la guerre à Gaza et celle d’Ukraine, menacé d’impeachment par le Congrès, ne manque pas d’arguments à faire valoir pour justifier son absence. Mais l’essentiel n’est pas là : fin novembre, le département de la Justice des États-Unis a prononcé une inculpation contre un ressortissant indien arrêté à Prague, accusé d’avoir tenté de faire assassiner un citoyen américain d’origine indienne très actif dans les milieux séparatistes sikhs et considéré comme terroriste par les renseignements indiens. Pis : le document de mise en examen précise qu’il a organisé l’assassinat à la demande d’un agent des services de renseignements indiens, non nommé, mais dont le FBI connaît l’identité. À ces accusations très précises, l’Inde ne réagit pas avec la colère et la vivacité qui avaient accueilli pareilles accusations de la part du Premier ministre canadien Justin Trudeau après l’assassinat (réussi, celui-là) d’un sikh canadien, également considéré comme terroriste par les autorités indiennes en juin dernier. Même si Washington et New Delhi réaffirment leur volonté de préserver leurs bonnes relations, le fait que Joe Biden choisisse de décliner l’invitation de façon aussi cavalière laisse les analystes indiens perplexes : cela signifierait-il que pour le président américain, le chef du gouvernement indien serait devenu « toxique » au point de refuser d’apparaître à ses côtés ? Quoi qu’il en soit, l’Inde a une préoccupation plus immédiate : lui trouver un remplaçant au pied levé après ce faux bond, à peine plus d’un mois avant l’événement. En à peine plus d’une semaine, le nom de celui-ci est connu, ce sera le président français Emmanuel Macron. C’est en fait tout sauf une surprise. En 2023, hormis le sommet du G20 de New Delhi organisé avec faste, les deux événements diplomatiques marquants pour l’Inde ont été la visite de Narendra Modi à Washington en juin et à Paris en juillet. Deux visites couronnées de succès du point de vue indien. Narendra Modi a été particulièrement satisfait de sa visite en France ou il a été l’invité d’honneur du défilé du 14 juillet sur les Champs Élysées. Il est donc naturel de lui rendre cette invitation, d’autant que son « cher ami » Emmanuel Macron n’a à ce jour jamais eu cet honneur, contrairement à tous les autres présidents français depuis Valéry Giscard d’Estaing, même ceux qui n’ont effectué qu’un seul mandat. Au total, six présidents français ont été les invités d’honneur de la Journée de la République (Jacques Chirac l’a même été deux fois, une fois en tant que Premier ministre en 1976 et une seconde comme président en 1998). C’est plus que toute autre nation étrangère. La France est déjà liée à l’Inde par un partenariat stratégique, mais elle n’est pas la seule. Ce qui est le plus important, c’est que de façon croissante, l’Inde insiste, en public comme en privé, sur le caractère stratégique de sa relation avec la France. Lors d’une précédente visite, en 2018, Emmanuel Macron a ouvert les ports français de l’océan Indien et sa base de Djibouti à la marine indienne. La livraison de 36 Rafale et de sous-marins de classe Scorpène a également permis à la relation de se consolider et lors de sa visite en France en juillet, Narendra Modi a confirmé l’intérêt de l’Inde pour l’achat de 26 Rafale-M pour son nouveau porte-avions et de trois sous-marins Scorpène supplémentaires. Précisément, quelques jours avant l’annonce de l’invitation adressée au président français, la France a communiqué à l’Inde le prix qu’elle demandait pour ces acquisitions, permettant à la négociation d’avancer. Enfin, la France présente pour le gouvernement indien un avantage évident : contrairement à l’administration américaine, le président Macron s’abstient soigneusement de toute critique ou tout commentaire publics concernant la question des droits humains ou du traitement des minorités religieuses en Inde. Pour les deux dirigeants, la présence d’Emmanuel Macron aux côtés de Narendra Modi le 26 janvier prochain ne présente que des avantages. Pour leurs pays, c’est la réaffirmation d’un lien stratégique fort, notamment dans le dossier de la sécurité de l’Indo-Pacifique, alors qu’en marge de la guerre de Gaza, la sécurité de la navigation est compromise dans le détroit de Bab el-Mandeb reliant la mer Rouge à l’océan Indien et qu’un cargo vient de faire l’objet d’une attaque de drone au large du Gujarat. Pour Emmanuel Macron, c’est l’occasion de mettre en avant une réussite diplomatique incontestable, alors que sa politique en Afrique et au Moyen-Orient est fréquemment critiquée. Pour Narendra Modi, c’est une façon de rappeler aux États-Unis l’autonomie stratégique dont se prévaut l’Inde et que les bonnes relations avec Washington ne sont pas synonymes d’alignement ou de vassalisation. Modifié le 9 janvier par herciv 1 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rogue0 Posté(e) le 9 janvier Share Posté(e) le 9 janvier Le 30/12/2023 à 22:08, Bechar06 a dit : Moi, je retiens de l' Inde que tout est question de réincarnation ! C'est pour cela qu'ils ne sont pas pressés, et qu'ils ne