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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires


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Il y a 3 heures, Boule75 a dit :

Ce n'est pas ce qu'il dit : il parle des flux, pas des stocks.
Et les russes sont parfaitement au courant je pense.

Si nous ici le savons, difficile de penser qu'ils l'ignorent. Ou alors, on est vraiment hyper doués. :chirolp_iei:

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il y a une heure, Akhilleus a dit :

La Grande Famine à touché effectivement l'Ukraine mais aussi la Biélorussie, l'Ouest de la Russie et effectivement le Kazakstan (1,3 millions de morts, 1 million de déplacés) mais aussi en Moldavie d'ailleurs

La Moldavie de l’Est (Bessarabie et Bukovine du Nord) faisait partie du Royaume de Roumanie à cette époque. 
Elle n’a pas été touchée par la famine. 

Modifié par Zalmox
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il y a 44 minutes, Ciders a dit :

Ce qui s'explique largement au passage par le fait qu'ils représentaient la première minorité non russe en 1939 (on notera que leur 16,5 % dans le total de la population soviétique correspond assez bien à l'estimation de leurs pertes durant le conflit mondial, qui tourne aux alentours de 15-16 % du total des pertes soviétiques selon les sources les plus sérieuses. Là où ça se complique, c'est si on compte les civils et les militaires, les prisonniers, les disparus, ceux qui sont morts ou non rentrés d'Allemagne... plus les contingences politiques habituelles).

Concernant le manque d'allant des Ukrainiens au front... il y a des témoignages pour et contre. Même si les Russes se méfiaient davantage des Caucasiens et des Baltes, on peut poser face à face des défaillances et des comportements héroïques, des désertions et des officiers qui finissent à des commandements de fronts (Tcherniakovski par exemple). Le problème restant toujours le même et toujours insoluble : si Hitler n'avait pas été Hitler, est-ce que la population soviétique aurait lâché le PCUS et Staline ? Impossible à savoir.

Pour le reste, j'ai aussi un Master en histoire. Où est le bureau des flagellations ? Je peux dénoncer des camarades diplômés en échange d'une peine moins lourde ? :happy:

Nous sommes d'accord

La proportion d'Ukrainiens tués dans l'armée rouge est directement liée au nombre de leur population

Ce qui par un bête calcul de L2 d'Histoire devrait faire dire qu'il n'ya pas eu particulièrement de refus de servir au front pour cause d'idée nationale ukrainienne comme suggéré par un de tes co-diplomé ci dessus

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il y a 15 minutes, Akhilleus a dit :

Nous sommes d'accord

La proportion d'Ukrainiens tués dans l'armée rouge est directement liée au nombre de leur population

Ce qui par un bête calcul de L2 d'Histoire devrait faire dire qu'il n'ya pas eu particulièrement de refus de servir au front pour cause d'idée nationale ukrainienne comme suggéré par un de tes co-diplomé ci dessus

Tu ne peux pas "refuser" de servir dans un pays qui pratique la conscription. 

Ce que tu devrais savoir. 

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il y a 26 minutes, Zalmox a dit :

La Moldavie de l’Est (Bessarabie et Bukovine du Nord) faisait partie du Royaume de Roumanie à cette époque. 
Elle n’a pas été touchée par la famine. 

Il semble qu'après-guerre, l'occupation soviétique et la désorganisation liée aux purges aient mené à une famine en 1946 et à de fortes tensions alimentaires jusqu'au début des années 1950, époque où c'était d'ailleurs un certain Brejnev qui était aux commandes.

il y a 24 minutes, Akhilleus a dit :

Nous sommes d'accord

La proportion d'Ukrainiens tués dans l'armée rouge est directement liée au nombre de leur population

Ce qui par un bête calcul de L2 d'Histoire devrait faire dire qu'il n'ya pas eu particulièrement de refus de servir au front pour cause d'idée nationale ukrainienne comme suggéré par un de tes co-diplomé ci dessus

Pas mes sources sous la main mais de mémoire, le Lopez sur Barbarossa mentionnait des rapports de garde-frontière évoquant des passages significatifs de l'est vers l'ouest aux frontières roumaines en 1941, y compris de membres du PCUS.

