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[Union Européenne] nos projets, son futur


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il y a une heure, Ciders a dit :

Peut-être aussi envisager que la situation actuelle - crise économique, écologique, soucis politiques, perte de services publics (au hasard, fermeture de maternités), hausse du prix de l'immobilier - n'incite pas les gens à faire des enfants.

Taper sur les extrémistes je veux bien mais c'est plus compliqué que ça.

De façon général le prix en temps et en argent de faire des enfant en fait un vrai sacrifice et on sait à quel point notre société valorise le sacrifice. On nous demande même de plus en plus de travailler gratuitement, avec bien sur un succès populaire immense. Si on voulait vraiment que les gens fasse des enfants la solution est simple : les faire travailler moins. 

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Il y a 3 heures, Ciders a dit :

Peut-être aussi envisager que la situation actuelle - crise économique, écologique, soucis politiques, perte de services publics (au hasard, fermeture de maternités), hausse du prix de l'immobilier - n'incite pas les gens à faire des enfants.

Taper sur les extrémistes je veux bien mais c'est plus compliqué que ça.

La France est quand même assez paisible... et pas le plus mal loti dans le monde. D'ailleurs ce n'est pas le pays ou la fécondité est la plus faible.

Les gens dont je parle ne sont pas extrémiste ... loin de là. La mouvance childfree va devenir majoritaire dans les pays développées. Pondre est vu comme une forme d'oppression, les conséquences sur la femmes ne sont pas suffisamment équilibré - ou du moins c'est vu comme ça -. Plus globalement tout un tas de "jeune" refuse de reproduire le monde d'avant reproduisant le monde de leur parent ou grand-parent. La famille étant un symbole conservateur dans pas mal de pays.

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Il y a 2 heures, nemo a dit :

les faire travailler moins

Et re créer un ministère du temps libre !   J'abonde ! 

il y a 36 minutes, g4lly a dit :

Plus globalement tout un tas de "jeune" refuse de reproduire le monde d'avant reproduisant le monde de leur parent ou grand-parent. La famille étant un symbole conservateur dans pas mal de pays.

Retour toutes vapeurs  aux années 80s   !  tout simplement 

il y a 38 minutes, g4lly a dit :

La France est quand même assez paisible... et pas le plus mal loti dans le monde.

Ben oui !   l'Epargne a explosé, on est mieux que bien soignés, on a des retraites que nos parents - déjà un peu quand même - et surtout nos grands parents ou arrières-g-p n'osaient même pas imaginer - notre longévité s'allonge !  TVB ! 

Que demande donc le peuple ?   C'était mieux avant => Retour à ces années là

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Il y a 1 heure, g4lly a dit :

La France est quand même assez paisible... et pas le plus mal loti dans le monde. D'ailleurs ce n'est pas le pays ou la fécondité est la plus faible.

Les gens dont je parle ne sont pas extrémiste ... loin de là. La mouvance childfree va devenir majoritaire dans les pays développées. Pondre est vu comme une forme d'oppression, les conséquences sur la femmes ne sont pas suffisamment équilibré - ou du moins c'est vu comme ça -. Plus globalement tout un tas de "jeune" refuse de reproduire le monde d'avant reproduisant le monde de leur parent ou grand-parent. La famille étant un symbole conservateur dans pas mal de pays.

Ah mais on peut toujours trouver pire, c'est certain. Le fait est que la baisse accélérée de la natalité n'est pas un phénomène purement français.

Mais concrètement, quand les gens ne se sentent pas heureux, ils ne font pas d'enfants. On peut leur payer des voitures ou des frigos, ça ne marche qu'un temps.

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il y a 54 minutes, Ciders a dit :

Mais concrètement, quand les gens ne se sentent pas heureux, ils ne font pas d'enfants. On peut leur payer des voitures ou des frigos, ça ne marche qu'un temps.

"Parfois" c'est l'inverse ... les gens pas heureux peuvent chercher de l'amour en faisant des gosses pour être aimé par eux ... c'est même assez courant. C'est d'ailleurs pour ça qu'on retrouve encore pas mal de familles "nombreuse" dans les classes populaires.

En France on a aussi le cas des enfants pondus après remariage qui vient doper les naissances, et le marché du logement.

Moi je parlais de la jeunesse, celle qui va devenir adulte demain ou après demain.

