elannion Posté(e) il y a 6 heures Share Posté(e) il y a 6 heures (modifié) Il y a 1 heure, Titus K a dit : n voyant ce spectacle, on comprend immédiatement : la puissance industrielle américaine est colossale. Les États-Unis sont et restent l’arsenal de la démocratie. Dans cette usine, Lockheed Martin produit 15 F-35 par mois. Pour vous donner une idée, cela correspond à la production annuelle totale du Rafale français. Sur le plan technologique, le F-35 n’a aucun rival. L’appareil combine furtivité, capteurs de pointe et grande capacité d’emport. Grâce à des réseaux sécurisés, il peut créer une image opérationnelle partagée entre différentes plateformes et alliés. Dans le combat aérien moderne, cela représente la différence entre la vie et la mort. Aucun constructeur européen ne peut proposer un appareil comparable. Ainsi, la décision prise en 2018 de choisir le F-35 était parfaitement logique. Pourtant, cette décision a provoqué une forte agitation politique. Au sein du gouvernement, le MR du Premier ministre Charles Michel a exercé une pression intense pour acheter le Rafale de Dassault, jusqu’au tout dernier moment. Mais notre Force aérienne fut claire dans ses recommandations : le F-35 est inégalé. Et grâce à ses volumes de production considérables, il est désormais moins coûteux. Modifié il y a 6 heures par elannion 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) il y a 5 heures Share Posté(e) il y a 5 heures https://www.lesechos.fr/industrie-services/air-defense/scaf-les-armees-de-lair-reaffirment-leur-besoin-dun-systeme-de-combat-aerien-du-futur-2191945?utm_campaign=CM_News_Twitter&utm_medium=Reseaux+sociaux+&Reseaux+sociaux+=CM_News_Twitter Citation Dans un monde qui bondit à toute allure entre les ruptures technologiques, le programme lancé par Paris avec Berlin et Madrid sur le système de combat aérien du futur (SCAF) il y a déjà dix ans est-il encore valable ? L'armée de l'air française n'a aucun doute à ce sujet. C'est en substance ce qu'a expliqué le général Tardif, major général de l'armée de l'air, à l'occasion d'un rendez-vous avec l'Association des journalistes de défense. Peu importent les querelles industrielles entre Dassault et Airbus, pour des questions de leadership et de charge de travail. Selon lui, les états-majors des trois armées de l'air, allemande, française et espagnole, ont bien des positions convergentes sur la nécessité du SCAF. Une conviction renforcée par les analyses en cours des conflits tant en Ukraine, où les Russes ont été incapables d'asseoir une domination aérienne, qu'au Proche-Orient, où les forces aériennes israéliennes ont au contraire fait une démonstration de force exemplaire. Faute d'avoir su déployer ses forces aériennes intelligemment, la Russie est bloquée dans un conflit aux positions gelées, tandis que les Israéliens ont réussi avec leur aviation de chasse à reprendre l'avantage, malgré la multiplication des défenses sol-air de l'ennemi. Regagner la supériorité aérienne Dans un premier temps, ces analyses obligent d'abord l'Europe à remonter en puissance dans les airs avec plus d'avions de chasse, davantage d'avions ravitailleurs, et plus de frappes de longue portée. « Mais ces analyses nous montrent surtout qu'il ne suffit pas d'avoir une bonne défense aérienne, mais qu'il faut aussi s'équiper de capacités offensives, ce qui est tout le travail du SCAF », explique le numéro deux en France de l'armée de l'air. Autrement dit, le bouclier aérien voulu et prôné par l'Allemagne au sein de l'initiative « European Sky Shield » est nécessaire mais pas suffisant. VIDEO - Le NGF : l'avion de clash entre la France et l'Allemagne A l'horizon 2035, l'armée de l'air compte donc sur la cinquième version du Rafale, « l'équivalent d'une première brique du SCAF », et sur de nouveaux missiles aérobalistiques pour frapper dans la profondeur, et notamment sur un nouveau missile antiradar, le RJ10 actuellement en développement chez MBDA. « En 2040, nous aurons besoin du SCAF, capable d'actionner des drones consommables (jetables comme le Geran russe), des drones de déception (brouillage, fumée, radar) et des drones de combat. Au niveau militaire, il y a une convergence des besoins entre les trois armées de l'air », explique le général. Des besoins convergents Selon lui, comme promis, les armées se sont bien mises d'accord en juillet dernier sur la masse à vide du futur avion de combat, un sujet qui les a longtemps divisées. Dans une logique de guerre aérienne face à l'Est, les Allemands penchent pour un avion de chasse capable de transporter beaucoup de drones face à l'ennemi. Dans une logique de dissuasion nucléaire, les Français militent pour un avion agile, capable de décoller du futur porte-avions. Ces deux visions ont longtemps empêché les industriels et les armées de converger sur le modèle idéal de l'avion du futur. Cinq architectures ont été étudiées. Il en restait encore deux avant l'été. De fait, les contraintes du motoriste réduisent encore les options. Un accord aurait été trouvé sur une masse de 15 à 16 tonnes. Les chefs d'état-major, qui se sont revus récemment, l'ont encore affirmé. Pour le général Tardif, les volontés militaires restent donc alignées, malgré les querelles entre Dassault et Airbus. Il reconnaît toutefois qu'il peut y avoir des nuances entre Paris et Berlin sur le calendrier, la France étant davantage pressée que sa voisine. Elle veut assurer la continuité de sa force de dissuasion nucléaire en 2040, alors que l'Allemagne aura les F-35, qui portent les bombes nucléaires américaines, et pourrait ainsi attendre davantage. Le général Tardif rappelle que le programme du SCAF va bien au-delà de l'avion de combat, puisqu'il s'agit d'un giga système informatique volant, avec un cloud tactique, des drones, de l'intelligence artificielle et une connectivité renforcée entre les plateformes aériennes, ce qui n'est pas un mince défi. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) il y a 5 heures Share Posté(e) il y a 5 heures 11 minutes ago, hadriel said: les Allemands penchent pour un avion de chasse capable de transporter beaucoup de drones face à l'ennemi Genre... Un A400M ? Rassurez moi, ils pensent quand même pas à faire du NGF un largueur de quadripcopters parrot ou d'un bombardier stratégique largueur de RC ?! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Patrick Posté(e) il y a 5 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 5 heures (modifié) Il y a 2 heures, Titus K a dit : Aujourd’hui, les F-35 arrivent à Florennes. Le système d’armes le plus controversé — mais aussi le meilleur — du siècle. Une GRANDE journée ! Lisez cette puissante chronique de mon rédacteur de discours Joren Vermeersch, publiée aujourd’hui dans De Standaard : « Ceux qui refusent la technologie d’armement américaine s’isolent eux-mêmes. » La semaine dernière, j’ai visité avec le secrétaire à la Défense Theo Francken et l’état-major militaire plusieurs grandes entreprises américaines de défense et de technologie dans trois États différents : le Texas, l’Arizona et la Californie. Notre première étape fut la spectaculaire usine Lockheed Martin de Fort Worth. Dans un immense hall de 1,6 km de long, on peut voir 250 F-35 à différents stades de fabrication. En voyant ce spectacle, on comprend immédiatement : la puissance industrielle américaine est colossale. Les États-Unis sont et restent l’arsenal de la démocratie. Dans cette usine, Lockheed Martin produit 15 F-35 par mois. Pour vous donner une idée, cela correspond à la production annuelle totale du