mesurent pas "le temps qui passe" de la même façon que les pauvres occidentaux que nous sommes <message rassurant ou de fanboy ON> Alors, je propose de pousser cet argument imparable auprès du MoD indien : les 500 Mig-21 indiens perdus, il faudra bien commander des remplaçants pour qu'ils se réincarnent , non ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 11 janvier Share Posté(e) le 11 janvier (modifié) Je vous trouve très optimiste quant au F-35 Citation Il y a de nombreuses raisons d’être optimiste à ce sujet. La question est la suivante : les problèmes qui subsistent sont-ils plus importants que la capacité globale du F-35 ? Vous avez dû remarquer que l'IAF a ravalé sa fierté en intronisant le Mk1A. Alors, le F-35 entrera-t-il dans le MRFA et gagnera-t-il ? Je ne pense pas. Même s'il y entre, il ne répondra pas aux exigences de LCC ou de production industrielle. Mais les Américains manquent de temps pour conclure un accord stratégique avec l’Inde. Il reste donc une chance de conclure un accord distinct post-MRFA. Vous devez considérer les choses du point de vue des autres. Même s'il est vrai que le Rafale F5 sera supérieur au F-35, l'impact politique et psychologique de 40 F-35 entre les mains des Indiens sera bien supérieur à celui de 200 Rafale. Un commandant de la PLAAF peut décider que les Rafale constituent la plus grande menace du point de vue des capacités. Mais un membre du Politburo chinois verra des raisons politiques de craindre le F-35, une alliance indo-américaine, même si elles sont superficielles. C’est pour cette raison que les Saoudiens, les Émiratis et les membres de l’ASEAN nous traiteront avec plus de respect. Et l’impact sur le psychisme de la population pakistanaise et de son armée de l’air sera bien plus important que celui des Rafale. Les personnes nées dans les années 60 jusqu’au jour de l’introduction du F-35 en seront affectées. Alors est-ce que ça vaut vraiment son prix ? Je pense que c'est. Je préférerais de loin les 40 NGAD aux F-35, mais l'impact sera le même. Du côté de Taiwan, même avec des problèmes, le J-20 aura forcément des problèmes aussi, les effectifs massifs de F-35 joueront leur rôle tant que les Chinois finiront par donner trop de temps aux Américains, soit 3 ans. Modifié le 11 janvier par Picdelamirand-oil Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Obelix38 Posté(e) le 11 janvier Share Posté(e) le 11 janvier Le 09/01/2024 à 19:25, elannion a dit : Du coup ils reprendront du rafale M à coup sûr dans les 10/15 ans alors ? Ou bien ils feront comme pour le Mirage 2000 Révélation Ils se décideront une fois la ligne d'assemblage fermée ! 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Obelix38 Posté(e) le 11 janvier Share Posté(e) le 11 janvier (modifié) Doublon (Quand le site buguait) Modifié le 12 janvier par Obelix38 Doublon Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier Le 09/01/2024 à 19:25, elannion a dit : Du coup ils reprendront du rafale M à coup sûr dans les 10/15 ans alors ? Pour leur troisième porte-avions CATOBAR cette fois, oui, c'est très probable, le Rafale ayant l'avantage d'être compatible STO et CATO. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) le 12 janvier Share Posté(e) le 12 janvier Bordel si seulement on pourrait faire un second PA avec eux ... (mais je plains les équipes NG qui seront sur le projet pour 20 ans lol) 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 13 janvier Share Posté(e) le 13 janvier Le 12/01/2024 à 08:42, Asgard a dit : si seulement on pourrait Les scies n'aiment pas les raies. Ou les si n'aiment pas les ré. Ou... 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 14 janvier Share Posté(e) le 14 janvier Le 13/01/2024 à 17:13, Teenytoon a dit : Les scies n'aiment pas les raies. Ou les si n'aiment pas les ré. Ou... ce qui était amusant avec p'tit Gibus est devenu tellement courant de nos jours... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 20 janvier Share Posté(e) le 20 janvier Lucknow firm to supply parts for Rafale Une entreprise de Lucknow va fournir des pièces pour le Rafale Lucknow : Aerolloy Technologies Limited (ATL), une filiale de PTC Industries Limited, a signé un pacte avec la société française Dassault Aviation pour lui fournir des pièces moulées en titane pour l'avion de combat multirôle Rafale. Conformément à l'accord d'achat pluriannuel, Aerolloy, qui est basée à Lucknow, produira la gamme complète de pièces moulées en titane pour l'avion de combat multirôle Rafale et le programme d'avions d'affaires Falcon à partir de l'année civile en cours. Grâce à cet accord, Aerolloy Technologies est sur le point de contribuer de manière significative au succès durable du programme "Make in India - Make for the World" (Fabriquer en Inde - Fabriquer pour le monde). En tant que seul fabricant indien de pièces critiques en titane moulé, nous sommes impatients d'exploiter nos capacités pour répondre aux besoins croissants des différents avions du portefeuille de Dassault Aviation", a déclaré Sachin Agarwal, président et directeur général de PTC Industries. Bruno Coiffier, senior executive vice president purchasing, Dassault Aviation a déclaré : "Cette collaboration stratégique salue l'expertise d'Aerolloy Technologies qui rejoint la chaîne d'approvisionnement mondiale de Dassault Aviation pour les jets de pointe Rafale et Falcon". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
