U235 Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 4 hours ago, Boule75 said: Bernard Henry-Lévy, un gars particulièrement doué dans le maniement du carnet d'adresse, les mondanités, l'entrisme médiatique et qui, fort du soutien d'un impressionnant réseau, ou grâce à une capacité à insister sans limite pour qu'on parle de lui, a réussi à se rendre sur les lieux de nombreux conflits, à faire des photos, et à revenir en parler dans certains salons parisiens. Il n'est pas Ministre, pas élu, n'a pas me semble-t-il de responsabilités particulières, il ne représente que lui même mais réussit à faire parler de lui à chaque fois, et en rapporte probablement quelques récits édifiants à destination d'audiences faussement crédules mais qui continuent à l'inviter, avec son épouse, pour éviter d'avoir des emmerdes en ne l'invitant pas. A écrit (et/ou fait écrire) quelques romans lisibles. Chroniqueur au Point je crois, comme un certain nombre de "célébrités médiatico-mondaines" dont on pourrait se passer. Une aubaine, évidemment, pour tous les anti-sémites, pour toute une frange de l'extrême-droite au premier chef. Oh ce type, il doit être apparenté à l'un des nôtres aux États-Unis. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Niafron Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 @U235 Three questions: 1 You're american it seem, frome wich state and city? 2 Do you speak french or do you use a translator? 3 What is your general assessment about this conflict and why, according to you, some french people support Russia? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. U235 Posté(e) le 24 septembre 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 24 septembre 2022 Ça a été posté par un gars sur Telegram. Sa revue personnelle de l'expérience de la mobilisation. Triste, satisfaisant et amusant, tout cela en même temps. (traduit automatiquement du russe). Quote A PLUS TARD, CAMARADES ! En bref. Départ demain à 15 heures. Mon identité secrète a été réinitialisée, et ils m'ont nommé Shooter. Pas d'autorisation médicale. Rien du tout. J'ai une hernie pour aller chez le médecin-chef demain, mais sans le certificat, je ne sais pas ce qui va se passer. Nous aurons une discussion demain matin. Nous avons été affectés à la défense du territoire. L'entraînement dure de 2 à 4 semaines dans la banlieue de Moscou, sur la base du 2e gv. de la division de fusiliers motorisés Taman ou du 4e gv. Puis de 3 mois de service à l'arrière, à la frontière de la Russie. Comme vous le comprenez, à la frontière de la Russie avec des incréments territoriaux. C'est-à-dire, en Ukraine aussi. La date limite de démobilisation est inconnue en fait, mais ils ont essayé de nous rassurer en disant que la mobilisation est permanente, donc nous serons démobilisés quand ils prépareront un remplaçant pour nous. Passons maintenant à l'histoire de ce qui s'est passé. En bref, le temps est compté. Nous devions faire nos bagages et dormir un peu. 1) Pas de commission médicale. Pas une seule chose. On nous reprend ce qu'on avait quand on était enrôlé. Huit ans, il y a 15 ans. Il n'y a que le médecin-chef, qui est une femme compréhensive (soi-disant). Je lui parlerai demain, car aujourd'hui, je n'y suis pas arrivé. Il y avait un type assis avec nous qui s'est fait défoncer le visage par un alcoolique l'autre jour. Ne peut pas voir de l'œil gauche (œil en place), la moitié gauche de son visage est froncée sous la peau du fer. En plus, il est professeur d'éducation physique dans une école primaire. Assis avec nous de 10h à 20h30, ils l'ont laissé rentrer chez lui... parce qu'à la fin de la journée, les instructions étaient que les enseignants devaient rentrer chez eux. Pas parce que son visage est sur des charnières. 2) La mobilisation a été annoncée le 21, le premier lot a été envoyé la nuit dernière. La deuxième fournée ce soir. Nous partons demain. Il n'y a PAS de temps pour acheter du matériel, pour terminer les affaires personnelles. La femme de l'un va avoir un bébé dans un mois - on s'en fout. L'autre a un appartement loué à déménager - merde. Un prêt ? Fais chier. Le seul fils de la famille ? Fais chier. Nous avions un homme avec nous, âgé de 49 ans. Un fils a fait son service militaire cet été, l'autre a été mobilisé hier. Ils le mobilisent aussi. Personne à qui laisser l'appartement ou la maison. On lui a promis une solution par le biais du département social. La merde la plus importante : vous pourriez faire la queue pour une convocation à 16 heures. Vous obtiendrez un rendez-vous pour le jour même, à 17 h. Ils sont foutus. Parce que vous... vous devrez en quelque sorte vous téléporter chez vous pour obtenir votre TIN, votre SNILS et vos coordonnées bancaires afin que la ville de Moscou vous verse la surtaxe Sobianin. Quatre personnes sont parties sans TIN, SNILS et détails de carte de cette façon. Tout simplement parce que le plan prévoyait d'envoyer 60 personnes aujourd'hui et que le bureau d'enregistrement et d'enrôlement militaire n'en avait que 35. Putain de salopes. 3) Organisation. Nous étions environ 100-120. Il y avait environ 5 personnes travaillant avec nous dans 3 bureaux. La vitesse est celle d'un escargot, comme vous pouvez l'imaginer. Il n'y avait qu'une seule toilette, nous n'avions plus de papier le soir. Les gens sont venus du travail pour "clarifier les données", certains étaient déjà partis pour la base Ru-TrO. Naturellement, la plupart d'entre eux n'avaient même pas de bouteille avec eux ; la plupart d'entre nous n'avaient rien mangé de toute la journée, 10 heures du matin. Et j'ai dormi entre 3 et 7 heures. Ceux qui ont imaginé un tel plan de mobilisation, où les mobilisés ne bénéficient pas d'au moins 3 à 7 jours pour terminer les choses, n'en ont rien à foutre non plus. Ces auteurs d'un tel plan sont des PRESTRUCTEURS DE MOUVEMENTS et des ennemis de la RUSSIE. _________ En fait, jusqu'à présent, la mobilisation en Russie ressemble à la mobilisation en LNR/DNR. Tout aussi foireux et criminel en termes d'organisation. Si nous ne recevons pas une formation de combat appropriée et que nous sommes abandonnés avec de l'argent, nous sommes à 100% aussi dérangés et criminels que la LNR et la DNR. ___________ Un exemple typique de tout cela. Quand on a envoyé le groupe de gars d'aujourd'hui, le commissaire militaire a parlé de défendre la patrie. Il y a eu des rires en réponse. Le commandant militaire nous a donné l'occasion de poser des questions. Un type a demandé : - Poutine me donnera-t-il sa montre comme cadeau pour mon service ? Je veux vraiment sa montre. Le commandant militaire a répondu en plaisantant : - Si tu reviens, je te donnerai une montre. Les plus astucieux ont maintenant tout compris de l'attitude des gens. Le prêtre a ensuite aspergé tout le monde d'eau bénite et les a baptisés, ce à quoi la plupart ont réagi en silence comme une perte de temps inutile. ___________ C'est le cas. ___________ Je vais revenir en vie et en bonne santé contre toutes les putains de chances. Mais ça, c'est de la merde. 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Niafron Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 (modifié) il y a 10 minutes, U235 a dit : Ça a été posté par un gars sur Telegram. Sa revue personnelle de l'expérience de la mobilisation. Triste, satisfaisant et amusant, tout cela en même temps. (traduit automatiquement du russe). Tu peux indiquer la source s'il te plaît? Edit: ça fait froid dans le dos, j'aimerais transmettre, mais je voudrais l'original avant. Modifié le 24 septembre 2022 par Niafron 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
