collectionneur Posté(e) le 5 mai 2019 Share Posté(e) le 5 mai 2019 (modifié) @zx Voici le rapport officiel de janvier 2019 sur les diverses réserves d'or du gouvernement fédéral américain : https://fiscal.treasury.gov/reports-statements/gold-report/current.html 261,498,926.241 onces pour une valeur de 11,041,059,957.90 de dollars. En effet, 7413 tonnes juste 8 milliards d'euros en or. C'est peu... Modifié le 5 mai 2019 par collectionneur Rectification grosse erreur de chiffres 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 5 mai 2019 Share Posté(e) le 5 mai 2019 il y a une heure, collectionneur a dit : @zx Voici le rapport officiel de janvier 2019 sur les diverses réserves d'or du gouvernement fédéral américain : https://fiscal.treasury.gov/reports-statements/gold-report/current.html 261,498,926.241 onces pour une valeur de 11,041,059,957.90 de dollars. En effet, 742 tonnes juste 8 milliards d'euros en or. C'est peu... 261,498,926.241 onces ça fait 7413,5 Tonnes... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kotai Posté(e) le 5 mai 2019 Share Posté(e) le 5 mai 2019 Mais l'or ne fut elle pas une valeur volatile? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 5 mai 2019 Share Posté(e) le 5 mai 2019 il y a 17 minutes, kotai a dit : Mais l'or ne fut elle pas une valeur volatile? Ca vole mal, mais oui, le cours fluctue beaucoup, a beaucoup fluctué. De mémoire, lorsque les espagnols récupèrent de gros magots en or en Amérique centrale, et qu'ils les rapatrient, ça leur génère une grooosse inflation, qu'on peut lire comme une dépréciation de l'or. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 10 mai 2019 Share Posté(e) le 10 mai 2019 https://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/les-americains-nont-jamais-autant-consomme-et-produit-denergie-de-leur-histoire-1017541 Les Etats-Unis ont battu leur record de consommation, de production et d'exportation l'an dernier. Une situation due à la croissance économique et au boom de la production de pétrole et de gaz de schiste. Le phénomène place les Etats-Unis sur le chemin de l'indépendance énergétique mais fait bondir les émissions de CO 2 . Le pays a produit 28.128 terawatts/heure et consommé 29.593 TWh, se rapprochant un peu plus encore de l'indépendance énergétique. La production augmente plus vite (+8 % par rapport à 2017) que la consommation (+4 %), alors que les exportations (+18 %) contribuent à réduire le déficit de la balance commerciale -(pour le dernier point, il y a maldonne avec un déficit commercial encore en hausse)-. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 9 juin 2019 Share Posté(e) le 9 juin 2019 Des gros de l'armement encore plus gros ? Un nouveau titan dans la défense américains en vue : https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/united-technologies-et-raytheon-discutent-d-une-fusion-par-echange-d-actions-819838.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ARMEN56 Posté(e) le 12 août 2019 Share Posté(e) le 12 août 2019 Rapport N°1 Observatoire de la politique de défense américaine mars 2019 https://www.defense.gouv.fr/content/download/564239/9733648/file/201801_Budgets_de_défense_2019-2020_rapport_1.pdf. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 15 août 2019 Share Posté(e) le 15 août 2019 Tiens, une personne accuse General Electric de truqués ses comptes, baisse de 11 % de l'action en une journée : http://www.lefigaro.fr/flash-eco/general-electric-chute-en-bourse-sur-des-accusations-de-falsification-des-comptes-20190815 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
prof.566 Posté(e) le 15 août 2019 Share Posté(e) le 15 août 2019 Celui qui a dénoncé Madoff. Celà dit, il a admis toucher sur les transactions d'un fond commun de placement. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 8 octobre 2019 Share Posté(e) le 8 octobre 2019 2 août 2019 - Mariana Mazzucato, économiste, identifie 4 grands problèmes - La finance croît plus vite que le reste de l'économie - L'industrie ne réinvestit pas suffisamment les profits - Les États mettent des rustines ici ou là, mais l'idéologie libérale les empêche d'intervenir massivement, alors que ce serait nécessaire. - Le changement climatique arrive, et la transition écologique ne se fait pas faute d'une impulsion par la demande. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 12 avril 2022 Share Posté(e) le 12 avril 2022 Baisse des dépenses de l'administration fédérale de 18 % avec la baisse des allocations chômage, le déficit baisse a ''seulement'' a 668 milliards de dollars pour un semestre : https://www.lefigaro.fr/conjoncture/le-deficit-budgetaire-americain-se-reduit-de-1000-milliards-de-dollars-sur-six-mois-20220412 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 21 juin 2022 Share Posté(e) le 21 juin 2022 @Wallaby Le point 3 de ton message du 12 octobre 2019 sera à relativisé avec les dizaines de milliards de dollars injectés par le gvt fédéral avec les crises multiples en cours. Niveau semi conducteurs, discutions pour un plan de 52 milliards de dollars pour subventionner la fabrication américaine de semi-conducteurs et stimuler la compétitivité des États-Unis face à la technologie chinoise. https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Les-leaders-du-Congres-americain-se-reunissent-mardi-sur-le-projet-de-loi-sur-les-puces-a-semi-condu--40779385/ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 6 août 2022 Share Posté(e) le 6 août 2022 L'économie américaine semble plus en surchauffe qu'en dépression : https://m.investir.lesechos.fr/actualites/il-aura-fallu-la-publication-des-derniers-chiffres-de-l-emploi-aux-etats-unis-pour-que-la-bourse-arrete-de-croire-que-la-fin-de-la-hausse-de-taux-est-pour-bientot-2029649.html? En juillet 2022, 528.000 postes non agricoles ont été créés aux Etats-Unis, soit deux fois plus que ce que les économistes avaient anticipé. C’est aussi au-delà de ce à quoi les Etats-Unis avaient habitué la Bourse ces derniers mois (une moyenne de 457.000 par mois sur les six premiers mois de l’année). Là-bas, l’emploi total est même revenu à son niveau de février 2020, avant la crise sanitaire. Les créations d’emplois ont touché tous les pans de l’économie. Elles ont été particulièrement nombreuses dans les secteurs des loisirs et de l'hôtellerie (+96.000), des services aux entreprises (+89.000) et des soins de santé (+70.000) Le salaire horaire moyen a augmenté plus que prévu, de 0,5% par rapport à juin et de 5,2% sur un an (4,9% attendu par le consensus en juillet, après 5,1% le mois précédent). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 6 août 2022 Share Posté(e) le 6 août 2022 il y a 20 minutes, collectionneur a dit : L'économie américaine semble plus en surchauffe qu'en dépression : https://m.investir.lesechos.fr/actualites/il-aura-fallu-la-publication-des-derniers-chiffres-de-l-emploi-aux-etats-unis-pour-que-la-bourse-arrete-de-croire-que-la-fin-de-la-hausse-de-taux-est-pour-bientot-2029649.html? En juillet 2022, 528.000 postes non agricoles ont été créés aux Etats-Unis, soit deux fois plus que ce que les économistes avaient anticipé. C’est aussi au-delà de ce à quoi les Etats-Unis avaient habitué la Bourse ces derniers mois (une moyenne de 457.000 par mois sur les six premiers mois de l’année). Là-bas, l’emploi total est même revenu à son niveau de février 2020, avant la crise sanitaire. Les créations d’emplois ont touché tous les pans de l’économie. Elles ont été particulièrement nombreuses dans les secteurs des loisirs et de l'hôtellerie (+96.000), des services aux entreprises (+89.000) et des soins de santé (+70.000) Le salaire horaire moyen a augmenté plus que prévu, de 0,5% par rapport à juin et de 5,2% sur un an (4,9% attendu par le consensus en juillet, après 5,1% le mois précédent). En complément : comparatif de la création d'emploi Trump / Biden, "plus d'emplois créés sous Biden jusqu'à présent que dans les 37 premiers mois de l'administration Trump - c'est-à-dire avant le plongeon dans la pandémie." 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 11 octobre 2022 Share Posté(e) le 11 octobre 2022 Blocage des exportations de puces américains vers la Chine activé. Les groupes informatiques chinois dévissent en bourse, mais les entreprises US qui exportent en Chine sont elles aussi touchés ? https://www.zonebourse.com/cours/action/NAURA-TECHNOLOGY-GROUP-CO-6970734/actualite/Les-actions-des-fabricants-chinois-de-puces-s-effondrent-apres-la-publication-par-les-Etats-Unis-de-41968344/ 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 12 mars 2023 Share Posté(e) le 12 mars 2023 La faillite vendredi de la banque SVB pourrait entrainer le secteur de la tech US UK et plus ? Zonebourse La faillite de la banque SVB fait redouter un bain de sang pour les start-up Aujourd'hui à 