Alberas Posté(e) le 11 novembre Share Posté(e) le 11 novembre il y a 55 minutes, herciv a dit : Le premier de ses roles est de ne pas passer pour une incompétente. Le message que ça envoi c'est que le courant nr passe pas avec les armées. En ce moment le premier de ses rôles est de contribuer à faire passer le budget. Pour le reste... 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hirondelle Posté(e) le 11 novembre Share Posté(e) le 11 novembre il y a 13 minutes, Alberas a dit : En ce moment le premier de ses rôles est de contribuer à faire passer le budget. Pour le reste... Pour le reste elle vire aussi le DGA Chiva apparemment : on en parle quelque part ? J’ai pas vu… Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 11 novembre Share Posté(e) le 11 novembre il y a 2 minutes, Hirondelle a dit : Pour le reste elle vire aussi le DGA Chiva apparemment : on en parle quelque part ? J’ai pas vu… Si, ça a été discuté. Mais pour quelle raison il a été viré ? ???? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 11 novembre Share Posté(e) le 11 novembre il y a 3 minutes, Hirondelle a dit : Pour le reste elle vire aussi le DGA Chiva apparemment : on en parle quelque part ? J’ai pas vu… Oui ici 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Myrtil Posté(e) le 11 novembre Share Posté(e) le 11 novembre 17 minutes ago, Alberas said: En ce moment le premier de ses rôles est de contribuer à faire passer le budget. Pour le reste... Je suis tente de dire que c'est le second car le budget en question n'a pas ete etabli par elle et je dois dire que son parcours vit sans elle. Ca me semble bien compris des parlementaires. Par contre, sur la table, elle a la formulation et la presentation de la future revision de la LPM. Et autant je ne suis pas pour aller lui chercher des poux mais quand meme douter du nombre de SNLE en France... c'est sans doute beaucoup a absorber pour quelqu'un peu eduque au domaine jusqu'alors mais malheureusement pour tout le monde, le temps elle n'en a pas beaucoup pour cet objectif majeur, ni pour la defense des interets industriels. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre Il y a 4 heures, Alberas a dit : Si, ça a été discuté. Mais pour quelle raison il a été viré ? ???? On ne sait même pas s'il a été viré. On sait qu'il est remplacé, c'est tout. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Manuel77 Posté(e) le 12 novembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 12 novembre (modifié) Entre concept et réalité – Le programme européen d'avions de combat cherche sa voie https://defence-network.com/zwischen-konzept-realitaet-fcas-sucht-den-kurs/ Lors du sommet Air Force Tech Summit, la complexité et la charge politique du programme européen FCAS sont apparues clairement. Hier, le colonel Jörg Rauber, IC I 1 FCAS au ministère fédéral allemand de la Défense, a présenté un rapport d'étape actualisé. Entre visions technologiques, intérêts nationaux et pression du temps, un projet gigantesque visant à garantir la souveraineté aérienne de l'Europe en 2040 est en cours (te). Beaucoup de choses bougent, mais certaines semblent stagner. Ceux qui ont suivi la présentation lors du sommet Air Force Tech Summit ont pu se faire une idée honnête du Future Combat Air System (FCAS) européen : ambitieux, complexe et plein de frictions internes. Le colonel Rauber a commencé son exposé par les changements organisationnels. Il n'a plus de général ; le FCAS n'est plus traité au ministère que comme un service dont les effectifs ont été réduits de moitié. Depuis 2017, on travaille sur la base conceptuelle qui doit définir la prochaine génération d'avions de combat et de drones d'accompagnement sans pilote en Europe. La vision : un système interconnecté de plateformes pilotées et sans pilote qui agissent en réseau, partagent des données, détectent plus rapidement les menaces et réagissent avec souplesse à l'évolution des scénarios d'intervention. Un système qui ose faire le saut du présent vers l'ère de la guerre aérienne autonome. ..