pascal Posté(e) le 14 mars 2024 Share Posté(e) le 14 mars 2024 non de mémoire sur batteries 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ponto Combo Posté(e) le 15 mars 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 15 mars 2024 Je suis tombé sur cette photo d'une "operations room" d'un chasseur de mines australien de la classe Huon: SAGEM avait remporté au milieu des années 90 la fourniture de la centrale inertielle et des répétiteurs graphiques que l'on voit alignés au-dessus des consoles, avec les trois boutons et switch dans le bas. La difficulté de l'affaire c'est que le matos devait passer un essai de choc qui simulait une explosion de mine à proximité du bâtiment. Cela équivalait à un choc de 600 g. Il fallait donc prévoir des trucs pour que la centrale inertielle standard et l'écran LCD du répétiteur tiennent et surtout qu'il n'y rien qui se détache et puisse blesser l'équipage. On ne lui demandait pas de fonctionner après l'essai. Le jour de l’essai en Australie le gars de la SAGEM commence à s'inquiéter sérieusement quand il voit les impacts de matériel détruit sur le plafond du batiment. Et effectivement c'est assez violent, les connecteurs des deux matériels qui sont sous tension sont arrachés. Première inspection, le matériel a l'air entier, il rebranche les connecteurs, tout fonctionne normalement. Les Australiens sont sur le cul. Depuis, la marine australienne achète régulièrement du matériel SAGEM/SAFRAN , veille iR pour des frégates entre autres et a été retenu pour les mats optroniques de la modernisation des Collins. 1 7 1 5 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 15 mars 2024 Share Posté(e) le 15 mars 2024 Le seul souci c'est qu'ils ont continué de faire ce même essai sur les NH90 et Tigre ... 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARPA Posté(e) le 16 mars 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 mars 2024 Il y a 6 heures, clem200 a dit : Le seul souci c'est qu'ils ont continué de faire ce même essai sur les NH90 et Tigre ... Le pire, c'est que c'est "vrai". Pour le Tigre, ils se sont décidés après avoir constaté le crash (sans mort) d'un prototype chez eux. 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 17 mars 2024 Share Posté(e) le 17 mars 2024 Le 15/03/2024 à 11:54, Ponto Combo a dit : Cela équivalait à un choc de 600 g. D’accord SAGEM fait des bonnes CIN , mais là « choquée » à 600 g , je trouve que ça fait quand même beaucoup, non ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) le 17 mars 2024 Share Posté(e) le 17 mars 2024 Il y a 1 heure, ARMEN56 a dit : D’accord SAGEM fait des bonnes CIN , mais là « choquée » à 600 g , je trouve que ça fait quand même beaucoup, non ? Faut voir le détail. C'est très traître comme sujet. L'aspect forme (demi sinus ou dent de scien) et temps.... Une machine de test peut par exemple faire : ½ sinus 50g-11ms ½ sinus 30g-15ms ½ sinus 3000g-0,3ms car "en gros" c'est la même énergie (voir le 2eme pdf) Pour moi, un choc "mine", ou explosion sous marine est assez "lent". Au moins la dizaine de ms. Je ne sais plus si les valeurs sont donnés publiquement dans les stanag etc. Donc j'imaginerais plus un truc genre 50/60g 15ms que 600g 1ms Quelques ordre de grandeur pour les chocs en manutention. Une chute de 20 cm en conteneur. Rien de "dingue" en soit. PAM 180g ! (mais 0.7 ms) Citation Les chocs induits par une chute de 20cm d’une munition en conteneur sont de l’ordre de ½ sinus 120g- 2ms et 180g-0,7ms Les chocs d’une vitesse de 1,6m/s sur un surface lisse en bois correspondent aux ½ sinus de l’ordre de 150g-7ms https://www.thalesgroup.com/fr/marches/solutions-specifiques/laboratoire-dessais-et-devaluation-environnement/essais-mecaniques https://www.captronic.fr/docrestreint.api/2116/0083d366c2a0edf6524f51517c125fc893397138/pdf/PHILIPPE_DESSENDIER_MBDA_CHOCS_ASTE_BOURGES_2013_Vaste.pdf 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 18 mars 2024 Share Posté(e) le 18 mars 2024 (modifié) Ma comprehension Révélation La contrainte de tenues aux chocs c’est : un niveau de menace , une charge TNT à une certaine distance soit un facteur