10:23 Partager New York (awp/afp) - La faillite de la Silicon Valley Bank a bloqué des dizaines de milliards de dollars qu'y avaient déposés start-up et fonds de capital-investissement, au point de faire craindre une onde de choc dans tout le secteur technologique. "Le partenaire financier de l'économie de l'innovation". Ainsi se présentait SVB, placée vendredi sous le contrôle du régulateur américain FDIC pour éviter une implosion. "Ils connaissaient le milieu des entrepreneurs", explique à l'AFP Joseph DeSimone, professeur à l'université de Stanford et fondateur de plusieurs start-up. "Ils nous aidaient à recruter, (...) conseillaient les nouveaux dirigeants, (...) un vrai partenaire comme je n'en avais jamais vu auparavant", décrit-il. SVB se targuait d'avoir pour clients "près de la moitié" des entreprises technologiques et des sciences du vivant financées par des investisseurs américains. La mise en liquidation ordonnée de la banque va leur permettre de récupérer jusqu'à 250.000 dollars par client, soit le maximum garanti par la FDIC. Mais, selon le rapport annuel de SVB, la partie des dépôts non assurée se montait à environ 96% du total des 173 milliards de dollars confiés à l'établissement. La FDIC a indiqué vendredi que la restitution de ces fonds dépendrait des montants récupérés de la vente des actifs de la banque, un processus souvent long et au produit incertain. "Les vraies victimes de la chute de SVB sont les déposants: des start-up de 10 à 100 employés, qui ne peuvent plus verser de salaires, vont devoir mettre des gens au chômage technique ou licencier dès lundi", a réagi, sur Twitter, Garry Tan, PDG de Y Combinator, incubateur de jeunes sociétés. "D'ici un mois ou deux, on aura anéanti une génération de start-up américaines", a prévenu le dirigeant. "Ce sont des années d'innovation américaine qui sont en jeu". "Pas indemnes" La disparition de la banque californienne "pourrait détruire un important moteur de l'économie de long terme, car les sociétés soutenues par le capital-investissement dépendaient de SVB pour leurs prêts et leur trésorerie", a abondé l'investisseur activiste Bill Ackman, sur Twitter. Pour le financier, si aucune institution financière ne reprend la main, éventuellement en absorbant ce qui reste de Silicon Valley Bank, "un sauvetage public devrait être envisagé". Selon plusieurs médias américains, les responsables de l'établissement ont discuté jeudi et vendredi d'un rachat avec plusieurs banques de la place, sans succès. Champ Bennett, co-fondateur de la plateforme vidéo Capsule, a révélé vendredi que les 5 millions de dollars injectés mi-février lors de la première levée de fonds de la société étaient logés chez SVB et inaccessibles. "Difficile d'imaginer la suite, mais ça ne se présente pas bien", a-t-il écrit, sur Twitter, pour dénoncer la vision selon laquelle un sauvetage de SVB reviendrait à venir au secours des "1%" les plus riches, entrepreneurs et investisseurs fortunés, ou de "Big Tech". Il a évoqué ses contacts, lors des dernières heures, avec des centaines de patrons de start-up. "Ils galèrent. Ce sont des gens comme vous et moi. Ils travaillent dur (...) et beaucoup ont des salaires inférieurs au marché". Selon le site d'information Semafor, des sociétés d'investissement alternatif (hedge funds) proposent de se substituer à la banque et de verser immédiatement des fonds à des entreprises clientes de SVB. Pour ce faire, ces dernières doivent néanmoins accepter de renoncer à 20 à 40% de leurs dépôts, les hedge funds espérant récupérer tout ou partie de la différence auprès de la banque. Au-delà, Adam Arrigo, patron de la plateforme de concerts virtuels Wave, a prévenu ses congénères entrepreneurs technologiques. "Que vous ayez eu ou non de l'argent chez SVB, vous ne serez pas indemnes. Cela va sérieusement impacter tout le monde". Comme d'autres Champ Bennett s'inquiète du sort d'autres banques prisées du secteur technologique, notamment la Californienne First Republic, dont le cours a fondu de près de 30% en deux jours. Pour certains, la défaillance de deux banques en quelques heures cette semaine, SVB mais aussi Silvergate Bank, est une leçon sur la prétendue solidité du système financier. "Pourquoi soudain plus personne ne parle du fait que les banques sont sûres et meilleures que la finance décentralisée" (DeFi), système financier alternatif appuyé sur les cryptomonnaies et la technologie dite de la blockchain, a ironisé, sur Twitter, Arjun Sethi, entrepreneur et investisseur américain. Le "DeFi" permet, en théorie, d'accéder à ses fonds à tout moment et sans intermédiaire, mais sans protection des dépôts ni supervision d'un régulateur. 