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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : considérations géopolitiques et économiques


Messages recommandés

il y a 23 minutes, MIC_A a dit :

Ils ont l'air fins les UK pourfendeurs de l'injustice à l'égard de l'Ukraine et encore plus pour la défense de l'UE !

Comme beaucoup de pays... L'Angleterre est le premier et le plus simple à contraindre par les US, car ils dépendent entièrement d'eux. Mais le reste de l'Europe et du cercle Occidentale est au même niveau.

Ma seule inconnue est pour la France, en termes de dépendances US (d'un point vue renseignements, structurels, organisationnels). De ce que je comprends via ce forum on a quelques briques certes, mais les dernières OPEX ont bien montrées que nous étions pas si "indépendant" que ça. Et la capacité n'est clairement pas du même niveau (mais c'est normal ça, on ne peut pas jouer dans la même cours).

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il y a une heure, Delbareth a dit :

Il ne faut pas sous-estimer Trump, il pourrait toujours aller plus loin :

ITAR, la carte de Trump qui peut empêcher l'Europe d'aider l'Ukraine

https://www.lepoint.fr/monde/itar-la-carte-de-trump-qui-peut-empecher-l-europe-d-aider-l-ukraine-05-03-2025-2583933_24.php

(ou https://archive.is/yKI7r)

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La Maison-Blanche peut utiliser sa réglementation sur les exportations d'armes pour limiter drastiquement le soutien européen à Kiev. Un embargo de facto.

Ce serait un cataclysme pour l'Ukraine. Après le gel de l'aide militaire et financière américaine annoncé mardi 4 mars par la Maison-Blanche, Donald Trump dispose encore d'une carte de choix dans sa main : la réglementation sur l'exportation et le transfert des armements, communément appelée « ITAR ».

Elle permet aux États-Unis d'interdire, aux Européens comme aux autres, la livraison de matériels ou de munitions achetés aux États-Unis ou contenant des composants américains. Compte tenu du nombre d'armements de fabrication européenne contenant des composants américains ou directement achetés aux industriels outre-Atlantique, l'utilisation de cette réglementation constituerait un quasi-embargo sur les livraisons d'armes occidentales à l'Ukraine.

Depuis une dizaine d'années, les industriels européens de la défense visent le graal : concevoir des armements dits « ITAR-free », c'est-à-dire sans vulnérabilité réglementaire vis-à-vis des États-Unis. En France, c'est l'ex-ministre des Armées (entre 2017 et 2022) Florence Parly qui avait le plus insisté sur ce point afin que les géants tricolores s'affranchissent des autorisations américaines pour vendre des armes, notamment à l'Égypte ou aux pays du Golfe. Une démarche aujourd'hui salutaire pour les armements récents, mais qui n'efface pas les dépendances des vieux matériels.

D'autres atouts dans les mains de Trump

Missiles, avions, blindés et navires sont désormais conçus sans pièces américaines, ou ITAR-free by design en bon anglais. Mais d'anciens matériels, justement ceux que les Européens envisagent de livrer à Kiev, sont le plus souvent soumis à une validation américaine. Les fameux chasseurs-bombardiers F-16, symboles du dernier palier franchi en matière de soutien occidental à l'Ukraine, pourraient être les premières victimes.

Des missiles guidés, des blindés ou encore des jumelles de vision nocturne seraient aussi des cibles de choix pour Donald Trump. Mais ce dernier semble vouloir garder des atouts en main. Il n'a pas encore stoppé la fourniture de renseignements à Kiev, ni déconnecté le réseau satellitaire Starlink d'Elon Musk, crucial pour les communications militaires ukrainiennes. Pas plus qu'il n'a démantelé le bouclier antiaérien constitué par les batteries de missiles Patriot, qui dissuadent les bombardiers russes de s'aventurer dans le ciel ukrainien. 

Bon bin on va vraiment se sentir bien seuls en Ukraine avec nos Rafale ITAR-free, nos SCALP ITAR-free, nos Leclercs ITAR-free (?), nos Tigres ITAR-free (?), nos Griffons ITAR-free (?)........

Pas si ITAR Free (certains sous composants sont de fabrication US, et oui (les sièges ejectables Safran Martin Becker il me semble par exemple qui bien que franco-britannique utilise des pièces US)

Le pire étant le Gripen, soit disant 100% Suédois :

Le pire du pire étant le F35 dont les performances sont directement modifiables par mallette informatique à la demande du possesseur (lire LM et pas le client final)

Bref .....

(Pour le Rafale, en creusant bien et en étant bien hypocrite, les US peuvent bien dire que les lignes de codes et cablages d'intégration des Mark 82/84 et autres Paveway II sont US, hein)

Modifié par Akhilleus
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il y a 55 minutes, herciv a dit :

Merci pour ce point et oui moi aussi je suis inquiet de ce que pourrait signifier ce renversement d'alliance, à ce demander où la Chine se trouve dans ce nouveau schéma. je ne suis même pas sûr qu'elle restera vraiment l'ennemie.

Depuis longtemps j'ai pensé que les deux gros US et Chine avait intérêt à polariser le monde pour rester les seuls à la manœuvre. Mais là je m'aperçois que la stratégie n'est pas forcément la polarisation mais serait peut-être l'extinction des nations secondaires par l'accaparement des ressources mondiales.

 

La Chine est le seul-contre pouvoir potentiel à TRUMP.

Je dis potentiel car on pourrait avoir un deal entre US et Chinois sur le dos de Taiwan (et des Philippines ?)

Les plumés je crains que ce ne soit les plus faibles et trop éparpillés  : l'UE sans les pays baltes, sans le Groenland, et peut être ailleurs ce qui est grand et sans réelle défense.  

Bref la partie de Monopoly commence à 3 Chine, Russie, USA ; le plateau c'est le reste du Monde...

Modifié par GOUPIL
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Starmer et Macron pourrait venir assister VZ la semaine prochaine à Washigton :

https://www.kyivpost.com/post/48297

Le Premier ministre britannique Keir Starmer et le président français Emmanuel Macron pourraient se rendre à Washington avec Zelensky pour faire pression sur un plan de paix, tandis que Starmer chercher des garanties de sécurité américaines pour une force potentielle de maintien de la paix.

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il y a 1 minute, GOUPIL a dit :

Chine est le seul-contre pouvoir potentiel à TRUMP

L'inde est le seul vrai contre-pouvoir à ces deux là. Elle va commencer à prendre la suite. Peut-être l'Europe si les choses continuent à bouger. Mais il va falloir se battre sur les ressources minières.

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Pendant ce temps là les nord-co renforcent leur présence en Russie :

https://www.upi.com/Top_News/World-News/2025/03/05/1211741166695/

SEOUL, le 5 mars (UPI) -- La Corée du Nord a récemment envoyé quelque 3 500 soldats supplémentaires à l'Extrême-Orient russe pour entraînement sur le terrain, a déclaré mercredi un législateur sud-coréen, avec la possibilité qu'une troisième vague de troupes soit bientôt envoyée sur la ligne de front de la guerre de Moscou contre l'Ukraine.

République. Yu Yong-weon du People Power Party au pouvoir au pouvoir a souligné les développements dans une déclaration publiée sur Facebook, citant un exposé du chef du service de renseignement ukrainien de la défense. Général. Kyrylo Budanov lors de sa visite dans le pays en février. 23-26.

Yu a déclaré que le Nord avait envoyé environ 12 000 soldats en Russie en octobre et déployé des forces supplémentaires en janvier et février, avec une deuxième vague de 1 500 soldats déjà envoyés sur les lignes de front dans la région russe de Koursk après avoir suivi une formation à l'adaptation locale.

Le législateur a déclaré qu'il y avait actuellement « quelque 3 500 soldats nord-coréens qui suivent une formation à l'adaptation sur le terrain dans cinq endroits en Extrême-Orient russe, et qu'il y a une possibilité d'un troisième déploiement

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CA c'est à prendre en considération. C'est une évolution tout à fait majeur de l'Allemagne sur NORD STREAM alors que les US veulent le relancer. Jusqu'à ce post je continuait à avoir des doutes sur l'attitude allemande. Là les allemands se mettent en position de contrer la politique des USA. C'est un retournement majeur qui interroge sur les raisons profondes de cette attitude qui pourraient peut-être confirmer mes craintes sur l'attitude de Trump.

https://english.nv.ua/business/germany-no-way-back-for-nord-stream-2-despite-trump-putin-deal-scenario-50495265.html

Berlin se déplace pour fermer la porte sur le retour de Nord Stream 2

Le gouvernement fédéral allemand étudie activement les options pour empêcher la relance du gazoduc Nord Stream 2 dans la mer Baltique, a rapporté Bild le 5 mars.

Berlin tente de déterminer les mesures qu'il peut prendre pour empêcher la reprise du projet dans le cadre d'un accord entre le président américain Donal Trump et le dictateur russe Vladimir Poutine, que les sources gouvernementales décrivent comme un « scénario réaliste ».

« La vente de gaz russe sous la marque américaine renforcerait symboliquement le lien spirituel entre Trump et le système du Kremlin. Nord Stream ne pourra jamais faire partie de la paix et ne permettra pas de négociations de paix, bien au contraire", a déclaré Roderich Kiesewetter, ancien officier d'état-major général de la Bundeswehr et membre du parlement de l'Union chrétienne-démocrate (CDU), qui a remporté les élections anticipées en février.


Les États-Unis ont l'intention d'assouplir les sanctions contre la Russie

Le ministre de l'économie Robert Habeck estime que « l'indépendance du gaz russe est d'une importance stratégique pour le gouvernement fédéral en termes de politique de sécurité, et il s'en tiendra à ce principe ». Il a également fait observer que le gazoduc n'était pas certifié et n'avait pas l'autorisation légale.

Avec trois des quatre tuyaux du Nord Stream détruits après l'agression à grande échelle de la Russie contre l'Ukraine, les experts estiment que les réparations coûteront plus d'un demi-milliard d'euros.

Cela fait suite à un rapport précédent du Financial Times le 2 mars selon lequel certains hauts responsables de l'administration Trump voient des efforts conjoints entre les États-Unis et la Russie pour relancer Nord Stream 2 « faisant partie de l'amélioration des relations avec Moscou ».

Au cours de son premier mandat, Trump s’est farouchement opposé aux gazoducs Nord Stream et à la dépendance de l’Europe à l’égard du gaz russe, imposant des sanctions en 2019 aux sociétés de gestion.

En 2021, l'administration de Joe Biden a brièvement levé les restrictions à l'exécution des liens avec l'Allemagne, uniquement pour les rétablir avant l'invasion à grande échelle de l'Ukraine par la Russie.

Sabot Nord Stream

En septembre 2022, les explosions ont endommagé trois des quatre gazoducs Nord Stream 1 et Nord Stream 2 dans les eaux neutres de la Baltique. Bien que non opérationnels à l'époque, les gazoducs étaient remplis de gaz technique.

La Pologne et l'Ukraine ont blâmé la Russie pour le sabotage, tandis que Moscou a accusé les « anglo-saxons » et a nié toute implication.

Les médias allemands ont rapporté par la suite qu'un yacht qui aurait été utilisé par des saboteurs appartenait à des ressortissants ukrainiens, une personne étant liée au yacht résidant en Ukraine. Tant les responsables ukrainiens que le président zelenskyy ont nié toute implication.

« Je suis le président et j’ordonne en conséquence. L'Ukraine ne l'a pas fait. Je n’agirais jamais ainsi », a déclaré zelenskyy en juin 2023.

En février 2024, les autorités danoises et suédoises ont fermé leurs enquêtes sur les explosions, invoquant des motifs suffisants pour juger des poursuites pénales.

L'Allemagne a délivré un mandat d'arrêt contre un suspect ukrainien, qui a quitté la Pologne pour l'Ukraine en juillet 2024, par procureur polonais.

Modifié par herciv
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il y a 8 minutes, Banzinou a dit :

 

Intéressant. Reconquête est donc le seul parti en France dont l'électorat est pro-Poutine de préférence à pro-Zelensky

Et tout comme PS, LR et Ecologistes, c'est un petit parti

Les grands partis sont tous pro-Ukraine plutôt que pro-Russie

Le bon sens a encore un avenir chez nous :happy: !

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Il y a 2 heures, GOUPIL a dit :

ITAR ? cela en encore un sens aujourd'hui ?  quand d'un côté on dénonce tout à tord et à travers, que l'on se fiche des réglementations internationales, ...

Il serait possible il est vrai d'opposer à ITAR la réglementation GD, en anglais MF (*)

Je pense qu'il faudrait tout de même un certain temps avant que nos voisins européens s'y résolvent 

Au moins un embargo concret de Washington sur l'aide européenne à l'Ukraine - ce n'est pour l'instant qu'une possibilité - et une guerre commerciale et l'échec à négocier une exception pour les Européens

Même alors, ce n'est pas dit

 

(*) Gros Doigt, Middle Finger

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il y a une heure, herciv a dit :

Starmer et Macron pourrait venir assister VZ la semaine prochaine à Washigton :

le conditionnel est de rigueur.

La porte parole du gouvernement FR en a parlé, mais.......la présidence vient de démentir à l'instant. Du moins, ce n'est "pas envisagé à ce stade"

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il y a 8 minutes, Akilius G. a dit :

Par ailleurs, le lâchage de l'Ukraine est une énorme prise de risque à l'égard de l'Asie. Cela veut dire concrètement qu'en cas d'invasion de Taiwan, les Etats-Unis sont coincés. Soit, il y vont à fond contre la Chine, soit tout le jeu des alliances asiatiques s'effondre comme un château de carte. Le coût géopolitique et économique serait énorme.

Oui ils sont coincés. Et c'est pour çà que je n'arrive pas à lire la stratégie de Trump. Pourquoi basculer d'un allié européen à un allié russe ? Alors que l'allié européen pouvait acheter la dette US, l'allié russe n'en a pas les moyens.

La seule explication que j'ai à ce mouvement est le fait de couper l'Europe de ses accès à une quelconque ressource et de finir de cette manière par l'étouffer donc IDEM que Trudeau a expliqué pour le CANADA.

Modifié par herciv
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Il y a 15 heures, olivier lsb a dit :

 MAlors leur armée et leurs frais de développement exorbitant, les européens les paient encore et c'est parti pour durer. Nous aussi d'une certaine manière (le dernier marché passé par la MN pour ses hawkeye, une fortune...)

Je pense qu'on arrive au point où le successeur des Hawkeye actuels doit être produit en France. Ça coûtera sans doute plus cher, vu la faible série, mais il faut ce qu'il faut 

De même pour les catapultes EM. Il faut les développer en France 

L'alternative serait d'adresser un appel d'offres à la fois à Washington et à Pékin, les deux seules puissances qui aient ces technologies. Mais c'est loin d'être idéal 

 

Il y a 15 heures, olivier lsb a dit :

C'est très différent de la France, où l'on peut tirer un honneur et une fierté parfois absurde à maintenir une opinion "seul contre tous"

Je ne vois pas de quoi tu parles. Ce n'est pas comme si nous aurions eu non pas un, mais trois candidats trotskistes à l'élection présidentielle de 2002 :happy: ?

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Il y a 7 heures, Eau tarie a dit :

De là à ce qu'ils filent les infos aux Russes....

ça ferait très mal...j'espère qu'ils n'en sont pas là.

ca explique les vols elint de l'ADAE?  ou finalement ce que rapporte Opex360 c'est la norme depuis 2022?

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13 minutes ago, Eau tarie said:

De là à ce qu'ils filent les infos aux Russes....

ça ferait très mal...j'espère qu'ils n'en sont pas là.

Ce serait une ligne de non retour je pense.

Mettre en pause le soutien, c'est une tactique de négociation pour mettre la pression pour forcer l'Ukraine à négocier puis signer. Aider directement directement l'ennemi, c'est une trahison complète.

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il y a 47 minutes, vincenzo a dit :

Ca y est en plus de l'aide militaire en pause, le partage de renseignements coupés aussi vers l'UKR

Oui c'est dans le FT

"Trois fonctionnaires au fait de la décision ont confirmé que Washington avait gelé les canaux de renseignement avec Kiev.

Alors que les États-Unis ont également formellement empêché leurs alliés de partager des renseignements américains avec l'Ukraine, deux fonctionnaires ont déclaré que les destinataires disposant d'actifs à l'intérieur du pays continueraient probablement à transmettre des renseignements pertinents à Kiev. Mais cela ne s'appliquerait pas aux renseignements sensibles au temps et de grande valeur, tels que ceux dont l'Ukraine a besoin pour mener des frappes de précision sur des cibles russes mobiles"

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il y a 40 minutes, Alexis a dit :

Oui c'est dans le FT

"Trois fonctionnaires au fait de la décision ont confirmé que Washington avait gelé les canaux de renseignement avec Kiev.

Alors que les États-Unis ont également formellement empêché leurs alliés de partager des renseignements américains avec l'Ukraine, deux fonctionnaires ont déclaré que les destinataires disposant d'actifs à l'intérieur du pays continueraient probablement à transmettre des renseignements pertinents à Kiev. Mais cela ne s'appliquerait pas aux renseignements sensibles au temps et de grande valeur, tels que ceux dont l'Ukraine a besoin pour mener des frappes de précision sur des cibles russes mobiles"

ON comprend mieux les missions ELINT a répétition venant de France. J'espère que les prochaines seront sans transpondeur

Modifié par herciv
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il y a 49 minutes, Alexis a dit :

L'alternative serait d'adresser un appel d'offres à la fois à Washington et à Pékin, les deux seules puissances qui aient ces technologies. Mais c'est loin d'être idéal 

Venant des achats de l'état, je vais faire un voeux pieu. Mais je le fais quand même.

Est ce que pour une fois, l'appel d'offre en pourrait pas être ( en substance ).

" on paye 100 pour ce truc ( la catapulte ). On casque 300, mais avec du 100 % français, vous avez 3 ans " Et on vous paie 300 de suite pour avoir un proto fonctionnel dans 3 ans. 

 

 

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Quelques précisions sur la coupure des rens US pour les ukr :

https://news.sky.com/story/us-stops-sharing-all-intelligence-with-ukraine-source-tells-sky-news-13322070

Les États-Unis cessent de partager toute l'intelligence avec l'Ukraine, selon la source de Sky News

Auparavant, la source indiquait que l'arrêt du flux de renseignements était "sélectif", n'affectant que les informations qui pouvaient être utilisées pour des attaques à l'intérieur de la Russie.

Les États-Unis ont cessé de partager toutes les informations avec Kiev, a déclaré une source ukrainienne.

Auparavant, la source, ayant une connaissance de la situation, a déclaré que l'arrêt du flux de renseignements avait été "sélectif", n'affectant que les informations qui pouvaient être utilisées pour des attaques à l'intérieur de la Russie.

"Il y a quelques heures, l'échange de toutes les informations a été arrêté", a déclaré la source.

Cette décision est un autre coup de pied pour Kiev après que Donald Trump a décidé de mettre en pause toute l'aide militaire à l'Ukraine à la suite d'une chute avec le président ukrainien Volodymyr zelenskyy à la Maison Blanche.

Le conseiller à la sécurité nationale des États-Unis, Mike Waltz, a déclaré que Washington avait « pris du recul » dans ses relations avec l'Ukraine et le directeur de la CIA John Ratcliffe a qualifié la suspension de « pause » et a déclaré que le renseignement américain et l'aide militaire pourrait recommencer à couler une fois que M. Trump sait que M. zelenskyy est sérieux au sujet de la paix.

"Je pense que sur le front militaire et le front du renseignement, la pause qui, je pense, disparaîtra", a déclaré M. Ratcliffe à Fox Business Network.

"Je pense que nous allons travailler côte à côte avec l'Ukraine car nous devons repousser l'agression qui est là, mais pour mettre
le monde, mieux dans la mesure où ces négociations de paix vont de l'avant."

Les États-Unis ont fourni à l'Ukraine des renseignements importants depuis l'invasion de la Russie en 2022, y compris des informations critiques dont les besoins militaires sont destinés à cibler les forces russes.

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Les Big Fives en question :

https://www.aa.com.tr/en/europe/washington-bans-uk-from-sharing-us-derived-intelligence-with-ukraine-report/3500978

Washington « bannis » le Royaume-Uni du partage de renseignements dérivés des États-Unis avec l'Ukraine: rapport

(..)

Washington a « interdit » le Royaume-Uni en partageant des renseignements dérivés des États-Unis avec l'Ukraine, selon le Daily Mail.

Cela aurait un impact sur plusieurs agences clés du Royaume-Uni, y compris le siège de la communication gouvernementale (GCHQ), le ministère de la Défense et les services de renseignement militaire, a rapporté le Daily Mail.

(..)

Le rapport est intervenu après l'annonce du président américain Donald Trump de geler l'aide militaire américaine à Kiev, une décision qui a émis une inquiétude sur l'avenir des capacités de défense de l'Ukraine.

Au cours des trois dernières années, l'Ukraine s'est fortement appuyée sur les renseignements partagés par le Royaume-Uni et d'autres partenaires occidentaux en matière de sécurité, tels que l'Australie et la Nouvelle-zélande, qui ont eu accès aux services de renseignement produits par les États-Unis dans le cadre d'une classification connue sous le nom de «Rel UKR» (Releasable to Ukraine).

Le directeur de la CIA, John Ratcliffe, et le conseiller à la sécurité nationale, Michael Waltz, ont tous deux déclaré que les États-Unis avaient interrompu son action en matière de renseignement en plus de l'aide militaire.

(..)

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