Henri K. Posté(e) le 24 août 2021 Share Posté(e) le 24 août 2021 il y a 55 minutes, Chachnaq a dit : Dans ce cas quitte à utiliser le vaccin chinois qui est basé sur le virus lui même, non ? Les vaccins inactivés (ce que tu appelles par "basé sur le virus lui même") ne sont pas uniquement développés par les Chinois. Au 24 Août, au moins 16 des 112 vaccins en essais cliniques dans le monde sont de type inactivé : Henri K. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chachnaq Posté(e) le 24 août 2021 Share Posté(e) le 24 août 2021 il y a 4 minutes, Henri K. a dit : Les vaccins inactivés (ce que tu appelles par "basé sur le virus lui même") ne sont pas uniquement développés par les Chinois. Au 24 Août, au moins 16 des 112 vaccins en essais cliniques dans le monde sont de type inactivé : Henri K. Oui je sais qu’ils s’appellent vaccins inactivés si vous revenez à mon avant dernier post vous allez retrouver le terme j’ai utilisé le terme « basé sur le virus lui même » à un but bien précis Autrement, je suis au courant qu’il existe plusieurs vaccins « inactivés » « à la phase expérimentale » sauf que ses derniers n’ont pas reçus l’autorisation de l’OMS et n’ont pas été largement diffusés, vous savez très bien que plus de 1,7 milliards de personnes ont déjà reçu un vaccin chinois (la grande majorité de la population de chine en plus de quelque centaines de millions des populations des pays en voie de développement) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 24 août 2021 Share Posté(e) le 24 août 2021 il y a 1 minute, Chachnaq a dit : Oui je sais qu’ils s’appellent vaccins inactivés si vous revenez à mon avant dernier post vous allez retrouver le terme j’ai utilisé le terme « basé sur le virus lui même » à un but bien précis Autrement, je suis au courant qu’il existe plusieurs vaccins « inactivés » « à la phase expérimentale » sauf que ses derniers n’ont pas reçus l’autorisation de l’OMS et n’ont pas été largement diffusés, vous savez très bien que plus de 1,7 milliards de personnes ont déjà reçu un vaccin chinois (la grande majorité de la population de chine en plus de quelque centaines de millions des populations des pays en voie de développement) Plus de 1,9 milliards de dose, répartis sur 9 vaccins chinois de différents types, en Chine. Je n'ai pas compté pour les autres pays. Henri K. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 24 août 2021 Share Posté(e) le 24 août 2021 il y a 13 minutes, Chachnaq a dit : C’est le message que je voulais faire passer les autres fragments du SARS COV-2 ne sont pas très immunogènes probablement L’avantage avec les vaccins inactivés c’est la facilité de leur synthèse, le vaccin chinois semble avoir une efficacité réduite contre le variant Delta, mais il est facile de fabriquer un nouveau vaccin qui inclut le variant Delta cultivé sur cellules Vero et inactivé (peut être que les chinois sont entrain de le faire déjà en attendant d’évaluer la vraie efficacité de leurs produits actuels) C'est peut etre ça ou plus compliqué que ça (revoir l'adjuvant, le ratio de sous éléments dans le vaccin, la dose de composants immunogènes etc) Le problème des vaccins inactivés c'est le risque aussi de foirer l'inactivation. c'est pour cela que tout le monde a laissé tombé ça pour passer sur des vaccins entiers fragmentés Les vaccins ARNm libre sont encore plus facile a fabriquer puisque tu changes juste la matrice à lire (pas de culture à faire) mais le truc (comme pour changer le variant de ton cellule cultivé) c'est qu'il faut que tu ais des slots de production libre. Or ce n'est le cas pour personne actuellement et personne ne peut se permettre d'arrêter une ligne de production pour produire un anti variant 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chachnaq Posté(e) le 24 août 2021 Share Posté(e) le 24 août 2021 il y a 55 minutes, Eau tarie a dit : ça serait mieux d'avoir des morceaux des "nouveaux" variant. Sachant que les vaccins actuels sont basés sur la protéine S du vaccin "originel". A force de croiser des immunités sur plein de morceaux de virus, on se retrouve bien protegé. Comme la grippe qu'on ne choppe pas tous les ans loin de là même si ça mute à gogo. On a déjà choppé 2/3 ou 4 grippes, donc des proteines de grippes H1 / H7 etc. on a en "archivé" un paquet dans notre système immu. C’est vrai et ça sera peut-être le cas avec la vaccination contre le SARS COV-2 sauf que le virus de la grippe mute très rapidement (phénomènes de cassures et glissement) avec une mutation majeure tous les 30 ans environ Du coup on doit se faire vacciner tous les ans et le vaccin inclus la souche mutante de l’an passé qui sera la plus répondue Pour le SARS COV-2 on a pas tout cerner et les scientifiques apprennent toujours Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Henri K. Posté(e) le 24 août 2021 Share Posté(e) le 24 août 2021 @Akhilleus Quelle est la définition du mot "immunobridging" dans le développement d'un vaccin ? Mes recherches n'ont pas été très convaincantes. Henri K. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 24 août 2021 Share Posté(e) le 24 août 2021 il y a 15 minutes, Henri K. a dit : @Akhilleus Quelle est la définition du mot "immunobridging" dans le développement d'un vaccin ? Mes recherches n'ont pas été très convaincantes. Henri K. Je crois que c'est une extrapolation des données obtenues a partir d'une population traitée/vaccinée vers une population non encore vaccinée. En gros tant qu'il n'y a pas un effet complicatif (comme par exemple une ethnie avec une base genetique modifiant la reponse au vaccin) les resultats en terme de protection, degré de reponse immunitaire etc obtenus disons dans la zone ouest d'un pays sont censées etre les memes dans la zone est 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 24 août 2021 Share Posté(e) le 24 août 2021 Il y a 7 heures, Delbareth a dit : Oui j'ai dit gaussienne pour simplifier. Je suis physicien, alors nous, la rigueur mathématique..... Toutes les fonctions sont indéfiniment continues et dérivables, comme chacun sait Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 24 août 2021 Share Posté(e) le 24 août 2021 Via The Hill, une enquête du CDC US centrée sur la Califormie, sur les différences de contamination ou de forme grave en fonction de la vaccination. J'en retiens : que les non-vaccinés ont 29 fois plus de chance de développer une forme grave que les vaccinés que ça ne change pas avec le variant Delta Par ailleurs, j'ai vu signaler une enquête franco-US sur d'éventuels déterminants génétiques qui expliqueraient les grandes différences de sensibilité à ce virus. Ca a l'air de progresser. Qu'en faire, derrière ? Mystère... 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 25 août 2021 Share Posté(e) le 25 août 2021 (modifié) Israel : https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-pays-plus-vaccines-presente-aujourdhui-pires-taux-infection-monde-93122/ (23 août 2021) Aujourd'hui, l'euphorie a laissé place à l'inquiétude. Sur les deux dernières semaines, le pays enregistre 10.402 nouveaux cas pour 100.000 habitants, soit le quatrième taux d’infection le plus élevé au monde derrière la Georgie, la Dominique et Cuba, des petits pays où la vaccination est bien moins avancée. Cela représente une flambée de 600 % par rapport à juillet. Encore plus inquiétant : le nombre de décès connaît également une courbe exponentielle, avec 23 décès enregistrés au 22 août, contre zéro au mois de juillet. Du jamais-vu depuis février. Des restrictions et des jauges ont été rétablies la semaine dernière, et le gouvernement envisage désormais un nouveau confinement. Il faut dire qu'après avoir connu un début en fanfare, la campagne de vaccination s'est largement essoufflée. Le taux de vaccination culmine à 62,9 % (personnes ayant reçu les deux doses), à peine plus que la France (54,4 %) et bien en dessous du seuil de l'immunité collective, estimé à 80 % ou 90 % de la population. Mais cela n'explique pas tout. En effet, plus de la moitié (59 %) des personnes hospitalisées en soins critiques sont des personnes totalement vaccinées. Ici comme ailleurs, le variant Delta a complètement rebattu les cartes. « La leçon que l'on peut tirer d'Israël c'est que les vaccins fonctionnent, mais pas si bien que ça », résume Uri Shalit, bioinformaticien à l'Institut israélien de technologie (Technion). Une autre étude de l'université d'Oxford indique que l’efficacité du vaccin Pfizer décline plus vite que celle d’AstraZeneca pour le variant Delta, avec une chute de 12 points en trois mois. Une autre étude avance une efficacité d'à peine 42 % du vaccin Pfizer-BioNTech avec ce variant, contre 76 % pour le vaccin Moderna. La totalité des Israéliens ont justement été vaccinés avec le vaccin Pfizer. https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/vaccin-anti-covid-vaccin-moderna-serait-deux-fois-plus-efficace-pfizer-variant-delta-93007/ (21 août 2021) L'efficacité des vaccins contre le variant Delta semble bien s'effilocher au fur et à mesure des études. Le 4 août dernier, une étude britannique avait déjà revu à la baisse l'efficacité du vaccin contre les infections à tout juste 50 %, tous vaccins confondus. Une nouvelle étude, prépubliée sur le site MedRxiv (et donc encore non relue par un comité scientifique), calcule désormais une efficacité d'à peine 42 % du vaccin Pfizer-BioNTech contre une infection au variant Delta, contre 76 % pour le variant Alpha. Le vaccin Moderna semble, lui, moins sensible aux mutations du virus, puisque son efficacité est réduite à « seulement » 76 % contre le variant Delta, et 86 % contre le variant Alpha. L'étude a été menée sur 180.000 personnes vaccinées dans le Minnesota (États-Unis) entre janvier et juillet 2021, dans une période de temps où la souche dominante est passée du variant Alpha au variant Delta, ce qui a permis une comparaison entre les deux. https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2021/08/20/covid-19-en-islande-la-hausse-du-nombre-de-cas-ne-prouve-pas-l-echec-de-la-vaccination_6091937_4355770.html