U235 Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 3 minutes ago, Niafron said: Tu peux indiquer la source s'il te plaît? Edit: ça fait froid dans le dos, j'aimerais transmettre, mais je voudrais l'original avant. https://t.me/vault8pro/49238 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 Il y a 9 heures, olivier lsb a dit : A mon avis, vus les retex (notamment le BTR-4 à Marioupol qui avoine un T-72 au bon endroit et fini par le détruire avec une poignée d'obus de 30 mm), le 40 CTA pourrait à peu près traiter toutes les menaces, y compris en air air. Et non, Calibre totalement propriétaire, production munitions ultra-limitée (quelques milliers max en stock), il vaut nettement mieux envoyer des canons 30x173 (c'est con on en produit pas en France), le standard général dont les munitions sont produites sur toute la planète (Rheinmetall, Mecar/Nexter, BAE Systems, Nammo, Gen Dynamics, Mesko Poland, MPI Tchéquie, ....) Clairon 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 (modifié) Il y a 17 heures, Boule75 a dit : Un GTIA "scorpion", si tu vas par là, avec le matos et la formation ? Je pense qu'à Kherson, où la mobilité et la vitesse doivent être privilégiés vu que les possibilités de se cacher sont nulles, ça pourrait avoir son intérêt. D'autant plus que la couverture aérienne Russe y est inexistante et que les défenses Ru sont renforcées: un GTIA blindé médian pour isoler des poches Ru, avec surtout une capacité de détection et de tir à grande distance et de nuit pourrait donner un avantage tactique très intéressant. Il y a 16 heures, Patrick a dit : @Boule75 Là tu me fais plaisir. C'est effectivement la com' qu'il faudrait réaliser. ...Bon, on le crée quand, ce think tank Air-Défense? On peut déjà compiler la verve de @Patrick sur le SCAF et inonder l'internet terrien et martien d'un tout nouveau narratif. Les Allemands ne s'en relèveront pas. Il y a 16 heures, U235 a dit : Allez les gars, expliquez-nous ce qui est si drôle pour nous, citoyens non français. Qui est-ce ? Peut-être plus intriguant, qui est-elle ? Allez les gars, expliquez-nous ce qui est si drôle pour nous, citoyens non français. Qui est-ce ? Peut-être plus intriguant, qui est-elle ? Il a un rôle d'agitateur externe, très utile pour faire basculer les opinions publics vers la guerre et l'engagement (j'ai pas dit que c'était forcément justifié). Il a parfaitement tenu ce rôle en Libye, au coté des "combattants de la liberté" de Benghazi à l'époque. Vu la fréquence à laquelle il s'est retrouvé sur des lignes de fronts pourris dans des zones a priori inaccessible, j'ai du mal à croire qu'il fasse ses entreprises d'influence seul en son nom propre, sans assistance gouvernementale. Il y a 8 heures, Clairon a dit : Et non, Calibre totalement propriétaire, production munitions ultra-limitée (quelques milliers max en stock), il vaut nettement mieux envoyer des canons 30x173 (c'est con on en produit pas en France), le standard général dont les munitions sont produites sur toute la planète (Rheinmetall, Mecar/Nexter, BAE Systems, Nammo, Gen Dynamics, Mesko Poland, MPI Tchéquie, ....) Clairon En soit je suis d'accord, mais comme tu le soulignes, on en produit pas. Le 40 CTA fait surement parti du plan "d'économie de guerre" voulu par le gouvernement: stocks et capacité de production sont limités, mais il y a surement moyen de l'augmenter. Et puis tu tires pas autant en 40 CTA qu'au 30 mm, surtout que nos plateformes de tirs sont fournies avec des équipements de visée ayant pour but (j'imagine) de réduire l'arrosage approximatif et donc la consommation de munitions. Si on ne le fait pas pour les Ukrainiens, autant le faire pour nous (ie une remontée en puissance industrielle) car nous avons une vraie faiblesse en France sur les munitions. Modifié le 24 septembre 2022 par olivier lsb orthographe & précisions 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paschi Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 Son armée essuyant des revers en Ukraine, le président russe Vladimir Poutine a menacé de recourir à "tous les moyens" à sa disposition, relançant les spéculations sur les risques de conflit nucléaire. Plusieurs experts et responsables expliquent les scénarios envisageables. https://www.rts.ch/info/monde/13410803-les-scenarios-possibles-apres-les-menaces-nucleaires-de-vladimir-poutine.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Berezech Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 (modifié) On discutait armement du fantassin, en tout cas pour cette équipe de tankiste ils ont des AK... J'oserai pas tirer avec perso. via Wartranslated : Et des news de Girkin/Strelkov, il ne mâche pas ses mots sur le b****l organisé par le MoD russe, par contre ça devrait quand même le faire, car les russes "ne sont pas des libéraux/homosexuels" et qu'"une partie des hommes est sincèrement convaincue" qu'ils se battent pour protéger les leurs : Modifié le 24 septembre 2022 par Berezech 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vince24 Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 Bah c’est la force des AK 47, même quand elles ont l’air degueue, elles tirent quand même. Et puis après un petit nettoyage ça ira tout de suite mieux. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 il y a 1 minute, vince24 a dit : Bah c’est la force des AK 47, même quand elles ont l’air degueue, elles tirent quand même. Et puis après un petit nettoyage ça ira tout de suite mieux. Un gros nettoyage. A voir aussi si les mécanismes internes n'explosent pas à la première rafale. Ce qui me gêne le plus, c'est que ce sont des AK standards, pas des crosses raccourcies ou rétractables ou des PM. Dans un char aussi étriqué qu'un T-72, c'est pas génial. Mais c'est mieux que rien. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 Il y a 11 heures, Boule75 a dit : Un GTIA "scorpion", si tu vas par là, avec le matos et la formation ? On ne fait rien avec un GTIA, l'échelon minimal c'est la brigade, plus encore maintenant que la Russie a mobilisé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Amnésia Posté(e) le 24 septembre 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 24 septembre 2022 Pour les livraisons d'armes, bien entendu que tout le monde pourrait faire plus. En vérité, depuis le début, ce que nous donnons n'est pas très important pour nous, pris individuellement. Alors oui au tout début on pointait du doigt que les américains "vidaient" leurs stocks de Stinger ou de Javelin et qu'ils mettraient pas mal de temps pour tout recompléter. Mais ce ne sont que l'exemple de quelques munitions, ils ne sont pas à poil non plus et tout n'est pas consommé dès lors qu'on annonce une livraison. Mais derrière on reste tous dans un soutien assez limité, on vide les vieux stocks de l'ère soviétique à l'Est ou les vieux équipements en fin de vie chez nous tout en cherchant à éviter un impact sur nos propres forces. Quand on regarde le matériel moderne, il se compte sur les doigts et c'est principalement du côté de quelques systèmes d'artillerie que ça se joue, mais on constate que l'impact est important sur le rapport de force. Mais derrière on voit en fait qu'on est dans un marché, on cherche à vendre des armes à l'Ukraine par des prêts et autres aides. Cela permet de donner un horizon de livraison lointain (parfois à 2 ans) dans ce que tout le monde prévoit comme une guerre "longue" mais ne règle pas le besoin immédiat. Le problème c'est que l'occident a largement les moyens d'entretenir une guerre longue sur le plan industriel, sauf qu'elle n'a pas la réactivité pour créer immédiatement un "soutien" permanent par des productions neuves, ça se fait forcément sur