Picdelamirand-oil Posté(e) le 27 février Share Posté(e) le 27 février Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 28 février Share Posté(e) le 28 février IAF chief drops truth bombs, says his force in dire need of 35-40 aircraft/year, far behind in tech Traduit avec DeepL.com (version gratuite) Le chef de l'IAF lâche des bombes de vérité en déclarant que son armée a un besoin urgent de 35 à 40 avions par an et qu'elle est très en retard sur le plan technologique. S'exprimant lors d'un événement, le maréchal de l'air AP Singh a également plaidé en faveur d'un projet de collaboration entre une entreprise étrangère et une société privée indienne pour la production d'avions de combat en Inde. New Delhi : Dans une évaluation franche de sa force, le chef de l'IAF, le maréchal de l'air A.P. Singh, a reconnu vendredi que la force était à la traîne en termes d'avancées technologiques et qu'elle devait rattraper son retard. Il a également exprimé sa volonté de choisir des produits fabriqués en Inde, même s'ils offrent 85 % des capacités de leurs homologues mondiaux. S'exprimant lors d'un séminaire organisé par le forum Chanakya, l'ACM Singh a souligné que l'Inde devait explorer des projets de collaboration entre des entreprises étrangères et des acteurs privés indiens pour produire des avions de combat dans le pays, en complément de la production du Tejas Mk-1A par la société d'État Hindustan Aeronautics Limited (HAL). Les commentaires de l'ACM Singh concernaient directement le programme MRFA (Medium Multi-Role Fighter Aircraft), en suspens depuis longtemps, qui prévoit l'acquisition de 114 nouveaux avions de combat. Certains d'entre eux seront acquis à l'étranger en état de vol, tandis que d'autres seront fabriqués en Inde. Cette initiative s'inscrit dans le cadre de la stratégie plus large de l'IAF visant à acquérir 126 avions, un effort entrepris depuis 2000 qui a culminé avec l'achat d'urgence de 36 chasseurs Rafale par le gouvernement de Narendra Modi en 2016. Toutefois, les chiffres de l'IAF restent préoccupants. À l'heure actuelle, l'IAF n'exploite que 31 escadrons d'avions de combat, ce qui est bien inférieur à l'effectif autorisé de 42. En réalité, même ces 31 escadrons sont quelque peu gonflés, car deux escadrons de MiG-21 ont été fusionnés pour atteindre le nombre requis. En ce qui concerne l'avenir, l'ACM Singh a souligné la nécessité pour l'Inde de se préparer aux conflits futurs, qui, selon lui, se caractériseront par une technologie avancée et des engagements prolongés. « Nous ne pouvons pas nous permettre de mener les guerres du passé, nous devons mener les guerres de l'avenir », a-t-il déclaré, plaidant en faveur d'une approche plus prospective de la préparation à la défense. L'IAF privilégie les forces locales Reconnaissant les défis, l'ACM Singh a réaffirmé que la première préférence de l'IAF serait de donner la priorité aux systèmes nationaux. « Même si un système national fournit 85 % ou 90 % des performances offertes par les produits internationaux, nous choisirons toujours d'opter pour l'option nationale », a-t-il déclaré. Il a toutefois reconnu que le développement de tels systèmes prendrait du temps et que, dans l'intervalle, l'IAF devait rapidement combler les lacunes. « Dans le même temps, nous devrons nous pencher sur les systèmes disponibles mais fabriqués en Inde. Cela nous donnera un coup de pouce, car les nouvelles technologies arriveront plus rapidement en Inde », a-t-il déclaré, ajoutant que cela augmenterait également la capacité de production des systèmes nationaux. « Je peux faire le vœu de ne rien acheter à l'extérieur ou d'attendre ce qui sera développé en Inde, mais ce ne sera peut-être pas possible si cela ne se fait pas à ce rythme. Pour l'instant, nous savons tous que nous sommes très mal lotis en matière de chiffres. Et les chiffres qui ont été promis arrivent aussi un peu lentement. Il faudra donc chercher quelque chose qui puisse rapidement combler ces vides », a-t-il déclaré. Il faisait référence au retard de livraison des chasseurs Tejas MK-IA, qui devait commencer en février de l'année dernière, mais qui n'a toujours pas commencé. « Nous avons fait un exercice en interne. Nous devons en fait produire ou introduire des avions au rythme de deux escadrons par an pour répondre à la montée en puissance que nous souhaitons, et tout ce qui sera livré très bientôt », a-t-il déclaré. « Nous disposons d'un grand nombre de flottes que nous devrons éliminer progressivement d'ici 5 à 10 ans. Ces flottes devront donc être complétées. De plus, nous avons déjà des postes vacants. Nous envisageons donc d'introduire 35 à 40 avions par an, qui devront être