kor4116 Posté(e) le 17 août Share Posté(e) le 17 août Il y a 4 heures, emixam a dit : Euh il y a des informations comme quoi l'Indonésie pense prendre d'autre rafale? Car actuellement ils ont un cinquantaine d'appareils (F-16 différente version, et des Su-27 et Su-30 euh je met pas les versions sinon je vais me tromper et me faire engueuler , et je ne compte pas les T-50 qui sont appareils léger), et viennent de commander 42 Rafales. Donc si ils prennent des Rafales en plus c'est que : - Ils prendront aussi au autre appareil et donc changent le format pour une armée de l'air plus grande (et plus puissante) qu'actuellement - Ils passent en format un seul appareil (ce qui est en soit un gros changement de leur côté --> adieu les micro flotte). n'existe pas. Cependant, je prédis personnellement qu’un petit nombre d’avions de combat seront disponibles à l’achat une fois le Rafale F5 lancé dans les années 2030. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 20 août Share Posté(e) le 20 août Système amélioré d'atterrissage Système amélioré d'atterrissage sur le pont pour INS Vikramaditya et INS Vikrant. La holding Ruselectronics de la société d'État russe Rostec a mis au point un système d'atterrissage sur le pont des porte-avions qui réduit l'usure des câbles d'arrêt et accroît la sécurité du pilote lors de l'atterrissage. Cet équipement peut être utilisé sur les croiseurs lourds russes existants et en construction, ainsi que sur les porte-avions indiens Vikramaditya et Vikrant. Le système détecte la vitesse d'atterrissage de l'avion et ajuste la tension du câble d'arrêt pour minimiser la décélération et la charge subies par le pilote pendant les 2 à 3 secondes qui suivent l'atterrissage. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) le 22 août Share Posté(e) le 22 août (modifié) Les rafales indiens avec un nouveau missile air air longue portée Modifié le 22 août par vincenzo 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 3 septembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 3 septembre Le Conseil des acquisitions du ministère indien de la Défense va ouvrir la voie à l’achat de 26 Rafale Marine par Laurent Lagneau · 3 septembre 2024 Le 30 août, sur les ondes d’Europe 1, le PDG de Dassault Aviation, Éric Trappier, a confié qu’un autre contrat « Rafale » pourrait être signé avant la fin de cette année, alors que le ministère serbe de la Défense avait confirmé, la veille, son intention de se procurer douze appareils. Comme à son habitude, il n’a pas précisé le pays avec lequel des négociations sont en cours. Si la Grèce est une possibilité, il y a de très fortes chances qu’il s’agisse de l’Inde. En effet, en juillet 2023, à l’occasion du vingt-cinquième anniversaire du partenariat stratégique scellé par la France et l’Inde, le Premier ministre indien, Narendra Modi, confirma le choix de l’Indian Navy en faveur du Rafale Marine aux dépens du F/A-18E/F Super Hornet de Boeing, à l’issue d’une évaluation menée dans le cadre du programme MRCBF [Multi Role Carrier Borne Fighters], lancé en 2017. Pour rappel, la marine indienne entend acquérir 26 chasseurs-bombardiers multirôles embarqués afin de remplacer ses MiG-29K de conception russe aux performances décevantes, avec une attrition importante et un maintien en condition opérationnelle [MCO] compliqué. Et cela alors qu’elle met en œuvre deux porte-avions [l’INS Vikramaditya et l’INS Vikrant] et qu’elle espère en avoir un troisième. Les négociations contractuelles avec Dassault Aviation [sans oublier Thales et Safran] ont été ouvertes par la partie indienne en novembre dernier, via la remise d’une « letter of request » [lettre de requête]. En juillet, l’Economic Times a indiqué que les discussions portaient sur la valeur du contrat, alors estimée à un peu plus de 6 milliards d’euros. « L’offre française comprend des options pour intégrer des armes indiennes, notamment le missile air-air Astra, ainsi que des améliorations propres à l’Inde et d’autres équipements connexes », a précisé le quotidien. Les négociateurs indiens ont-ils obtenu un rabais par rapport à cette offre ? Toujours est-il que, ce 3 septembre, le Conseil des acquisitions du ministère indien de la Défense doit se réunir pour approuver l’achat des 26 Rafale M. Pour autant, cela ne voudra pas dire qu’un contrat sera signé dans la foulée. La procédure indienne étant relativement compliquée, il reviendra ensuite à un « comité de négociation des coûts » de se prononcer sur ce dossier. C’est en effet ce qu’a expliqué The Hindustan Times. Par ailleurs, le quotidien a également précisé que le DAC allait abandonner le projet d’intégrer un radar AESA [à antenne active] expérimental développé par le DRDO [l’équivalent indien de la DGA, ndlr] sur les Rafale M car « le coût est prohibitif » et que cela retarderait davantage l’achat des chasseurs-bombardiers embarqués. « La marine indienne a besoin des Rafale-M pour son dernier porte-avions INS Vikrant » au regard de « la détérioration de l’environnement stratégique dans l’Indopacifique », écrit-il. D’où, d’ailleurs, le feu vert imminent à la construction des 8 « frégates furtives avancées » du projet 17B, pour plus de 7 milliards d’euros. 