des mois. D'où une logique inversée ou nous allons céder par exemple immédiatement nos Caesar pour que la commande de canons neufs, qui mettra des mois à se concrétiser, se fait à notre bénéfice. En fait ce processus ne doit pas être vu comme si ça serait réalisable qu'une seule fois. Quand on cherche à augmenter la cadence de production du Caesar (pour rester dans l'exemple) on a bien entendu les clients exports, mais aussi nos livraisons. Cela peut amener à créer un "roulement" permanent qui faisant suite à des commandes importantes par la France, permettra de fournir les ukrainiens de nos anciens canons. Alors bien entendu si la guerre se termine dans 6 mois, l'intérêt n'est pas là, mais si elle dure encore 2 ou 3 ans... Ensuite on constate quand même qu'en occident, on se met encore de grosses barrières, que ce soit pour livrer des chars, des aéronefs (de chez nous) et d'autres éléments. On dégrade parfois certains équipements, car il y a toujours une peur que ça passe dans les mains russes, ces derniers ne connaissent pas aussi bien le matériel occidental que nous ne connaissons le leur. Vous pensez que les experts russes ont déjà décortiqué un Abrams ou un Léopard2 comme on l'a fait avec un T-72 ? Et je suis également convaincu qu'un pays comme l'Allemagne craint également de voir des vidéos de ses productions détruites, ce qui pourrait nuire à de potentiels ventes, saper un peu le prestige. Pourtant malgré des centaines de véhicules livrés, il y a très très peu d'images d'équipements d'origine occidental qui sont détruits, on va me trouver un M113 ici, un M777 par là, mais vraiment c'est très très faible alors même que les russes sont presque en "recherche" de ces matériels occidentaux, cibles prioritaires pour la propagande entre autres. On a quand même de notre côté encore un potentiel de livraisons énorme, l'occident est loin d'être rincé et sans réserves, nous nous imposons des barrières, des limites. Les russes aiment faire croire qu'ils combattent voir affaiblissent les armées de l'OTAN, mais dans les faits ces dernières sont très largement préservées et les russes n'ont pas grand chose face à eux qui iraient entamer le potentiel de l'OTAN à son avantage. Les capacités industrielles de tous les pays de l'OTAN sont énormes, on a beau toujours regarder individuellement chaque usine, c'est bien l'ensemble qui compte. Même s'il faut 1 an ou 2 pour sortir de l'ornière à certains, le potentiel productif est très largement supérieur au potentiel russe, ce qui est un facteur de durabilité à prendre en compte, surtout quand cette dernière se retrouve bloquée dans certaines productions en raison de la perte de fournisseurs occidentaux. On est quand même aujourd'hui face à une armée russe incapable de renouveler ses pertes et qui doit aller chercher dans ses vieux stocks de quoi durer. Une armée russe qui voit ses missiles de croisière se faire remplacer par des munitions rôdeuses iraniennes aux capacités bien moindre (dont la production doit être très faible). On constate aussi que les russes ne peuvent plus faire un déluge de feu, son artillerie n'a pas/plus la masse d'obus ou de roquettes nécessaire à cet arrosage. Désormais ils vont jouer sur la ressource "humaine" (avec la menace nucléaire pour faire peur) pour inverser une situation militaire très mauvaise. L'Ukraine en face, dans ces conditions peut durer avec une ribambelle de pays occidentaux qui ont encore des moyens importants à lui fournir, une industrie occidentale intouchable qui cumulé peut maintenir un effort de guerre que les russes ne pourront pas tenir sur de longues durées. Faut pas croire, la mobilisation russe ne sert qu'à éviter aux russes de perdre cette guerre. Les référendums son un espoir que les ukrainiens arrêtent d'avancer par peur de l'arme nucléaire, par un effet de masse. Sauf que ça ne se passera pas comme Poutine l'aimerait, l'Ukraine va continuer le combat et la masse russe risque de devenir un plus gros problème (en terme de concentration de pertes) que la solution à une sortie victorieuse d'une guerre perdue. Car il ne faut pas se faire d'illusions, l'objectif était l'annexion complète ou quasi complète de l'Ukraine, aujourd'hui on revoit les plans pour juste éviter une défaite trop importante. Dans tous les cas il ne faut pas croire que ces annexions seront acceptées, que la guerre va cesser, que les sanctions seront levées et que les relations repartiront comme avant, la Russie subira les préjudices de cette guerre pendant très longtemps, on est presque dans une guerre du désespoir, non pas d'un pays, mais d'un système poutinien en échec et cherchant à présenter en 2024 un succès pour que les russes le laisseront 6 ans de plus à sa place sans rien dire... 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 Quelqu'un pour récupérer cet article du NYT ? L'article porte sur le refus de VVP d'autoriser l'armée à se retirer du front de Kherson. @U235 si par hasard, tu as un compte :) https://www.nytimes.com/2022/09/23/us/politics/putin-ukraine.html 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Rob1 Posté(e) le 24 septembre 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 24 septembre 2022 il y a 19 minutes, olivier lsb a dit : Quelqu'un pour récupérer cet article du NYT ? Avec le NYT et le WaPo, il suffit de passer en mode lecture (et éventuellement ré-actualiser la page)... Révélation Vladimir Putin Gets More Involved in Ukraine War Strategy Julian E. Barnes, Helene Cooper, Eric Schmitt, Michael Schwirtz As Russian Losses Mount in Ukraine, Putin Gets More Involved in War Strategy The Russian president has rejected requests from commanders in the field that they be allowed to retreat from Kherson, a vital city in Ukraine’s south. Sept. 23, 2022 WASHINGTON — President Vladimir V. Putin of Russia has thrust himself more directly into strategic planning for the war in Ukraine in recent weeks, American officials said, including rejecting requests from his commanders on the ground that they be allowed to retreat from the vital southern city of Kherson. A withdrawal from Kherson would allow the Russian military to pull back across the Dnipro River in an orderly way, preserving its equipment and saving the lives of soldiers. But such a retreat would be another humiliating public acknowledgment of Mr. Putin’s failure in the war, and would hand a second major victory to Ukraine in one month. Kherson was the first major city to fall to the Russians in the initial invasion, and remains the only regional capital under Moscow’s control. Retaking it would be a major accomplishment for President Volodymyr Zelensky of Ukraine. Focused on victory at all costs, Mr. Putin has become a more public face of the war as the Russian military appears increasingly in turmoil, forcing him to announce a call-up this week that could sweep 300,000 Russian civilians into military service. This month, Moscow has demonstrated it has too few troops to continue its offensive, suffers from shortages of high-tech precision weaponry and has been unable to gain dominance of Ukraine’s skies. But American officials briefed on highly sensitive intelligence said that behind the scenes Mr. Putin is taking on an even deeper role in the war, including telling commanders that strategic decisions in the field are his to make. Although Mr. Putin has accepted some recommendations from military commanders, including the mobilization of civilians, his involvement has created tensions, American officials said. The officials said that Mr. Putin’s rejection of a military pullback from Kherson has also led to a decrease in morale among Russian troops who have been