Wallaby Posté(e) jeudi à 12:12 Share Posté(e) jeudi à 12:12 https://jamestown.org/program/central-asian-countries-sending-migrant-workers-to-asia-over-russia/ (21 novembre 2024) Face à l'hostilité croissante de la Russie à l'égard des immigrants d'Asie centrale, les pays d'Asie centrale encouragent plutôt leurs ressortissants à se rendre dans d'autres pays asiatiques afin d'assurer les paiements de transfert et d'éviter les explosions domestiques. Ces mesures ont un impact négatif sur l'économie russe et obligent Moscou à rechercher des travailleurs migrants dans d'autres pays, tels que l'Inde et le Zimbabwe, qui sont beaucoup moins adaptés à la Russie sur le plan culturel et linguistique que les travailleurs d'Asie centrale. Ces nouveaux travailleurs migrants réduisent également de manière significative l'influence de la langue russe dans leurs régions respectives et celle de Moscou sur les politiques du gouvernement local. Le Kremlin a tenté de dissimuler l'ampleur de cet exode en mettant fin à la publication des données du ministère de l'intérieur sur les départs et en ne publiant que les données sur les arrivées. Il y a plusieurs années, sous la rubrique de la promotion d'une politique étrangère équilibrée, Tachkent a cherché à promouvoir l'immigration vers des pays autres que la Russie, notamment la Corée du Sud, où 100 000 de ses citoyens travaillent aujourd'hui, devenant ainsi la plus grande communauté de la diaspora dans ce pays. Douchanbé a signé un accord avec Séoul. Cet accord permet aux Tadjiks de se rendre en Corée du Sud pour apprendre le coréen et travailler dans les usines coréennes à partir de janvier 2025. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) jeudi à 13:34 Share Posté(e) jeudi à 13:34 Il y a 14 heures, Benoitleg a dit : Crise des avions Airbus A320neo en Russie, une flotte clouée au sol : 34 appareils sur 66 appareils immobilisés Sylvain Duchampt, 22/11/2024 La moitié de la flotte d'Airbus A320/A321neo en Russie est actuellement immobilisée pour des raisons techniques, révélant une crise majeure dans l'aviation civile russe. Selon une enquête du journal Kommersant, 34 des 66 appareils de cette famille sont désormais inactifs, principalement en raison de problèmes liés à leurs moteurs et au manque de pièces de rechange. https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/crise-des-avions-airbus-a320neo-en-russie-une-flotte-clouee-au-sol-34-appareils-sur-66-appareils-immobilises-3064411.html Ah les chinois n'ont pas de contrefaçons de contrebande à leur vendre ce coup-ci? Rooooh, quel dommage. Ça avait pourtant si bien marché avec l'usine Citroën... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) samedi à 00:36 Share Posté(e) samedi à 00:36 Presse People, la fille cachée de Poutine serait à Paris et fait la DJ https://www.sudinfo.be/id921522/article/2024-11-29/21-ans-une-fausse-identite-vivant-paris-voici-ce-que-lon-sait-de-la-fille-cachee 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) samedi à 11:08 Share Posté(e) samedi à 11:08 Le 28/11/2024 à 00:22, Benoitleg a dit : Crise des avions Airbus A320neo en Russie, une flotte clouée au sol : 34 appareils sur 66 appareils immobilisés Sylvain Duchampt, 22/11/2024 La moitié de la flotte d'Airbus A320/A321neo en Russie est actuellement immobilisée pour des raisons techniques, révélant une crise majeure dans l'aviation civile russe. Selon une enquête du journal Kommersant, 34 des 66 appareils de cette famille sont désormais inactifs, principalement en raison de problèmes liés à leurs moteurs et au manque de pièces de rechange. https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/crise-des-avions-airbus-a320neo-en-russie-une-flotte-clouee-au-sol-34-appareils-sur-66-appareils-immobilises-3064411.html Si c'est pas malheureux, ça... Les pièces détachées sur les centaines avions saisis volés par la Russie en 2022 ne suffisent-elles pas ? 