Après, les refus de combattre voire les désertions en unités constituées ont surtout été côté balte et cela a eu des conséquences sur le dispositif soviétique local lors des premières semaines d'opérations du GAN en Lituanie et Lettonie. Côté ukrainien, il y a eu des ordres émanant du NKVD et peut-être de la Stavka exigeant que l'on retire des unités de première ligne les soldats originaires de certaines régions d'Ukraine et cela a été au moins partiellement appliqué. Là encore, à retrouver dans le Lopez.

 

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il y a 1 minute, Ciders a dit :

Il semble qu'après-guerre, l'occupation soviétique et la désorganisation liée aux purges aient mené à une famine en 1946 et à de fortes tensions alimentaires jusqu'au début des années 1950, époque où c'était d'ailleurs un certain Brejnev qui était aux commandes.

On parle des années 1930

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il y a une heure, Ciders a dit :

Il semble qu'après-guerre, l'occupation soviétique et la désorganisation liée aux purges aient mené à une famine en 1946 et à de fortes tensions alimentaires jusqu'au début des années 1950, époque où c'était d'ailleurs un certain Brejnev qui était aux commandes.

Pas mes sources sous la main mais de mémoire, le Lopez sur Barbarossa mentionnait des rapports de garde-frontière évoquant des passages significatifs de l'est vers l'ouest aux frontières roumaines (1) en 1941, y compris de membres du PCUS.

Après, les refus de combattre voire les désertions en unités constituées ont surtout été côté balte et cela a eu des conséquences sur le dispositif soviétique local lors des premières semaines d'opérations du GAN en Lituanie et Lettonie. Côté ukrainien, il y a eu des ordres émanant du NKVD et peut-être de la Stavka exigeant que l'on retire des unités de première ligne les soldats originaires de certaines régions d'Ukraine (2) et cela a été au moins partiellement appliqué. Là encore, à retrouver dans le Lopez.

 

J'ai relu Barbarossa de J. Lopez il n'y a pas très longtemps donc (mais aussi de mémoire et la vieillesse étant ce qu'elle est ...):

(1) vers la Pologne

(2) surtout les républiques d'Asie centrale,  et surtout les Baltes,  pas souvenir d'avoir lu dans Lopez des soucis avec les Ukrainiens

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il y a 2 minutes, Zalmox a dit :

On parle des années 1930

J'avais compris, je précisais juste pour aller au-delà de l'erreur d'appréciation initiale. :smile:

Après, on s'éloigne un peu du sujet. Sauf si vous voulez qu'on suppute les chances de l'armée moldave d'atteindre le centre-ville de Tiraspol, auquel cas je vous dirais qu'on a plus de chances de voir le retour de Larusso dans le Top 50.

 

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il y a 1 minute, John92 a dit :

J'ai relu Barbarossa de J. Lopez il n'y a pas très longtemps donc (mais aussi de mémoire et la vieillesse étant ce qu'elle est ...):

(1) vers la Pologne

(2) surtout les républiques d'Asie centrale, pas souvenir d'avoir lu dans Lopez des soucis avec les Ukrainiens

Je vais zyeuter ce soir, notamment pour rechercher les passages sur le nettoyage des divisions d'infanterie en Ukraine.

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il y a 24 minutes, Ciders a dit :

Il semble qu'après-guerre, l'occupation soviétique et la désorganisation liée aux purges aient mené à une famine en 1946 et à de fortes tensions alimentaires jusqu'au début des années 1950, époque où c'était d'ailleurs un certain Brejnev qui était aux commandes.

Pas mes sources sous la main mais de mémoire, le Lopez sur Barbarossa mentionnait des rapports de garde-frontière évoquant des passages significatifs de l'est vers l'ouest aux frontières roumaines en 1941, y compris de membres du PCUS.