Leur argumentaires pour expliquer le non désir d'enfant, voir le non désir de famille, est assez nombriliste. C'est pas un problème de "bonheur", c'est parce qu'il voit les enfants et la famille comme un asservissement, voir quelques chose de néfaste - aussi bien à titre individuel que collectif -.

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Il y a 9 heures, g4lly a dit :

"Parfois" c'est l'inverse ... les gens pas heureux peuvent chercher de l'amour en faisant des gosses pour être aimé par eux ... c'est même assez courant. C'est d'ailleurs pour ça qu'on retrouve encore pas mal de familles "nombreuse" dans les classes populaires.

Chercher l'amour en faisant des enfants ? Au XXIè siècle ? Tu penses aux mêmes familles - pas forcément populaires - qui font des enfants pour tenter de relancer leur couple ? On sait comment ça se finit, régulièrement.

Il y a 9 heures, g4lly a dit :

Moi je parlais de la jeunesse, celle qui va devenir adulte demain ou après demain.

Leur argumentaires pour expliquer le non désir d'enfant, voir le non désir de famille, est assez nombriliste. C'est pas un problème de "bonheur", c'est parce qu'il voit les enfants et la famille comme un asservissement, voir quelques chose de néfaste - aussi bien à titre individuel que collectif -.

La jeunesse (pas qu'elle d'ailleurs) est déprimée, ce n'est pas nouveau. Ça s'aggrave. On ne fait pas grand chose pour la faire changer d'avis non plus. Et non, elle n'est pas que nombrilisme et égoïsme forcenée... simplement, les gens vont mal.

Sans même parler des contraintes inhérentes à avoir des enfants (pas une critique, des faits), qui sont déjà complexes à appréhender en temps normal.

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  • 2 weeks later...
  • 4 weeks later...

https://www.theguardian.com/commentisfree/2025/mar/01/britain-europe-response-donald-trump-nato-brussels

Kaja Kallas, la responsable de la politique étrangère de l'UE, fait de son mieux. Elle s'est rendue aux États-Unis la semaine dernière, après avoir obtenu une audience avec le secrétaire d'État américain, Marco Rubio. Alors qu'elle était dans les airs, Rubio a annulé la rencontre. Il s'agissait d'une rebuffade calculée et profondément offensante, destinée à exprimer son mépris pour tout ce qui touche à l'UE.

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  • 3 weeks later...

Concrètement, que peuvent faire les Européens face à Trump ?

 

Chacun s’accorde à dire que le contexte actuel contraint les Européens à se mobiliser face à ce qui s’apparente à la fin de l’alliance transatlantique. Mais concrètement, quelles mesures devraient être prises, et par qui exactement ? Est-il possible d’agir conjointement dans le cadre d’une UE à 27 dont les dirigeants ne sont pas nécessairement d’accord sur tout ?

Chacun s’attendait à un Donald Trump plus dur lors de son second mandat que lors du premier, mais personne n’avait anticipé un tel alignement sur Vladimir Poutine. Le président des États-Unis a en effet cédé à son homologue russe l’essentiel de ce que celui-ci pouvait espérer – la conservation des territoires conquis par la Russie et l’assurance de la non-entrée de l’Ukraine dans l’OTAN – avant même l’ouverture de négociations, tout en humiliant publiquement Volodymyr Zelensky et en suspendant l’aide militaire à Kiev (avant de la rétablir quand l’Ukraine a donné son assentiment à la proposition de trêve avancée par Washington à Djeddah le 11 mars dernier).

Dans un tel contexte, que peuvent faire Ukrainiens et Européens ? Dans l’immédiat, pas grand-chose. Ils sont en effet très dépendants des équipements militaires états-uniens, qu’il s’agisse des missiles sol-air Patriot ou des munitions pour la défense antiaérienne, des F16 ou encore du renseignement spatial.

C’est ce qui explique le profil bas maintenu à l’égard des États-Unis tant par Zelensky, malgré les humiliations qu’il a subies, que par les Européens qui cherchent à éviter de rompre avec le président américain. Chacun espère encore éviter la capitulation totale de l’Ukraine en infléchissant la position des États-Unis, ce qui semble s’être amorcé à Djeddah.