Selon une étude américaine récente sur l’efficacité des vaccins à ARN messager contre le variant Delta, le vaccin de Pfizer ne réduit que de 42 % la contamination, celui de Moderna de 76 %. En revanche, les protections contre les formes graves restent importantes : le vaccin de Pfizer offrant une protection de 75 % contre l’hospitalisation et de 81 % pour celui de Moderna. Modifié le 25 août 2021 par Wallaby 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 25 août 2021 Share Posté(e) le 25 août 2021 Il y a 7 heures, Boule75 a dit : Via The Hill, une enquête du CDC US centrée sur la Califormie, sur les différences de contamination ou de forme grave en fonction de la vaccination. J'en retiens : que les non-vaccinés ont 29 fois plus de chance de développer une forme grave que les vaccinés que ça ne change pas avec le variant Delta Par ailleurs, j'ai vu signaler une enquête franco-US sur d'éventuels déterminants génétiques qui expliqueraient les grandes différences de sensibilité à ce virus. Ca a l'air de progresser. Qu'en faire, derrière ? Mystère... Déjà vu ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mayamac Posté(e) le 25 août 2021 Share Posté(e) le 25 août 2021 excellent film 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 25 août 2021 Share Posté(e) le 25 août 2021 il y a 17 minutes, FATac a dit : Déjà vu ? Oh oui ! Mais pour en revenir au coronavirus, j'imagine deux axes selon lesquels l'identification de facteurs génétiques pourraient être utilisée, outre un éventuel tri des individus qui nous ramènerait au film : prévention et traitement différencié thérapie génique Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chronos Posté(e) le 25 août 2021 Share Posté(e) le 25 août 2021 Il y a 8 heures, FATac a dit : Déjà vu ? En soi, c'est ce que le virus fait sans notre assistance . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. FATac Posté(e) le 25 août 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 25 août 2021 à l’instant, Chronos a dit : En soi, c'est ce que le virus fait sans notre assistance . Tsss ... la différence entre sélection naturelle et eugénisme, c'est justement le côté "naturel". L'eugénisme, c'est antinaturel, c'est de l'interventionnisme, un truc de control-freaks à visées totalitaires. Du fascisme génétique ... Alors que la sélection naturelle, ça, c'est libéral, c'est la régulation par le marché, la garantie d'émergence de nouveaux acteurs plus forts par le jeu de la concurrence ... Bon, après cette minute de pur trolling au 15e degré, je repars me cacher ... 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. christophe 38 Posté(e) le 25 août 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 25 août 2021 Le 24/08/2021 à 18:35, Akhilleus a dit : En l'état ca veut dire 2 choses Qu'ils considèrent que l'immunité chute en deça d'un seuil critique à 6 mois lorsqu'obtenue par vaccination mais pas naturellement Ce qui n'est pas illogique; le vaccin ne permettant de produite des anticorps que contre une cible bien spécifique (la protéine S) qui est en plus variable d'un variant à un autre Alors qu'une infection naturelle fait produire des anticorps dirigés contre plusieurs cibles (protéine S, enveloppe, capside....) bonsoir (dans mon ile, il fait nuit) je suis aussi plongeur ; lu sur un forum de plongée, d'un médecin, plongeur, qui est aux Antilles :" "Voici une opinion dans la presse américaine, celle d'un médecin qui fait du Covid depuis 1 an et demi. C'est à l'américaine, un peu forcé, mais c'est plutôt bien amené et ça décrit très bien l'état d'esprit dans lequel les soignants du Covid, les vrais (pas ceux qui jouent sur les croyances pour soigner leur popularité), se trouvent.C'est ce dont ne se rende pas compte tous les "anti" de tout poil. Ils fatiguent tout le monde et finissent par épuiser les réserves psychologiques de leurs soignants. Peu à peu, on ne leur accorde plus la même attention. En gros ils se mettent tout seuls hors-jeu. » https://www.latimes.com/opinion/story/2021-08-17/vaccinated-covid-doctor-shot (en anglais) Traduction automatique par Google, arrangée à la marge par mes soins "Editorial : En tant que médecin dans une unité COVID, je suis à court de compassion pour les non vaccinés. Tenez le coup. Mon patient était assis au bord de son lit à bout de souffle pendant qu'il essayait de me raconter son histoire, s'arrêtant pour reprendre son souffle après chaque mot. Les tubes en plastique délivrant de l'oxygène par le nez semblaient à peine suffisants pour empêcher sa poitrine de se soulever. Il avait l'air épuisé. Il avait été testé positif au coronavirus il y a 10 jours. Il avait moins de 50 ans, légèrement hypertendu mais par ailleurs en bonne santé. Huit jours plus tôt, il avait commencé à tousser et à ressentir une grande fatigue. Son médecin l'a mis sous antibiotiques. Cela n'a pas fonctionné. Craignant que ses symptômes ne s'aggravent, il a commencé à prendre de l'hydroxychloroquine qu'il avait trouvée sur Internet. Cela n'a pas fonctionné. Il souffrait maintenant d'essoufflement alors qu'il effectuait des activités quotidiennes de routine telles que marcher de sa chambre à la salle de bain ou mettre ses chaussures. Il était une coquille vide. Il s'est finalement rendu dans un établissement où il pourrait recevoir des anticorps monoclonaux, une préparation produite en laboratoire qui se substitue aux propres anticorps du corps. Cela n'a pas fonctionné. Il s'est finalement retrouvé aux urgences avec une saturation en oxygène dangereusement basse, des marqueurs inflammatoires extrêmement élevés et des zones d'infections pulmonaires disséminées sur tous les poumons. Rien n'avait aidé. Il empirait. Il ne pouvait pas respirer. Sa femme et ses deux jeunes enfants étaient à la maison, tous infectés par le virus. Lui et sa femme avaient décidé de ne pas se faire vacciner. L'année dernière, une affaire comme celle-ci m'aurait mise à plat. J'aurais lutté avec tristesse considérant à quel point la vie était injuste. Bataillant face à l'angoisse de sa malchance. Cette année, j'ai du mal à trouver de la sympathie. C'était en août 2021, pas en 2020. Le vaccin était largement disponible depuis des mois aux États-Unis, gratuit pour tous ceux qui le voulaient, même offert dans les pharmacies et les supermarchés. Des vaccins de pointe, révolutionnaires, époustouflants et salvateurs étaient disponibles là où les gens faisaient leurs courses, et ils n'en voulaient toujours pas. Devant la porte de sa chambre, j'ai respiré profondément – réprimant ma colère et ma frustration – et je suis entré. J'avais travaillé dans les unités COVID-19 pendant 17 mois consécutifs, toute la journée, tous les jours. J'avais soigné des centaines de patients COVID. Nous avons tous été sans pouvoir prendre de pauses assez longues pour nous aider à nous remettre de cette épreuve sans fin. La fatigue de la compassion s'installait. Pour ceux d'entre nous qui n'étaient pas partis après l'année la plus difficile de notre vie professionnelle, même l'espoir manquait désormais. Forçant ma voix à travers mon masque N95 et le bruit du filtre HEPA, je me suis présenté. Je lui ai demandé calmement pourquoi il avait décidé de ne pas se faire vacciner. « Eh bien, je ne suis pas un anti-vax ou quoi que ce soit. J'attendais juste que la FDA [équivalent de l'ANSM en France] approuve d'abord le vaccin. Je ne voulais rien faire d'expérimental. Je ne voulais pas être le cobaye du gouvernement et je ne crois pas que ce soit sûr », a-t-il déclaré. "Eh bien," dis-je, "je peux à peu près garantir que nous ne nous serions jamais rencontrés si vous aviez été vacciné, car vous n'auriez jamais été hospitalisé. Toutes nos unités COVID sont pleines et chaque patient y est non vacciné. Les chiffres ne mentent pas. Les vaccins fonctionnent." C'était une excuse courante que les gens donnaient pour ne pas se faire vacciner, craignant le vaccin parce que la Food and Drug Administration ne lui avait accordé jusqu'à présent qu'une autorisation d'utilisation d'urgence, pas une approbation permanente. Pourtant, les traitements vers lesquels il s'était tourné – antibiotiques, anticorps monoclonaux et hydroxychloroquine – étaient considérés comme expérimentaux, avec des preuves mitigées pour soutenir leur utilisation. La seule bouée de sauvetage éprouvée que nous ayons eue dans cette pandémie est un vaccin dont beaucoup de gens ne veulent pas. Un vaccin que nous donnons à d'autres pays parce que l'offre dépasse la demande aux États-Unis. Un vaccin que les gens d'autres pays font la queue pendant des heures pour le recevoir, s'ils peuvent l'obtenir. "Eh bien," dis-je, "je vais vous traiter avec du remdesivir, qui n'a reçu que récemment l'approbation de la FDA." J'ai expliqué qu'il avait été soumis à un EUA [autorisation temporaire exceptionnelle] pendant la majeure partie de l'année dernière et n'avait pas été étudié ou administré aussi largement que les vaccins COVID-19. Que plus de 353 millions de doses de vaccin COVID-19 avaient été administrées aux États-Unis avec plus de 4,7 milliards de doses dans le monde sans aucun effet secondaire écrasant et catastrophique. « Pas autant de doses de remdesivir ont été administrées ou étudiées chez l'homme et ses effets secondaires à long terme sont encore inconnus », ai-je dit. « Voulez-vous toujours que je vous le donne ? » "Oui", a-t-il répondu, "Tout ce qu'il faut pour me sauver la vie." Cela n'a pas fonctionné. Mon patient est décédé neuf jours plus tard d'un accident vasculaire cérébral. Nous, l'équipe soignante, avons concilié cette perte en nous disant : Il a fait un choix personnel de ne pas se faire vacciner, de ne pas se protéger ou protéger sa famille. Nous avons fait tout ce que nous pouvions avec ce que nous avions pour le sauver. Cette année, cette tragédie, cette perte inutile et entièrement évitable, était de son fait. Le fardeau de cette pandémie repose désormais sur les épaules des non vaccinés. Sur ceux qui sont éligibles pour se faire vacciner mais choisissent de ne pas le faire, une décision qu'ils défendent en déclarant : "La vaccination est un choix profondément personnel." Mais peut-être jamais dans l'histoire le choix personnel de quelqu'un n'a-t-il affecté le monde dans son ensemble comme il le fait actuellement. Lorsque des centaines et des milliers de personnes continuent de mourir - lorsque les membres les plus vulnérables de la société, nos enfants, ne peuvent pas être vaccinés - le luxe du choix cesse d'exister. Si vous pensez "la pandémie est presque terminée et que je peux la surmonter sans me faire vacciner", vous ne pourriez pas vous tromper davantage. Ce virus vous trouvera. Si vous pensez "j'attendrai d'abord que la FDA approuve le vaccin", vous ne vivrez peut-être pas assez longtemps. Si vous croyez «si je suis infecté, je vais juste aller à l'hôpital et me faire soigner", il n'y a aucune garantie que nous puissions vous sauver la vie, ni même une promesse que nous aurons un lit pour vous. Si vous croyez "je suis enceinte et que je ne veux pas que le vaccin m'affecte, mon bébé ou ma future fertilité", peu importe si vous n'êtes pas en vie pour voir votre nouveau-né. Si vous pensez "je ne ferai pas vacciner mes enfants parce que je ne sais pas quels seront les effets à long terme", peu importe s'ils ne vivent pas assez longtemps pour que vous le sachiez. Si vous pensez "je vais laisser tout le monde se faire vacciner autour de moi pour que je n'aie pas à le faire", il y a 93 millions de personnes éligibles et non vaccinées dans le « troupeau » qui pensent de la même manière que vous et vous empêchent de finir cette pandémie. Si vous pensez "les personnes vaccinées sont infectées de toute façon, alors à quoi bon ?", le vaccin a été conçu pour prévenir les hospitalisations et les décès dus à une maladie grave. Au lieu d'une pneumonie mortelle, les personnes atteintes d'infections aiguës ont un rhume bref et sévère, de sorte que le vaccin a déjà fait ses preuves. Les vaccinés ne meurent pas du COVID-19. Le SRAS-CoV-2, le virus qui cause le COVID-19, a muté d'innombrables fois au cours de cette pandémie, s'adaptant pour survivre. Empilé contre une race humaine qui a résisté au changement à chaque étape – y compris le port de masques, la distanciation sociale, la mise en quarantaine et maintenant le refus des vaccins salvateurs – il est facile de voir qui gagnera cette guerre si le comportement humain ne change pas rapidement. La chose la plus efficace que vous puissiez faire pour vous protéger, protéger vos proches et le monde est de VOUS FAIRE VACCINER. Et ça marchera. Anita Sircar est médecin spécialiste des maladies infectieuses et clinicienne enseignante en sciences de la santé à la faculté de médecine de l'UCLA." évidemment, ça ne décidera pas ceux qui prefere les plantes ou la tisane, evidemment, ça confortera ceux qui ont fait le choix d'etre vacciné mais, est ce que le virus va s'en aller tout seul ? et quand ? et, pour les "résistants" au vaccin, vous pensez eviter cette saleté de maladie pendant combien de temps ? et si vous le chopez, vous pensez qu'il y aura de la place à l'hopital pour vous ? et que vous en sortirez intact ?? 5 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 25 août 2021 Share Posté(e) le 25 août 2021 ^^^^ ca a le merite de poser clairement les choses a travers un exemple Malheureusement les anti te diront que c'est un exemple non representatif (et en parallèle te citeront l'exemple d'une connaissance de pote de copain qui a croisé quelqu'un dont le cousin au 23e degré a fait un effet indésirable...) On ne convainc pas des anes.... 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 25 août 2021 Share Posté(e) le 25 août 2021 Israel : https://www.t-online.de/nachrichten/panorama/id_90684458/israel-und-corona-nur-die-schlacht-gewonnen-nicht-den-krieg-.html (25 août 2021) Mais en avril, la grande ruée vers la vaccination s'était déjà calmée. Environ 63 % d'entre eux ont été entièrement vaccinés, contre environ 59 % en Allemagne. Environ un million de personnes en Israël ne veulent pas du tout être vaccinées. La population jeune, en particulier, est comparativement peu encline à se faire vacciner. Parmi les personnes de plus de 70 ans, le taux de personnes entièrement vaccinées est supérieur à 90 %. Mais plus les gens sont jeunes, plus le scepticisme à l'égard de la vaccination est grand. Parmi les jeunes de 20 à 29 ans, seuls environ 70 % sont complètement vaccinés, et dans le groupe des 12 à 15 ans, seulement un peu moins de 30 %. C'est ce que révèlent les données du ministère israélien de la santé. Le gouvernement redouble également d'efforts pour atteindre les jeunes car il estime qu'un éventuel nouveau confinement en septembre dépend aussi du taux de vaccination des adolescents. Ce mois sera difficile pour la lutte contre la pandémie : plusieurs fêtes juives approchent, dont Yom Kippour. La fête du Grand Pardon est la fête la plus importante du calendrier juif. Ne pas se faire vacciner maintenant, c'est comme "se promener avec une mitraillette et tirer des variantes delta sur les gens", a déclaré le Premier ministre israélien. Pourtant, les juifs ultra-orthodoxes et les Israéliens arabes font partie des plus grands groupes de refus de vaccination, selon une étude du ministère de la santé. En outre, il existe une corrélation entre la pauvreté et la volonté de se faire vacciner. "Les riches sont davantage vaccinés, les sections les plus pauvres de la population beaucoup moins", a déclaré le ministre de la Santé, M. Horowitz, et a annoncé que des équipes mobiles de vaccination seraient envoyées dans les communautés concernées. Le fait qu'Israël enregistre à nouveau une forte augmentation des nouvelles infections est lié à la variante delta, selon le médecin israélien Salman Zarka, que le Times of Israel n'appelle pas autrement que le "tsar du coronavirus". Le gouvernement pensait avoir vaincu le virus et a ensuite été "surpris" par la mutation. Il est désormais clair que "nous n'avons gagné que la bataille et que la guerre n'est pas encore terminée", déclare M. Zarka. Dans la perspective d'aujourd'hui, c'était une erreur de réduire la campagne de vaccination dans la phase de faible nombre d'infections, de revenir dans une large mesure à la vie normale et de fermer les installations de contrôle du virus, analyse le médecin. "Nous devons apprendre de ces erreurs et penser déjà à la cinquième vague, et pas seulement à la quatrième." C'est pourquoi Israël tente actuellement quelque chose qui est également prévu en Allemagne à partir de septembre : une troisième dose de vaccination, appelée vaccination de rappel. Plus d'un million d'Israéliens en ont déjà bénéficié, dont principalement des personnes âgées. Maintenant, il y a aussi une diffusion pour toutes les personnes de plus de 30 ans. Les experts sanitaires israéliens estiment que le nombre de cas de Corona diminuera à nouveau lorsque cinq millions de personnes auront reçu la troisième dose. "Sans nous, le monde ne connaîtrait pas l'efficacité exacte des piqûres de rappel, le moment où elles sont administrées, la manière dont elles affectent les infections et les maladies graves", a déclaré le Premier ministre Bennett. Selon une première évaluation, l'efficacité contre la variante delta devrait être plus élevée avec la vaccination de rappel que sans. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) reste sceptique quant à une troisième vaccination. Mais en attendant que les chiffres baissent à nouveau, Israël s'appuie à nouveau sur des règles Corona plus strictes. Les touristes étrangers ne sont pas autorisés à entrer dans le pays, une obligation de quarantaine s'applique aux voyageurs qui rentrent chez eux, et le port du masque est de nouveau obligatoire lors d'événements en plein air réunissant 100 participants ou plus, tandis que la règle des "3 G" (Geimpft, Getestet, Genesen/ vacciné, testé ou guéri) s'applique aux autres. Les entreprises vont autoriser davantage de télétravail. En Allemagne, plusieurs politiciens ont déjà exclu un nouveau verrouillage. En outre, l'incidence ne doit plus être le seul critère pour les futures règles Corona. Néanmoins, l'exemple d'Israël montre que des mesures plus strictes pourraient également être nécessaires en Allemagne. Les experts s'accordent à dire que le facteur décisif pour la propagation du virus est le taux de vaccination - et celui-ci doit encore augmenter de manière significative en Israël et en Allemagne. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 25 août 2021 Share Posté(e) le 25 août 2021 En Israël 28% de la population à entre 0 et 14 ans ... 100 - 28 = 72 ... ce qui explique rapidement qu'ils soient capés à 68% de primo vaccinés. --- D'ailleurs Israël a lancé une grand campagne de mesure du taux d'anticorps chez les moins de 12 ans ... pour évaluer de manière précise le nombre d'enfant immunisés. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. FATac Posté(e) le 25 août 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 25 août 2021 @christophe 38 Pour nous autres, Français, il y a aussi ce retour du terrain : https://www.huffingtonpost.fr/entry/la-detresse-des-soignants-face-au-covid-et-a-la-defiance-des-patients_fr_61251698e4b0ec33fa08d840 Un témoignage personnel pour compléter, j'en suis témoin indirect et le rapporte comme il m'est venu. Une amie infirmière, ex-équipage de SMUR il y a longtemps, revenue à la réa pour la première vague, qui avait été à deux doigts de lâcher la profession après la 2e vague, s'est accrochée, a trouvé la 3e vague éprouvante, mais pas aussi dure. Elle est, à présent, révoltée par cette quatrième vague qu'elle estime parfaitement évitable et totalement stupide. Récemment, face à des réactions de patients, fermement anti-vax et visiblement condamnés par leur choix, elle s'est dit qu'elle était à deux doigts de transgresser le code de déontologie sur lequel elle a prêté serment il y a quelques années (elle a aussi prêté le serment de l'infirmière selon Florence Nightingdale à l'issue de sa formation initiale ; elle est de la vieille école). Elle était découragée et estimait qu'ils ne méritaient que son abandon pour qu'elle se consacre à ceux qui le méritent (ce sont ses mots). Elle s'est dit que ces pensées étaient peut-être un signal qu'elle était au bout du rouleau et qu'elle devrait se faire aider. Elle a consulté une permanence de soutien psychologique. Elle va mieux, depuis, car ils lui ont souligné que l'état des patients était la conséquence de leurs choix, pas des siens. Pour autant, ils ont quand même reconnu que ses questions étaient légitimes et pertinentes, car ce serment est rudement mis à mal par la situation, notamment quand les patients s'opposent aux devoirs de l'infirmière (et des médecins et pharmaciens, sous serment, eux aussi), notamment en refusant la prévention et en provoquant ainsi la défaillance du système de santé dont ils sont les maillons. 1 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 25 août 2021 Share Posté(e) le 25 août 2021 3 minutes ago, FATac said: ... notamment en refusant la prévention et en provoquant ainsi la défaillance du système de santé dont ils sont les maillons. On paie cash l'abandon quasi complet de la santé publique ... https://fr.wikipedia.org/wiki/Santé_publique 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. christophe 38 Posté(e) le 25 août 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 25 août 2021 il y a 3 minutes, FATac a dit : @christophe 38 Pour nous autres, Français, il y a aussi ce retour du terrain : https://www.huffingtonpost.fr/entry/la-detresse-des-soignants-face-au-covid-et-a-la-defiance-des-patients_fr_61251698e4b0ec33fa08d840 Un témoignage personnel pour compléter, j'en suis témoin indirect et le rapporte comme il m'est venu. Une amie infirmière, ex-équipage de SMUR il y a longtemps, revenue à la réa pour la première vague, qui avait été à deux doigts de lâcher la profession après la 2e vague, s'est accrochée, a trouvé la 3e vague éprouvante, mais pas aussi dure. Elle est, à présent, révoltée par cette quatrième vague qu'elle estime parfaitement évitable et totalement stupide. Récemment, face à des réactions de patients, fermement anti-vax et visiblement condamnés par leur choix, elle s'est dit qu'elle était à deux doigts de transgresser le code de déontologie sur lequel elle a prêté serment il y a quelques années (elle a aussi prêté le serment de l'infirmière selon Florence Nightingdale à l'issue de sa formation initiale ; elle est de la vieille école). Elle était découragée et estimait qu'ils ne méritaient que son abandon pour qu'elle se consacre à ceux qui le méritent (ce sont ses mots). Elle s'est dit que ces pensées étaient peut-être un signal qu'elle était au bout du rouleau et qu'elle devrait se faire aider. Elle a consulté une permanence de soutien psychologique. Elle va mieux, depuis, car ils lui ont souligné que l'état des patients était la conséquence de leurs choix, pas des siens. Pour autant, ils ont quand même reconnu que ses questions étaient légitimes et pertinentes, car ce serment est rudement mis à mal par la situation, notamment quand les patients s'opposent aux devoirs de l'infirmière (et des médecins et pharmaciens, sous serment, eux aussi), notamment en refusant la prévention et en provoquant ainsi la défaillance du système de santé dont ils sont les maillons. merci Il y a 14 mois, nous avons été cluster au boulot ; plus de 120 collegues touchés (1 seul hospitalisé à plusieurs reprises et sous oxy) sur un effectif d'environ 300. Nous avons cotoyé (et continuons) des clandestins, qui vivent donc hors des schémas sanitaires, des locaux qui pensent que les prieres ou les décoctions sont LES remedes. Nous avons neamoins des collegues, des gens comme vous et moi, qui lisons, reflechissons, analysons, des collegues donc qui matchent avec plusieurs facteurs de comorbidité et qui refusent le vaccin. Je n'en suis pas à souhaiter qu'il chopent cette saleté, mais, je n'ai plus de pathos, de compassion (pour avoir croisé un ami dans son salon de coiffure, début fevrier, qui a été évasanné 48 h plus tard, sous oxy, qui est resté 2 semaines en rea à la Reunion.. Il va mieux, mais avec 40% de capacité pulmonaire de perdue). Autant je pourrai etre ému de la soudaineté d'une maladie, d'une issue fatale, autant, là, je ne peux pas : j'aime mes collegues, mais, je ne peux pas faire leur bonheur malgré eux. c'est leur choix. il y a 10 minutes, FATac a dit : @christophe 38 Pour nous autres, Français, il y a aussi ce retour du terrain : https://www.huffingtonpost.fr/entry/la-detresse-des-soignants-face-au-covid-et-a-la-defiance-des-patients_fr_61251698e4b0ec33fa08d840 Un témoignage personnel pour compléter, j'en suis témoin indirect et le rapporte comme il m'est venu. Une amie infirmière, ex-équipage de SMUR il y a longtemps, revenue à la réa pour la première vague, qui avait été à deux doigts de lâcher la profession après la 2e vague, s'est accrochée, a trouvé la 3e vague éprouvante, mais pas aussi dure. Elle est, à présent, révoltée par cette quatrième vague qu'elle estime parfaitement évitable et totalement stupide. Récemment, face à des réactions de patients, fermement anti-vax et visiblement condamnés par leur choix, elle s'est dit qu'elle était à deux doigts de transgresser le code de déontologie sur lequel elle a prêté serment il y a quelques années (elle a aussi prêté le serment de l'infirmière selon Florence Nightingdale à l'issue de sa formation initiale ; elle est de la vieille école). Elle était découragée et estimait qu'ils ne méritaient que son abandon pour qu'elle se consacre à ceux qui le méritent (ce sont ses mots). Elle s'est dit que ces pensées étaient peut-être un signal qu'elle était au bout du rouleau et qu'elle devrait se faire aider. Elle a consulté une permanence de soutien psychologique. Elle va mieux, depuis, car ils lui ont souligné que l'état des patients était la conséquence de leurs choix, pas des siens. Pour autant, ils ont quand même reconnu que ses questions étaient légitimes et pertinentes, car ce serment est rudement mis à mal par la situation, notamment quand les patients s'opposent aux devoirs de l'infirmière (et des médecins et pharmaciens, sous serment, eux aussi), notamment en refusant la prévention et en provoquant ainsi la défaillance du système de santé dont ils sont les maillons. quant aux applaudissements des premieres heures, pour ma part, les soignants ont toujours droit à mes mercis.. Ils ne sont pas responsable, tous ensemble, de choix déviants de certains. Je me permets de faire le parallele avec mes collegues intervenants sur les attentats... Ils ont été applaudis... ces dernieres années, nous avons eu des bavures ou des tres grosses boulettes qui ont rejailli sur l'ensemble de la profession... alors que l'immense majorité ne merite ni cette haine, ni ce mépris. c'est facile et rassurant de mettre les gens dans des cases (et de ne pas les en sortir)... 1 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Delbareth Posté(e) le 25 août 2021 Share Posté(e) le 25 août 2021 Que pensez-vous de ces dernières news sur l'efficacité des vaccins Pfeizer et Moderna tiré des data d'Israël ou des US. Les efficacités données sont quand même pas folichonnes, et c'est pire pour les plus anciens vaccinés (mais qui sont aussi les plus vieux, ceux avec le système immunitaire le plus faible). J'ai un peu de mal à comprendre comment on peut avoir des études qui donne 95% d'un côté, et d'autres qui donne 50 ou 60%. La non-efficacité est quand même décuplée ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 25 août 2021 Share Posté(e) le 25 août 2021 (modifié) il y a 38 minutes, Delbareth a dit : Que pensez-vous de ces dernières news sur l'efficacité des vaccins Pfeizer et Moderna tiré des data d'Israël ou des US. Les efficacités données sont quand même pas folichonnes, et c'est pire pour les plus anciens vaccinés (mais qui sont aussi les plus vieux, ceux avec le système immunitaire le plus faible). J'ai un peu de mal à comprendre comment on peut avoir des études qui donne 95% d'un côté, et d'autres qui donne 50 ou 60%. La non-efficacité est quand même décuplée ! J'ai un doute sur les dernières données, celles d'avant avaient l'air bien carrées. Ce que je n'ai pas trop bien vu sur les premières fort, encourageantes, c'est la corrélation avec la prévalence du Delta. Edit : @Delbareth : trouvé ce tweet qui renvoie vers plus de détails : le delta est vraiment plus contagieux => "le vaccin protège encore mais un peu moins" par contre contre les formes graves (touchant essentiellement les + vieux), la protection est toujours excellente. : Modifié le 25 août 2021 par Boule75 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Delbareth Posté(e) le 25 août 2021 Share Posté(e) le 25 août 2021 Je rajoute à la mélasse un truc venant de l'IHU (mais pas de Raoult, en tout cas pas directement *) : https://www.youtube.com/watch?v=sCqqbP6Oe_Q Zappez les 10 premières minutes. Dans la 2e moitié de la vidéo, y a un gars qui présente des données, donc c'est assez intéressant. Sa conclusion : les personnes vaccinées ont autant de charge virales que les personnes non vaccinées. Et il cite des articles allant dans le même sens que ça. (Après j'ai pas bien compris ce qu'il appelle 'faire pousser des cultures', il fait tousser les gens dans des boites de pétri ? Mais c'est pas des bactéries ces trucs...) Or il me semble qu'il y a un biais d'échantillonnage dans son bazar, car il compare des vaccinés positif au test-PCR, avec des non-vaccinés positif au test PCR. Mais il est difficile (impossible) de connaître la part des vaccinés qui ont reçu le virus mais ne deviennent pas positif car il s'en débarrasserait suffisamment vite. Sinon c'est inéquiétant parce que ça voudrait dire que l'efficacité des vaccin contre la contamination est de 0%... Un avis d'expert ? * mais en fait ils sont tous sur la ligne Raoult à l'IHU ? Parce qu'on a l'impression d'un bon repère de bolchévik-du-covid en guerre contre le consensus scientifique. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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