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) lundi à 17:41 Share Posté(e) lundi à 17:41 Point ISW du 01/12 : "Russian President Vladimir Putin signed a decree approving the 2025 federal budget and the 2026–2027 draft federal budget on December 1. The 2025 budget allocates about 41 percent of Russia's annual expenditures to national security and defense. ISW continues to assess that the increased Russian defense spending, while dangerous, does not necessarily equate to a one-to-one increase in Russian military capabilities, especially given that significant funding is going towards paying benefits to Russian soldiers, veterans, and their families. Russia's continued focus on defense spending is likely also affecting the effectiveness and sustainability of Russian social programs, which may affect the Kremlin's ability to sustain its war in Ukraine, given mounting pressures on the Russian economy and Putin’s observed tendency to avoid risking his regime's stability." 41% du budget à la défense, ça me parait vraiment gigantesque...bon ça montre qu'ils font pas semblant, ça invalide un peu la thèse que la Russie est dans la retenue je trouve. J'avoue que comme ISW, je me pose un peu la question de l'impact sur l'après. Il faudra toujours payer les pensions... 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) lundi à 17:47 Share Posté(e) lundi à 17:47 il y a 4 minutes, Polybe a dit : Point ISW du 01/12 : "Russian President Vladimir Putin signed a decree approving the 2025 federal budget and the 2026–2027 draft federal budget on December 1. The 2025 budget allocates about 41 percent of Russia's annual expenditures to national security and defense. ISW continues to assess that the increased Russian defense spending, while dangerous, does not necessarily equate to a one-to-one increase in Russian military capabilities, especially given that significant funding is going towards paying benefits to Russian soldiers, veterans, and their families. Russia's continued focus on defense spending is likely also affecting the effectiveness and sustainability of Russian social programs, which may affect the Kremlin's ability to sustain its war in Ukraine, given mounting pressures on the Russian economy and Putin’s observed tendency to avoid risking his regime's stability." 41% du budget à la défense, ça me parait vraiment gigantesque...bon ça montre qu'ils font pas semblant, ça invalide un peu la thèse que la Russie est dans la retenue je trouve. J'avoue que comme ISW, je me pose un peu la question de l'impact sur l'après. Il faudra toujours payer les pensions... L'espérance de vie moyenne des vétérans en URSS n'a jamais été très élevée. Le montant des pensions non plus. Ça devrait aller. C'est tout le reste qui sera coûteux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) lundi à 18:50 Share Posté(e) lundi à 18:50 il y a une heure, Ciders a dit : L'espérance de vie moyenne des vétérans en URSS n'a jamais été très élevée. Le montant des pensions non plus. Ça devrait aller. C'est tout le reste qui sera coûteux. On est toujours dans les mêmes moyennes ? J'ai un doute quand même. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) lundi à 19:00 Share Posté(e) lundi à 19:00 il y a 5 minutes, Polybe a dit : On est toujours dans les mêmes moyennes ? J'ai un doute quand même. Ça a progressé. Mais pas beaucoup : https://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMTendanceStatPays?codePays=RUS&codeStat=SP.DYN.LE00.IN&codeTheme=3 Pour les vétérans, il va falloir absorber des dizaines, peut-être des centaines de milliers d'infirmes, de polytraumatisés et surtout de PTSD potentiels. Même un système bien doté et humain (deux choses dont manquent le système médical russe, plus encore celui des forces armées) aurait énormément de mal à tout gérer. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
gustave Posté(e) lundi à 19:10 Share Posté(e) lundi à 19:10 il y a 9 minutes, Ciders a dit : Ça a progressé. Mais pas beaucoup : https://perspective.usherbrooke.ca/bilan/servlet/BMTendanceStatPays?codePays=RUS&codeStat=SP.DYN.LE00.IN&codeTheme=3 Pour les vétérans, il va falloir absorber des dizaines, peut-être des centaines de milliers d'infirmes, de polytraumatisés et surtout de PTSD potentiels. Même un système bien doté et humain (deux choses dont manquent le système médical russe, plus encore celui des forces armées) aurait énormément de mal à tout gérer. Clairement ce sera un désastre qui pèsera longtemps et lourdement sur la Russie et l'Ukraine. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) lundi à 21:37 Share Posté(e) lundi à 21:37 Il y a 3 heures, Polybe a dit : Russia's continued focus on defense spending is likely also affecting the effectiveness and sustainability of Russian social programs, which may affect the Kremlin's ability to sustain its war in Ukraine, given mounting pressures on the Russian economy and Putin’s observed tendency to avoid risking his regime's stability." C'est peut-être aussi pour cela que Tonton Vlad n'enverra pas forcément paître l'émissaire d'Uncle Donald comme le suggère son magnat orthodoxe un peu extrémiste : Contrairement à l'image qu'il veut donner de l'opération spéciale, celle-ci phagocyte les ressources de la Russie et déséquilibre des pans entiers de la société et de l'économie. Pas sûr que ce petit jeu puisse être poursuivi longtemps. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoitleg Posté(e) lundi à 22:10 Share Posté(e) lundi à 22:10 (modifié) Marlène Laruelle, Le néo-eurasisme russe. L’empire après l’empire ? Cahiers du monde russe, 42/1 | 2001, Varia, p. 71-94 Au sein des différents mouvements néo-eurasistes qui ont émergé dans les années 1990, celui d’A. S. Panarin (Académie des sciences de Moscou) se distingue par son haut degré de théorisation. Son discours se veut tout d’abord politique : le monde de l’après-bipolarité est un monde « post-moderne », marqué par de nouvelles valeurs (le sens de la collectivité, le retour de la religion et de l’ascétisme, un fort sentiment écologique, etc.) et à la tête duquel se trouverait la Russie post-totalitaire. Panarin définit alors pour elle, comme pour son « étranger proche », une géopolitique anti-occidentaliste fondée sur des postulats culturalistes empruntés à Samuel Huntington. Panarin cherche surtout à réhabiliter, philosophiquement et politiquement, la notion d’empire. Il espère ainsi effacer les ruptures idéologiques et dessiner les lignes de continuité entre tsarisme, Union Soviétique et période contemporaine. L’empire, entité anhistorique, serait alors la construction étatique « naturelle » de l’espace eurasien, seul moyen de garantir la préservation des cultures nationales tout en restant l’expression de l’identité russe. Le néo-eurasisme de Panarin propose ainsi au pays une nouvelle idéologie identitaire censée éviter toute division nationaliste en définissant une Russie tant russo-orthodoxe que turco-musulmane. …. https://journals.openedition.org/monderusse/8437#tocto1n1 Juliette Faure, Définir le conservatisme russe. Un enjeu d’historiographie et de méthode pour l’histoire des idées politiques Cahiers du monde russe, 61/3-4 | 2020 Écritures visuelles, sonores et textuelles de la justice p. 573-584 L’ouvrage de Paul Robinson, Russian Conservatism (2019), s’inscrit dans un champ de recherche qui n’a cessé de susciter l’intérêt des chercheurs depuis la fin de l’Union soviétique, à mesure que l’étude de l’idéologie soviétique cédait la place à une redécouverte de la pensée russe prérévolutionnaire1. L’approche de P. Robinson marque un tournant significatif par rapport à l’ouvrage publié en 2005 par l’historien américain Richard Pipes, Russian Conservatism and its Critics. Une lecture croisée de ces deux livres nous permet de rendre compte de l’évolution de la définition du conservatisme russe dans la littérature anglophone. Par ailleurs, le livre de P. Robinson appelle la comparaison avec l’ouvrage paru quelques mois plus tard, Contemporary Russian Conservatism. Problems, Paradoxes, and -Perspectives, dirigé par Mikhail Suslov et Dmitry Uzlaner. Ce volume collectif d’auteurs russes et occidentaux se démarque par son intérêt exclusivement porté sur la Russie contemporaine et son analyse des différentes facettes du conservatisme sous un angle pluridisciplinaire. …. https://journals.openedition.org/monderusse/12283 Michel NIQUEUX, Le conservatisme russe d’aujourd’hui. Essai de généalogie, Thomas da Silva Cahiers du monde russe, 64/3-4 | 2023 Varia. Comptes rendus. Histoire et idéologie Cinq ans après avoir publié une anthologie très remarquée sur L’Occident vu de Russie, Michel Niqueux propose dans cet ouvrage une non moins importante anthologie du conservatisme russe à travers ses principaux auteurs et acteurs. L’auteur insiste sur le fait que l’étude historique du conservatisme en Russie est nécessaire à la compréhension du régime actuel en Russie et de ses relations avec l’Occident et, afin d’éclairer le conservatisme russe d’aujourd’hui, il présente une étude historique et chronologique des courants de pensées, de Pierre le Grand à la Russie contemporaine via le long dix-neuvième siècle et les profonds bouleversements du vingtième siècle. …. https://journals.openedition.org/monderusse/14444 Modifié lundi à 22:10 par Benoitleg 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ksimodo Posté(e) lundi à 23:16 Share Posté(e) lundi à 23:16 il y a 20 minutes, BPCs a dit : Contrairement à l'image qu'il veut donner de l'opération spéciale, celle-ci phagocyte les ressources de la Russie et déséquilibre des pans entiers de la société et de l'économie. Il y a plein de façon d'envisager l'économie "interne" d'un pays, et je me garderai bien d'avoir un avis tranché sur la situation. Si un état est "relativement" coupé du monde ET aussi "relativement" autonome sur un paquet de ressources de bases ( alimentaire, minerai, pétrochimie, fonderies, etc...) nous avons la Russie, qui est un cas assez paroxystique. Les dépenses externes sont limitées, puisqu'une machine à laver coréenne ( du sud quand même ) fournira l'ensemble électronique suffisant pour un ICBM ( pardon, je ne résiste pas ). Donc tu peux avoir une redistribution interne des richesses élevées ( plus qu'avant ), une inflat', mais au final une richesse réelle interne redistribuée qui n'en pâtit pas trop. De manière amusante ( mais pas infondée non plus ) c'est le schéma Trump chez lui pour le futur, et ça se défend aussi d'une certaine manière, qu'on le veuille ou non ( qui ne fonction QUE quand on a les ressources mais il en a plus que nous...) Dans le cas de figure d'un état comme la France ( mais aussi les US actuels il faut le dire ) la donne est différente. Les balances commerciales donnent des idées complètement foireuses de la situation. Quand on importe une valeur 1 depuis la Chine, c'est à la fin facturé 10 au consommateur ( ou bcp plus ). Rien que le TVA est double de la valeur import, le ruissellement est ENORME sur les économies. On passe de 1 à 10 par un delta de 9 avec cette valeur de 9 qui paye des salaires nets, la part brute, la part patronale, les TVA et autres. Depuis 2 ans, le PIb ukrainien est en croissance, et per capita réellement encore présent il a fait un bon spectaculaire ( sans doute +50% ou plus 80 % ). juste par le fait du pognon qui tome du ciel ( nous l'UE ) et le ruissellement. Dans un milieu semi fermé ( ce qui entre entre, ce qui est dedans sort trés peu ). Le "calcul" russe n'est peut être pas si pourri. Peut être pas pire que Bercy, qui compte ( comme les états "modernes", hum ) un endettement sur le PIB dont il ne capte qu'une partie. L'état français consomme 150 % de son revenu en recette, le calcul sur PIB est un artéfact de magicien. L'endettement Ru est à 15% de son PIB, il a de la marge en court terme ! Je vais le formuler autrement, en comparatif France. PIB Russie 2 000 Mds contre France 3000 Mds ( en PPA l'écart serait moindre, mieux vaut ne pas regarder la part de l'immo dans le PIB français sinon on se fait seppuku assez vite - pour les lames japonaises de qualité je suis équipé je suis équipé, je peux vous assister mais le seppuku c'est pour vous j'ai l'abdomen sensible ). Pour 2025 la Russie prévoit d'engager 400 Mds € en dépense totale. Nous étions en 2023 à 40% de plus avec 50 % de PIB de plus c'est très comparable.........sauf qu'en France un quart du budget est destiné à rembourser des emprunt, surtout contractés à des taux bas ou négatifs ais l'époque est révolue..........). Il y aurait donc en 2024 un montant de 130 Mds € en Russie, pour le global équivalent Min def + Min intérieur chez nous. Dont 100 min def et 30 min int chez nous. Nous erions vers 24 Mds chez nous, avec plus de PIB il est vrai. Nous sommes à 60 mds en min def, donc contre ce qui serait 100 chez eux, mais ils n'ont sans doute pas 300 Mds + en dépense retraite annuelle ( je ne cautionne rien ni ne défend rien ). Sans considérations de PPA ( faudrait comparer les salaires d'un mécano ou d'un cuistot de base de l'US army avec un ruskof ), les US auraient un PIB de 25 000 Mds €, dont 700 Mds en min def ( 3.5 % ). En PPA avec les salaires américains, le pourcentage ne pourra pas faire autre chose qu'un effondrement massif, mais passons. La Russie serait en passe de mettre 100 Mds sur 400 de budget sur la def ( hors intérieur ), ça fait 25 % et c'est beaucoup ( même énorme ), ce n'est déjà plus 40% à l'arrondi trés supérieur pour satisfaire les chiffres superlatifs d'une foule en liesse. Dans le même temps, L'Ukraine engage 60 % de son budget étatique sur le min def pour 2025 sans que pas grand monde trouve à redire, ce qui serait aussi presque un tiers du PIB de l'état en prévisionnel. Ca peut marcher si les emprunts seront jamais remboursés, c'est pas grave, ce sont les membres du forum qui casquent. Mais sérieusement imaginez un instant. L'état Ukrainien prévoit 50 Mds € de de budget Min def en 2025, pour un PIB entre 150 et 180. Demain si on était en guerre, la France mettrait sur la table un tiers du PIB soit 1000 milliards. Ou la russie mettrait 700 Mds et ( et pas la pacotille de 100 Mds ). 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Polybe Posté(e) il y a 14 heures Share Posté(e) il y a 14 heures Point ISW du 02/12 : Je note que ces points font de plus en plus références à la situation interne en Russie, et pas aux fronts en Ukraine. J'en déduis que les faucons US guettent eux-aussi les augures pour d'éventuelles négociations. "Prominent voices within the Russian information space continue to emphasize that Russian President Vladimir Putin is uninterested in a negotiated settlement to the war in Ukraine that results in anything less than total Ukrainian capitulation. Kremlin-affiliated Russian oligarch and Orthodox nationalist and founder of the ultranationalist Tsargrad outlet Konstantin Malofeev told the Financial Times (FT) in an interview published on December 2 that Putin will likely reject any plan for peace negotiations that US President-elect Donald Trump puts forth unless the plan accounts for Russia's "security concerns." Malofeev claimed that the Kremlin will only consider peace negotiations with the Trump administration if Trump reverses the US policy allowing Ukraine to use Western-provided long-range weapons to strike into Russia; "removes" Ukrainian President Volodymyr Zelensky from office; and agrees to meet with Putin to discuss the situation in Ukraine, the future European security, the conflict in the Middle East, and Russia's growing alliance with the People's Republic of China (PRC). Putin may intend to use such a meeting to extract future US policy concessions on these issues from Trump. Malofeev also claimed that the war in Ukraine has helped strengthen Russia's relationships with the PRC, Iran, and North Korea and has revitalized Russia’s economy and defense industry. However, ISW continues to observe macroeconomic indications that Russia's economy is struggling to bear the weight of inflation, ongoing international sanctions, and labor shortages and will face significant challenges in 2025 assuming Russia’s war in Ukraine continues at the current tempo. Putin and other senior Russian officials have recently issued similar statements. Malofeev's interview further indicates that the Kremlin is not interested in good faith negotiations, no matter who mediates such talks. Malofeev does not currently hold an official position within the Russian government, but his rhetoric is important given his relationships with high-level Kremlin officials and the influence of Tsargrad among Russian ultranationalists. Malofeev has previously used Tsargrad to promote Kremlin narratives justifying Russia's invasion and occupation of Ukraine and continues to be an outspoken supporter of Putin. Zelensky recently acknowledged that Ukraine must find diplomatic solutions to end the war and secure the return of some parts of occupied Ukraine (including Crimea) in the future, but Malofeev's comments indicate that Putin remains averse to good faith negotiations and is committed to destroying the Ukrainian state through military means." Les signaux et les éléments de réflexions se multiplient côté russe. Il est interessant d'y voir apparaitre les frappes à longues portées. Outre le côté symbolique, la population russe attaqué dans son sanctuaire, ça pourrait aussi traduire une gène plus élevé que les russes ne veulent bien l'admettre. Là encore, il est interessant de voir que les russes ont une approche globalisé de la situation mondiale, comme les US. Cela tend à me laisser penser qu'effectivement, cette situation arrange bien les russes. Le fait que le conflit bénéficie à l'économie russe est d'une certaine manière vraie, en tout cas pour la population. Je trouve intelligent de le souligner. "The Kremlin continues efforts to minimize the war’s social impacts on the Russian populace while tacitly resetting the goalposts for what the Kremlin initially defined as victory in Ukraine. Russian business outlet Kommersant, citing internal sources, reported on December 1 that Russian officials, including those from the Presidential Administration, have set the following goals for the leading United Russia party for the 2026 legislative elections: achieving 55 percent of voter turnout and obtaining 55 of the total votes; surpassing United Russia's 2021 election figures; and emphasizing the need for positive framing of a possible conclusion to the war in Ukraine. Kommersant also noted that the Presidential Administration is trying to frame "the future results" of the war as a "victory" in a way that is palatable to both pro-war ultranationalists and less ideologically-concerned Russian "liberals," by focusing the framing of the war's outcome in a way that's acceptable to Russia's "silent majority." The Kremlin is seeking to frame any outcome of the war as a victory for the whole Russian populace. The Kremlin will likely focus on spinning rhetorical and abstract achievements that are difficult to concretize, like the "denazification" and "demilitarization" of Ukraine alongside the retention of annexed Ukrainian territories while deemphasizing negative sentiments concerning the return of traumatized and injured war veterans, regardless of how the war plays out for Russian forces on the battlefield. Kommersant also noted that the Russian Presidential Administration is concerned with the rehabilitation and reintegration of traumatized Russian veterans into Russian society, indicating that Russian authorities are aware of the potential domestic ramifications the return of a large number of discontented veterans could have on Russian society. Russia’s unemployment rate is currently very low, and many Russian war veterans may find themselves underemployed if they return to civilian life. The Kremlin's relatively broad and ill-defined domestic informational efforts suggest that the Kremlin is still unsure of how the war will end and is therefore trying to set pre-emptive societal conditions to deal with the long-term effects of the war, including finding a way to sell Russia’s strategic and operational battlefield failures as victories. Russia has not achieved its self-defined objectives of “denazifying” or “demilitarizing” Ukraine or seizing all Donetsk, Luhansk, Zaporizhia, and Kherson oblasts." Là aussi j'y vois des signes que l'on prépare la suite. Entre autre en définissant une victoire, incontestable et en accordance avec un plan qui a toujours été. Un mensonge, mais c'est pas grave, y a le temps de le préparer ce mensonge. Je pense effectivement que les russes pourront avoir la fierté d'avoir imposer leur rythme géostratégique et avoir remis en cause l'hégémonie US. C'est fragile, artificiel et très temporaire, mais bon...l'important est que ça soit crédible sur le moment. Nous en parlions, mais les vétérans sont déjà un sujet public. J'avoue que je n'avais pas pensé au chomage. Paye la situation des immigrés une fois les vétérans revenus... Les efforts russes, certes couteux, mais qui produisent face à une Ukraine qui elle s'effondre peuvent effectivement aussi avoir pour but de cocher les cases des buts de guerre initiaux tels que formulés par VP. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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