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 12 mars 2023 Share Posté(e) le 12 mars 2023 https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/03/11/la-fermeture-de-la-silicon-valley-bank-marque-la-plus-grosse-faillite-bancaire-depuis-la-crise-de-2008_6165027_3234.html La SVB était la seizième institution américaine avec 210 milliards de dollars (197 milliards d’euros) d’actifs, et il s’agit de la plus grosse faillite bancaire depuis la grande crise financière de 2008. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 12 mars 2023 Share Posté(e) le 12 mars 2023 Il y a 3 heures, Wallaby a dit : https://www.lemonde.fr/economie/article/2023/03/11/la-fermeture-de-la-silicon-valley-bank-marque-la-plus-grosse-faillite-bancaire-depuis-la-crise-de-2008_6165027_3234.html La SVB était la seizième institution américaine avec 210 milliards de dollars (197 milliards d’euros) d’actifs, et il s’agit de la plus grosse faillite bancaire depuis la grande crise financière de 2008. Le gvt americain cherche un chevalier blanc mais ne veut pas s'impliquer. La SVB servait de banque de dépôt à près de la moitié des tech et biotech des US. Ca risque de chahuter un peu en bourse demain. "SVB se targuait d'avoir pour clients "près de la moitié" des entreprises technologiques et des sciences du vivant financées par des investisseurs américains." zonebourse Les autorités mettent la banque SVB aux enchères, veulent éviter la contagion Aujourd'hui à 21:22 Partager Washington (awp/afp) - Les autorités américaines ont mis aux enchères la banque en faillite Silicon Valley Bank (SVB) avec l'objectif de trouver un repreneur avant l'ouverture des marchés asiatiques lundi. Selon le Washington Post, la limite de dépôt des offres a été fixée à dimanche 19H00 GMT. Sollicitée par l'AFP, l'Agence de garantie des dépôts (FDIC), qui a initié la vente, s'est refusée à tout commentaire. L'élu démocrate à la Chambre des représentants Josh Harder a confirmé la tenue d'enchères au site d'information Axios, estimant que la limite pourrait être repoussée pour laisser aux possibles acquéreurs le temps d'étudier les comptes de SVB. "Nous voulons nous assurer que les problèmes qui touchent une banque ne créent pas de contagion à d'autres qui sont solides", avait déclaré dimanche la ministre américaine des Finances Janet Yellen lors d'un entretien avec la chaîne CBS, avant que plusieurs médias américains ne fassent état du processus d'enchères. "Je suis certaine (que la FDIC) envisage une large palette de solutions, qui inclut une acquisition" par une autre banque, a déclaré la secrétaire au Trésor. Emanation du gouvernement américain, la FDIC a pris vendredi le contrôle de Silicon Valley Bank, au bord de l'implosion sous l'effet de retraits massifs de ses clients. La course contre la montre engagée par les autorités américaines rappelle le week-end des 13 et 14 septembre 2008. Elles avaient alors échoué à trouver un repreneur pour la banque Lehman Brothers, la poussant au dépôt de bilan le lundi, avec des conséquences dramatiques pour le secteur financier et l'économie toute entière. Si les grandes banques ont jusqu'ici été épargnées, plusieurs établissements américains de taille moyenne ou régionale ont dévissé en Bourse vendredi, fuis par des investisseurs inquiets. C'est le cas notamment de la Californienne First Republic, qui a lâché près de 30% en deux séances, jeudi et vendredi, ou de Signature Bank, amputée d'un tiers de sa valeur depuis mercredi soir. Les deux établissements ont, comme SVB, une importante proportion de sociétés dans leur portefeuille de clients, dont les dépôts dépassent souvent le montant maximum assuré par la FDIC, soit 250.000 dollars par déposant, ce qui pourrait les pousser à retirer leurs fonds. Quelque 96% des dépôts logés chez SVB ne sont pas couverts, selon des données publiées par l'institution. Alerte sur la tech Outre la stabilité du système bancaire, beaucoup se disent préoccupés par les répercussions de la faillite de SVB sur le secteur technologique, américain mais aussi au-delà. SVB se targuait d'avoir pour clients "près de la moitié" des entreprises technologiques et des sciences du vivant financées par des investisseurs américains. En cas d'échec à trouver un repreneur, pour éviter un mouvement de panique chez les clients d'autres banques et envoyer un signal fort, les autorités américaines envisagent de garantir l'ensemble des dépôts de SVB, selon le Washington Post. Ils se montaient autour de 170 milliards de dollars, selon un document publié mercredi par l'établissement, mais des retraits colossaux sont intervenus depuis. Quelque 42 milliards de dollars d'ordres de retraits ont été passés sur la seule journée de jeudi, mais tous n'ont pu être honorés. "Beaucoup de déposants sont des petites entreprises qui ont besoin de pouvoir accéder à leurs fonds pour payer leurs factures et elles emploient des dizaines de milliers de personnes" aux Etats-Unis, a relevé Mme Yellen. "C'est un problème et nous travaillons avec les régulateurs pour y apporter une solution", a-t-elle poursuivi. Dimanche, le ministre britannique des Finances Jeremy Hunt a estimé que la chute de SVB posait un "risque sérieux" pour le secteur de la tech de son pays. Janet Yellen a écarté dimanche un sauvetage de SVB via une injection d'argent public. "Durant la crise financière (de 2008), des investisseurs de grandes banques systémiques", dont les autorités estiment que la chute présenterait un risque pour l'ensemble du système financier, "ont été secourus" par le gouvernement américain, a-t-elle rappelé. "Nous n'allons pas le refaire." Les remous de la saga SVB se sont aussi propagés au milieu des cryptomonnaies. La devise numérique USDC, dite "stable" car théoriquement indexée sur le dollar, a ainsi chuté depuis vendredi après que son créateur, Circle, a annoncé avoir laissé 3,3 milliards de dollars dans les caisses de SVB. Plusieurs autres "stablecoins", censés protéger les investisseurs en cryptomonnaies contre la volatilité légendaire de cette industrie, ont également décroché, comme le Dai ou l'USDD. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bocket Posté(e) le 12 mars 2023 Share Posté(e) le 12 mars 2023 SBV n'a plus vraiment de valeur à la casse, et de plus vu les dommages réputationnels, c'est assez risqué d'y aller. Il est possible que le ou les acquéreurs soient plutôt un syndicat pour la liquidation ordonnée, avec le temps nécessaire , un peu comme pour LTCM. Ce qui est inquiétant c'est la mantra "le système bancaire est solide" (et donc on peut laisser couler SBV) . Voyons demain matin le résultat de cette enchère avec sans doute des "sweeteners du type partage des pertes avec le FDIC ou autre . Treasury Secretary Janet Yellen: the federal government would not bail out Silicon Valley Bank, but is working to help depositors who are concerned about their money....The American banking system is really safe and well capitalized,”“It’s resilient.” 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
collectionneur Posté(e) le 22 avril 2023 Share Posté(e) le 22 avril 2023 Malgré les crises, les États-Unis parviennent à maintenir leur rang alors que le reste du G7 se fait dépasser : https://www.lenouveleconomiste.fr/insolent-bilan-economique-des-etats-unis-100134/ En 1990, l’Amérique représentait un quart de la production mondiale, aux taux de change du marché. Trente ans plus tard, cette part reste pratiquement inchangée, même si la Chine a gagné en puissance économique. La domination des États-Unis sur le monde riche est frappante. Ils représentent aujourd’hui 58 % du PIB du G7, contre 40 % en 1990. Si l’on tient compte du pouvoir d’achat, seuls les richissimes pays pétroliers et centres financiers bénéficient d’un revenu par personne plus élevé. Les revenus moyens [...] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 26 mai 2023 Share Posté(e) le 26 mai 2023 L'envers du rêve américain Ces deux dernières années, les Etats-Unis ont perdu plus de deux ans d'espérance de vie, effaçant plus d'une décennie de progrès. Ce recul s'explique par une multitude de causes, entre crise des opioïdes, manie des armes à feu et accidents de la route. Face à cette tragédie, les pouvoirs publics semblent impuissants. Le 6 mai, un tireur a ouvert le feu dans un supermarché au Texas, tuant huit personnes, dont plusieurs enfants, avant d'être abattu par la police. Particulièrement sanglant, cet épisode n'est pas rare aux Etats-Unis : c'est la 22e tuerie de masse (ayant entraîné la mort de plus de quatre personnes) cette année. Les morts par arme à feu sont l'une des causes de la chute de l'espérance de vie aux Etats-Unis. Ce n'est pas la seule. Les autorités américaines ont confirmé, en décembre dernier, que l'espérance de vie à la naissance avait chuté de manière significative en deux ans seulement : de 78,8 ans en 2019, cette dernière n'était plus que de 76,1 ans en 2021. Le pays régresse ainsi à un niveau qu'il n'avait pas atteint depuis 1996. Ce qui revient à avoir effacé 26 ans de progrès. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 26 mai 2023 Share Posté(e) le 26 mai 2023 3 hours ago, Picdelamirand-oil said: L'envers du rêve américain Ces deux dernières années, les Etats-Unis ont perdu plus de deux ans d'espérance de vie, effaçant plus d'une décennie de progrès. Ce recul s'explique par une multitude de causes, entre crise des opioïdes, manie des armes à feu et accidents de la route. Face à cette tragédie, les pouvoirs publics semblent impuissants. Le 6 mai, un tireur a ouvert le feu dans un supermarché au Texas, tuant huit personnes, dont plusieurs enfants, avant d'être abattu par la police. Particulièrement sanglant, cet épisode n'est pas rare aux Etats-Unis : c'est la 22e tuerie de masse (ayant entraîné la mort de plus de quatre personnes) cette année. Les morts par arme à feu sont l'une des causes de la chute de l'espérance de vie aux Etats-Unis. Ce n'est pas la seule. Les autorités américaines ont confirmé, en décembre dernier, que l'espérance de vie à la naissance avait chuté de manière significative en deux ans seulement : de 78,8 ans en 2019, cette dernière n'était plus que de 76,1 ans en 2021. Le pays régresse ainsi à un niveau qu'il n'avait pas atteint depuis 1996. Ce qui revient à avoir effacé 26 ans de progrès. Peut etre qu'ils prefere vivre moins longtemps plus riche que plus longtemps moins riche ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) le 26 mai 2023 Share Posté(e) le 26 mai 2023 il y a une heure, g4lly a dit : Peut etre qu'ils prefere vivre moins longtemps plus riche que plus longtemps moins riche ... Peut être que leur système de santé n'est valable que pour les plus riches et que leur système social est moins égalitaire que le notre....ce qui nous permet de compenser notre pauvreté. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 15 janvier Share Posté(e) le 15 janvier https://www.lepoint.fr/economie/comment-les-etats-unis-compensent-leur-deficit-15-01-2024-2549724_28.php Contrairement à l'Europe, le déficit de la balance commerciale US, qui est de 3,5%, est tout simplement compenser par les entrées de capitaux à long terme provenant du reste du monde représentant 6% de son PIB soit environ + de 1600 Mds $ (!). On voit bien l'énorme différence d'attractivité des USA face à l'Europe qui a, de son côté, un ratio nul... 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 15 janvier Share Posté(e) le 15 janvier (modifié) Il y a 3 heures, Ronfly a dit : https://www.lepoint.fr/economie/comment-les-etats-unis-compensent-leur-deficit-15-01-2024-2549724_28.php Contrairement à l'Europe, le déficit de la balance commerciale US, qui est de 3,5%, est tout simplement compenser par les entrées de capitaux à long terme provenant du reste du monde représentant 6% de son PIB soit environ + de 1600 Mds $ (!). On voit bien l'énorme différence d'attractivité des USA face à l'Europe qui a, de son côté, un ratio nul... En effet, on pense un peu trop balance commerciale, alors que la balance courante est plus pertinente. Et les Etats Unis ont un gros avantage avec tout ces capitaux qui s'investissent à long terme chez eux, mais......... ......parce qu'il y a un mais, l'auteur inverse causes et conséquences: C'est PARCEQUE le gouvernement américain est massivement interventionniste par l'entremise de dépenses massives sous forme de baisses/crédits d'impôts et de subventions en tout genre - sans oublier les tombereaux d'argent de la FED- qu'il arrive à "soutenir avec robustesse son secteur privé", qui à son tour, grâce à ses performances donne envie au monde entier d'investir au EU.........l'argent attire l'argent. à L'inverse, c'est à cause du malthusianisme budgétaire que l'Union Européenne se condamne à la stagnation économique et au manque d'attractivité. Modifié le 15 janvier par Shorr kan 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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