1 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 3 septembre Share Posté(e) le 3 septembre Ils voulaient changer le radar pour 26 appareils 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 4 septembre Share Posté(e) le 4 septembre Il y a 9 heures, Titus K a dit : Ils voulaient changer le radar pour 26 appareils C'est peut être un signe pour le MRFA? Après tout pourquoi pas ? Si ils veulent indigénéiser le Rafale, il leur faudra en passer par là. Si ça évite les offsets ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 4 septembre Share Posté(e) le 4 septembre il y a 20 minutes, Alberas a dit : C'est peut être un signe pour le MRFA? Après tout pourquoi pas ? Si ils veulent indigénéiser le Rafale, il leur faudra en passer par là. Si ça évite les offsets ... Oui, mais il faut être réaliste quand même ^^ En général on teste deux ou trois prototypes sur des avions d'essais spécialement modifiés 26 radars c'est de la production en série Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 4 septembre Share Posté(e) le 4 septembre il y a 51 minutes, clem200 a dit : Oui, mais il faut être réaliste quand même ^^ En général on teste deux ou trois prototypes sur des avions d'essais spécialement modifiés 26 radars c'est de la production en série Je me suis mal exprimé. Je ne parlais pas des 26 Rafale M. Pour ceux là, changer pour un radar indigène parait complètement déraisonnable en termes de coût et délai. En revanche, intégrer des systèmes indiens sur les 114 avions du programme MRFA pourrait être une exigence indienne acceptable par Dassault, Thales et Safran. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 4 septembre Share Posté(e) le 4 septembre il y a 17 minutes, Alberas a dit : En revanche, intégrer des systèmes indiens sur les 114 avions du programme MRFA pourrait être une exigence indienne acceptable par Dassault, Thales et Safran. Ce n'est pas déjà le cas depuis le premier contrat, d'où le standard spécial indien du Rafale ? A moins que tu ne veuille dire prendre un bloc du Rafale et le remplacer par un système local (développé localement et répondant à certains besoins). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MeisterDorf Posté(e) le 4 septembre Share Posté(e) le 4 septembre L’acquisition de 240 réacteurs AL-31F pour la flotte de Su-30MKI reçoit le feu vert. https://www.flightglobal.com/defence/india-orders-240-al-31f-engines-for-su-30mki-fleet/159827.article 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 4 septembre Share Posté(e) le 4 septembre Il y a 4 heures, rendbo a dit : Ce n'est pas déjà le cas depuis le premier contrat, d'où le standard spécial indien du Rafale ? A moins que tu ne veuille dire prendre un bloc du Rafale et le remplacer par un système local (développé localement et répondant à certains besoins). Je faisais référence au post de @Titus K sur le changement de radar. Mais j'ignore à quel degré d'avancement technologique ils sont, ni d'où elle vient (Israel?) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 10 septembre Share Posté(e) le 10 septembre Après le programme de remplacement des AVRO HS-748 par le C295MW ( 16 produits par Airbus, 40 par Tata en Make In India ), revoilà le programme MTA https://www.avianews.ch/post/l-inde-cherche-un-nouvel-avion-de-transport-moyen-tactique "New Delhi travaille maintenant sur un méga accord sur les avions de transport MTA ( Medium Transport Aircraft )." "entre 40 et 80 avions de transport tactiques de moyen tonnage afin de remplacer les flottes d’AN-32 ainsi que les IL-76 ( 6 es. Capacité de tonnage d'environ 50 tonnes ) . Selon une demande d'information (RFI) émise par l'IAF en décembre 2022, l’IAF examine un avion d'une capacité de charge de 18 à 27 tonnes..y compris le char léger qu'elle prévoit d'acheter, pesant environ 25 tonnes.... également être capable d'entreprendre des opérations à haute altitude et d'atterrir et de décoller sur des pistes non préparées comme l'Advanced Landing Ground (ALG) de l'Inde au Ladakh et dans le Nord-Est." "Alors que le C-130J de l'IAF a atterri à Advanced Landing Ground à Daulat Beg Oldie (DBO), qui se trouve à 17 700 pieds, l'atterrissage certifié de l'avion Embraer C390 n'est que de 14 000 pieds." Tout ceci à côté de "la flotte existante de 12 C-130J de l'Indian Air Force (IAF)" et 11 C-17A "Avantage pour Lockheed Martin ? avec un accord pour « étendre les opportunités du Super Hercules C-130J en Inde »" ? Face à l' Airbus avec l’A400M « Atlas » et à l' Embraer C-390/KC-390 « Millennium » 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Brian Posté(e) le 19 septembre Share Posté(e) le 19 septembre C'est avec cette photo que je me rends vraiment compte que le Tejas est un hybride de F-18 Legacy et de Mirage 2000. Intérêt du brésil par ailleurs d'après Opex. Étonnant car très proche du Gripen E. https://www.opex360.com/2024/09/19/la-force-aerienne-bresilienne-sinteresse-a-lavion-de-combat-indien-hal-tejas/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 29 septembre Share Posté(e) le 29 septembre Aatmanirbharta should not cost IAF dear Traduit avec DeepL.com (version gratuite) L'Aatmanirbharta ne doit pas coûter cher à l'IAF La capacité de résistance de l'IAF ne devrait pas être affectée par la demande de s'en tenir à l'aatmanirbharta. Au cours des deux dernières décennies, le monde a pu constater la solide capacité de l'Inde en matière d'aide humanitaire et de secours en cas de catastrophe (HADR) grâce aux vols inlassables effectués par la flotte d'avions de transport de l'IAF (Indian Air Force) sur de grandes distances dans le voisinage - et souvent dans des pays lointains également. L'IL-76 était le cheval de bataille de cet effort dans le passé, mais aujourd'hui, ce sont les C-17 et C-130 qui occupent le devant de la scène. Prévu pour être acquis au début de ce siècle, lorsqu'un parti politique était au pouvoir à Delhi, le projet s'est toutefois concrétisé lorsqu'un autre parti a pris les rênes du gouvernement. De même, le Sukhoi 30, introduit en 1997 par le gouvernement de Deve Gowda sur la base de plans élaborés plus tôt par l'administration de PV Narasimha Rao, constituera l'épine dorsale du dispositif de dissuasion de notre pays pendant de nombreuses décennies encore. Le calendrier de mise en service des avions de combat Rafale a suivi une chronologie comparable. De même, le gouvernement actuel planifiera de nombreux projets qui renforceront la puissance de l'Inde dans les années à venir. Il y a donc une continuité qui s'impose dans les acquisitions de défense, et comme la dissuasion et l'accumulation de capacités de combat prennent des décennies à se construire, il doit aussi y avoir une continuité dans l'élaboration des politiques. À l'heure où l'Inde renforce sa puissance militaire grâce à la campagne aatmanirbharta pour faire face à un environnement sécuritaire difficile, une récente déclaration du vice-chef d'état-major de l'armée de l'air (aujourd'hui chef d'état-major désigné) faite lors d'un séminaire sur la puissance aérienne prend tout son sens ; le vice-chef a fait remarquer que « l'aatmanirbharta est notre cheval de bataille, mais cette autosuffisance ne peut se faire au détriment de la défense de la nation ». Ce sont de sages paroles dans la stridence actuelle d'un nationalisme mal placé vis-à-vis de la campagne d'autosuffisance ; elles nécessitent une analyse, de peur que leur importance ne se perde dans la cacophonie de notre robuste atmosphère politique. La campagne aatmanirbharta est en effet remarquable dans le désir de l'Inde d'atteindre l'autosuffisance en armes pour éviter d'être à la merci des nations fournisseurs qui ont l'habitude de tordre le bras pour satisfaire leurs plans géopolitiques. Ainsi, les listes négatives d'importations et les listes positives d'articles à acheter uniquement auprès de sources indigènes sont les bienvenues, mais avec une réserve : ces orientations ne peuvent se faire au prix d'un affaiblissement du potentiel de combat des trois armées. Les médias ont mis en lumière d'innombrables exemples de projets qui ont dérapé en termes de délais et de coûts et qui révèlent la tendance persistante des agences de R&D (recherche et développement) et de production à promettre plus que leurs capacités et leur expertise pour décrocher des contrats d'armement. La déclaration du vice-chef est une reconnaissance publique de la prévalence de ce malaise. Et s'il fallait un autre exemple, le retard actuel dans la fourniture de chasseurs Tejas Mk1A à une IAF en manque d'escadrons devrait enfoncer le clou. Le retard dans les livraisons de Tejas Mk1A a été attribué au retard dans la fourniture des moteurs F-404 par le fabricant américain General Electric (GE). La livraison d'hélicoptères Apache à l'armée a également été retardée d'un an. On espère que cela n'a rien à voir avec l'affirmation par l'Inde de ses relations avec la Russie dans l'imbroglio Ukraine-Russie, malgré l'opposition des États-Unis. Le problème est que le Tejas Mk2 (un modèle conventionnel) est également planifié autour d'un moteur F-414 plus puissant de GE qui, soit dit en passant, est également en train de mettre en place une usine avec un transfert de technologie supposé de 80 % pour fabriquer le moteur. La prochaine étape pour l'IAF est l'Advanced Medium Combat Aircraft (AMCA), un avion futuriste dont la version Mk1 serait équipée du même F-414 de 98 kN de poussée, suivi d'une version Mk2 équipée d'un moteur indigène produisant une poussée supérieure de 110 kN pour donner à l'AMCA une véritable capacité de cinquième génération. Le prototype de l'AMCA est attendu pour 2028 - alors que les déclarations précédentes faisaient état de 2024 puis de 2026. Logiquement, et avec un peu de chance, le prototype Tejas Mk2 devrait arriver avant cette nouvelle date cible pour l'AMCA. Telle est la réalité d'une situation dans laquelle l'IAF a placé tous ses œufs - pour les 40 prochaines années au moins - dans le panier de l'Hindustan Aeronautics Limited/Defence Research and Development Organisation, tout en jonglant avec des effectifs d'escadrons qui s'amenuisent. La déclaration du vice-chef de l'IAF sur l'aatmanirbharta par rapport à la défense nationale mérite donc d'être examinée attentivement. Si l'on prête attention à