teck71 Posté(e) le 20 janvier Share Posté(e) le 20 janvier Il y a 1 heure, Picdelamirand-oil a dit : Lucknow firm to supply parts for Rafale Une entreprise de Lucknow va fournir des pièces pour le Rafale Lucknow : Aerolloy Technologies Limited (ATL), une filiale de PTC Industries Limited, a signé un pacte avec la société française Dassault Aviation pour lui fournir des pièces moulées en titane pour l'avion de combat multirôle Rafale. Conformément à l'accord d'achat pluriannuel, Aerolloy, qui est basée à Lucknow, produira la gamme complète de pièces moulées en titane pour l'avion de combat multirôle Rafale et le programme d'avions d'affaires Falcon à partir de l'année civile en cours. Grâce à cet accord, Aerolloy Technologies est sur le point de contribuer de manière significative au succès durable du programme "Make in India - Make for the World" (Fabriquer en Inde - Fabriquer pour le monde). En tant que seul fabricant indien de pièces critiques en titane moulé, nous sommes impatients d'exploiter nos capacités pour répondre aux besoins croissants des différents avions du portefeuille de Dassault Aviation", a déclaré Sachin Agarwal, président et directeur général de PTC Industries. Bruno Coiffier, senior executive vice president purchasing, Dassault Aviation a déclaré : "Cette collaboration stratégique salue l'expertise d'Aerolloy Technologies qui rejoint la chaîne d'approvisionnement mondiale de Dassault Aviation pour les jets de pointe Rafale et Falcon". voici donc la fameuse solution , plan B ,de fourniture de titane pour Dassault. titane russe mais transformer en inde bon en même temps on doit fournir des offsets. d'ailleurs de nombreux contrats d'offsets que ce soit Dassault ou Airbus se signe actuellement. peut etre les prémices d'une commande de Rafalou et d'A400m 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 20 janvier Share Posté(e) le 20 janvier Il y a 7 heures, teck71 a dit : peut etre les prémices d'une commande de Rafalou Espérons. Il y a 7 heures, teck71 a dit : et d'A400m Fuyez pauvres fous! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ronfly Posté(e) le 20 janvier C’est un message populaire. Share Posté(e) le 20 janvier https://www.eurasiantimes.com/with-400-j-20-stealth-fighters-in-arsenal-can-india/amp/ ..."Avec 400 chasseurs furtifs J-20 à Arsenal, l'Inde peut-elle explorer les « Super Rafales » F5 pour défier les avions PLAAF ?" .... Que l'Inde explore le Super Rafale F5, mais surtout quelle nous reprennent du Rafale F4 rapidement ce serait top aussi.... ;) 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 20 janvier C’est un message populaire. Share Posté(e) le 20 janvier (modifié) Il y a 1 heure, Ronfly a dit : https://www.eurasiantimes.com/with-400-j-20-stealth-fighters-in-arsenal-can-india/amp/ ..."Avec 400 chasseurs furtifs J-20 à Arsenal, l'Inde peut-elle explorer les « Super Rafales » F5 pour défier les avions PLAAF ?" .... Que l'Inde explore le Super Rafale F5, mais surtout quelle nous reprennent du Rafale F4 rapidement ce serait top aussi.... ;) C'est un super article, écrit par quelqu'un de respecté, très favorable aux Français et au Rafale. Je le traduis With 400 J-20 Stealth Fighters In Arsenal, Can India Explore F5 ‘Super Rafales’ To Challenge PLAAF Jets? Avec 400 chasseurs furtifs J-20 dans son arsenal, l'Inde peut-elle envisager des F5 "Super Rafales" pour défier les jets de la PLAAF ? Par le maréchal de l'air Anil Chopra L'armée de l'air et de l'espace française (FASF) vient de commander 42 avions Rafale pour un montant d'environ 5,5 milliards de dollars. Cet achat intervient alors que les législateurs français s'inquiètent des retards importants du projet franco-germano-espagnol "Future Combat Air System" (FCAS), qui devait être le successeur du Rafale. Le FCAS devrait entrer en service au plus tôt en 2045 ou 2050. La Direction générale de l'armement a notifié à Dassault Aviation et à ses principaux fournisseurs d'équipements, Thales, Safran et MBDA, le cinquième tour du contrat de production du Rafale. Le FCAS est censé être un avion de cinquième génération. Il est financé par certains des principaux pays européens financièrement et technologiquement avancés. Ils ont rencontré des obstacles pour aller de l'avant. En outre, le FCAS pourrait coûter deux à trois fois plus cher qu'un Rafale. La France a choisi de miser sur son Rafale indigène de 4,5 générations, mais avec des améliorations. L'Inde a un programme d'avion de cinquième génération, l'Advanced Medium Combat Aircraft (AMCA), qui a déjà été divisé en deux phases, partiellement furtif et furtif. Quels sont les enseignements et les options pour l'Inde ? Le programme FCAS Le FCAS est un projet tri-national (France, Allemagne et