…… FCAS – Passage à la phase 2 Jusqu'à présent, le développement en était à la phase 1B. Seul problème : le FCAS est encore confronté à des lacunes issues de la phase précédente. Chaque nation aurait d'abord développé ses propres concepts, qui auraient ensuite dû être combinés entre eux. « Mais nous n'avons pas réussi », regrette le colonel Rauber, « à coordonner cela au niveau trinational et à aboutir à une architecture commune ». Les idées des partenaires divergent notamment en ce qui concerne le démonstrateur d'un nouvel avion. Or, la phase 2 du projet, qui doit débuter prochainement, doit aboutir à des démonstrateurs déjà aptes au vol. « Le temps presse », a-t-on donc répété hier à Berlin. Le FCAS doit être opérationnel en 2040. Un objectif qui ne pourrait être plus ambitieux. Alors que certaines technologies telles que les moteurs, les capteurs et la mise en réseau des données sont développées en parallèle, des questions centrales restent en suspens : à quoi ressemblera l'architecture finale ? Jusqu'où va l'autonomie nationale avant de compromettre l'objectif commun ? Équilibre mondial generale sous pression C'est précisément là que se manifestent de profonds fossés entre les partenaires que sont la France, l'Allemagne et l'Espagne. Des priorités divergentes, des intérêts industriels différents et des conceptions divergentes quant aux profils d'intervention entravent les progrès. L'équilibre entre participation nationale et ligne européenne commune reste l'un des principaux défis à relever. Le colonel Rauber a présenté à ce sujet un graphique représentant les composants nationaux du FCAS sous forme de plusieurs barres, reflétant une répartition équitable et équilibrée. « Cet équilibre global est aujourd'hui remis en question par des propositions visant à privilégier davantage les systèmes individuels pour les avions et les systèmes sans pilote au niveau national. Cela rompt bien sûr complètement l'équilibre. C'est le défi central auquel est actuellement confronté le programme lors du passage à la phase 2 », a expliqué le colonel Rauber. Récemment, un fabricant français a de nouveau réclamé davantage de nationalité. « De notre point de vue – et c'est la position nationale », a déclaré le colonel Rauber, « nous voulons poursuivre dans cette voie ». Rauber a toutefois ajouté : « Si cela ne fonctionne pas, nous devrons réfléchir à des alternatives. » Le colonel arrive à la conclusion suivante : oui, il faut continuer. La question est seulement : comment ? Une décision doit être prise au niveau politique d'ici la fin de l'année. Le colonel Rauber n'a pas souhaité s'exprimer sur les alternatives concrètes si le FCAS venait à échouer définitivement. Modifié le 12 novembre par Manuel77 5 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
iborg Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre Citation « Cet équilibre global est aujourd'hui remis en question par des propositions visant à privilégier davantage les systèmes individuels pour les avions et les systèmes sans pilote au niveau national. Cela rompt bien sûr complètement l'équilibre. Une allusion au Rafale F5+UCAS? 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Lordtemplar Posté(e) le 12 novembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 12 novembre 4 minutes ago, iborg said: Une allusion au Rafale F5+UCAS? ou bien a Airbus DS + Kratos ou Rheinmetall + Anduril? 2 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Asgard Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre Quote « Mais nous n'avons pas réussi », regrette le colonel Rauber, « à coordonner cela au niveau trinational et à aboutir à une architecture commune ». Les idées des partenaires divergent notamment en ce qui concerne le démonstrateur d'un nouvel avion. Or, la phase 2 du projet, qui doit débuter prochainement, doit aboutir à des démonstrateurs déjà aptes au vol. Je croyais que c'était la DGA qui était en charge de ca sur le SCAF, et les allemands sur le MGCS ? Donc les allemands ont mis en // des français toute une équipe complète afin de définir ce que devrait être leur avion idéal (qui n'a pas les meme contraintes que la Fr), leur concept, puis ensuite demander aux français de le prendre en compte dans le projet ?! 