mostly cut off from their supply lines, and who appear to believe they could be left stranded against Ukrainian forces. “The situation in Ukraine is clearly dynamic,” Gen. Mark A. Milley, the chairman of the Joint Chiefs of Staff, said in an interview on Friday. “It’s too early for a full assessment, but it is clear to me that the strategic initiative has shifted to the Ukrainians.” But he cautioned that there remains a “long road ahead.” Mr. Putin’s disagreements over battle lines in Kherson illustrate how critical the war in Ukraine’s south is to both sides, American officials said. Despite Ukraine’s recent advances in the northeast, the area around Kherson is a critical theater in the war, with profound strategic implications for Kyiv and Moscow. Some American officials said they saw trouble ahead for the Russian military in the southern theater. A senior U.S. official said this week that Ukraine was well on its way to repeating in the south the gains its forces had managed during a lightning offensive in the northeast earlier this month. If Ukraine pushes Russian forces back farther, Mr. Putin’s hard-fought-for land bridge to Crimea, the territory it captured from Ukraine and annexed in 2014, could eventually be threatened, American officials said. The divisions over Kherson are only the latest disagreements between Mr. Putin and his top commanders. Senior Russian officers repeatedly questioned the early plans for the war, American officials said, particularly an initial stage that envisioned a quick strike on Kyiv, the Ukrainian capital. The Russian officers believed Mr. Putin was going to war with insufficient troops and weaponry, American officials said. The Russian officers’ concerns proved correct, and after the defeat of the Russian army outside Kyiv, Mr. Putin eased up his control of military planning. He allowed senior generals to create a new strategy focused on massive artillery barrages, American officials said. The new strategy was effectively a grinding war of attrition that played to the Russian military’s strength and succeeded in pushing the army forward in eastern Ukraine. Since Mr. Putin ordered his commanders to continue fighting in Kherson, the Russian military has tried to halt the Ukrainian advance there. Last week the Russians blew up a dam on the Inhulets River to make the current counteroffensive more difficult. But Ukrainian strikes have blown up the crossings over the Dnipro River, which has largely cut off Russian troops from their supply lines on the other side. Russians have had to use pontoon bridges to cross the river, only to see them hit by Ukrainian fire, Ukrainian officials said. “They’ve got units in there who, if the Ukrainians break through the lines, will be cut off and surrounded,” said Seth G. Jones, senior vice president at the Center for Strategic and International Studies. “I cannot overstate how dicey the situation is for them.” Pulling back past the Dnipro River would likely allow Russian commanders to hold the line in the south with fewer troops. That would give them more latitude to redeploy forces from Kherson to other areas, either pushing back against the Kharkiv counteroffensive in the northeast, solidifying defensive lines in the eastern Donbas region or opening up a new front in the south. But Mr. Putin has told commanders he will set the strategy. “In this war there has been a consistent mismatch between Putin’s political objectives and the military means to attain them,” said Michael Kofman, director of Russia studies at CNA, a defense research institute in Arlington, Va. “At important decision points Putin has procrastinated, refusing to recognize the reality, until the options turned from bad to worse.” Pulling Russian forces back past the Dnipro River would also be a stark rebuttal to Mr. Putin’s referendum there on joining the Russian Federation. Holding such sham votes is a key objective of Moscow. Blocking them remains one of Kyiv’s top priorities. With dissent rising in Russia, and military-age men attempting to flee the country to avoid the call-up, U.S. officials say Mr. Putin believes another Ukrainian victory would further erode the popularity of the war, something he cannot risk. Videos widely shared on Twitter in the days since Mr. Putin announced his call-up show angry draftees being scolded by shouting Russian military officials. “Playtime’s over!” yells one military official in one video. “You’re soldiers now!” Mr. Putin’s conversations with his regional military commanders in Ukraine may also be part of an effort to get more accurate assessments of the campaign. As the war has gone on, American officials have said that Mr. Putin has not been given accurate information from his top military advisers, Sergei K. Shoigu, the defense minister, and Valery Gerasimov, the Russian military’s chief of the general staff. In addition to blocking a retreat from Kherson, Mr. Putin has raised doubts about Russian efforts to consolidate their position in the northeast near the Oskil River, which the Ukrainian counteroffensive reached this month. Mr. Putin, an American official said, has opposed pulling back there as well, because he is reluctant to hand anything to Mr. Zelensky that looks like a win. Even as Mr. Putin demands a strategy of no further retreats, American officials said Russian officers themselves are divided on how to respond to the Ukrainian counteroffensives. Some officers believe they should push back hard on Mr. Putin’s directives before the Ukrainians break through their current lines. Others believe they can follow through on Mr. Putin’s directives. Russia has continued to focus on the south, despite Ukrainian progress east of Kharkiv. While Moscow has sent some reinforcements to embattled northeastern positions, most of the tens of thousands of troops that Russia sent south to the Kherson area — including some of its best combat forces — remain in place. 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Amnésia Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 il y a 50 minutes, Berezech a dit : On discutait armement du fantassin, en tout cas pour cette équipe de tankiste ils ont des AK... J'oserai pas tirer avec perso. via Wartranslated : Et des news de Girkin/Strelkov, il ne mâche pas ses mots sur le b****l organisé par le MoD russe, par contre ça devrait quand même le faire, car les russes "ne sont pas des libéraux/homosexuels" et qu'"une partie des hommes est sincèrement convaincue" qu'ils se battent pour protéger les leurs : Même si on peut se dire que ces armes sont peut-être sortis de leur contexte, qu'il faut attendre un peu plus de retours, je pense qu'elles pourraient montrer un certain problème des "stocks" en général, ceci depuis le début du conflit. Il peut y avoir une confusion entre ce qu'on croit disposer au niveau des hautes autorités militaires et politiques avec ce qui est réellement disponibles. Il doit y avoir une grosse opacité, un gros inconnu sur l'état réel des stocks. Ainsi on peut très bien faire remonter l'information qu'il y a 100 000 armes et 5000 blindés en stocks, donnant l'illusion à un décideur qu'il a de quoi faire alors que dans les faits, il se peut que ces chiffres soient faux (erreurs, de compta, disparition qu'on cache, corruption etc...) et que ce qui est détenu, ben ce n'est pas un matériel qu'on peut remettre en service. Ainsi si sur les 5000 blindés, vous ne pouvez pas en utiliser plus de 1000 et qu'il est difficile à ce qu'ils puissent durer dans le cadre d'un soutien opérationnelle, ben vous allez être dans une difficulté qui n'était pas prévu car les chiffres que vous avez sous les yeux donnaient un potentiel bien supplémentaire. Car c'est comme quand on voit sur wikipédia qu'il y a 7000 T-72 en "réserve", mais d'où sort ce chiffre? Qui peut me dire que ces chars existent et sont des chars opérationnels? On a l'impression que beaucoup de personnes ne veulent pas comprendre et admettre que ces blindés ne sont pas une "réserve" de chars qu'on préserverait dans des abris, mais des chars pour la plupart abandonnés à ciel ouvert depuis des dizaines d'années pour certains, sur lesquels on a largement pris les pièces pour entretenir une MCO (y compris pour l'export) qu'on présentera comme peu coûteuse alors que l'effet pervers c'est que l'industrie russe ne produit pas le même soutien qu'une industrie occidentale. Forcément quand on cannibalise depuis des années, il ne faut pas être surpris, même les industriels russes dans les programmes de revalorisation d'anciens matériels se servaient dans ces stocks mis à disposition par l'armée. On se fait de fausses idées depuis des années sur le potentiel des "réserves" russes, cette guerre le révèle et continuera de le révéler. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jisse Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 il y a une heure, vince24 a dit : Bah c’est la force des AK 47, même quand elles ont l’air degueue, elles tirent quand même. Et puis après un petit nettoyage ça ira tout de suite mieux. C'est un AKM, pas un AK47 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vince24 Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 Oups sorry. Petit nettoyage ou grosse restauration lol;) Bon on imagine que ce sont des échantillons non représentatifs. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Métal_Hurlant Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 il y a 28 minutes, Rob1 a dit : Avec le NYT et le WaPo, il suffit de passer en mode lecture (et éventuellement ré-actualiser la page)... Révéler le contenu masqué Vladimir Putin Gets More Involved in Ukraine War Strategy Julian E. Barnes, Helene Cooper, Eric Schmitt, Michael Schwirtz As Russian Losses Mount in Ukraine, Putin Gets More Involved in War Strategy The Russian president has rejected requests from commanders in the field that they be allowed to retreat from Kherson, a vital city in Ukraine’s south. Sept. 23, 2022 WASHINGTON — President Vladimir V. Putin of Russia has thrust himself more directly into strategic planning for the war in Ukraine in recent weeks, American officials said, including rejecting requests from his commanders on the ground that they be allowed to retreat from the vital southern city of Kherson. A withdrawal from Kherson would allow the Russian military to pull back across the Dnipro River in an orderly way, preserving its equipment and saving the lives of soldiers. But such a retreat would be another humiliating public acknowledgment of Mr. Putin’s failure in the war, and would hand a second major victory to Ukraine in one month. Kherson was the first major city to fall to the Russians in the initial invasion, and remains the only regional capital under Moscow’s control. Retaking it would be a major accomplishment for President Volodymyr Zelensky of Ukraine. Focused on victory at all costs, Mr. Putin has become a more public face of the war as the Russian military appears increasingly in turmoil, forcing him to announce a call-up this week that could sweep 300,000 Russian civilians into military service. This month, Moscow has demonstrated it has too few troops to continue its offensive, suffers from shortages of high-tech precision weaponry and has been unable to gain dominance of Ukraine’s skies. But American officials briefed on highly sensitive intelligence said that behind the scenes Mr. Putin is taking on an even deeper role in the war, including telling commanders that strategic decisions in the field are his to make. Although Mr. Putin has accepted some recommendations from military commanders, including the mobilization of civilians, his involvement has created tensions, American officials said. The officials said that Mr. Putin’s rejection of a military pullback from Kherson has also led to a decrease in morale among Russian troops who have been mostly cut off from their supply lines, and who appear to believe they could be left stranded against Ukrainian forces. “The situation in Ukraine is clearly dynamic,” Gen. Mark A. Milley, the chairman of the Joint Chiefs of Staff, said in an interview on Friday. “It’s too early for a full assessment, but it is clear to me that the strategic initiative has shifted to the Ukrainians.” But he cautioned that there remains a “long road ahead.” Mr. Putin’s disagreements over battle lines in Kherson illustrate how critical the war in Ukraine’s south is to both sides, American officials said. Despite Ukraine’s recent advances in the northeast, the area around Kherson is a critical theater in the war, with profound strategic implications for Kyiv and Moscow. Some American officials said they saw trouble ahead for the Russian military in the southern theater. A senior U.S. official said this week that Ukraine was well on its way to repeating in the south the gains its forces had managed during a lightning offensive in the northeast earlier this month. If Ukraine pushes Russian forces back farther, Mr. Putin’s hard-fought-for land bridge to Crimea, the territory it captured from Ukraine and annexed in 2014, could eventually be threatened, American officials said. The divisions over Kherson are only the latest disagreements between Mr. Putin and his top commanders. Senior Russian officers repeatedly questioned the early plans for the war, American officials said, particularly an initial stage that envisioned a quick strike on Kyiv, the Ukrainian capital. The Russian officers believed Mr. Putin was going to war with insufficient troops and weaponry, American officials said. The Russian officers’ concerns proved correct, and after the defeat of the Russian army outside Kyiv, Mr. Putin eased up his control of military planning. He allowed senior generals to create a new strategy focused on massive artillery barrages, American officials said. The new strategy was effectively a grinding war of attrition that played to the Russian military’s strength and succeeded in pushing the army forward in eastern Ukraine. Since Mr. Putin ordered his commanders to continue fighting in Kherson, the Russian military has tried to halt the Ukrainian advance there. Last week the Russians blew up a dam on the Inhulets River to make the current counteroffensive more difficult. But Ukrainian strikes have blown up the crossings over the Dnipro River, which has largely cut off Russian troops from their supply lines on the other side. Russians have had to use pontoon bridges to cross the river, only to see them hit by Ukrainian fire, Ukrainian officials said. “They’ve got units in there who, if the Ukrainians break through the lines, will be cut off and surrounded,” said Seth G. Jones, senior vice president at the Center for Strategic and International Studies. “I cannot overstate how dicey the situation is for them.” Pulling back past the Dnipro River would likely allow Russian commanders to hold the line in the south with fewer troops. That would give them more latitude to redeploy forces from Kherson to other areas, either pushing back against the Kharkiv counteroffensive in the northeast, solidifying defensive lines in the eastern Donbas region or opening up a new front in the south. But Mr. Putin has told commanders he will set the strategy. “In this war there has been a consistent mismatch between Putin’s