Espagne) d'avion de cinquième génération plus qui est la continuation d'un projet antérieur portant un nom similaire entre le Royaume-Uni et la France. Dassault Aviation, Airbus (Allemagne) et Indra Sistemas (Espagne) en sont les co-développeurs. Le FCAS comprendra un système d'armes de nouvelle génération (NGWS) ainsi que d'autres moyens aériens dans le futur espace de bataille opérationnel. L'avion servira également de véhicule de transport et de contrôle à distance pour les drones en essaim. Dassault sera le maître d'œuvre de l'avion de combat de nouvelle génération (NGF), Airbus dirigera le développement des véhicules de transport à distance et des communications dans le nuage, et Safran Aircraft Engines développera le moteur aéronautique et son intégration avec MTU Aero Engines. Thales et MBDA entreprendront d'importants travaux de développement. Le FCAS aura une capacité d'exploitation de porte-avions. Il suivra l'approche du système de systèmes. Les premiers travaux ont commencé en 2017. En juin 2023, la Belgique est devenue observateur et pourrait rejoindre le programme à la mi-2025. Il remplacera le Rafale français, les Typhoons allemands et les EF-18 Hornets espagnols vers 2040. Le vol d'essai du démonstrateur est prévu vers 2027. Le retard pris par le programme est désormais ouvertement reconnu, ce qui favorise les choix alternatifs. Rafale F3 et F4 Le Rafale est considéré comme un chasseur de génération 4,5, similaire à l'Eurofighter Typhoon. Il est furtif dans l'hémisphère avant et dispose d'une capacité de super-croisière. Les avions Rafale de l'IAF sont hautement personnalisés avec quelques modifications spécifiques à l'Inde. Pour l'essentiel, ils sont au standard F3-plus. Le standard F3R a été validé en 2018 et est actuellement en place sur les Rafale français. Le développement du standard F4 a débuté en 2019. Ce standard a permis d'améliorer le traitement embarqué, la connectivité externe, le missile air-air moyenne portée MICA de MBDA et la mise à niveau du système d'autodéfense Spectra de Thales. Les améliorations apportées au radar et aux capteurs facilitent la détection des cibles furtives aéroportées à longue distance. Les capacités de l'écran monté sur le casque ont également été améliorées. Grâce à des équipements de communication améliorés, il est également plus efficace dans la guerre réseau-centrée. Les essais en vol ont commencé en 2021, et le premier avion aux normes F4 a été livré en 2023. Il est prévu que les avions de la FASF soient mis à niveau vers ce standard. Les Émirats arabes unis sont le premier client étranger du F4. La qualification du standard F4.1 a été annoncée en mars 2023. La norme F4.2 est attendue pour 2025. Ils dépenseront 1,51 milliard de dollars pour mettre à niveau le Rafale au standard F4 entre 2024 et 2026. Le Rafale devrait être l'avion de combat principal de la FASF au moins jusqu'en 2040. Super Rafale F5 - Des capacités de pointe Jusqu'à ce que le FCAS devienne opérationnel, la France aura besoin d'un avion de combat haut de gamme pour la dissuasion aérienne et nucléaire. L'actuel standard de préparation du Rafale est le F4. Contrairement à l'Allemagne, l'un des partenaires du programme FCAS, les Français n'ont pas acquis le F-35 américain. La version F5 sera développée dans le cadre de la programmation militaire 2024-2030 du gouvernement français. Il s'agit du plan "B" en cas de retard du FCAS. Dassault et ses partenaires travaillent déjà sur le standard F5, qui sera prêt vers 2030. La mise à niveau sera progressive. Le F5 partagera certaines caractéristiques avec l'avion européen de nouvelle génération. Le standard F5 sera doté de nouveaux capteurs, d'armements et d'une capacité de communication et de collaboration plus rapide et plus sûre. L'avion disposera d'une suite de guerre électronique nettement améliorée, avec une capacité avancée de suppression ou de destruction des défenses ennemies (SEAD/DEAD), utilisant les derniers systèmes de brouillage et les armes anti-radiation. Il s'agira d'une nouvelle évolution du système de brouillage et de guerre électronique SPECTRA, qui combine le brouillage radar, l'ECCM, l'infrarouge et les leurres radar, et qui créera également une "bulle défensive" autour de l'aéronef. Il est proposé de disposer de systèmes embarqués et largués pour saturer le spectre électromagnétique afin d'interdire l'accès au combat aux adversaires. Ces systèmes seront appliqués simultanément en coordination avec les forces de surface dans des conditions multidomaines. Le F5 introduira également le câblage en fibre optique. Tout cela améliorera considérablement la pénétration dans les environnements contestés. Le Rafale F5 agira également comme un camion de capteurs avec des capacités de fusion et de traitement des données qui lui permettront d'assumer un rôle de poste de commandement tactique volant, une fonction qui évolue dans le cadre de la Next Generation Air Dominance (NGAD) des États-Unis. Des missiles d'attaque de surface et des missiles antinavires futuristes sont en cours de développement, de même que