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre (modifié) Le 12/11/2025 à 13:18, Manuel77 a dit : Lors du sommet Air Force Tech Summit, la complexité et la charge politique du programme européen FCAS sont apparues clairement. Hier, le colonel Jörg Rauber, IC I 1 FCAS au ministère fédéral allemand de la Défense, a présenté un rapport d'étape actualisé. Etape suivante : un Adjudant-Chef comme responsable du SCAF au ministère de la Défense Allemand ! ( je n'ai rien contre les Adjudants Chefs, qui honorent les sous-officiers de l'AdT ) Cela va dans le bon sens ! Bravo Modifié le 14 novembre par Bechar06 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. HK Posté(e) le 12 novembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 12 novembre (modifié) 3 hours ago, Manuel77 said: Lors du sommet Air Force Tech Summit, la complexité et la charge politique du programme européen FCAS sont apparues clairement. Hier, le colonel Jörg Rauber, IC I 1 FCAS au ministère fédéral allemand de la Défense, a présenté un rapport d'étape actualisé. Il y a eu une autre intervention allemande, assez clair et nette sur leurs intentions d'abandoner le programme pour se recentrer sur leurs solutions nationales. Cela vient du représentant de la DGA allemande (BAAINBw): https://table.media/en/security/news-en/fcas-air-defense-system-germany-wants-national-solutions Quote FCAS air defense system: Germany wants national solutions The future of FCAS is more uncertain than ever: Instead of the Franco-German-Spanish cooperation, Berlin is aiming for its own project that relies on unmanned systems to complement the Eurofighter and the US F-35 fighter aircraft, the "Combat Fighter System of System Nucleus” (CFSN). The focus will no longer be on the new Next Generation Fighter (NGF) from the French company Dassault, but on the Eurofighter and the US F-35, as part of CFSN, explained Martin Heltzel, who is responsible for FCAS at the BAAINBw, at the “Air Force Tech Summit” in Berlin on Tuesday. This is about strengthening "national technological developments," according to Heltzel. Germany would be the first country in Europe to operationalize “an unmanned platform” as part of CFSN, he said. FCAS consists of an NGF and unmanned systems. They are to communicate within a “Combat Cloud” network. In the German CFSN, Eurofighters and F-35s, of which Germany has ordered three dozen, are to communicate with each other. France would be left out of this system. This would mean a de facto termination of the joint FCAS project and, in turn, increase dependence on the US F-35. France continues to claim the leading role in the joint program. “We have not managed to agree on a system concept,” explained Colonel Jörg Rauber, responsible for FCAS at the Ministry of Defense. Above all, it is unclear what the Next Generation Fighter must be able to do. France attaches great importance to the aircraft being able to carry nuclear weapons and land on an aircraft carrier. Should FCAS fail with France, the Swedish company Saab would be ready as a partner, as CEO Micael Johansson explains in an interview with Table.Briefings. Modifié le 12 novembre par HK 1 2 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capmat Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre il y a 8 minutes, HK a dit : Il y a eu une autre intervention allemande, assez clair et nette sur leurs intentions. Cela vient du représentant de la DGA allemande (BAAINBw): https://table.media/en/security/news-en/fcas-air-defense-system-germany-wants-national-solutions SAAB rejoindrait le programme NGF allemand ?........ Ou....rejoindrait l'expertise française.....? Je ne suis pas sûr que l'affaire soit déjà tranchée. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