political objectives and the military means to attain them,” said Michael Kofman, director of Russia studies at CNA, a defense research institute in Arlington, Va. “At important decision points Putin has procrastinated, refusing to recognize the reality, until the options turned from bad to worse.” Pulling Russian forces back past the Dnipro River would also be a stark rebuttal to Mr. Putin’s referendum there on joining the Russian Federation. Holding such sham votes is a key objective of Moscow. Blocking them remains one of Kyiv’s top priorities. With dissent rising in Russia, and military-age men attempting to flee the country to avoid the call-up, U.S. officials say Mr. Putin believes another Ukrainian victory would further erode the popularity of the war, something he cannot risk. Videos widely shared on Twitter in the days since Mr. Putin announced his call-up show angry draftees being scolded by shouting Russian military officials. “Playtime’s over!” yells one military official in one video. “You’re soldiers now!” Mr. Putin’s conversations with his regional military commanders in Ukraine may also be part of an effort to get more accurate assessments of the campaign. As the war has gone on, American officials have said that Mr. Putin has not been given accurate information from his top military advisers, Sergei K. Shoigu, the defense minister, and Valery Gerasimov, the Russian military’s chief of the general staff. In addition to blocking a retreat from Kherson, Mr. Putin has raised doubts about Russian efforts to consolidate their position in the northeast near the Oskil River, which the Ukrainian counteroffensive reached this month. Mr. Putin, an American official said, has opposed pulling back there as well, because he is reluctant to hand anything to Mr. Zelensky that looks like a win. Even as Mr. Putin demands a strategy of no further retreats, American officials said Russian officers themselves are divided on how to respond to the Ukrainian counteroffensives. Some officers believe they should push back hard on Mr. Putin’s directives before the Ukrainians break through their current lines. Others believe they can follow through on Mr. Putin’s directives. Russia has continued to focus on the south, despite Ukrainian progress east of Kharkiv. While Moscow has sent some reinforcements to embattled northeastern positions, most of the tens of thousands of troops that Russia sent south to the Kherson area — including some of its best combat forces — remain in place. Traduction automatique : Le président russe Vladimir V. Poutine s'est lancé plus directement dans la planification stratégique de la guerre en Ukraine ces dernières semaines, ont déclaré des responsables américains, notamment en rejetant les demandes de ses commandants au motif qu'ils soient autorisés à se retirer de la ville vitale de Kherson, dans le sud du pays. . Un retrait de Kherson permettrait à l'armée russe de traverser le Dnipro de manière ordonnée, en préservant son équipement et en sauvant la vie de soldats. Mais une telle retraite serait une autre reconnaissance publique humiliante de l'échec de M. Poutine dans la guerre, et donnerait une deuxième victoire majeure à l'Ukraine en un mois. Kherson a été la première grande ville à tomber aux mains des Russes lors de l'invasion initiale et reste la seule capitale régionale sous le contrôle de Moscou. Le reprendre serait une réalisation majeure pour le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Concentré sur la victoire à tout prix, M. Poutine est devenu un visage plus public de la guerre alors que l'armée russe apparaît de plus en plus dans la tourmente, le forçant à annoncer cette semaine une convocation qui pourrait amener 300 000 civils russes au service militaire. Ce mois-ci, Moscou a démontré qu'elle avait trop peu de troupes pour poursuivre son offensive, souffrait d'une pénurie d'armes de précision de haute technologie et n'avait pas été en mesure de dominer le ciel ukrainien. Mais des responsables américains informés de renseignements hautement sensibles ont déclaré que dans les coulisses, M. Poutine assume un rôle encore plus important dans la guerre, notamment en disant aux commandants que les décisions stratégiques sur le terrain lui incombent. Bien que M. Poutine ait accepté certaines recommandations des commandants militaires, notamment la mobilisation de civils, son implication a créé des tensions, ont déclaré des responsables américains. Les responsables ont déclaré que le rejet par M. Poutine d'un retrait militaire de Kherson a également entraîné une baisse du moral des troupes russes qui ont été pour la plupart coupées de leurs lignes d'approvisionnement et qui semblent croire qu'elles pourraient être laissées bloquées contre les forces ukrainiennes. "La situation en Ukraine est clairement dynamique", a déclaré vendredi le général Mark A. Milley, président des chefs d'état-major interarmées. "Il est trop tôt pour une évaluation complète, mais il est clair pour moi que l'initiative stratégique s'est déplacée vers les Ukrainiens." Mais il a averti qu'il restait "un long chemin à parcourir". Les désaccords de M. Poutine sur les lignes de bataille à Kherson illustrent à quel point la guerre dans le sud de l'Ukraine est critique pour les deux parties, ont déclaré des responsables américains. Malgré les avancées récentes de l'Ukraine dans le nord-est, la zone autour de Kherson est un théâtre critique de la guerre, avec de profondes implications stratégiques pour Kyiv et Moscou. Certains responsables américains ont déclaré qu'ils voyaient des problèmes pour l'armée russe dans le théâtre sud. Un haut responsable américain a déclaré cette semaine que l'Ukraine était en bonne voie de répéter dans le sud les gains que ses forces avaient réussis lors d'une offensive éclair dans le nord-est au début du mois. Si l'Ukraine repousse les forces russes plus loin, le pont terrestre âprement disputé de M. Poutine vers la Crimée, le territoire qu'elle a capturé à l'Ukraine et annexé en 2014, pourrait éventuellement être menacé, ont déclaré des responsables américains. Les divisions sur Kherson ne sont que les derniers désaccords entre M. Poutine et ses principaux commandants. Des officiers supérieurs russes ont remis en question à plusieurs reprises les premiers plans de la guerre, ont déclaré des responsables américains, en particulier une première étape qui prévoyait une frappe rapide sur Kyiv, la capitale ukrainienne. Les officiers russes pensaient que M. Poutine partait en guerre avec des troupes et des armes insuffisantes, ont déclaré des responsables américains. Les préoccupations des officiers russes se sont avérées fondées et, après la défaite de l'armée russe à l'extérieur de Kyiv, M. Poutine a assoupli son contrôle de la planification militaire. Il a permis aux généraux supérieurs de créer une nouvelle stratégie axée sur des barrages d'artillerie massifs, ont déclaré des responsables américains. La nouvelle stratégie était en fait une guerre d'usure acharnée qui a profité à la force de l'armée russe et a réussi à faire avancer l'armée dans l'est de l'Ukraine. Depuis que M. Poutine a ordonné à ses commandants de continuer à se battre à Kherson, l'armée russe a tenté d'y stopper l'avancée ukrainienne. La semaine dernière, les Russes ont fait sauter un barrage sur la rivière Inhulets pour rendre plus difficile la contre-offensive actuelle. Mais les frappes ukrainiennes ont fait sauter les points de passage sur le fleuve Dnipro, ce qui a largement coupé les troupes russes de leurs lignes d'approvisionnement de l'autre côté. Les Russes ont dû utiliser des ponts flottants pour