Alberas Posté(e) mardi à 09:05 Share Posté(e) mardi à 09:05 (modifié) Tous ces problèmes ne semblent pas refroidir les acheteurs potentiels du F35. Avec le retour de Trump, lla durée du "moment Rafale" est incertaine .. https://simpleflying.com/f-35-sales-middle-east-trump-administration/ Modifié mardi à 09:07 par Alberas 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) mardi à 09:26 Share Posté(e) mardi à 09:26 il y a 20 minutes, Alberas a dit : Tous ces problèmes ne semblent pas refroidir les acheteurs potentiels du F35. Avec le retour de Trump, lla durée du "moment Rafale" est incertaine .. https://simpleflying.com/f-35-sales-middle-east-trump-administration/ Oui d'ailleurs les belges parlent actuellement de compléter leur commande. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fritkot Posté(e) mardi à 09:58 Share Posté(e) mardi à 09:58 22 minutes ago, herciv said: Le rapport du DOT&E avertit que les essais opérationnels complets pour les avions équipés de TR-3 n’auront pas lieu avant le milieu ou la fin de l’exercice 2026, près de deux ans après l’introduction initiale de la configuration. Cela signifie que les avions TR-3 en service peuvent rester incomplets au combat jusqu’à ce que d’autres améliorations logicielles soient apportées. Je ne sais pas combien de temps il faut pour prononcer l'IOC d'une unité en Belgique mais manifestement le processus pour y parvenir est suspendu jusqu'à fin 2026. Probablement que la partie formation des pilotes/meca/basiers sera partiellement avancée mais sans la partie lié au combat. Comme je doute que la partie simulation en TR3 soit plus avancée que la partie embarquée réelle le processus de formation doit lui-même être tronqué. Ici vous passez du DT&E (Development Testing & Evaluation) au tests opérationnels (OT&E). Et vous en fait un amalgame! Le DT&E doit être réalisé par le fabricant (Lockheed Martin) et l'agence qui gère le programme (JPO). Le DT&E vérifie que le produit livré est conforme aux spécifications. Le OT&E intervient toujours plus tard (par définition). Il est réalisé par l'utilisateur (Air Force) et vise à mettre à jour les concepts opérationnels existants à la lumière des nouvelles capacités. Il en va de même pour disons le Rafale F4.x (Dassault et la DGA pour le DT&E, l'Armée de l'Air pour le OT&E). Chaque utilisateur décide lui-même de l'opportunité et de la manière d'organiser un OT&E. Dans le passé, pour les utilisateurs européens de F-16, le OT&E des softwares respectives des F-16MLU a eu généralement lieu pendant leurs exercices multinationaux FWIT. Pour leurs F-35, ce ne sera probablement pas différent. En tout état de cause, les résultats du OT&E aux États-Unis ne sont pas forcément des critères pour les déclarations IOC/FOC des utilisateurs eurpéens respectifs. Ceux qui sont déjà IOC/FOC (Italie, Norvège, Royaume-Uni, etc.) le restent d'ailleurs, indépendamment de l'introduction opérationnelle du TR-3 Block4. Encore une fois, le hardware TR-3 et la logicielle Block 4 intérimaire actuellement installés sur les 8 F-35 belges permettent tous les entraînements nécessaires. La logicielle sera certifiée (DT&E du JPO) au cours des 12 prochains mois. De toute façon l'IOC belge n'est prévu que pour beacoup plus tard en 2027 car, entre autres, l'armement nécessaire ne sera pas livré avant cette date. Comme prévu en 2018. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) mardi à 10:09 Share Posté(e) mardi à 10:09 il y a 7 minutes, Fritkot a dit : Ici vous passez du DT&E (Development Testing & Evaluation) au tests opérationnels (OT&E). Et vous en fait un amalgame! Le DT&E doit être réalisé par le fabricant (Lockheed Martin) et l'agence qui gère le programme (JPO). Le DT&E vérifie que le produit livré est conforme aux spécifications. Le OT&E intervient toujours plus tard (par définition). Il est réalisé par l'utilisateur (Air Force) et vise à mettre à jour les concepts opérationnels existants à la lumière des nouvelles capacités. Il en va de même pour disons le Rafale F4.x (Dassault et la DGA pour le DT&E, l'Armée de l'Air pour le