HK Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre Just now, capmat said: SAAB rejoindrait le programme NGF allemand ?........Ou....rejoindrait l'expertise française.....? SAAB se disent prets a contribuer aux systeme de combat allemand (drones/CCA, guerre electronique, potentiellement un chasseur furtif). Bien sur que la France pourrait faire des appels de pied pour integrer SAAB dans le NGF francais et le Neuron 2.0 (vu qu'ils ont participe au Neuron 1.0)... mais ce n'est pas semble-t-il a l'ordre du jour et les seules discussions qu'on sait a l'heure actuelle ont lieu entre Suedois et Allemands. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre Il y a 20 heures, Myrtil a dit : Et autant je ne suis pas pour aller lui chercher des poux mais quand meme douter du nombre de SNLE en France... c'est sans doute beaucoup a absorber pour quelqu'un peu eduque au domaine jusqu'alors mais malheureusement pour tout le monde, le temps elle n'en a pas beaucoup pour cet objectif majeur, ni pour la defense des interets industriels. Oui, c'est vrai que ça fait tache pour un ministre des armées. Mais je me souviens que cette même question avait été posée à un candidat à la PR (ça fait longtemps, je ne sais plus qui) et lui aussi n'avait pas mieux répondu. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre il y a 16 minutes, Alberas a dit : Oui, c'est vrai que ça fait tache pour un ministre des armées. Mais je me souviens que cette même question avait été posée à un candidat à la PR (ça fait longtemps, je ne sais plus qui) et lui aussi n'avait pas mieux répondu. Pour l’anecdote, je me souviens aussi du journaliste qui pose la "question piège" et donne une mauvaise réponse, ce qui me parait encore pire. Avec la pression, c'est très facile de donner une mauvaise réponse et c'est malheureusement aussi facile de croire à une mauvaise réponse. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
paulwingwing Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre Tout le monde abat ses cartes, les Allemands peuvent faire sans nous, on peut faire sans eux... Restent les Espagnols qui peuvent se raccrocher à un des deux partenaires, sans embêter personne je suppose. Ou qui peuvent se rabattre sur du F-35. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Manuel77 Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre D'autres indices laissent penser qu'il pourrait y avoir quelque chose entre Saab et les Allemands. Mais le problème demeure, car Saab est en réalité synonyme de petits avions monomoteurs : https://militaeraktuell.at/schweden-saab-entwicklung-kampfjet-demonstrator/ Dans cet article, le directeur général de Saab se recommande comme partenaire pour le FCAS, mais je n'ai malheureusement pas accès à cet article : https://table.media/security/interview/saab-ceo-johansson-wir-koennen-ein-faehiger-partner-fuer-fcas-sein 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MatOpex38 Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre Citation L'avenir du FCAS est plus incertain que jamais : au lieu de la coopération franco-germano-espagnole , Berlin vise son propre projet qui s'appuie sur des systèmes sans pilote pour compléter l'Eurofighter et l'avion de chasse américain F-35, le « Combat Fighter System of System Nucleus » (CFSN). L'accent ne sera plus mis sur le nouveau chasseur de nouvelle génération (NGF) de Dassault, mais sur l'Eurofighter et le F-35 américain, dans le cadre du CFSN, a expliqué Martin Heltzel, responsable du FCAS à l'Académie navale d'aviation de Berlin (BAAINBw), lors du Sommet technologique de l'Armée de l'air qui s'est tenu mardi à Berlin. Il s'agit de renforcer le développement technologique national, a-t-il précisé. L'Allemagne serait le premier pays européen à rendre opérationnelle une plateforme sans pilote dans le cadre du CFSN, a-t-il ajouté. donc ils cherchaient bien les secrets de conception de DA, puisqu'ils préfèrent les ricains, kratos anduril etc.. et le F35 Citation Le FCAS comprend un NGF et des systèmes sans pilote. Ces derniers doivent communiquer au sein d'un réseau de « cloud de combat ». Dans le CFSN allemand, les Eurofighter et les F-35, dont l'Allemagne a commandé une trentaine d'exemplaires, doivent communiquer entre eux. La France serait exclue de ce système. Cela signifierait l'arrêt de facto du projet conjoint FCAS et, par conséquent, une dépendance accrue