l'intégralité du discours qu'il a prononcé lors du séminaire sur la puissance aérienne, on s'aperçoit qu'il met en évidence la volonté de l'IAF de soutenir sans réserve les produits indigènes. Le travail de conception et de développement progresse, mais pour rattraper le reste du monde, il faudrait changer de politique afin de garantir un financement et d'embaucher les meilleurs cerveaux indiens, qui travaillent actuellement pour des entreprises aéronautiques étrangères. Les salaires ne devraient pas être un obstacle si cette tentative de ghar wapasi doit porter ses fruits. Incidemment, l'une des raisons des avancées technologiques chinoises réside dans le fait qu'ils ont réussi à attirer les étudiants brillants des universités et des entreprises technologiques américaines et occidentales. Notre secteur privé, tant loué, doit lui aussi risquer son propre argent dans la recherche et le développement et ne pas attendre uniquement le financement du gouvernement. Et le gouvernement doit rendre les processus moins lourds, sinon ce sera le statu quo comme jusqu'à présent. Et une suggestion décalée, s'il vous plaît, emmenez l'opposition dans cette entreprise, car elle a un intérêt égal dans la défense de la nation. En outre, elle pourrait bien tenir la corde à l'avenir, si les intronisations n'ont pas lieu à temps. Il est bon de voir l'IAF participer de plus en plus à des exercices à l'étranger et accueillir des exercices multinationaux dans son pays. Il ne faut cependant pas perdre de vue que la capacité de puissance de l'IAF, qui permettrait à l'Inde de se battre en territoire ennemi, n'est pas affectée par la volonté de s'en tenir à l'aatmanirbharta, même si les projets sont retardés. La dernière chose que l'on souhaite, c'est un piège d'asymétrie des capacités, car les guerres sont menées les armes à la main et non avec de bonnes intentions et un nationalisme mal placé. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 29 septembre Share Posté(e) le 29 septembre Atmanirbhar Bharat[a], which translates to 'self-reliant India',[8] is a phrase the Prime Minister of India Narendra Modi and his government used and popularised in relation to the country's economic development plans. The phrase is an umbrella concept for the Modi government's plans for India to play a larger role in the world economy, and for it to become more efficient, competitive and resilient. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 30 septembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 30 septembre Ahead of NSA visit, France submits final price offer for 26 Rafale Marine jet deal Avant la visite du NSA, la France soumet une offre de prix finale pour le contrat de 26 avions de combat Rafale New Delhi [Inde], 29 septembre (ANI) : La France a soumis l'offre de prix finale à l'Inde pour le contrat des 26 avions de combat Rafale, juste avant la visite prévue du conseiller indien à la sécurité nationale Ajit Doval dans le pays. Des sources de défense ont déclaré à l'ANI que la meilleure et dernière offre de prix a été soumise aux autorités indiennes par la partie française pour le projet et qu'une réduction de prix significative a été accordée après d'âpres négociations dans le cadre du contrat proposé. L'Inde et la France négocient l'achat de 26 Rafale Marine qui seront déployés sur le porte-avions INS Vikrant et sur différentes bases. Les deux parties ont également mené des négociations la semaine dernière, lorsqu'une équipe française s'est rendue dans la capitale nationale pour finaliser les discussions avec l'Inde. L'accord devrait être discuté lors du dialogue stratégique entre l'Inde et la France, au cours duquel le secrétaire d'État indien devrait rencontrer ses homologues français à partir de demain à Paris. L'accord est important pour la marine indienne, qui cherche à renforcer sa capacité de frappe maritime. L'Inde a également approuvé des déviations dans la lettre de demande, qui est le document d'appel d'offres équivalent dans les accords de gouvernement à gouvernement, comme l'intégration du radar indigène Uttam dans les jets destinés à la marine indienne. Des sources ont déclaré que l'intégration aurait pris plus de temps, environ huit ans, et qu'il aurait fallu payer un prix élevé à la partie française pour ce faire. L'Inde avait également demandé à la France d'intégrer des armes locales dans l'avion. Il s'agit notamment des missiles Astra à portée au delà de l'horizon et des missiles antiradiation Rudram. Les sources ont ajouté que le prix de l'accord a été fixé en fonction des accords sur les taux d'inflation à prendre en compte et que l'accord précédent portant sur 36 avions de combat Rafale pour l'armée de l'air indienne servirait de base. Certains des besoins de l'armée de l'air indienne ont également été intégrés dans le contrat naval, qui comprendra environ 40 réservoirs supplémentaires et un petit nombre de postes de travail pour les avions. L'Inde va également recevoir un plus grand nombre de missiles Meteor à longue portée et d'armes antinavires dans le cadre de ce projet qui devrait être conclu avant la fin de l'année financière en cours. 