OT&E). Chaque utilisateur décide lui-même de l'opportunité et de la manière d'organiser un OT&E. Dans le passé, pour les utilisateurs européens de F-16, le OT&E des softwares respectives des F-16MLU a eu généralement lieu pendant leurs exercices multinationaux FWIT. Pour leurs F-35, ce ne sera probablement pas différent. En tout état de cause, les résultats du OT&E aux États-Unis ne sont pas forcément des critères pour les déclarations IOC/FOC des utilisateurs eurpéens respectifs. Ceux qui sont déjà IOC/FOC (Italie, Norvège, Royaume-Uni, etc.) le restent d'ailleurs, indépendamment de l'introduction opérationnelle du TR-3 Block4. Encore une fois, le hardware TR-3 et la logicielle Block 4 intérimaire actuellement installés sur les 8 F-35 belges permettent tous les entraînements nécessaires. La logicielle sera certifiée (DT&E du JPO) au cours des 12 prochains mois. De toute façon l'IOC belge n'est prévu que pour beacoup plus tard en 2027 car, entre autres, l'armement nécessaire ne sera pas livré avant cette date. Comme prévu en 2018. Tu as parfaitement raison, mais il y a un problème avec le F-35, c'est que pendant l'OT&E des Américains ils découvrent une foultitude de problèmes qui auraient du être découvert pendant le DT&E.... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) mardi à 10:26 Share Posté(e) mardi à 10:26 (modifié) Il y a 20 heures, Fritkot a dit : Encore une fois, le hardware TR-3 et la logicielle Block 4 intérimaire actuellement installés sur les 8 F-35 belges permettent tous les entraînements nécessaires. C'est faux c'est une déformation des propos tenu par les officiels. Le TR3 et les quelques modules de blk4 permettent de faire de la formation. Il n'a jamais été dit que çà permettait de faire tous les entrainements nécessaires. Pour le reste sur les tests DT&E et OT&E je n'ai jamais dit le contraire. Néanmoins : Le 03/02/2025 à 12:18, herciv a dit : L’United Operational Test Team (UOTT), qui supervise les essais du F-35, a émis un ordre d'« arrêt des tests » en février 2024, citant : Performances logicielles instables Lacunes critiques affectant la capacité Défaillances persistantes du système de mission Et apparement les tests ne reprendront pas avant fin 2026. Et je doute que la criticité des lacunes n'ait pas d'impact sur l'IOC du TR3 en unité même européenne. Qu'on soit bien d'accord une unité peut avoir son IOC parce qu'elle peut être employé au combat mais çà ne veut pas dire que le TR3 est pour autant combat coded. L'un n'implique pas l'autre. Sauf si l'unité en question n'a pas de plan B. Et de ce que je vois de la réaction danoise, heureusement que eux ont des TR2. Les belges n'ont pas cette solution à leur dispo. EN 2017 il restait 54 F-16 en service très loin des 160 du début. D'où mon inquiétude sur la réelle capacité opérationnelle à venir des belges. Modifié il y a 18 heures par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) mardi à 16:45 Share Posté(e) mardi à 16:45 (modifié) Escalating Trade War Raises Questions Over Canada’s F-35 Future Traduit avec DeepL.com (version gratuite) L'escalade de la guerre commerciale soulève des questions sur l'avenir du F-35 au Canada Le Canada et les États-Unis étant désormais engagés dans une guerre commerciale qui s'intensifie rapidement, des questions se posent quant à l'effet que cela pourrait avoir sur les projets d'Ottawa d'acheter l'avion d'attaque interarmées F-35, ainsi que sur la manière dont le programme dans son ensemble pourrait être affecté, compte tenu de la participation non négligeable de l'industrie canadienne. Si l'on examine tout d'abord le contexte de la guerre commerciale, le président américain Donald Trump a annoncé la semaine dernière une taxe de 25 % sur les importations canadiennes et mexicaines aux États-Unis (ainsi qu'une taxe supplémentaire de 10 % sur la Chine). Presque tous les produits seront concernés, et M. Trump a justifié sa décision par ses préoccupations concernant l'immigration illégale et le trafic de drogue. Dans le même temps, M. Trump a également dénoncé les déséquilibres commerciaux