Rafale français. Sur le plan technologique, le F-35 n’a aucun rival. L’appareil combine furtivité, capteurs de pointe et grande capacité d’emport. Grâce à des réseaux sécurisés, il peut créer une image opérationnelle partagée entre différentes plateformes et alliés. Dans le combat aérien moderne, cela représente la différence entre la vie et la mort. Aucun constructeur européen ne peut proposer un appareil comparable. Ainsi, la décision prise en 2018 de choisir le F-35 était parfaitement logique. Pourtant, cette décision a provoqué une forte agitation politique. Au sein du gouvernement, le MR du Premier ministre Charles Michel a exercé une pression intense pour acheter le Rafale de Dassault, jusqu’au tout dernier moment. Mais notre Force aérienne fut claire dans ses recommandations : le F-35 est inégalé. Et grâce à ses volumes de production considérables, il est désormais moins coûteux. Pourquoi alors tant de résistance contre le F-35 ? Parce que Lockheed Martin est une entreprise américaine. Certains affirmaient qu’il fallait acheter européen, car l’Europe veut atteindre « l’autonomie stratégique ». Cette critique a refait surface cette année, lorsque le gouvernement a décidé d’acheter 11 F-35 supplémentaires. Mais cet argument ne tient pas. Sur le plan industriel, le F-35 est même plus européen que le Rafale, qui est un produit strictement français. Toutes les grandes entreprises de défense que nous avons visitées aux États-Unis la semaine dernière ont souligné leur volonté de produire en Europe et d’impliquer les entreprises belges. Le F-35 en est un excellent exemple. Des centaines d’entreprises de huit pays européens participent à sa chaîne de production, dont les sociétés belges Syensco, ScioTec, BMT, Asco, Feronyl, Sabca et Sonaca. En Italie, Lockheed Martin assemble des F-35 avec des composants belges, et bientôt des fuselages allemands. De tels projets de défense pan-occidentaux, coordonnés par des entreprises américaines, ne sont pas nouveaux. Le F-16 fut déjà un projet multinational. Au moins 180 pièces étaient assemblées par Sabca à Gosselies (en Wallonie), et de nombreuses entreprises belges y contribuaient. En 1999, Lockheed Martin a lancé le programme Joint Strike Fighter, dont est issu le F-35. La Belgique fut alors invitée à participer, mais le gouvernement Verhofstadt I refusa. Les partis écologistes et socialistes du gouvernement de l’époque ne voulaient pas collaborer avec l’industrie de défense. Résultat ? Aucune nouvelle chaîne de montage pour l’usine de Gosselies. Elle fut installée en Italie, qui participa immédiatement au développement du F-35. Cette décision à courte vue a failli condamner à mort l’industrie aéronautique belge. Ce n’est que depuis la commande belge de 2018 que nos entreprises peuvent participer à la production et reprendre leur croissance. Entre-temps, de plus en plus de pays européens choisissent le F-35. Depuis 2020, Lockheed Martin a reçu des commandes de l’Allemagne, la Grèce, la Roumanie, la Finlande, la Pologne et la République tchèque. Une fois toutes les livraisons effectuées, au moins 13 forces aériennes européennes utiliseront le F-35. Cela offre un avantage considérable en matière de formation commune, de maintenance et d’interopérabilité. Et à chaque nouveau client européen, l’empreinte industrielle européenne au sein de Lockheed Martin s’accroît. Les utilisateurs du F-35 pourront aussi se connecter aux systèmes innovants développés aux États-Unis par des entreprises telles que General Atomics, Anduril, Boeing et Kratos. D’ici quelques années, chaque F-35 pourra opérer avec plusieurs drones armés à intelligence artificielle, agissant comme des « ailiers fidèles », ce qui augmentera exponentiellement sa puissance de feu. Des sociétés technologiques américaines