Manuel77 Posté(e) le 12 avril Share Posté(e) le 12 avril il y a 9 minutes, Picdelamirand-oil a dit : On peut franchement parler d’une forme de débandade stratégique, ou au minimum d’un repli tactique humiliant. Je vais jouer le rôle de l'avocat du diable et du trumpiste : Si je lis bien sur CNN, un droit de douane de 20 % sur les smartphones en provenance de Chine est maintenu, à cause du trafic de fentanyl. https://edition.cnn.com/2025/04/12/tech/trump-electronics-china-tariffs/index.html La stratégie géniale de Trump consiste donc à menacer le monde entier de droits de douane de 145 pour cent, qui seront d'autant plus reconnaissants s'il s'agit de droits de douane de 10 pour cent, un chiffre que des économistes renommés considèrent comme potentiellement utile pour les Etats-Unis. Et, cerise sur le gâteau, nous avons eu droit à une bonne télé-réalité. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 12 avril Share Posté(e) le 12 avril il y a 46 minutes, Manuel77 a dit : Je vais jouer le rôle de l'avocat du diable et du trumpiste : Si je lis bien sur CNN, un droit de douane de 20 % sur les smartphones en provenance de Chine est maintenu, à cause du trafic de fentanyl. https://edition.cnn.com/2025/04/12/tech/trump-electronics-china-tariffs/index.html La stratégie géniale de Trump consiste donc à menacer le monde entier de droits de douane de 145 pour cent, qui seront d'autant plus reconnaissants s'il s'agit de droits de douane de 10 pour cent, un chiffre que des économistes renommés considèrent comme potentiellement utile pour les Etats-Unis. Et, cerise sur le gâteau, nous avons eu droit à une bonne télé-réalité. Tu vois le rapport entre les Smartphones et le fentanyl? Le plus important ce n'est pas qu'il y ait des droits de douane, c'est que Trump est imprévisible, un jour il en met et le lendemain il les retire, c'est une politique chaotique. 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 12 avril Share Posté(e) le 12 avril Il y a 2 heures, Skw a dit : Biais culturel ou pas... a-t-on un réel intérêt à une plus grande intégration économique entre UE et Chine ? Je ne crois pas que l'expérience des 25 dernières années invite à l'euphorie. Sans compter que l'on pourrait éventuellement se retrouver sous peu, comme avec la Russie, à devoir se délester d'une dépendance envers elle. Honnêtement je pense qu'aucune dépendance et aucune intégration n'est bonne pour l'Europe. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 12 avril Share Posté(e) le 12 avril il y a 44 minutes, rendbo a dit : Honnêtement je pense qu'aucune dépendance et aucune intégration n'est bonne pour l'Europe. Nous sommes forcément dépendants pour les matières premières au moins. Tu ne proposes pas de (re)coloniser le Congo, j'en suis certain. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arland Posté(e) le 13 avril Share Posté(e) le 13 avril Il y a 1 heure, Boule75 a dit : Nous sommes forcément dépendants pour les matières premières au moins. Tu ne proposes pas de (re)coloniser le Congo, j'en suis certain. Même là, il faudrai faire la queue. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) le 13 avril Share Posté(e) le 13 avril Il y a 12 heures, rendbo a dit : Faudrait pas que ce soit trop blindé, sinon ça risque de rebondir... Bah, l'espacement entre ses neurones est tel que le ricoché passerait entre sans rien toucher ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. bianchi Posté(e) le 13 avril C’est un message populaire. Share Posté(e) le 13 avril Il y a 8 heures, Boule75 a dit : Nous sommes forcément dépendants pour les matières premières au moins. Tu ne proposes pas de (re)coloniser le Congo, j'en suis certain. Le Danemark Congo n’a pas bien assuré la sécurité du Groenland Kivu. Vous avez sous-investi dans la population du Groenland Kivu et dans la sécurité de cette incroyable et magnifique masse continentale peuplée de gens incroyables. Il faut que cela change. » 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 13 avril Share Posté(e) le 13 avril Le mécanisme que j'avais décris à l'élection de Trump s'est mis en place. Les US n'avaient absolument pas compris que leur économie ne venait pas de leur grandeur mais du fait que le reste du monde les alimentait. Je crois qu'il ne l'ont toujours pas compris. https://www.zonebourse.com/cours/action/JPMORGAN-CHASE-CO-37468997/actualite/Les-actions-le-dollar-chutent-les-obligations-sont-de-nouveau-malmenees-alors-que-la-guerre-comme-49592451/ Les actions, le dollar chutent, les obligations sont de nouveau malmenées alors que la guerre commerciale perturbe les marchés Le 11 avril 2025 à 23:42 Partager Les actions mondiales se sont effondrées et le dollar a continué de chuter vendredi, tandis qu'un effondrement maniaque des obligations s'est installé dans une fin brutale de la semaine des tarifs douaniers mondiaux qui ont alimenté les craintes d'une récession profonde et ébranlé la confiance des investisseurs dans les actifs américains. L'anxiété a provoqué une ruée vers les valeurs refuges, faisant grimper le franc suisse à son plus haut niveau depuis dix ans face au dollar, et l'or à un nouveau sommet après un bref mais massif rallye de soulagement à la suite de la décision du président américain Donald Trump d'abaisser temporairement les droits de douane sur de nombreux pays. Le repli des bons du Trésor américain s'est accéléré pendant les heures asiatiques, le rendement des bons à 10 ans passant à 4,475 %, gagnant plus de 40 points de base au cours de la semaine, soit la plus forte hausse depuis 2001, selon les données du LSEG. Les analystes et les investisseurs du monde entier ont souligné que la vente massive des bons du Trésor et la faiblesse du dollar cette semaine montrent que la confiance dans la plus grande économie du monde a été ébranlée. "Il y a clairement un exode des actifs américains. Une baisse de la monnaie et du marché obligataire n'est jamais un bon signe", a déclaré Kyle Rodda, analyste principal des marchés financiers chez Capital.com. "Cela va au-delà de la prise en compte d'un ralentissement de la croissance et de l'incertitude commerciale. En Asie, le Nikkei japonais a chuté de 4,5 % sur la journée, tandis que les actions en Corée du Sud ont baissé de 1,7 %. L'indice MSCI le plus large des actions de l'Asie-Pacifique hors Japon était en baisse de 0,5 %. Les contrats à terme américains pour le S&P 500 et le Nasdaq ont chuté d'environ 1 % chacun après une forte baisse au cours de la nuit. "Les perspectives à court terme pour les actifs à risque mondiaux restent incertaines compte tenu des préoccupations en matière de croissance et d'inflation, des sentiments fluides et des évolutions rapides sur les fronts commerciaux et tarifaires", a déclaré Vasu Menon, directeur général de la stratégie d'investissement à l'OCBC Bank à Singapour. Les investisseurs sont préoccupés par l'escalade de la guerre commerciale entre la Chine et les États-Unis après que M. Trump a augmenté les droits de douane sur les importations chinoises, les portant effectivement à 145 %. La Chine a riposté en augmentant ses droits de douane sur les États-Unis à chaque augmentation de Trump, ce qui fait craindre que Pékin n'augmente les droits de douane au-delà des 84 % actuels. Les actions chinoises ont démarré en demi-teinte ce vendredi. L'indice CSI300 a perdu 0,5 %, tandis que l'indice de référence Hang Seng de Hong Kong a baissé de 0,38 %. James Athey, gestionnaire de titres à revenu fixe chez Marlborough, a déclaré que les perspectives restent plus sombres et plus incertaines qu'elles ne l'étaient il y a un mois. "Il y a encore beaucoup de questions sans réponse et sans réponse possible. LE DOLLAR PERD SA COURONNE Le dollar américain a fait l'objet de ventes incessantes au cours des dernières semaines, les opérateurs cherchant refuge auprès du yen japonais, du franc suisse et de l'euro. Vendredi, le dollar a atteint son niveau le plus bas depuis 10 ans face au franc suisse et son niveau le plus bas depuis six mois face au yen. L'euro a fait un bond de 1,7 % pour atteindre 1,13855 dollar, un niveau qui n'avait pas été atteint depuis février 2022. Le Dollar Index, qui mesure le billet vert contre six autres unités, est tombé sous la barre des 100 pour la première fois depuis juillet 2023. La baisse du dollar a soulagé certaines devises des marchés émergents, notamment le ringgit. Les marchés ont pour la plupart ignoré les données du département américain du travail qui ont montré que les prix à la consommation ont baissé de manière inattendue en mars, bien que l'amélioration de l'inflation ne soit pas susceptible d'être maintenue dans le sillage des tarifs douaniers. Entre-temps, la chute brutale des bons du Trésor américain cette semaine, évoquant la "ruée vers les liquidités" de l'ère COVID, a ravivé les craintes de fragilité sur le plus grand marché obligataire du monde. Les rendements des obligations à trente ans ont atteint 4,90 %, en passe de connaître leur plus forte hausse hebdomadaire depuis au moins 1982, selon les données du LSEG. Dans le secteur des matières premières, le prix de l'or a atteint un niveau record en raison des flux de valeurs refuges. Il était en hausse de 1,25 % à 3 214 dollars l'once. Les prix du pétrole ont glissé dans les premiers échanges vendredi après avoir baissé de plus de 2 dollars par baril jeudi. Les contrats à terme sur le pétrole West Texas Intermediate ont baissé de 0,48%, tandis que les contrats à terme sur le pétrole Brent ont baissé de 0,46%. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 13 avril Share Posté(e) le 13 avril Clairement, si vous voulez faire du tourisme en Suisse, ce n'est vraiment pas le moment. Par contre, les frontaliers vont pouvoir faire des emplettes pendant quelques temps. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Paschi Posté(e) le 13 avril C’est un message populaire. Share Posté(e) le 13 avril La réponse de notre conseiller fédéral Guy Parmelin à un journaliste sur la sortie de Trump sur ces pays qui l'on appelés pour lui lécher le c*** Réponse du patron de l'Économie: «Non. La Suisse a des traditions: en général on embrasse, sur la bouche ou sur la joue, ça n’a rien à voir avec s’agenouiller ou pas». https://www.lematin.ch/story/guerre-commerciale-parmelin-en-suisse-on-embrasse-on-ne-s-agenouille-pas-103322004 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 14 avril Share Posté(e) le 14 avril Le 13/04/2025 à 01:38, Boule75 a dit : Nous sommes forcément dépendants pour les matières premières au moins. Tu ne proposes pas de (re)coloniser le Congo, j'en suis certain. C'est sûr que pour les matières premières, ça va être chaud... donc faut voir... Mais que ce soit en zone éco/techno/politique, l'Europe n'a rien à envier aux autres blocs. Faudrait juste que nos grands capitaines aient une vision un peu moins américaine. D'ailleurs c'est un truc qui m'a toujours étonné : au nom du libre marché on a parfois des superpositions d'infrastructures (chaque opérateur à la sienne, et cela sans zone exclusive), mais pour ce qui est de la politique militaire ou de certaines technologies, il ne faudrait jamais penser autrement qu' "avec les Américains", pour ne pas dire "soumis aux Américains" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 14 avril Share Posté(e) le 14 avril Le 12/04/2025 à 21:26, Manuel77 a dit : Débat profond et controversé sur la politique douanière de Trump avec des invités de marque. Parmi eux, Larry Summers, ancien secrétaire au Trésor et à la Banque mondiale. Considère que la politique est chaotique. David Sacks (mafia PayPal), libertarien et buddy de Thiel et Musk. 01:04:00 Chamath Palihapitiya raconte une conversation informelle qu'il a eue avec un émissaire du président d'un pays qui se demandait ce qu'il devait céder pour que Trump revienne sur ses droits de douane prohibitifs. 01:04:45 "Nous avons un énorme achat en capital auprès d'Airbus". Je lui ai dit : "Annule-le", fais-le passer chez Boeing. Ce que je retiens, c'est qu'on a des gens qu'on pourrait croire comme étant des parangons du libéralisme économique, mais pas du tout. Là, il recommande à une compagnie aérienne de faire un achat sous-optimal, en achetant un Boeing qui va tomber en panne, qui va perdre ses ailes, qui va perdre ses moteurs, plutôt que d'acheter un Airbus fiable qui correspond exactement au besoin de cette compagnie pour les lignes qu'elle exploite. Donc il préconise une solution sous-optimale vis à vis de l'efficience du marché. Le client n'achète pas le produit qui correspond le mieux à son besoin, et qui va lui permettre de gagner le plus d'argent. Donc on est dans une forme d'économie dirigiste, où il y a des priorités plus prioritaires que le marché ou que la rentabilité des entreprises. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akhilleus Posté(e) le 14 avril Share Posté(e) le 14 avril il y a une heure, Wallaby a dit : 01:04:00 Chamath Palihapitiya raconte une conversation informelle qu'il a eue avec un émissaire du président d'un pays qui se demandait ce qu'il devait céder pour que Trump revienne sur ses droits de douane prohibitifs. 01:04:45 "Nous avons un énorme achat en capital auprès d'Airbus". Je lui ai dit : "Annule-le", fais-le passer chez Boeing. Ce que je retiens, c'est qu'on a des gens qu'on pourrait croire comme étant des parangons du libéralisme économique, mais pas du tout. Là, il recommande à une compagnie aérienne de faire un achat sous-optimal, en achetant un Boeing qui va tomber en panne, qui va perdre ses ailes, qui va perdre ses moteurs, plutôt que d'acheter un Airbus fiable qui correspond exactement au besoin de cette compagnie pour les lignes qu'elle exploite. Donc il préconise une solution sous-optimale vis à vis de l'efficience du marché. Le client n'achète pas le produit qui correspond le mieux à son besoin, et qui va lui permettre de gagner le plus d'argent. Donc on est dans une forme d'économie dirigiste, où il y a des priorités plus prioritaires que le marché ou que la rentabilité des entreprises. tousse/tousse F35 tousse On est au delà de la rentabilité des entreprises, on est sur la sécurité (des données -GAFAM-, des passagers -Boeing-, des capitaux -extraterritorialité du dollar-, des pays -equipement militaire américain-) On est bien sur une Ligue de Delos bis Pour mémoire, ca ne s'est quand même pas bien fini pour Athènes même si Sparte a du recevoir l'appui de la puissance Perse honnie 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 14 avril Share Posté(e) le 14 avril Le dossier de la dette US est central donc je pense qu'un suivi hebdomadaire vaut le coup. Il semblerai que la Chine (Pourquoi elle uniquement d'ailleur) ait dégainée la vente de bond du trésor pour faire peur à Trump histoire de rappeler les liens réciproques. https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Taux-Il-y-a-t-il-un-adulte-dans-la-salle--49608291/ Taux : Il y a-t-il un adulte dans la salle ? Révélation Le suspense aura duré une bonne partie de la semaine dernière avant que Donald Trump n’accorde un délai de grâce de 90 jours à l’ensemble de ses partenaires commerciaux, Chine exceptée car elle a osé répliquer. « Shocking » comme diraient-leurs cousins anglais. La semaine est restée très volatile avec des variations dignes des montagnes russes. Il fallait avoir le cœur bien accroché pour supporter les retournements de situation. Le pivot du président américain concernant le délai de mise en application des droits de douane permet de mieux comprendre sa stratégie et appelle à quelques réflexions. D’abord, Trump utilise la bonne vieille technique de la carotte et du bâton. Le second étant illustré par les tarifs. L’objectif est bien de rééquilibrer le déficit commercial des États-Unis en forçant ses partenaires commerciaux à remettre à plat un système considéré comme inéquitable. Ensuite, Trump n’essaie pas de créer une récession au début de son mandat parce que rien ne lui garantit qu’il sera en mesure de redresser la barre avant les élections de mi-mandat, notamment via la dérégulation et des baisses d’impôts. Une récession créerait certes des conditions de refinancement plus favorables mais au prix d’une dette qui exploserait encore plus. Enfin, Trump ne veut pas réellement imposer des droits de douane élevés car cela lui compliquerait encore plus la tâche pour vendre de la dette - les banques centrales pourraient être tentées de se tourner vers l’or - et obtenir la coopération internationale dont il a besoin pour réformer le système monétaire. Nous reviendrons d’ailleurs plus en détail sur cet aspect au cours des prochaines semaines. Malgré tout, la guerre engagée avec la Chine frise désormais le ridicule et il serait temps qu’un adulte responsable prenne les choses en main pour enrayer la surenchère actuelle. Car si les deux plus grandes puissances ne sont pas capables de coopérer, toutes les autres tentatives pour limiter les perturbations commerciales auront été faites. Sur le front obligataire, les dernières statistiques sur l’inflation n’ont rien pu faire face aux vents contraires actuels. En temps normal, les investisseurs auraient certainement salué la baisse enregistrée par le CPI Core car il donne du mou à la réserve fédérale pour baisser ses taux en cas de besoin. Malheureusement, les rendements se sont fortement tendus toute la semaine dernière. Plusieurs hypothèses ont émergé pour expliquer ce mouvement, le 10 ans américain étant en effet passé en quelques jours de 3.86% à 4.52%, annulant du même coup près de deux mois de baisse. Parmi les explications avancées, on notera le « Tresury basis trade » détaillé par Anthony Bondain dans son édito de mercredi dernier (à retrouver ICI), mais également de potentiels appels de marge ayant forcé les opérateurs à liquider des positions ou encore les possibles ventes massives de bonds par les gouvernements étrangers, Chine en tête, histoire de mettre la pression sur le Trésor américain avant de nouvelles adjudications. Ce dernier scénario recueille nos faveurs dans la mesure où il expliquerait du même coup la baisse enregistrée par le dollar Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 14 avril Share Posté(e) le 14 avril (modifié) il y a une heure, herciv a dit : Il semblerai que la Chine (Pourquoi elle uniquement d'ailleurs) ait dégainée la vente de bons du trésor pour faire peur à Trump Chacun y va de sa rumeur. Est-ce qu'il y a des informations fiables dans ce domaine ? https://www.standard.co.uk/news/us-politics/donald-trump-tariffs-pause-why-bond-markets-b1221722.html (10 avril 2025) Selon Fox News, le Japon se serait débarrassé de ses obligations du Trésor « parce qu'il pensait que les États-Unis n'étaient pas un endroit idéal pour faire des affaires ». https://www.bloomberg.com/news/articles/2025-04-13/japan-doesn-t-plan-to-use-us-treasuries-as-tariff-talk-leverage Le Japon n'a pas l'intention d'utiliser ses avoirs en bons du Trésor américain comme outil de négociation pour contrer les droits de douane américains lors des discussions prévues entre les deux gouvernements le 17 avril. « En tant qu'allié, nous ne prendrions pas intentionnellement des mesures contre les obligations d'État américaines, et perturber le marché n'est certainement pas une bonne idée », a déclaré Itsunori Onodera, responsable politique du parti libéral démocrate, sur la chaîne publique NHK dimanche. https://www.cnbc.com/video/2025/04/14/japan-not-china-might-have-incentive-to-sell-us-treasury-holdings.html Selon un stratège, c'est le Japon, et non la Chine, qui pourrait être incité à vendre ses avoirs en bons du Trésor américain Garry Evans de BCA Research estime que les autres pays, y compris la Chine, n'ont guère de concessions à faire aux États-Unis. Il évoque également l'utilisation potentielle des bons du Trésor américain comme d'une arme par leurs principaux détenteurs étrangers, le Japon et la Chine. Modifié le 14 avril par Wallaby Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Manuel77 Posté(e) le 14 avril C’est un message populaire. Share Posté(e) le 14 avril Tiré du principal journal conservateur allemand. TLDR : L'économie allemande n'a pas envie de choisir entre la Chine et les Etats-Unis. En cas de doute, on penche même plutôt pour la Chine. https://archive.is/L98m6#selection-2779.0-2791.427 Berlin dans le pétrin USA-Chine Les managers allemands réclament un partenariat plus étroit avec la Chine. Le pays serait depuis longtemps à la pointe de la technologie. Mais le gouvernement noir et rouge veut renforcer l'alliance transatlantique malgré Trump. Et maintenant ? Le projet est délicat, les parties concernées le savent. Trois douzaines d'entreprises allemandes en Chine ont élaboré ensemble un catalogue de recommandations pour le cabinet Merz. Elles veulent faire pivoter l'orientation géopolitique du gouvernement fédéral. La Chine doit à nouveau être considérée comme un partenaire et non comme un adversaire. Les bouleversements internationaux provoqués par la politique commerciale de Donald Trump sont perçus par les managers comme une occasion en or de changer de cap. « Plus d'engagement, pas moins » en Chine est nécessaire “pour rester pertinent sur le plan économique”, peut-on lire dans le document que le F.A.Z. a pu consulter. Parmi les signataires figurent des représentants de groupes du Dax et de PME. Personne ne veut être associé publiquement à ce document. La crainte est trop grande d'être catalogué comme un ami naïf de la Chine. En anglais, le terme « panda hugger » s'est établi pour désigner une étreinte intime avec l'animal le plus populaire de la République populaire et donc du Parti communiste. « Panda-Hugger » contre les transatlantiques A Berlin, l'initiative des entreprises ne devrait pas être bien accueillie. Aussi différents que soient le chef de la CDU, Friedrich Merz, et le chef du SPD, Lars Klingbeil, tous deux ne laissent rien venir au partenariat transatlantique. Merz a dirigé pendant dix ans le Pont de l'Atlantique, une association visant à entretenir les relations entre l'Allemagne et les Etats-Unis. Le chef du SPD, Lars Klingbeil, en est membre et a parfois vécu aux États-Unis. Dans le contrat de coalition, la CDU/CSU et le SPD visent à plusieurs endroits un développement des relations transatlantiques. Les membres de la coalition estiment même qu'un accord de libre-échange est possible. En revanche, le « de-risking » vis-à-vis de la Chine doit être poursuivi, notamment avec une commission d'experts qui émettra chaque année des recommandations pour réduire encore les dépendances. Les représentants de l'économie allemande ne sont guère satisfaits de cette orientation. « L'accent mis sur la Chine en tant que 'rival systémique' ne correspond pas à la réalité des entreprises allemandes en Chine » : c'est en ces termes qu'Oliver Oehms, chef de la Chambre de commerce étrangère à Pékin, commente l'accord de coalition. Du point de vue des membres de la chambre, le marché chinois est « décisif pour la compétitivité globale des entreprises allemandes ». Oehms demande : « C'est pourquoi nous avons besoin de plus de soutien de la part du nouveau gouvernement fédéral, qui associe le “de-risking” à un engagement ciblé en Chine ». Les auteurs du catalogue de revendications sont plus virulents que le chef de la chambre. Dans le document de trois pages, il est question d'un « paradoxe du de-risking ». « Il existe une contradiction entre la minimisation des risques (de-risking) exigée et la localisation nécessaire sur le terrain ». L'orientation est claire : « La gestion des risques ne devrait pas conduire à une réduction de l'engagement en Chine », peut-on lire à un moment donné. On ne voit pas beaucoup de « dé-risking ». Le gouvernement fédéral est dans le pétrin. Certes, les États-Unis sont devenus l'année dernière le principal partenaire commercial de l'Allemagne. Mais la politique douanière de Trump pourrait changer la donne. La Chine, actuellement numéro deux, reste très importante pour le développement économique de l'Allemagne. De nombreux groupes du Dax réalisent un tiers de leur chiffre d'affaires dans la République populaire. En termes de bénéfices, la dépendance devrait être encore plus grande. Le montant des investissements directs dans le pays se maintient également à un niveau élevé. « De facto, on ne voit pas beaucoup de dérisquage vis-à-vis de la Chine », résume Jürgen Matthes, directeur du département de politique économique internationale à l'Institut de l'économie allemande de Cologne, proche du patronat. La crainte des auteurs de la lettre à Merz est de se réveiller du mauvais côté de l'histoire de la technique dans le grand conflit entre les Etats-Unis et la Chine. Déjà sous Joe Biden, le gouvernement américain a fait pression sur les Européens pour qu'ils cessent de livrer à la Chine des techniques permettant à ce pays de renforcer son importance dans l'économie mondiale. Trump pourrait tôt ou tard forcer les Européens à choisir leur camp. « Les entreprises chinoises sont de plus en plus à la pointe de l'innovation », peut-on lire dans le document des entreprises. « Les coopérations avec les entreprises chinoises sont cruciales pour rester à la pointe de l'innovation et pour avoir un aperçu des développements locaux ». Le contexte est que dans les secteurs d'avenir tels que la technologie des batteries, la conduite autonome, les taxis volants, les robots humanoïdes et également l'énergie nucléaire, la Chine est depuis longtemps le pays dominant. Dans leur document, les managers demandent de « renforcer les compétences en matière de Chine ». L'image actuelle de la Chine en Allemagne constitue « un obstacle pour les entreprises allemandes ». L'Amérique, c'est plus que Trump et la colère Verena Hubertz, qui a co-négocié le chapitre économique de l'accord de coalition pour le SPD, défend l'orientation de la nouvelle coalition à Berlin : « Les États-Unis sont plus que Trump et la colère », dit-elle. « Nos pays sont liés par un partenariat de longue date qui va au-delà du commerce et qui se maintient, même lorsque les temps sont difficiles ». La politicienne économique défend la poursuite du de-risking de la Chine en disant que l'UE doit « rester capable d'agir économiquement et politiquement même dans des situations extrêmes ». L'objectif est la « souveraineté stratégique ». Selon Hubertz, la coalition met l'accent sur la nécessité de rendre l'Allemagne moins vulnérable. « Dans les domaines sensibles de l'infrastructure critique, seuls des composants provenant de pays dignes de confiance pourront à l'avenir être installés ». Mais la politicienne dit aussi quelque chose qui pourrait rassurer quelque peu les managers allemands en Chine : « Nous n'aspirons pas à une réduction globale des affaires avec la Chine ». Au sein de l'Union, on considère également d'un œil critique la dépendance de l'économie allemande vis-à-vis des matières premières en provenance de Chine, comme les terres rares et le magnésium. « Les entreprises doivent augmenter leur résilience et concevoir leurs modèles d'affaires de manière à ce que la disparition partielle ou totale de leurs activités en Chine reste gérable », explique Hansjörg Durz, porte-parole adjoint du groupe parlementaire pour les questions économiques. Les entreprises doivent élargir leurs chaînes d'approvisionnement et la politique peut soutenir l'exploitation des matières premières locales. M. Durz comprend le scepticisme croissant de l'économie vis-à-vis de son partenaire commercial américain. « La politique douanière erratique de Trump est une nouvelle occasion d'asseoir nos relations commerciales sur une base plus large et de conclure rapidement et de manière pragmatique des accords de libre-échange avec l'UE », dit-il. L'Union reste toutefois attachée à l'alliance transatlantique. « Les États-Unis restent l'un de nos principaux partenaires commerciaux ». 4 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 14 avril Share Posté(e) le 14 avril Le 13/04/2025 à 01:38, Boule75 a dit : Nous sommes forcément dépendants pour les matières premières au moins. Tu ne proposes pas de (re)coloniser le Congo, j'en suis certain. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Manuel77 Posté(e) le 14 avril Share Posté(e) le 14 avril (modifié) Oren Cass est l'une des figures de proue (think tank American Compass) des groupes d'employés aile ouvrière du mouvement MAGA. https://archive.is/rfXls L'Europe doit choisir entre l'Amérique et la Chine Dans un monde multipolaire, les anciennes certitudes concernant la garantie de sécurité des États-Unis et l'accès aux marchés ne tiennent plus. Personne ne doute à ce stade de l'intention du président Donald Trump de démolir le système économique international que les États-Unis ont encouragé depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. La confusion règne quant à ce qui pourrait le remplacer. Les commentaires de l'administration Trump ont donné quelques indices sur les contours potentiels d'une nouvelle alliance économique et de sécurité dirigée par les États-Unis, mais la plus grande des questions ouvertes concerne l'Europe. En février, le secrétaire d'État Marco Rubio a donné une réponse qui constitue le meilleur point de départ pour comprendre les actions de l'administration Trump. « Il n'est pas normal que le monde ait simplement une puissance unipolaire », a-t-il fait remarquer. « C'était une anomalie. C'était un produit de la fin de la guerre froide, mais finalement, on allait revenir à un point où l'on avait un monde multipolaire. » Cette conviction que l'hégémonie américaine a pris fin est à la base du point de vue de la « nouvelle droite » qui est devenu de plus en plus influent à Washington. Comme l'a écrit Elbridge Colby, confirmé cette semaine dans ses fonctions de responsable politique du Pentagone, en 2021 : « Au cours de la dernière génération, une nation a exercé une puissance militaire inégalée [et] a plié le système financier international à sa volonté ». Pour ses alliés, « la tutelle de l'Amérique était facile, son fardeau léger - certainement comparé aux autres hégémons réels ou aspirants de l'histoire. Cette époque est révolue ». Dans le nouveau monde multipolaire qui supplanterait « l'ordre mondial libéral » des décennies de l'après-guerre froide, les États-Unis seraient à la tête d'une alliance économique et de sécurité ancrée dans les grandes démocraties de marché, tout en concédant à la Chine une sphère qui lui serait propre. La participation à ce bloc dirigé par les États-Unis nécessiterait le respect de certaines exigences, dont les principales sont un commerce équilibré, aucun pays n'enregistrant d'excédent ou de déficit important aux dépens des autres, chaque membre prenant l'initiative d'assurer sa propre sécurité et s'engageant conjointement à exclure la Chine de ses marchés. Il s'agit là d'un accord équitable, que toute démocratie de marché devrait préférer à une mise dans l'orbite de la Chine. Le Mexique et le Canada, qui ont été les premiers à subir le poids des actions américaines et qui sont aujourd'hui engagés dans une renégociation accélérée de l'accord commercial nord-américain, seraient inévitablement des membres essentiels aux côtés des États-Unis. En tant que principaux rivaux régionaux de la Chine, le Japon et l'Inde semblent également être des participants évidents - en effet, le ministre indien du commerce a déjà indiqué que les négociations avec Washington « allaient dans la bonne direction », tandis que le Japon semble prêt à passer en tête de file pour ses propres négociations. Mais qu'en est-il de l'Europe ? Et ici, en général, l'Europe signifie l'Allemagne. Pour remédier aux déséquilibres commerciaux, l'Allemagne devrait abandonner son modèle économique à forte intensité d'exportations et accepter la nécessité de stimuler la consommation intérieure, d'acheter davantage aux États-Unis et d'envoyer un plus grand nombre de ses producteurs s'installer dans ce pays. Or, son économie est en récession depuis 2023. L'Allemagne devrait également prendre l'initiative de reconstruire la puissance militaire du continent et de s'opposer à la Russie. Malgré toute sa rhétorique sur l'Ukraine, l'armée allemande est moins prête au combat qu'à la veille de l'invasion russe, et elle se réduit également. Plutôt que de faire face à la menace que représentent les concurrents chinois lourdement subventionnés, les constructeurs automobiles allemands se sont généralement opposés à toute protection commerciale, de peur que des mesures de rétorsion en Chine ne mettent en péril leurs profits à court terme. Au contraire, ils encouragent les entreprises chinoises à commencer à produire à l'intérieur des frontières de l'Europe. Mercedes est désormais détenue à hauteur d'un cinquième par la République populaire. La stratégie américaine repose sur le fait que ses alliés les plus précieux préfèrent son partenariat à celui de la Chine, même dans le cadre d'un accord révisé qui leur demande davantage. Dans la plupart des cas, il s'agit d'un pari sûr. Mais en ce qui concerne l'Europe, la question se pose avec plus d'acuité. Qu'il s'agisse de sa population en déclin, de ses politiques énergétiques autosabotantes, de sa crise de légitimité démocratique ou de son manque de technologies innovantes, la valeur stratégique et l'influence du continent sont au plus bas. Tout comme sa volonté de faire des choix difficiles, d'accepter des sacrifices et de résister à l'attrait à court terme de l'accès au marché chinois. C'est sur ce point qu'ont porté les remarques controversées du vice-président JD Vance lors de la conférence de Munich sur la sécurité en février. « Lorsque je regarde l'Europe aujourd'hui, je ne comprends pas toujours très bien ce qui est arrivé à certains des vainqueurs de la guerre froide », a-t-il déploré. Mercredi, le secrétaire d'État au Trésor, Scott Bessent, a averti les dirigeants européens que se rapprocher de la Chine « reviendrait à se trancher la gorge ». Jeudi, l'UE a entamé des discussions sur l'abaissement des barrières aux véhicules électriques chinois. Si les États-Unis mettent l'Europe à l'épreuve, celle-ci passera-t-elle le test ? Si l'Europe tente de répondre à ce qu'elle perçoit comme un bluff, les Américains s'en iront-ils ? Le choix de la Chine scellerait son destin et assurerait la poursuite de son déclin. Modifié le 14 avril par Manuel77 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) le 14 avril Share Posté(e) le 14 avril Ah, le dilemme entre le chantage US et les yeux doux Chinois ! Le don de se rendre encore plus dépendant qu'actuellement en reproduisant la même connerie du choix énergétique et de son hyper dépendance au hydrocarbures et gaz Russe ! Quelle est la possibilité de louvoiement restante, la non décision et hésitations perpétuelles et de nous défoncer au passage si j'en crois le miroir US appuyant sur le réarmement Allemand associé à sa domination économique de l'UE ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 