Après, les refus de combattre voire les désertions en unités constituées ont surtout été côté balte et cela a eu des conséquences sur le dispositif soviétique local lors des premières semaines d'opérations du GAN en Lituanie et Lettonie. Côté ukrainien, il y a eu des ordres émanant du NKVD et peut-être de la Stavka exigeant que l'on retire des unités de première ligne les soldats originaires de certaines régions d'Ukraine et cela a été au moins partiellement appliqué. Là encore, à retrouver dans le Lopez.

 

Du cas par cas, j'entends bien. Mais à ce titre, autant considérer l'Armée Vlassov comme représentative des russes. Tout ça pour dire que l'idée selon laquelle les ukrainiens de l'Armée rouge y seraient allés à reculons est fausse (d'ailleurs je réitère mais des grosses formations de partisans existent en Ukraine, insoutenable sans soutien local et volonté de continuer le combat). Pour les Baltes on est sur un autre schéma (intégration récente alors qu'ils servaient l'autre coté y'a pas 6 mois). Pour les ukrainiens galiciens on peut trouver le même schéma. Pour revenir au sujet, on retombe sur ce qu'on peut observer aujourd'hui à savoir une frange nationaliste/indépendantiste (qui continuera le combat d'ailleurs bien après 45) mais aussi des vrais "communistes", d'autant plus que le conflit (et exactions allemandes) se font sur leur terrain, que l'agiographie de l'époque encense l'image historique des héros et symboles ukrainiens historiques et que les ukrainiens sont très loin d'être les plus mal vus et mal traités des ethnies de l'URSS (à contrario des Caucasiens par exemple)

 

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Il y a 5 heures, Alexis a dit :

 

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Merci ! Beaucoup de précisions intéressantes. J'en retiens notamment l'idée que quand on a vraiment besoin de quelque chose, quand c'est une nécessité partagée par tout le groupe, il est possible d'aller beaucoup plus vite

Raison pour laquelle j'ai pensé très tôt dans ce conflit qu'on avait les capacités de faire plus dans le soutien, malgré les contraintes, là où on m'a souvent ressorti, non sans raison, des délais et contraintes réels... Mais issus du temps de paix. 

En économie de guerre, si la volonté politique est réelle et sincère, on peut faire beaucoup même en partant de loin. 

Les ukr vont être rapidement dotés d'un total de 49 caesar, dont "" "seulement" "" la moitié aura été fourni sur stocks français. Lesquels seront recompletés au moins partiellement d'ici la fin de l'année, c'est à dire avant même probablement la fin de la guerre. 

Tout était loin d'être convaincu au départ, faut dire aussi que le discours politique était des plus alambiqué. 

Il y a 5 heures, pline a dit :

Si, comme le dit ce colonel, le ratio artillerie ukrainienne/russe à Bakhmout est de 1 pour 1 cela devrait se transformer en un Verdun (match nul sanglant) puisque l'artillerie était le principal facteur de supériorité des russes.

C'est déjà un Verdun sanglant, avec un camp disposant de plusieurs forts et l'autre assaillant. 

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Il y a 1 heure, Akhilleus a dit :

Du cas par cas, j'entends bien. Mais à ce titre, autant considérer l'Armée Vlassov comme représentative des russes. Tout ça pour dire que l'idée selon laquelle les ukrainiens de l'Armée rouge y seraient allés à reculons est fausse (d'ailleurs je réitère mais des grosses formations de partisans existent en Ukraine, insoutenable sans soutien local et volonté de continuer le combat). Pour les Baltes on est sur un autre schéma (intégration récente alors qu'ils servaient l'autre coté y'a pas 6 mois). Pour les ukrainiens galiciens on peut trouver le même schéma. Pour revenir au sujet, on retombe sur ce qu'on peut observer aujourd'hui à savoir une frange nationaliste/indépendantiste (qui continuera le combat d'ailleurs bien après 45) mais aussi des vrais "communistes", d'autant plus que le conflit (et exactions allemandes) se font sur leur terrain, que l'agiographie de l'époque encense l'image historique des héros et symboles ukrainiens historiques et que les ukrainiens sont très loin d'être les plus mal vus et mal traités des ethnies de l'URSS (à contrario des Caucasiens par exemple)

 

Faudrait voir les dates après.