comme Palantir développent également des logiciels d’IA inégalés, capables d’intégrer les données du F-35 avec celles des satellites et des drones de reconnaissance, pour créer une image opérationnelle unifiée. Un seul pays européen refuse toute coopération multinationale avec l’industrie américaine de défense : la France. Tel un village gaulois entouré de Romains, ce pays poursuit une autonomie nationale dans le domaine de la défense et de l’industrie. Résultat de cet isolationnisme technologique : des systèmes d’armes plus coûteux et moins performants, plus difficiles à intégrer avec ceux des alliés européens. Les quatre premiers F-35 sur un total de 45 arrivent aujourd’hui en Belgique. Une fois équipés des missiles AMRAAM de dernière génération de Raytheon, ils seront technologiquement supérieurs à tout ce que possède l’armée de l’air française. S’il y a une chose que m’a apprise cette semaine intense de visites aux États-Unis, c’est bien celle-ci : Ceux qui refusent la technologie d’armement américaine s’isolent eux-mêmes. PHOTO : Cette semaine, sur le site mondial de développement Skunk Works de Lockheed Martin à Palmdale, la société belge Asco (basée à Zaventem) a signé un contrat avec Lockheed Martin. Elle fournira des composants essentiels pour le meilleur avion de chasse au monde. De plus en plus d’entreprises belges rejoignent ainsi la chaîne de production du F-35. Putain mais quel rageux... J'arrive pas à me décider s'il est pire que Dedonder ou pas... Dans cette usine, Lockheed Martin produit 15 F-35 par mois. Pour vous donner une idée, cela correspond à la production annuelle totale du Rafale français. Félicitations. Et c'est supposé déclencher quelle réaction chez nous? Il voudrait qu'on fasse quoi? Qu'on produise 15 F-35 sous licence par mois? ??? Ah sinon en 2024 la production c'était 21 Rafale, et d'ici fin 2025 ce sera 25, pas 15. Sinon les USA sont 5 fois plus peuplés, ont un budget de la défense 12 fois plus grand, un PIB 20 fois supérieur, et le F-35 est supposé remplacer A-10, F-16, F-18, Harrier, une partie des F-15, et j'en oublie certainement. Le programme dispose aussi d'une ribambelle de clients captifs et a débuté avec 8 clients-partenaires exports... Malgré cela le Rafale s'est vendu à 323 exemplaires à l'export contre 1098 F-35 vendus à l'export. Bon certes il faudrait aussi ajouter les ribambelles de F-16, F-15, et quelques F-18, vendus depuis que le Rafale est proposé à l'international soit depuis 25 ans, mais néanmoins, si on considère que les ventes de Rafale sont survenues entre 2015 et 2025, et qu'entre 2015 et 2021 il était le chasseur se vendant le plus dans le monde, je ne pense pas que la France ait à rougir. Aucun constructeur européen ne peut proposer un appareil comparable. Et ben pourquoi il veux entrer dans le programme FCAS alors? Celui mené par... le constructeur du Rafale. Au sein du gouvernement, le MR du Premier ministre Charles Michel a exercé une pression intense pour acheter le Rafale de Dassault, jusqu’au tout dernier moment. Ce n'est littéralement jamais arrivé... De la pure fake news. Je rêve... Le mec est MINDEF et totalement en roue libre... Si Charles Michel avait voulu faire gagner le Rafale il aurait incité le gouvernement Français à pousser Dassault à participer à la compétition, Dassault y seraient allés avec des garanties d'être pris au sérieux. Comme ils sont allés en Suisse (deux fois) et en Finlande! Au lieu de ça Dassault n'a pas voulu aller en Belgique, sachant très bien à quoi s'attendre, et pire encore, se prenant en pleine face des fins de non-recevoir de la part de toute l'industrie Belge concernée qui ne voulait plus entendre parler de Dassault et se jetait dans l'inconnu en espérant atterrir dans les bras de Lockheed Martin! Et à