produits quelque part. Je comprends que ces capacités ne peuvent pas être mises en place du jour au lendemain, mais nous devons commencer à nous efforcer d'atteindre cet objectif », a-t-il déclaré. Il faisait référence aux flottes de Mirage 2000, de Jaguar et de MiG-29, dont le retrait progressif est prévu à partir de 2030. Le chef de l'IAF a noté que HAL avait promis de commencer la livraison de 24 LCA MK-IA. « Je suis donc très heureux. Si nous parlons de 24 avions MK1A, plus quelques Sukhois ou d'autres avions, nous envisageons 30 avions par an rien que pour HAL. En outre, si un acteur privé entre en jeu, nous disposons actuellement d'un très bon modèle d'avion de transport, et si l'industrie privée entre en jeu dans le cadre du programme « Make India », nous ajouterons 12 à 18 avions supplémentaires de ce côté-là. Nous y arrivons donc, c'est possible. Nous devons nous assurer que nous ne perdons pas de vitesse en cours de route », a-t-il déclaré. Il faisait référence au modèle d'avion de transport C-295 qui est fabriqué en Inde dans le cadre d'un partenariat entre TATA et la branche espagnole de la société européenne Airbus. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 28 février Share Posté(e) le 28 février (modifié) Les Russes et les Américains vont gentiment se partager le marché indien si ca continue comme ca ... Modifié le 28 février par Titus K Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bubzy Posté(e) mercredi à 06:43 Share Posté(e) mercredi à 06:43 (modifié) Et le rapport du fameux comité spéciala été remis hier. https://english.mathrubhumi.com/news/money/private-players-soon-to-make-foray-into-military-aircraft-manufacturing-1.10394493 J'essaie de faire converger toutes les informations car là je suis sur téléphone c'est pas pratique, mais j'ai l'impression qu'il n'y a rien de neuf sous le soleil, vu tout ce qu'a déjà balancé l'air chief marshal ces dernières semaines. À savoir : HAL c'est misérable, faut du privé. Edit: faites une recherche avec "Empowered Committee for Capability Enhancement of the lndian Air Force". Il y a des tonnes d'articles mais pas moyen de savoir si le rapport est public ou non. Modifié mercredi à 06:50 par bubzy Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MrSpirou Posté(e) mercredi à 10:50 Share Posté(e) mercredi à 10:50 (modifié) / Modifié jeudi à 00:09 par MrSpirou Erreur de sujet Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) jeudi à 00:04 Share Posté(e) jeudi à 00:04 Il y a 13 heures, MrSpirou a dit : https://www.rtbf.be/article/john-cockerill-defense-vise-le-marche-indien-11512699 L’annonce a eu lieu durant la mission économique belge en Inde. John Cockerill Defense a signé un accord avec une société indienne, Electro Pneumatics & Hydraulics (EPHL) Cette coentreprise n’est qu’une première étape pour Cockerill. Le groupe espère maintenant signer un contrat avec l’armée indienne "nous pourrons rapidement fournir une soixantaine de pièces, et très vite, nous pourrons monter à 300, 700, voire plusieurs milliers de systèmes" précise Thierry Renaudin, "on est dans des ordres de grandeurs qui n’ont rien à voir avec ce qu’on a l’habitude de voir en Europe. C’est donc très important pour nous" conclut-il. L'espoir est de pouvoir rapidement associer ces tourelles aux chars légers indiens "Zorawar". Tu es dans la section armée de l'air ici 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) jeudi à 13:48 Share Posté(e) jeudi à 13:48 (modifié) Le MRFA a été recommandé par le comité et le gouvernement l'a accepté. Je sais c'est idrw. Il n'empèche la déclaration est officiel. https://idrw.org/iaf-requirement-for-more-multirole-fighter-aircraft-accepted-by-defence-ministry-committee-sources/ sinon https://www.indiatoday.in/india-today-insight/story/how-indian-air-force-aims-to-give-its-bold-modernisation-a-flying-start-2689442-2025-03-05 Le MRFA est donc de nouveau le cadre d'acquisition des chasseurs moyens de L'IAF. Modifié jeudi à 13:56 par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) jeudi à 14:20 Share Posté(e) jeudi à 14:20 (modifié) il y a 34 minutes, herciv a dit : Le MRFA a été recommandé par le comité et le gouvernement l'a accepté. Je sais c'est idrw. Il n'empèche la déclaration est officiel. https://idrw.org/iaf-requirement-for-more-multirole-fighter-aircraft-accepted-by-defence-ministry-committee-sources/ sinon https://www.indiatoday.in/india-today-insight/story/how-indian-air-force-aims-to-give-its-bold-modernisation-a-flying-start-2689442-2025-03-05 Le MRFA est donc de nouveau le cadre d'acquisition des chasseurs moyens de L'IAF. Comment l'armée de l'air indienne entend donner un coup d'accélérateur