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Europe de la Défense ?


Messages recommandés

il y a 11 minutes, Ciders a dit :

wergeld

Le wergeld (prononcé vεʀgεld[1]), littéralement « prix de l’homme » (également appelé composition, en néerl. zoengeld, weergeld, en all. Sühngeld, Wiedergeld), est, en droit germanique médiéval (notamment franc), une somme d’argent demandée en réparation à une personne coupable d’un meurtre, d'une mutilation ou d’un autre crime grave

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Il y a 2 heures, Ciders a dit :

J'en conclus que c'est aussi une proposition de réforme.

Sinon, le servage, d'accord ou pas ? 

On est déjà pas si loin de l'esclavage dans certain domaine notamment les ouvriers agricoles.

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il y a 18 minutes, nemo a dit :

On est déjà pas si loin de l'esclavage dans certain domaine notamment les ouvriers agricoles.

Je souscris, que ce soit dans les vignobles champenois ou les vergers corses. 

Mais il paraît que les gens ne veulent plus travailler. 

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Quelle chance d'avoir notre DGA/BITD qui a réussi tant bien que mal à survivre, conserver de nombreux savoir faire et rester plutôt efficace dans le développement de systèmes de combat performants. Il faut vraiment lui donner un minimum de moyens pour monter en capacités et renforcer les nouvelles techno même si il faudra possiblement faire des compromis sur la masse d'équipements contrairement à d'autres. Mais notre position stratégique et nos fondamentaux permettent de s'y adapter.

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19 hours ago, Titus K said:

Des retards sont également à déplorer pour le système de défense aérienne Skyranger, en raison de désaccords entre l’industrie et l’office d’acquisition concernant la stabilité de la plateforme Boxer.

c'est quoi ce probleme de stabilite skyranger sur boxer?

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Il y a 3 heures, Lordtemplar a dit :

c'est quoi ce probleme de stabilite skyranger sur boxer?

problème d'intégration au chassis (a priori il y'a 4 chassis différents de "Boxer" et le Skyranger est prévu pour le chassis C0 ou C1 (suédois/finlandais) pas pour les chassis A2 et A3 (allemands et britanniques) parcequ'il y'a un tout petit jeu d'équilibre qui n'y est pas (du coup la plateforme est un peu instable en phase de tir mais aussi en phase route, d'autant plus que Skyranger est une grosse tourelle qui élève le centre de gravité donc facilite le retournement d'engins pas optimisés pour son portage)

PS : il y'a un chassis unifié qui est prévu mais qui n'est pas encore en prod

Modifié par Akhilleus
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Rencontre au sommet FRANCE - ALLEMAGNE du 23/07/2025

https://www.lemonde.fr/international/article/2025/07/24/a-berlin-emmanuel-macron-et-friedrich-merz-amorcent-la-relance-difficile-du-couple-franco-allemand_6623316_3210.html

"A Berlin, Emmanuel Macron et Friedrich Merz amorcent la « relance » difficile du couple franco-allemand.  Le président français et le chancelier allemand se sont retrouvés, mercredi 23 juillet, pour préparer un conseil des ministres commun prévu le 29 août. Des projets d’armements aux négociations commerciales, les divergences sont nombreuses."

"Friedrich Merz et Emmanuel Macron se sont ostensiblement passés de traduction, mercredi 23 juillet à la Villa Borsig à Berlin, au bord du lac de Tegel, pour la première visite du président français outre-Rhin depuis l’entrée en fonction du chancelier, le 6 mai. Les deux dirigeants avaient à cœur de montrer que chacun comprenait parfaitement la langue de l’autre, signe d’un redémarrage franco-allemand, après les années d’incompréhensions mutuelles. Friedrich Merz avait aussi pris soin de ne pas reproduire l’aventurisme culinaire de son prédécesseur : au menu du dîner, pas de « fischbrötchen », le fameux sandwich au poisson mariné proposé par l’ancien chancelier Olaf Scholz lors du sommet franco-allemand raté de Hambourg de 2023, mais une plus délicate selle de veau aux girolles."

"Au-delà des gestes d’amitié, le chancelier et le président sauront-ils livrer des réponses à hauteur des ambitions qu’ils se sont fixées ? La soirée n’a pas permis de le dire. « La relation semble être repartie sur de meilleures bases, c’est à saluer. Mais évidemment, les sujets de discorde n’ont pas disparu », note le directeur adjoint de l’Institut franco-allemand de Ludwigsburg (Bade-Wurtemberg), Stefan"      reste inaccessible ! 

 

https://www.lesechos.fr/monde/europe/avion-de-combat-franco-allemand-macron-et-merz-veulent-evaluer-les-perspectives-realistes-de-cooperation-2177937

"Avion de combat franco-allemand : Macron et Merz s'interrogent sur l'avenir de la coopération.  Lors d'un dîner de travail, mercredi à Berlin, le président Emmanuel Macron et le chancelier Friedrich Merz ont demandé à leurs ministres de la Défense « d' évaluer une perspective réaliste de coopération future au sein du consortium SCAF et de présenter des propositions pour résoudre les conflits existants » entre Dassault et Airbus."

Libre accès

"Opération déminage. Face aux tensions qui menacent l'avenir du système de combat aérien du futur (SCAF), Emmanuel Macron et Friedrich Merz ont demandé à leurs ministres de la Défense « d'évaluer une perspective réaliste de coopération future au sein du consortium SCAF et de présenter des propositions pour résoudre les conflits existants », a déclaré mercredi soir un porte-parole du gouvernement allemand, après un dîner de travail à Berlin entre le président de la République et le chancelier. « L'attente allemande est que Dassault respecte les accords existants », a-t-il précisé.

Lancé en 2017, ce projet d'avion de combat franco-germano-espagnol fait l'objet de vives tensions entre le fabricant français du Rafale et Airbus Defence and Space, la division allemande du groupe d'aéronautique et de défense."

"Le SCAF a besoin d'un « vrai leader » industriel et non de « trois co-co-co » partenaires, a déclaré mardi Eric Trappier, le PDG de Dassault, mettant en doute son avenir et sa viabilité. « Je n'ai jamais réclamé 80 % du travail, mais je demande quel est le produit dans le monde qui s'est révélé efficace sans avoir un leader désigné », a-t-il expliqué."

"Alors que le gouvernement allemand s'oppose à revenir sur les accords existants, les positions semblent difficilement réconciliables, même si le projet a déjà connu des crises dans le passé. Le dialogue entre les industriels serait aujourd'hui quasiment réduit à néant.  Or après une première phase, les trois pays partenaires - France, Allemagne, Espagne - doivent lancer l'année prochaine une deuxième phase visant à créer un démonstrateur. Cette décision implique plusieurs milliards d'euros d'investissement supplémentaires. L'objectif est que le futur avion de combat vole en 2040.

Sébastien Lecornu, le ministre français de la Défense, se rend ce jeudi à Osnabrück, dans l'ouest de l'Allemagne, pour rencontrer son homologue allemand, Boris Pistorius. Ils doivent rendre leur évaluation commune d'ici à fin août, pour le Conseil des ministres franco-allemand et le Conseil franco-allemand de défense et de sécurité prévus à Toulon.

A ce stade, rien ne semble exclu, y compris un échec, même si à la fois Emmanuel Macron et Friedrich Merz jugent essentiel de poursuivre la coopération dans la défense et veulent relancer la relation franco-allemande."

"Atmosphère « ouverte et vraiment amicale »          Si le projet de char franco-allemand du futur, Main Ground Combat System (MGCS), a également été évoqué lors de la rencontre entre le président et le chancelier, il ne fait pas partie de l'évaluation demandée aux deux ministres de la Défense.

Ce projet a été relancé l'an dernier après des querelles entre le groupe d'armement franco-allemand KNDS et son rival allemand Rheinmetall. Aujourd'hui, c'est l'actionnariat de KNDS qui pose question, alors que les familles allemandes actionnaires souhaitent vendre des parts."

"Lors de leur rencontre de plus de trois heures dans la villa Borsig, qui a servi de résidence au commandant en chef des troupes françaises en Allemagne de 1946 à 1951, les deux leaders ont abordé une vaste palette de sujets allant de la guerre commerciale avec les Etats-Unis en passant par l'accord avec le Mercosur et la politique spatiale européenne (tous deux sources de tensions), la situation à Gaza ou l'aide à l'Ukraine.

« C'était une discussion très intense, très amicale et confiante dans une atmosphère ouverte et vraiment amicale », a insisté le porte-parole de Friedrich Merz."

 

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Le 19/07/2025 à 10:52, Ronfly a dit :

Tout dépendra également je pense de l'évolution géostratégique dans les mois qui viennent. Plus ça va plus la tension monte et les instances internationales s'effacent et le retour à la confrontation multi-champs entre blocs se met en place. (...)

Les budgets suivront si cela continu dans cette voie.

Je crois que ce "si" a un coefficient de probabilité nettement supérieur à 50% :unsure: ...

Le scénario rose bonbon où Moscou renonce de lui-même à placer l'Ukraine sous contrôle et accepte un compromis politique laissant le plus gros de l'Ukraine un pays indépendant est pratiquement exclu

Le scénario rose pâle où l'Ukraine parvient à tenir indéfiniment le front malgré les pertes et Moscou finit (après sans doute plusieurs années encore) à se résoudre à renoncer à son projet et à transiger n'est pas exclu, mais il est de plus en plus fragile au fur et à mesure de l'affaiblissement continu des FAU

Le scénario noir de la victoire russe totale est le scénario principal à l'heure actuelle, sauf retournement imprévu. Je crains que les budgets suivront :mellow: 

 

Le 20/07/2025 à 21:42, Titus K a dit :

La peur du ministre face à l’échec de l’armement

https://www.welt.de/politik/deutschland/plus687a16433511bc17ac86e743/boris-pistorius-die-angst-des-ministers-vorm-ruestungsversagen.html?cachebuster=true
 

Boris Pistorius (SPD), ministre fédéral de la Défense, répond aux questions des représentants des médias après sa visite à l'Académie de commandement de la Bundeswehr, dans la caserne Clausewitz. Lors de sa visite inaugurale à l'Académie de commandement de la Bundeswehr à Hambourg, Pistorius a souligné l'importance de la politique de défense face aux crises et conflits internationaux.

L’Allemagne veut construire la plus grande armée conventionnelle de l’Union européenne. Mais désormais, les obstacles s’accumulent devant les projets d’armement. Le ministre de la Défense, Boris Pistorius, rejette la faute sur l’industrie – mais ce n’est pas toute la vérité.


L’argent aide, même lorsqu’il est emprunté. Par exemple pour conclure des accords avec Donald Trump. La décision du chancelier fédéral Friedrich Merz (CDU) de suspendre le frein à l’endettement pour les dépenses de défense, en dépit de ses promesses de campagne, porte ses fruits dans les relations transatlantiques.

L’Allemagne, avec sa coalition noir-rouge, a largement contribué au sein de l’OTAN à faire adopter le nouvel objectif de 5 % des dépenses publiques pour l’armée, en proportion du produit intérieur brut. Le président américain l’avait exigé de ses alliés – et les a récompensés en réaffirmant son engagement envers la clause de défense collective de l’alliance. Le prix pour le budget allemand : d’ici 2029, les dépenses annuelles pour la Bundeswehr atteindront 162 milliards d’euros, sans compter les investissements à deux chiffres en milliards dans les infrastructures militaires.

Trump a annoncé cette semaine l’envoi de nouveaux systèmes d’armes à l’Ukraine, comme Merz et ses partenaires européens l’avaient demandé. Cette décision a aussi un coût : les États-Unis fournissent, mais les Européens doivent payer. Il est déjà connu que le gouvernement fédéral assumera les coûts de deux systèmes de défense antimissile Patriot. Cela représente environ deux milliards d’euros pour les lanceurs, sans compter les missiles.

Et il y a aussi des accords bilatéraux. Après avoir déjà commandé, durant la dernière législature, 60 hélicoptères de transport lourd et 35 avions de combat F-35 pour environ 20 milliards d’euros aux États-Unis, la Luftwaffe souhaite désormais acquérir 15 F-35 supplémentaires. De plus, lors de sa visite à Washington en début de semaine, le ministre de la Défense Boris Pistorius (SPD) a exprimé son intérêt pour l’arme de précision Typhon, capable de tirer des missiles jusqu’à 2 000 kilomètres. Les munitions, des missiles de croisière Tomahawk ou des missiles à courte portée du type SM-6, devraient également être commandés aux États-Unis.


Difficulté à « utiliser les moyens financiers de manière économique »

Certes, la fiabilité de Trump reste un risque imprévisible, mais le gouvernement fédéral a déjà obtenu beaucoup sur le plan international grâce à sa diplomatie du carnet de chèques. En revanche, sur le plan national, Pistorius rencontre des difficultés plus importantes à utiliser de manière judicieuse l’argent fourni par le contribuable. Selon la Cour fédérale des comptes, des audits montrent que le ministère « n’arrive que partiellement à utiliser les moyens financiers de manière ciblée et économique ».

Pour faire de la Bundeswehr « la plus grande armée conventionnelle » de l’UE, comme promis par le chancelier, Pistorius doit lancer des milliers de projets d’armement.

Quelques exemples seulement : selon les recherches de Welt am Sonntag, la Bundeswehr aura besoin d’ici 2035 de près de :

  • 350 chars de combat Leopard 2 supplémentaires – ce qui doublerait plus que les stocks actuels.
  • 700 véhicules de combat d’infanterie Puma sont requis.
  • Du Boxer, dont la plateforme peut être adaptée pour différentes fonctions (porteur d’armes, transport, sanitaire, commandement ou défense aérienne), jusqu’à 5 000 unités sont nécessaires – soit plus de dix fois les stocks figurant dans le dernier rapport sur l’armement.

Ces chiffres, Pistorius les a récemment présentés aux responsables de la politique de défense de l’Union. Ils incluent une « réserve tournante » de 40 %, destinée à remplacer en permanence les équipements défectueux ou en réparation. Le fait que Pistorius mette particulièrement en avant ces systèmes d’armes, en incluant une réserve aussi élevée, tient aussi au fait qu’il existe déjà des contrats de livraison en cours, plus faciles à étendre.