la fin c'est le gouvernement Français qui a poussé pour faire une offre hors-cadre en lieu et place de son propre industriel alors que Dassault n'avaient rien demandé à personne à la base!!! Dassault, qui pourtant étaient présents industriellement depuis des décennies en Belgique, ont reçu quolibets, insultes, insinuations, campagne de dénigrement, etc. Si bien qu'à la fin ils ont carrément revendu la SABCA comprenant bien le message et le fait qu'ils n'avaient plus rien à faire là. Mais à la fin de cette pantalonnade, de ce Vaudeville, on a entendu des politiques belges déclarer dans la même phrase qu'ils "ne voulaient plus d'une affaire Dassault" (???) mais allaient "investir 300 millions dans le FCAS". Paie ta schizophrénie. Mais cet argument ne tient pas. Sur le plan industriel, le F-35 est même plus européen que le Rafale, qui est un produit strictement français. Les USA sont en Europe mesdames et messieurs. Toutes les grandes entreprises de défense que nous avons visitées aux États-Unis la semaine dernière ont souligné leur volonté de produire en Europe et d’impliquer les entreprises belges. "Souligné leur volonté". D'accord. Et elles ont SIGNÉ quoi? Des centaines d’entreprises de huit pays européens participent à sa chaîne de production, dont les sociétés belges Syensco, ScioTec, BMT, Asco, Feronyl, Sabca et Sonaca. ...Des entreprises Belges... Ou leurs filiales Américaines? Parce que les entreprises Françaises, ou plutôt les filiales Américaines de Michelin (pneus) SAFT (batteries électriques) Air Liquide (système de génération d'oxygène à bord) SAFRAN (boitiers d'écrans du tableau de bord) Nyco (fluides hydrauliques, déjà présente sur le F-22) SOCOMORE (composites thermodurcissables prêts à mouler) LASELEC (marquage des câbles électriques) sont donc elles aussi présentes sur le F-35. Et pourtant la France n'a acheté aucun F-35... Mais bon, peut-être est-il plus Français qu'il n'est Belge? Une fois toutes les livraisons effectuées, au moins 13 forces aériennes européennes utiliseront le F-35. Cela offre un avantage considérable en matière de formation commune, de maintenance et d’interopérabilité. Et à chaque nouveau client européen, l’empreinte industrielle européenne au sein de Lockheed Martin s’accroît. Pour les deux premières phrases, oui ça se défend. Pour la troisième, quand on voit ce qui est transféré, il n'y a pas de quoi se pavaner. Les utilisateurs du F-35 pourront aussi se connecter aux systèmes innovants développés aux États-Unis par des entreprises telles que General Atomics, Anduril, Boeing et Kratos. Rien n'interdit à d'autres matériels de pouvoir faire la même chose. C'est s'ils ne le pouvaient pas qu'il y aurait anormalité. Un seul pays européen refuse toute coopération multinationale avec l’industrie américaine de défense : la France. Oh non alors, c'est jaaaamais arrivé. Tel un village gaulois entouré de Romains, ce pays poursuit une autonomie nationale dans le domaine de la défense et de l’industrie. Et nous en sommes très fiers. Résultat de cet isolationnisme technologique : des systèmes d’armes plus coûteux et moins performants, plus difficiles à intégrer avec ceux des alliés européens. Il faut d'urgence dire ça à nos clients export, notamment ceux qui achètent Français ET Américain! Je pense qu'ils ont besoin de l'expertise de monsieur francken à ce sujet! Ah, sinon, nos matériels, quoiqu'en pense monsieur Francken, sont, eux, souverains. En clair: on peut faire ce qu'on veut avec. Qu'il nous raconte à quel point la Belgique pourra faire ce qu'elle veut avec ses F-35. Comme aller bombarder la russie toute seule un beau matin... Je veux voir sa tronche quand il recevra sur son bureau une note expliquant: "les Américains refusent de nous envoyer les mission data files et vous