à son audacieuse modernisation New Delhi est en proie à des manœuvres stratégiques alors que l'armée de l'air indienne (IAF) dévoile une vaste feuille de route visant à renforcer ses capacités de combat, même si l'administration de Donald Trump fait miroiter le très convoité chasseur furtif F-35 comme une offre alléchante. Le plan, conçu pour combler les lacunes opérationnelles critiques dans les délais impartis, appelle à une participation accrue du secteur privé pour soutenir les efforts de l'Organisation de recherche et de développement de la défense (DRDO) et des entreprises du secteur public de la défense (DPSU). Le 3 mars, le secrétaire à la défense, Rajesh Kumar Singh, a présenté au ministre de la défense, Rajnath Singh, un rapport du comité habilité pour l'amélioration des capacités de l'IAF. Le ministère de la défense a déclaré que le comité avait identifié des domaines clés et défini une stratégie de mise en œuvre progressive - à court, moyen et long terme - pour réaliser efficacement la modernisation de l'IAF. Le comité, formé en janvier, a été chargé d'évaluer les pénuries pressantes de l'IAF en matière d'avions de combat, de systèmes d'armes et d'autres équipements essentiels. Il a également été chargé de recommander des solutions, notamment l'accélération de la production locale et l'invitation sélective à des collaborations étrangères pour combler les lacunes en matière de capacités. Alors que Rajnath Singh a ordonné que les recommandations soient mises en œuvre dans des délais précis, le rapport souligne l'importance de renforcer l'aatmanirbharta (l'autonomie) dans le secteur aérospatial. Le ministère de la défense a déclaré dans un communiqué que le rapport souligne que l'industrie privée doit jouer un rôle plus important pour compléter les efforts des DPSU et de la DRDO, afin de garantir un écosystème plus robuste et autonome pour la capacité de combat aérien de l'Inde. Compte tenu de la perception croissante des menaces et de la nécessité d'une supériorité technologique, l'effort de modernisation de l'IAF devrait façonner de manière significative les futures capacités de combat aérien de l'Inde. Toutefois, la question de savoir si cette feuille de route intégrera des plateformes de nouvelle génération telles que le F-35 reste ouverte. Après avoir rencontré le Premier ministre Narendra Modi le mois dernier, M. Trump a offert à l'Inde le F-35, un avion de combat furtif qui était jusqu'à présent réservé aux alliés de l'OTAN, à Israël et au Japon. Cette déclaration a immédiatement suscité des spéculations sur l'éventuelle entrée de l'Inde dans le club exclusif des F-35. Le F-35 est l'un des avions de combat les plus avancés au monde, connu pour sa furtivité, la fusion de ses capteurs, ses capacités de guerre en réseau et son avionique de pointe. Des sources militaires suggèrent que l'Inde pourrait envisager d'acquérir deux escadrons de F-35 en tant que « mesure palliative » jusqu'à ce que le programme d'avion de combat moyen avancé (AMCA) commence à produire ses effets. Cependant, la plus grande inquiétude concernant le F-35 n'est pas seulement son prix, mais aussi les coûts de maintenance exorbitants et les complexités opérationnelles. Les observateurs pensent que l'offre de F-35 de Trump fait partie de sa « diplomatie perturbatrice » visant à empêcher l'Inde d'envisager l'avion furtif russe Su 57, tout en forçant l'armée indienne à repenser son concours d'avions de combat multirôles (MRFA), dans lequel les États-Unis sont en concurrence avec des avions de combat européens et russes. De plus, l'offre est arrivée à un moment où l'Inde développe son propre avion de combat furtif AMCA et où ses développeurs font pression pour faire appel à un acteur privé plutôt qu'à l'entreprise publique Hindustan Aeronautics Limited (HAL). Le Dr Krishna Rajendran, directeur du projet AMCA, a déclaré à INDIA TODAY lors du récent salon Aero India 2025 que la phase de développement technique à grande échelle de l'AMCA avait débuté en avril de l'année dernière après l'approbation du Comité du Cabinet sur la sécurité (CCS) du gouvernement central. Une feuille de route de 10 ans a été établie pour le déploiement de cinq prototypes destinés à des essais en vol rigoureux. « Si tout se passe comme prévu, le premier prototype sera prêt en 2028, suivi de son premier vol peu après », a déclaré M. Rajendran. Le secrétaire à la défense, M. Singh, dirige actuellement un groupe d'experts chargé d'examiner les moyens d'accélérer la mise au point de l'AMCA de cinquième génération. Ces développements interviennent alors que le chef de l'IAF, le maréchal en chef de l'air A.P. Singh, a déclaré que