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Marine Néerlandaise


Marc P

Messages recommandés

Bon c'est pas Toulon avec son Milhaud 1 de 400m et le futur bassin du PANG ... mais aux Pays-Bas aussi on a nos travaux d'infrastructure à Den Helder 

 

--> https://magazines.defensie.nl/allehens/2023/03/06_uitbreiding-afmeercapaciteit

750 mètres de quai supplémentaire

Les nouvelles installations d'amarrage seront à Berghaven, au nord-est du Nieuwe Haven. En termes de longueur, il s'agit d'un total de 750 mètres de quai supplémentaire.

  • 300 mètres de cela sont adaptés aux frégates, aux LPD et aux 2 navire de soutien JSS/CSS.
  • 3 x 150 mètres sont destinés aux bâtiments de guerre des mines, aux frégates M et aux patrouilleurs.

Bien sûr, le nombre de mètres carrés sur les quais augmente également. Il s'agit d'environ 12 500 m2, à utiliser comme emplacements (temporaires) pour les conteneurs et les véhicules. Il y aura également une installation roll on-roll off, afin que les navires puissent charger et décharger à n'importe quel niveau d'eau. Enfin, les installations d'eau potable, d'égouts, de communication, d'électricité et de carburant sont adaptées à la nouvelle situation.


Budget d'investissement

La Défense étudie actuellement la meilleure façon de façonner la construction, l'aménagement et l'exploitation. Viennent ensuite la phase de préparation de l'acquisition, la phase de préparation de la construction et la phase de réalisation. Le budget du projet se situe entre 100 et 250 millions d'euros. Ce montant provient du budget d'investissement de la Défense.

infographic-afmeercapaciteit-marinehaven

collage_steigers-en-wegen.png

beeld-met-schepen.jpg

 

 

En superposition ca donne quelque chose comme ca :

temp-Imagef-Hgc-B0.avif

Modifié par Titus K
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Le 01/09/2025 à 13:03, Titus K a dit :

La coque du sixième chasseur de mines belgo-néerlandais est arrivée à Concarneau

https://www.meretmarine.com/fr/defense/la-coque-du-sixieme-chasseur-de-mines-belgo-neerlandais-est-arrivee-a-concarneau

Le programme rMCM des 12 nouveaux porte-drones de guerre des mines des marines belge et néerlandaise avance maintenant à un rythme soutenu. Alors que la tête de série effectue ses derniers essais en vue de sa livraison dans les semaines qui viennent, la coque du sixième bâtiment est arrivée au chantier Piriou de Concarneau, où son armement va se poursuivre. 


m8xx-20250822-concarneau-1.jpg?h=9e020e8

 

Fausse alerte la 6eme coque est toujours en Roumanie 

https://www.meretmarine.com/fr/defense/6eme-chasseur-de-mines-belgo-neerlandais-erratum-concernant-notre-article-d-hier

 

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il y a 1 minute, emixam a dit :

Fausse alerte la 6eme coque est toujours en Roumanie 

Ah bah si mêmes leurs sources industrielles se sont emmêlés les pinceaux ... 

Faut dire que Scheveningen (ils ont fait une faute) et Ijmuiden ca fait beaucoup de lettres qui devraient pas se suivent normalement, ca prête à confusion tout ca :tongue:

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  • 2 weeks later...
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Vu les soucis rencontrés par Damen, j'espère vraiment que le programme FuAD pourra se faire en collaboration avec la France / Naval Group. 

Il faudrait par contre que les calendriers se rejoignent et pour l'instant c'est là que ca coince...  2035 ca semble trop tot pour le remplacement des FDA / FREMM-DA en France.

Modifié par Titus K
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29 minutes ago, Titus K said:

Vu les soucis rencontrés par Damen, j'espère vraiment que le programme FuAD pourra se faire en collaboration avec la France / Naval Group. 

Il faudrait par contre que les calendriers se rejoignent et pour l'instant c'est là que ca coince...  2035 ca semble trop tot pour le remplacement des FDA / FREMM-DA en France.

Même en faisant passer les frégates danoises en premier ? Ça + le retard habituel y'a moyen de gratter 5-6ans, non ?

Et puis on serait bien avisé de passer a 6freda. Y'a un monde où c'est pas déconnant 

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il y a 43 minutes, Asgard a dit :

Même en faisant passer les frégates danoises en premier ? Ça + le retard habituel y'a moyen de gratter 5-6ans, non ?

Pourquoi pas mais les Danois m'ont l'air vraiment pressés ... mais après le SAMP/T NG on peut se prendre à rêver :laugh:

 

il y a 53 minutes, Asgard a dit :

Et puis on serait bien avisé de passer a 6freda. Y'a un monde où c'est pas déconnant 

J'espère encore que la MN ne commande "que" 6 FDI, qui pourraient alors être complétées par 4 FDA NG.

Avec une ASA des 2 premières FDA NG vers 2036-38 pour completer les 16 frégates (2 FDA / 8 FREMM / 6 FDI ), on retrouverait alors le format à 18 frégates juste avant l'entrée en service du PANG.

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RH Marine et Naval Group signent un contrat pour renforcer
leur coopération dans le cadre du programme de remplacement des sous-marins

https://rhmarine.com/nieuws/rh-marine-en-naval-group-ondertekenen-contract

Le 25 septembre, RH Marine et Naval Group ont signé un contrat dans le cadre de leur collaboration au sein du programme de Remplacement de la Capacité Sous-marine (VOZBT) pour la Marine royale néerlandaise. Cet accord marque une étape importante dans la mise en œuvre de l’Accord de Coopération Industrielle (ICA) qui soutient le programme.

La cérémonie s’est tenue en présence de hauts représentants des deux entreprises et du gouvernement néerlandais, soulignant l’engagement commun à fournir des technologies avancées et fiables pour les futurs sous-marins de la Marine royale.

 

Expertise en automatisation des plateformes, alimentation électrique et solutions intégrées

Dans le cadre de cet accord, RH Marine apporte son expertise en matière d’automatisation des plateformes, de systèmes d’alimentation électrique et de solutions de systèmes intégrés. Forte d’une longue expérience de coopération avec la Marine royale néerlandaise, RH Marine est fière de jouer un rôle clé dans la garantie de l’excellence opérationnelle et du soutien à long terme pour la nouvelle classe de sous-marins.

« Ce contrat renforce non seulement notre collaboration avec Naval Group, mais reflète également notre ambition commune de soutenir la Marine royale avec des solutions innovantes et pérennes », a déclaré Koen Staffeleu, Business Unit General Manager Naval, RH Marine. « Il confirme le rôle de RH Marine en tant que partenaire de confiance au sein de l’écosystème néerlandais de défense navale. »

Naval Group se félicite de cette coopération et souligne l’importance de la participation industrielle néerlandaise :

« RH Marine est pour nous un partenaire essentiel au sein de Team Orka. Nous attachons une grande valeur à l’expertise, à l’innovation et à l’expérience sous-marine de RH Marine et nous nous réjouissons de livrer ensemble une capacité de pointe à la Marine royale néerlandaise », a déclaré Mark Donderwinkel, Country Director, Naval Group NL.

L’Accord de Coopération Industrielle garantit l’implication étroite de l’industrie et des instituts de recherche néerlandais dans le programme VOZBT, renforce le cluster maritime national et assure le maintien de capacités stratégiques pour l’avenir.

signing-2.webp

Participants à la signature (de gauche à droite) :
Fabian Schaap (RH Marine), Julien Michaud (Naval Group), Noemie Delbeque (Naval Group), Dieter van Schagen (RH Marine),
CDR Jurjen Kwak (MinDef), Guy Thoms (MinEZ), KLTZ Roelandt Paarlberg (MinDef), Jorn Houtsma (RH Marine).

Au premier rang : Mark Donderwinkel (Naval Group), Olivier Doucy (Naval Group), Joop Wervers (RH Marine), Koen Staffeleu (RH Marine).

 

 

--> RH Marine participe au programme Orka dans le domaine de la gestion de plateforme. Avec l’IPMS (Integrated Platform Management System), les systèmes techniques tels que les générateurs diesel, les batteries, les vannes et les réservoirs peuvent être surveillés et commandés depuis le poste central.

« La partie la plus profonde de l’IPMS est assurée par Naval Group », explique Wervers, « mais RH Marine prend en charge la couche de présentation de l’IPMS ».

Un aspect que, comme des experts français en sous-marins l’avaient déjà indiqué à Marineschepen.nl l’année dernière, RH Marine maîtrise très bien. Wervers :

« C’est la partie supérieure, l’interface homme-machine. Comme nous prenons en charge la visualisation du système, les membres d’équipage néerlandais des nouveaux sous-marins reconnaîtront beaucoup de choses. »


--> En outre, RH Marine s’occupera du système de gouverne de la classe Orka, y compris le manche de pilotage des futurs bâtiments.


-->L’entreprise reprendra également en charge le réseau électrique. Wervers :

« La distribution basse tension à travers les sous-marins fait aussi partie de notre périmètre. »


--> La partie haute tension, comprenant la propulsion et les batteries, relève en revanche de Naval Group.

Modifié par Titus K
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  • 2 weeks later...
59 minutes ago, Titus K said:

Le 5ème rapport d'avancement du programme Orka a été publié, il couvre le premier semestre 2025--> https://open.overheid.nl/documenten/9b038f15-29b6-458f-be24-a2896a510431/file

Il y a cet extrait qui est important:

Quote

Récemment, un incident de cybersécurité chez Naval Group a fait l'objet d'une couverture médiatique. Des consultations ont été menées avec Naval Group à la suite de cet incident. Aucun élément n'a été trouvé indiquant que des informations provenant du programme VOZBT étaient impliquées dans cet incident. À la demande du ministère de la Défense, Naval Group a mené des recherches complémentaires et a confirmé cette évaluation.

 

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Il y a 9 heures, HK a dit :

Il y a cet extrait qui est important:

Ce qui reste dramatique c'est qu'on ne sait toujours pas qui était le commanditaire bien qu'il y ait eu des déclarations comme quoi la piste probable était celle d'un "compétiteur étranger", ce qui ne laisse pas beaucoup de monde sur la liste.

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18 hours ago, Titus K said:

Le 5ème rapport d'avancement du programme Orka a été publié, il couvre le premier semestre 2025--> https://open.overheid.nl/documenten/9b038f15-29b6-458f-be24-a2896a510431/file

J'ai pas encore tout lu, j'ajouterais les infos plus tard

En tout cas le System Requirement Review (SRR) est terminé depuis le 18 juin 2025
Le System Design Review (SDR) vient de débuter

Si un passage vous interresse je pourrais traduire :wink:

merci @Titus K 

quelque chose d'intressant sous la rubrique "2.4 Risques"?

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il y a 54 minutes, Lordtemplar a dit :

merci @Titus K 

quelque chose d'intressant sous la rubrique "2.4 Risques"?

En bref, tout va bien pour l'instant, en tout cas publiquement.
 

Pour les 3 rubriques : temps / finances / risque :

--> Aucun retard n’a été signalé par rapport au précédent rapport d’avancement ( 1 tout les 6 mois )

--> Pas de dépassement budgétaire signalé publiquement.

Un détail : le texte dit pas explicitement qu’il y a un dépassement budgétaire, mais il laisse ouverte la possibilité qu’il y ait des ajustements financiers (positifs ou négatifs) mais dont le détail est classifié... 

--> point de vue gestion des risques :

Le profil de risque actuel reste sous contrôle, dans les limites du temps et du budget.

Par contre, après la System Requirement Review (SRR) de juin 2025, un réajustement complet du dossier de risques a été effectué.


 

Deux autre choses que j'ai noté sinon :

La cour des comptes signale que chez NG Cherbourg, seulement 2 équivalents temps plein, sont actuellement en poste, alors que le document d’organisation en prévoyait 10 à ce stade.
Apparement c'est pas un problème structurel ... les recrutements se feront progressivement, selon les besoins réels... Donc on peut déduire qu'il y a un leger retard dans le programme ?
 

Dans le même temps, le site aux Pays-Bas (Utrecht) a assez de personnel (en nombre) pour l'instant ...
Par contre il ne trouvent pas le personnel adequat pour couvrir certaines compétences techniques, notament en "Mission System Integration (MSI) en Integrated Logistic Support (ILS)"

Modifié par Titus K
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il y a 13 minutes, Titus K a dit :

SNA Barracuda aux Pays-Bas ? C'est un peu trop tard mais certains l'espèrent ... il y a des propos assez curieux dans l'article mais bon, l'envie est là :laugh: 

C'est quand même publié dans le Marineblad qui reste assez influent aux Pays-Bas

En tous cas avec les ORKA ils leur poussent des ailes.

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il y a 34 minutes, Titus K a dit :

SNA Barracuda aux Pays-Bas ? C'est un peu trop tard mais certains l'espèrent ... il y a des propos assez curieux dans l'article mais bon, l'envie est là :laugh: 

C'est quand même publié dans le Marineblad qui reste assez influent aux Pays-Bas
 

Au mieux, pourrait-on accélérer le programme SNA-3G (à l'image du SSN britannique-australien) pour livrer les premieres coques vers 2040/45, dont quelques unes destinées aux Pays-Bas ? ... Ca reste également fantaisiste je pense ...

S’ils le veulent vraiment et sont prêts en payer le prix, ce sera possible. 

Techniquement, on leur propose des places dans un ou 2 SNA (voir on les loue, vu leur dispo, on a presque de la marge) puis on fera une série de barracuda NG dont un ou deux pour nous. 

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2 minutes ago, ARPA said:

S’ils le veulent vraiment et sont prêts en payer le prix, ce sera possible.

Oui mais la, nous sommes quand meme dans le branletto-masturbo-pignolatoire "Là, la France devrait faire un geste / afin que le transfert de connaissances..."
On se croirait chez AUKUS.

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il y a 23 minutes, ARPA a dit :

S’ils le veulent vraiment et sont prêts en payer le prix, ce sera possible. 

Techniquement, on leur propose des places dans un ou 2 SNA (voir on les loue, vu leur dispo, on a presque de la marge) puis on fera une série de barracuda NG dont un ou deux pour nous. 

Il faudrait que ce soit une vraie relance du programme alors, donc au moins 6 SNA NG pour que ca se justifie.

C'est un article d'opinion assez fantaisiste je trouve, mais bon ca montre que cette reflexion strategique existe aux PB. 
 

Il y aurait déjà des sous-marinier Néerlandais à bord des SNA Francais d'après le 5ème rapport d'avancement du programme Orka...

Citation

Depuis le début de la phase de réalisation, plusieurs échanges ont eu lieu entre les services sous-marins néerlandais et français.

Ainsi, le personnel du CZSK (Commandement des forces navales royales néerlandaises) acquiert de l’expérience à bord de sous-marins français, et des marins français et néerlandais participent réciproquement à leurs formations croisées.

L’intensification de la coopération entre les services sous-marins favorise la construction, la préservation et le partage des connaissances, ainsi que l’interopérabilité.

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Le 14/10/2025 à 12:43, Titus K a dit :

SNA Barracuda aux Pays-Bas ? C'est un peu trop tard mais certains l'espèrent ... il y a des propos assez curieux dans l'article mais bon, l'envie est là :laugh: 

C'est quand même publié dans le Marineblad qui reste assez influent aux Pays-Bas
 

Au mieux, pourrait-on accélérer le programme SNA-3G (à l'image du SSN britannique-australien) pour livrer les premieres coques vers 2040/45, dont quelques unes destinées aux Pays-Bas ? ... Ca reste également fantaisiste je pense ...

 

Arguments en faveur du choix de sous-marins d’attaque à propulsion nucléaire (SSN) pour les Pays-Bas

https://www.marineblad.nl/images/Marineblad/2025/Nr._6/Mertens F.L.A. Driemaal is scheepsrecht Marineblad nr. 6 oktober 2025 30-35.pdf

 

C’est une idée audacieuse et quelque peu sauvage, mais les Pays-Bas ont pendant quelques mois la brève opportunité d’examiner si un vieux souhait de la marine peut se réaliser et d’acquérir un groupe de sous-marins d’attaque à propulsion nucléaire (SSN). À condition absolue toutefois que cela n’entraîne aucun retard dans le programme de remplacement des sous-marins. Grâce au travail extraordinaire de la marine, la classe Walrus peut heureusement encore servir quelque temps, mais commence à montrer son âge et aurait en réalité dû être remplacée depuis. Pour cette raison, la Marine royale anticipe à moyen terme un déficit capacitaire, précisément alors que le Service des sous-marins compte des personnes motivées et extraordinairement capables, qui pourraient évoluer au niveau de l’élite. Dans toutes les considérations, la rapidité doit donc jouer un rôle clé.

Pour aller droit au but : pourquoi des SSN ? Les Pays-Bas ont toujours, à juste titre, été fiers de leurs sous-marins d’attaque conventionnels (SSK). Pendant la Guerre froide, la mission principale de ces bâtiments était la chasse aux sous-marins et bâtiments de surface russes, et ils formaient l’arme offensive principale de la marine. En prime, leur taille leur permettait, plus facilement que les SSN américains et britanniques, d’accomplir des missions de reconnaissance en eaux peu profondes, tout en restant assez grands pour être engagés en expéditions. Cela nous a rapporté gros pendant la Guerre froide, heureusement restée froide, et durant les années de paix qui ont suivi.
 

" Chaque groupe aéronaval (Carrier Battle Group) se voit en règle générale attribuer un ou plusieurs sous-marins d’attaque à propulsion nucléaire (SSN). "


Endurance

Pourtant, les SSN sont globalement supérieurs aux SSK. Le seul avantage tactique qu’ont les bâtiments conventionnels est que, toutes choses égales par ailleurs, naviguant lentement sur batteries ils sont plus silencieux que les sous-marins nucléaires. Cela peut offrir un avantage décisif, car un SSK placé au bon endroit dans une embuscade a une bonne chance de surprendre un SSN avec le premier tir. Mais pour être aussi silencieux, un sous-marin conventionnel doit entièrement compter sur ses batteries (et/ou sur la propulsion indépendante de l’air), et c’est justement là que réside le plus grand défi : on peut beaucoup rôder sur batterie, mais dès que l’on doit aller vite, le moteur principal vide en un rien de temps ces batteries.

Cela signifie que le commandant d’un sous-marin conventionnel doit toujours garder un œil sur la situation tactique et un autre sur la capacité de sa batterie. La physique est impitoyable. Pour obtenir plus de vitesse, il faut exponentiellement plus d’énergie. Par exemple, si un sous-marin peut naviguer cent-vingt heures à trois nœuds, cette capacité de batterie sera épuisée en moins de deux heures lors d’un sprint à vingt nœuds. Le commandant d’un SSK doit donc réfléchir deux fois plus à la façon d’aborder une formation ennemie de surface ou un contact sous-marin, car il n’aura souvent qu’une seule bonne occasion de lancer une attaque. Après cela, la batterie est vide. De même, il doit sérieusement se demander s’il va engager un contact sonar lointain dans sa zone d’opération. Car pour cela il faut « renifler » — avec tout le bruit de plusieurs moteurs diesel et la visibilité proche de la surface — ce qui est presque toujours inévitable.

Un commandant d’un bâtiment nucléaire n’a pas tous ces problèmes. Il peut se concentrer uniquement sur la situation tactique, car il dispose littéralement d’une énergie presque illimitée. Fait-on un petit sprint pour obtenir un bon signal sonar ou pour choisir une meilleure position d’attaque ? Seul compte le bruit que l’on produit, pas le fait de devoir naviguer quelques heures supplémentaires à vingt nœuds. Une torpille dans votre sillage après avoir mené une attaque ? Alors, même après des heures de sprints et de manœuvres à trente nœuds, voire plus, vous pouvez tenter d’y échapper. Un contact sonar lointain à l’autre bout de votre zone d’opération ? Encore une fois, seul votre bruit est un obstacle. Et pour couronner le tout, coopérer avec des unités de surface ? Chaque Carrier Battle Group (CVBG) se voit en règle générale assigner un ou plusieurs SSN, qui peuvent le faire grâce à leur vitesse.

Ces avantages tactiques d’un SSN se transforment encore davantage en atouts opérationnels et stratégiques. Un SSK doit planifier son avance avec prudence, car, dès qu’il s’agit d’une certaine distance, cela exige inéluctablement du reniflage. Et si, par exemple, on veut progresser non pas à quatre nœuds mais à une moyenne de neuf nœuds, le reniflage augmente de façon exponentielle. Pendant ce temps, un SSN moderne peut simplement plonger et filer à vingt nœuds vers sa destination. Ou dépasser les trente nœuds si le bruit n’a pas d’importance et que, pour des raisons stratégiques, il faut arriver le plus vite possible à l’autre bout du monde.


Quelques considérations stratégiques

Le plus grand avantage d’un SSK est son prix. Les sous-marins conventionnels sont tout simplement moins coûteux que les sous-marins nucléaires, tant à l’achat qu’à l’exploitation. C’est aussi la raison pour laquelle la marine néerlandaise a dû, deux fois, renoncer à son rêve nucléaire : un effectif sain de six sous-marins conventionnels était encore abordable, mais six bâtiments nucléaires auraient grignoté une trop grande part du budget naval et laissé trop peu de place pour la grande flotte de surface qu’il nous fallait maintenir et armer durant la Guerre froide. Cela amène la question à un niveau stratégique, là où elle doit être traitée. Les Pays-Bas devront dépenser, dans les décennies à venir, considérablement plus pour la défense dans un cadre européen et OTAN que durant les trente dernières années. Le consensus politique à ce sujet semble assuré, vu les évolutions internationales. Reste à décider comment répartir cet argent.

En tant que puissance de taille moyenne nous ne pouvons pas tout faire, et nos choix sont dictés par quelques données stratégiques. Notre position géographique est fixe : nous nous trouvons dans l’arrière-pays, relativement loin d’un front potentiel à l’Est, et bordons la mer du Nord et l’océan Atlantique. De plus, en l’absence du service militaire obligatoire, nous disposons proportionnellement de beaucoup d’argent par rapport aux effectifs disponibles. Il est donc logique d’investir dans des capacités demandeuses en capital et économes en main-d’œuvre. Enfin, il est rentable de concentrer notre reconstruction militaire sur un domaine où l’OTAN présente de grandes lacunes, afin de renforcer l’alliance dans son ensemble et d’accroître l’influence néerlandaise au sein de celle-ci.

Pour prévenir d’emblée la critique inévitable qui peut surgir autour du mot « concentration », je veux préciser dès maintenant que je suis convaincu que, pour des raisons militaires et politiques, les Pays-Bas doivent aussi assumer leur part de responsabilité sur le flanc Est. Nous ne pouvons pas nous passer de brigades fortes et bien équipées ni de forces aériennes avancées avec d’importantes réserves de munitions. Mais tant que nous ne rétablirons pas le service militaire, une formation qui pèserait réellement lourd, comme un corps d’armée, est impensable et nous resterons à l’Est un allié apprécié mais relativement petit.

Dans l’océan Atlantique et sur le flanc nord de l’espace OTAN, nous pouvons toutefois jouer un grand rôle.
La marine américaine recentrera inéluctablement son attention vers l’Indo-Pacifique. Les Britanniques ont connu des jours maritimes meilleurs. La marine française est "à cheval" entre la Méditerranée et l’Atlantique. Les deux pays doivent protéger leurs groupes porte-avions et leurs sous-marins nucléaires stratégiques avec des SSN. Les Allemands concentrent leur Schwerpunkt sur le flanc Est. Les Norvégiens ont les mains pleines dans leurs propres eaux.

Davantage de SSN de l’OTAN au nord seront donc extrêmement bienvenus, car à part quelques bâtiments nucléaires britanniques et américains, la présence dans cette zone stratégiquement très importante devient lentement alarmante. Si Norfolk, en plus de ces bâtiments américains et britanniques majeurs, peut aussi disposer par moments de quelques sous-marins d’attaque nucléaires néerlandais, nous deviendrons soudain membre d’un club très restreint, très exclusif et très intéressant au sein de l’OTAN. La lutte anti-sous-marins ? Les SSN sont littéralement faits pour cela ! Les formations de navires de surface russes ? Des proies ! Coopération avec un groupe aéronaval français, britannique ou américain ? Ils sont tous impatients d’obtenir un appui SSN.

Et si l’on regarde au-delà de notre zone d’opérations nord-atlantique et arctique de l’OTAN, la valeur des SSN néerlandais augmente encore. Les quelque 8 000 kilomètres jusqu’aux Caraïbes se parcourent bien plus vite à une vitesse de transit de trente nœuds qu’à neuf nœuds. Et si l’on veut vraiment se diriger vers la mer de Chine méridionale et y rester un certain temps afin d’exercer son influence, la supériorité d’un SSN devient alors pleinement perceptible.

 

Faisabilité

La grande question n’est donc pas de savoir si les sous-marins d’attaque nucléaires sont une meilleure option stratégique, mais si, aujourd’hui, ils constituent une option réalisable pour les Pays-Bas ? La première partie de la réponse est bien sûr financière. Soyons honnêtes : les SSN coûtent beaucoup plus cher que les SSK à l’achat et en maintenance. La question est cependant de savoir combien plus cher. Car les bâtiments de la classe Orka, tels qu’ils sont actuellement budgétés, deviendront d’excellents — mais donc aussi très coûteux — SSK. Avec 5,6 milliards d’euros pour quatre bâtiments, le programme n’est d’ailleurs pas si éloigné des 11,67 milliards d’euros pour les six bâtiments de la classe nucléaire française Suffren. C’est toujours une somme effarante, mais si, toutes choses égales par ailleurs, un sous-marin conventionnel et un sous-marin nucléaire diffèrent d’environ 30 % en prix, cette différence devient relativement faible par rapport à l’écart de leurs capacités.

Reste alors la grande question : ces SSN peuvent-ils être construits ?
Sur ce point nous avons un peu de chance : avec la classe nucléaire Suffren opérationnelle et en production, Naval Group est le seul producteur européen capable de construire des bâtiments nucléaires
— ce qui enlève aussi une grande partie de la complexité du projet d’appel d’offres. Les Français sont-ils capables et suffisamment flexibles pour, en plus des sous-marins d’attaque et des futurs sous-marins stratégiques nucléaires, faire aussi de la place pour des bâtiments néerlandais ?
Ce ne sont pas des projets que l’on peut simplement monter en puissance du jour au lendemain. Les avantages stratégiques pour la France sont cependant indéniables.
La mise à l’échelle et la maintenance partagée rendent déjà la perspective intéressante pour Paris. Ajoutez à cela les prix plus élevés qu’ils peuvent demander, l’autonomie stratégique européenne et un approfondissement de la coopération opérationnelle maritime entre la France et les Pays-Bas, et l’on peut s’attendre à ce que le tapis rouge soit déroulé.

N’oubliez pas non plus que les Canadiens, contre les attentes françaises, ont écarté Naval Group du choix pour le remplacement de leurs sous-marins. Cela fait de l’Orka une véritable singularité — une situation que nous connaissons avec la classe Walrus. Et si je suis vraiment espiègle, la piqûre que cela infligerait à l’adresse d’AUKUS peut aussi être un argument susceptible de convaincre Paris.

Si cet obstacle peut être surmonté, il restera à savoir si la marine néerlandaise peut, en peu de temps, accumuler suffisamment de connaissances nucléaires pour rendre ce plan possible. Là encore, c’est un défi à ne pas sous-estimer, mais c’est un défi que nous avons déjà affronté lors de plans antérieurs et sur lequel nous avons progressé plus loin qu’on ne le croit souvent. C’est aussi un défi que, peut-être par malchance — ou par bonheur —, notre flotte de surface devra aussi embrasser à l’avenir.
Avec le développement simultané des petits réacteurs modulaires (Small Modular Reactors) et l’énorme augmentation de la demande en électricité pour les radars et les armes à énergie dirigée sur les bâtiments de surface, il se pourrait que la propulsion nucléaire devienne inévitable pour nos futurs défenseurs aériens de surface. Au lieu d’être la “bête noire” qui nécessite des connaissances particulières, nos sous-marins pourraient devenir les précurseurs d’une marine partiellement à propulsion nucléaire.
Et pour couronner le tout, Allseas envisage d’alimenter la Pioneering Spirit par l’énergie nucléaire. La marine ne pourrait alors guère rester à la traîne derrière la marine marchande !

" Naval Group est le seul constructeur au sein de l’Union européenne capable de construire des sous-marins nucléaires — ce qui retire d’emblée toute la complexité du processus d’appel d’offres. "

Ce qui reste finalement à résoudre, c’est la rapidité avec laquelle nous pouvons mettre des sous-marins d’attaque nucléaires néerlandais, équipés et armés, à flot. Comme indiqué au début de ce texte, c’est sans doute la question la plus importante. De plus, le fait que les six navires de la classe Suffren soient opérationnels et en production est en réalité la principale raison pour laquelle l’auteur a commencé à se demander si cela était une option réalisable. Ce qui m’inquiète surtout, c’est que la classe Orka est, en substance, un navire entièrement nouveau.

Ne vous y trompez pas : il ne s’agit pas simplement de remplacer la propulsion nucléaire par quelques diesels — c’est une conception complètement nouvelle. Retards et « maladies infantiles » — comme pour tout système technologique avancé et complexe — sont pratiquement inévitables. Avec une construction de flotte bien planifiée, cela resterait gérable. Qui se souvient encore des problèmes de jeunesse rencontrés par les sous-marins américains de la classe Los Angeles ? Mais après tous les retards accumulés aux Pays-Bas, cela n’est plus une option pour le Service des sous-marins. La marine a besoin de nouveaux sous-marins le plus rapidement possible.

Là, la France devrait faire un geste. Si les Pays-Bas décidaient de revoir le contrat Orka et, au lieu de quatre variantes conventionnelles de la Suffren, d’acheter trois ou quatre bâtiments nucléaires de la classe Suffren/Orka, alors la France pourrait attribuer un ou plusieurs navires du programme de construction actuel aux Pays-Bas afin que le transfert de connaissances et la formation puissent commencer le plus rapidement possible. Disons le cinquième ou le sixième navire, pour ensuite prendre le septième ou le huitième d’une classe Suffren qui serait soudain portée à dix bâtiments. Exactement la même approche que celle envisagée par les Norvégiens et les Britanniques pour les frégates Type 26. Par voie de conséquence, cela pourrait même signifier que nous pourrions avoir un nouveau sous-marin nucléaire néerlandais opérationnel plus tôt qu’un nouveau sous-marin conventionnel néerlandais !
 

" Est-ce une idée audacieuse, dépendante de nombreuses conditions et incertitudes ? Absolument. "


Conclusion

Pour conclure, une réflexion sur la position de l’industrie néerlandaise réunie au sein du cluster de construction navale. On pourrait penser que, dans le cas d’un choix pour des sous-marins nucléaires existants, la participation industrielle néerlandaise (environ un milliard d’euros) s’évaporerait. En effet, la chaîne d’approvisionnement de la classe Suffren est déjà établie, et toute modification rendrait les bâtiments plus coûteux et impliquerait des changements de conception. Pourtant, il existe des opportunités. L’industrie néerlandaise est résiliente et bénéficie d’une solide base de connaissances dans le domaine des frégates — un secteur qui garantit au moins quarante années de travail. Comparée à cela, la participation dans la construction des Orka reste modeste. Et dans le domaine de la maintenance des Suffren, il y a également beaucoup à faire : les Pays-Bas pourraient y acquérir une expertise précieuse et l’industrie nationale y revendiquer un rôle significatif.

Est-ce une idée audacieuse, dépendante de nombreuses conditions et incertitudes ? Absolument. Serait-ce réalisable ? Je ne pense pas que ce soit impossible.
Qu’apporterait cela aux Pays-Bas et à leur marine ? Les premiers bâtiments de ligne néerlandais depuis le cuirassé Zr.Ms. Koning der Nederlanden ! Cela permettrait de renforcer considérablement la position de l’OTAN dans l’Atlantique Nord et l’océan Arctique, d’acquérir une capacité expéditionnaire inégalée, et de devenir membre d’un cercle très exclusif. Cela me paraît en valoir la peine. Mais alors, il faut dès maintenant examiner sérieusement si cette option est réellement envisageable.

Frederik Mertens

Et c'est reparti... :rolleyes: Les anglophones appellent ce phénomène "buyer's remorse".
Je perçois l'émergence d'une faction qui va chercher à nous faire une seconde fois un AUKUS. :laugh:
Manque de pot je pense que cette fois les termes du contrat ont été tellement verrouillés que ça ne se fera pas sans dommages.

Bon et sinon les Barracuda sont en fin de production. Donc il est impossible de relancer la production de nouveaux sous-marins. Les installations ayant commencé à être démantelées.

Déjà.

Ensuite, sur ce passage en particulier:

Là, la France devrait faire un geste.

