CANDIDE Posté(e) le 18 mars Share Posté(e) le 18 mars (modifié) Il y a 14 heures, Patrick a dit : Dis-leur d'arrêter de faire exprès de ne pas comprendre, parce qu'ils ont très bien compris. Pour les Pays-Bas. Donc si ce n'est pas 90% du programme qui reviendra aux Pays-Bas, ce sera forcément beaucoup plus que 10%.... Et ce sans compter sur d'éventuels retours FUTURS si jamais d'autres pays souhaitaient le même sous-marin. Le succès appelant le succès, et un écosystème industriel déjà en place étant en mesure de faire baisser les prix en cas de nouvelles commandes étrangères. Surtout si Naval Group a déjà les mains pleines par ailleurs avec des commandes à ne plus savoir qu'en faire. A priori les Polonais recherche également un Barracuda like : https://www.opex360.com/2023/08/07/le-programme-polonais-de-construction-de-sous-marins-interesse-11-industriels-dont-le-francais-naval-group/ Le programme polonais ORKA (tiens les futurs sous-marins néerlandais, c'est pas la classe ORCA ?) : Selon les détails livrés par l’agence polonaise de l’armement, ces sous-marins devront avoir la capacité de plonger à plus de 200 mètres de profondeur, d’embarquer différents types de missiles [croisière, anti-navire, surface-air], d’accueillir des commandos marine [Dry Dock Shelter] et de mettre en oeuvre des véhicules sous-marins télécommandés ou autonomes. Enfin, leur mode de propulsion devra leur permettre de réaliser des immersions de longue durée et d’avoir une autonomie supérieure à 30 jours. S’ils ont surtout vocation à patrouiller dans les eaux de la Baltique, ces futurs sous-marins devront avoir une capacité océanique. On verra dans un an ou deux ans ou plus... Modifié le 18 mars par CANDIDE 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wielingen1991 Posté(e) le 18 mars Share Posté(e) le 18 mars Il y a 1 heure, clem200 a dit : Plus un beau bordel local https://www.ouest-france.fr/europe/belgique/a-cheval-entre-deux-pays-cette-commune-est-la-seule-au-monde-a-etre-traversee-par-une-frontiere-30872e82-6849-11ee-b825-9b91ae1025bf Pas loin de chez moi, à Goegnies-Chaussée c'est à peu près pareil, d'un coté de la route c'est la France et de l'autre c'est la Belgique ! https://www.rtl.be/actu/gognies-chaussee-il-suffit-de-traverser-la-rue-pour-se-trouver-en-france/2020-05-26/article/310755 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pakal Posté(e) le 18 mars Share Posté(e) le 18 mars (modifié) il y a 15 minutes, CANDIDE a dit : ces sous-marins devront avoir la capacité de plonger à plus de 200 mètres de profondeur, Combien est la profondeur max de la Baltique ? Modifié le 18 mars par Pakal Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. g4lly Posté(e) le 18 mars C’est un message populaire. Share Posté(e) le 18 mars il y a 4 minutes, Pakal a dit : Combien est la profondeur max de la Baltique ? 450m mais c'est vraiment très localisé 1 3 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 18 mars Share Posté(e) le 18 mars il y a 4 minutes, CANDIDE a dit : A priori les Polonais recherche également un Barracuda like : https://www.opex360.com/2023/08/07/le-programme-polonais-de-construction-de-sous-marins-interesse-11-industriels-dont-le-francais-naval-group/ Selon les détails livrés par l’agence polonaise de l’armement, ces sous-marins devront avoir la capacité de plonger à plus de 200 mètres de profondeur, d’embarquer différents types de missiles [croisière, anti-navire, surface-air], d’accueillir des commandos marine [Dry Dock Shelter] et de mettre en oeuvre des véhicules sous-marins télécommandés ou autonomes. Enfin, leur mode de propulsion devra leur permettre de réaliser des immersions de longue durée et d’avoir une autonomie supérieure à 30 jours. S’ils ont surtout vocation à patrouiller dans les eaux de la Baltique, ces futurs sous-marins devront avoir une capacité océanique. On verra dans un an ou deux. Il y a pas 36 solutions. Un soum oceanique, capable de faire du cotier (manoeuvrable) et conventionnel … Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) le 