traverser la rivière, seulement pour les voir touchés par des tirs ukrainiens, ont déclaré des responsables ukrainiens. "Ils ont des unités là-bas qui, si les Ukrainiens traversent les lignes, seront coupées et encerclées", a déclaré Seth G. Jones, vice-président senior du Center for Strategic and International Studies. "Je ne peux pas exagérer à quel point la situation est risquée pour eux." Reculer au-delà du fleuve Dnipro permettrait probablement aux commandants russes de tenir la ligne dans le sud avec moins de troupes. Cela leur donnerait plus de latitude pour se redéployer... (manque la fin) 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Valy Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 (modifié) il y a une heure, olivier lsb a dit : Quelqu'un pour récupérer cet article du NYT ? L'article porte sur le refus de VVP d'autoriser l'armée à se retirer du front de Kherson. @U235 si par hasard, tu as un compte :) https://www.nytimes.com/2022/09/23/us/politics/putin-ukraine.html Petit à petit se confirme que Poutine ne fait pas confiance et court circuite son armée. Jusqu'à présent tout ce que la Russie a fait a été mal fait (du fait de Poutine, du FSB ou de l'armée ce n'est pas clair) . Si Poutine prend la main, le pire est devant elle pour la Russie. Ils seront capables d'envoyer des conscrits non formés et sans équipement au casse-pipe pour calmer le chef. Poutine concoit cette guerre comme un concours de volonté. Tout ce qu''il est arrivé à faire est de méthodiquement détruire son armée par des offensives sans fin dans le Donbass. Il peut maitenant jouer à détruire ses conscrits. Le cercle vicieux est en route pour la Russie et pour Poutine par voie de conséquence. Modifié le 24 septembre 2022 par Valy Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Métal_Hurlant Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 il y a 30 minutes, Valy a dit : Petit à petit se confirme que Poutine ne fait pas confiance et court circuite son armée. Jusqu'à présent tout ce que la Russie a fait a été mal fait (du fait de Poutine, du FSB ou de l'armée ce n'est pas clair) . Si Poutine prend la main, le pire est devant elle pour la Russie Ne me dites pas que c'est une découverte pour vous ?? 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 il y a une heure, Rob1 a dit : Avec le NYT et le WaPo, il suffit de passer en mode lecture (et éventuellement ré-actualiser la page)... Masquer le contenu Vladimir Putin Gets More Involved in Ukraine War Strategy Julian E. Barnes, Helene Cooper, Eric Schmitt, Michael Schwirtz As Russian Losses Mount in Ukraine, Putin Gets More Involved in War Strategy The Russian president has rejected requests from commanders in the field that they be allowed to retreat from Kherson, a vital city in Ukraine’s south. Sept. 23, 2022 WASHINGTON — President Vladimir V. Putin of Russia has thrust himself more directly into strategic planning for the war in Ukraine in recent weeks, American officials said, including rejecting requests from his commanders on the ground that they be allowed to retreat from the vital southern city of Kherson. A withdrawal from Kherson would allow the Russian military to pull back across the Dnipro River in an orderly way, preserving its equipment and saving the lives of soldiers. But such a retreat would be another humiliating public acknowledgment of Mr. Putin’s failure in the war, and would hand a second major victory to Ukraine in one month. Kherson was the first major city to fall to the Russians in the initial invasion, and remains the only regional capital under Moscow’s control. Retaking it would be a major accomplishment for President Volodymyr Zelensky of Ukraine. Focused on victory at all costs, Mr. Putin has become a more public face of the war as the Russian military appears increasingly in turmoil, forcing him to announce a call-up this week that could sweep 300,000 Russian civilians into military service. This month, Moscow has demonstrated it has too few troops to continue its offensive, suffers from shortages of high-tech precision weaponry and has been unable to gain dominance of Ukraine’s skies. But American officials briefed on highly sensitive intelligence said that behind the scenes Mr. Putin is taking on an even deeper role in the war, including telling commanders that strategic decisions in the field are his to make. Although Mr. Putin has accepted some recommendations from military commanders, including the mobilization of civilians, his involvement has created tensions, American officials said. The officials said that Mr. Putin’s rejection of a military pullback from Kherson has also led to a decrease in morale among Russian troops who have been mostly cut off from their supply lines, and who appear to believe they could be left stranded against Ukrainian forces. “The situation in Ukraine is clearly dynamic,” Gen. Mark A. Milley, the chairman of the Joint Chiefs of Staff, said in an interview on Friday. “It’s too early for a full assessment, but it is clear to me that the strategic initiative has shifted to the Ukrainians.” But he cautioned that there remains a “long road ahead.” Mr. Putin’s disagreements over battle lines in Kherson illustrate how critical the war in Ukraine’s south is to both sides, American officials said. Despite Ukraine’s recent advances in the northeast, the area around Kherson is a critical theater in the war, with profound strategic implications for Kyiv and Moscow. Some American officials said they saw trouble ahead for the Russian military in the southern theater. A senior U.S. official said this week that Ukraine was well on its way to repeating in the south the gains its forces had managed during a lightning offensive in the northeast earlier this month. If Ukraine pushes Russian forces back farther, Mr. Putin’s hard-fought-for land bridge to Crimea, the territory it captured from Ukraine and annexed in 2014, could eventually be threatened, American officials said. The divisions over Kherson are only the latest disagreements between Mr. Putin and his top commanders. Senior Russian officers repeatedly questioned the early plans for the war, American officials said, particularly an initial stage that envisioned a quick strike on Kyiv, the Ukrainian capital. The Russian officers believed Mr. Putin was going to war with insufficient troops and weaponry, American officials said. The Russian officers’ concerns proved correct, and after the defeat of the Russian army outside Kyiv, Mr. Putin eased up his control of military planning. He allowed senior generals to create a new strategy focused on massive artillery barrages, American officials said. The new strategy was effectively a grinding war of attrition that played to the Russian military’s strength and succeeded in pushing the army forward in eastern Ukraine. Since Mr. Putin ordered his commanders to continue fighting in Kherson, the Russian military has tried to halt the Ukrainian advance there. Last week the Russians blew up a dam on the Inhulets River to make the current counteroffensive more difficult. But Ukrainian strikes have blown up the crossings over the Dnipro River, which has largely cut off Russian troops from their supply lines on the other side. Russians have had to use pontoon bridges to cross the river, only to see them hit by Ukrainian fire, Ukrainian officials said. “They’ve got units in there who, if the Ukrainians break through the lines, will be cut off and surrounded,” said Seth G. Jones, senior vice president at the Center for Strategic and International Studies. “I cannot overstate how dicey the situation is for them.” Pulling back past