Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel


Philippe Top-Force

Messages recommandés

Si l"un de vous dispose d'un abonnement au point :)

EXCLUSIF. Les confidences d’Éric Trappier, le « M. Rafale » qui prend les commandes de Dassault

https://www.lepoint.fr/economie/exclusif-les-confidences-d-eric-trappier-le-m-rafale-qui-prend-les-commandes-de-dassault-09-01-2025-2579585_28.php

 

 

Modifié par Claudio Lopez
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

je me demande surtout ce qui va arriver à DA quand on va passer à la prochaine génération.... Déjà que la succession a pas été triste, c'est à se demander si le temps ne risque pas d'effacer serge et marcel. Compliqué les boites familiales, surtout en l'abscence d'héritiers forts. Sans parler des haines cuites et recuites. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 8 minutes, mgtstrategy a dit :

je me demande surtout ce qui va arriver à DA quand on va passer à la prochaine génération.... Déjà que la succession a pas été triste, c'est à se demander si le temps ne risque pas d'effacer serge et marcel. Compliqué les boites familiales, surtout en l'abscence d'héritiers forts. Sans parler des haines cuites et recuites. 

Pour ceux qui surveillent ce genre de choses Kapitalist : l' Etat aurait il  une "part" des voix ou des % du capital ?    Autant que je me souvienne Airbus n'a plus de part de DA , mais l'état FR ?

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 4 minutes, Bechar06 a dit :

Pour ceux qui surveillent ce genre de choses Kapitalist : l' Etat aurait il  une "part" des voix ou des % du capital ?    Autant que je me souvienne Airbus n'a plus de part de DA , mais l'état FR ?

L'état a donné toutes ses parts à Airbus quand Airbus a été créé avec les Allemands qui eux ont donné du Cash. Airbus a revendu la plupart de ses actions que Dassault s'est empressé de racheter pour les détruire. Le résultat des courses c'est que la famille Dassault a entre 60 et 70% des actions et Plus de 80% des droits de vote (car certaines actions détenue par l'état avaient des droits doubles) et Airbus a de l'ordre de 10% des actions le reste est flottant.

  • Merci (+1) 3
  • Upvote (+1) 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 2 heures, Claudio Lopez a dit :

Si l"un de vous dispose d'un abonnement au point :)

EXCLUSIF. Les confidences d’Éric Trappier, le « M. Rafale » qui prend les commandes de Dassault

https://www.lepoint.fr/economie/exclusif-les-confidences-d-eric-trappier-le-m-rafale-qui-prend-les-commandes-de-dassault-09-01-2025-2579585_28.php

 

 

 « M. Rafale » : les confidences d’Éric Trappier, nouveau patron de Dassault

ENTRETIEN EXCLUSIF. Après avoir brillamment piloté Dassault Aviation, Éric Trappier prend la présidence du groupe industriel familial.p

Propos recueillis par Franz-Olivier Giesbert

 

Ce métier, je paierais pour le faire », songeai-je en arrivant ce jour-là devant le siège hypersécurisé de Dassault Aviation, 1, rue du Val-d'Or – au bord de la Seine –, à Saint-Cloud (Hauts-de-Seine). Fleuron familial et français, temple florissant de l'aviation, à l'heure où les gros constructeurs, à l'image de Boeing, battent souvent de l'aile. Pour un peu, je me serais écrié, comme François Hollande, alors président de la République, en 2015 : « Vive le Rafale ! Vive la France ! »

Qui n'a pas eu les yeux humides en regardant danser un Rafale dans le ciel ne pourra pas comprendre. Malgré son poids (10,2 tonnes à vide), il tournoie comme un avion de papier, ce miracle de technologie, drapeau volant du patriotisme français. J'entends déjà les cris d'orfraie des pleurards : « Sale belliciste ! C'est un engin de mort ! » Au contraire, la paix ne s'obtient qu'en affichant sa force (ou son Rafale), aurait répondu le général Sun Tzu, l'auteur de L'Art de la guerre, il y a plus de vingt-cinq siècles.

« On est dans l'Histoire et on a bien l'intention d'y rester. » Tel est le credo d'Éric Trappier, 64 ans, le président de Dassault Aviation, qui me reçoit dans son bureau rempli de maquettes d'avions. Avec le soutien unanime de la famille, il prend les rênes du groupe Dassault ce 9 janvier, à la suite de Charles Edelstenne, le magicien qui avait, entre autres, lancé à partir de Dassault Aviation le champion français de la 3 D industrielle dans le monde, Dassault Systèmes. Une passation des pouvoirs en douceur dans un groupe qui résiste à tout et a compté en son sein pas moins de quatre compagnons de la Libération et 180 médaillés de la Résistance.

Dassault ou l'entreprise qui dit non. Le non de Marcel, l'ancêtre, Einstein de l'aérodynamique, persécuté sous Vichy, que les nazis voulaient mettre à leur service malgré ses origines juives et qui a toujours refusé d'accéder à leurs demandes avant d'être déporté à Buchenwald. Le non de Marcel encore qui, en 1981, malgré son grand âge, s'est battu comme un lion pour que son entreprise ne soit pas nationalisée à 100 % par Mitterrand. Le non de Serge, son fils, qui s'est battu, avec ses salariés, contre le projet de fusion avec l'Aérospatiale que Chirac voulait lui imposer. Dassault ne rend jamais les armes.

Après que Dassault Aviation s'est battu envers et contre tout, pendant vingt ans, pour le Rafale qu'il n'arrivait pas à vendre à l'étranger, les commandes s'accumulent et l'usine de Mérignac (Gironde) se prépare à assembler le… 300 e Rafale, alors qu'Éric Trappier, après l'une des remontadas les plus folles des dernières années, s'apprête à ouvrir un nouveau chapitre de la saga Dassault.


Le Point : D'où vient votre passion des avions ?

Éric Trappier : C'est congénital. Mon père travaillait chez Air France, dans le service de formation des chefs d'escale. J'avais l'autorisation de traverser les pistes pour le retrouver. À cette époque, on pouvait se balader partout dans les aéroports, jusque sur les toits.


Vous avez donc eu la vocation dès votre plus jeune âge en allant voir décoller les avions à Orly, comme dans la chanson de Gilbert Bécaud ?

C'est un peu ça. Je voulais devenir pilote, mais dans la marine, comme militaire. Mon père essayait de me dissuader : « Fais attention, c'est un métier aléatoire que tu seras obligé de quitter si tu as le moindre problème de vue. » Il me poussait à devenir ingénieur. Je me suis quand même présenté au concours de l'École nationale de l'aviation civile. Après avoir été sélectionné, j'ai passé les tests avant de me retrouver – avec une centaine d'heureux élus – à Montpellier, où j'ai appris à piloter. J'ai fini quinzième sur cent alors que, cette année-là, on ne prenait que dix pilotes. C'est ce qui, si je puis dire, m'a sauvé. Sinon, j'aurais été pilote chez Air France ou ailleurs ! [Rire.]


Quel est votre milieu familial ?

L'enseignement. Chez moi, tout le monde avait été ou était soit enseignant, soit professeur des écoles : mes mère, grand-mère, sœur, épouse, belle-sœur, belle-mère, etc. Moi, j'étais le raté de la famille [Rire.] Ah, non, il y avait quand même un ingénieur : mon oncle qui travaillait au CEA, où il avait participé à la création des premières centrales nucléaires. C'était le matheux. Disons que je le suis aussi un peu.


Après votre école d'ingénieur, Télécom SudParis, puis votre service militaire dans la marine, comment vous êtes-vous retrouvé, à 24 ans, chez Dassault, votre première – et seule – entreprise ?

J'avais envoyé des CV partout. C'était l'été 1984. Je venais de voir le film de Philip Kaufman L'Étoffe des héros, qui raconte l'aventure vécue aux États-Unis, entre 1947 et 1963, par les premiers pilotes d'essai passant la vitesse du son, puis celle des astronautes qui se sont lancés dans la conquête de l'espace. C'est dire si j'étais en condition. Aussi, quand je reçois une lettre de Dassault Aviation qui me propose mon premier emploi, je dis oui sans hésiter, moi qui ai toujours rêvé, en mon for intérieur, de devenir pilote d'avion.


À votre arrivée, en 1984, Marcel Dassault était encore vivant. L'avez-vous rencontré ?

Oui, en 1986 [l'année de sa mort, à 94 ans, NDLR], sous le hangar où l'on fabriquait les prototypes. C'était le jour de la présentation du premier Rafale, le démonstrateur. Marcel Dassault, qui avait suivi la conception de près mais qui, hélas, ne verra pas son premier vol, quelques mois plus tard, était là, chapeau mou, écharpe et pardessus – c'était l'hiver. Il allait d'une personne à l'autre. Il était connu pour aimer passer du temps avec les patrons du bureau d'études et leur poser toutes sortes de questions techniques. Je me souviens qu'il nous avait dit que ce serait un avion « international ». Après, on s'est battu contre tout le monde pour lui donner raison, tant il est vrai qu'ici, il y a – je ne plaisante pas – un esprit maison !


C'est-à-dire ?

On est, je crois, la seule entreprise au monde de cette taille qui a gardé un esprit pionnier de grosse PME. J'entends souvent dire qu'on entre chez Dassault comme dans les ordres. Eh bien, après plus de quarante ans passés dans l'entreprise, je peux vous dire que ce n'est pas faux. De même qu'il y a le clocher au milieu du village, l'avion est, ici, au centre de la société : elle tourne autour de lui. Dans cette entreprise, on se connaît tous parce que, quand on a la chance d'y entrer, on y reste. Et on est tous tendus vers le même objectif, quelle que soit notre fonction (compagnon, ingénieur, financier) : faire voler des avions. J'ai pu l'observer pendant la crise du Covid. Tout s'était arrêté : les usines, le bureau d'études… Même si on a continué à travailler, avec des masques, l'ambiance a été complètement plombée jusqu'à ce que l'entreprise ressuscite, soudain, quand un avion a enfin pu décoller de nouveau de la piste d'Istres, dans le Sud.


Votre société a aussi pour particularité d'être très familiale…

Le principe que l'on essaie de transmettre à tous les salariés : pour savoir où on veut aller, il faut savoir d'où l'on vient. Génie et pionnier de l'aviation, Marcel Dassault est le père fondateur et le père de famille. Il nous a laissé son ADN, avec sa ténacité, son obsession de la compétence. Ensuite, avec ses talents d'homme d'affaires, son fils Serge, dont la trace reste très forte, a considérablement développé l'entreprise.

C'est ainsi qu'il y a chez nous un puissant esprit de famille. Il y a d'abord les actionnaires, qui sont familiaux et nous soutiennent, tant leur histoire est attachée à l'épopée de l'industrie aéronautique. Il y a aussi les salariés. Ici, on est des Dassault, des Rafale, des Falcon, etc. Un détail qui en dit long : quand un client achète pour la première fois un Falcon, on lui dit qu'il entre dans la famille Falcon. Quand je suis revenu d'Égypte, après la signature du premier contrat Rafale, tous les salariés du siège ou presque étaient en bas, dans le hall, pour m'accueillir. Deux mille personnes émues et en joie…


C'est là que vous êtes devenu « Napoléon » Trappier et que, de retour d'Égypte, votre destin s'est identifié à celui du Rafale…

Après plusieurs années au bureau d'études, je suis passé, en 1991, au commercial, d'abord chargé de l'Inde, puis, en 1995, des Émirats arabes unis où Charles Edelstenne, homme de confiance de Serge Dassault et futur patron de la société, souhaitait que je vende des Rafale. Ça n'a pas marché. À l'époque, sous la présidence de Jacques Chirac, tout le monde s'en souvient, il y avait une petite campagne contre le Rafale. Quand, un an plus tard, j'ai dit à Charles que je pourrais seulement vendre des Mirage 2000, il a répondu : « Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras. » Et il est venu dans les Émirats finaliser avec moi une commande d'une soixantaine de Mirage, ce qui nous a fait du bien.


Charles Edelstenne, auquel vous succédez, est une autre légende de Dassault. Que vous a-t-il appris ?

À résister, et puis aussi à ne pas parler pour ne rien dire. [Rire.] Il lit dans vos pensées et détecte tout de suite si vous racontez des craques ou pas. Il aime qu'on ait le courage de lui dire la vérité, même quand elle est désagréable. Un de ses préceptes : « Je veux qu'on me donne aussi les mauvaises nouvelles. » À ses côtés, j'ai également appris l'art de la négociation.


Pourriez-vous définir cet art ?

Toujours s'adapter à la culture de l'autre, ne jamais chercher à imposer la sienne. Au Moyen-Orient, où l'art de la négociation est poussé à l'extrême, j'ai observé qu'il faut savoir écouter. Par exemple, à Abou Dhabi, après le repas, boire le thé avec les clients sans parler de rien et en partageant le silence. Le jour où il faudra discuter des prix, tout sera plus facile.


Votre principale qualité ?

Sentir ce que l'interlocuteur va dire avant qu'il n'ouvre la bouche.


Votre principal défaut ?

Toujours avoir raison. [Grand rire.] La mauvaise nouvelle ne me dérange pas, mais elle ne m'empêche pas d'essayer de renverser la table. Je déteste perdre ! [Nouveau grand rire.]


Vous êtes donc impatient !

Ah non ! Surtout quand on sait qu'il a fallu attendre vingt ans pour que soit finalisé le premier contrat Rafale à l'étranger – pour 55 avions – signé avec l'Égypte, en 2015, sous la présidence de François Hollande, avec le soutien actif de Jean-Yves Le Drian [alors ministre de la Défense, NDLR]. Je suis heureux que Serge Dassault l'ait vu de son vivant. Après ça, il y a eu l'Inde, le Qatar, la Grèce, la Croatie, les Émirats arabes unis, l'Indonésie et la Serbie.


Auparavant, n'avez-vous jamais connu des moments de déprime, devant tous ces échecs ?

On était sûrs que le Rafale était un très bon avion, mais parfois, c'est vrai, on se demandait si on allait pouvoir en vendre un seul à l'étranger. Sauf Serge, la ténacité faite homme, qui nous rassurait sans cesse : « Ne vous en faites pas, ça va le faire ! » Il n'a jamais fait un reproche. En attendant, on se consolait avec les ventes de Falcon ou de Mirage 2000 – un autre très bon avion de combat, de la génération précédente – qui nous permettaient de faire vivre l'entreprise.


En avez-vous voulu à ceux qui, comme Chirac et beaucoup d'autres, n'ont pas cru au Rafale ?

Non. Ils sont tous partis et nous, on est toujours là ! LOL


Comment définiriez-vous le Rafale, chef-d'œuvre de technologie qui a connu un départ très compliqué, dans une hostilité quasi générale des médias et des politiciens ?

C'est un succès, et on en a besoin dans notre roman national. Contrairement à la légende, les Français moyens aiment la réussite. La preuve : ils sont très fiers quand l'équipe de France gagne, et pas seulement en football.


Comme expliquer le succès tardif, mais foudroyant, du Rafale ?