vis-à-vis du F-35 américain. la France exclue d'un système OTAN? Rêve, euhh pas besoin de F35 pour qu'ils soient dépendant des US, avec eux le system de system scaf était 70% US AMAZON etc.. Citation La France continue de revendiquer le rôle de chef de file du programme conjoint. « Nous ne sommes pas parvenus à nous entendre sur un concept de système », a expliqué le colonel Jörg Rauber, responsable du FCAS au ministère de la Défense. Surtout, les capacités requises pour le Next Generation Fighter restent floues. La France attache une grande importance à ce que l'appareil puisse emporter des armes nucléaires et se poser sur un porte-avions. Si le FCAS n'aboutit pas avec la France, la société suédoise Saab serait prête à prendre le relais, comme l'explique son PDG, Micael Johansson, dans un entretien avec Table.Briefings. non le concept est clair et nette, donc pipo! les capacités de lancer un missile? ils pourront pas les allemands? les NGF français auront un train renforcé, et ça ne les regarde pas, c'est nous qui le développons avec nos moyens SAAB propose un avion monomoteur, si ils s'inquiète de la facture pour lancer un missile, ils en lanceront encore moins avec ce que recherchent les suédois, qui eux auront besoin 60% du package de l'extérieur puis les dates ne correspondent pas, un avion de 7e génération? hé les gars, vive l'Europe lol 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MatOpex38 Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre (modifié) il y a 23 minutes, Manuel77 a dit : D'autres indices laissent penser qu'il pourrait y avoir quelque chose entre Saab et les Allemands. Mais le problème demeure, car Saab est en réalité synonyme de petits avions monomoteurs : https://militaeraktuell.at/schweden-saab-entwicklung-kampfjet-demonstrator/ Dans cet article, le directeur général de Saab se recommande comme partenaire pour le FCAS, mais je n'ai malheureusement pas accès à cet article : https://table.media/security/interview/saab-ceo-johansson-wir-koennen-ein-faehiger-partner-fuer-fcas-sein Citation concepts, dont les détails restent à préciser, dans le cadre d'une « Phase 2 », Edström, directeur de la FMV, a expliqué : « Compte tenu des longs cycles de développement dans le domaine des avions de combat, il est crucial d'acquérir des connaissances, de tester les technologies et de préparer dès maintenant les décisions futures. Nous avons commencé ce travail et nous le poursuivrons. » ils sont super avancé, les Allemands qui sont pressés devraient aimer, mais bon, ils préfèrent les départementales aux portes avions, c'est le coup de pipo ultime, irrationnel avec leurs supposés "besoins" , ça n'a aucun sens, c'est pour faire plier la France Modifié le 12 novembre par MatOpex38 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre il y a 6 minutes, Manuel77 a dit : car Saab est en réalité synonyme de petits avions monomoteurs : Le Viggen n’était pas si petit que ça ... Le gros F-4 n’était que 40% plus gros. Réduire Saab au Gripen serait dommage. 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Chimera Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre il y a 12 minutes, Manuel77 a dit : D'autres indices laissent penser qu'il pourrait y avoir quelque chose entre Saab et les Allemands. Mais le problème demeure, car Saab est en réalité synonyme de petits avions monomoteurs : https://militaeraktuell.at/schweden-saab-entwicklung-kampfjet-demonstrator/ Dans cet article, le directeur général de Saab se recommande comme partenaire pour le FCAS, mais je n'ai malheureusement pas accès à cet article : https://table.media/security/interview/saab-ceo-johansson-wir-koennen-ein-faehiger-partner-fuer-fcas-sein Resumé par ChatGPT de son interview, Saab se positionne officiellement sur le FCAS au moment où le point de rupture approche. Saab cherche à se marier avec un des deux sortants, je parie sur l'Allemagne compte tenu de la teneur des propos: Citation Voici un résumé détaillé et structuré de l’entretien accordé par Micael Johansson, PDG de Saab AB, au média allemand Table.Briefings (publié le 12 novembre 