de chocs ( shock factor) , cf tableau de correspondances cause/effets , niveau SF/effets Une réponse navire ou matériel qui est fonction du niveau de menace, de la masse matériel , de sa situation à bord , sous pont principal ( fonds) , dessus pont principal, dans les hauts Tous ces éléments se traduisent par un abaque spectre de réponse aux chocs ( SRC) ; en déplacement , vitesse , accélération suivant les 3 axes de mise en mvts. Par ex on retrouve des niveaux > 100 g pour du matos des fonds dont masse mi-lourde. Plus on grimpe en masse moins on met en mvts ; un guideau sur pont principale c’est 50 g en vertical . Une CIN c’est sauf erreur bien au dessus du ptpal. De ces éléments cadrés par les Stanag on défini le niveau d’amortissement ( plots élastique, résilient , ou rigides) Les essais de chocs ne doivent pas être destructifs . Les équipementiers doivent démontrer tenue aux chocs par calculs justificatifs , essai sur table de chocs …etc Modifié le 18 mars 2024 par ARMEN56 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ponto Combo Posté(e) le 18 mars 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 18 mars 2024 Il y a 13 heures, ARMEN56 a dit : D’accord SAGEM fait des bonnes CIN , mais là « choquée » à 600 g , je trouve que ça fait quand même beaucoup, non ? Je disait qu'il fallait des "trucs" en plus pour que ça tienne. La CIN doit être liée rigidement à la coque pour fournir les bonnes informations dans les conditions normales de fonctionnement mais au delà on peut faire en sorte d'amortir le choc. Il y a 11 heures, Eau tarie a dit : ½ sinus 50g-11ms ½ sinus 30g-15ms ½ sinus 3000g-0,3ms car "en gros" c'est la même énergie (voir le 2eme pdf) Pour moi, un choc "mine", ou explosion sous marine est assez "lent". Au moins la dizaine de ms. Je ne sais plus si les valeurs sont donnés publiquement dans les stanag etc. Donc j'imaginerais plus un truc genre 50/60g 15ms que 600g 1ms C'est défini dans la norme MIL Std 901, ½ sinus 600g 3ms choc court fort heureusement. La norme défini également la machine de test. C'est le même principe qu'un mouton de Charpy mais en beaucoup plus gros. On voit dans cette vidéo la masse qui percute le bâti. 1 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 21 mars 2024 Share Posté(e) le 21 mars 2024 https://www.letelegramme.fr/economie/sous-marins-a-propulsion-nucleaire-laustralie-sallie-au-britannique-bae-systems-6548577.php C'est bon. C'est lancé et il est confirmé que AUKUS se concrétisera... Reste à trouver les 240 Mds $ sur 30 ans et les compétences. ..."Des responsables australiens estiment qu’il faudra mobiliser 20 000 personnes - techniciens, ouvriers métallurgistes, électriciens et soudeurs - pour concrétiser ce projet"... Ah quand même!... bizarrement, un léger doute m'assaille. 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 21 mars 2024 Share Posté(e) le 21 mars 2024 Les dates s'alignent de plus en plus avec le SSN(X) américain qui a été décalé récemment à 2040. 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 22 mars 2024 Share Posté(e) le 22 mars 2024 (modifié) Il y a 20 heures, Ronfly a dit : https://www.letelegramme.fr/economie/sous-marins-a-propulsion-nucleaire-laustralie-sallie-au-britannique-bae-systems-6548577.php C'est bon. C'est lancé et il est confirmé que AUKUS se concrétisera... Reste à trouver les 240 Mds $ sur 30 ans et les compétences. ..."Des responsables australiens estiment qu’il faudra mobiliser 20 000 personnes - techniciens, ouvriers métallurgistes, électriciens et soudeurs - pour concrétiser ce projet"... Ah quand même!... bizarrement, un léger doute m'assaille. Avec 26 million d'australiens, dont une population active de 20 millions de personnes environs, en effet, trouver 20 000 spécialistes des domaines concernés risque d'être complexe sauf à diriger à marche forcée des gens qui seraient partis dans d'autres secteurs industriels. Mais pour ça il faut du plan de charge parce qu'ils ne vont pas poireauter des années sans rien faire d'autre. En clair, soit l'Australie se retrouve avec des tas d'emplois relatifs à la construction navale et aux domaines associés à la