et les pratiques commerciales déloyales comme étant les principaux moteurs de cette politique. En réponse, le Canada a annoncé ses propres mesures de rétorsion à l'encontre des États-Unis, en imposant une taxe de 25 % sur une série de produits américains. « Nous ne voulons pas être ici, nous n'avons pas demandé cela », a déclaré le Premier ministre canadien Justin Trudeau. Il a ajouté qu'il « ne reculerait pas en défendant les intérêts des Canadiens », tout en avertissant que les droits de douane auraient un impact sur la vie des gens des deux côtés de la frontière. Pour donner une idée de la nature profondément interconnectée des économies des trois pays d'Amérique du Nord, on estime qu'environ 2 milliards de dollars de produits manufacturés traversent leurs frontières chaque jour. M. Trump s'est dit prêt à augmenter encore les droits de douane si les pays concernés ripostent à ses tarifs, comme l'a fait le Canada. On ne sait pas encore si les droits de douane affecteront le F-35, ainsi qu'une série d'autres articles militaires vendus entre les États-Unis et le Canada. Toutefois, il a déjà été suggéré que le Canada pourrait se tourner vers d'autres pays pour ses nouveaux avions de combat, en signe de désapprobation à l'égard des États-Unis. L'avenir de l'acquisition de l'avion de patrouille maritime canadien P-8 Poseidon a également été remis en question. Dans un commentaire fourni à TWZ, Russell Goemaere, responsable des affaires publiques au Bureau du programme conjoint F-35, a déclaré : « Pour l'instant, nous évaluons la possibilité d'acheter des avions de patrouille maritime P-8 Poseidon : « Pour l'instant, nous évaluons l'impact d'éventuels droits de douane et nous travaillerons avec le gouvernement et nos partenaires industriels sur la marche à suivre. Interrogé ce week-end sur la possibilité de repenser l'acquisition des F-35 et des P-8, David Eby, premier ministre de la Colombie-Britannique, a déclaré : « Le premier ministre s'exprimera au nom de l'Union : « Le premier ministre parlera au nom de l'approche nationale... En ce qui concerne les dépenses majeures de défense, qui, je le sais, sont une priorité pour les Américains et pour le président, qui souhaite voir le Canada investir davantage dans la défense, nous sommes tous heureux de travailler ensemble, mais ces droits de douane obligeront le Canada à s'approvisionner auprès d'autres pays ». Mais il sera beaucoup plus facile pour le Canada de se retirer du programme F-35. Le Canada a conclu un accord avec le gouvernement américain et Lockheed Martin pour l'achat de 88 F-35A en janvier 2023, avec l'espoir que ces appareils commenceraient à être livrés en 2026. Vous pouvez lire notre rapport de mars 2022 sur la sélection initiale du F-35 par le Canada pour remplacer sa flotte de CF-18 Hornet vieillissants, dans le cadre du Projet de capacité de combat futur, ici. La finalisation de l'accord semble mettre un terme à un processus d'acquisition long et difficile. En 2010, le gouvernement conservateur du Canada avait annoncé son intention d'acheter 65 F-35A. Puis, lorsque le Parti libéral de Trudeau a pris le pouvoir en 2015, l'achat de F-35 semblait avoir été exclu. Alors qu'il critiquait publiquement le choix du Joint Strike Fighter, Trudeau a également promis, avant les élections, qu'il n'achèterait pas de F-35 s'il était élu. Pendant un certain temps, il a semblé que le F-35 était exclu du Future Fighter Capability Project et qu'il était prévu d'acheter un plus petit nombre de F/A-18E/F Super Hornet en tant qu'avions de combat « intérimaires » à la place. À ce stade, un différend commercial antérieur entre le gouvernement canadien et Boeing a conduit à l'exclusion du F/A-18E/F de la compétition en décembre 2021. À ce stade, le seul autre candidat en lice était le Gripen E de Saab, que l'entreprise suédoise avait proposé de construire au Canada afin d'obtenir un soutien pour sa candidature. Deux autres candidats européens, l'Eurofighter Typhoon et le Dassault Rafale, ont quitté la compétition avant même qu'elle ne commence, se plaignant que le