2025). Ce résumé compile l’ensemble des informations accessibles publiquement, en restituant fidèlement les thèmes, les arguments et le ton de l’interview. Contexte de l’entretien Micael Johansson s’exprime dans un moment stratégique pour l’industrie européenne de défense, marquée par : la guerre en Ukraine, qui a réveillé la demande en matériel militaire ; la montée des budgets de défense dans toute l’Europe ; la compétition autour du programme franco-allemand-espagnol FCAS (Future Combat Air System), auquel Saab espère être associé d’une manière ou d’une autre. Saab veut « être un partenaire capable » pour FCAS Johansson affirme que Saab dispose des compétences technologiques et industrielles nécessaires pour contribuer utilement au FCAS, notamment dans : les systèmes embarqués (capteurs, communications, gestion de mission) ; l’intégration logicielle ; les solutions de guerre électronique ; et la maîtrise de plateformes complètes, grâce à l’expérience du chasseur Gripen E. « Nous pouvons être un partenaire capable pour FCAS », déclare-t-il, insistant sur la flexibilité de Saab et sa capacité à coopérer au-delà des frontières nationales. Cependant, il reconnaît que le FCAS reste un projet très fermé, dominé par Dassault Aviation, Airbus Defence and Space et Indra, et que l’intégration d’un acteur comme Saab ne dépendra que d’une ouverture politique et industrielle plus forte du programme. Une vision critique de la fragmentation européenne Johansson déplore une Europe de la défense trop fragmentée, où chaque pays garde ses propres spécifications, systèmes et priorités : Cela ralentit la production et rend les programmes peu rentables. L’absence d’un cadre commun freine la montée en puissance industrielle, pourtant nécessaire face à la demande croissante. « Tant que chaque pays développera sa propre version d’un même système, nous ne pourrons pas atteindre les volumes nécessaires ni la standardisation requise pour une vraie autonomie européenne. » Il appelle à une standardisation accrue, citant l’exemple de l’OTAN, où la compatibilité des équipements permet une meilleure efficacité opérationnelle. Le rôle du Gripen E comme modèle Le PDG présente le Gripen E comme une plateforme agile et modulaire, illustrant ce que Saab veut proposer à l’Europe : Un avion de chasse performant, mais adaptable, capable d’évoluer avec les besoins ; Une architecture ouverte facilitant l’intégration d’équipements nationaux ; Une maintenance et une logistique simplifiées. Johansson met en avant la philosophie du Gripen : offrir un système complet à coût maîtrisé, sans dépendance excessive à un seul fournisseur. « Nos clients veulent aujourd’hui des systèmes flexibles, capables de s’adapter rapidement aux nouvelles menaces. » L’effet Ukraine et le retour du réalisme stratégique Interrogé sur l’impact de la guerre en Ukraine, Johansson note un changement de paradigme : Les pays européens réalisent que la production de défense doit redevenir soutenable et rapide ; L’attention se déplace vers la défense aérienne, les réseaux de données et l’intégration multi-capteurs ; Saab en profite pour accroître ses capacités de production, notamment en Suède et en Pologne. Il indique aussi que les États européens doivent passer de la planification à long terme à des livraisons concrètes à court terme, avec une logistique simplifiée. Une stratégie d’expansion prudente mais offensive Johansson explique que Saab : investit massivement dans la numérisation et la robotisation de ses lignes de production ; renforce sa présence en Europe centrale et en Allemagne, considérée comme un marché clé ; tout en restant indépendant, préfère multiplier les partenariats plutôt que les fusions. Son message central est clair : Saab veut être le pont entre les grandes puissances industrielles (France, Allemagne, Royaume-Uni) et les pays nordiques ou baltes, en proposant des solutions modulaires et interopérables. En conclusion Micael Johansson plaide pour une Europe de la défense plus intégrée et pragmatique, tout en défendant le modèle Saab : innovation rapide, modularité, et ouverture technologique. "Nous voulons être un acteur européen fort, mais libre de collaborer avec tous ceux qui partagent notre vision d’une défense agile, connectée et durable. " Souhaitez-vous que je vous prépare une version en français simplifiée et fluide (comme un article de presse de 1 page), ou une traduction fidèle du texte original anglais à partir des extraits accessibles ? Il veut plus d'Europe et plus de collab, plus de co-co-co. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MatOpex38 Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre Citation Johansson déplore une Europe de la défense trop fragmentée, où chaque pays garde ses propres spécifications, systèmes et priorités : Cela ralentit la production et rend les programmes peu rentables. L’absence d’un cadre commun freine la montée en puissance industrielle, pourtant nécessaire face à la demande croissante. « Tant que chaque pays développera sa propre version d’un même système, nous ne pourrons pas atteindre les volumes nécessaires ni la standardisation requise pour une vraie autonomie européenne. » Il appelle à une standardisation accrue, citant l’exemple de l’OTAN, où la compatibilité des équipements permet une meilleure efficacité opérationnelle. Le rôle du Gripen E comme modèle Le PDG présente le Gripen E comme une plateforme agile et modulaire, illustrant ce que Saab veut proposer à l’Europe : 1) eurofighter, vive le co co co 2) là j'ai rit 3) là j'ai reversé mon café, hilarant , il propose donc ITAR, full US OTAN, Full dépendant, bizarre pour une une vraie autonomie européenne 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Myrtil Posté(e) le 12 novembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 12 novembre 35 minutes ago, Manuel77 said: D'autres indices laissent penser qu'il pourrait y avoir quelque chose entre Saab et les Allemands. Mais le problème demeure, car Saab est en réalité synonyme de petits avions monomoteurs : https://militaeraktuell.at/schweden-saab-entwicklung-kampfjet-demonstrator/ Dans cet article, le directeur général de Saab se recommande comme partenaire pour le FCAS, mais je n'ai malheureusement pas accès à cet article : https://table.media/security/interview/saab-ceo-johansson-wir-koennen-ein-faehiger-partner-fuer-fcas-sein C'est assez logique. Un des déséquilibres dans la relation franco-allemande est que la France a un programme court-terme très cadré avec le Rafale F5 (qui s'annonce comme une évolution majeure) alors que la trajectoire eurofighter semble plus fluette. Je suis persuadé que ça contraint fortement les projections à moyen terme du SCAF. Au delà, je ne pense pas que le NGF soit la seule pierre d'achoppement, je pense que même le cloud collaboratif est un terrain miné. A ce titre, le vrai pivot n'est pas du cloud avec les Suédois mais ce qui se passe dans le GCAP. Nonobstant les problèmes de ce programme, il est raisonnablement "souverain" (dans le sens biaisé d'indépendance vis-à-vis des USA) et son périmètre est plus restreint, ce qui ouvre la voie vers un combat collaboratif plus large. Quant à SAAB, ils ont certainement plus d'intérêt à collaborer avec les Allemands pour étendre leur flotte mais ça sera une relation piégeuse de part et d'autre. Puis, avis très personnel, la mariée saab a beau avoir quelques beaux atours, ses sourires masquent mal son âge. Il n'y a rien d'affriolant dans ce qu'elle prévoit à moyen terme, outre une mise en oeuvre pénible du Gripen NG (la nouvelle génération d'avant). 1 1 2 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARPA Posté(e) le 12 novembre Share Posté(e) le 12 novembre il y a 20 minutes, Myrtil a dit : une mise en oeuvre pénible du Gripen NG (la nouvelle génération d'avant). C'est tellement vrai... le Gripen NG est la modernisation du Gripen en utilisant le réacteur du Super Hornet ... qui n’est plus produit. Quand le Gripen NG sera vraiment opérationnel, il aura un réacteur qui risque de faire 200 kg de plus que le M88 T-REX pour peut-être seulement 5 KN de plus. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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