des armes air-air à longue portée. Le F5 sera également modifié pour transporter le futur missile de croisière (FCM) et le futur missile antinavire (FASM) anglo-français. Le radar RBE2 XG de Thales est prévu pour le F5. Le "Super Rafale" sera également modifié pour transporter des missiles hypersoniques à guidage nucléaire appelés "ASN4G", qui remplaceront le missile ASMPA à guidage nucléaire en tant que capacité de dissuasion de la France. Selon Dassault, il s'agit d'un système de combat aérien au sein d'un système et non d'un simple avion de chasse comme l'est la variante actuelle du Rafale F4. Les livraisons de F5 devaient initialement commencer en 2029, mais des discussions sont en cours pour les livrer à partir de 2027. Le standard F5 permettra d'acquérir une compétence au combat en attendant le système d'armes de nouvelle génération dans le cadre du programme FCAS. Des munitions et des drones spécialisés seront développés pour divers rôles cinétiques et non cinétiques. Ils lui conféreront une plus grande capacité de frappe et de combat à longue distance. D'ici 2024, il est prévu d'intégrer un ailier loyal sans pilote sur le modèle du programme européen de drones de combat nEUROn. Le concept d'ailier fidèle est développé par la plupart des grands pays, y compris l'Inde. L'UCAV furtif nEUROn a effectué son premier vol il y a dix ans. Ce succès démontre la compétence de DassaultAviation en tant que maître d'œuvre et architecte-intégrateur de systèmes complexes à la tête d'un programme de coopération internationale. La France investira l'équivalent de 6,75 milliards de dollars dans le programme Rafale entre 2023 et 2026 et a prévu 5,87 milliards de dollars supplémentaires après 2026. La France continue de voir un marché pour le Rafale F5 pour ceux qui ne peuvent pas acquérir le F-35 pour des raisons géopolitiques. Le Rafale se distingue des autres chasseurs européens par le fait qu'il est presque entièrement construit par un seul pays, Dassault (cellule), Thales (avionique et guerre électronique) et Safran (moteurs aéronautiques) couvrant tous les systèmes majeurs. Le Rafale comporte également une variante maritime basée sur un porte-avions. Les autorités françaises auraient également envisagé d'équiper le Rafale pour le lancement de petits satellites. Ventes mondiales de Rafale Le Rafale est entré en service dans la marine française en 2004 et dans la FASF en 2006. Il a été utilisé en Afghanistan, en Libye, au Mali, en Irak et en Syrie. Le nombre de Rafale construits à ce jour est d'environ 260. Cette nouvelle commande portera à 234 le nombre total de Rafale dans les forces armées françaises. Les commandes d'exportation de Rafale s'élèvent actuellement à 297, dont l'Inde (36), l'Égypte (55), le Qatar (36), la Grèce (24), les Émirats arabes unis (80), l'Indonésie (42) et la Croatie (24) sont les clients étrangers actuels. La nouvelle commande de la FASF permettra à Dassault Aviation de maintenir la chaîne de production du Rafale en activité pendant les dix prochaines années. Le F5 pourrait-il être un choix pour l'Inde ? Les flottes d'avions de combat de l'armée indienne sont actuellement confrontées à deux problèmes majeurs. Le premier est la pénurie d'avions de combat au sein de l'IAF, qui ne compte plus que 31 escadrons par rapport aux 42 autorisés, tandis que la marine indienne a besoin d'appareils supplémentaires basés sur des porte-avions. L'IAF s'est déjà engagée à acheter plus de 200 exemplaires de chacune des variantes LCA Mk1 et Mk2, mais leur développement et leur mise en service prendront beaucoup de temps pour combler l'écart entre les capacités et le nombre d'appareils. Le Rafale est l'un des candidats à la proposition de 114 avions de l'IAF. Le Rafale-M aurait été présélectionné par la marine indienne. L'IAF dispose déjà de l'infrastructure nécessaire pour deux escadrons Rafale supplémentaires. La deuxième question est celle du chasseur de cinquième génération. La Chine possède déjà 150 avions J-20 de cinquième génération et l'armée de l'air de l'APL prévoit d'en avoir 400 d'ici 2027. Le Pakistan a déjà pris contact avec la Chine pour acquérir l'avion de cinquième génération J-31 et parle d'une échéance à 2029. L'avion de combat de cinquième génération maison, l'AMCA, devrait effectuer son premier vol vers 2029 et pourrait être introduit dès 2035. Le niveau de furtivité doit encore évoluer. Quoi qu'il en soit, le développement a été divisé en deux phases : Mk1 et Mk2. Les États-Unis ne proposent pas leur chasseur de cinquième génération F-35. Et même s'ils le font, cette décision pourrait être assortie de sérieuses conditions. L'Inde ne peut pas se permettre de mettre davantage d'œufs dans le panier russe. L'Inde a le choix de rejoindre le programme FCAS, mais celui-ci a été considérablement retardé. Un scénario qui évolue ensuite est que l'Inde pourrait envisager le Rafale fabriqué en Inde pour répondre aux besoins de l'IAF et de l'IN. Le nouvel achat pourrait se faire au standard F4. Il pourrait être assorti d'un engagement de mise à niveau vers le standard