14 avril Share Posté(e) le 14 avril Il y a 2 heures, Manuel77 a dit : Citant Elbridge Colby : Pour ses alliés, « la tutelle de l'Amérique était facile, son fardeau léger Matthieu 11,30. « My yoke is easy and my burden is light ». C'est l'un des versets bibliques qu'on trouve dans "Le Messie" de Haendel. Il y a 2 heures, Manuel77 a dit : Il s'agit là d'un accord équitable, que toute démocratie de marché devrait préférer à une mise dans l'orbite de la Chine. Le Mexique et le Canada, qui ont été les premiers à subir le poids des actions américaines et qui sont aujourd'hui engagés dans une renégociation accélérée de l'accord commercial nord-américain, seraient inévitablement des membres essentiels aux côtés des États-Unis. En tant que principaux rivaux régionaux de la Chine, le Japon et l'Inde semblent également être des participants évidents - en effet, le ministre indien du commerce a déjà indiqué que les négociations avec Washington « allaient dans la bonne direction », tandis que le Japon semble prêt à passer en tête de file pour ses propres négociations. Je croyais que l'Inde faisait partie des BRICS ? Il y a 2 heures, Manuel77 a dit : L'Allemagne devrait également prendre l'initiative de reconstruire la puissance militaire du continent et de s'opposer à la Russie. Pourquoi donc ? Les États-Unis ne sont-ils pas en train de donner le signal au contraire d'un accommodement avec la Russie ? Je ne vois pas pourquoi une Allemagne qui voudrait se mettre dans les petits papiers d'une Amérique trumpiste devrait s'opposer à la Russie. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 14 avril Share Posté(e) le 14 avril (modifié) Il y a 2 heures, Manuel77 a dit : Oren Cass est l'une des figures de proue (think tank American Compass) des groupes d'employés aile ouvrière du mouvement MAGA. https://en.wikipedia.org/wiki/Oren_Cass Il a précédemment travaillé aux campagnes présidentielles de Mitt Romney en 2008 et 2012. Un allié de Mitt Romney n'est pas de manière très évidente un supporter de MAGA. Donald J. Boudreaux, de l'American Institute for Economic Research, a contesté certaines positions du livre, affirmant que Cass insiste trop sur l'importance de la production par rapport à la consommation, au point d'exalter des mesures telles que les droits de douane qui contraignent la société à acheter des biens qui ne seraient pas le premier choix des consommateurs non contraints[13]. En revanche cet aspect est pertinent qui le rapproche de Trump plus que de Romney. Modifié le 14 avril par Wallaby Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
GOUPIL Posté(e) le 14 avril Share Posté(e) le 14 avril il y a 15 minutes, Wallaby a dit : Pourquoi donc ? Les États-Unis ne sont-ils pas en train de donner le signal au contraire d'un accommodement avec la Russie ? Je ne vois pas pourquoi une Allemagne qui voudrait se mettre dans les petits papiers d'une Amérique trumpiste devrait s'opposer à la Russie. parce que la crainte des Allemands c'est que la Russie et les USA l'aime trop - un bon gâteau ça se partage entre amis - au point d'en vouloir 2 comme dans le passé ! 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Manuel77 Posté(e) le 14 avril Share Posté(e) le 14 avril il y a une heure, GOUPIL a dit : parce que la crainte des Allemands c'est que la Russie et les USA l'aime trop - un bon gâteau ça se partage entre amis - au point d'en vouloir 2 comme dans le passé ! Avec quoi d'autre vas-tu nous menacer ? La retraite à 55 ans ? Visite des vestiaires du Moulin Rouge ? 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
GOUPIL Posté(e) le 14 avril Share Posté(e) le 14 avril (modifié) il y a 18 minutes, Manuel77 a dit : Avec quoi d'autre vas-tu nous menacer ? La retraite à 55 ans ? Visite des vestiaires du Moulin Rouge ? justement ce n'est pas la *France qui menace l'Allemagne bien au contraire, La France lui demande non seulement de s'émanciper de la tutelle US et d'être un tant soit peu Européenne avec un grand E. En même temps elle achète du F35 au grand allié Americain dont elle doute et ignore le Rafale du voisin Européen par mépris. Elle signe des accord qu'elle respecte quand il s'agit des USA mais qu'elle ne respecte pas quand il de la France comme sur le char Franco Allemand (50/50 initialement). Elle se permet avec la France ce qu'elle s'abstient de faire avec les US : Qu'aurait elle dit si le Téléphone de Merkel avait été sous écoute des services secrets Français n'est ce pas ? Modifié le 14 avril par GOUPIL 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Manuel77 Posté(e) le 14 avril Share Posté(e) le 14 avril il y a 7 minutes, GOUPIL a dit : justement ce n'est pas la *France qui menace l'Allemagne bien au contraire, La France lui demande non seulement de s'émanciper de la tutelle US et d'être un tant soit peu Européenne avec un grand E. Mais c'était une blague. Tu menaces d'une commodité. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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