avez un appel urgent du département d'état". Putain mais quel clown. Les quatre premiers F-35 sur un total de 45 arrivent aujourd’hui en Belgique. "QUATRE"? AH BON? *profonde inspiration* HAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHAHA Une fois équipés des missiles AMRAAM de dernière génération de Raytheon, ils seront technologiquement supérieurs à tout ce que possède l’armée de l’air française. Félicitations, il veut nous faire la guerre avec? Il a l'intention de remplacer l'AAE sur le flanc est de l'OTAN? Non? Alors qu'il nous parle plutôt de la russie. ...Sérieux tout ce message pue la morgue et suinte la rage! Qui est ce type? Une espèce d'adolescent attardé? Il a laissé son fils de 14 ans écrire le message à sa place? S’il y a une chose que m’a apprise cette semaine intense de visites aux États-Unis, c’est bien celle-ci : Et moi s'il y a une chose que m'a apprise ce message c'est que Théo Francken est un sociopathe en liberté. Ceux qui refusent la technologie d’armement américaine s’isolent eux-mêmes. Oui! Et HEUREUSEMENT qu'on s'isole, parce que si c'est pour lire des conneries de ce genre c'est vraiment pas la peine d'essayer de se rapprocher d'individus de ce genre. EN ESPÉRANT QUE LE MESSAGE DE CE PITRE SERVIRA À NOS POLITIQUES À OUVRIR LES YEUX SUR LA "PARTICIPATION" DE LA BELGIQUE DANS LE FCAS. ET SUR LE FCAS TOUT COURT. ET EN ESPÉRANT AUSSI QUE LES INDUSTRIELS BELGES DE LA DÉFENSE, AUXQUELS LA FRANCE ACHÈTE BEAUCOUP DE CHOSES, SERONT ASSEZ MALINS POUR SE FENDRE DE DISCRETS COMMUNIQUÉS TRÈS DIPLOMATIQUES À LEURS HOMOLOGUES AINSI QU'AU MINARM, RAPPELANT QU'ILS VALORISENT LES RELATIONS QU'ILS ONT AVEC L'ÉTAT FRANÇAIS ET AVEC LES ENTREPRISES DE DÉFENSE FRANÇAISES. Il y a des limites au foutage de gueule. Et qu'il ne vienne plus jamais réclamer du workshare à Dassault. Modifié il y a 5 heures par Patrick 2 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Myrtil Posté(e) il y a 5 heures Share Posté(e) il y a 5 heures 2 hours ago, francois said: Bon c est bien, les belges s'auto éjectent du scaf A ce stade, je prefererais que nous en sortions et qu'eux y restent. 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rouletabille Posté(e) il y a 4 heures Share Posté(e) il y a 4 heures Par contre, niveau com', les Belges ont complètement pété un boulon... Quoi qu'ils en pensent en off, des commentaires pareils, sur le Facebook de leur MinDef, c'est vraiment ahurissant. Trump aura marqué le monde de son empreinte de bien des manières... 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) il y a 4 heures Share Posté(e) il y a 4 heures il y a 15 minutes, Rouletabille a dit : Par contre, niveau com', les Belges ont complètement pété un boulon... Quoi qu'ils en pensent en off, des commentaires pareils, sur le Facebook de leur MinDef, c'est vraiment ahurissant. Trump aura marqué le monde de son empreinte de bien des manières... Trump est un symptôme lui aussi, pas une cause. La cause est bien plus profonde. Quant aux comportements des POTUS, doit-on ressortir les dingueries de biden également? Obama en avait bien sorti quelques-unes, et que dire de Bush fils... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures il y a 53 minutes, Patrick a dit : Trump est un symptôme lui aussi, pas une cause. Par son comportement et son language de poissonnier (pardon pour ce métier) qui distribue les claques et les bons points en salves fleuries, Trump a fait émerger une ribambelle de courtisans-lèches-culs ... et la Belgique en a au moins un de bien placé Sur le fond c'est plus complexe. Du Mali aux USA, en passant par la Chn, la Russie, la Corée le monde est plein de despotes aux pouvoirs effrayants Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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