F5. L'idée générale des coûts de développement est déjà connue. Elle permettra à la communauté stratégique et aux décideurs indiens de procéder à une analyse du rapport coût/capacité. Cela permettra de combler rapidement les lacunes en matière de capacités. Il n'entrera pas en concurrence avec le programme AMCA indien, qui peut être accéléré en parallèle. La France est un pays ami qui a fait ses preuves. Le président français sera l'invité d'honneur du Jour de la République 2024. L'Inde utilise des avions de combat français depuis les années 1950. Les options et les coûts des avions de combat sont des matrices complexes. Pour commencer, il est utile d'entamer un dialogue interne au sein de la communauté aéronautique indienne. Modifié le 20 janvier par Picdelamirand-oil 1 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 20 janvier Share Posté(e) le 20 janvier Il y a 3 heures, Picdelamirand-oil a dit : C'est un super article, écrit par quelqu'un de respecté, très favorable aux Français et au Rafale. Je le traduis With 400 J-20 Stealth Fighters In Arsenal, Can India Explore F5 ‘Super Rafales’ To Challenge PLAAF Jets? Avec 400 chasseurs furtifs J-20 dans son arsenal, l'Inde peut-elle envisager des F5 "Super Rafales" pour défier les jets de la PLAAF ? Par le maréchal de l'air Anil Chopra L'armée de l'air et de l'espace française (FASF) vient de commander 42 avions Rafale pour un montant d'environ 5,5 milliards de dollars. Cet achat intervient alors que les législateurs français s'inquiètent des retards importants du projet franco-germano-espagnol "Future Combat Air System" (FCAS), qui devait être le successeur du Rafale. Le FCAS devrait entrer en service au plus tôt en 2045 ou 2050. La Direction générale de l'armement a notifié à Dassault Aviation et à ses principaux fournisseurs d'équipements, Thales, Safran et MBDA, le cinquième tour du contrat de production du Rafale. Le FCAS est censé être un avion de cinquième génération. Il est financé par certains des principaux pays européens financièrement et technologiquement avancés. Ils ont rencontré des obstacles pour aller de l'avant. En outre, le FCAS pourrait coûter deux à trois fois plus cher qu'un Rafale. La France a choisi de miser sur son Rafale indigène de 4,5 générations, mais avec des améliorations. L'Inde a un programme d'avion de cinquième génération, l'Advanced Medium Combat Aircraft (AMCA), qui a déjà été divisé en deux phases, partiellement furtif et furtif. Quels sont les enseignements et les options pour l'Inde ? Le programme FCAS Le FCAS est un projet tri-national (France, Allemagne et Espagne) d'avion de cinquième génération plus qui est la continuation d'un projet antérieur portant un nom similaire entre le Royaume-Uni et la France. Dassault Aviation, Airbus (Allemagne) et Indra Sistemas (Espagne) en sont les co-développeurs. Le FCAS comprendra un système d'armes de nouvelle génération (NGWS) ainsi que d'autres moyens aériens dans le futur espace de bataille opérationnel. L'avion servira également de véhicule de transport et de contrôle à distance pour les drones en essaim. Dassault sera le maître d'œuvre de l'avion de combat de nouvelle génération (NGF), Airbus dirigera le développement des véhicules de transport à distance et des communications dans le nuage, et Safran Aircraft Engines développera le moteur aéronautique et son intégration avec MTU Aero Engines. Thales et MBDA entreprendront d'importants travaux de développement. Le FCAS aura une capacité d'exploitation de porte-avions. Il suivra l'approche du système de systèmes. Les premiers travaux ont commencé en 2017. En juin 2023, la Belgique est devenue observateur et pourrait rejoindre le programme à la mi-2025. Il remplacera le Rafale français, les Typhoons allemands et les EF-18 Hornets espagnols vers 2040. Le vol d'essai du démonstrateur est prévu vers 2027. Le retard pris par le programme est désormais ouvertement reconnu, ce qui favorise les choix alternatifs. Rafale F3 et F4 Le Rafale est considéré comme un chasseur de génération 4,5, similaire à l'Eurofighter Typhoon. Il est furtif dans l'hémisphère avant et dispose d'une capacité de super-croisière. Les avions Rafale de l'IAF sont hautement personnalisés avec quelques modifications spécifiques à l'Inde. Pour l'essentiel, ils sont au standard F3-plus. Le standard F3R a été validé en 2018 et est actuellement en place sur les Rafale français. Le développement du standard F4 a débuté en 2019. Ce standard a permis d'améliorer le traitement embarqué, la connectivité externe, le missile air-air moyenne portée MICA de MBDA et la mise à niveau du système d'autodéfense Spectra de Thales. Les améliorations apportées au radar et aux capteurs facilitent la détection des cibles furtives aéroportées à longue distance. Les capacités de l'écran monté sur le casque ont également été améliorées. Grâce à des équipements de communication améliorés, il est également plus efficace dans la guerre réseau-centrée. Les essais en vol ont commencé en 2021, et le premier avion aux normes F4 a été livré en 2023. Il est prévu que les