l'armée de l'air était « très mal lotie en termes d'effectifs ». Il a souligné que l'IAF devait acquérir 40 avions de combat chaque année pour rester prête au combat, ajoutant que la participation de l'industrie privée pourrait augmenter le taux de production d'avions pour répondre aux besoins croissants de l'IAF. L'IAF est depuis longtemps confrontée à une pénurie anticipée d'avions de combat, un défi identifié dès 2001. À l'époque, une proposition portant sur 126 nouveaux avions avait été lancée, l'IAF manifestant une forte préférence pour des Mirage-2000 supplémentaires mis aux normes modernes. Un plan de fabrication nationale de ces appareils offrait un immense potentiel de renforcement des capacités de combat de l'IAF et de l'industrie aérospatiale du pays. Cependant, la fenêtre d'opportunité s'est refermée lorsque la France a cessé de produire des Mirage-2000 en 2006, proposant par la suite le Rafale pour les remplacer. Puis vint la compétition MMRCA (Medium Multi-Role Combat Aircraft), lancée en 2008, qui s'est achevée en 2012 avec le Rafale qui s'est imposé parmi six concurrents. Cependant, des complexités dans les négociations « Make in India » entre Dassault Aviation et HAL ont conduit à un goulot d'étranglement. Le programme a finalement été interrompu. Finalement, un accord de gouvernement à gouvernement (G2G) a été signé pour seulement 36 Rafales, bien en deçà des besoins initiaux. Ces acquisitions sur étagère ont été les seules introductions d'avions de combat étrangers depuis l'entrée en service du Sukhoi Su-30MKI au début des années 2000. En revanche, la Chine a non seulement dépassé l'Inde en matière de développement de la puissance aérienne, mais elle exporte désormais des avions de pointe à des alliés tels que le Pakistan. Le Chengdu J-20 de Pékin et les modèles émergents, tels que le J-36, soulignent son intention stratégique de dominer l'espace aérien de la région. L'acquisition du J-35 par le Pakistan est un signal d'alarme sur l'évolution de l'équilibre des forces en Asie du Sud. En 2001, l'Inde avait un avantage de 3:1 sur le Pakistan en termes de nombre d'avions de combat. Aujourd'hui, cet avantage est proche de 1,6:1. La Chine a un avantage de 3:1 sur l'IAF en termes de nombre d'avions. Et aujourd'hui, vu la façon dont le Bangladesh se retourne contre l'Inde, certains experts considèrent même Dacca comme le troisième front. Pour contrer le scénario potentiel des « trois fronts », l'IAF aurait besoin de rien de moins que 50 escadrons de chasse. Reconnaissant que l'Inde est en retard sur la Chine en matière de technologie et de capacité de production et qu'il y a un rattrapage urgent à faire, le maréchal-chef Singh a soulevé un point critique en déclarant : « Nous sommes à la traîne : « Nous sommes à la traîne. Il y a quelque temps, nous étions meilleurs qu'eux sur le plan technologique. Mais nous avons pris du retard dans ce domaine et nous devons le rattraper ». Modifié jeudi à 14:23 par Picdelamirand-oil 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) jeudi à 15:27 Share Posté(e) jeudi à 15:27 1 hour ago, herciv said: Le MRFA a été recommandé par le comité et le gouvernement l'a accepté. Je sais c'est idrw. Il n'empèche la déclaration est officiel. https://idrw.org/iaf-requirement-for-more-multirole-fighter-aircraft-accepted-by-defence-ministry-committee-sources/ sinon https://www.indiatoday.in/india-today-insight/story/how-indian-air-force-aims-to-give-its-bold-modernisation-a-flying-start-2689442-2025-03-05 Le MRFA est donc de nouveau le cadre d'acquisition des chasseurs moyens de L'IAF. En tout cas Dassault s'attend a une très grosse commande indienne Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) jeudi à 16:23 Share Posté(e) jeudi à 16:23 Il y a 2 heures, Picdelamirand-oil a dit : Comment l'armée de l'air indienne entend donner un coup d'accélérateur à son audacieuse modernisation Résumé, STP ou caractères gras de l'essentiel du message Merci ! 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) jeudi à 17:10 C’est un message populaire. Share Posté(e) jeudi à 17:10 il y a 44 minutes, Bechar06 a dit : Résumé, STP ou caractères gras de l'essentiel du message Merci ! Je te prie de ne plus m'envoyer des messages de ce genre: je fais ce que je veux , quand je veux et je ne vais pas obéir à des demandes complètement idiotes pour satisfaire les fainéants. 3 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