18 mars C’est un message populaire. Share Posté(e) le 18 mars (modifié) https://www.schuttevaer.nl/nieuws/actueel/2024/03/18/franse-naval-is-vereerd-en-kijkt-uit-om-nauw-samen-te-werken-met-nederlandse-partners-voor-onderzeeboten/ Citation Dans un communiqué, Thyssenkrupp a déclaré que cette décision "porte atteinte à la coopération européenne en matière de défense et à la normalisation de la technologie et de l'équipement de défense". Selon Thyssenkrupp, les sous-marins de l'entreprise offrent également des avantages en termes de coûts grâce à la coopération avec l'Allemagne et la Norvège et constitueraient un "remplacement opportun" des sous-marins Walrus. Thyssenkrupp félicite Naval et restera un "partenaire dévoué des Pays-Bas pour les besoins futurs de la marine royale". Modifié le 18 mars par Titus K 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mehari Posté(e) le 18 mars Share Posté(e) le 18 mars 1 hour ago, Clairon said: De plus je crois que quand même l'expérience française en sous-marins "multi-océans" (de l'Atlantique Nord aux Caraïbes en passant par la méditéranée et le Pacifique), a certainement intéressé les Néerlandais, qui cherchent plus qu'un sous-marin des Fjords et de la Baltique ... Ça pose aussi la question de savoir, au niveau macro (i.e. en supposant qu'on puisse concevoir une unification des besoins au niveau européen qui ne soient donc pas limités par les capacités des états-membres individuellement), où est-ce qu'on aurait encore besoin de petits sous-marin comme les Blekinge/U212/Scorpène? La menace sous-marine dans la Baltique s'élève à 1 Kilo, avec 5 SSK en face (dont 1 Kilo en très mauvais état), sans compter les SSK allemands et d'éventuels futurs achats suédois ou polonais. La flotte de surface russe est plus conséquente mais avec un contrôle quasi-total de la Mer Baltique par les forces européennes/OTAN, il est difficile de l'imaginer devenir un problème au delà des premiers jours. Le besoin est un peu plus important en Mer Noire où les Russe disposent de 6-7 unités et l'OTAN d'une seule (un Kilo roumain qui n'est d'ailleurs pas actif). Cependant, la capacité navale de nuisance russe dans cette zone reste limitée au delà de l'expédition de missiles de croisière, tant que la Géorgie ne rejoint pas l'OTAN ou l'UE. L'absence de contrôle certain sur les détroits turcs est un problème qui fait qu'il est impossible de garantir que les forces russes ne sortiront pas de la Mer Noire et qu'il est difficile d'y amener des renforts, contrairement à la Baltique. Dernier point d'intérêt pour ces sous-marines, la Méditerranée, du moins certaines parties de celle-ci (Égée par exemple) où la Turquie est le plus gros problème. Cependant, l'ouverture sur l'Océan fait qu'un mix de types ou entre-deux est peut être plus avantageux. Pour l'Océan large, des trucs plus gros comme les SSK Barracuda ou similaires sont probablement plus appropriés (sans parler des SSN). Pour ceux qui suivent un peu ce genre de chose, est-ce qu'on sait comment les Indiens et Chinois envisagent l'emploi de leurs nombreux types de SSK et SSN? Pour les Indiens en tout cas, la zone proche semble être principalement de l'océan profond. 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 18 mars Share Posté(e) le 18 mars (modifié) Visite d'un classe Walrus néerlandais à l'occasion de l'annonce du choix de Naval Group Modifié le 18 mars par Titus K Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 18 mars Share Posté(e) le 18 mars (modifié) Pour le projet polonais... et la Baltique => Fil Marine Pologne : ce serait MIEUX ! non ? Modifié le 18 mars par Bechar06 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Ponto Combo Posté(e) le 18 mars C’est un message populaire. Share Posté(e) le 18 mars il y a 16 minutes, mehari a dit : La menace sous-marine dans la Baltique s'élève à 1 Kilo C'est pas lourd... 