L’OTAN n’existe plus de facto

S’il reste difficile d’anticiper précisément l’évolution de la guerre en Ukraine, les leçons à tirer des débuts de la seconde présidence Trump sont, elles, d’ores et déjà très claires. La garantie de sécurité offerte à l’Europe par les États-Unis dans le cadre de l’OTAN n’existe plus de facto. Chacun sait désormais que l’achat de matériel militaire à ces derniers représente une menace potentielle pour la sécurité des pays qui y ont recours parce que les États-Unis continuent d’en contrôler l’emploi. Et tout le monde a compris que Donald Trump entend démanteler le multilatéralisme et le droit international bâti après la Seconde Guerre mondiale.

La plupart des responsables européens ont pris la mesure de ce changement d’ère. Y compris les plus fervents atlantistes comme la haute représentante de l’Union pour les affaires étrangères et la politique de sécurité Kaja Kallas, qui estimait le 28 février dernier qu’« il est devenu clair que le monde libre a besoin d’un nouveau leader », ou encore Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, toujours très attentive jusqu’ici à ne jamais fâcher Washington.

C’est le cas également du futur chancelier allemand Friedrich Merz qui a affirmé que sa « priorité absolue sera de renforcer l’Europe le plus rapidement possible pour obtenir peu à peu une véritable indépendance vis-à-vis des États-Unis ».

C’est le cas, enfin, de Donald Tusk, le premier ministre polonais, qui cherche désormais lui aussi une alternative au parapluie nucléaire américain disparu.

L’Union européenne peut-elle faire ce qu’il faut ? Il y a lieu d’en douter

Que doivent faire les Européens ? Reconstruire une industrie de défense qui permettrait aux armées européennes de se passer des équipements américains ; rebâtir une architecture de sécurité qui ne fasse plus appel aux États-Unis ; et, enfin, trouver de nouveaux alliés pour préserver le multilatéralisme et le droit international. Mais l’UE peut-elle mener à bien des chantiers aussi colossaux ? Il y a de nombreuses raisons d’en douter. Il faudra probablement en passer surtout par des formats ad hoc en dehors des institutions de l’Union.

A priori, la tâche n’a pourtant rien d’insurmontable. En 2023, le PIB de l’UE était huit fois plus important que celui de la Russie. Les dépenses militaires cumulées des pays de l’UE, 326 milliards d’euros en 2024, sont 2,5 fois supérieures aux dépenses militaires russes, malgré la mobilisation totale du pays pour la guerre contre l’Ukraine. Mais la règle de l’unanimité, toujours en place dans ce domaine, rend le cadre de l’Union largement inutilisable en matière de sécurité et de défense.

L’Union européenne vient certes d’adopter, le 6 mars dernier, le plan ReArm Europe, proposé par Ursula von der Leyen. Le montant global annoncé – 800 milliards d’euros – est impressionnant, supérieur aux 750 milliards d’euros mobilisés en 2020 avec Next Generation EU face à la pandémie de Covid-19.

Mais quand on y regarde de plus près, on se rend compte qu’aucun argent nouveau supplémentaire n’est en réalité mis sur la table à l’échelle de l’Union.

L’exclusion des dépenses militaires des règles du Pacte de stabilité marque bien sûr une évolution positive des politiques européennes. Mais la hausse des budgets militaires que cette réforme devrait faciliter restera gérée à un niveau purement national et continuera de peser sur les finances publiques des États.

Le changement des règles pour permettre à la Banque européenne d’investissement (BEI) de financer des projets de défense était certes attendu, mais il ne s’accompagne pas d’une augmentation du capital de la banque. Cet effort restera donc limité. La réorientation de 150 milliards d’euros de prêts prévus dans le cadre de Next Generation EU vers le financement de projets communs de défense se fera aux dépens des transitions énergétique et numérique. Quant à la réorientation des fonds de cohésion, elle se fera, elle, aux dépens de la lutte contre les inégalités territoriales.

Il manque une nouvelle dette commune et la saisie des avoirs russes

Il manque à ce plan deux volets qui auraient marqué un véritable sursaut européen : un nouvel endettement commun et la saisie des quelque 235 milliards d’euros d’avoirs russes gelés en Europe, et plus seulement des intérêts qu’ils dégagent.