Sa polyvalence. Au départ, on s'est dit que, pour faire des économies, il fallait réunir les spécificités de sept types d'avion dans un seul. Il a une taille réduite, ne pèse pas si lourd et peut tout faire. Par exemple, atterrir sur les porte-avions, effectuer des missions de dissuasion nucléaire, assurer la défense aérienne, procéder à des attaques au sol, avant de pouvoir évoluer – bientôt – avec des drones furtifs permettant de détruire les défenses ennemies. Il peut porter aussi jusqu'à 25 tonnes, soit plus de deux fois sa masse à vide. Faire en sorte qu'un avion puisse accomplir toutes ces tâches tout en traversant les défenses aériennes, c'est ça, le génie du Rafale. C'est une réussite non seulement technologique mais aussi commerciale, celui d'une petite société de 12 000 salariés qui, si elle n'a pas toujours été reconnue en France, l'a été sans discontinuer sur le plan international, notamment aux États-Unis où elle a créé une usine et y vend bien, depuis longtemps, son Falcon, un superbe avion d'affaires.


Après ça, vous ne pouvez pas croire au déclin français !

La France a certes beaucoup d'atouts, mais elle doit quand même songer à préparer l'avenir. Dans nos métiers, on bâtit sur dix ans au minimum, mais on a toujours en tête ce qui peut se passer dans vingt ans. Je ne crois pas que les pouvoirs publics aient raisonné comme ça quand ils ont pris la décision d'arrêter vite le moteur thermique, pour le plus grand malheur de l'industrie automobile française, fierté nationale. Ils nous expliquent que les Français rouleront bientôt tout électrique. Je les crois volontiers, mais il aurait fallu, pour faire évoluer nos modèles de voiture, bâtir un calendrier avec les industriels. Au lieu de quoi, on a décrété des règles qui laissent le marché français aux automobiles chinoises.

C'est avec ce genre de politique que la France a vu, en un peu plus d'un quart de siècle, sa part de l'industrie baisser de moitié, de 20 à 10 % du PIB. Cela aura été, là encore, le résultat d'un choix : les politiques ont décidé, à un moment, qu'il fallait favoriser le secteur tertiaire. Est arrivé, enfin, le révélateur du Covid, et l'on a découvert avec effroi que notre pays ne fabriquait même plus de masques ! Tant mieux si l'heure est aujourd'hui à la réindustrialisation. La politique d'Emmanuel Macron et ses baisses d'impôt sur les sociétés ont fait du bien. Ce qui nous plombe encore aujourd'hui, c'est la pluie de normes en tout genre qui nous tombe dessus et le coût du travail, chargé, qui sert à financer un modèle social que je défends, mais qu'il faudra bien se résoudre, un jour, à revoir.


Ne diriez-vous pas qu'il y a un paradoxe français et que tous ces boulets aux pieds des chefs d'entreprise – ces normes ou ces taxes – leur donnent davantage la niaque ?

Je les admire. Les patrons de PME, notamment, sont des surhommes. Ils se battent seuls ou avec de toutes petites équipes. Si les grands industriels, montrés du doigt en permanence, finissent par quitter la France, tout ce tissu risque de disparaître. Puisse le pouvoir politique comprendre qu'on a tous besoin d'un environnement dans lequel nos entreprises pourront rester compétitives. Le reste, on gère.


Que répondez-vous à ceux qui vous disent que Dassault vend de la mort ?

C'est une règle de base : plus on s'arme, plus on diminue le risque de guerre. Nous, on sert nos forces armées et, quand on exporte dans ou tel pays, c'est toujours avec l'accord de l'État français. Comme aurait dit Mitterrand, les missiles sont chez nos ennemis et les pacifistes, eux, sont chez nous. Dans un monde de plus en plus dangereux, je crains qu'on ait de plus en plus besoin d'entreprises comme la nôtre §

Modifié par Titus K
  • Merci (+1) 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant
  • Statistiques des membres

    6 021
    Total des membres
    1 749
    Maximum en ligne
    Merlinqbz
    Membre le plus récent
    Merlinqbz
    Inscription
  • Statistiques des forums

    21,6k
    Total des sujets
    1,7m
    Total des messages
  • Statistiques des blogs

    4
    Total des blogs
    3
    Total des billets
×
×
  • Créer...