5 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 30 septembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 30 septembre (modifié) Nuclear submarine will be a leapfrog for India-France ties, bring New Delhi into exclusive club Le sous-marin nucléaire sera un bond en avant pour les relations entre l'Inde et la France et fera entrer New Delhi dans un club exclusif. L'offre de la France pourrait catapulter l'Inde dans le club exclusif des quelques pays qui possèdent une gamme complète de sous-marins. La France, partenaire fiable et amie de longue date de l'Inde, est à nouveau prête à aider New Delhi à réaliser ses ambitions stratégiques. Le dialogue stratégique franco-indien de deux jours entre le conseiller à la sécurité nationale, Ajit Doval, et le conseiller diplomatique du président français, Emanuel Bonne, doit avoir lieu à Paris les 30 septembre et 1er octobre. Mais juste avant ce dialogue, la France a proposé à l'Inde des contrats importants, notamment des sous-marins d'attaque à propulsion nucléaire (SSN). La flotte indienne actuelle de sous-marins ne compte pas encore de SSN. Prochain dialogue stratégique entre l'Inde et la France Il s'agira du premier engagement stratégique bilatéral entre les deux amis après la visite d'État du président français Emmanuel Macron en Inde en janvier 2024 en tant qu'invité principal du Jour de la République. Le retard de neuf mois peut peut-être être attribué à l'instabilité politique dans l'univers de Macron, avec un gouvernement suspendu à la recherche d'un premier ministre acceptable après des élections surprises non convoquées en juillet. De plus, la France organisait également les Jeux olympiques et paralympiques au milieu de ce chaos. Enfin, Paris a un tout nouveau premier ministre en la personne de Michel Barnier, et le gouvernement peut gérer d'autres agendas face aux crises de la dette et aux divisions politiques croissantes. Macron, lui aussi, semble avoir rapidement tourné son attention vers la politique étrangère et la défense, qui sont des domaines clés du mandat d'un président français - et son attention se porte une fois de plus sur l'Inde. À l'approche de ce dialogue stratégique, le partenariat de défense entre l'Inde et la France, qui a fait ses preuves et qui est célébré, est prêt à faire un bond en avant dans le domaine de la technologie des sous-marins. Décodons un peu mieux la situation. Jusqu'à présent, l'Inde n'a loué que deux fois un SSN à la Russie pour en expérimenter les aspects opérationnels. Il s'agissait des SSN Chakra, qui ont été rendus à la Russie après la location. L'Inde n'a jamais développé ses propres SSN. L'offre de la France pourrait donc catapulter l'Inde dans un autre club exclusif de quelques pays qui possèdent toute une gamme de sous-marins. Cela ajoutera de formidables capacités à sa furtivité et à sa puissance de feu dans les eaux agitées de la géopolitique actuelle. Elle a proposé de soutenir la construction de sous-marins d'attaque à propulsion nucléaire (SSN). Pour la première fois, l'Inde s'est vu offrir des véhicules sous-marins sans pilote (UUV) à la pointe de la technologie, des drones marins avancés qui seront utilisés pour toute une série d'activités dans l'univers fluide des mers. Enfin, la France a également proposé un transfert de technologie à 100 % pour des moteurs d'avion d'une poussée de 110 kilo Newton destinés au programme indien d'avion de combat moyen avancé (AMCA). Ces projets cruciaux pourraient être discutés lorsque M. Doval rencontrera M. Bonne dans quelques jours. Mais qu'est-ce qui rend ces offres si spéciales ? Vont-elles même s'envoler ? L'actualité de la coopération franco-indienne en matière de défense Peu de temps après l'annonce de la finalisation par l'Inde d'un contrat portant sur 26 Rafale Marine pour le porte-avions INS Vikrant, il a été rapporté que la marine indienne pourrait acquérir au moins deux centres de simulation Rafale pour la formation de ses équipages, y compris les pilotes. En outre, l'armée de l'air indienne pourrait envisager d'acquérir davantage de chasseurs Rafale afin de renforcer ses escadrons qui s'amenuisent. Il serait toutefois préférable que l'Inde se concentre sur son programme AMCA indigène afin de réduire sa dépendance à l'égard des importations. Il est de loin préférable de collaborer avec des partenaires étrangers de confiance comme la France pour co-développer le moteur 110 KN nécessaire aux AMCA, qui est d'ailleurs proposé par la France depuis un certain temps déjà. L'empreinte de la France dans l'écosystème industriel de défense de l'Inde s'est accrue, conformément à la vision d'autosuffisance de ce pays. Récemment, Dassault Aviation - qui fabrique les Rafales et les Mirage-2000 utilisés par l'Inde - a déjà progressé dans la mise en place d'une installation de maintenance, de réparation et de révision (MRO) près de Noida pour assurer l'entretien de ces deux appareils. Il convient de rappeler que Dassault est également en lice pour fournir 114 jets à l'IAF dans le cadre de son programme d'avion de combat de rôle moyen (MRFA), bien qu'une décision finale à ce sujet soit encore loin d'être prise. Comme indiqué précédemment, New