fraisedesbois Posté(e) jeudi à 18:15 Share Posté(e) jeudi à 18:15 05 mars 2025 https://www.usinenouvelle.com/article/dassault-anticipe-de-passer-de-3-a-4-rafale-livres-par-mois-voire-5-s-il-le-fallait.N2228457 Dassault anticipe de passer de trois à quatre Rafale livrés par mois, voire cinq «s’il le fallait» Citation Avec 220 avions Rafale en commande, Dassault Aviation cherche à augmenter ses cadences de production. L’avionneur est en train de passer de deux à trois appareils livrés par mois mais anticipe un rythme supérieur, à quatre voire cinq livraisons mensuelles en cas de nouvelles commandes. Un défi industriel, alors que les tensions au sein de la chaîne de fournisseurs subsistent. Face au succès du Rafale, Dassault Aviation va devoir encore accélérer son rythme de production. C’est ce qu’a affirmé son PDG Eric Trappier à l’occasion de la présentation des résultats annuels de l’avionneur, mercredi 5 mars. «Le passage à la cadence de trois avions livrés par mois est en cours, détaille le dirigeant. Nous anticipons le passage à la cadence quatre et, s’il le fallait, nous envisagerions le passage à la cadence cinq, sous réserve d’avoir des commandes.» Il faut dire que le groupe ploie littéralement sous les contrats pour son avion de combat et que d’autres pourraient prochainement être signés. Avec 30 Rafale commandés à l’export l’an dernier (12 par la Serbie et 18 par l’Indonésie), les prises de commandes militaires de Dassault Aviation se sont élevées à 8,3 milliards d’euros, contre 6,5 milliards d’euros l’an dernier. Le carnet de commandes de Dassault totalise ainsi 220 avions de combats, dont 164 à l’export et 56 pour la France. C’est 9 exemplaires de plus qu’en 2023. Il atteint en 2024 une valeur de 43,2 milliards d’euros, contre 38,5 milliards d’euros en 2023. Un chiffre qui comprend par ailleurs les 31 Falcon commandés l’an dernier. Un niveau «historique», glisse Eric Trappier. Le chiffre d’affaires du groupe a fait un bond de 30%, pour s’établir à 6,2 milliards d’euros. Encore beaucoup de difficultés chez les fournisseurs Face à cette montagne de commandes à honorer, Dassault Aviation mets les gaz. Après avoir livré 13 Rafale en 2023, l’avionneur a assuré 21 livraisons en 2024et en vise 25 cette année. «Nous sommes déjà passé à la cadence de trois avions livrés par mois en amont de notre chaîne de production, au niveau de certains de nos sous-traitants et de quelques-unes de nos usines», a précisé Eric Trappier. Dassault Aviation pourrait encore accélérer le rythme, à la faveur d’une possible commande de l’armée de l’air française pour 30 Rafale et d’un certain nombre de prospections en cours. «Nous sommes encore capables d’augmenter nos cadences, même si certains disent que nous n’y arriverons pas, lance-t-il. C’est mal nous connaître.» Reste que Dassault Aviation fait encore face, comme tous les donneurs d’ordre du secteur aéronautique, à des tensions et des retards de livraisons au sein de la chaîne de fournisseurs depuis l’après-covid. «Beaucoup de sous-traitants ont encore des difficultés et perturbent nos chaînes d’approvisionnement et nos lignes de production», admet Eric Trappier. Pour monter en puissance, l’avionneur compte profiter de la transformation en cours de son outil industriel, à l’image de nouveau site de Cergy Pontoise (Val d’Oise) désormais opérationnel. «On construira s’il le faut des hangars supplémentaires et on embauchera des compagnons supplémentaires, assène le dirigeant. Mais il faudra un certain temps. Pour gagner un point de cadences, il faut deux ans. Or dans la situation actuelle, c’est difficile.» L'Inde en appui Pour assurer cette monté en charge, Dassault Aviation pourrait également faire jouer une autre carte, internationale cette fois-ci. «L’Inde prépare des commandes importantes et nous pourrions ouvrir alors très certainement une chaîne d’assemblage final dans ce pays pour être capable d’absorber cette nouvelle charge», explique Eric Trappier. Pour rappel, l’Inde a déjà commandé 36 Rafale en 2016 et s’apprête à passer commandes pour 26 Rafale Marine, un contrat qui devrait se concrétiser «rapidement», selon le patron de Dassault Aviation. Dans le cadre de la politique du «Make in India» et pour des raisons de compétitivité, l’avionneur tricolore s’efforce d’étendre ses activités en Inde depuis le milieu des années 2010. Si Dassault Aviation compte accélérer le rythme pour soutenir ses activités de défense, il espère aussi suivre la même trajectoire pour sa famille de jets d’affaires, les Falcon. En 2024, l’avionneur a engrangé 26 commandes de Falcon, contre 23 l’année précédente. En raison de difficultés dans sa chaîne de production, l’industriel n’est parvenu à livrer que 31 Falcon l’an dernier, contre 26 en 2023, mais en deçà d’un objectif de 35 exemplaires. En 2025, l’avionneur table sur 40 livraisons de Falcon, fort d’un carnet de commandes comprenant 79 appareils. En