avions de la FASF soient mis à niveau vers ce standard. Les Émirats arabes unis sont le premier client étranger du F4. La qualification du standard F4.1 a été annoncée en mars 2023. La norme F4.2 est attendue pour 2025. Ils dépenseront 1,51 milliard de dollars pour mettre à niveau le Rafale au standard F4 entre 2024 et 2026. Le Rafale devrait être l'avion de combat principal de la FASF au moins jusqu'en 2040. Super Rafale F5 - Des capacités de pointe Jusqu'à ce que le FCAS devienne opérationnel, la France aura besoin d'un avion de combat haut de gamme pour la dissuasion aérienne et nucléaire. L'actuel standard de préparation du Rafale est le F4. Contrairement à l'Allemagne, l'un des partenaires du programme FCAS, les Français n'ont pas acquis le F-35 américain. La version F5 sera développée dans le cadre de la programmation militaire 2024-2030 du gouvernement français. Il s'agit du plan "B" en cas de retard du FCAS. Dassault et ses partenaires travaillent déjà sur le standard F5, qui sera prêt vers 2030. La mise à niveau sera progressive. Le F5 partagera certaines caractéristiques avec l'avion européen de nouvelle génération. Le standard F5 sera doté de nouveaux capteurs, d'armements et d'une capacité de communication et de collaboration plus rapide et plus sûre. L'avion disposera d'une suite de guerre électronique nettement améliorée, avec une capacité avancée de suppression ou de destruction des défenses ennemies (SEAD/DEAD), utilisant les derniers systèmes de brouillage et les armes anti-radiation. Il s'agira d'une nouvelle évolution du système de brouillage et de guerre électronique SPECTRA, qui combine le brouillage radar, l'ECCM, l'infrarouge et les leurres radar, et qui créera également une "bulle défensive" autour de l'aéronef. Il est proposé de disposer de systèmes embarqués et largués pour saturer le spectre électromagnétique afin d'interdire l'accès au combat aux adversaires. Ces systèmes seront appliqués simultanément en coordination avec les forces de surface dans des conditions multidomaines. Le F5 introduira également le câblage en fibre optique. Tout cela améliorera considérablement la pénétration dans les environnements contestés. Le Rafale F5 agira également comme un camion de capteurs avec des capacités de fusion et de traitement des données qui lui permettront d'assumer un rôle de poste de commandement tactique volant, une fonction qui évolue dans le cadre de la Next Generation Air Dominance (NGAD) des États-Unis. Des missiles d'attaque de surface et des missiles antinavires futuristes sont en cours de développement, de même que des armes air-air à longue portée. Le F5 sera également modifié pour transporter le futur missile de croisière (FCM) et le futur missile antinavire (FASM) anglo-français. Le radar RBE2 XG de Thales est prévu pour le F5. Le "Super Rafale" sera également modifié pour transporter des missiles hypersoniques à guidage nucléaire appelés "ASN4G", qui remplaceront le missile ASMPA à guidage nucléaire en tant que capacité de dissuasion de la France. Selon Dassault, il s'agit d'un système de combat aérien au sein d'un système et non d'un simple avion de chasse comme l'est la variante actuelle du Rafale F4. Les livraisons de F5 devaient initialement commencer en 2029, mais des discussions sont en cours pour les livrer à partir de 2027. Le standard F5 permettra d'acquérir une compétence au combat en attendant le système d'armes de nouvelle génération dans le cadre du programme FCAS. Des munitions et des drones spécialisés seront développés pour divers rôles cinétiques et non cinétiques. Ils lui conféreront une plus grande capacité de frappe et de combat à longue distance. D'ici 2024, il est prévu d'intégrer un ailier loyal sans pilote sur le modèle du programme européen de drones de combat nEUROn. Le concept d'ailier fidèle est développé par la plupart des grands pays, y compris l'Inde. L'UCAV furtif nEUROn a effectué son premier vol il y a dix ans. Ce succès démontre la compétence de DassaultAviation en tant que maître d'œuvre et architecte-intégrateur de systèmes complexes à la tête d'un programme de coopération internationale. La France investira l'équivalent de 6,75 milliards de dollars dans le programme Rafale entre 2023 et 2026 et a prévu 5,87 milliards de dollars supplémentaires après 2026. La France continue de voir un marché pour le Rafale F5 pour ceux qui ne peuvent pas acquérir le F-35 pour des raisons géopolitiques. Le Rafale se distingue des autres chasseurs européens par le fait qu'il est presque entièrement construit par un seul pays, Dassault (cellule), Thales (avionique et guerre électronique) et Safran (moteurs aéronautiques) couvrant tous les systèmes majeurs. Le Rafale comporte également une variante maritime basée sur un porte-avions. Les autorités françaises auraient également envisagé d'équiper le Rafale pour le lancement de petits satellites. Ventes mondiales de Rafale Le Rafale est entré en service dans la marine française en 2004 et dans la FASF en 2006. Il a été utilisé en Afghanistan, en Libye, au Mali, en Irak et en