processus favorisait injustement les entreprises américaines. Finalement, en mars 2022, le F-35 a été annoncé comme le choix préféré d'Ottawa. Le gouvernement canadien a déclaré qu'il prévoyait d'investir 19 milliards de dollars dans le projet F-35, un chiffre qui n'a cessé d'augmenter (en mars 2022, l'estimation se situait entre 12 et 15 milliards de dollars). Alors que la remise du premier F-35 pour le Canada n'est pas prévue avant l'année prochaine, Ottawa a déjà investi massivement dans le programme. Au moment où le Future Fighter Capability Project a été lancé en 2017, le Canada cotisait depuis longtemps au programme F-35 en tant que partenaire industriel. Le Canada est membre du programme F-35 depuis le tout début, initialement en tant que partenaire industriel de niveau 3, sans engagement ferme d'acheter un avion réel. En effet, entre 1997 et 2021, l'investissement canadien dans le Joint Strike Fighter s'est élevé à 613 millions de dollars. Tout cela a permis aux entreprises canadiennes de décrocher des dizaines de contrats liés au développement et à la production du F-35. En 2019, ces contrats avaient déjà apporté un total combiné de plus de 1,3 milliard de dollars à l'économie canadienne. En outre, les entreprises canadiennes peuvent soumissionner pour des contrats liés au F-35 pendant toute la durée de vie de l'avion. En fin de compte, c'est cet intérêt industriel majeur pour le F-35 qui a fait que l'avion de combat furtif était également attendu comme le favori dans toute compétition formelle au Canada. Cette dynamique fait qu'il est singulièrement difficile pour le Canada de s'extraire du programme F-35. Il existe toutefois un précédent. La Turquie, qui avait également un intérêt industriel significatif dans le Joint Strike Fighter, a été écartée du programme en raison de son refus de renoncer à l'achat prévu de systèmes de défense aérienne S-400 de fabrication russe. Le Canada a déjà réalisé d'importants investissements dans de nouvelles infrastructures pour accueillir le F-35, notamment la construction d'installations pour les escadrons de chasse à la 3e escadre de Bagotville, au Québec, et à la 4e escadre de Cold Lake, en Alberta. Si l'on ajoute à cela les aspects industriels et le fait que l'avion est indispensable, il semble peu probable qu'Ottawa abandonne ses projets d'achat de F-35, malgré ses volte-face antérieures sur la question. Aucun autre avion disponible aujourd'hui n'offre les mêmes capacités que le F-35. La semaine dernière, dans un message publié sur LinkedIn, l'Association des industries canadiennes de défense et de sécurité (AICDS) a averti que « tout droit de douane américain appliqué aux exportations de défense canadiennes aurait un impact négatif important sur nos membres et sur la base industrielle de défense canado-américaine hautement intégrée ». Plus d'une centaine d'entreprises canadiennes fournissent des composants pour le F-35, l'une d'entre elles - Gastops, basée à Ottawa - étant un fournisseur unique, responsable des capteurs de moteur ODM (Oil Debris Monitor). Cela signifie que les produits Gastops sont présents dans chaque F-35 construit. D'autres fabricants canadiens fournissent des composants du F-35, sur la base d'une source non exclusive, notamment des cloisons d'aile, des poutres de quille, des queues horizontales, des trains d'atterrissage, des cartes de circuits, des systèmes d'actionnement électro-hydrauliques, des inserts de porte de baie d'armement, des contrôleurs de systèmes de gestion thermique et de puissance, et bien d'autres choses encore. En fin de compte, le F-35 n'est qu'un exemple de programme de défense américain dont le Canada bénéficie en termes d'exportations de défense, qui ne seront pas touchées par les nouveaux droits de douane. Il existe de nombreux autres programmes de ce type. Le Canada ne fournit pas de chiffres sur les exportations militaires annuelles vers les États-Unis, mais on estime qu'elles dépassent largement le milliard de dollars par an. L'élimination potentielle des revenus liés au F-35 de ce total serait un coup