construction de sous-marins, soit c'est peine perdue. De plus en plus cette manoeuvre m'apparait comme une façon de lisser les coûts de la future classe "SSNR" destinée à prendre la suite des Astute. Quelque part les Anglais doivent même jubiler que les Virginia ne puissent être livrés à temps. Mais les USA un peu moins. Sauf si d'aventure SSNR et SSNX fusionnaient. Ce qui n'est pas à exclure. Et surtout ça ouvre encore un peu plus la porte à un sous-marin conventionnel d'intérim... Qui ne saurait être Français, et qui risque, s'il se révèle efficace, de rester présent longtemps à l'inventaire, surtout s'il faut partir faire la guerre avec. Modifié le 22 mars 2024 par Patrick Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 23 mars 2024 Share Posté(e) le 23 mars 2024 Le 22/03/2024 à 14:33, Patrick a dit : Et surtout ça ouvre encore un peu plus la porte à un sous-marin conventionnel d'intérim... Qui ne saurait être Français, et qui risque, s'il se révèle efficace, de rester présent longtemps à l'inventaire, surtout s'il faut partir faire la guerre avec. Échec des sous-marins australiens : d’anciens hauts gradés américains œuvraient dans les coulisses Citation Ce n’est cependant pas la première fois que la France est écartée par les États-Unis d’un contrat de ce type. Dans les années 80, Paris espérait vendre ses sous-marins nucléaires d'attaque au Canada. Les négociations semblaient en bonne voie. “La marine canadienne, comme le pouvoir politique, étaient tout à fait convaincus de l'intérêt de cette solution”, se souvient Max Moulin, ingénieur en génie atomique, Capitaine de Vaisseau et contributeur de l’ouvrage naval de référence intitulé Flottes de combat. “Jusqu'au moment où les Américains sont intervenus en faisant une contreproposition de prêt ou de mise à disposition de sous-marins nucléaires américains. Les Canadiens ont alors laissé tomber le contrat français. Sauf qu’“ils n'ont jamais eu de retour de la part des Américains, et ils ont finalement dû acheter des sous-marins classiques d'occasion britanniques qui n'étaient pas en bon état.” L’histoire se répètera-t-elle ? Rien n’est moins sûr. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 23 mars 2024 Share Posté(e) le 23 mars 2024 Le 22/03/2024 à 14:33, Patrick a dit : Avec 26 million d'australiens, dont une population active de 20 millions de personnes environs, en effet, trouver 20 000 spécialistes des domaines concernés risque d'être complexe sauf à diriger à marche forcée des gens qui seraient partis dans d'autres secteurs industriels. Mais pour ça il faut du plan de charge parce qu'ils ne vont pas poireauter des années sans rien faire d'autre. En clair, soit l'Australie se retrouve avec des tas d'emplois relatifs à la construction navale et aux domaines associés à la construction de sous-marins, soit c'est peine perdue. De plus en plus cette manoeuvre m'apparait comme une façon de lisser les coûts de la future classe "SSNR" destinée à prendre la suite des Astute. Quelque part les Anglais doivent même jubiler que les Virginia ne puissent être livrés à temps. Mais les USA un peu moins. Sauf si d'aventure SSNR et SSNX fusionnaient. Ce qui n'est pas à exclure. Et surtout ça ouvre encore un peu plus la porte à un sous-marin conventionnel d'intérim... Qui ne saurait être Français, et qui risque, s'il se révèle efficace, de rester présent longtemps à l'inventaire, surtout s'il faut partir faire la guerre avec. Oui et il y a aussi le prix: 240 Milliards de dollars US cela fait 8 milliards par an soit 2 porte avions par an pendant 30 ans. Je ne sais pas si l'Australie peut se permettre de se payer 60 Porte avions. 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 23 mars 2024 Share Posté(e) le 23 mars 2024 il y a 22 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Oui et il y a aussi le prix: 240 Milliards de dollars US cela fait 8 milliards par an soit 2 porte avions par an pendant 30 ans. Je ne sais pas si l'Australie peut se permettre de se payer 60 Porte avions. Bonne remarque. Après, je crois que les coûts courent jusqu'à dans très longtemps, comme ça aurait été le cas avec les Shortfin. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 23 mars 2024 Share Posté(e) le 23 mars 2024 il y a 30 minutes, Patrick a dit : Bonne remarque. Après, je crois que les coûts courent jusqu'à dans très longtemps, comme ça aurait été le cas avec les Shortfin. Si c'est jusqu'à très longtemps ce n'est pas compris dans les 240 Milliards ! Citation Le projet Aukus visant à doter l’Australie de sous-marins à propulsion nucléaire pourrait coûter jusqu’à 240 milliards de dollars sur 30 ans . 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 23 mars 2024 Share Posté(e) le 23 mars 2024 (modifié) Il y a 1 heure, Picdelamirand-oil a dit : Si c'est jusqu'à très longtemps ce n'est pas compris dans les 240 Milliards ! Citation Le projet Aukus visant à doter l’Australie de sous-marins à propulsion nucléaire pourrait coûter jusqu’à 240 milliards de dollars sur 30 ans . OUCH. Modifié le 23 mars 2024 par Patrick Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 23 mars 2024 Share Posté(e) le 23 mars 2024 Au taux actuel du dollars australiens ça fait 143 milliards d'euros Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 23 mars 2024 Share Posté(e) le 23 mars 2024 (modifié) Il y a 3 heures, clem200 a dit : Au taux actuel du dollars australiens ça fait 143 milliards d'euros Oui mais l'estimation en dollars australiens est de 368 milliards. 12 mois plus tard, il existe de nombreuses autres raisons de critiquer le sous-accord AUKUS de 368 milliards de dollars Modifié le 23 mars 2024 par Picdelamirand-oil Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 24 mars 2024 Share Posté(e) le 24 mars 2024 Il y a 2 heures, Picdelamirand-oil a dit : Oui mais l'estimation en dollars australiens est de 368 milliards. 12 mois plus tard, il existe de nombreuses autres raisons de critiquer le sous-accord AUKUS de 368 milliards de dollars Je suis pas pro AUKUS mais pour le coup la ... l'article est un peu orienté politiquement : World BEYOND War est un mouvement mondial non-violent pour mettre fin à la guerre et établir une paix juste et durable. World BEYOND War a été fondée le 1 janvierst, 2014, lorsque les co-fondateurs David Hartsough et David Swanson ont entrepris de créer un mouvement mondial pour abolir l'institution de la guerre elle-même, et pas seulement la «guerre du jour». Si la guerre doit un jour être abolie, elle doit être retirée de la table en tant qu'option viable. Tout comme il n'y a pas de « bon » esclavage ou d'esclavage nécessaire, il n'y a pas de « bonne » ou de guerre nécessaire. Les deux institutions sont odieuses et jamais acceptables, quelles que soient les circonstances. Alors, si nous ne pouvons pas utiliser la guerre pour résoudre les conflits internationaux, que pouvons-nous faire ? Trouver un moyen de passer à un système de sécurité mondial soutenu par le droit international, la diplomatie, la collaboration et les droits de l'homme, et défendre ces choses par une action non violente plutôt que par la menace de la violence, est au cœur de WBW. Notre travail comprend une éducation qui dissipe les mythes, comme «La guerre est naturelle» ou «Nous avons toujours eu la guerre», et montre aux gens non seulement que la guerre devrait être abolie, mais aussi qu'elle peut l'être. Notre travail comprend toutes sortes d'activisme non violent qui pousse le monde vers la fin de toute guerre. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 24 mars 2024 Share Posté(e) le 24 mars 2024 (modifié) Il y a 6 heures, Titus K a dit : Je suis pas pro AUKUS mais pour le coup la ... l'article est un peu orienté politiquement : World BEYOND War est un mouvement mondial non-violent pour mettre fin à la guerre et établir une paix juste et durable. World BEYOND War a été fondée le 1 janvierst, 2014, lorsque les co-fondateurs David Hartsough et David Swanson ont entrepris de créer un mouvement mondial pour abolir l'institution de la guerre elle-même, et pas seulement la «guerre du jour». Si la guerre doit un jour être abolie, elle doit être retirée de la table en tant qu'option viable. Tout comme il n'y a pas de « bon » esclavage ou d'esclavage nécessaire, il n'y a pas de « bonne » ou de guerre nécessaire. Les deux institutions sont odieuses et jamais acceptables, quelles que soient les circonstances. Alors, si nous ne pouvons pas utiliser la guerre pour résoudre les conflits internationaux, que pouvons-nous faire ? Trouver un moyen de passer à un système de sécurité mondial soutenu par le droit international, la diplomatie, la collaboration et les droits de l'homme, et défendre ces choses par une action non violente plutôt que par la menace de la violence, est au cœur de WBW. Notre travail comprend une éducation qui dissipe les mythes, comme «La guerre est naturelle» ou «Nous avons toujours eu la guerre», et montre aux gens non seulement que la guerre devrait être abolie, mais aussi qu'elle peut l'être. Notre travail comprend toutes sortes d'activisme non violent qui pousse le monde vers la fin de toute guerre. L'estimation de 368 milliards de Dollar Australien ne vient pas d'eux mais a été très largement diffusée à l'époque où elle a été faite. Jai pris le premier article citant cette estimation pour justifier que l'estimation de 240 milliard de Dollar était bien en Dollar US. Le reste de l'article ne m'intéresse même pas. Modifié le 24 mars 2024 par Picdelamirand-oil 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ponto Combo Posté(e) le 26 mars 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 26 mars 2024 L'Australie a choisi Aukus et se retrouve désormais confrontée à la perspective de ne disposer d'aucune capacité sous-marine pendant au moins une décennie. Malcolm Turnbull https://www-theguardian-com.translate.goog/commentisfree/2024/mar/26/australia-aukus-deal-us-uk-submarines-virginia-class?_x_tr_sl=auto&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=wapp La fourniture de sous-marins américains de classe Virginia dépend du développement industriel américain, des besoins militaires, de la politique – et éventuellement de Trump. L'Australie n'a aucune agence ni aucun moyen de pression sur aucun de ces éléments. Alors que nous envisageons la probabilité réelle d’un Trump n°2, qu’est-ce que cela signifie pour Aukus ? Nous commençons sans aucun effet de levier. La grande idée de Scott Morrison à Aukus était d'annuler un programme de construction de sous-marins avec la France qui nous aurait donné de nouveaux bateaux pour remplacer les sous-marins de la classe Collins lors de leur retraite dans les années 2030, avec un partenariat pour construire de nouveaux sous-marins nucléaires (encore incomplets) des sous-marins propulsés « Aukus SSN » avec le soutien du Royaume-Uni et des États-Unis, dont le premier ne serait pas disponible, en supposant que tout se déroule à temps, avant les années 2040. Mais comment combler le déficit de capacités laissé par le retrait des sous-marins de la classe Collins dans les années 2030 ? La plupart des grands projets de défense prennent du retard et l’entrepreneur britannique, BAE, est constamment en retard et dépasse son budget pour ses projets navals, notamment le plus récent sous-marin britannique de classe Astute et la frégate australienne de classe Hunter. La solution consistait à acquérir trois, voire cinq sous-marins de classe Virginia auprès des États-Unis, le premier arrivant en 2032 et les deux suivants en 2035 et 2037, avec deux supplémentaires si les SSN Aukus sont en retard. Il s'agirait d'un mélange de bateaux d'occasion, ayant encore 20 ans de vie, et de bateaux neufs. Ceux-ci couvriraient nos besoins en sous-marins jusqu’à la construction des SSN Aukus. Si les sous-marins étaient comme les iPhones et que vous pouviez les acheter dans le commerce, tout cela aurait du sens, mais il se trouve que la marine américaine manque de sous-marins. Il compte au moins 17 Virginia de moins que ce dont il a actuellement besoin. Non seulement l’industrie américaine ne construit pas suffisamment pour répondre aux besoins de la marine américaine, mais elle ne peut pas maintenir un rythme satisfaisant de réparation et d’entretien des sous-marins dont elle dispose. En septembre dernier, 33 % des effectifs du SSN étaient en maintenance dans un dépôt ou inactifs en attente de maintenance, contre un objectif de 20 %. À l’heure actuelle, les États-Unis construisent entre 1,2 et 1,3 sous-marins de la classe Virginia par an. Cette année, la marine américaine a réduit sa commande de nouveaux Virginia de deux à un, en reconnaissance de l'incapacité actuelle de l'industrie à répondre à ses besoins. Afin de répondre aux besoins déclarés de la marine américaine et de rattraper sa pénurie de sous-marins, ce taux de production doit passer à deux bateaux par an d'ici 2028 et à 2,33 bateaux par an peu après. Afin de fournir des bateaux à l'Australie, comme l'envisage Aukus, ce taux de production plus élevé devrait être maintenu. La conception française rejetée était un exercice beaucoup moins risqué et moins coûteux. La loi Aukus votée par le Congrès en décembre dernier stipule spécifiquement que les sous-marins ne peuvent être vendus à l'Australie que si le président certifie que leur vente ne portera pas atteinte aux besoins de la marine américaine. Cela relève du bon sens politique ; les États-Unis ne vendront pas de Virginia à l’Australie à moins que la marine américaine n’avoue qu’elle n’en a pas besoin. Cela signifie que pour en arriver là, il faut supposer que le rythme de construction des sous-marins de la classe Virginia va presque doubler au cours des quatre prochaines années, que les besoins en sous-marins de la marine américaine n'augmenteront pas et que d'ici le début des années 2030, la marine aura être suffisamment détendu face à la menace chinoise pour qu’elle soit prête à réduire sa propre flotte de sous-marins de trois, voire cinq, de ses ressources sous-marines les plus précieuses. De nombreux experts américains de la défense, comme Elbridge Colby, ancien secrétaire adjoint à la Défense de l'ère Trump, estiment qu'il n'est tout simplement pas réaliste de s'attendre à ce que la marine américaine diminue sa propre flotte de ressources aussi vitales à une époque où ils estiment que la guerre est une menace bien réelle. possibilité. La fourniture de sous-marins de classe Virginia à la Royal Australian Navy dépend du développement industriel américain, des besoins militaires américains et de la politique américaine. L’Australie n’a aucun pouvoir ni influence sur aucun de ces facteurs. Voilà pour la souveraineté australienne. Y a-t-il un plan B ? Eh bien, personne à Canberra ne semble en avoir, mais les États-Unis en ont certainement. Elle est exposée de manière très détaillée dans un document de recherche officiel préparé par le Congrès américain et est décrite comme une « division militaire du travail » selon laquelle l’Australie ne disposerait pas de sous-marins. La marine américaine baserait certaines de ses propres bases à Perth, sur la base sous-marine que nous construisons pour elle, et l'Australie investirait l'argent qu'elle a économisé dans d'autres capacités. Ou bien il pourrait simplement remettre davantage d’argent au gouvernement américain – peut-être pour financer notre propre protection, comme le font la Corée du Sud ou le Japon. Cet arrangement pourrait se poursuivre jusqu'à ce que les SSN Aukus, qui seront construits en partenariat avec le Royaume-Uni, arrivent (dans les années 2040, nous l'espérons) ou se poursuivront pour toujours. Des officiers et marins de la Royal Australian Navy pourraient peut-être faire partie de l’équipage de certains de ces Virginia. Quelle sera l’attitude de Donald Trump à l’égard d’Aukus ? Eh bien, nous avons déjà convenu de donner aux Américains 3 milliards de dollars pour contribuer au développement de leur base industrielle sous-marine. Trump sera sans aucun doute perplexe à l’idée que nous dépensions de l’argent pour développer la base industrielle de son pays plutôt que la nôtre (et encore plus étonné que nous envoyions une somme similaire au Royaume-Uni pour soutenir la construction des SSN d’Aukus). Son instinct naturel sera de demander plus d’argent, à la fois pour contribuer à l’industrie américaine de la construction de sous-marins et pour les sous-marins, si nous parvenons à en acheter un – même si cela sera probablement après son mandat de quatre ans. Le deuxième