Delhi doit trouver le bon équilibre entre les achats et le « Make in India ». Une dépendance excessive à l'égard des premiers freinera toujours les progrès de l'Inde en matière d'autosuffisance. L'autre grand acteur français de l'écosystème de défense indien est Safran, qui fabrique les moteurs des avions Rafale. De conception 100 % française, ces moteurs M-88 pourraient être entièrement produits en Inde, sur le site MRO de Safran à Hyderabad, s'ils font l'objet d'une commande importante. Safran collabore également avec Hindustan Aeronautics Limited (HAL) pour concevoir, développer et fabriquer un turbomoteur pour l'Indian Multi-Role Helicopter (IMRH) et les Deck Based Multi Role Helicopters (DB-MRH). Mais ce n'est pas tout. L'arrivée significative de Paris dans le vivier de l'industrie de défense indienne intervient à un moment où la marine aspire à construire au moins deux sous-marins nucléaires d'attaque. Différences de puissance maritime L'Inde cherche à renforcer sa dissuasion maritime dans une équation qui penche en faveur de la Chine. Pékin se targue d'avoir la plus grande marine du monde en termes de nombre de navires. Il s'agit principalement des six sous-marins balistiques à propulsion nucléaire de la classe Jin, dont la puissance de feu est nettement supérieure à celle de l'Arighat indien ou de son prédécesseur, l'Arihant. Par ailleurs, le différentiel de puissance avec le Pakistan s'est réduit, le soutien de Pékin aux capacités sous-marines d'Islamabad étant plus visible que jamais. Pour assurer une dissuasion nucléaire efficace en mer, l'Inde a besoin d'au moins deux SNLE supplémentaires, de sorte qu'un puisse être déployé à tout moment, ainsi que de quelques SSN. Quel type de sous-marins les Français proposent-ils et en quoi sont-ils différents de ceux que l'Inde possède déjà ou développe ? Pour comprendre cela, il est important d'avoir une vue d'ensemble de la façon dont les capacités sous-marines de l'Inde sont dispersées. Actuellement, l'Inde possède un total de 18 sous-marins. Deux d'entre eux sont des sous-marins lanceurs d'engins (SNLE). Le premier est l'Arihant et le second l'Arighat. Ce dernier a été mis en service en grande pompe par le ministre de la défense Rajnath Singh. L'Inde avait initialement prévu quatre SNLE. Les deux autres seraient en cours de construction, mais les détails exacts restent un secret d'État. Comme indiqué plus haut, l'Inde ne dispose toujours pas de SSN. Elle dispose de sous-marins d'attaque diesel-électriques appelés SSK. Nous exploitons 17 de ces bateaux, qui peuvent être divisés en deux grandes catégories : la classe Sindhughsoh (appelée kilo), conçue par les Allemands. Ensuite, il y a la classe Kalvari, qui est basée sur la classe Scorpène française et qui fait partie du Projet 75 de l'Inde. D'ailleurs, l'Inde, en partenariat avec Mazagaon Dock, a récemment passé une nouvelle commande à la France pour la construction de trois sous-marins supplémentaires de la classe Kalvari. Enfin, il y a aussi le projet de sous-marin à propulsion diesel-électrique indépendante de l'air, P-75(I), qui n'a pas encore fait l'objet d'une décision. Le choix se porte sur l'allemand ThyssenKrupp Marine Systems (TKMS) et l'espagnol Navantia, qui ont tous deux des partenaires indiens pour construire le projet. Les Français ont maintenant proposé de développer des SSN, basés sur leurs propres sous-marins de la classe Barracuda et dotés d'une importante technologie de pointe. Les détails les plus précis ne sont pas encore connus et pourraient être discutés lors de la prochaine rencontre entre les deux parties à Paris. Considéré comme le joyau de la couronne de la capacité militaire, si l'accord sur les SSN se concrétise, il s'agira du succès le plus stupéfiant de la bonne entente entre l'Inde et la France en matière de défense. Dronisation de la future guerre maritime La France a également proposé à l'Inde des UUV avancés qui pourraient être utilisés pour diverses tâches, notamment la surveillance, la recherche, l'armement, la recherche et les opérations et, bien sûr, la défense. Mais une fois de plus, le pays est confronté à un rapport de force déséquilibré, la Chine exploitant les UUV HSU-001, qui sont à peu près comparables aux UUV exploités par les États-Unis et le Royaume-Uni. Pékin les aurait testés dans la région du détroit de Taïwan. Il est donc grand temps que New Delhi commence à se préparer à ces capacités tactiques, qui sont tout aussi efficaces dans les guerres hybrides et constituent une caractéristique déterminante des défis sécuritaires dans la région indo-pacifique. Le partenariat de défense entre l'Inde et la France a parcouru un long chemin et a ouvert la voie à d'autres avancées. Toutefois, la véritable impulsion durable ne viendra que lorsque ces partenariats seront complétés par une coopération et une innovation technologiques. Telles seront les caractéristiques de la future coopération dans le domaine de l'industrie de la défense. Il est très probable que la feuille de route industrielle de défense Inde-France, encore confidentielle, contienne déjà des plans substantiels à piloter au niveau des acteurs