1 5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 18 mars Share Posté(e) le 18 mars (modifié) il y a 6 minutes, Bechar06 a dit : Pour le projet polonais... et la Baltique => Fil Marine Pologne : ce serait MIEUX ! non ? Pas forcement, ca aura un impacte sur la supply chain et donc sur l’industrie hollandaise (beaucoup de peut etre et de si) mais ca reste dans le sujet. Modifié le 18 mars par wagdoox Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem200 Posté(e) le 18 mars Share Posté(e) le 18 mars il y a 31 minutes, mehari a dit : Ça pose aussi la question de savoir, au niveau macro (i.e. en supposant qu'on puisse concevoir une unification des besoins au niveau européen qui ne soient donc pas limités par les capacités des états-membres individuellement), où est-ce qu'on aurait encore besoin de petits sous-marin comme les Blekinge/U212/Scorpène? La notion de petit est flou, surtout que les U212 et Scorpene sont très modulaires, de 55 à 75m de longueur Les U212 Norvégiens par exemple feront 73m Ceux italiens font plutôt 55m, alors qu'ils sont dans une zone bien plus vaste et profonde J'imagine qu'il y a un équilibre entre prix, doctrine, quantité d'équipage .. etc 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zozio32 Posté(e) le 18 mars Share Posté(e) le 18 mars 3 hours ago, clem200 said: Plus un beau bordel local https://www.ouest-france.fr/europe/belgique/a-cheval-entre-deux-pays-cette-commune-est-la-seule-au-monde-a-etre-traversee-par-une-frontiere-30872e82-6849-11ee-b825-9b91ae1025bf pour ceux qui ne veulent pas lire :https://www.arte.tv/fr/videos/101463-002-A/bienvenue-en-geozarbie/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 18 mars Share Posté(e) le 18 mars il y a 37 minutes, mehari a dit : Ça pose aussi la question de savoir, au niveau macro (i.e. en supposant qu'on puisse concevoir une unification des besoins au niveau européen qui ne soient donc pas limités par les capacités des états-membres individuellement), où est-ce qu'on aurait encore besoin de petits sous-marin comme les Blekinge/U212/Scorpène? Ca se discute au vu de la différence de capacité opérationnelle, de prix d'achat et d'entretien et d'équipage. La on parle de 5.5 milliards pour 4 bateaux, pour les 4 U212 NF italiens on serait autour de 2.7 milliards: https://www.navalnews.com/naval-news/2021/07/italian-navys-new-u212-nfs-submarines-to-get-sonar-systems-by-elac-sonar/ Donc ça va quand même du simple au double. Avoir un soum plus gros ça donne de la place pour plus de batteries donc plus d'autonomie, plus d'armes, plus d'emport de FS. Je serai tenté de dire qu'en Med les distances peuvent être grandes donc un gros soum peut être intéressant, mais il faut voir que pour l'Espagne, l'Italie et la Grèce leur priorité c'est le pays en face d'eux (encore qu'il y a les Canaries pour l'espagne), donc se redéployer d'un bout à l'autre ça doit les intéresser modérément. il y a 52 minutes, mehari a dit : La menace sous-marine dans la Baltique s'élève à 1 Kilo, avec 5 SSK en face (dont 1 Kilo en très mauvais état), sans compter les SSK allemands et d'éventuels futurs achats suédois ou polonais. La flotte de surface russe est plus conséquente mais avec un contrôle quasi-total de la Mer Baltique par les forces européennes/OTAN, il est difficile de l'imaginer devenir un problème au delà des premiers jours. Tu chasses pas forcément du SSK avec du SSK. Il vaut mieux une frégate (avec sonar ATBF idéalement mais en petits fonds je me demande à quel point ça marche) pour ça ou de l'aéronavale à terre. Le SSK te permet de frapper de navires, de faire du rens et des actions spéciales, et de la frappe vers la terre pour les polonais. Mais en forçant le trait on pourrait se poser la pertinence de toute la marine en Baltique en fait au delà d'une fonction garde-cotes, l'aéronovale et les armées de l'air peuvent remplacer les batiments de surface en frappe vers la terre, renseignement, ASM et anti surface. Rien que des batteries basées à terre ça ferme déjà énormément de possibilités pour les Russes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mehari Posté(e) le 18 mars Share Posté(e) le 18 mars 36 