La France devrait faire un geste à l'encontre d'un client qui ne sait pas ce qu'il veut et qui change d'avis après avoir signé un contrat?

Si les Pays-Bas décidaient de revoir le contrat Orka

...Ce serait alors plutôt aux Pays-Bas de se justifier, et non pas à la France de "faire un geste".

et, au lieu de quatre variantes conventionnelles de la Suffren, d’acheter trois ou quatre bâtiments nucléaires de la classe Suffren/Orka, alors la France pourrait attribuer un ou plusieurs navires du programme de construction actuel aux Pays-Bas afin que le transfert de connaissances et la formation puissent commencer le plus rapidement possible.

LOL. :laugh:
Non seulement cela signifierait un retard immense, mais en plus, au-delà de certaines architectures internes et une forme "Albacore" dérivée du SNA, il n'y aura pas grand chose de commun entre un Blacksword et un Barracuda. Même la pompe-hélice est absente sur le Blacksword pour préserver l'autonomie.

"Transfert de connaissances"? En matière de SNA? Chaudière? Techniques entrant en compte dans la furtivité des SNA?

Et avec ceci? 100 balles et un mars? :laugh:

Tout ça est hors-limite, confidentiel, voire très secret. On touche aux technologies les plus précieuses que possède la France. Que pourrait-on bien transférer que l'on a pas DÉJÀ transféré, et en quoi cela "accélèrerait" donc le programme? Réponses: "assez peu de choses", et "en rien".

Disons le cinquième ou le sixième navire, pour ensuite prendre le septième ou le huitième d’une classe Suffren qui serait soudain portée à dix bâtiments.

Ouais, "disons". :laugh:
Pendant ce temps dans le monde réel, ce que les Pays-Bas pourraient obtenir serait comme avec les Orka la construction de lots d'équipements spécifiques. Mais aller imaginer que la France va refourguer ses bijoux de famille technologiques en échange d'un achat de 4 SNA, qui plus est en REMPLACEMENT d'un contrat déjà dûment SIGNÉ, c'est vraiment mais alors VRAIMENT nous prendre pour des clochards et des Marie-couche-toi-là.

D'ailleurs ça rappelle un peu le comportement des Indiens envers le GIE Rafale entre 2012 et 2020, c'est drôle! :laugh:

Exactement la même approche que celle envisagée par les Norvégiens et les Britanniques pour les frégates Type 26.

...Parce qu'on peut totalement transposer le sujet qui concerne un navire de surface conventionnel, à celui qui concerne un sous-marin nucléaire d'attaque.
Bien sûr... :rolleyes:
Et sinon, non, ça n'a rien à voir avec les marchés "envisagés" (et donc pas CONCLUS, merci) entre les Norvégiens et les Anglais non plus, puisqu'à aucun moment les Anglais ne vont transférer aux Norvégiens la totalité du savoir-faire permettant de concevoir et fabriquer des Type 26. Il faut peut-être pas les prendre pour des ahuris complets non plus (bon, un peu, d'accord, après-tout ils sont Anglais, mais pas totalement)

Par voie de conséquence, cela pourrait même signifier que nous pourrions avoir un nouveau sous-marin nucléaire néerlandais opérationnel plus tôt qu’un nouveau sous-marin conventionnel néerlandais !

Mais bien sûr.

Et dans la foulée les Pays-Bas construiraient l'étoile de la mort et deviendraient maîtres de la galaxie pour y faire du commerce d'épices, de machines à lithographier les processeurs, et de toiles de maîtres.

BREF, pas grand chose ne va dans ce papier, et ce passage c'était vraiment le ponpon.

Et ce papier vient d'un journal de référence?

Misère de misère... :rolleyes:

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il y a 33 minutes, Patrick a dit :

Et c'est reparti... :rolleyes: Les anglophones appellent ce phénomène "buyer's remorse".
Je perçois l'émergence d'une faction qui va chercher à nous faire une seconde fois un AUKUS. :laugh:

Ton délire de persécution est parfois tellement fatigant :rolleyes: ... je repondrais ce soir. 

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Le 14/10/2025 à 13:40, ARPA a dit :

S’ils le veulent vraiment et sont prêts en payer le prix, ce sera possible. 

Techniquement, on leur propose des places dans un ou 2 SNA (voir on les loue, vu leur dispo, on a presque de la marge) puis on fera une série de barracuda NG dont un ou deux pour nous. 

Le souci étant qu'entre temps il faudra aux établissements de Cherbourg sortir les SNLE 3G outil central de la dissuasion ... Et là il n'y aura aucune concession de calendrier

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il y a 27 minutes, Titus K a dit :

Ton délire de persécution est parfois tellement fatigant :rolleyes: ... je repondrais ce soir. 

Qui vivra verra.

En attendant moi c'est le discours transpirant dans ce journal que je trouve fatiguant.

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