outre, le groupe mise sur un rebond commercial de ses jets d’affaires, à la faveur de l’entrée en service du Falcon 6X entré en service début 2024 et du Falcon 10X dont les premières livraisons sont prévues pour fin 2027. Toutefois, le patron de Dassault n’a pas caché son inquiétude vis-à-vis des droits de douane décidés par la nouvelle administration américaine, les Etats-Unisreprésentant à lui-seul un tiers des ventes de Falcon. «Si d’un seul coup sont décidés des droits de douane de 25% sur les avions à destination des Etats-Unis, cela créerait des difficultés, confie Eric Trappier. Cela en créerait d’autant plus si l’Europe mettait en œuvre des contre-mesures, ce qui serait logique. Nous devrons alors augmenter les prix pour être capables d’absorber ces taxes. Nous observons avec attention cette difficulté.» Sans se priver, au passage, de fustiger la taxonomie européenne, pénalisant l'aviation d'affaires./FIN Ce qui donne, chez Army Recognition: 06.03.25 La France pourrait ouvrir une nouvelle ligne d'assemblage d'avions de combat Rafale en Inde pour honorer des contrats de grande envergure. [trad] Comme le rapporte L'Usine Nouvelle du 5 mars 2025, la société française Dassault Aviation évalue la possibilité d'établir une ligne d'assemblage final pour l'avion de combat Rafale en Inde pour gérer les demandes de production accrues suite aux commandes importantes prévues. Le PDG Éric Trappier a déclaré : « L'Inde prépare des commandes importantes, et nous pourrions certainement ouvrir une ligne d'assemblage final dans ce pays pour pouvoir absorber cette nouvelle charge de travail. » L'entreprise travaille déjà à augmenter sa capacité de production, avec des efforts continus pour accélérer les livraisons mensuelles de Rafale tout en gérant les contraintes de la chaîne d'approvisionnement. Dassault est en train d’augmenter sa cadence de production de Rafale, notamment dans le contexte de l’achat prévu par l’Inde de Rafale-M supplémentaires embarqués sur porte-avions. L’entreprise est passée de deux à trois appareils par mois et vise quatre, avec un potentiel de cinq en fonction des commandes futures. En 2023, 13 Rafale ont été livrés, passant à 21 en 2024, avec un objectif de 25 pour 2025. Le carnet de commandes de Dassault comprend 230 Rafale, dont 164 pour les clients export et 56 pour l’armée de l’air et de l’espace française. En 2024, l’entreprise a remporté 8,3 milliards d’euros de contrats militaires, contre 6,5 milliards d’euros en 2023. Ces contrats comprennent des commandes de 12 avions de la Serbie et de 18 de l’Indonésie. Le carnet de commandes total d'avions militaires Dassault, dont les Rafale et les Falcon, a atteint 43,2 milliards d'euros, contre 38,5 milliards d'euros en 2023. Malgré les efforts déployés pour augmenter la production, Dassault est confronté à des limitations de la chaîne d'approvisionnement, certains sous-traitants subissant des retards suite à la pandémie. L'entreprise a ouvert une nouvelle usine à Cergy-Pontoise pour soutenir une production plus élevée et envisage une extension supplémentaire des infrastructures. Le PDG Éric Trappier a déclaré que l'augmentation des cadences de production nécessite environ deux ans pour chaque étape supplémentaire. Dassault surveille également les changements potentiels de la politique commerciale américaine, car un tarif de 25 % proposé sur les importations d'avions pourrait avoir un impact sur les ventes d'avions d'affaires Falcon. Les États-Unis représentent un tiers des livraisons de Falcon, et des ajustements de prix pourraient être nécessaires si des tarifs sont mis en œuvre. L’Inde a reçu 36 Rafale dans le cadre d’un contrat de 2016, dont les livraisons seront achevées d’ici 2022. L’armée de l’air indienne envisage de nouvelles commandes, tandis que la marine indienne finalise l’acquisition de 26 avions Rafale Marine destinés aux opérations du porte-avions INS Vikrant. La mise en place potentielle d’une chaîne d’assemblage final indienne serait cohérente avec la politique « Make in India » du pays, qui vise à développer la fabrication nationale de matériel de défense et à réduire la dépendance vis-à-vis des fournisseurs étrangers. Dassault a accru son implication industrielle en Inde depuis le milieu des années 2010, en mettant en place des partenariats de production et des infrastructures de maintenance pour soutenir la flotte de Rafale. En plus de l’achat d’avions supplémentaires, l’Inde intègre le missile Astra Mk1 à sa flotte de Rafale. L’armée de l’air indienne a démontré la capacité du Rafale à intercepter des cibles à haute altitude, notamment des ballons de reconnaissance simulés à 16,7 km d’altitude. Ces