minutes ago, hadriel said: Mais en forçant le trait on pourrait se poser la pertinence de toute la marine en Baltique en fait au delà d'une fonction garde-cotes, l'aéronovale et les armées de l'air peuvent remplacer les batiments de surface en frappe vers la terre, renseignement, ASM et anti surface. Rien que des batteries basées à terre ça ferme déjà énormément de possibilités pour les Russes. Il faut quelque chose pour pouvoir franchir la Baltique et les navires ont leurs avantages, pour supporter une action amphibie vers les Pays Baltes aux cas où ceux-ci se feraient envahir. Ils sont bien plus défendables/reprenables maintenant que les Finlandais ont fermement abandonné leur position de neutralité mais ce n'est pas pour ça que ça doit être exclu. Après, il est vrai que je ne donne pas cher de la peau de la Flotte Baltique en cas de conflit. 39 minutes ago, hadriel said: Ca se discute au vu de la différence de capacité opérationnelle, de prix d'achat et d'entretien et d'équipage. La on parle de 5.5 milliards pour 4 bateaux, pour les 4 U212 NF italiens on serait autour de 2.7 milliards: https://www.navalnews.com/naval-news/2021/07/italian-navys-new-u212-nfs-submarines-to-get-sonar-systems-by-elac-sonar/ Donc ça va quand même du simple au double. Avoir un soum plus gros ça donne de la place pour plus de batteries donc plus d'autonomie, plus d'armes, plus d'emport de FS. Je serai tenté de dire qu'en Med les distances peuvent être grandes donc un gros soum peut être intéressant, mais il faut voir que pour l'Espagne, l'Italie et la Grèce leur priorité c'est le pays en face d'eux (encore qu'il y a les Canaries pour l'espagne), donc se redéployer d'un bout à l'autre ça doit les intéresser modérément. Je pars du principe que les besoins/moyens ont été partiellement voire complètement unifiés au niveau européen, justement pour éliminer les considérations sur les moyens disponibles dans chaque état-membre. Donc la question est moins de savoir quel est le besoin grec mais plutôt quel est le besoin européen sur le théâtre grec. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 18 mars Share Posté(e) le 18 mars il y a 43 minutes, mehari a dit : Je pars du principe que les besoins/moyens ont été partiellement voire complètement unifiés au niveau européen, justement pour éliminer les considérations sur les moyens disponibles dans chaque état-membre. Donc la question est moins de savoir quel est le besoin grec mais plutôt quel est le besoin européen sur le théâtre grec. Dans une utopie (ou dystopie selon le point de vue) avec une doctrine et une plan d'équipement pensés pour la défense mutuelle, en gardant des flottes nationales, là pour le coup la capacité à redéployer loin est très intéressante. Pouvoir envoyer un SSK portuguais ou espagnol en Grèce ou en mer du nord ça permet de peser là ou il y a besoin. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. HK Posté(e) le 19 mars C’est un message populaire. Share Posté(e) le 19 mars (modifié) Voici la fiche des caractéristiques qui circule… apparemment publiée par Naval Group et partagée aux médias spécialistes mais depuis retiré de circulation. Cela résume les infos partagées par MeretMarine il y a qqs jours. Modifié le 19 mars par HK 5 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 19 mars Share Posté(e) le 19 mars Le diamètre de 8.2m contre 8.8m pour les Suffren est intéressant. A priori il y a une tranche AIP masquée en plus du gros pack de batterie. Pour le reste c'est assez illustratif... La partie torpilles et tube n'est pas réaliste visiblement. On voit par contre un goulotte pour guider une antenne linéaire remorquée. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 19 mars Share Posté(e) le 19 mars J'aime beaucoup Naval Group qui cite Thyssen dans ses présentations 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 19 mars Share Posté(e) le 19 mars (modifié) Y-a t il suffisamment de place à cherbourg pour construire ces 4 sous marins, tout en finissant l'assemblage des ~2 derniers Barracuda, et alors que commence le travail sur le premier SNLE3G ? L'objectif étant d'avoir 2 sous marins en service en 2035 Modifié le 19 mars par Titus K Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 19 mars Share Posté(e) le 19 mars il y a 25 minutes, Titus K a dit : Y-a t il suffisamment de place à cherbourg pour construire ces 4 sous marins, tout en finissant l'assemblage des ~2 derniers Barracuda, et alors que commence le travail sur le premier SNLE3G ? L'objectif étant d'avoir 2 sous marins en service en 2035 Même question. C'est ce qui me fait dire que les Pays-Bas ont eu raison de se positionner maintenant. Parce Naval va avoir besoin de capacitées nouvelles. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 19 mars Share Posté(e) le 19 mars il y a 56 minutes, HK a dit : Voici la fiche des caractéristiques qui circule… apparemment publiée par Naval Group et partagée aux médias spécialistes mais depuis retiré de circulation. Cela résume les infos partagées par MeretMarine il y a qqs jours. Les caractéristiques sont quand meme vraiment proches des S-80 espagnols ... bon probablement en mieux et certainement plus beau 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 19 mars Share Posté(e) le 19 mars (modifié) La lettre D qui explique en partie pourquoi NG a été choisi, je ferais peut être un partie de la trad plus tard https://open.overheid.nl/documenten/bc3a7fe9-e74c-4aaa-811d-9367466608ee/file Modifié le 19 mars par Titus K Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 19 mars Share Posté(e) le 19 mars il y a 9 minutes, Titus K a dit : La lettre D qui explique en partie pourquoi NG a été choisi, je ferais peut être un partie de la trad plus tard https://open.overheid.nl/documenten/bc3a7fe9-e74c-4aaa-811d-9367466608ee/file La vache !!! Ils communiquent à fond histoire de ne pas être contredit ! Bravo Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) le 19 mars C’est un message populaire. Share Posté(e) le 19 mars (modifié) il y a 22 minutes, herciv a dit : La vache !!! Ils communiquent à fond histoire de ne pas être contredit ! Bravo Traduction de certains extraits que j'ai selectionné faite par Mr DeepL corrigée par Mr GPT (je garantis riens pas le temps de relire) La défense a l'intention d'attribuer la commande au chantier naval Naval Group, sur la base de la conception du Blacksword Barracuda. Dans l'ensemble, l'offre de Naval Group présente le meilleur équilibre en termes de meilleur produit au meilleur prix, de gestion des risques et de préservation des intérêts essentiels de la sécurité nationale et de l'autonomie stratégique. Le sous-marin proposé répond au besoin opérationnel et constituera une amélioration majeure par rapport à l'actuelle classe Walrus. Naval Group est en mesure de livrer les bateaux dans les délais impartis et fait appel à un large groupe d'entreprises et d'instituts de recherche néerlandais. Il s'agit d'une combinaison de grandes entreprises, de PME, d'entreprises innovantes de haute technologie et d'instituts de connaissance. L'ICA de Naval Group renforce considérablement la base industrielle et technologique de défense néerlandaise (BITDN) dans le domaine de la conception, du développement et de la construction de composants et de sous-systèmes sous-marins, y compris des systèmes sous-marins critiques et des systèmes pour les navires de surface. Au fil du temps, la conservation sera placée sous la direction de la Direction de la maintenance du matériel (DMI) à Den Helder, la Défense elle-même faisant participer les entreprises et les instituts de connaissances à la conservation. .... Comme expliqué précédemment, le chantier naval retenu doit satisfaire aux exigences principales, se qualifier sur la base du modèle d'attribution, et un accord doit être conclu avec le chantier naval retenu sur l'ICA avant que la Défense ne procède à la signature du contrat de fourniture ("trois feux verts"). Après évaluation, la Défense conclut que les deux premiers signaux sont verts pour Naval Group. Naval Group a soumis une proposition d'ICA équilibrée, polyvalente et réaliste. L'EZK a déterminé que la proposition ICA du chantier naval retenu est satisfaisante et qu'elle peut être convertie en un accord juridiquement contraignant. Une fois l'accord conclu avec Naval Group, les trois conditions du contrat seront remplies. Naval Group, les trois conditions d'attribution seront remplies. ... Par cette lettre D, j'informe votre Assemblée, également au nom du ministre des Affaires économiques et du Climat, du choix du fournisseur et du produit, ainsi que de l'implication des Pays-Bas. Le gouvernement a choisi d'annoncer le résultat de la procédure d'appel d'offres conformément au calendrier annoncé précédemment3 . Pour que les nouveaux bateaux soient livrés à temps, il est important de continuer à prendre des mesures énergiques. La défense a l'intention de procéder à la signature du contrat au cours de l'été, en partie en raison de la période de validité des appels d'offres. Après l'examen de cette lettre par le Parlement, le programme entrera dans la phase suivante (réalisation), avec des jalons pour la livraison des nouveaux sous-marins. Il en découle une impulsion importante pour les hommes et les femmes du Service des sous-marins qui attendent depuis longtemps une décision de remplacement, mais aussi pour le Commandement du matériel et des technologies de l'information (COMMIT) et la Direction de la conservation du matériel à Den Helder. Ils prépareront l'arrivée des nouveaux sous-marins et veilleront à ce que la classe Walrus puisse être déployée jusqu'à son retrait progressif. Cela nécessitera une transformation progressive de l'ensemble du personnel formé et déployable, dans le cadre de la mise en place de la nouvelle capacité. Les connaissances relatives au déploiement et à l'entretien des sous-marins néerlandais doivent être conservées et transférées à une nouvelle génération de personnel, dont certains doivent encore être recrutés. ... Le besoin opérationnel repose sur les quatre fonctionnalités militaires de la variante de sous-marin choisie dans la phase B7 : 1. L'influence stratégique - la capacité d'influencer délibérément le comportement des adversaires avec des déploiements militaires relativement limités. La menace que représente un système d'arme indétectable ou difficilement détectable peut obliger l'adversaire à prendre des précautions draconiennes et à adapter sa stratégie et son mode d'opération ; 2. Une puissance de frappe maritime importante et précise - la capacité d'utiliser de manière inattendue une grande puissance de frappe dans des zones où il n'y a pas (encore) de supériorité militaire. Il peut s'agir d'une puissance de frappe à la fois défensive et offensive lors d'interventions en mer et à partir de la mer. La différenciation de l'armement est importante à cet égard ; 3. Collecte, analyse et partage de renseignements à l'échelle mondiale - la capacité d'observer secrètement, pendant des semaines, dans une zone donnée, les activités d'adversaires (potentiels) et de les analyser en temps réel. Les renseignements recueillis augmentent la capacité à évaluer les intentions et le comportement réel des adversaires (potentiels) et peuvent déterminer le ciblage des opérations militaires. Cela renforce également la position internationale des Pays-Bas en matière de renseignement, basée sur le principe du quid pro quo ; 4. Opérations spéciales - capacité à permettre le déploiement clandestin de forces spéciales à proximité et sur le territoire d'un adversaire ou d'un adversaire potentiel afin de recueillir des renseignements, d'éliminer des cibles ou des infrastructures stratégiques ou de préparer des opérations de suivi. Ces opérations peuvent comprendre la préparation d'une opération amphibie, une attaque ciblée, la libération d'otages ou l'évacuation de ressortissants néerlandais dans des circonstances menaçantes. ... L'évaluation de l'appel d'offres a abouti à un classement distinctif avec un gagnant clair, Naval Group. L'offre de Naval Group répond aux exigences de validité et comprend une conception solide qui répond (amplement) au CONOPS. Le sous-marin proposé constitue une amélioration majeure par rapport à l'actuelle classe Walrus. Les bateaux ont une puissance de frappe et une endurance accrues, ainsi que des capacités améliorées de collecte de renseignements et de construction d'images. Les capacités d'opérations des forces spéciales ont également été considérablement améliorées. Les bateaux peuvent être déployés dans le monde entier et sont autonomes pendant de longues périodes. En plus de cette nature expéditionnaire, comme l'actuelle classe Walrus, ils peuvent également opérer dans des eaux relativement peu profondes. Globalement, l'offre de Naval Group présente le meilleur équilibre en termes de meilleur produit au meilleur prix, de gestion des risques et de préservation des intérêts essentiels de sécurité nationale et d'autonomie stratégique. Cette offre est compatible avec le budget de coût de la durée de vie fixé pour l'appel d'offres. La Défense est convaincue, sur la base de la qualité des informations fournies, que ce chantier naval peut fournir ce qui a été proposé. ... La stratégie de passation de marchés repose sur un appel d'offres lancé auprès de trois chantiers navals étrangers dont la chaîne d'approvisionnement est composée essentiellement d'entreprises européennes. En partie grâce à la procédure ICA, des entreprises néerlandaises ont réussi à rejoindre la chaîne d'approvisionnement du chantier naval retenu, tant en ce qui concerne les systèmes critiques du sous-marin que les futurs navires de surface qui seront construits par le chantier naval retenu. Cela renforcera la position de la NLDTIB, notamment dans la perspective de futures commandes potentielles de la variante de sous-marin par les Pays-Bas. L'investissement dans les nouveaux sous-marins contribue également à renforcer la base industrielle et technologique de l'Europe et son autonomie. Le nouveau sous-marin intégrera des systèmes et des composants également utilisés dans les sous-marins de la France et d'autres alliés et partenaires. Cela permettra de perpétuer l'interopérabilité afin d'assurer un déploiement conjoint optimal dans des contextes alliés. ... Comme indiqué dans les lettres précédentes, avant ou en même temps que la signature du contrat de fourniture, la défense conclura un protocole d'accord-cadre avec le pays du chantier naval retenu. Les préparatifs à cet effet ont été en grande partie achevés au cours de la phase de préparation de la passation de marché. Le protocole d'accord confirme que le gouvernement national du chantier naval retenu s'engage également à respecter les conditions d'utilisation et de maintenance indépendantes de la capacité sous-marine de remplacement par les Pays-Bas pendant toute sa durée de vie. Le projet de protocole d'accord comprend donc des accords sur les sujets suivants : droits d'utilisation, sécurité de l'information, gestion des risques, coopération entre le chantier naval et l'industrie et les instituts de recherche néerlandais, questions liées à l'exportation, partage et/ou mise en service de connaissances et de ressources par le pays, coopération internationale axée sur le déploiement des sous-marins, assurance qualité et qualité des contrôles et de l'audit. La défense coopère déjà depuis longtemps dans le domaine des sous-marins avec de nombreux pays différents dans de nombreux sous-domaines. La défense souhaite poursuivre cette coopération après l'introduction des nouveaux sous-marins et, si possible, l'étendre au pays fournisseur. La coopération matérielle prévue avec la France sera de nature stratégique. Cette coopération peut servir de tremplin à une coopération opérationnelle dans le domaine des sous-marins. L'attribution de la commande de sous-marins peut donner un élan à la coopération future (en matière d'équipement) dans d'autres domaines de capacité et permettre d'approfondir la coopération (en matière de sécurité) avec