the Dnipro River would likely allow Russian commanders to hold the line in the south with fewer troops. That would give them more latitude to redeploy forces from Kherson to other areas, either pushing back against the Kharkiv counteroffensive in the northeast, solidifying defensive lines in the eastern Donbas region or opening up a new front in the south. But Mr. Putin has told commanders he will set the strategy. “In this war there has been a consistent mismatch between Putin’s political objectives and the military means to attain them,” said Michael Kofman, director of Russia studies at CNA, a defense research institute in Arlington, Va. “At important decision points Putin has procrastinated, refusing to recognize the reality, until the options turned from bad to worse.” Pulling Russian forces back past the Dnipro River would also be a stark rebuttal to Mr. Putin’s referendum there on joining the Russian Federation. Holding such sham votes is a key objective of Moscow. Blocking them remains one of Kyiv’s top priorities. With dissent rising in Russia, and military-age men attempting to flee the country to avoid the call-up, U.S. officials say Mr. Putin believes another Ukrainian victory would further erode the popularity of the war, something he cannot risk. Videos widely shared on Twitter in the days since Mr. Putin announced his call-up show angry draftees being scolded by shouting Russian military officials. “Playtime’s over!” yells one military official in one video. “You’re soldiers now!” Mr. Putin’s conversations with his regional military commanders in Ukraine may also be part of an effort to get more accurate assessments of the campaign. As the war has gone on, American officials have said that Mr. Putin has not been given accurate information from his top military advisers, Sergei K. Shoigu, the defense minister, and Valery Gerasimov, the Russian military’s chief of the general staff. In addition to blocking a retreat from Kherson, Mr. Putin has raised doubts about Russian efforts to consolidate their position in the northeast near the Oskil River, which the Ukrainian counteroffensive reached this month. Mr. Putin, an American official said, has opposed pulling back there as well, because he is reluctant to hand anything to Mr. Zelensky that looks like a win. Even as Mr. Putin demands a strategy of no further retreats, American officials said Russian officers themselves are divided on how to respond to the Ukrainian counteroffensives. Some officers believe they should push back hard on Mr. Putin’s directives before the Ukrainians break through their current lines. Others believe they can follow through on Mr. Putin’s directives. Russia has continued to focus on the south, despite Ukrainian progress east of Kharkiv. While Moscow has sent some reinforcements to embattled northeastern positions, most of the tens of thousands of troops that Russia sent south to the Kherson area — including some of its best combat forces — remain in place. Merci. Le WaPo j'arrive à contourner la limite d'article gratuit en navigation privée et en changeant de VPN/pays, mais je trouve le site du NYT plus retord. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Métal_Hurlant Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 https://www.lemonde.fr/international/live/2022/09/24/guerre-en-ukraine-en-direct-volodymyr-zelensky-appelle-a-condamner-les-pseudo-referendums-d-annexion-organises-par-la-russie_6142981_3210.html La Russie remplace son général chargé de la logistique La Russie a annoncé samedi le remplacement de son plus haut gradé chargé de la logistique, alors que son offensive en Ukraine a montré des difficultés dans ce domaine. « Le général d’armée Dmitri Boulgakov a été relevé de ses fonctions de vice-ministre de la défense » et est remplacé par le colonel général Mikhaïl Mizintsev qui sera « responsable du ravitaillement matériel et technique des forces armées », a déclaré le ministère de la défense dans un communiqué, au moment où la Russie est en pleine campagne de mobilisation. Agé de 60 ans, Mikhaïl Mizintsev a occupé de nombreux postes à responsabilité au sein de l’état-major au cours de sa longue carrière militaire. Il est visé par des sanctions occidentales pour son rôle dans le siège de Marioupol, ville portuaire du sud-est de l’Ukraine conquise en mai par les forces russes au prix d’importantes destructions. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Métal_Hurlant Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 Le Monde reprend les infos du New York Times (voir plus haut) : https://www.lemonde.fr/international/live/2022/09/24/guerre-en-ukraine-en-direct-volodymyr-zelensky-appelle-a-condamner-les-pseudo-referendums-d-annexion-organises-par-la-russie_6142981_3210.html Vladimir Poutine a refusé que l’armée russe se retire de Kherson, selon Washington A mesure que l’armée russe encaisse les revers sur le terrain ukrainien, le président Vladimir Poutine s’impose dans les décisions stratégiques. Selon des responsables américains, cités par le New York Times, M. Poutine a refusé que les forces russes présentes à Kherson, dernière capitale régionale sous contrôle russe, se retirent alors qu’elles essuient le feu de la contre-offensive ukrainienne, dans le sud du pays. Un retrait de l’armée russe aurait permis aux soldats de se replier de manière ordonnée, tout en préservant l’équipement militaire et la vie de nombreux d’entre eux. Mais cela aurait été un nouvel échec dans la guerre d’invasion déclenchée par le président russe. Face à la débâcle de son armée, dominée par la contre-offensive ukrainienne dans le nord et le sud du pays, M. Poutine multiplie les décisions d’urgence. Alors que des référendums d’annexion sont en cours dans les zones ukrainiennes sous contrôle russe, une « mobilisation partielle » en Russie a été annoncée. Une demande des officiers sur le terrain, qui ont averti le président de problèmes d’effectifs et de logistique. S’il les a entendus sur ce point, il a donc refusé leur demande de permission de repli de la ville de Kherson. Cette implication croissante du président dans les décisions stratégiques a déplu dans les rangs militaires russes, selon les responsables américains au New York Times. Ce refus aurait également grandement entamé le moral des troupes russes, selon le quotidien américain. La plupart des groupements sont coupés de leur ligne d’approvisionnement et ont le sentiment qu’ils pourraient être sacrifiés, abandonnés à leur sort face aux Ukrainiens qui poursuivent leur avancée. Selon le renseignement américain, les forces ukrainiennes étaient sur la bonne voie pour répéter, dans le Sud, leurs exploits dans le Nord, où elles ont regagné en septembre de larges bandes de terre et des villes stratégiques. Kherson est une ville stratégique. Première grande ville à être tombée entre les mains des Russes au début de la guerre, Kherson est désormais la seule capitale régionale encore sous contrôle russe, dans laquelle un référendum d’annexion est en cours. Si les Ukrainiens parvenaient à la reprendre, ils seraient en mesure de pousser plus loin pour, éventuellement, tenter de reprendre la Crimée, péninsule ukrainienne annexée par Moscou en 2014, ajoutent les responsables américains. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paschi Posté(e) le 24 septembre 2022 Share Posté(e) le 24 septembre 2022 (modifié) Vidéo de matériel, armes et munitions qui auraient été récupérés par les Ukrainiens dans le région de Kharkiv (je crois qu'elle n'a pas encore été postée). Modifié le 24 septembre 2022 par Paschi 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant