Alberas Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février (modifié) Tous ces problèmes ne semblent pas refroidir les acheteurs potentiels du F35. Avec le retour de Trump, lla durée du "moment Rafale" est incertaine .. https://simpleflying.com/f-35-sales-middle-east-trump-administration/ Modifié le 4 février par Alberas 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février il y a 20 minutes, Alberas a dit : Tous ces problèmes ne semblent pas refroidir les acheteurs potentiels du F35. Avec le retour de Trump, lla durée du "moment Rafale" est incertaine .. https://simpleflying.com/f-35-sales-middle-east-trump-administration/ Oui d'ailleurs les belges parlent actuellement de compléter leur commande. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fritkot Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février 22 minutes ago, herciv said: Le rapport du DOT&E avertit que les essais opérationnels complets pour les avions équipés de TR-3 n’auront pas lieu avant le milieu ou la fin de l’exercice 2026, près de deux ans après l’introduction initiale de la configuration. Cela signifie que les avions TR-3 en service peuvent rester incomplets au combat jusqu’à ce que d’autres améliorations logicielles soient apportées. Je ne sais pas combien de temps il faut pour prononcer l'IOC d'une unité en Belgique mais manifestement le processus pour y parvenir est suspendu jusqu'à fin 2026. Probablement que la partie formation des pilotes/meca/basiers sera partiellement avancée mais sans la partie lié au combat. Comme je doute que la partie simulation en TR3 soit plus avancée que la partie embarquée réelle le processus de formation doit lui-même être tronqué. Ici vous passez du DT&E (Development Testing & Evaluation) au tests opérationnels (OT&E). Et vous en fait un amalgame! Le DT&E doit être réalisé par le fabricant (Lockheed Martin) et l'agence qui gère le programme (JPO). Le DT&E vérifie que le produit livré est conforme aux spécifications. Le OT&E intervient toujours plus tard (par définition). Il est réalisé par l'utilisateur (Air Force) et vise à mettre à jour les concepts opérationnels existants à la lumière des nouvelles capacités. Il en va de même pour disons le Rafale F4.x (Dassault et la DGA pour le DT&E, l'Armée de l'Air pour le OT&E). Chaque utilisateur décide lui-même de l'opportunité et de la manière d'organiser un OT&E. Dans le passé, pour les utilisateurs européens de F-16, le OT&E des softwares respectives des F-16MLU a eu généralement lieu pendant leurs exercices multinationaux FWIT. Pour leurs F-35, ce ne sera probablement pas différent. En tout état de cause, les résultats du OT&E aux États-Unis ne sont pas forcément des critères pour les déclarations IOC/FOC des utilisateurs eurpéens respectifs. Ceux qui sont déjà IOC/FOC (Italie, Norvège, Royaume-Uni, etc.) le restent d'ailleurs, indépendamment de l'introduction opérationnelle du TR-3 Block4. Encore une fois, le hardware TR-3 et la logicielle Block 4 intérimaire actuellement installés sur les 8 F-35 belges permettent tous les entraînements nécessaires. La logicielle sera certifiée (DT&E du JPO) au cours des 12 prochains mois. De toute façon l'IOC belge n'est prévu que pour beacoup plus tard en 2027 car, entre autres, l'armement nécessaire ne sera pas livré avant cette date. Comme prévu en 2018. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février il y a 7 minutes, Fritkot a dit : Ici vous passez du DT&E (Development Testing & Evaluation) au tests opérationnels (OT&E). Et vous en fait un amalgame! Le DT&E doit être réalisé par le fabricant (Lockheed Martin) et l'agence qui gère le programme (JPO). Le DT&E vérifie que le produit livré est conforme aux spécifications. Le OT&E intervient toujours plus tard (par définition). Il est réalisé par l'utilisateur (Air Force) et vise à mettre à jour les concepts opérationnels existants à la lumière des nouvelles capacités. Il en va de même pour disons le Rafale F4.x (Dassault et la DGA pour le DT&E, l'Armée de l'Air pour le OT&E). Chaque utilisateur décide lui-même de l'opportunité et de la manière d'organiser un OT&E. Dans le passé, pour les utilisateurs européens de F-16, le OT&E des softwares respectives des F-16MLU a eu généralement lieu pendant leurs exercices multinationaux FWIT. Pour leurs F-35, ce ne sera probablement pas différent. En tout état de cause, les résultats du OT&E aux États-Unis ne sont pas forcément des critères pour les déclarations IOC/FOC des utilisateurs eurpéens respectifs. Ceux qui sont déjà IOC/FOC (Italie, Norvège, Royaume-Uni, etc.) le restent d'ailleurs, indépendamment de l'introduction opérationnelle du TR-3 Block4. Encore une fois, le hardware TR-3 et la logicielle Block 4 intérimaire actuellement installés sur les 8 F-35 belges permettent tous les entraînements nécessaires. La logicielle sera certifiée (DT&E du JPO) au cours des 12 prochains mois. De toute façon l'IOC belge n'est prévu que pour beacoup plus tard en 2027 car, entre autres, l'armement nécessaire ne sera pas livré avant cette date. Comme prévu en 2018. Tu as parfaitement raison, mais il y a un problème avec le F-35, c'est que pendant l'OT&E des Américains ils découvrent une foultitude de problèmes qui auraient du être découvert pendant le DT&E.... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février (modifié) Il y a 20 heures, Fritkot a dit : Encore une fois, le hardware TR-3 et la logicielle Block 4 intérimaire actuellement installés sur les 8 F-35 belges permettent tous les entraînements nécessaires. C'est faux c'est une déformation des propos tenu par les officiels. Le TR3 et les quelques modules de blk4 permettent de faire de la formation. Il n'a jamais été dit que çà permettait de faire tous les entrainements nécessaires. Pour le reste sur les tests DT&E et OT&E je n'ai jamais dit le contraire. Néanmoins : Le 03/02/2025 à 12:18, herciv a dit : L’United Operational Test Team (UOTT), qui supervise les essais du F-35, a émis un ordre d'« arrêt des tests » en février 2024, citant : Performances logicielles instables Lacunes critiques affectant la capacité Défaillances persistantes du système de mission Et apparement les tests ne reprendront pas avant fin 2026. Et je doute que la criticité des lacunes n'ait pas d'impact sur l'IOC du TR3 en unité même européenne. Qu'on soit bien d'accord une unité peut avoir son IOC parce qu'elle peut être employé au combat mais çà ne veut pas dire que le TR3 est pour autant combat coded. L'un n'implique pas l'autre. Sauf si l'unité en question n'a pas de plan B. Et de ce que je vois de la réaction danoise, heureusement que eux ont des TR2. Les belges n'ont pas cette solution à leur dispo. EN 2017 il restait 54 F-16 en service très loin des 160 du début. D'où mon inquiétude sur la réelle capacité opérationnelle à venir des belges. Modifié le 5 février par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février (modifié) Escalating Trade War Raises Questions Over Canada’s F-35 Future Traduit avec DeepL.com (version gratuite) L'escalade de la guerre commerciale soulève des questions sur l'avenir du F-35 au Canada Le Canada et les États-Unis étant désormais engagés dans une guerre commerciale qui s'intensifie rapidement, des questions se posent quant à l'effet que cela pourrait avoir sur les projets d'Ottawa d'acheter l'avion d'attaque interarmées F-35, ainsi que sur la manière dont le programme dans son ensemble pourrait être affecté, compte tenu de la participation non négligeable de l'industrie canadienne. Si l'on examine tout d'abord le contexte de la guerre commerciale, le président américain Donald Trump a annoncé la semaine dernière une taxe de 25 % sur les importations canadiennes et mexicaines aux États-Unis (ainsi qu'une taxe supplémentaire de 10 % sur la Chine). Presque tous les produits seront concernés, et M. Trump a justifié sa décision par ses préoccupations concernant l'immigration illégale et le trafic de drogue. Dans le même temps, M. Trump a également dénoncé les déséquilibres commerciaux et les pratiques commerciales déloyales comme étant les principaux moteurs de cette politique. En réponse, le Canada a annoncé ses propres mesures de rétorsion à l'encontre des États-Unis, en imposant une taxe de 25 % sur une série de produits américains. « Nous ne voulons pas être ici, nous n'avons pas demandé cela », a déclaré le Premier ministre canadien Justin Trudeau. Il a ajouté qu'il « ne reculerait pas en défendant les intérêts des Canadiens », tout en avertissant que les droits de douane auraient un impact sur la vie des gens des deux côtés de la frontière. Pour donner une idée de la nature profondément interconnectée des économies des trois pays d'Amérique du Nord, on estime qu'environ 2 milliards de dollars de produits manufacturés traversent leurs frontières chaque jour. M. Trump s'est dit prêt à augmenter encore les droits de douane si les pays concernés ripostent à ses tarifs, comme l'a fait le Canada. On ne sait pas encore si les droits de douane affecteront le F-35, ainsi qu'une série d'autres articles militaires vendus entre les États-Unis et le Canada. Toutefois, il a déjà été suggéré que le Canada pourrait se tourner vers d'autres pays pour ses nouveaux avions de combat, en signe de désapprobation à l'égard des États-Unis. L'avenir de l'acquisition de l'avion de patrouille maritime canadien P-8 Poseidon a également été remis en question. Dans un commentaire fourni à TWZ, Russell Goemaere, responsable des affaires publiques au Bureau du programme conjoint F-35, a déclaré : « Pour l'instant, nous évaluons la possibilité d'acheter des avions de patrouille maritime P-8 Poseidon : « Pour l'instant, nous évaluons l'impact d'éventuels droits de douane et nous travaillerons avec le gouvernement et nos partenaires industriels sur la marche à suivre. Interrogé ce week-end sur la possibilité de repenser l'acquisition des F-35 et des P-8, David Eby, premier ministre de la Colombie-Britannique, a déclaré : « Le premier ministre s'exprimera au nom de l'Union : « Le premier ministre parlera au nom de l'approche nationale... En ce qui concerne les dépenses majeures de défense, qui, je le sais, sont une priorité pour les Américains et pour le président, qui souhaite voir le Canada investir davantage dans la défense, nous sommes tous heureux de travailler ensemble, mais ces droits de douane obligeront le Canada à s'approvisionner auprès d'autres pays ». Mais il sera beaucoup plus facile pour le Canada de se retirer du programme F-35. Le Canada a conclu un accord avec le gouvernement américain et Lockheed Martin pour l'achat de 88 F-35A en janvier 2023, avec l'espoir que ces appareils commenceraient à être livrés en 2026. Vous pouvez lire notre rapport de mars 2022 sur la sélection initiale du F-35 par le Canada pour remplacer sa flotte de CF-18 Hornet vieillissants, dans le cadre du Projet de capacité de combat futur, ici. La finalisation de l'accord semble mettre un terme à un processus d'acquisition long et difficile. En 2010, le gouvernement conservateur du Canada avait annoncé son intention d'acheter 65 F-35A. Puis, lorsque le Parti libéral de Trudeau a pris le pouvoir en 2015, l'achat de F-35 semblait avoir été exclu. Alors qu'il critiquait publiquement le choix du Joint Strike Fighter, Trudeau a également promis, avant les élections, qu'il n'achèterait pas de F-35 s'il était élu. Pendant un certain temps, il a semblé que le F-35 était exclu du Future Fighter Capability Project et qu'il était prévu d'acheter un plus petit nombre de F/A-18E/F Super Hornet en tant qu'avions de combat « intérimaires » à la place. À ce stade, un différend commercial antérieur entre le gouvernement canadien et Boeing a conduit à l'exclusion du F/A-18E/F de la compétition en décembre 2021. À ce stade, le seul autre candidat en lice était le Gripen E de Saab, que l'entreprise suédoise avait proposé de construire au Canada afin d'obtenir un soutien pour sa candidature. Deux autres candidats européens, l'Eurofighter Typhoon et le Dassault Rafale, ont quitté la compétition avant même qu'elle ne commence, se plaignant que le processus favorisait injustement les entreprises américaines. Finalement, en mars 2022, le F-35 a été annoncé comme le choix préféré d'Ottawa. Le gouvernement canadien a déclaré qu'il prévoyait d'investir 19 milliards de dollars dans le projet F-35, un chiffre qui n'a cessé d'augmenter (en mars 2022, l'estimation se situait entre 12 et 15 milliards de dollars). Alors que la remise du premier F-35 pour le Canada n'est pas prévue avant l'année prochaine, Ottawa a déjà investi massivement dans le programme. Au moment où le Future Fighter Capability Project a été lancé en 2017, le Canada cotisait depuis longtemps au programme F-35 en tant que partenaire industriel. Le Canada est membre du programme F-35 depuis le tout début, initialement en tant que partenaire industriel de niveau 3, sans engagement ferme d'acheter un avion réel. En effet, entre 1997 et 2021, l'investissement canadien dans le Joint Strike Fighter s'est élevé à 613 millions de dollars. Tout cela a permis aux entreprises canadiennes de décrocher des dizaines de contrats liés au développement et à la production du F-35. En 2019, ces contrats avaient déjà apporté un total combiné de plus de 1,3 milliard de dollars à l'économie canadienne. En outre, les entreprises canadiennes peuvent soumissionner pour des contrats liés au F-35 pendant toute la durée de vie de l'avion. En fin de compte, c'est cet intérêt industriel majeur pour le F-35 qui a fait que l'avion de combat furtif était également attendu comme le favori dans toute compétition formelle au Canada. Cette dynamique fait qu'il est singulièrement difficile pour le Canada de s'extraire du programme F-35. Il existe toutefois un précédent. La Turquie, qui avait également un intérêt industriel significatif dans le Joint Strike Fighter, a été écartée du programme en raison de son refus de renoncer à l'achat prévu de systèmes de défense aérienne S-400 de fabrication russe. Le Canada a déjà réalisé d'importants investissements dans de nouvelles infrastructures pour accueillir le F-35, notamment la construction d'installations pour les escadrons de chasse à la 3e escadre de Bagotville, au Québec, et à la 4e escadre de Cold Lake, en Alberta. Si l'on ajoute à cela les aspects industriels et le fait que l'avion est indispensable, il semble peu probable qu'Ottawa abandonne ses projets d'achat de F-35, malgré ses volte-face antérieures sur la question. Aucun autre avion disponible aujourd'hui n'offre les mêmes capacités que le F-35. La semaine dernière, dans un message publié sur LinkedIn, l'Association des industries canadiennes de défense et de sécurité (AICDS) a averti que « tout droit de douane américain appliqué aux exportations de défense canadiennes aurait un impact négatif important sur nos membres et sur la base industrielle de défense canado-américaine hautement intégrée ». Plus d'une centaine d'entreprises canadiennes fournissent des composants pour le F-35, l'une d'entre elles - Gastops, basée à Ottawa - étant un fournisseur unique, responsable des capteurs de moteur ODM (Oil Debris Monitor). Cela signifie que les produits Gastops sont présents dans chaque F-35 construit. D'autres fabricants canadiens fournissent des composants du F-35, sur la base d'une source non exclusive, notamment des cloisons d'aile, des poutres de quille, des queues horizontales, des trains d'atterrissage, des cartes de circuits, des systèmes d'actionnement électro-hydrauliques, des inserts de porte de baie d'armement, des contrôleurs de systèmes de gestion thermique et de puissance, et bien d'autres choses encore. En fin de compte, le F-35 n'est qu'un exemple de programme de défense américain dont le Canada bénéficie en termes d'exportations de défense, qui ne seront pas touchées par les nouveaux droits de douane. Il existe de nombreux autres programmes de ce type. Le Canada ne fournit pas de chiffres sur les exportations militaires annuelles vers les États-Unis, mais on estime qu'elles dépassent largement le milliard de dollars par an. L'élimination potentielle des revenus liés au F-35 de ce total serait un coup dur, mais la perte du marché des avions de combat du Canada au profit des États-Unis, ainsi que les perturbations de sa chaîne d'approvisionnement qui pourraient également se produire, auraient une valeur monétaire plus importante. D'autre part, les droits de douane imposés par M. Trudeau en réponse à ceux imposés par les États-Unis n'auront pas d'impact immédiat sur les industries de défense. La première série de droits de douane canadiens s'applique aux produits de consommation fabriqués aux États-Unis, tels que les alcools, les légumes, les vêtements, les appareils ménagers, les meubles et les équipements sportifs. Toutefois, si la guerre commerciale se poursuit, le Canada a menacé d'étendre ses actions, qui pourraient alors inclure des restrictions sur l'exportation de minéraux et de produits énergétiques essentiels vers les États-Unis, ce qui aurait un impact sur l'écosystème de la défense américaine. Il a également été envisagé d'adopter une législation qui empêcherait les entreprises américaines de soumissionner à des marchés publics, ce qui pourrait effectivement fermer le marché canadien aux entreprises de défense américaines. Dans l'ensemble, on ne sait pas exactement comment le programme F-35, et plus généralement les relations entre le Canada et les États-Unis dans le domaine de la défense et de l'industrie, seront affectés par la guerre commerciale actuelle. Ce qui est clair, c'est que le CF-18 a grandement besoin d'être remplacé et que tout nouveau retard dans le projet de capacité de l'avion de combat futur serait une nouvelle très mal accueillie par l'armée canadienne. Si le Canada abandonnait son projet d'achat du F-35, cela ferait dérailler son calendrier de remplacement des avions de combat et il faudrait alors relancer un nouvel effort. La valeur symbolique est également importante pour le Canada, qui dépense des milliards pour un avion de combat furtif d'un pays qui lui livre une guerre commerciale active et qui risque d'anéantir son économie. Il y a aussi la question de la soutenabilité du F-35. Le Canada investit massivement dans une ressource stratégique qui a besoin d'un soutien constant de la part de son fournisseur américain, et ce soutien pourrait être interrompu soudainement selon les caprices du gouvernement américain, s'il le souhaite. Toutes ces actions sont également suivies de près par d'autres clients américains du secteur de l'armement à l'étranger. M. Trump menace d'appliquer les mêmes droits de douane à certains de ses alliés européens. En l'état actuel des choses, comme pour de nombreux autres aspects des tensions économiques actuelles entre les États-Unis et le Canada, il s'agit d'une situation d'attente et d'observation. Mais plus les droits de douane resteront en place, plus les réactions seront fortes à mesure que les pressions politiques s'intensifieront. Modifié le 4 février par Picdelamirand-oil Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Obelix38 Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février Doug Allen va être ravi de reprendre du service avec son blog bestfighter4canada.blogspot.com ! 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février Non mais les gars, y'aura rien d'autres que du F-35. Trudeau avait dit non au F-35 durant toute sa campagne, trop cher, trop pas fini, trop en retard... Sitôt élu, 180⁰, oui non mais finalement c'est pas si mal. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Obelix38 Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février . . . d'où le "" ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février il y a 42 minutes, Obelix38 a dit : Doug Allen va être ravi de reprendre du service avec son blog bestfighter4canada.blogspot.com ! Il avait des soucis de santé quand il a arrêté. Pas sûr qu'il pourrait relancer son blog. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 4 février Share Posté(e) le 4 février @Obelix38 pareil Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 6 février Share Posté(e) le 6 février (modifié) Bon les polonais sont aussi entièrement en TR3 ... pas de chance. Va falloir serrer les fesse jusqu'à fin 2026 et prier pour que Poutine reste de l'autre côté de la frontière. https://www.gov.pl/web/national-defence/the-first-polish-f-35-fighter-unveiled Modifié le 6 février par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 7 février Share Posté(e) le 7 février (modifié) Je comprend pas tout mais çà à l'air rigolo, le NCIS est sur le coup. Bon en gros LM est condamné pour des problèmes de facturation pour le F-35 dont j'ai du mal à cerner la nature. Je savais qu'un avion pouvait être défectueux mais je savais pas qu'un prix pouvait être défectueux .. (https://uk.finance.yahoo.com/news/lockheed-martin-settles-us-allegations-230400027.html?guccounter=1) Le lien le plus intressant est celui-ci : https://www.justice.gov/opa/pr/lockheed-martin-corporation-agrees-settle-false-claims-act-allegations-defective-pricing Lockheed Martin Corporation (LMC) a accepté de payer 29,74 millions de dollars pour régler les allégations de False Claims Act faisant état de défauts de prix des contrats d'avions militaires F-35. Ce paiement s'ajoute à 11,3 millions de dollars que le LMC a précédemment versé au Département de la défense (DOD) pour les mêmes données non divulguées sur certains des mêmes contrats. LMC, dont le siège est à Bethesda, dans le Maryland, est l'un des plus grands entrepreneurs de la défense au monde. Selon des documents judiciaires, entre 2013 et 2015, LMC a gonflé les propositions de prix qu'elle a soumises pour obtenir des contrats pour le F-35 en ne fournissant pas au Bureau du programme commun F-35 (JPO) du DOD des données précises, complètes et actuelles sur les coûts et les prix au cours des négociations, ce qui a conduit à l'attribution de cinq contrats pour la production ou le soutien du F-35. Les États-Unis ont affirmé que LMC avait connaissance des données sur les coûts ou les prix des fournisseurs qu'elle ne divulguait pas au administrateur auxiliaire en violation de la loi sur la vérité dans les négociations (TINA). Le Congrès a adopté le TINA en 1962 pour aider à uniformiser les conditions de concurrence des sources uniques - où il n'y a pas de concurrence sur les prix - en veillant à ce que les négociateurs gouvernementaux aient accès aux données sur les coûts ou les prix que l'offreur a utilisés pour élaborer sa proposition. Les États-Unis ont affirmé que si LMC avait fourni des données exactes, complètes et à jour sur les coûts et les prix, les administrateurs auxiliaires auraient attribué les marchés en montants inférieurs. « Ceux qui font des affaires avec le gouvernement doivent le faire équitablement et honnêtement », a déclaré le procureur général adjoint par intérim, Brett A. Shumate de la Division civile du Département de la justice. « Nous poursuivrons nos contractants qui abusent sciemment des fonds des contribuables. « Les États-Unis s’appuient sur des contractants tels que Lockheed Martin pour fournir des informations exactes, complètes et à jour, y compris des données sur les prix, lors de la négociation de contrats avec le gouvernement », a déclaré les États-Unis par intérim. Avocat Abe McGlothin, Jr, pour le district oriental du Texas. « Si un contractant ne le fait pas, et que l’échec affecte la valeur de son contrat avec le gouvernement, le district oriental du Texas prendra des mesures pour s’assurer que l’entrepreneur est tenu responsable. » « Le programme F-35 est au cœur de la défense de notre nation », a déclaré le Lt de l’Air Force. Général. Mike Schmidt, directeur et directeur de programme, F-35 Joint Program Office. « Le Bureau conjoint du programme F-35 continuera d’insister sur l’intégrité et l’honnêteté dans toutes les transactions commerciales. Nous exigeons une responsabilité à 100 % pour chaque dollar dépensé pour ce programme en faveur des contribuables américains, des clients et contribuables internationaux. » « Le Service d’enquête criminel de la défense du Bureau de la défense du Bureau de la défense (DCIS) du Bureau de la défense du Département de la défense poursuivra méthodiquement toutes les violations présumées de la loi sur les revendications fausses et de la vérité dans la loi sur les négociations », a déclaré le directeur adjoint principal James R. Ives de DCIS. « Le résultat d’aujourd’hui reflète l’engagement inébranlable de DCIS et de nos partenaires d’enquête à demander des comptes à ceux qui s’enrichissent le contribuable américain en perpétrant la fraude contre le Département de la défense. » « La surexploitation des coûts de production et de soutien logistique d’un avion essentiel à notre défense nationale sape la disponibilité opérationnelle et érode la confiance placée dans le ministère de la Défense par le peuple américain », a déclaré l’agent spécial chargé de Greg Gross du Bureau du Service des enquêtes criminelles de la marine (NCIS) Economic Crimes Field Office. « Les NCIS et nos partenaires d’enquête restent inébranlables dans notre engagement en faveur des entités chargées d’enquêter et qui compromettent l’intégrité des contrats gouvernementaux. » Le règlement découle d'allégations introduites à l'origine dans le cadre d'un procès intenté dans le district oriental du Texas par un dénonciateur en vertu qui tamdes dispositions du False Claims Act, qui permettent à des parties privées, connues sous le nom de relators, de porter plainte au nom du gouvernement et de participer à tout recouvrement. Le cas qui tam est sous-titré ex rel. Patrick Girard c. Lockheed Martin Corp., No. 4:17-CV-147 (EDTX). La part du réfuge libre dans le règlement n’a pas encore été déterminée. Ce règlement s'est traduit par un effort coordonné entre la Division civile, la Direction du contentieux commercial, la Section de la fraude du Ministère de la justice et les États-Unis. Bureau du procureur du district oriental du Texas avec l'aide d'un administrateur auxiliaire, de la DCIS, du NCIS et de l'Agence d'audit des contrats de défense. Avocat du fond Arnold M. Auerhan de la Division civile du Département de la justice et assistant des États-Unis L'avocat James Gillingham pour le district oriental du Texas a traité l'affaire. Les réclamations réglées par le règlement ne sont que des allégations et il n'y a pas eu de détermination de la responsabilité. Modifié le 7 février par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 7 février Share Posté(e) le 7 février Base militaire fermée au Japon provoquant le ravitaillement d'urgence sur un aéroport civil de 2 F-35. Ca a l'air con à dire mais ca montre à quel point un chasseur quelqu'il soit a besoin de structures de dégagement. https://www.aa.com.tr/en/asia-pacific/2-us-f-35-fighters-make-unscheduled-landing-at-japanese-airport/3472817 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 7 février Share Posté(e) le 7 février (modifié) Petite explication concernant la modification du plan d'acquisition des F-35 de l'USMC. Quelque part si les espagnols se posaient des questions sur leur aéronaval, il y a quelques réponse là-dedans : transformation de la commande de 73 F-35B en 73 F-35C avec pour conséquence d'avoir moins d'opérations aériennes depuis les WASP et consort et plus depuis les CVN. C'est un article du NI certe mais c'est le seul qui aborde le pourquoi de ce changement important dans la stratégie de guerre aérienne de l'USMC. Cà n'a l'air de rien mais çà pose la question des opérations STOVL pour toutes les marines qui en sont équipées. Une autre hypothèse, qui n'est pas traitée dans cet article, est que çà arrange la Navy qui voit ainsi ses CVNs équipés sur le budget de l'USMC et qui donc peut consacrer du budget à son NGAD. J'ai une dernière hypothèse liée à l'empreinte logistique des F-35B dans les WASP et autres classe America. Je rappel que le moteur des F-35 ne peut pas se démonter à la verticale contrairement à ceux des AV-8B que donc obligatoirement ca divise la place disponible dans le hangar pour la maintenance des moteurs et de facto limite le nombre de f-35 embarqué. On sait aussi que la MCO du F-35 est très consommatrice de volume de stockage et c'est manifestement plus contraignant pour le B que pour le C. Le problème est gérable dans les CVN géant, beaucoup moins dans les WASP et autre Porte-Aéronef européens à l'exception des PoW et QE. Ca n'a l'air de rien mais fondamentalement ca change tout sur les opérations depuis ces navires qui en plus doivent se rapprocher plus qu'un CVN des côtes pour opérer. https://nationalinterest.org/blog/buzz/the-marine-corps-is-adjusting-its-future-f-35-lightning-ii-acquisition Le Corps des Marines ajuster son future acquisition F-35 Lightning II 6 février 2025 Par : Peter Suciu Le programme F-35 a un gros problème à ne pas être prêt pour la mission en l'espace, et le problème s'aggrave avec le F-35B. Le Département de la défense des États-Unis a annoncé que dans le cadre de la loi sur l'autorisation de la défense nationale (NDAA) de l'exercice 2025 (FY25), ils réduiraient leurs demandes de chasseurs furtifs Lockheed Martin F-35 Lightning II. Le Pentagone a réduit les commandes de 68 à 58 pour les jets de cinquième génération, citant les problèmes non résolus avec la mise à niveau du logiciel TR-3/matériel. Les plans d'acquisition initiaux précédaient les États-Unis. L'armée de l'air reçoit 42 F-35A, tandis que le Corps des Marines des États-Unis devait acquérir 13 F-35B, et l'USMC et les États-Unis. La marine recevrait 13 F-35C supplémentaires. Cependant, la NDAA FY25 a escaladé celle de 30 F-35A, la variante conventionnelle du décollage et de l'atterrissage (CTOL). Les Marines ont maintenant l'intention d'acheter neuf modèles F-35B, le décollage court et le débarquement vertical (STOVL). Enfin, les États-Unis La marine et le Corps des Marines recevront au total neuf F-35C, les versions basées sur les transporteurs. Alors que ces chiffres semblaient enfermés pour l'exercice budgétaire 2000, les futures acquisitions sont en cours de modification, de sorte qu'ils pourraient changer à nouveau dans les années à venir. Les Marines aiment le F-35C Dans son plan aérien actuel (AVPLAN), l'USMC cherchera à plus que doubler le nombre de ses F-35C, qui passeront de 67 à 140, ce qui lui permettra de soutenir les États-Unis. Déploiement des transporteurs maritimes et priorités mondiales TACAIR du Corps des Marines. L'AVPLAN réduirait également le nombre total de F-35B futurs de 353 à 280. « À la fin de 2025, 183 avions F-35B et 52 F-35C auront été livrés au Corps des Marines. Ces avions soutiennent le test de développement/opérationnel, un escadron de remplacement de la flotte F-35B sur chaque côte, un détachement de F-35C FRS et onze escadrons de la flotte », explique l’AVPLAN. Il a ajouté: «Pour le plan de transition TACAIR, le Marine Fighter Attack Squadron 232 (VMFA) et VMFA-323, VMFA-112 et le VMFA-134 vont maintenant passer en escadrons F-35C. Le programme d'enregistrement comprend maintenant 280 F-35B et 140 F-35C pour soutenir 12 escadrons F-35B et 8 escadrons F-35C. Le service maintiendra son objectif de disposer d'un total de 420 F-35. Qu'est-ce que cette modification signifie Il s'agit de soutenir les déploiements de transporteurs dans le monde entier ainsi que la mobilité expéditionnaire de l'USMC. « Grâce à une modernisation continue et à un engagement inébranlable en faveur de la disponibilité actuelle, Marine Aviation est prête à soutenir le MAGTF par la concurrence pour le conflit », a déclaré le Lt. Général. Bradford Gering, commandant adjoint pour l'aviation aux États-Unis. Corps des Marines. « Le Plan pour l’aviation 2025 témoigne de notre dévouement résolu à maintenir la supériorité opérationnelle et à faire en sorte que nous soyons toujours prêts à projeter la force, où que ce soit et où en cas de besoin. » Il convient de noter que le F-35B peut exploiter les États-Unis. Les navires d'assaut amphibies de la marine, ainsi que les porte-avions de la classe Queen Elizabeth de la Royal Navy et les porte-avions d'autres partenaires. Actuellement, trois États-Unis Les transporteurs de classe Nimitz de la marine - l'USS Carl Vinson (CVN-70), l'USS Abraham Lincoln (CVN-72) et l'USS George Washington (CVN-73) - ont été modifiés pour exploiter le F-35C. USS Theodore Roosevelt (CVN-71), USS John C. Stennis (CVN-74), USS Harry S. Truman (CVN-75), l'USS Ronald Reagan (CVN-76) et l'USS George H.W. Bush (CVN-77) est en bonne voie pour recevoir les modifications visant à exploiter le F-35 basé sur un transporteur. En outre, tous les Gerald R. Les transporteurs de classe Ford embarqueront des ailes aériennes avec des F-35C. Toutefois, étant donné que l'USS Nimitz (CV-68) est en bonne voie d'être retiré d'ici à 2027, il n'exploitera jamais le F-35C, à l'exception des tests qui ont été effectués en 2014. De même, il n'est pas certain que l'USS Dwight D. Eisenhower (CVN-69) pourrait recevoir les mises à niveau pour soutenir la variante CATOBAR F-35, car c'est la prochaine à être retirée. Certaines restrictions s'appliquent Il convient également de noter que le F-35B peut fonctionner à partir des classes Nimitz et Ford en pincée, mais ce serait loin d'être optimal. En revanche, le F-35C ne peut pas fonctionner à partir des classe America. Le dock d'hélicoptère d'atterrissage de classe Wasp (LHD) de la marine arrose d'hélicoptère d'atterrissage de la marine ou les navires d'assaut amphibies d'hélicoptère de débarquement de classe américaine (LHA). Comme les transporteurs ont des ailes aériennes plus grandes, il est logique pour les class America. Marine/États-Unis Le Corps des Marines se concentrerait sur la variante basée sur les transporteurs du Joint Strike Fighter. Toutefois, il y a un autre facteur : la volonté de la mission. En d'autres termes, le programme F-35 a un gros problème à ne pas être prêt pour la mission du moment, et le problème empire avec le F-35B. Comme l'a rapporté Breaking Defense, « le décollage court et le débarquement vertical F-35B ont vu sa mission décliner le taux de croissance et son plateau de taux capable de mission, où les deux paramètres sont encore inférieurs aux objectifs. Seul le F-35C lancé par le transporteur a connu une amélioration mesurable, car son taux de capacité de mission est resté en grande partie stable et son taux de conduite pleinement capable de s'est inclinée, mais les deux mesures clés sont également inférieures aux objectifs du programme. » Compte tenu de ces facteurs, l'USMC parie maintenant sur le F-35C. Pourtant, ses 280 F-35B seront encore suffisants pour son rôle sur le LHD/LAH et pour soutenir les partenaires étrangers. Modifié le 7 février par herciv 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 8 février Share Posté(e) le 8 février Coucou 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
FATac Posté(e) le 8 février Share Posté(e) le 8 février C'est où ?? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 8 février Share Posté(e) le 8 février il y a 26 minutes, FATac a dit : C'est où ?? Aero India 2025 - Bengaluru 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 8 février Share Posté(e) le 8 février Pour le Su-57, c'est aussi l'exemplaire qui a visité la chine il y a peu ? @MeisterDorf Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MeisterDorf Posté(e) le 8 février Share Posté(e) le 8 février il y a 11 minutes, Titus K a dit : Pour le Su-57, c'est aussi l'exemplaire qui a visité la chine il y a peu ? @MeisterDorf C'est le prototype T-50-4, exactement le même en effet. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 8 février Share Posté(e) le 8 février Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 8 février Share Posté(e) le 8 février Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 8 février Share Posté(e) le 8 février il y a 15 minutes, Picdelamirand-oil a dit : C'est quoi les modèles réduits au 1er plan? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Myrtil Posté(e) le 8 février Share Posté(e) le 8 février On 2/7/2025 at 5:32 AM, herciv said: Petite explication concernant la modification du plan d'acquisition des F-35 de l'USMC. Quelque part si les espagnols se posaient des questions sur leur aéronaval, il y a quelques réponse là-dedans : transformation de la commande de 73 F-35B en 73 F-35C avec pour conséquence d'avoir moins d'opérations aériennes depuis les WASP et consort et plus depuis les CVN. Question annexe. Est-ce que les britanniques sont intéressés aux ventes avec un ratio constant quel que soit le modèle ou y a-t-il une différence notable avec le F-35B de par le rôle de Rolls-Royce ? Et par ailleurs est-ce que les britanniques croquent aussi sur les ventes intra-américaines ? Parce que le cas échéant ça risque de faire un manque certain outre-manche. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 10 février Share Posté(e) le 10 février Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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