Mais pour l’instant, les divisions ont empêché l’UE de s’engager dans cette voie. La Hongrie de Viktor Orban n’est cette fois pas la seule à s’opposer à une telle saisie ; c’est le cas également, pour l’instant, des gouvernements français et allemand, qui craignent que l’Europe y perde sa capacité à accueillir des capitaux étrangers. On verra si les choses bougent dans les prochains mois sur ce plan au fur et à mesure que les Européens prendront toute la mesure de la gravité de la situation.

Là où l’UE peut néanmoins déjà jouer un rôle, c’est en matière de renforcement de l’industrie de défense, domaine dans lequel elle dispose d’outils et de moyens significatifs. La tâche est énorme parce que cette industrie a été très affaiblie après la chute du mur de Berlin dans tous les domaines traditionnels. De plus, alors que les Européens avaient une position solide dans le spatial, ils ont perdu pied ces dernières années.

L’aviation militaire européenne reste extrêmement dépendante des États-Unis et si les ventes de Rafale ont augmenté ces dernières années, c’est surtout en dehors de l’Union. L’industrie des drones européenne reste balbutiante…

La tâche est aussi très délicate sur le plan politique. La plupart des projets européens d’équipements militaires, et notamment les projets franco-allemands, ont été des fiascos jusqu’ici, chacune des armées cherchant à préserver ses spécificités et à favoriser ses propres fournisseurs. Le projet de char du futur franco-allemand n’arrête pas de prendre du retard tandis que le développement de l’Airbus de transport militaire A400 M a été un véritable calvaire.

Inciter les industriels à coopérer et à fusionner

Le nouveau contexte géopolitique va-t-il permettre d’enfin surmonter ces blocages ? Pour que l’UE puisse inciter efficacement les industriels de l’armement à collaborer bien davantage voire à fusionner, il faudra qu’elle ait suffisamment d’argent à mettre sur la table, ce qui rejoint le point évoqué précédemment.

Par ailleurs, à court terme, l’industrie européenne de l’armement n’aura pas la capacité suffisante pour fournir aux armées du continent matériels et munitions au niveau qu’implique désormais la menace. Si l’on veut pouvoir se passer des équipements américains, il faudra acheter d’autres équipements non européens, turcs ou coréens notamment. Et accepter que des fonds européens puissent aider les États de l’Union à en acquérir.

Dans le domaine militaire au sens strict ainsi que dans celui du renseignement, il reste en revanche improbable qu’on parvienne à progresser significativement à 27. Il faudra compter avant tout sur des coalitions de pays volontaires hors du cadre formel de l’UE, d’autant qu’il faudra nécessairement y associer des pays non membres comme le Royaume-Uni, la Norvège, la Turquie voire le Canada ou l’Australie. C’est déjà le cas, par exemple, pour le projet consistant à assurer une protection aérienne à l’Ukraine, pour le déploiement d’une éventuelle force d’interposition en cas de cessez-le-feu ou encore pour construire un bouclier antimissile européen.

Au-delà, devrait se poser rapidement la question d’une alliance de sécurité pérenne capable de se substituer à une OTAN désormais dépassée. Ce sera nécessaire en particulier pour formaliser l’extension éventuelle de la protection nucléaire française et britannique à d’autres pays européens, comme le souhaitent la Pologne et l’Allemagne. Là aussi, cette nouvelle architecture collective de sécurité européenne, qui devra prendre le relais de l’OTAN en préservant son savoir-faire, devra probablement démarrer en dehors du cadre formel de l’UE.

Se rapprocher des autres alliés des États-Unis et se tourner vers le Sud global

Enfin, l’UE et les autres États européens doivent d’urgence agir pour protéger le multilatéralisme et le droit international face à Donald Trump. Pour cela, il leur faut d’abord resserrer leurs liens avec les pays du G6 (le G7 moins les États-Unis, à savoir le Japon et le Canada), mais aussi avec la Corée du Sud ou encore l’Australie – pour coordonner leurs réponses aux agressions du président des États-Unis.

Parallèlement, l’UE doit se tourner (enfin) bien davantage vers les pays du « Sud global » – l’Indonésie, l’Inde, le Brésil, l’Afrique du Sud… – pour moderniser avec eux le cadre multilatéral existant, en leur y donnant plus de place, ce qui contribuera à faire barrage à la volonté de Donald Trump de détruire le droit international. Il sera essentiel, en particulier, de sauver l’accord de Paris et la lutte contre le changement climatique, en coopérant étroitement sur ce dossier avec la Chine pour contrer les États-Unis.