développements s’inscrivent dans le cadre d’efforts plus larges visant à améliorer les capacités opérationnelles de l’avion dans le cadre de la stratégie de défense de l’Inde. Le Rafale est un avion de combat multirôle bimoteur à aile delta canard développé par Dassault Aviation. Il est conçu pour des missions de supériorité aérienne, de frappe en profondeur, de reconnaissance et de dissuasion nucléaire. L'avion est équipé du radar AESA RBE2 de Thales, de la suite de guerre électronique SPECTRA et d'une gamme de munitions guidées, dont des missiles air-air Meteor et MICA, des missiles de croisière SCALP et des missiles anti-navires Exocet. Propulsé par deux turboréacteurs Snecma M88, le Rafale a une vitesse maximale de Mach 1,8, une autonomie de combat de 1 850 km et la capacité de maintenir une supercroisière à Mach 1,4. Le Rafale M, la variante embarquée sur porte-avions, dispose d'une cellule renforcée, d'un train d'atterrissage renforcé et d'un crochet d'arrêt pour les appontages sur porte-avions. Il est conçu pour le décollage assisté par catapulte et les appontages arrêtés sur porte-avions. L’appareil est destiné à remplacer la flotte de MiG-29K de la marine indienne et sera utilisé sur l’INS Vikrant, le premier porte-avions construit en Inde. Le déploiement du Rafale M s’inscrit dans le cadre de la stratégie aéronavale indienne, qui vise à renforcer les capacités de sa flotte de chasseurs embarqués. [/trad] 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) jeudi à 22:59 Share Posté(e) jeudi à 22:59 Une Analyse indienne: 1) GE est confronté à des retards concernant les turbopropulseurs F404-IN20. On ne sait pas encore s'il s'agit d'un retard réel (c'est-à-dire d'un retard dans les composants en provenance de Corée du Sud) ou d'une action délibérée du gouvernement américain. Le programme Mk1A est donc bloqué dans les limbes. On promet de livrer des avions à un rythme de production plus élevé, mais cela ne sert à rien en l'absence d'un moteur. 2) Le contrat d'assemblage des turbos F414-INS6 est également bloqué. On ne sait pas non plus si l'Inde demande la lune et si GE ne bouge pas sur certaines exigences. Cela accroît l'ambiguïté du programme Mk2, car bien que quelques turbos F414-INS6 soient actuellement en Inde... cela ne suffit pas pour commencer la production une fois le développement achevé. En outre, des composants essentiels de ces turbos arrivent en Inde directement des États-Unis. Ainsi, même si l'accord est rompu demain, l'Inde reste tributaire des États-Unis pour faire voler l'avion (au sens propre comme au sens figuré). 3) Le rapport de l'IAF qui vient d'être publié confirme plus ou moins que la demande d'un MRFA est une nécessité pour le QG de l'armée de l'air. Et c'est un secret de polichinelle que le QG de l'armée de l'air veut le Rafale. Rien d'autre n'est considéré comme viable pour le QG aérien, en particulier les avions américains en raison des points 1 et 2 ci-dessus. 4) Faire traîner le MRFA pendant encore 5 à 10 ans (RFI, RFP, évaluation de la plate-forme, sélection L1, négociations contractuelles, etc) n'est pas non plus envisageable pour l'état-major de l'armée de l'air, étant donné que les avions sont retirés du service bien plus rapidement que les nouvelles introductions. Cela ouvre également la porte à des pressions géopolitiques de la part des États-Unis. 5) Il faut donc s'attendre à ce qu'un contrat portant sur la chaîne de production du Rafale soit signé assez rapidement par le gouvernement indien. Un achat symbolique d'une plateforme de 5ème génération (soit le F-35, soit le Su-57) aura également lieu. Ces deux projets épuiseront les crédits pendant des décennies et sonneront le glas des programmes Tejas Mk2 et AMCA, car le raisonnement sera alors ---> pas d'argent. Le Mk2 et l'AMCA existeront, mais en quantités symboliques. Juste pour apaiser « Aatmanirbharata » dans la brochure annuelle du ministère de la défense. Comprenez également pourquoi la modernisation du Su-30 MKI prend tant de temps (7 ans) et en quantités symboliques (84 avions, contre une flotte de 272 appareils). Les crédits sont détournés/alloués aux nouveaux jouets. Aatmanirbharata (autosuffisance) est le slogan, mais Nirbharata (dépendance) est l'objectif final du gouvernement et des forces armées. 1 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MeisterDorf Posté(e) jeudi à 23:56 Share Posté(e) jeudi à 23:56 il y a 51 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Comprenez également pourquoi la modernisation du Su-30 MKI prend tant de temps (7 ans) et en quantités symboliques (84 avions, contre une flotte de 272 appareils). Les crédits sont détournés/alloués aux nouveaux jouets. Avis perso: vu l'âge des appareils les plus anciens, plus ils attendent pour se décider et concrétiser moins la modernisation envisagée se justifie... Sans même parler du combo "nombre d'avions traités" auquel on ajoute "l'attrition locale folklorique": autant dire que ça va finir en réduction rapide des effectifs si ils maintiennent le cap. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) vendredi à 11:02 Share Posté(e) vendredi à 11:02 Combien d'années de perdues à attendre qu'ils réalisent leur situation... On va très bientôt avoir d'autres chats à fouetter. J'ai le sentiment qu'ils prennent la France pour acquise mais c'est loin d'être le cas dans un monde qui a beaucoup changé et avec une Inde qui est clairement plus alignée sur la russie que sur l'Europe... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) vendredi à 11:26 Share Posté(e) vendredi à 11:26 il y a 12 minutes, Patrick a dit : Combien d'années de perdues à attendre qu'ils réalisent leur situation... On va très bientôt avoir d'autres chats à fouetter. J'ai le sentiment qu'ils prennent la France pour acquise mais c'est loin d'être le cas dans un monde qui a beaucoup changé et avec une Inde qui est clairement plus alignée sur la russie que sur l'Europe... J'ai plutôt le sentiment qu'ils ont compris que les avions occidentaux étaient technologiquement plus avancés que les Russes. En contrepartie, ces derniers sont moins chers et probablement moins complexes à assembler que les notres. Mais face aux chinois ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) vendredi à 11:36 Share Posté(e) vendredi à 11:36 il y a 7 minutes, Alberas a dit : J'ai plutôt le sentiment qu'ils ont compris que les avions occidentaux étaient technologiquement plus avancés que les Russes. En contrepartie, ces derniers sont moins chers et probablement moins complexes à assembler que les notres. Mais face aux chinois ... On peut rajouter également que les difficultés importantes rencontrées par l'IAF pour la maintenance et la dispo de ses SU30MKI doit pas forcément les pousser à remettre le couvert... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MeisterDorf Posté(e) vendredi à 11:45 Share Posté(e) vendredi à 11:45 il y a 5 minutes, Ronfly a dit : On peut rajouter également que les difficultés importantes rencontrées par l'IAF pour la maintenance et la dispo de ses SU30MKI doit pas forcément les pousser à remettre le couvert... Et comme déjà indiqué auparavant, confie la maintenance des -MKI à quelqu'un d'autre que HAL et ça ira déjà beaucoup mieux en termes de disponibilité... La MCO des Flankers (et variantes) n'est pas pire (ou mieux) que celle d'autres avions. Sauf quand ce sont des bricolos qui s'en chargent. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mudrets Posté(e) vendredi à 11:50 Share Posté(e) vendredi à 11:50 il y a 2 minutes, MeisterDorf a dit : Sauf quand ce sont des bricolos qui s'en chargent. S'ils ont été formés par des anciens du GRU comme celui que j'au eu dans mon époque au Cambodge, ils ne sont pas sortis des ronces. Il était chargé de former les techniciens de Mengistu, et sa seule manière de former les éthiopiens était de leur flanquer une raclée carabinée quand ils s'étaient trompés... Et visiblement cela arrivait souvent 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MeisterDorf Posté(e) vendredi à 11:55 Share Posté(e) vendredi à 11:55 il y a 3 minutes, mudrets a dit : S'ils ont été formés par des anciens du GRU comme celui que j'au eu dans mon époque au Cambodge, ils ne sont pas sortis des ronces. Il était chargé de former les techniciens de Mengistu, et sa seule manière de former les éthiopiens était de leur flanquer une raclée carabinée quand ils s'étaient trompés... Et visiblement cela arrivait souvent Comme je l'entends (très) souvent au boulot: "you pay peanuts, you get monkeys"... Et chez HAL, ce sont des "peanuts" de grande taille Juste pour l'anecdote, ils ont crashé un -MKI qui sortait de révision après extinction moteurs. Les mecs ont retrouvé de la limaille de fer dans les réservoirs... 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benji10 Posté(e) vendredi à 12:06 Share Posté(e) vendredi à 12:06 https://x.com/IAF_MCC/status/1897978332836180111?s=19 Nouveau Crash Jaguar 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) il y a 8 heures Share Posté(e) il y a 8 heures (modifié) Oups... Je ne sais pas ce qui s'est passé : la citation et la réponse sont parties dans le mauvais fil. Je remets ce point qui n'a rien à voir avec l'Inde dans le fil USA. Modifié il y a 7 heures par FATac Erreur de fil 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant