C’est un message populaire. emixam Posté(e) le 14 octobre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 14 octobre (modifié) Il y a 22 heures, FATac a dit : Par contre, à un moment où un autre, ce serait bien de demander, par la voie diplomatique qui va bien, pourquoi Théo Francken, dans ses discours, s'évertue à évincer un membre fondateur de l'Europe. Quand tu es un gros baltringue et que tu le sais et que tu paye un pizzo au mec costaud du bout de la rue, que tu vois ton voisin qui fait son truc dans son coin et qui s'en sort sans payé. Il te propose de se regrouper pour ne plus avoir a payer mais baltringue que tu es tu continue a payer, pour ton amour propre tu te persuade que c'est l'autre le baltringue, l'empêcheur de tourner rond, donc tu essaie de le mettre de côté. Mais au final tu reste un baltringue donc tu ne fais que gesticuler. Modifié le 15 octobre par emixam 1 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 14 octobre Share Posté(e) le 14 octobre Le 12/10/2025 à 16:03, Patrick a dit : Non. Pas envie. Après les Français arrogants, les Français irritants? Notre comportement est une réponse directe aux attitudes que nous trouvons en face. Point à la ligne. Et si des gens ne sont pas contents, qu'ils s'habituent, car ce n'est pas près de s'arrêter. On est partis pour 40 ans d'enfer si ce truc se fait. Même dans d'autres conditions que celles qu'on connaît aujourd'hui. J'aimerais bien voir ça tiens. Qui sait faire? QUI? DES NOMS! Personne n'a les compétences chez Airbus France pour faire un chasseur state of the art, encore moins que chez Airbus Allemagne et Espagne, qui de leur côté ne sont toutefois même plus capables de concevoir un UCAV ou un trainer jet comme en témoignent les péripéties récentes... Et Airbus France n'avait "que 1% du SCAF" de l'aveu même de Faury entendu en commission il y a des années. Si il ne voyait que l'intérêt de Dassault il adopterait une position de sous-traitant et il se contenterait de faire le job pour lequel on le paie. Ni plus, ni moins. C'est d'ailleurs exactement la position de Dassault sur l'Eurodrone au demeurant. Et que s'est-il passé? Airbus ont chouiné que Dassault n'avançait pas sur les commandes de vol du drone... Dassault se sont alors fendus d'un communiqué expliquant qu'Airbus n'avaient même pas transmis à Dassault les specs de l'Eurodrone pour lequel ils étaient supposés concevoir les commandes de vol en question... Charles Edelstenne mentionnait que Serge Dassault demandait souvent: "Est-ce que c'est bon pour la France? Et est-ce que c'est bon pour Dassault?" Donc si, l'entreprise est restée très patriote. Mais même si le patriotisme n'était pas le fil conducteur de leur action, Trappier n'aurait absolument pas tort pour autant, au contraire. Il défend sa boite face à des gens qui veulent la tuer. C'est aussi simple que ça. Des gens qui se sont intégralement plantés il y a 40 ans et qui veulent remettre ça puisque visiblement ils aiment gaspiller de l'argent, en s'appuyant sur leur rage impuissante de ne pas être bons face à Dassault qui, lui, n'a que très rarement sorti des avions de combat suboptimaux, et n'en a au fond pas "raté" un seul depuis 1939. On est supposés avoir une autre réaction que du mépris devant un tel comportement d'Airbus et consorts face à l'héritage de Dassault? Chiche. Et après on compare les deux. Laisse-moi juste le temps d'investir dans l'industrie du pop-corn juste avant. Dassault n'a jamais réellement foiré un chasseur. Ils ont tous été de bons avions de manière générale. Par comparaison l'Eurofighter est parti sur des bases bancales. A eu droit à une réalisation bancale. Et aboutit à un avion dont les pays fabricants ne veulent plus vraiment sauf pour justifier l'existence de chaînes de fabrication. Alors il faut faire des avions très différents l'un de l'autre. À mon avis c'est une vue de l'esprit qu'on s'équipe de DEUX chasseurs différents, avec motorisations différentes, radars différents, etc. Dans quel but? Et à quel prix? Qu'on ne vienne pas nous raconter ensuite que faire un nouvel avion tous seul serait "cher"! Est-ce que ce serait moins cher d'avoir dans l'armée de l'air des Rafale et des Eurofighter??? Airbus seraient capables d'acheter un design étranger, Probablement Américain, de le fabriquer sous licence en payant des royalties au passage, et de chercher à nous le faire acheter ensuite... C'est d'ailleurs exactement ce qui se dessine avec leur achat du design du XQ-58A Valkyrie. Je les verrais bien essayer avec des F-35 partiellement assemblés sous licence avec un autocollant Airbus dessus... Mais si on voulait acheter un design Américain pour le construire sous licence en France, on pourrait prendre nous même contact avec les Américains. Sauf que visiblement cette éventualité n'a effleuré personne en Allemagne... "Ces dernières semaines, les signes se sont multipliés selon lesquels le projet franco-allemand-espagnol FCAS pourrait toucher à sa fin. Il est donc d’autant plus important d’élaborer un plan B à temps. Et c’est là que la Suède entre en jeu." Et pour se bidonner encore plus qu'avant voilà un "petit" commentaire comme d'hab (je le mets en masqué c'est super long): Spoiler: au moins un passage de cet article va vous faire HALLUCINER. Je pèse mes mots. C'est en très gros en très gras et en orange (vous êtes habitués). Masquer le contenu Traduction DeepL de l'article: https://www.hartpunkt.de/plan-b-schweden-als-partner-fuer-die-zeit-nach-fcas-interessant/ Plan B – La Suède, un partenaire intéressant pour l'après-FCAS Lars Hoffmann 11 octobre 2025 Au cours des dernières semaines, les signes indiquant que le projet franco-germano-espagnol Future Combat Air System (FCAS) pourrait toucher à sa fin se sont multipliés. Ainsi, les gouvernements allemand et espagnol s'en tiennent aux accords conclus jusqu'à présent Non. Ils ont au contraire gratté à mort depuis le début du programme, et parlent même de faire le chasseur en "coconception" comme le pilier "système de systèmes", ce qui n'était absolument pas prévu initialement. sur la répartition des tâches dans le cadre de ce projet de plusieurs milliards d'euros, tandis que le PDG de Dassault, Eric Trappier, continue de revendiquer publiquement le leadership dans le développement du futur avion de combat (New Generation Fighter – NGF) et ne respecte donc plus les accords conclus jusqu'à présent. Il ne fait que "revendiquer" le rôle qu'il a signé pour tenir... C'est à dire celui qui dit qu'il est PRIME sur le chasseur, qu'il est maître d'oeuvre. Et donc responsable de la bonne tenue du programme. Trappier a suffisamment expliqué sa position. Or ce point du contrat, SIGNÉ, n'est désormais plus respecté par Airbus. Avec le concours de fake newseurs comme le journal hartpunk. Après des années de querelles avec son homologue français, le leader allemand Airbus Defence and Space n'est manifestement plus disposé à faire d'autres concessions à Dassault. ...Mais les concessions faites à Airbus D&S depuis 2018 par contre là c'était normal. Une solution politique au problème devait en principe être trouvée d'ici la fin de l'année. Mais cela reste incertain. En effet, la réunion prévue en octobre entre les ministères de la Défense des trois pays partenaires à Berlin doit déjà être annulée en raison de l'absence d'interlocuteurs français, selon le ministère de la Défense. La France n'a actuellement pas de gouvernement. LOL. Il n'est certes pas totalement exclu que le programme FCAS soit poursuivi et que la phase 2 de construction de démonstrateurs puisse démarrer l'année prochaine. Cependant, les observateurs s'attendent à ce que la France présente une nouvelle liste d'exigences au plus tard à l'issue de cette étape. Oui la France va "exiger" que l'avion puisse opérer depuis son futur porte-avions, une exigence inacceptable pourtant tout à fait acceptée au départ. Elle va aussi "exiger" qu'il ne coûte pas un bras et une jambe à l'achat comme à l'utilisation, comme c'est le cas pour l'Eurofighter. Il est donc d'autant plus important d'élaborer un plan B en temps utile. Et c'est là que la Suède entre en jeu. Ce pays scandinave de moins de dix millions d'habitants développe des avions militaires depuis la création de la société Saab en 1937. Le dernier en date est le JAS 39 Gripen, qui vole dans la première ligue des avions de combat. À l'instar de l'Allemagne avec l'Eurofighter, la Suède n'a toutefois pas encore développé de modèle succédant au Gripen et souhaite maintenir cet appareil en service pendant encore plusieurs décennies. Alors que la Bundeswehr mise jusqu'à présent sur le New Generation Fighter du FCAS et a fait l'acquisition de F-35 aux États-Unis, les Suédois n'ont pas encore décidé de la suite à donner après le retrait du pays du programme GCAP mené par la Grande-Bretagne, l'Italie et le Japon. Un développement interne est envisageable, mais pourrait dépasser les capacités financières du pays. Une solution d'achat ne serait guère utile pour le site de production d'armement et porterait un coup dur à Saab. L'entreprise risquerait de perdre son savoir-faire et sa valeur ajoutée. Airbus Defence and Space pourrait connaître un sort similaire si le F-35 devenait l'avion standard de l'armée de l'air ou si l'entreprise se pliait aux exigences françaises concernant le New Generation Fighter. Les observateurs estiment que dans ces deux derniers cas, l'existence même d'Airbus Defence and Space pourrait être remise en cause. ...Je vous laisse seuls juges du niveau de folie du rédacteur de l'article et des gens qui ont le même genre d'opinion. Les "exigences Françaises sur le NGF" menacent L'EXISTENCE-MÊME d'Airbus Defense and Space! Genre, s'ils laissent Dassault faire le travail que PAR CONTRAT Dassault est supposé faire, Airbus D&S vont disparaître! Excusez-moi, rappelez-moi qui veut tuer qui dans cette affaire? C'est bien Airbus qui veut s'accaparer le savoir-faire de Dassault, n'est-ce pas? Et non pas l'inverse. Mais attendez la suite. Dans ce contexte, il n'est pas surprenant que des rumeurs circulent à Berlin selon lesquelles, en cas d'abandon du FCAS, Saab et Airbus Defence and Space pourraient créer, « après une période de deuil appropriée », une coentreprise pour construire un nouvel avion de combat destiné à succéder à l'Eurofighter et au Gripen. Des rumeurs à Berlin... Et à Stockholm? Quelqu'un a-t-il demandé leur avis aux Suédois? La France développerait alors probablement son propre avion de combat de nouvelle génération, ce dont elle est sans aucun doute capable sur le plan technique et qui constituerait sans doute la solution la plus judicieuse compte tenu de sa politique d'autonomie stratégique. Profitez-en bien, ce sera la seule vérité énoncée dans ce papier. Cependant, la situation désastreuse des finances publiques pose problème. Mais Dassault eux n'ont pas de problèmes de cash et ne sont pas une entreprise publique, même s'ils dépendent de la commande publique Française. Sauf qu'avec plus de Rafale vendus à l'export que de Rafale achetés par la France, 299 neufs + 24 ex-AAE = 323 contre 234 neufs - 24 ex-AAE = 210, la dynamique a changé. Les commandes d'exportation abondantes pour l'avion de combat Rafale de Dassault et d'éventuels partenariats avec d'importants pays acheteurs pourraient fournir les fonds nécessaires. ...Et maintenant vous savez pourquoi les commandes énormes aux EAU et en Indonésie ont été si mal vues en Allemagne et qu'on lisait des choses comme "maintenant Dassault vont chercher à faire cavalier seul" Ces gens n'ont jamais eu d'autre méthode dans toute cette "coopération" que la contrainte financière, politique, et surtout psychologique. Le message n'a jamais été "voilà ce qui va se passer de BIEN si nous coopérons" mais "voilà ce qui va se passer de MAL si vous ne pliez pas à nos exigences". Et pour camoufler la manoeuvre ils emploient un procédé semblable au "gaslighting", à savoir en bon Français, l'inversion accusatoire permanente pratiquée avec une poker face de compétition. La position de l'Espagne resterait à déterminer. Non. L'Espagne suivra l'Allemagne comme elle l'a fait jusqu'ici, y-compris à son propre détriment. Les rumeurs concernant une coopération approfondie entre l'Allemagne et la Suède dans le domaine des avions de combat Des rumeurs venues d'Allemagne mais dont on a pas entendu parler en provenance de Suède. s'expliquent sans doute en grande partie par les expériences déjà positives dans le domaine de l'armement bilatéral. Saab modernise par exemple les frégates de classe 123 et, en milieu de semaine, le Bundestag a approuvé le projet de 25 millions d'euros pour l'installation du système d'autoprotection et de localisation d'émetteurs Arexis dans l'Eurofighter. 25 millions c'est vraiment pas grand chose même pour un contrat d'intégration. Sait-on exactement ce qu'il recouvre? On se souviendra cependant qu'initialement, c'était Hensoldt et Airbus D&S qui devaient réaliser ce système de guerre électronique... Selon les informations disponibles, les futurs Eurofighter devraient également être équipés d'Arexis. Récemment, lors de la visite de son homologue suédois, le ministre de la Défense Boris Pistorius a déclaré que l'avion de reconnaissance Global Eye de Saab était très bien placé pour succéder à l'AWACS. ...Oui sauf qu'en France on a carrément signé une déclaration d'intention à ce sujet. Doit-on en déduire une future coopération sur les avions de combat entre la France et la Suède? Contrairement à Dassault, Saab a déjà prouvé qu'elle était capable de développer des produits haut de gamme en collaboration avec des partenaires. AHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAH Je ne pense pas avoir besoin de commenter, nous sommes entre passionnés d'aviation après-tout, et tous férus d'histoire aéronautique. Le groupe suédois a ainsi conçu, en collaboration avec le géant américain Boeing, l'avion monomoteur eT-7A Red Hawk, qui a été sélectionné par l'US Air Force comme avion d'entraînement. Ah oui, le T7-A Redhawk! Un programme qui se passe super bien! 17 juin 2021: problème avec les ailes décision de production repoussée à 2023: https://theaviationgeekclub.com/wing-rock-issue-and-other-technical-problems-delay-t-7a-red-hawk-full-rate-production-decision-from-2022-to-2023/ 17 avril 2023: problème de siège éjectable, les avions de présérie ne peuvent pas voler, phase de production repoussée à 2026: https://www.airdatanews.com/replacement-of-t-38-talon-t-7a-red-hawk-trainer-jet-suffers-new-delay/ 12 mai 2023: problèmes de jumeau numérique, l'avion est en retard du coup l'USAF ne peut plus entraîner ses pilotes par manque d'avions: https://www.twz.com/t-7a-delays-compound-pilot-shortage-expose-digital-engineering-pitfalls 15 janvier 2025: décision de production repoussée à 2026, 7 avions de présérie conservés sur les 14 initialement annoncés: https://theaviationist.com/2025/01/15/t-7a-red-hawk-production-pushed-back-to-2026/ 2 octobre 2025 (il y a 10 jours donc): phase de production repoussée à 2027, encore des problèmes avec les sièges éjectables ACES5, passage de 7 à 4 avions de présérie. https://aerospaceglobalnews.com/news/t-7a-red-hawk-2027-in-service-date/ Il avait pas un autre exemple en stock, le monsieur? ...Comme par exemple une certaine coopération de SAAB dans le domaine de la "5e génération", de la furtivité, et des drones? Puisque c'est un gros sujet apparement. Avec un truc appelé N... Neu... C'était comment déjà? Neur... Ah si voilà: Neuron! Et dans Neuron, c'était qui la nation cadre et l'industriel maître d'oeuvre? ...Ah meeeeeerde. Pardon! je voulais dire "Scheißeeeeeeee!!!" Pour l'Allemagne, la coopération avec la Suède dans le domaine des avions de combat offrirait une excellente occasion de développer ses propres capacités technologiques en matière de construction aéronautique, de l'avionique à la cellule en passant par les moteurs, et d'élargir sa chaîne de valeur. En effet! L'Allemagne pourrait aller gratter plein de trucs chez les Suédois! ...Quelqu'un a-t-il demandé leur avis aux Suédois? Et sinon on est très heureux d'apprendre que l'Allemagne a besoin du partenaire Suédois pour se mettre à la page en termes d'avionique, de cellule, et même... de moteurs... qui sont Américains pour le F414 du Gripen E, tandis que le Gripen C/D avait un F404 produit sous licence, le Volvo RM12. Donc qu'est-ce que les Allemands pourraient bien apprendre? Comment réaliser sous licence un moteur d'avion? Mais de quel moteur étranger voudraient-ils acheter la licence? Volker Mayer-Lay, responsable de la politique de défense au sein de la CDU, a récemment critiqué l'approche de la France concernant le FCAS et a évoqué la possibilité d'un abandon du projet. Il estime que l'industrie allemande est parfaitement positionnée pour développer un avion de combat. Parmi les acteurs importants, il cite Airbus, ...Qui donc ne sait pas faire une cellule. MTU, ...Qui ne sait pas faire un moteur d'avion de combat state of the art c'est pour ça qu'EUMET est une JV avec Safran, qui ne sont pas non plus nés de la dernière pluie et ne vont pas se laisser piller facilement. Diehl, Qui font certes des missiles et seraient sans doute aptes à faire une version air-air de leur SLM ou SLX. Indra Avitech, Ils font des systèmes d'exploitations pour l'avionique des avions. Rien de fou. Hensoldt Qui font des radars et ont certes réalisé des trucs corrects dernièrement, après avoir plus ou moins rattrapé un retard de 15 ans accumulé, mais on attendra néanmoins pour juger des performances de l'ECRS Mk1. ou encore le solide paysage de la recherche dans les domaines de l'intelligence artificielle, des capteurs et de la cybersécurité. Félicitations. Tout ça ne fait toujours pas un avion car il manque la partie la plus importante: l'intégration. « L'Allemagne peut rivaliser sur le plan technologique et dispose d'alternatives », a déclaré le politicien de l'Union dans un communiqué. Et bien qu'ils utilisent leurs "alternatives". Mais c'est rigolo d'entendre parler de "rivalité" après avoir tant entendu parler de "coopération". Contrairement à tous les autres pays européens, le gouvernement fédéral peut et veut dépenser des sommes colossales pour la défense "contrairement à tous les autres pays Européens"? Mais qui sont ces gens pour sortir des propos pareils? D'autre part la dépense colossale (ach kolossal!) n'a jamais été synonyme de bons matériels. et faire de la Bundeswehr l'armée conventionnelle la plus puissante d'Europe, Félicitations. Peut-être qu'à ce moment l'Allemagne décidera ENFIN d'abattre les drones russes qui ont mené depuis 2023 plus de 500 vols de reconnaissance au-dessus du territoire allemand. Des drones tout pourris en plus! Même pas des machins à haute vitesse haute altitude furtifs blablabla etc, non non des tondeuses à gazon volantes. Visiblement les russes n'ont pas reçu le mémo des Allemands sur "l'armée la plus puissante d'Europe". ce qui est possible grâce à la gestion budgétaire rigoureuse de ces dernières années. LOL. Le financement, même s'il passe par l'endettement, serait donc assuré. Ah donc maintenant la dette c'est pas un problème? Je croyais que c'en était un quand on parlait de la France!? Discussions de coopération chez CCA Si le chasseur est l'élément le plus important du système d'armes de nouvelle génération du FCAS, il n'est toutefois pas le seul. Il doit en effet être accompagné d'avions de combat sans pilote, appelés Collaborative Combat Aircraft (CCA), qui prennent en charge les tâches du chasseur piloté. Ils réduisent ainsi le risque pour les avions pilotés tout en augmentant la puissance de combat de la flotte aérienne. Airbus est le leader industriel de ces CCA, appelés FCAS Remote Carrier. Et Dassault n'ont RIEN à faire dessus. Mais là pas de problèmes. ...Du coup l'état Français vient de payer à Dassault un programme de drone accompagnateur pour le Rafale F5 dérivé des travaux des programmes LOGIDUC, Neuron, et FCAS-DP. Mais pas un seul commentaire sur ce sujet, vous noterez une fois de plus. Ce concept semble également trouver un écho favorable en Suède. Il est à la mode partout donc en quoi est-ce parlant? Selon des sources bien informées, Les fameuses "sources anonymes". des discussions sont en cours depuis un certain temps entre Saab et Airbus Defence and Space sur la manière de développer conjointement un tel CCA. Hartpunkt en avait déjà fait état en juin. À l'époque, Airbus et Saab avaient refusé de commenter cette information. C'est rigolo parce que rien de tel n'est sorti à ce sujet dans la presse Suédoise de défense... Or les Suédois communiquent d'ordinaire beaucoup sur ce genre de choses. Et c'est encore plus amusant de voir qu'une fois encore, Airbus Allemagne a besoin de quelqu'un d'autre pour faire le travail qui devait normalement leur incomber, au vu de la distribution des piliers du FCAS. De quoi remettre en perspective le fait que l'allemagne puisse "rivaliser sur le plan technologique, d'après monsieur Volker Mayer-Lay... Selon certaines sources, ENCORE? la coopération entre les deux entreprises pourrait bientôt déboucher sur le développement d'un CCA de la classe des 6 tonnes, qui devrait atteindre sa capacité opérationnelle finale (FOC) dès 2032. Ah ouais développé et opérationnel en 7 ans? ...Remarquez c'est vrai que quand on voit à quel point le programme T-7A Redhawk se passe super bien et est pris en exemple, on ne peut qu'être confiants! Axé sur les exigences européennes spécifiques à un tel avion de combat sans pilote, Cette phrase ne veut rien dire. il devrait être équipé d'un système de mission indépendant de la plate-forme, qui devrait être testé et perfectionné prochainement sur un CCA d'essai, selon les informations disponibles. Et toujours pas de contrat en ce sens. On peut les voir, "les informations disponibles"? ...Mon Dieu TOUT cet article est du PUR ASTROTURFING! Le CCA testé devrait être le XQ-58A Valkyrie de la société américaine Kratos. ...Mais donc quel rapport entre Kratos et SAAB? Il y a quelques jours, Airbus a déclaré à hartpunkt que deux appareils de cette catégorie de 3 tonnes étaient attendus dans les semaines à venir Oui, en provenance des USA... Donc n'ayant rien à voir avec Airbus. et qu'une campagne d'essais en vol devait débuter l'année prochaine. « Parallèlement, nous développons notre système de mission Airbus, qui sera intégré aux plateformes Kratos et nous permettra de fournir à nos clients allemands d'ici 2029 un avion de combat collaboratif sans pilote, fiable et prêt à l'emploi », Ah donc Airbus va bien intégrer son système de mission à un aéronef sans pilote Américain. Quel rapport avec la Suède et SAAB? a déclaré le porte-parole d'Airbus. Avec le XQ-58A Valkyrie, Airbus souhaite également entrer dans la course pour la conception d'un « drone chasseur-bombardier » qui devrait être mis à la disposition des troupes d'ici quatre ans au plus tard. Pour cela, le XQ-58A et surtout le système de mission devraient atteindre leur capacité opérationnelle initiale (IOC) en 2029. Le document de phase FFF pour le projet est en cours d'élaboration. Avec cette approche, Airbus souhaite, selon certaines informations, accélérer le développement du CCA germano-suédois. En effet, les connaissances et l'expertise opérationnelle acquises lors des essais avec le Valkyrie et le système de mission seraient alors directement intégrées dans le développement de l'avion germano-suédois. Cela garantirait à la fois l'interopérabilité de tous les CCA et la souveraineté nationale en matière de données. Mais donc Airbus va devoir apprendre auprès des Américains à concevoir un UCAV pour ensuite... aller voir les Suédois de SAAB? Et Kratos sont d'accord pour se faire pomper leur propriété intellectuelle comme ça? Ils ne sont pas invités à la fête? Le département d'état Américain ne dit rien à ce propos sachant qu'il s'agit aussi de technologies développées avec l'argent du contribuable Américain? ...Et tout ça en "quatre ans"? L'architecture ouverte du système de mission doit permettre l'intégration de différentes plateformes et de différents systèmes d'armes. Ce n'est qu'une fois qu'il aura atteint un niveau de maturité suffisant sur la plateforme Kratos qu'il sera transféré vers de futures plateformes européennes, selon les informations disponibles. Outre l'industrie, l'armée de l'air pourrait également être impliquée et ainsi bénéficier de cette stratégie. Par exemple, lorsqu'il s'agit de développer des concepts d'intervention. Le centre de soutien du système Eurofighter à Manching, où Airbus et l'armée de l'air testent et s'entraînent ensemble, constitue un modèle pour le développement commun de compétences. L'approche itérative choisie par Airbus présenterait l'avantage d'éviter les risques liés à un développement entièrement nouveau. D'autre part, l'utilisation d'un système déjà qualifié permettrait d'accélérer le développement de l'expertise opérationnelle et de valider les concepts d'utilisation armée avant que les drones chasseurs-bombardiers ne soient livrés à l'armée à la fin de la décennie. C'est à peu près le seul passage intéressant et qui se tient dans cet article. Mais l'annoncer c'est bien, il faut aussi le réaliser. Airbus ne se contente pas de piloter les CCA individuellement et en essaim depuis le sol, mais travaille également au développement d'un système de commandement de chasse basé sur les « Litening 5 Pods » qui seront introduits à l'avenir dans l'armée de l'air pour l'Eurofighter, comme l'a déjà rapporté hartpunkt. La Bundeswehr achète 90 pods Litening 5 du fabricant israélien Rafael pour le balisage des cibles de sa flotte d'Eurofighter. Dans le concept d'Airbus, ces pods serviraient également de relais de communication et disposeraient d'une puissance de calcul interne suffisante pour commander les CCA. Ça fait beaucoup. C'est pas gros un pod de désignation, et il n'a pas que ce rôle-là. En tout cas si la puissance est disponible à bord dans un espace aussi restreint, elle devrait aussi l'être à bord de l'avion en toute logique. Donc pourquoi ne pas intégrer cette puissance de calcul directement à la cellule? D'autre part l'Eurofighter est incapable d'emporter ce pod ailleurs que sous son point ventral, et se voit privé d'un point d'emport pour arme lourde ou pour un bidon de 1000 litres. Bref une solution bancale, une de plus. Il aurait été réaliste d'envisager que P3E et P4E aient prévu les provisions en termes d'antennes distribuées sur la cellule pour adapter cette fonctionnalité aux Eurofighter. Il aurait aussi été souhaitable que les T2 et T3 aient pu être modernisés en ce sens. Visiblement ça n'a pas été le cas. Je l'ai déjà dis mais je le répète: un avion des années 70 sorti dans les années 2000. L'interface avec le pilote de l'Eurofighter pourrait être représentée sur une tablette électronique fixée sur la cuisse du pilote. Tiens, ça me rappelle quelque chose... mais quoi? Les avantages de cette approche provisoire sont considérables : aucune intervention importante n'est nécessaire sur l'avion de combat, de sorte que les Eurofighter de la tranche 4 pourraient également servir d'« avions de commandement de fortune ». Cependant, il s'agirait dans un premier temps uniquement de la gestion du CCA, sous la forme d'attribution de missions. Une capacité de fortune se justifie-t-elle à l'heure actuelle? Avec des F-35 qui arriveront au même moment? Ce sera au Bundestag de trancher, mais soyons sûr qu'avec son niveau de dépense "colossal" il n'aura besoin d'aucune "rigueur" dont l'auteur se félicite pourtant plus tôt... Si Airbus obtient le soutien du ministère de la Défense pour l'approche CCA et que la mise en œuvre est couronnée de succès, l'Allemagne pourrait rattraper son retard technologique et disposer dès 2029 des premières capacités CCA, qui pourraient même être utilisées par les avions de combat de la flotte existante. Il devrait également être possible, lors du choix d'un autre ou d'autres « drones chasseurs-bombardiers », de les équiper d'un système de mission national. À partir de 2032, le CCA germano-suédois permettrait même de disposer d'un avion entièrement soumis à la souveraineté allemande. "Entièrement soumis à la souveraineté Allemande"? Je suis sûr que les Suédois seront ravis de bosser pour finir avec un système "entièrement SOUMIS à la souveraineté Allemande". ...Mais je ne suis pas certain que l'auteur de l'article comprenne le concept derrière le terme "soumission", tout comme il ne comprend visiblement pas non plus celui de "coopération". Il sera intéressant de voir comment le spécialiste de l'IA Helsing sera intégré dans l'ensemble du concept. En effet, l'entreprise technologique allemande et Saab ont déjà intégré et testé avec succès l'agent IA de Helsing pour le combat aérien, appelé Centaur, dans un avion de combat Gripen-E. De plus, Helsing participe au programme d'équipement des Eurofighters de l'armée de l'air allemande avec Arexis pour la guerre électronique. Attendez... Donc dans la modernisation du Typhoon Allemand, on va voir: Airbus qui va développer un système de commandement et de contrôle de l'espace du champ de bataille SAAB qui va fournir un système de guerre électronique avec ses nacelles AREXIS Helsing qui va doper avec son IA non seulement la guerre électronique des nacelles AREXIS mais aussi proposer son propre CCA accompagnateur de Typhoon aux côtés d'un AUTRE CCA développé entre SAAB et Airbus sur la base d'un XQ-58A Valkyrie de Kratos. Et enfin ces CCA de deux constructeurs différents seront eux-mêmes contrôlés grâce à l'informatique présente dans un pod de désignation devenu ordinateur de contrôle déporté fourni par Rafael avec son pod Litening 5? ...J'ai même pas besoin d'être programmeur pour voir arriver la catastrophe à des km. L'intérêt de l'entreprise pour le système de mission semble donc presque naturel. Oui, aussi naturellement que tout ça va se casser prodigieusement la gueule quand les allemands très sûrs d'eux vont commencer à taper dans le dur et soudainement réaliser que leur incapacité à envisager le développement d'un "simple" avion d'entraînement (après rejet de l'AFJT Espagnol que les Espagnols n'étaient apparemment plus capables non plus de réaliser) ou d'un "simple" UCAV (je mets "simple" entre guillemets puisque Schoelhorn a lui-même déclaré texto que "faire un drone ou un avion d'entraînement c'est facile") était un "writing on the wall" comme disent les Américains. Depuis peu, Helsing développe également un bombardier furtif sans pilote appelé CA-1 Europa, Une vague inspiration du Boeing Loyal Wingman. On ne sait pas quand ni comment ça va voler. visant ainsi manifestement le programme de drones de chasse-bombardiers de la Bundeswehr. Le spécialiste de l'IA devrait donc être le seul acteur en Allemagne, à l'exception d'Airbus, à investir des capacités d'ingénierie importantes dans le développement de la CCA dans ce pays. Parce que bien sûr n'importe qui peut s'improviser avionneur en deux coups de cuillère à pot. Bien évidemment. On attendra un certain nombre de phases de réalisation avant de se prononcer. Franchement, même Anduril ne sont pas apparus par magie. Il y a eu du boulot derrière, des investissements, et un recrutement accompagné d'une fidélisation de gens qui réalisaient de leur côté des choses déjà assez incroyables, le t: out sous la férule d'un CEO plutôt (ok, totalement) fantasque, Palmer Lucky, mais qui est clairement un visionnaire. Et pourtant même eux n'ont pas réponse à tout. Ils sont jeunes, dynamiques, ils vont très vite, ont une mentalité de "go-getter" très Américaine, mais ils affichent leurs prétentions APRÈS avoir réalisé des choses démontant leur savoir-faire. Et non pas AVANT. Et n'en profitent pas pour venir raconter qu'ils sont plus beaux que les autres. Pinaise, je passe pas souvent mais ça va pas mieux !)) Arrogant ? OUI Irritable ? OUI. Je t'imagines taper ton brulot avec tes p'tits pectoraux gonflés et les poils dressés... Tout ça pour ça ??? C'est qui ce Lars Hoffman et c'est quoi cet HartPunk ? Contributeurs sur OPEX ?)) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 14 octobre Share Posté(e) le 14 octobre (modifié) Il y a 1 heure, herciv a dit : Devines avec qui PW a signé pour fabriquer des pièces de moteur en retour industriel pour la belgique ..... roulement de tambour .... SAFRAN ! https://www.aviation24.be/engine-manufacturers/pratt-whitney/safran-aero-boosters-and-bmt-aerospace-will-manufacture-key-components-of-the-pratt-whitney-f135-engine-which-powers-the-f-35-lightning-ii/ Oh mon Dieu! Cela veut donc dire que la FRANCE va avoir accès aux technologies du F-35? Puisque SAFRAN est Français. Vite il faut alerter les Américains de cet espionnage! Les Frouzes ne reculent décidément devant rien! ... Ah on me dit dans l'oreillette que ça marche pas comme ça en fait? Bizarre autant qu'étrange. Il y a 1 heure, FATac a dit : Parce que je suis Français, donc cartésien. C'est pas de ma faute, c'est mon éducation. Par contre, à un moment où un autre, ce serait bien de demander, par la voie diplomatique qui va bien, pourquoi Théo Francken, dans ses discours, s'évertue à évincer un membre fondateur de l'Europe. J'ai déjà la réponse: parce que c'est un ahuri doublé d'un rageux qui projette contre la France sa haine de l'existence d'une Belgique qu'il exècre et voudrait scinder entre un état Flamand (son camp) et un état Wallon (les Francophones). Je ne jugerai pas la question de l'unité Belge, ce n'est pas mon combat. Je note cependant qu'étrangement Francken ne s'emporte pas contre les autres pays "responsables" de l'existence de la Belgique qu'il honnit, au détriment de son Shangri-la Flamingant... Étrange hein? Et le sujet des ventes d'armes et des coopérations dans l'armement constitue un prétexte bien pratique pour en remettre une couche. Non mais sérieusement quoi... Le mec fête l'arrivée d'un avion de combat nouveau, et la seule chose qu'il trouve à faire c'est d'attaquer la France? Personne ne se pose de questions? il y a 52 minutes, Hirondelle a dit : Pinaise, je passe pas souvent mais ça va pas mieux !)) Arrogant ? OUI Irritable ? OUI. Je t'imagines taper ton brulot avec tes p'tits pectoraux gonflés et les poils dressés... Tout ça pour ça ??? C'est qui ce Lars Hoffman et c'est quoi cet HartPunk ? Contributeurs sur OPEX ?)) Oh trois fois personne, juste un journal Allemand de référence en matière de technologie militaire (lol) qui est cité par des officiels dont des politiques de chez eux pour justifier le fait qu'ils racontent de la merde sur Dassault et la France en général... Mais bon tu as le droit d'imaginer que ça n'a aucun impact... Tu es dans un pays libre après-tout. Enfin, pour l'instant. Modifié le 14 octobre par Patrick 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Billion85 Posté(e) le 14 octobre Share Posté(e) le 14 octobre Il y a 2 heures, FATac a dit : Parce que je suis Français, donc cartésien. C'est pas de ma faute, c'est mon éducation. Par contre, à un moment où un autre, ce serait bien de demander, par la voie diplomatique qui va bien, pourquoi Théo Francken, dans ses discours, s'évertue à évincer un membre fondateur de l'Europe. La voix diplomatique de la France est éteinte depuis bien longtemps... Comme Trappier l'a dit, un pays nous critique et nos députés s'en fichent royalement. En même temps vu le merdier actuel, rien de ce qu'on pourrait dire ne serait pris au sérieux. Mais éjecter la Belgique de son siège d'observateur serait une réponse diplomatique oui. 1 1 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 14 octobre Share Posté(e) le 14 octobre (modifié) Il y a 3 heures, FATac a dit : Par contre, à un moment où un autre, ce serait bien de demander, par la voie diplomatique qui va bien, pourquoi Théo Francken, dans ses discours, s'évertue à évincer un membre fondateur de l'Europe. Sans doute parce qu'il ne faudrait pas que son opposition interne prenne notre pays comme exemple de ce qu'ils auraient pu faire. Les pays ayant choisi le F-35 sont tous dans le même bouillon, donc pas de risque de ce côté là, et dans "l'autre camp", les pays n'ayant pas choisi le F-35, j'ai tout de même l'impression notre AAE est celle qui s'en tire le mieux. Modifié le 14 octobre par rendbo 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 14 octobre Share Posté(e) le 14 octobre (modifié) Laisse tomber @Patrick, tu n'es PAS DU TOUT en état d'imaginer ce qu'Hirondelle a en tête. Du tout Mais ravi de voir que malgré un sévère état maniaque tu me donnes encore le DROIT d'imaginer quelque chose... ...pour l'instant ! Révélation du coup, un instant j'ai cru correspondre avec mon ex meuf, camouflée sous tes abords rugueux, et là je n'aurai plus osé blaguer ou évoquer cette poitrine et ses poils turgescents... Trop tendu pour moi et mon petit coeur malade ce fil. Si en plus je dois imaginer une infiltration féminine, je capitule de suite : FAITES UN SUPER-RAFALE DE SUITE ET BALANCEZ UNE TRIPLETTE D'ASMP A SUR BERLIN, MUNICH ET HAMBOURG pour que DAFT PUNK et HOFFMAN ferme sa petite gueule de raie. On verra bien qui c'est Raoul. edit : j'ai oublié de citer le message de Patrick mais pas grave : lui il sait Modifié le 14 octobre par Hirondelle 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 14 octobre Share Posté(e) le 14 octobre (modifié) Il y a 4 heures, Hirondelle a dit : Au sol pour changer de loi de vol et accepter de s'enfoncer par exemple (ou aérofreinage max). Sur un avion civile tu ne pourras pas sortir (accidentellement) les reverses en vol mais sur la piste oui: pour les chassous on pensera aux parachutes de freinage même si ça se perd... ça je veux bien, et ton exemple est très juste. Là dans le cas du F-35 l'avion a coupé le moteur car ses deux trains d'aterrissage étaient restés vérins comprimés à cause du gel... couper le moteur ! Modifié le 14 octobre par rendbo Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 14 octobre Share Posté(e) le 14 octobre il y a 2 minutes, rendbo a dit : ça je veux bien, et ton exemple est très juste. Là dans le cas du F-35 l'avion a coupé le moteur car ses deux trains d'aterrissageétait resté verrin comprimé à cause du gel... couper le moteur ! C'est bizarre, mais si tu t'intéresses aux Airbus et à leur accidentologie, normalement -si tu n'est pas un reptilien- tu finis par renoncer à tout comprendre et retenir des différentes lois de vol (aaaah: l'alternate); et tu fais comme les pilotes et ce que te demande la compagnie: tu ne touches pas au PA si par hasard il consent à ne pas rendre la main et tu sonnes l'hôtesse la plus mignonne pour avoir un thé et des biscuits. J'aimerai continuer à blaguer genre : "ben oui, t'es au sol, tu coupes le chalumeau pour pas tout cramer, logique !", mais non : je ne connais même pas cette histoire (celle des bidons de fluide hydrauliques promenés au japon mal fermés, c'est ça ?). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 14 octobre Share Posté(e) le 14 octobre il y a 11 minutes, Hirondelle a dit : C'est bizarre, mais si tu t'intéresses aux Airbus et à leur accidentologie, normalement -si tu n'est pas un reptilien- tu finis par renoncer à tout comprendre et retenir des différentes lois de vol (aaaah: l'alternate); et tu fais comme les pilotes et ce que te demande la compagnie: tu ne touches pas au PA si par hasard il consent à ne pas rendre la main et tu sonnes l'hôtesse la plus mignonne pour avoir un thé et des biscuits. J'aimerai continuer à blaguer genre : "ben oui, t'es au sol, tu coupes le chalumeau pour pas tout cramer, logique !", mais non : je ne connais même pas cette histoire (celle des bidons de fluide hydrauliques promenés au japon mal fermés, c'est ça ?). oui. Mais je viens de récouter l'analyse, et ATE parle bien de commandes de vol passées en mode "commandes au sol" et pas de moteur coupé, autant pour moi. C'est sans doute une autre chaine d'analyse qui a fait un raccourci dans son explication, et celle là que j'ai retenue. Révélation Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 14 octobre Share Posté(e) le 14 octobre 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. MatOpex38 Posté(e) le 14 octobre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 14 octobre (modifié) Le 13/10/2025 à 18:45, Titus K a dit : donc le grand concours du meilleur "suggar Daddy" Européen a bien commencé, Mark Rutte va avoir une grosse concurrence contre lui, Pascal Kümmerling aurait jeté l'éponge, une candidature spontanée Italienne? Allemande? John Lake? le gagnant aura un diner à marra Lago? ou un poster de F35 en panne sur un aéroport? Modifié le 14 octobre par MatOpex38 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Obelix38 Posté(e) le 14 octobre Share Posté(e) le 14 octobre Il y a 9 heures, Hirondelle a dit : Sur un avion civile tu ne pourras pas sortir (accidentellement) les reverses en vol mais sur la piste oui D'un autre coté, les accidents de "Lauda Air 004" en 1991 et de "TAM 402" en 1996 ont montré que, moyennant un problème technique (ou une succession de problèmes techniques), le déploiement intempestif d'un inverseur en vol est possible . . . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 14 octobre Share Posté(e) le 14 octobre il y a 11 minutes, Obelix38 a dit : D'un autre coté, les accidents de "Lauda Air 004" en 1991 et de "TAM 402" en 1996 ont montré que, moyennant un problème technique (ou une succession de problèmes techniques), le déploiement intempestif d'un inverseur en vol est possible . . . Je te crois sur parole Obelix. Simplement, l’erreur (ou la succession naturellement) aujourd’hui elle peut être informatique Et là, le problème va être l’ergonomie des alarme et des messages FMS, et il n’est pas exclu que l'avionique n’ai pas encore quelques progrès à accomplir sur ce plan me semble t il. #error 404 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Patrick Posté(e) le 14 octobre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 14 octobre Il y a 5 heures, MatOpex38 a dit : donc le grand concours du meilleur "suggar Daddy" Européen a bien commencé, Je ne suis pas certain que les termes "sugar daddy" ou "baby" conviennent pour décrire la situation. En effet le sugar daddy c'est celui qui paie une personne plus jeune qui offre son "affection" en retour. Là ce sont plutôt les "soumis" qui paient, et non le "maître", donc on pourrait parler de "findom" ou "domination financière", une pratique liée au sadomasochisme qui fait des ravages et ruine des individus voire des couples, ou même des familles entières. 1 1 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 14 octobre Auteur Share Posté(e) le 14 octobre Il y a 6 heures, MatOpex38 a dit : donc le grand concours du meilleur "suggar Daddy" Européen a bien commencé, Mark Rutte va avoir une grosse concurrence contre lui, Pascal Kümmerling aurait jeté l'éponge, une candidature spontanée Italienne? Allemande? John Lake? le gagnant aura un diner à marra Lago? ou un poster de F35 en panne sur un aéroport? La suceuse c'est la SugarBaby en générale, et en contrepartie elle reçoit des cadeaux, des avantages etc. Ici c'est pareil l'idée c'est bien de rester dans la partie... et c'est ce que font les client F-35 ils paient pour rester ensemble à la même table que leur suzerain. Et comme tous se marque à la culotte, soit il gagne tous, soit il perdent tous, mais dans tous les cas il reste au meme niveau que leur concurrent, et donc ne se retrouveront jamais déclassé localement. C'est une stratégie intéressante, assez classique, et qui fonctionne bien en général. Et de plus en plus elle est vu comme moralement parfaitement digne. Elle ne comporte plus de poids morale qui voudrait que la position de laquais soit moins digne qu'une position plus libre ou indépendante par exemple. Aujourd'hui seul compte la suite, en gros vais je survivre à demain, et vais je perdre ou pas. L'idée étant de ne jamais perdre plus que ceux contre qui on joue - techniquement ses voisins qui sont vos premiers adversaires parce que simplement c'est ceux avec lesquels vous avez le plus de dépendance -. Ce qui me surprend c'est que cette situation surprenne alors qu'elle est joué depuis 80 ans ... fondamentalement rien n'a changé depuis 1945. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
iborg Posté(e) le 15 octobre Share Posté(e) le 15 octobre Il y a 10 heures, Patrick a dit : Je ne suis pas certain que les termes "sugar daddy" ou "baby" conviennent pour décrire la situation. En effet le sugar daddy c'est celui qui paie une personne plus jeune qui offre son "affection" en retour. Là ce sont plutôt les "soumis" qui paient, et non le "maître", donc on pourrait parler de "findom" ou "domination financière", une pratique liée au sadomasochisme qui fait des ravages et ruine des individus voire des couples, ou même des familles entières. Techniquement ce sont donc des paypigs. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. iborg Posté(e) le 15 octobre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 15 octobre Ah, et dernières news en provenance de Suède: Saab and FMV extend contract for future fighter studies in strategic step towards post-2040 air power Révélation Saab has signed an extended contract with the Swedish Defence Materiel Administration (FMV) to continue development under the Vägval stridsflyg programme, focused on shaping Sweden's future air combat capability beyond 2040. The new order, worth approximately SEK 2.676 billion, covers continued concept studies, technology development, and the construction of a flying demonstrator. The updated contract extends the work under the Konceptprogram Framtida Stridsflygsystem (KFS), jointly conducted by FMV, Saab, and GKN Aerospace. Concept and technology development will run until the third quarter of 2026, while demonstrator work, including initial flight testing, will continue through 2027. "This order sets the next step on our joint journey in delivering innovative solutions to meet future operational needs of the Swedish Armed Forces and other customers," says Lars Tossman, head of Saab business area Aeronautics. The agreement expands upon the original contract signed in March 2024. … The Vägval stridsflyg programme aims to generate the basis for decisions on how Sweden will supply its air combat capability after 2040. It is a joint initiative involving FMV, the Swedish Armed Forces, and the Swedish Defence Research Agency (FOI), including ground-based and airborne demonstrators alongside studies and technology development. … This strategic investment demonstrates Sweden's commitment to developing next-generation air power through sustained research, industrial partnership, and early technology validation. The flying demonstrator will play a key role in verifying emerging capabilities and informing future defence policy. Aucune mention d'un partenariat avec l'Allemagne n'en déplaise aux fantasmeurs de Hartpunkt 2 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) le 15 octobre Share Posté(e) le 15 octobre 59 minutes ago, iborg said: Aucune mention d'un partenariat avec l'Allemagne n'en déplaise aux fantasmeurs de Hartpunkt ni avec les français 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 15 octobre Share Posté(e) le 15 octobre il y a une heure, iborg a dit : Ah, et dernières news en provenance de Suède: Saab and FMV extend contract for future fighter studies in strategic step towards post-2040 air power Masquer le contenu Saab has signed an extended contract with the Swedish Defence Materiel Administration (FMV) to continue development under the Vägval stridsflyg programme, focused on shaping Sweden's future air combat capability beyond 2040. The new order, worth approximately SEK 2.676 billion, covers continued concept studies, technology development, and the construction of a flying demonstrator. The updated contract extends the work under the Konceptprogram Framtida Stridsflygsystem (KFS), jointly conducted by FMV, Saab, and GKN Aerospace. Concept and technology development will run until the third quarter of 2026, while demonstrator work, including initial flight testing, will continue through 2027. "This order sets the next step on our joint journey in delivering innovative solutions to meet future operational needs of the Swedish Armed Forces and other customers," says Lars Tossman, head of Saab business area Aeronautics. The agreement expands upon the original contract signed in March 2024. … The Vägval stridsflyg programme aims to generate the basis for decisions on how Sweden will supply its air combat capability after 2040. It is a joint initiative involving FMV, the Swedish Armed Forces, and the Swedish Defence Research Agency (FOI), including ground-based and airborne demonstrators alongside studies and technology development. … This strategic investment demonstrates Sweden's commitment to developing next-generation air power through sustained research, industrial partnership, and early technology validation. The flying demonstrator will play a key role in verifying emerging capabilities and informing future defence policy. Aucune mention d'un partenariat avec l'Allemagne n'en déplaise aux fantasmeurs de Hartpunkt Mais comment est-ce possible?! Les sources anonymes de Hartpunk sont pourtant infaillibles! 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Billion85 Posté(e) le 15 octobre Share Posté(e) le 15 octobre (modifié) Le budget de défense de la Suède est trop bas pour rejoindre des programmes communs à plusieurs dizaines de milliards. Et ils ne veulent pas non plus perdre une partie de leur savoir-faire (comme on s'apprête à faire avec le SCAF). Ils vont nous faire un F-35 lite moins coûteux et ça sera très bien car ça offrira une alternative à plein de pays qui voudront moderniser leur aviation d'ici 2040. Modifié le 15 octobre par Billion85 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Chimera Posté(e) le 16 octobre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 octobre Il y a 9 heures, Billion85 a dit : Le budget de défense de la Suède est trop bas pour rejoindre des programmes communs à plusieurs dizaines de milliards. Et ils ne veulent pas non plus perdre une partie de leur savoir-faire (comme on s'apprête à faire avec le SCAF). Ils vont nous faire un F-35 lite moins coûteux et ça sera très bien car ça offrira une alternative à plein de pays qui voudront moderniser leur aviation d'ici 2040. Non seulement il est trop bas pour aller tapper du bimoteur mais en plus la Suède a cette fâcheuse volonté de vouloir exporter à l'international. Pourquoi donc aller s'embarquer avec des allemands aux requirements de chasseur lourd et volonté de restreindre l'exportation ? 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) le 16 octobre Share Posté(e) le 16 octobre 1 hour ago, Chimera said: Non seulement il est trop bas pour aller tapper du bimoteur mais en plus la Suède a cette fâcheuse volonté de vouloir exporter à l'international. Pourquoi donc aller s'embarquer avec des allemands aux requirements de chasseur lourd et volonté de restreindre l'exportation ? Pour proposer un avion ayant les meme systèmes / meme cockpit / meme cloud / meme centralisation / informatique mais sur une cellule légère allant chercher les marchés que le lourd n'aurait pas ? Ce serait pas si con (valable avec la France-Espagne aussi, mais avec moins d'impact car le chasseur Fr serait moyen et non lourd) 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MatOpex38 Posté(e) le 16 octobre Share Posté(e) le 16 octobre (modifié) Le 15/10/2025 à 18:00, iborg a dit : Ah, et dernières news en provenance de Suède: Saab and FMV extend contract for future fighter studies in strategic step towards post-2040 air power Révéler le contenu masqué Saab has signed an extended contract with the Swedish Defence Materiel Administration (FMV) to continue development under the Vägval stridsflyg programme, focused on shaping Sweden's future air combat capability beyond 2040. The new order, worth approximately SEK 2.676 billion, covers continued concept studies, technology development, and the construction of a flying demonstrator. The updated contract extends the work under the Konceptprogram Framtida Stridsflygsystem (KFS), jointly conducted by FMV, Saab, and GKN Aerospace. Concept and technology development will run until the third quarter of 2026, while demonstrator work, including initial flight testing, will continue through 2027. "This order sets the next step on our joint journey in delivering innovative solutions to meet future operational needs of the Swedish Armed Forces and other customers," says Lars Tossman, head of Saab business area Aeronautics. The agreement expands upon the original contract signed in March 2024. … The Vägval stridsflyg programme aims to generate the basis for decisions on how Sweden will supply its air combat capability after 2040. It is a joint initiative involving FMV, the Swedish Armed Forces, and the Swedish Defence Research Agency (FOI), including ground-based and airborne demonstrators alongside studies and technology development. … This strategic investment demonstrates Sweden's commitment to developing next-generation air power through sustained research, industrial partnership, and early technology validation. The flying demonstrator will play a key role in verifying emerging capabilities and informing future defence policy. Aucune mention d'un partenariat avec l'Allemagne n'en déplaise aux fantasmeurs de Hartpunkt tu as oublié que dans Hartpunkt ya Punk on a nous aussi nos Hard Punks Modifié le 19 octobre par MatOpex38 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Billion85 Posté(e) le 16 octobre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 octobre Il y a 3 heures, Asgard a dit : Ce serait pas si con (valable avec la France-Espagne aussi, mais avec moins d'impact car le chasseur Fr serait moyen et non lourd) France-Espagne après le Scorpène... aïe C'est par le biais de l'Allemagne qu'ils sont entrés dans le SCAF donc l'Allemagne ils suivront quoi qu'il arrive (surout avec l'implication d'Airbus). En cas d'implosion du SCAF, on devrait normalement se retrouver seuls comme d'hab. 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Manuel77 Posté(e) le 21 octobre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 21 octobre Le Armchair General, généralement sceptique quant à une collaboration avec la France, a rédigé un article sur le FCAS. Je décline toute responsabilité, consultez d'abord votre cardiologue ! https://suv.report/quo-vadis-fcas/ Quo Vadis, FCAS ? Lorsque Emmanuel Macron et Angela Merkel ont annoncé le Future Combat Air System (FCAS) en 2017, la vision d'un projet phare européen était dans l'air : un système de combat aérien commun de sixième génération, soutenu par l'Allemagne, la France et plus tard l'Espagne. Le FCAS devait non seulement établir des normes technologiques, mais aussi souligner la capacité d'action de l'Europe en matière de politique de défense. Huit ans plus tard, cependant, il apparaît que les anciennes lignes de conflit, la création de valeur nationale, les différends sur les rôles de leadership et les questions de transfert de technologie pèsent de plus en plus lourdement sur le projet. Dans ce contexte, la question se pose : Quo vadis, FCAS ? 1. Structure du projet Après son annonce en 2017, le FCAS a pris forme avec les premiers travaux de définition menés par le ministère fédéral allemand de la Défense et le ministère français de la Défense. Ce grand projet européen, qui s'étendra sur une période d'environ vingt ans, est mené par l'Allemagne, la France et l'Espagne. L'objectif est de créer un système complet composé d'un chasseur de nouvelle génération (NGF), de composants d'accompagnement sans pilote (Remote Carrier, RC) et d'un Combat Cloud en réseau, qui doit être testé d'ici 2029 sous la forme de démonstrateurs aptes au vol. Sur le plan organisationnel, le programme est divisé en sept piliers. De plus, l'« Item 0 » est chargé de l'harmonisation entre les différents domaines et de la coordination des méthodes de travail communes. Chaque nation partenaire dispose d'un coordinateur industriel national : Airbus Defence & Space pour l'Allemagne, Dassault Aviation pour la France et Indra Sistemas pour l'Espagne. Les sept piliers se répartissent comme suit : Pilier 1 Avion de combat (NGF) : Prime Dassault Aviation, partenaire principal Airbus Allemagne Pilier 2 Moteur : coentreprise EUMET, soutenue par Safran (France) et MTU (Allemagne), avec la participation d'ITP Aero (Espagne) Pilier 3 Transporteur distant : Prime Airbus Allemagne, partenaire principal MBDA (Allemagne, France, Espagne) et SATNUS (consortium espagnol) Pilier 4 Air Combat Cloud : Prime Airbus Allemagne, partenaires principaux Thales (France) et Indra (Espagne) Pilier 5 Environnement de simulation : direction conjointe (co-contracting) par Airbus, Dassault et Indra Pilier 6 Capteurs : Prime Indra (Espagne), partenaire principal consortium FCMS (Hensoldt, Diehl, Rohde & Schwarz – Allemagne) et Thales (France) Pilier 7 Capacité de furtivité : Prime Airbus Espagne, partenaires principaux Dassault Aviation et Airbus Allemagne La phase 1A a débuté en 2019 avec l'étude de concept, au cours de laquelle l'architecture de base et les structures de coopération ont été définies. La phase 1B a suivi à partir de 2021, marquant le début du développement technologique concret. Des démonstrateurs technologiques ont déjà été créés dans plusieurs domaines, mais les premiers démonstrateurs aptes au vol sont encore en attente. Des étapes importantes ont néanmoins été franchies : une sélection de l'architecture NGWS, un compromis sur la masse maximale au décollage du NGF, la création d'une coentreprise pour les moteurs avec une structure de répartition des tâches clairement négociée, ainsi que des démonstrateurs performants dans les domaines des transporteurs à distance, des capteurs et du Combat Cloud. La coopération est jugée constructive, en particulier dans le domaine des capteurs. La transition vers la phase 2, la phase de développement et de démonstration proprement dite, est désormais imminente. Les premiers démonstrateurs NGF capables de voler devraient être mis en service à partir de 2028/29. Cependant, le calendrier prévu a pris un retard considérable en raison de désaccords sur les droits de direction et la répartition des tâches. Une solution aux points litigieux, notamment en ce qui concerne le rôle de leader industriel de Dassault, devait initialement être trouvée en octobre. Cependant, en raison de la nouvelle dissolution du cabinet français et de la réorganisation du gouvernement français qui en a résulté, les négociations ont été reportées. Si aucun accord n'est trouvé d'ici la fin de l'année, il est probable que le président Macron et le chancelier Merz décident d'un commun accord de mettre fin au projet. 2. Statu quo 2.1 Problématique Depuis l'été 2025, le projet connaît à nouveau des retards qui ont déjà repoussé le début de la phase 2 de plusieurs mois. Ainsi, le constructeur aéronautique français Dassault réclame depuis quelque temps une nouvelle répartition des tâches du FCAS, apparemment soutenue par le gouvernement français. L'industrie française demande par exemple : au moins deux tiers des tâches liées au développement et à la production du NGF (Next Generation Fighter) le refus d'un bureau de conception commun et la souveraineté décisionnelle exclusive sur la conception du NGF, y compris les décisions de sélection des sous-systèmes aucun transfert de savoir-faire lors du développement du démonstrateur, y compris les boîtes noires, aux partenaires allemands et espagnols la mise en œuvre par une coentreprise basée en France, avec Dassault occupant en permanence le poste de PDG une réduction de la part de travail espagnole sur le moteur du NGF En outre, les limitations du NGF en termes d'orientation en tant qu'avion porteur et d'utilisation d'ALCM (missiles de croisière lancés depuis les airs) à tête nucléaire, tels que l'ASMP-A ou l'ASN4G, conduisent à un profil de capacités qui ne correspond pas entièrement aux attentes de l'armée de l'air allemande. De même, le développement de l'UCAV (unmanned combat aerial vehicle) français dans le cadre de la norme Rafale F5 et la conception du PANG, le porte-avions de nouvelle génération, pour une exploitation du NGF sans Large Remote Carrier (LRC) entraînent une certaine incertitude quant aux perspectives d'exportation du LRC allemand vers la France. 2.2 Pourquoi cela n'est-il pas envisageable pour l'Allemagne ? Si le gouvernement fédéral allemand acceptait les exigences de Dassault et que le programme FCAS se poursuivait, l'Allemagne devrait accepter, malgré des contributions financières importantes de plus de 10 milliards d'euros et des garanties d'achat fermes, de ne contrôler ni le déroulement du projet ni le produit final. Comme pour le F-35, l'Allemagne serait alors confrontée aux boîtes noires du constructeur. De plus, l'industrie aérospatiale allemande perdrait des connaissances dans le domaine de la construction d'avions de combat au lieu d'en acquérir. Enfin, l'Allemagne serait potentiellement reléguée au rang de simple fournisseur et, malgré un volume de commandes important, ne recevrait pas son propre démonstrateur NGF basé sur l'Eurofighter. C'est pourquoi, d'un point de vue de la politique industrielle, il ne faut pas céder aux exigences de Dassault. Si la part de travail allemande dans le domaine du NGF devait être rétrogradée au rôle de fournisseur, la question se poserait également de savoir quel avantage le NGF présente pour l'Allemagne. Ainsi, en participant au programme GCAP (Global Combat Air Program) ou au programme F-47 en liaison avec une ligne de production locale et une modification potentielle par l'intégration de systèmes allemands, il serait peut-être possible d'obtenir une part de travail comparable. On peut donc légitimement se demander pourquoi l'Allemagne devrait s'en tenir au FCAS et fournir les moyens financiers nécessaires au développement d'un avion qui ne correspond peut-être pas au mieux aux attentes de l'armée de l'air. La France travaillant également au développement et à l'acquisition de son propre Loyal Wingman, il semble de plus en plus probable que la France n'achètera pratiquement aucun des systèmes développés sous la direction de l'Allemagne ou de l'Espagne. Dans ce cas, le FCAS représenterait avant tout un transfert financier important de l'Allemagne vers la France, pour lequel il n'y aurait aucune compensation adéquate. Enfin, le différend actuel entre les parties au projet prouve que Dassault, et donc éventuellement aussi le gouvernement français, ne souhaite pas respecter les accords initialement conclus et contractuellement convenus, bien que ceux-ci constituent déjà une concession importante pour l'industrie aérospatiale française. Si l'Allemagne cédait sur ce point, il faudrait s'attendre à d'autres résiliations unilatérales de contrats à l'avenir, ce qui affaiblirait encore davantage la position allemande. Il ne faut donc pas créer ici un précédent qui compliquerait encore davantage les coopérations internationales à l'avenir. 3. Solutions possibles En principe, trois options s'offrent désormais au gouvernement fédéral pour aller de l'avant : Poursuivre le programme FCAS dans différentes configurations. Rejoindre un autre programme dans différentes configurations. Lancer son propre programme dans différentes configurations. 3.1 Poursuite du programme FCAS Si le gouvernement fédéral souhaite maintenir le FCAS, il dispose de trois options. D'une part, le NGF pourrait être dissocié du FCAS et seuls un Large Remote Carrier commun et un Combat Cloud commun pourraient être poursuivis. Cependant, comme Dassault travaille déjà sur un UCAV et qu'un NGF purement français représenterait déjà une charge extrêmement lourde pour le budget de l'État français, un Wingman commun reste peu probable. Si une coopération dans le cadre du Combat Cloud serait en principe possible et bienvenue, cet élément du FCAS ne devrait pas nécessairement être limité au FCAS. Une solution paneuropéenne est donc nécessaire pour regrouper les données correspondantes et garantir l'interopérabilité. Ce pilier n'est donc qu'indirectement lié au développement commun d'aéronefs. En outre, la France pourrait prendre en charge une plus grande part du FCAS et fournir en conséquence la majeure partie du budget nécessaire. Cependant, compte tenu de la situation financière de la France et des intérêts de la politique industrielle allemande, il est peu probable que le projet se poursuive conformément aux idées de Dassault. Enfin, les accords initiaux pourraient être maintenus et la phase 2 du programme pourrait être lancée en conséquence. Il est toutefois très improbable que Dassault retire complètement ses revendications ou que le gouvernement français mette Dassault au pas. Indépendamment de cela, on peut se demander si le FCAS peut encore être mené à bien compte tenu des tensions évidentes entre Airbus et Dassault. 3.2 Participation à un autre programme Outre le FCAS, deux autres avions de combat de sixième génération sont en cours de développement, le GCAP et le F-47, dont l'acquisition par l'Allemagne serait en principe évidente. Le gouvernement fédéral pourrait encore envisager une participation tardive et négocier la part des travaux qui pourrait être prise en charge par l'industrie allemande. Cependant, comme les tâches ont déjà été réparties dans le cadre du GCAP et que le F-47, en tant que programme américain, n'est ouvert qu'à des partenaires juniors, l'Allemagne ne serait pas non plus un partenaire à part entière. Il convient donc d'examiner si l'Allemagne pourrait tirer des avantages significatifs d'une décision précoce en faveur d'un programme. Sinon, l'Allemagne pourrait lancer un appel d'offres pour le successeur de l'Eurofighter dans les années 30 et rechercher des fournisseurs potentiels sans préjuger du résultat. Étant donné que l'Allemagne serait alors probablement le pays le plus solvable de la planète sans programme de développement propre, il est évident qu'elle serait un client très attractif pour tous les fabricants potentiels. Le gouvernement fédéral pourrait donc également négocier une localisation appropriée dans le cadre d'un appel d'offres et déterminer en même temps quel programme répond le mieux aux besoins allemands. 3.3 Programme propre Les dépenses de défense ayant été exclues du frein à l'endettement et le gouvernement fédéral s'étant engagé à respecter l'objectif de 5 % fixé par l'OTAN, les moyens financiers nécessaires à la mise en œuvre d'un programme allemand propre seraient disponibles. L'Allemagne serait toutefois confrontée à des défis de taille. Elle ne dispose actuellement pas du savoir-faire complet nécessaire pour développer de manière autonome un moteur de nouvelle génération. Les deux grands constructeurs allemands de moteurs, MTU Aero Engines et Rolls-Royce Deutschland, possèdent certes une vaste expérience dans les domaines civil et militaire, mais il manque une structure nationale consolidée. MTU dispose de solides compétences dans des domaines tels que les compresseurs basse et haute pression, la commande des moteurs, la production de blisks, les cycles variables et la commande du vecteur de poussée. Néanmoins, aucun moteur d'avion de combat n'a été entièrement développé en Allemagne depuis la Seconde Guerre mondiale, ce qui explique les lacunes en matière d'intégration des systèmes. Pour combler ces lacunes, des investissements financiers et technologiques considérables dans MTU seraient nécessaires. En complément, des accords de coopération entre MTU et Rolls-Royce Deutschland, encouragés par le gouvernement fédéral, pourraient créer des capacités de développement supplémentaires. Des restrictions similaires s'appliquent également à l'intégration des systèmes d'un avion de combat complet. Bien qu'Airbus ait apporté des contributions essentielles à des projets internationaux tels que le Tornado et l'Eurofighter, les responsabilités et les tâches ont toujours été réparties entre plusieurs partenaires. Néanmoins, des entreprises allemandes telles qu'Airbus, Diehl et Hensoldt disposent d'un large portefeuille de systèmes prêts à être commercialisés qui pourraient être intégrés dans un nouveau système de combat aérien grâce à une approche itérative. Avec le centre national d'essais et de développement de l'armée de l'air, de nouvelles infrastructures et des plateformes telles que l'Eurofighter STAR ou l'A320 ATRA, l'Allemagne disposera à l'avenir des moyens nécessaires pour tester et perfectionner de nouvelles technologies. L'Allemagne est particulièrement bien positionnée dans les domaines de l'avionique, du développement de radars et du Crewed Uncrewed Teaming (CUC-T), une technologie clé pour l'introduction rapide d'avions d'escorte sans pilote (UCAV) en combinaison avec des jets pilotés. Malgré ces atouts, un programme purement national ne serait guère viable à long terme. Les besoins de l'armée de l'air ne suffisent pas à eux seuls à garantir le volume de production nécessaire et donc la viabilité économique. En outre, l'Allemagne devrait revoir fondamentalement sa position jusqu'ici restrictive en matière d'exportations d'armes afin de créer une base industrielle compétitive. Dans ce contexte, un programme multinational semble être une option stratégiquement plus judicieuse. La Suède, avec son groupe d'armement Saab, et l'Espagne sont considérées comme des partenaires potentiels. Saab dispose de compétences approfondies dans le domaine de la guerre électronique et de l'intégration de systèmes, ce qui compléterait naturellement les capacités allemandes. En outre, des structures de coopération existent depuis de nombreuses années entre Saab et des entreprises allemandes telles qu'Airbus ou Helsing. Dans le cas de l'Espagne, Indra et son partenaire industriel allemand Hensoldt développent déjà conjointement un système radar presque entièrement nouveau pour l'Eurofighter. De plus, Rolls-Royce Allemagne travaille déjà avec le constructeur espagnol ITP au développement d'un moteur pour UCAV. Cette coopération existante offre une base technologique pour un programme européen commun de moteurs et montre l'intérêt d'intégrer Rolls-Royce Allemagne dans un projet multinational plus vaste. Un projet commun entre l'Allemagne, la Suède et l'Espagne pourrait ainsi regrouper les bases financières, technologiques et industrielles nécessaires pour développer conjointement un système de combat aérien de sixième génération. Même si le développement d'un nouveau moteur resterait un défi technique dans cette configuration, la mise en commun des ressources et du savoir-faire augmenterait considérablement les chances de succès. Les structures de propriété existantes et les bonnes coopérations industrielles entre MTU, ITP et Rolls Royce permettraient en outre un transfert de technologie potentiellement utile dans le domaine des moteurs. De plus, le moteur EJ200 de l'Eurofighter, qui peut faire l'objet de quelques modifications, pourrait dans un premier temps être utilisé pour un démonstrateur. 4. Conclusion Le FCAS peut rester un projet stratégiquement pertinent pour l'Allemagne et l'Europe si les partenaires respectent les accords contractuels existants et la structure de répartition des tâches convenue. C'est la seule façon de garantir que toutes les parties prenantes bénéficient de la même manière des avantages militaires, technologiques et industriels du FCAS. Toutefois, si la France insiste pour jouer un rôle de leader nettement plus important et assumer une part disproportionnée du travail, cela devra impérativement s'accompagner d'une contribution financière plus élevée. Un déséquilibre entre les responsabilités, l'accès à la technologie et la répartition des coûts serait politiquement et économiquement inacceptable. Si, en outre, les exigences militaires des forces armées françaises, notamment en matière de compatibilité avec les porte-avions, ne sont pas compatibles avec les exigences opérationnelles de l'armée de l'air allemande, un programme alternatif entre l'Allemagne, la Suède et l'Espagne serait peut-être la meilleure option. Les profils d'exigences de ces trois nations devraient ainsi être plus compatibles entre eux, ce qui constitue un facteur central en plus de la coopération technique et économique fructueuse entre les entreprises industrielles respectives. Cette constellation permet une répartition équilibrée du travail et augmente les chances de mettre en place un programme économiquement viable avec une perspective industrielle et politique claire. Si la France devait suivre sa propre voie, un programme national de moindre envergure, avec des moyens financiers nettement réduits et le renoncement partiel à certains potentiels technologiques, serait envisageable pour l'Armée de l'air. Une telle approche pourrait suivre le modèle d'exportation du Mirage et du Rafale, mais limiterait en même temps les possibilités de coopération européenne. Si les partenaires du projet souhaitent poursuivre le FCAS avec succès, cela ne peut se faire que sur un pied d'égalité. Si la France n'est pas disposée à le faire ou si les objectifs sont trop éloignés, l'Allemagne doit trouver le courage de rechercher résolument une alternative qui réponde mieux aux exigences opérationnelles de l'armée de l'air et aux objectifs de la politique industrielle allemande. Indépendamment de la décision prévisible concernant le FCAS, il est essentiel que le gouvernement fédéral et la Bundeswehr poursuivent activement le développement de l'Eurofighter et l'expansion des technologies clés allemandes dans le domaine de l'aéronautique et de l'aérospatiale militaires. Les différends actuels et l'incertitude qui en résulte soulignent une fois de plus la nécessité d'une base industrielle aussi souveraine que possible pour préserver la sécurité et la capacité d'alliance de l'Allemagne. Compte tenu des différents exemples négatifs dans le domaine des projets et des achats internationaux d'armement, il convient à l'avenir d'accorder une plus grande importance aux capacités militaires et industrielles qu'à la coopération européenne. 1 9 4 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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