Les nouveaux contrats sont plus complexes – et les plans arrivent en retard. Bien que les exigences de l’OTAN soient connues du ministère depuis le printemps 2024, on est encore en train de « travailler sur un plan d’acquisition pour les chars, sous-marins, drones et avions de combat », comme Pistorius l’a déclaré au Financial Times (FT) au début de la semaine. L’industrie doit également créer les capacités nécessaires pour pouvoir livrer les commandes dans les délais.


Les entreprises d’armement rendues responsables

Le ministre semble hanté par la peur d’un échec dans l’armement. En tout cas, il prépare déjà sa communication et cherche à attribuer les futures défaillances aux entreprises d’armement. Dans le FT, Pistorius a exhorté les fabricants à cesser de se plaindre et à augmenter la production. « Il n’y a plus aucune raison de se plaindre », a-t-il déclaré. « L’industrie sait très bien qu’elle a maintenant la responsabilité de livrer. » Mais, a-t-il ajouté, il constate encore « des retards du côté de l’industrie dans certains projets, dont je dois ensuite assumer la responsabilité ».

En réalité, la politique et l’industrie partagent cette responsabilité. Exemple : le projet de frégate 126, censée devenir le navire de guerre le plus moderne de la marine, dont 6 unités sont commandées, pour un coût d’environ 9 milliards d’euros. Début juin, cependant, le ministère a informé le Bundestag de retards significatifs et de difficultés financières chez le principal contractant, le chantier naval Damen Naval des Pays-Bas, qui construit les navires en coopération avec trois chantiers allemands. L’Allemagne et les Pays-Bas veulent désormais « procéder à un ajustement complet du contrat d’ici fin 2025 ».

Pistorius a hérité du projet, mais l’a encore élargi en 2024 avec deux unités supplémentaires – et se retrouve maintenant en gestion de crise. Sa ligne de conduite : continuer pour l’instant. Ce choix fait débat au sein de la coalition. « J’ai de grandes réserves quant à la poursuite du projet F126 », déclare Bastian Ernst (CDU), expert marine du groupe parlementaire de l’Union. « Il faut un plan alternatif pour l’acquisition des frégates, et cela doit être une affaire de chef au ministère. » Sinon, un « fiasco financier » menace.

La situation est tout aussi délicate pour un autre projet à plusieurs milliards : la numérisation des opérations terrestres. Après que Welt a révélé en septembre 2023 que les radios numériques commandées pour 34 000 véhicules terrestres ne pouvaient pas être installées, Pistorius s’était montré « passablement agacé » – et avait promis de « réparer ce qui peut l’être ». Actuellement, le projet est frappé d’un embargo d’information – ce qui ne laisse pas présager d’un redressement.

Il existe aussi des retards non imputables à l’industrie, comme dans le cas du lance-roquettes Puls, destiné à remplacer le système Mars livré à l’Ukraine. Alors que les Pays-Bas ont déjà passé commande en 2023 auprès du fabricant israélien Elbit et procédé aux premiers tirs d’essai, l’Allemagne n’a commandé qu’en février de cette année – et seulement cinq unités. Le besoin total est de plus de 300 systèmes.

Le remplacement du véhicule de transport Fuchs par le système finlandais Patria progresse aussi lentement – bien que plus de 1 000 véhicules doivent être remplacés.

Des retards sont également à déplorer pour le système de défense aérienne Skyranger, en raison de désaccords entre l’industrie et l’office d’acquisition concernant la stabilité de la plateforme Boxer.

L’argent seul ne suffit donc pas toujours. Le ministère de la Défense a la responsabilité, selon les mots de la Cour des comptes fédérale, de faire en sorte que « les fonds supplémentaires ne se perdent pas ».

Rien d'étonnant sur le principe. Une pénurie de budget peut être très difficile à gérer, mais une avalanche d'argent l'est aussi

Rendre tout cela pertinent et efficace sera d'une difficulté redoutable. Il faut espérer que Pistorius - très estimé outre-Rhin, raison pour laquelle il est si durable à ce poste, comme Lecornu chez nous - saura être à la hauteur

 

il y a 20 minutes, Bechar06 a dit :

« C'était une discussion très intense, très amicale et confiante dans une atmosphère ouverte et vraiment amicale », a insisté le porte-parole de Friedrich Merz."

C'est ainsi qu'il faut toujours discuter entre Paris et Berlin

Cela dit, l'amitié et la confiance doivent justement aussi permettre la franchise. Il est fort possible que les positions sur l'avenir du SCAF soient trop éloignées pour permettre de définir une manière efficace de le faire ensemble. Mieux vaudrait alors se le dire franchement

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