Bref, les Européens ont a priori les moyens de contrer Donald Trump et Vladimir Poutine ; mais leur principale difficulté consiste à parvenir à mobiliser ces moyens efficacement. Il restera sans doute souvent difficile d’y parvenir dans le cadre de l’UE et il faudra probablement recourir, dans beaucoup de dossiers, à d’autres formats.

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Il y a 2 heures, Picdelamirand-oil a dit :

C'est rédigé par le chat, non ? Les journaleux de "theconversations" ont été virés, tous, ils étaient payés par l'USAID avant ?

1 thèse

2 antithèse

3 synthèse foutaise, tout et son contraire, et  la fin  le vide, le néant. 

 

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Faute de fil plus approprié, une compilation d’événements en cours, à commencer par trois espèce de coups d'états menés par les pouvoirs en place face à leurs oppositions intérieures respectives :

 

En Turquie : incrimination par Erdogan du maire d'Istamboul et principal opposant pour corruption et terrorisme puis, en moins de 3 jours, arrestation, incarcération, destitution de son mandat de maire, avant tout jugement bien sûr.

En Turquie, un juge a ordonné ce dimanche l’incarcération pour "corruption" d’Ekrem Imamoğlu, principal rival du président Recep Tayyip Erdoğan. L’opposant avait été amené la veille au soir au tribunal avec 90 coaccusés.

Cette nouvelle décision risque d’aggraver la colère qui traverse le pays. Samedi, une foule monstre a déferlé vers tribunal d'Istanbul où le maire, Ekrem İmamoğlu, était interrogé pour la deuxième fois par les autorités de la ville.

Très grosses manifestations en cours.

 

En Israël :

En Israël, le bras de fer entre l'exécutif et le judiciaire se poursuit. Après le limogeage du chef des renseignements intérieurs, un Conseil des ministres spécial s'est réuni dimanche 23 mars pour engager un processus de destitution de la conseillère juridique du gouvernement qui est également la procureure générale. Ce faisant, beaucoup accusent Benyamin Netanyahou de conflit d'intérêts, car le Premier ministre est visé par une procédure pour corruption.

Et parallèlement, enquête sur le financement du Likhud par le Qatar, poursuite des massacres de civils à Gaza, recherche de solution pour les expulser, et développement de la colonisation en Cisjordanie, frappes au Liban.

Fuite en avant du gouvernement et grosses manifs.

 

Aux USA : on a parlé ici du tour délétère pris par le pouvoir US, écrasé par l'exécutif, avec du mépris et la transgression de certaines décisions de justice, une rhétorique de "révolutionnaire culturelle" vis à vis des opposants, des administrations et de la presse.

Pas ou peu de manifs, rien de général en tout cas : "calme comme à Moscou et Pékin".

 

Union Européenne : la règle de l'unanimité nécessaire au Conseil pour ce qui concerne la politique étrangère (sanctions) a de facto sauté tant Orban est isolé et en a abusé. Notion innovante d'extrait de déclaration approuvé par 26 pays (et l'extrait est en fait la conclusion).

 

EDIT : j'oubliais la Slovaquiedes manifestations importantes de contestation de Fico & Co. continuent 

 

Ça bouge beaucoup, et pas tout le temps dans le sens des despotes.

Modifié par Boule75
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il y a 23 minutes, Boule75 a dit :

Union Européenne : la règle de l'unanimité nécessaire au Conseil pour ce qui concerne la politique étrangère (sanctions) a de facto sauté tant Orban est isolé et en a abusé.

NON    !!!!!!!!!!!!!!

( tu n'as pas compris comment ça fonctionnait.....je repasserai plus tard ).

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Il y a 6 heures, ksimodo a dit :

( tu n'as pas compris comment ça fonctionnait.....je repasserai plus tard ).

Dispns que je n'ai pas vu le détail du dispositif, mais c'est annexe : le Conseil passe de fait outre la règle de l'unanimité, dans certaines circonstances.

Le pouvoir de nuisance d'Orban vient d'en prendre un coup, et un précédent est - peut-être - créé : était-ce pratiqué avant ?

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Les pays européens utilisent beaucoup moins d'antibiotiques dans l'élevage qu'auparavant

https://ourworldindata.org/data-insights/european-countries-use-far-less-antibiotics-in-livestock-than-they-used-to


Les antibiotiques jouent un rôle important dans la prévention des maladies et l'amélioration de la santé des animaux. Cependant, leur usage excessif, en particulier dans l'élevage, représente un risque pour la santé humaine en contribuant à la résistance aux antibiotiques.

Au cours de la dernière décennie, l'Europe a fait de grands progrès dans la réduction de l'utilisation des antibiotiques chez les animaux d'élevage. Cette diminution a été rendue possible grâce à des réglementations plus strictes et, dans certains pays, à des taxes sur les antibiotiques.

Le graphique montre l'évolution des ventes de ces antimicrobiens pour l'élevage entre 2010 et 2022 dans plusieurs pays européens, avec quelques exemples mis en évidence en gras.

L'utilisation des antibiotiques a diminué de plus de moitié dans certains pays, comme le Royaume-Uni, l'Italie, la France et les Pays-Bas.

Ces pays ont néanmoins réussi à maintenir des secteurs agricoles productifs en se concentrant sur d'autres moyens de gérer les risques de maladies et de favoriser la croissance des animaux, notamment par la vaccination, la ventilation, un matériel plus propre et des régimes alimentaires de haute qualité.

w=1620

 

Antibiotic usage in livestock per kilogram of meat, 2020

    --> https://ourworldindata.org/grapher/antibiotic-usage-in-livestock

Modifié par Titus K
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Il y a 13 heures, Boule75 a dit :

Dispns que je n'ai pas vu le détail du dispositif, mais c'est annexe : le Conseil passe de fait outre la règle de l'unanimité, dans certaines circonstances.

Le pouvoir de nuisance d'Orban vient d'en prendre un coup, et un précédent est - peut-être - créé : était-ce pratiqué avant ?

Non.

Si tu votes contre, l'unanimité est brisée, ça ne passe pas.

Si tu votes abstention, celà ne s'oppose pas à l'unanimité et donc à une "résolution".

Orban est passé du vote contre ( véto ) à l'abstention. Je suppose ( non je ne crois pas à la sympathie naturelle de quelconque dirigeant, à part les gentils couillons de service et souvent français ) qu'il en a profité pour négocier des contre parties.......mais chut ! Il a déjà fait celà en janvier, pour débloquer des fonds "gelés" par "divergence" avec la "convergence" demandée. Bref, tout le monde emmerde tout le monde, dés que c'est possible.

Le conseil ne passe outre de rien du tout en matière de règle établie. 

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il y a 42 minutes, ksimodo a dit :

Non.

Si tu votes contre, l'unanimité est brisée, ça ne passe pas.

Si tu votes abstention, celà ne s'oppose pas à l'unanimité et donc à une "résolution".

Orban est passé du vote contre ( véto ) à l'abstention. Je suppose ( non je ne crois pas à la sympathie naturelle de quelconque dirigeant, à part les gentils couillons de service et souvent français ) qu'il en a profité pour négocier des contre parties.......mais chut ! Il a déjà fait celà en janvier, pour débloquer des fonds "gelés" par "divergence" avec la "convergence" demandée. Bref, tout le monde emmerde tout le monde, dés que c'est possible.

Le conseil ne passe outre de rien du tout en matière de règle établie. 

Les derniers votes se sont bien faits à 26 contre 1, avec artifices légaux pour les faire rentrer dans le cadre de la majorité qualifiée. Mais comme il s'agissait apparemment de déclarations politiques et pas de votes sur des dispositions concrètes, on n'en est pas encore à l'épreuve de force qui s'annonce pour l'été.

J'ai trouvé cet article de La Croix qui donne quelques détails.

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il y a 31 minutes, Boule75 a dit :

Les derniers votes se sont bien faits à 26 contre 1, avec artifices légaux pour les faire rentrer dans le cadre de la majorité qualifiée. Mais comme il s'agissait apparemment de déclarations politiques et pas de votes sur des dispositions concrètes, on n'en est pas encore à l'épreuve de force qui s'annonce pour l'été.

J'ai trouvé cet article de La Croix qui donne quelques détails.

https://data.consilium.europa.eu/doc/document/ST-11-2025-INIT/fr/pdf

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je n'ai pas accés à l'article de la croix. 

Le texte Ue est clair. 26 membres soutiennent ( sous entendu....un ne soutient pas....sous sous entendu.......sans son véto non plus......).

 

Le temps que je commence à rédiger, une "archive.is" est tombée du camion sur l'article de la croix....

En décembre 2024, il était sorti de la salle pour une pause-café au moment du vote sur l’Ukraine. Entre-temps, il avait obtenu le versement à la Hongrie de 10 milliards d’euros de fonds gelés à cause du non-respect par son pays des règles de l’État de droit.

Ursula von der Leyen a présenté son plan en faveur de la défense en invoquant un article qui permet de faire en sorte qu’il soit adopté à la majorité qualifiée au Conseil. Un expert de la Commission confirme que cette disposition a été prise pour « contourner Orban  ( Note perso: le texte a été remanié pour que le vote Orban passe de véto à abstention......sans compter des conter parts non encore forcément connus )

https://archive.is/Inci1#selection-1973.57-1977.1

 

L'article 7, c'est l'arme nucléaire de l' l'UE. Ca existe, mais SURTOUT il ne faut jamais y faire appel.

Entre nous, français, l'article 7, c'est un motif sérieux pour les 2/ 3 des pays UE à écarter la France, au motif d'exploser l'endettement au delà de 3 %........Enfin, je suppose qu'on nous écarterai pour un vote qui ne redonne pas assez d'argent ou il faut ( à l'Est ) mais qu'on ne nous écarterait pas pour le contributif..........

Orban emmerde les europhiles c'est certain. Mais faudrait savoir ce qu'on veut ! Une UE avec 95 % de vote "pro" pour en interdisant ce qui se présenter contre, c'est possible, on en prends un peu le chemin. Mais alors, faudra pas gloser sur les % de vote de Vlad, parce que l'UE prendrait le même chemin sur la méthode. Et ça me chatouille le fondement de donner cette analyse, je suis europhile( un peu moins dans la dérive récente il est vrai......) mais je reste à cette heure quand même europhile à plus de 51 %. On peut aussi, quitte à pousser un poil le bouchon en UE, acepter n'importe quel candidat tant qu'il est PPE, ou éventuellement Renew s'il est caondamné à ne pas accéder au pouvoir et à rester un allié. Oui, ce serait plus simple en effet. 

 

Pour ce qui est du lien judicieusement ( et malicieusement ? ) mis en ligne par @g4lly, on notera que c'est une prise de position, un affichage, de la palabre sans conséquence ni engagement !

J'en profite pour faire la mienne ! La déclaration affidavit  de Ksimodo est la suivante:

- Ksimodo est pour la paix dans la monde, la prospérité, et l'amour et le respect de son prochain.

- Ksimodo apportera tout son soutien à des causes justes et nobles, dont les modalités d'application restent à définir dans une prochaine réunion. Sauver les bébés phoques, les ours polaires, Kiev, et lutter contre le RC ( liste non exhaustive ) ( avouez, ça a de la gueule, non ? ) :bloblaugh:

- et.......c'est tout ! Comment ça c'est pas assez ? Bandes d'ingrats !!

 

 

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Il faudra revoir les conditions d’adhésion à l'UE pour des pays qui ne font qu'encaisser et jouent contre les règles qu'ils ont pourtant acceptés et lorsque viendra le temps de "mettre au pot" ils nous enverront chier !
A force de tentatives d'obtenir le beurre, l'argent du beurre et le cul de la crémière, l'UE se discrédite et beaucoup en jouent !
Là, le modèle économique montre ses limites face aux antagonismes Russe et US, nous voilà en plus sous menace militaire ou le principal bailleur de l'Otan montre son possible lâchage !   
Jusqu'à un présent récent, aucunes volontés de changer de braquet, là, il semble qu'une prise de conscience est sur le point de se matérialiser à marche forcée et dans l'urgence.
Camarades, à un moment donné, faudra choisir entre les milliards d'Euros d'aides aux développements ou rester droit dans ses bottes par solidarité envers un pays hostile à l'UE.
 

Modifié par MIC_A
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