non étatiques. C'est peut-être la raison pour laquelle c'est l'ANE qui se rendra à Paris pour le prochain dialogue stratégique. Modifié le 30 septembre par Picdelamirand-oil 6 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Brian Posté(e) le 30 septembre Share Posté(e) le 30 septembre Les Kilo conçus par les Allemands, je suis pas sûr ^^ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benji10 Posté(e) le 1 octobre Share Posté(e) le 1 octobre 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 2 octobre Share Posté(e) le 2 octobre Bon pas d’annonces indiennes donc 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benji10 Posté(e) le 2 octobre Share Posté(e) le 2 octobre Il y a 1 heure, Teenytoon a dit : Bon pas d’annonces indiennes donc C'est pas le genre de type qui vient faire des annonces. Il vient faire avancer les choses. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Pakal Posté(e) le 2 octobre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 2 octobre (modifié) L'Onera travaillerait sur des améliorations à apporter aux canards et aux entrées d'air du Tejas MK2... https://idrw.org/ada-to-further-optimize-tejas-mk2-design-based-on-onera-wind-tunnel-tests/ qui est maintenant prévu pour Mars 2026 https://idrw.org/tejas-mk2-rollout-in-march-2026-development-gains-momentum/ Modifié le 2 octobre par Pakal Orthographe 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 5 octobre Share Posté(e) le 5 octobre We have lagged behind China in technology, need to catch up, says Air chief Nous avons pris du retard par rapport à la Chine en matière de technologie, nous devons le rattraper, déclare le chef de l'armée de l'air Nous avons pris du retard par rapport à la Chine en matière de technologie et de taux de production d'équipements de défense », a déclaré le chef de l'armée de l'air indienne (IAF), l'Air Chief Marshal (ACM) Amar Preet Singh, dans une évaluation par rapport à la Chine, tout en soulignant la nécessité d'augmenter la production nationale d'avions de combat en impliquant le secteur privé. En réponse à une autre question, il a indiqué que la Russie avait promis de livrer les deux derniers régiments de défense aérienne S-400 l'année prochaine. « Nous avons effectué notre analyse. Nous n'avons pas l'intention de passer inutilement à l'offensive. Nous n'agirons que lorsque nous serons poussés à agir... Nous avons mis nos plans en place. Ce que je peux dire avec certitude, c'est que nous nous entraînons beaucoup mieux qu'eux. Nous sommes bien mieux exposés qu'eux. Nous apprenons à connaître... comment ils s'entraînent et avec combien de forces aériennes différentes ils interagissent et avec combien nous interagissons. Une personne derrière la machine, nous sommes bien plus avancés qu'eux », a déclaré l'ACM Singh lors de la conférence de presse annuelle précédant la Journée de l'armée de l'air, qui aura lieu le 8 octobre. « En ce qui concerne la technologie, nous ne sommes peut-être pas très bons à l'heure actuelle, nous sommes à la traîne. Nous étions meilleurs qu'eux en matière de technologie il y a quelque temps, mais nous avons pris du retard dans ce domaine et nous devons le rattraper. En ce qui concerne les taux de production, nous sommes très en retard. Nous devons le rattraper. Cela se fera sur une certaine période, cela ne peut pas se faire du jour au lendemain ». En réponse à une question sur la capacité du réseau de défense aérienne de l'Inde dans le contexte de l'évolution de la situation entre Israël et l'Iran, le chef d'état-major de l'armée de l'air a déclaré que les systèmes en cours d'acquisition pouvaient remplir des fonctions similaires à celles du Dôme de fer israélien et d'autres systèmes. « Nous disposons d'une combinaison de systèmes de défense aérienne assez compétents », a-t-il déclaré, en précisant que l'Inde étant un très grand pays, elle avait besoin d'un grand nombre de systèmes et qu'il était nécessaire d'accorder la priorité aux zones vitales et prioritaires à protéger. « En ce qui concerne la technologie, les systèmes dont nous disposons et ceux que nous avons contractés nous permettent d'intercepter ces missiles », a-t-il ajouté. Le chef d'état-major de l'armée de l'air a déclaré que d'ici 2047, l'objectif était de disposer d'un inventaire complet, soit produit en Inde, soit développé et produit en Inde. Reconnaissant le retard pris par le programme d'avion de combat léger (LCA) Tejas, dont les livraisons de MK-1A n'ont pas encore commencé, l'ACM Singh a déclaré que leur premier objectif était de ne pas laisser l'effectif des avions de combat descendre en dessous de 30 escadrons. À cet égard, il a déclaré que Hindustan Aeronautics Limited (HAL) devait maintenant tenir sa promesse de produire 24 avions par an pour compenser le retard. L'entreprise a mis en place une troisième ligne de production à Nashik, mais elle n'a pas encore produit d'avion, a-t-il fait remarquer. Il a insisté sur le fait que les acteurs privés devaient intervenir pour garantir les chiffres. « Nous ne pouvons pas continuer à dépendre d'une seule agence. Même HAL aura des limites », a-t-il déclaré, compte tenu du nombre d'appareils concernés. L'IAF a lancé un appel d'offres pour 114 avions de combat dans le cadre du programme MRFA (Multi-Role Fighter Aircraft), qui a pris beaucoup de retard. « Le MRFA est nécessaire depuis hier », a plaisanté le chef de l'armée de l'air, soulignant ainsi l'urgence de la situation. En ce qui concerne les lignes du programme indigène, l'ACM Singh a déclaré que le LCA-Mk2 était censé effectuer son premier vol en octobre de l'année prochaine et que décembre 2027 était censé marquer la fin de la recherche et du développement pour le LCA-Mk2. « Si ces délais sont respectés et que la MRFA est signée en parallèle, tout va bien. Nous ne sommes pas en mauvaise posture. Mais si ces délais sont repoussés, nous devrons envisager d'autres solutions ». En ce qui concerne la situation sur le terrain dans l'est du Ladakh, le chef d'état-major de l'armée de l'air a déclaré que la situation restait pratiquement inchangée. Le développement des infrastructures par la Chine a été « assez rapide ». « Nous essayons également de rattraper notre retard », a-t-il déclaré, ajoutant que de nouveaux aérodromes à Nyoma et d'autres étaient en cours de construction et qu'il était prévu d'utiliser les infrastructures civiles. En ce qui concerne le programme Agnipath de recrutement dans les forces armées, l'ACM Singh a déclaré que les réactions sur le terrain étaient très positives. « Si nous devons absorber plus de 25 % des Agnipathes dans les forces armées après quatre ans, cela est possible », a-t-il déclaré, ajoutant qu'il appartenait au gouvernement de prendre une décision à ce sujet. À propos de l'impact des conflits mondiaux en cours sur les chaînes d'approvisionnement et la maintenance, le chef d'état-major de l'armée de l'air a déclaré qu'en ce qui concerne la maintenance de nos avions, il y avait des problèmes de rupture des chaînes d'approvisionnement à cause de ces guerres. « Nous avons des composants qui proviennent de ces régions. La maintenance de ces équipements est donc un défi, que nous avons très bien relevé... », a-t-il déclaré. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 5 octobre Share Posté(e) le 5 octobre il y a 42 minutes, Picdelamirand-oil a dit : d'ici 2047 On aimerait que le planning du SCAF/NGF soit aussi précis ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 6 octobre Share Posté(e) le 6 octobre IAF proved capability to strike down Chinese spy balloon-type targets at very high altitude L'IAF a prouvé qu'elle était capable d'abattre des cibles chinoises de type ballon-espion à très haute altitude New Delhi [Inde], 6 octobre (ANI) : L'armée de l'air indienne a récemment prouvé sa capacité à abattre des cibles de type ballon-espion chinois à une très haute altitude de plus de 55 000 pieds le long du front oriental. Au début de l'année 2023, le gouvernement américain avait utilisé un avion de chasse F-22 Raptor de cinquième génération pour abattre un ballon espion chinois au-dessus de la mer. L'IAF a mené des discussions sur la manière de relever le défi posé par ces ballons qui volent à très haute altitude et a également eu des discussions avec l'armée de l'air américaine l'année dernière. Des sources de défense ont déclaré à l'ANI que l'armée de l'air indienne avait utilisé un chasseur Rafale pour abattre un ballon espion chinois au-dessus de la zone de responsabilité du commandement aérien de l'Est il y a quelques mois. L'armée a utilisé un ballon relativement plus petit que le ballon espion chinois qui avait été abattu par l'armée de l'air américaine. Le ballon a été lâché dans l'air avec une charge utile attachée et il a ensuite été abattu à l'aide d'un missile d'inventaire à une altitude de plus de 55 000 pieds, ont-ils déclaré. Cette capacité a été démontrée par l'armée de l'air indienne lorsque l'actuel chef de l'armée de l'air, le maréchal AP Singh, était responsable des opérations générales en tant que vice-chef d'état-major de l'armée de l'air et que l'actuel vice-maréchal SP Dharkar était le commandant de l'armée de l'air orientale. Le directeur général des opérations aériennes de l'époque, le maréchal de l'air Surat Singh, est aujourd'hui le commandant des opérations aériennes de l'Est. Début 2023, l'US Air Force F-22 a abattu un ballon espion chinois au large de la Caroline du Sud, qui a traversé l'Amérique du Nord pendant plusieurs jours. Il y a eu au moins deux autres cas dans la semaine qui a suivi. Un ballon similaire a été aperçu au-dessus du territoire des îles Andaman et Nicobar, en Inde, et l'on pense que ces ballons sont utilisés pour assurer la surveillance d'une vaste zone. Toutefois, aucune mesure n'a été prise à l'encontre de ce ballon au cours des trois ou quatre jours où il a été aperçu, après quoi il a dérivé. On pense également que les ballons espions chinois sont dotés d'une sorte de mécanisme de direction et qu'ils peuvent être utilisés pour se stabiliser au-dessus de leurs zones d'intérêt. La force a également préparé ses procédures opérationnelles standard pour agir contre de telles menaces à l'avenir. (ANI) 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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