Syrie. Le nombre de Rafale construits à ce jour est d'environ 260. Cette nouvelle commande portera à 234 le nombre total de Rafale dans les forces armées françaises. Les commandes d'exportation de Rafale s'élèvent actuellement à 297, dont l'Inde (36), l'Égypte (55), le Qatar (36), la Grèce (24), les Émirats arabes unis (80), l'Indonésie (42) et la Croatie (24) sont les clients étrangers actuels. La nouvelle commande de la FASF permettra à Dassault Aviation de maintenir la chaîne de production du Rafale en activité pendant les dix prochaines années. Le F5 pourrait-il être un choix pour l'Inde ? Les flottes d'avions de combat de l'armée indienne sont actuellement confrontées à deux problèmes majeurs. Le premier est la pénurie d'avions de combat au sein de l'IAF, qui ne compte plus que 31 escadrons par rapport aux 42 autorisés, tandis que la marine indienne a besoin d'appareils supplémentaires basés sur des porte-avions. L'IAF s'est déjà engagée à acheter plus de 200 exemplaires de chacune des variantes LCA Mk1 et Mk2, mais leur développement et leur mise en service prendront beaucoup de temps pour combler l'écart entre les capacités et le nombre d'appareils. Le Rafale est l'un des candidats à la proposition de 114 avions de l'IAF. Le Rafale-M aurait été présélectionné par la marine indienne. L'IAF dispose déjà de l'infrastructure nécessaire pour deux escadrons Rafale supplémentaires. La deuxième question est celle du chasseur de cinquième génération. La Chine possède déjà 150 avions J-20 de cinquième génération et l'armée de l'air de l'APL prévoit d'en avoir 400 d'ici 2027. Le Pakistan a déjà pris contact avec la Chine pour acquérir l'avion de cinquième génération J-31 et parle d'une échéance à 2029. L'avion de combat de cinquième génération maison, l'AMCA, devrait effectuer son premier vol vers 2029 et pourrait être introduit dès 2035. Le niveau de furtivité doit encore évoluer. Quoi qu'il en soit, le développement a été divisé en deux phases : Mk1 et Mk2. Les États-Unis ne proposent pas leur chasseur de cinquième génération F-35. Et même s'ils le font, cette décision pourrait être assortie de sérieuses conditions. L'Inde ne peut pas se permettre de mettre davantage d'œufs dans le panier russe. L'Inde a le choix de rejoindre le programme FCAS, mais celui-ci a été considérablement retardé. Un scénario qui évolue ensuite est que l'Inde pourrait envisager le Rafale fabriqué en Inde pour répondre aux besoins de l'IAF et de l'IN. Le nouvel achat pourrait se faire au standard F4. Il pourrait être assorti d'un engagement de mise à niveau vers le standard F5. L'idée générale des coûts de développement est déjà connue. Elle permettra à la communauté stratégique et aux décideurs indiens de procéder à une analyse du rapport coût/capacité. Cela permettra de combler rapidement les lacunes en matière de capacités. Il n'entrera pas en concurrence avec le programme AMCA indien, qui peut être accéléré en parallèle. La France est un pays ami qui a fait ses preuves. Le président français sera l'invité d'honneur du Jour de la République 2024. L'Inde utilise des avions de combat français depuis les années 1950. Les options et les coûts des avions de combat sont des matrices complexes. Pour commencer, il est utile d'entamer un dialogue interne au sein de la communauté aéronautique indienne. Au moins celui là il valorise notre fleuron et permet cette lame de fond comme quoi le Rafale et encore plus le F5 lui donnera une nouvelle vie... En même temps ils ont besoin dans les années qui viennent d'un appareil ops et affûté comme le Rafale. Leurs SU30, Tejas, AMCA, ... c'est bien, mais le rafale il est la au top, il evolue, il fait le job et il le montre tous les jours... Et c'est pas eux qui diront le contraire... J20 ou pas. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 24 janvier Share Posté(e) le 24 janvier Bon je vous met ça pour le fou rire: https://www.timesnownews.com/web-stories/technology/7-most-technologically-advanced-indian-fighter-jets/photostory/107076293.cms 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emixam Posté(e) le 24 janvier Share Posté(e) le 24 janvier (modifié) il y a 3 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Bon je vous met ça pour le fou rire: https://www.timesnownews.com/web-stories/technology/7-most-technologically-advanced-indian-fighter-jets/photostory/107076293.cms Ben quoi? C'est juste un travail sérieux de journaliste. C'est juste les indiens qui ont fait de gros travaux d'indigènation de leurs appareils... Modifié le 24 janvier par emixam 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gargouille Posté(e) le 24 janvier Share Posté(e) le 24 janvier il y a 4 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Bon je vous met ça pour le fou rire: https://www.timesnownews.com/web-stories/technology/7-most-technologically-advanced-indian-fighter-jets/photostory/107076293.cms Ça montre bien que le Rafale est bien un avion de 5éme génération ! 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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