la France. ... Les réglementations en matière d'environnement, de sécurité et de matières dangereuses sont incluses dans le programme d'exigences. Les sous-marins néerlandais sont dotés d'une propulsion hybride (diesel-électrique). La conception de Naval Group exploite les derniers développements en matière de technologie des batteries. Le nouveau sous-marin sera équipé d'une batterie lithium-ion et de quatre générateurs diesel. Grâce à la haute densité énergétique de la technologie lithium-ion combinée à la puissance des générateurs diesel, le rapport entre le temps de recharge et le temps de décharge de la batterie est considérablement amélioré par rapport à la classe Walrus. Pendant de longues périodes, les opérations peuvent être menées sans qu'il soit nécessaire de compléter les générateurs diesel, ce qui réduit considérablement la probabilité d'une contre-détection. La conception du navire permet d'installer des batteries supplémentaires au cours de son cycle de vie. ... Le budget des coûts pour la durée de vie (budget LCC) est basé sur les besoins opérationnels de quatre sous-marins et est un budget de définition des tâches. Il s'agit du budget d'investissement et d'exploitation des nouveaux sous-marins pour une durée de vie de 30 ans, déterminé sur la base des estimations actuelles. Les investissements dans des projets connexes associés au programme VOZBT font également partie de ce budget LCC, comme les munitions de capital et la modernisation prévue de la capacité de remplacement. Le budget total est resté inchangé depuis le deuxième rapport d'avancement, en plus des indexations. Il n'y a donc pas eu de déplacement d'autres projets de matériel au sein du Fonds budgétaire pour le matériel de défense (DMF) en raison de ce programme. Une partie du budget total est le budget d'investissement du programme de remplacement de la capacité des sous-marins jusqu'en 2039 inclus, tel qu'il est inclus dans le DMF. Ce budget s'élève à 5 650 millions d'euros, y compris le delta pour l'exploitation et la réserve de risque. ... Planification Avec l'adoption de la décision d'attribution provisoire, une étape importante a été franchie et le calendrier est mis à jour. Sur la base du calendrier de livraison du fournisseur, les étapes de la transition peuvent être précisées. Le calendrier de production du chantier naval retenu fera l'objet d'un contrat. Il est important de noter que le moment de la signature du contrat est le point de départ de la mise à jour du planning. Ce moment est prévu pour la mi-2024, après l'examen de cette lettre par le Parlement. Sur la base de cette planification et de l'analyse des risques propre au chantier, il est probable que l'objectif de deux nouveaux sous-marins déployables d'ici le milieu des années 2030 sera atteint. L'annexe A contient une explication plus détaillée du calendrier et des nouvelles étapes. La transition est basée sur le fait que les deux premiers nouveaux sous-marins seront entièrement déployables sur le plan opérationnel et pourront reprendre les tâches de la classe Walrus. À partir de ce moment, les deux derniers sous-marins opérationnels de la classe Walrus pourront être mis hors service, ce que l'on appelle la "transition 2 à 2". Il s'agit d'une transition progressive, les troisième et quatrième sous-marins devant suivre rapidement afin de garantir la capacité de déploiement à long terme de la capacité sous-marine. Le deuxième rapport d'avancement indique que la date à laquelle les deux premiers nouveaux sous-marins seront pleinement opérationnels devrait se situer dans la fourchette 2034-2037. Pour l'appel d'offres, le délai-cadre a été davantage ciblé afin d'atténuer le risque d'indisponibilité temporaire des sous-marins au cours de cette période. Au plus tard 10 ans après la signature du contrat de fourniture, les essais en mer du deuxième bateau doivent être achevés. Modifié le 19 mars par Titus K 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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