slogan préféré de Trump est « L’Amérique d’abord », et c’est tout à fait l’air du temps à Washington aujourd’hui, des deux côtés de l’allée. Donc, s’il y a une affirmation ou une suggestion selon laquelle la marine américaine ne peut pas épargner les Virginia pour l’Australie, il n’y a aucun mystère quant à l’endroit où Trump atterrira. Il me semble que le résultat le plus probable sera que les Virginia ne seront pas disponibles pour l'Australie parce que la marine américaine ne peut pas les épargner et que les SSN Aukus seront presque certainement en retard. Cela signifierait un écart de capacité accru à partir du début des années 2030, lorsque l’Australie disposera d’une flotte de sous-marins en diminution, puis inexistante. Même quelqu’un ayant la perspective la plus optimiste devrait reconnaître que ce scénario était une possibilité sérieuse. Nous pourrions regarder en arrière et réfléchir qu’avec le programme de sous-marins de classe Attack désormais annulé avec la France, l’Australie était entièrement maître de son propre destin. Toute la propriété intellectuelle pertinente avait été transférée en Australie, où les sous-marins étaient en cours de construction. Leur réalisation dépendait de nous. La France n’avait aucun motif ou raison possible pour apporter autre chose que son soutien. La conception était établie et des versions à propulsion nucléaire du sous-marin étaient déjà à l’eau. Comparé à Aukus, il s’agissait d’un exercice beaucoup moins risqué et moins coûteux. Mais il est désormais trop tard pour relancer le partenariat français. Il y avait une fenêtre d'opportunité pour le faire après l'élection du gouvernement albanais, mais celui-ci a décidé de s'en tenir à la politique de Morrison et aux risques qu'elle comportait. Au moment où Aukus a été annoncé, j'étais inquiet que les sous-marins à propulsion nucléaire, utilisant de l'uranium de qualité militaire fourni par les États-Unis ou le Royaume-Uni, ne pourraient pas être exploités sans supervision et soutien étrangers. Il ne s’agissait pas, à mon avis, d’une capacité sous-marine souveraine. Nous devons maintenant faire face à la véritable perspective, pendant une grande partie de la prochaine décennie et au-delà, de ne pas disposer du tout de capacité sous-marine australienne. Malcolm Turnbull est un ancien premier ministre d'Australie 1 3 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 26 mars 2024 Share Posté(e) le 26 mars 2024 après l'élection du gouvernement albanais after the election of the Albanese government https://fr.wikipedia.org/wiki/Anthony_Albanese 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Lordtemplar Posté(e) le 1 avril 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 1 avril 2024 un reportage de la chaine austalienne ABC (l'equivalent australien de France 2) la citation de la parlementaire a un grade de la RAN resume bien la situation "pretty risky don't you reckon?" @19:25 1 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jojo (lo savoyârd) Posté(e) le 2 avril 2024 Share Posté(e) le 2 avril 2024 "Défense : l’Australie découvre les déchets nucléaires cachés dans le pacte d’Aukus" Ben crotte alors ... https://www.ouest-france.fr/monde/australie/defense-laustralie-decouvre-les-dechets-nucleaires-caches-dans-le-pacte-daukus-2f643ff6-f0d7-11ee-bc38-55f66082c1a5 1 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lordtemplar Posté(e) le 2 avril 2024 Share Posté(e) le 2 avril 2024 (modifié) 6 minutes ago, jojo (lo savoyârd) said: "Défense : l’Australie découvre les déchets nucléaires cachés dans le pacte d’Aukus" Ben crotte alors ... https://www.ouest-france.fr/monde/australie/defense-laustralie-decouvre-les-dechets-nucleaires-caches-dans-le-pacte-daukus-2f643ff6-f0d7-11ee-bc38-55f66082c1a5 oui et il y en a un paquet chez les US et UK qui attendent le demantellement ou dechets stockes provisoirement. ex Le Dreadnought de la RN attends depuis les annees 80. c'est dans le reportage d'ABC si dessus @ 36:20 Modifié le 2 avril 2024 par Lordtemplar 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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