Pour la grosse rédition de Kiev par exemple, on peut se poser la question ( enfin, j'avoue que y a un détail que j'ignore, est ce qu'au début de la guerre, les Ukrainiens se trouvaient concentrés dans des unités situées en Ukraine, ou est ce qu'ils étaient dispatchés sur l'ensemble du front? ), après ça, vu le traitement infligé à l'Ukraine, oui, j'ai aucun mal à croire que les ukrainiens se sont battus aussi férocement que les russes.

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Citation

enfin, j'avoue que y a un détail que j'ignore, est ce qu'au début de la guerre, les Ukrainiens se trouvaient concentrés dans des unités situées en Ukraine, ou est ce qu'ils étaient dispatchés sur l'ensemble du front?

De mes souvenirs, les unités de l'armée rouge fonctionnaient par district militaires et l'alimentation en hommes dépendant du District, tu avais une homogénéité des grands corps par regroupement géographique.

Mais, a contrario une fois que l'unité était formée, elle était déployée quasi systématiquement (sauf les cas extrêmes trop éloignés) en dehors de son district de création

C'est en parti pour cela que pendant la guerre d'Hiver, au lieu d'avoir des Caréliens ou des Léningradois combattrent en Finlande, tu avais des unités en provenance du Sud de l'Union soviétique

Tu as d'ailleurs encore le cas actuellement avec des unités de l'Extreme orient russe déployées dans les districts militaires ouest

pour la chute de Kiev, c'est l'exemple type d'une bataille d'encerclement. Pour mémoire, elle coutera 500 000 hommes aux soviétiques (il est vrai majoritairement prisonniers) guère différentes des batailles d'encerclement successives qui coutent à l'armée rouge 2.5 millions de prisonniers (en général en grosse masse)

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Quand je vous disait guerre de logistique :

 

Pour le secrétaire général de l’Otan, l’urgence est d’être en mesure d’approvisionner l’armée ukrainienne en munitions

PAR LAURENT LAGNEAU · 14 FÉVRIER 2023 opex360

 

Lors de ses récents déplacements à Londres, Paris et Bruxelles, le président ukrainien, Volodymyr Zelenski, a insisté pour obtenir des avions de combat auprès de ses partenaires occidentaux… Alors qu’une telle demande ne pouvait que s’inscrire dans le long terme, compte tenu des impératifs liés à la formation des pilotes et des techniciens, sans oublier ceux relatifs à la logistique et aux infrastructures.

Aussi, cette question n’était pas la plus urgente… contrairement à celle de l’approvisionnement des forces ukrainiennes en munitions… à l’heure où Kiev redoute une offensive russe de grande ampleur. En outre, la disparité des équipements qui leur ont été fournis – ou qui sont sur le point de l’être – complique la situation. Tel est par exemple le cas des chars : les 14 Challenger 2 promis par Londres n’utilisent par les mêmes obus que les Leopard 2… Même chose pour les Leopard 1, avec leur canon de 105 mm.

Or, la consommation élevée de munitions est l’une des caractéristiques de cette guerre, comme l’avait souligné le général Christopher Cavoli, le commandant suprême des forces alliées en Europe [SACEUR], lors d’une conférence sur la sécurité organisée en Suède, en janvier. « Depuis le début de la guerre, les Russes ont consommé en moyenne plus de 20’000 obus d’artillerie par jour », a-t-il en effet affirmé. Soit quatre fois plus que les Ukrainiens… Et il s’agit là que d’une moyenne : durant l’été 2022, jusqu’à 50’000 obus par jour ont été tirés par les canons russes.

Le général Cavoli avait d’ailleurs insisté sur l’importance de disposer d’une base industrielle et technologique de défense [BITD] « adéquate » pour répondre aux besoins induits par une « guerre à grande échelle et de haute intensité ». Et d’insister : « La capacité de production reste vitale, absolument vitale ».

Président du comité militaire de l’Otan, l’amiral néerlandais Rob Bauer a dit partager ce constat, lors d’un récent entretien avec des médias portugais. Les Allies « doivent adapter la production industrielle civile aux besoins des militaires », a-t-il affirmé, évoquant l’idée d’une « économie de guerre en temps de paix ».

Toujours est-il que, le 13 février, le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, a tiré le signal d’alarme. « Le rythme actuel d’utilisation de munitions par l’Ukraine est beaucoup plus élevé que notre rythme actuel de production », a-t-il averti. « Cela met nos industries de défense sous pression », a-t-il ajouté. « Oui, nous avons un problème, oui, c’est un défi », a-t-il ensuite admis, tout en reconnaissant que des actions ont commencé à être mise en oeuvre pour y remédier.

Les États-Unis ont ainsi porté leur capacité de production d’obus de 155 mm de 15’000 à 90’000 par mois. Ce qui reste insuffisant puisque cela ne permet de couvrir que 60% des besoins ukrainiens. En France, Nexter en produit quelques dizaines de milliers par… an. Et il lui sera compliqué d »en faire plus.

Même chose pour les munitions « complexes ». Ainsi, selon la diplomatie américaine, plus de 8’500 missiles antichars Javelin ont été fournis à l’armée ukrainienne depuis le début de la guerre. Soit l’équivalent de cinq ans de production…

Par ailleurs, et outre le sujet des munitions, le maintien en condition opérationnelle [MCO] des équipements fournis à l’armée ukrainienne est tout aussi essentiel… D’autant plus qu’ils sont mis à rude épreuve au regard de leur utilisation intense.

« Il s’agit d’une guerre d’usure et d’une bataille logistique », a fait valoir M. Stoltenberg, ce 14 février, avant une réunion des minitres de la Défense des pays membres de l’Otan. Le président russe « Vladimir Poutine ne se prépare pas à la paix. Il se prépare à une nouvelle offensive, à de nouvelles attaques. Nous devons donc continuer à fournir à l’Ukraine ce dont elle a besoin pour vaincre », a-t-il conclu, après avoir rappelé que les « priorités à court terme sont les munitions, les armements promis avec du carburant et les pièces détachées ».

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Ça serait quand même intéressant de savoir si on (la France) s'attaquant a un pays moyen ( au pif au sud de la mer noire), serait capable de rapidement détruire le réseau électrique et de le maintenir inactif.

 

Entendons nous bien il ne s'agit pas de détruire les générateurs, mais simplement l'infrastructure, ce qui est tout de même assez facile a réparer si on accepte de rogner sur les marges de sécurité.

Pour aller plus loin, vu la démocratisation des armements très technologique et la nécessité de faire partir les populations le plus rapidement possible, est ce que les conflits a l'avenir ne se débuteront pas, après la destruction de la DCA adverse, par la réduction systématique du réseau électrique de l'ennemi et la protection du sien?

Et par extension quelles seraient les mesures a adopter pour protéger son réseau et détruire l'autre ? Enterrement massif des infrastructures ? 

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il y a 28 minutes, Coriace a dit :

Ça serait quand même intéressant de savoir si on (la France) s'attaquant a un pays moyen ( au pif au sud de la mer noire), serait capable de rapidement détruire le réseau électrique et de le maintenir inactif.

 

Entendons nous bien il ne s'agit pas de détruire les générateurs, mais simplement l'infrastructure, ce qui est tout de même assez facile a réparer si on accepte de rogner sur les marges de sécurité.

Les générateurs c'est plus difficile à remplacer, un Scalp ou MdCN sur une centrale thermique ça doit être assez efficace.

Sinon AASM, éventuellement sur les transformateurs avec une bombe qui disperse du graphite, mais pour ça il doit falloir une fusée particulière pour le libérer un peu au-dessus, pas sur que ce soit bon sur l'AASM. Les MdC on en a peu donc on peut pas les tirer sur un truc remplaçable rapidement.

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Il y a 2 heures, Métal_Hurlant a dit :

 

Comment on peut laisser un gusse sur un tarmac avec un téléphone portable ? 

J'ai cru au début que c'était un film pour un "damage report" qui avait été récupéré mais visiblement pas du tout ou alors la personne n'a aucune idée de ce qu'elle doit filmer.

Entre ça et le film du F35 qui va a la baille sur le QE..

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