dur, mais la perte du marché des avions de combat du Canada au profit des États-Unis, ainsi que les perturbations de sa chaîne d'approvisionnement qui pourraient également se produire, auraient une valeur monétaire plus importante. D'autre part, les droits de douane imposés par M. Trudeau en réponse à ceux imposés par les États-Unis n'auront pas d'impact immédiat sur les industries de défense. La première série de droits de douane canadiens s'applique aux produits de consommation fabriqués aux États-Unis, tels que les alcools, les légumes, les vêtements, les appareils ménagers, les meubles et les équipements sportifs. Toutefois, si la guerre commerciale se poursuit, le Canada a menacé d'étendre ses actions, qui pourraient alors inclure des restrictions sur l'exportation de minéraux et de produits énergétiques essentiels vers les États-Unis, ce qui aurait un impact sur l'écosystème de la défense américaine. Il a également été envisagé d'adopter une législation qui empêcherait les entreprises américaines de soumissionner à des marchés publics, ce qui pourrait effectivement fermer le marché canadien aux entreprises de défense américaines. Dans l'ensemble, on ne sait pas exactement comment le programme F-35, et plus généralement les relations entre le Canada et les États-Unis dans le domaine de la défense et de l'industrie, seront affectés par la guerre commerciale actuelle. Ce qui est clair, c'est que le CF-18 a grandement besoin d'être remplacé et que tout nouveau retard dans le projet de capacité de l'avion de combat futur serait une nouvelle très mal accueillie par l'armée canadienne. Si le Canada abandonnait son projet d'achat du F-35, cela ferait dérailler son calendrier de remplacement des avions de combat et il faudrait alors relancer un nouvel effort. La valeur symbolique est également importante pour le Canada, qui dépense des milliards pour un avion de combat furtif d'un pays qui lui livre une guerre commerciale active et qui risque d'anéantir son économie. Il y a aussi la question de la soutenabilité du F-35. Le Canada investit massivement dans une ressource stratégique qui a besoin d'un soutien constant de la part de son fournisseur américain, et ce soutien pourrait être interrompu soudainement selon les caprices du gouvernement américain, s'il le souhaite. Toutes ces actions sont également suivies de près par d'autres clients américains du secteur de l'armement à l'étranger. M. Trump menace d'appliquer les mêmes droits de douane à certains de ses alliés européens. En l'état actuel des choses, comme pour de nombreux autres aspects des tensions économiques actuelles entre les États-Unis et le Canada, il s'agit d'une situation d'attente et d'observation. Mais plus les droits de douane resteront en place, plus les réactions seront fortes à mesure que les pressions politiques s'intensifieront. Modifié mardi à 16:55 par Picdelamirand-oil Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Obelix38 Posté(e) mardi à 21:07 Share Posté(e) mardi à 21:07 Doug Allen va être ravi de reprendre du service avec son blog bestfighter4canada.blogspot.com ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) mardi à 21:11 Share Posté(e) mardi à 21:11 Non mais les gars, y'aura rien d'autres que du F-35. Trudeau avait dit non au F-35 durant toute sa campagne, trop cher, trop pas fini, trop en retard... Sitôt élu, 180⁰, oui non mais finalement c'est pas si mal. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Obelix38 Posté(e) mardi à 21:16 Share Posté(e) mardi à 21:16 . . . d'où le "" ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) mardi à 21:51 Share Posté(e) mardi à 21:51 il y a 42 minutes, Obelix38 a dit : Doug Allen va être ravi de reprendre du service avec son blog bestfighter4canada.blogspot.com ! Il avait des soucis de santé quand il a arrêté. Pas sûr qu'il pourrait relancer son blog. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) mardi à 22:31 Share Posté(e) mardi à 22:31 @Obelix38 pareil Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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