FAFA Posté(e) le 21 novembre 2024 Share Posté(e) le 21 novembre 2024 (modifié) Il y a 1 heure, Teenytoon a dit : Tu ne peux pas acheter d'arme de guerre en Suisse. Les personnels soumis au service militaire ont leur fusil chez eux (dans mes souvenirs @FAFA c'est toujours le cas ?) mais ça n'a rien à voir avec des armes en vente libre. Oui, les soldats emportent leurs armes chez eux. Par contre je ne sais pas si ils emportent encore de la munition à la maison. J'ai fini l'armée il y a longtemps, donc il a pu y avoir quelques changements. Il faut dire qu'à cette époque il y avait 650'000 soldats et qu'entre chaque cours de répétition chacun emportait son fusil d'assaut avec une boîte de munition à la maison. Aujourd'hui lorsqu'un soldat a terminé ses obligations militaires, sous certaines conditions il peut faire une demande pour garder son arme de service. Nombre de ceux qui gardent leur arme pratiquent le tir comme hobby. Aujourd'hui la Fédération de tir compte 130’000 membres dont 60’000 d’entre eux sont des tireurs licenciés. On peut ajouter à cela les 30'000 chasseurs. Il me semble que les jeunes tireurs (de 16 à 18 ans) peuvent se faire prêter une arme (fusil d'assaut) par une société de tir. Ils devront avoir l'accord des parents, disposer dune attestation de la fédération de tir sportif prouvant qu'ils ont suivi une formation conforme au prescription et effectuer leurs tirs sous la surveillance d'un adulte. Personnellement je n'ai pas gardé mon arme de service (Fas.57) mais j'ai hérité de l'arme de service de mon beau-père (un mousquetons de 7.5 mm). Oups, tu m'as fais partir en HS ! Modifié le 21 novembre 2024 par FAFA 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 11 décembre 2024 Share Posté(e) le 11 décembre 2024 (modifié) Ca vaut le coup d’être un pays leader sur l’IA en Europe ... En plus d’avoir une énergie propre pour faire tourner la puissance de calcul. Le message est clair, les super-calculateurs doivent charbonner ... litteralement ... Votre talent, le leader de l'IA en Europe. Voici les 7 premières usines d'IA à être créées dans toute l'UE : Athènes Linköping Stuttgart Bissen Bologna Barcelone Kajaani Elles combineront la puissance de calcul, les données et le talent pour développer des solutions d'IA innovantes ↓ Seven consortia selected to establish AI factories which will boost AI innovation in the EU Brussels, 10 December 2024 https://ec.europa.eu/commission/presscorner/api/files/document/print/en/ip_24_6302/IP_24_6302_EN.pdf The European High Performance Computing Joint Undertaking (EuroHPC) has selected seven proposals to establish and operate the first AI Factories across Europe. This is a major milestone for Europe in building a thriving ecosystem to train advanced AI models and develop AI solutions. The EU is now one step closer to realising President Ursula von der Leyen’s commitment to setting up the first AI Factories. The first AI Factories will represent a €1.5 billion investment, combining national and EU funding. Half of this amount will be funded by the EU through the Digital Europe Programme for AI infrastructure and Horizon Europe for AIF services. The selected AI Factories will be hosted at leading research and technology hubs across Europe: Barcelona, Spain: “BSC AIF” at the Barcelona Supercomputing Centre Bologna, Italy: “IT4LIA” at CINECA - Bologna Tecnopolo Kajaani, Finland: “LUMI AIF” at CSC Bissen, Luxembourg: “Meluxina-AI” at LuxProvide Linköping, Sweden: “MIMER” at the University of Linköping Stuttgart, Germany: “HammerHAI” at the University of Stuttgart Athens, Greece: “Pharos” at GRNET The seven AI Factories involve 15 Member States and two EuroHPC participating States. Portugal, Romania and Türkiye have joined the BSC AIF Austria and Slovenia have joined the ITA4LIA Czechia, Denmark, Estonia, Norway and Poland have joined the LUMI AIF Five of the selected hosting sites will deploy brand-new world-class AI-optimised supercomputers, namely in Finland, Germany, Italy, Luxembourg, and Sweden. The AI Factory in Spain will result from the upgrade of the existing EuroHPC system, MareNostrum 5. In Greece, an AI Factory will be established and operated, associated with the DAEDALUS supercomputer, a EuroHPC supercomputer currently under deployment in Greece. The AI Factories in Spain and Finland will also feature an experimental platform, providing a cutting-edge infrastructure for developing and testing innovative AI models and applications, and fostering collaboration across Europe. These AI Factories will more than double EuroHPC computing capacity, addressing specific need and boosting the European capabilities in AI. They will be deployed in 2025-2026. Background AI Factories will bring together the key ingredients that are needed for success in AI: computing power, data, and talent. They will provide access to the massive computing power that start-ups, industry and researchers need to develop their AI models and systems. For example, European large language models or specialised vertical AI models focusing on specific sectors or domains. The AI Factories will boost new industrial uses of AI and give the opportunity for AI start-ups and SMEs to grow in key strategic sectors for the EU, including health and life sciences, manufacturing, climate and environment, finance, automotive and autonomous systems, cybersecurity, agri-tech and agrifood, education, arts and culture, green economy, and space. AI ecosystems are expected to develop centered around the EuroHPC supercomputers, linking universities and academia, supercomputing centres, industry and financial actors. This will connect excellence and talent with the financial opportunities needed for business development and scale up. Next Steps Other Member States have shown interest in either joining the newly selected AI Factories or creating new AI Factories. The next cut-off date for Member States to submit further proposals on AI Factories is 1 February 2025. Modifié le 11 décembre 2024 par Titus K 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 12 décembre 2024 Share Posté(e) le 12 décembre 2024 @Titus K Et oui, mais que veux-tu, pour certains le message n'est pas encore assez clair... Ils ont même invités les turcs... Tu noteras que visiblement l'IA s'exécute sur du vent et pas des microprocesseurs qui pourraient être par exemple conçus mais surtout gravés par des machines, qui comme chacun sait, ne sont absolument pas du tout produites par un certain autre pays d'Europe... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mehari Posté(e) le 12 décembre 2024 Share Posté(e) le 12 décembre 2024 5 hours ago, Patrick said: Tu noteras que visiblement l'IA s'exécute sur du vent et pas des microprocesseurs qui pourraient être par exemple conçus mais surtout gravés par des machines, qui comme chacun sait, ne sont absolument pas du tout produites par un certain autre pays d'Europe... Ces machines ne sont de toute façon pas mises en œuvre en Europe. Ou faudrait-il ajouter Taïwan à cette discussion? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 12 décembre 2024 Share Posté(e) le 12 décembre 2024 Il y a 1 heure, mehari a dit : Ces machines ne sont de toute façon pas mises en œuvre en Europe. Ou faudrait-il ajouter Taïwan à cette discussion? D'où viendront les supercalculateurs de ce grand programme Européen® ? Où auront été fabriquées et assemblées les unités de calcul? Répondre à ces questions c'est répondre à la tienne. Si l'objectif est de mettre en avant une chaîne de valeur Européenne, alors oui on ne peut pas faire l'impasse sur ces questions-là. Et en effet ajouter Taïwan (et les USA, mais aussi pourquoi pas le Japon, la Corée du Sud, la Chine...) serait honnête à défaut d'être sain. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Titus K Posté(e) le 16 décembre 2024 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 16 décembre 2024 7 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Clairon Posté(e) le 17 décembre 2024 Share Posté(e) le 17 décembre 2024 Comme quoi la Suède et la France peuvent être alignés parfois sur certains points, sans doute une réminiscence de la lignée Bernadotte ... Clairon Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 17 décembre 2024 Share Posté(e) le 17 décembre 2024 Il y a 3 heures, Clairon a dit : Comme quoi la Suède et la France peuvent être alignés parfois sur certains points, sans doute une réminiscence de la lignée Bernadotte ... Clairon Bernadotte a souvent été opposé à la France à partir du moment où il a été désigné roi de Suède... :-) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) le 17 décembre 2024 Share Posté(e) le 17 décembre 2024 (modifié) Le 16/12/2024 à 23:50, Titus K a dit : Il était temps que ce soit dit aussi haut et fort, bravo Madame ! Enfin, ça commence à se réveiller un peu partout dans l'UE et les fervents soutiens des allemands à se rendre compte de la tromperie ! Il aura fallu ce conflit Russo/Ukrainien et ses tensions sur le marché énergétique pour mettre cette tartuferie en lumière ! Modifié le 18 décembre 2024 par MIC_A 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 9 janvier Share Posté(e) le 9 janvier La Norvège évalue ses options européennes à l'approche d'un second mandat de Trump https://www.ft.com/content/dbd32579-7cfa-4e01-b7fd-35f1ff721203 Les tensions géopolitiques accrues pourraient amener Oslo à repenser son attitude vis-à-vis de Bruxelles. Les capitales européennes envisagent avec un certain malaise le retour de Donald Trump le 20 janvier. Le président élu des États-Unis est en effet connu pour ses sentiments peu chaleureux à l'égard de l'OTAN et de l'UE. Toutes les capitales européennes ? Pas tout à fait. Prenons Oslo, où de hauts responsables politiques norvégiens se plaisent à affirmer que « nos relations bilatérales avec les États-Unis seront toujours sûres ». Et ils ont d'excellents arguments en leur faveur. La Norvège, membre fondateur de l'OTAN et ses yeux et oreilles dans l'Arctique, est la gardienne de la voie de sortie de l'Atlantique Nord pour la flotte de sous-marins russes basée sur la péninsule de Kola. Elle prévoit de dépasser l'objectif de 2 % du PIB fixé par l'OTAN pour les dépenses de défense d'ici 2025, et son plan de défense à long terme doublera presque le budget de la défense d'ici 2036 ; une « brochure de défense civile » explique aux citoyens comment faire des réserves en cas d'urgence, y compris en cas de guerre. La Norvège est l'un des principaux soutiens de l'Ukraine. Cinquante-deux pour cent du fonds souverain norvégien de 1,8 milliard de dollars sont investis en Amérique du Nord. La Norvège a même un déficit commercial avec l'Amérique. Ce sont toutes des choses que le président élu aime. Mais si l'on interroge les habitants d'Oslo, les inquiétudes ne tardent pas à se faire jour. L'enthousiasme de Donald Trump pour les droits de douane est une source d'inquiétude particulière, car la Norvège n'est pas membre de l'UE. « Si les États-Unis imposent des droits de douane à l'Europe et que l'UE riposte par des droits de douane compensatoires, nous subirons une double peine », soupire un fonctionnaire. Les appréhensions en matière de sécurité sont également nombreuses. La Russie et la Chine se sont emparées de l'Arctique. Elles sont particulièrement intéressées par l'archipel de Svalbard, qui est un territoire norvégien, mais qui, en vertu d'un traité international vieux d'un siècle, permet à d'autres pays d'exploiter les ressources et de mener des recherches. Si Donald Trump réduisait le rôle des États-Unis au sein de l'OTAN, Oslo se sentirait beaucoup plus vulnérable aux pressions de Moscou et de Pékin. Et que se passerait-il si le président russe Vladimir Poutine, en échange d'un cessez-le-feu en Ukraine, demandait le soutien des États-Unis pour des modifications de l'ordre sécuritaire européen - par exemple une extension de l'emprise russe et chinoise sur le Svalbard ? Tout cela pourrait-il faire apparaître l'UE sous un jour nouveau ? La Norvège a refusé d'adhérer à l'Union lors de deux référendums, en 1972 et en 1994, et a préféré rejoindre l'Espace économique européen (EEE). Selon un sondage réalisé en novembre, seuls 34,9 % des Norvégiens estiment que leur pays devrait adhérer à l'UE, contre 46,7 % qui s'y opposent. Il s'agit néanmoins d'une baisse par rapport aux plus de 70 % d'opinions défavorables enregistrées en 2016. Les décideurs politiques d'Oslo notent les difficultés de l'UE en matière de compétitivité et la montée de l'extrême droite, ainsi que leurs propres obstacles nationaux, tels que les intérêts de la pêche ou de l'agriculture. Mais ils ont également observé la rapidité et la détermination avec lesquelles la Finlande et la Suède se sont intégrées à l'OTAN. L'un d'eux souligne qu'Helsinki est sur le point d'obtenir son propre commandement terrestre de l'OTAN en 2025 et que Stockholm a obtenu un poste de directeur général dans la fonction publique internationale de l'Alliance, « alors que nous n'avons ni l'un ni l'autre ! En effet, l'engagement global de la Norvège en faveur de la diplomatie, des institutions et du droit internationaux, son sérieux militaire, sa généreuse aide au développement, sa position en tant que l'un des principaux fournisseurs d'énergie de l'Europe à la suite du découplage presque complet avec la Russie et, enfin, son formidable fonds de richesse en feraient un candidat de choix pour une adhésion accélérée à l'UE. Le dilemme pour une Norvège interdépendante et exposée est donc - comme l'a dit de manière mémorable le journal Aftenposten après la réélection de Trump - de devenir « le 51e État des États-Unis, comme une sorte de Porto Rico » ou le 28e État membre de l'UE. L'attrait de cette dernière option réside dans le fait que la Norvège s'installerait au dernier étage. À une époque où Paris et Berlin sont à peine capables de diriger, elle pourrait non seulement modifier l'équilibre des pouvoirs en Europe, mais aussi amorcer un redémarrage. En effet, la Norvège n'est pas le seul pays européen à peser discrètement ses options. En Islande, les partis pro-UE ont remporté les élections législatives de novembre. La Suisse s'apprête à négocier un ensemble de traités avec l'UE, et sa neutralité sacrée fait l'objet d'un débat national animé. L'Irlande n'est pas membre de l'OTAN, mais elle a elle aussi resserré ses liens avec l'Alliance. En Suède, le débat sur le remplacement de la couronne par l'euro n'a pas abouti, mais la guerre en Europe pourrait faire passer l'adhésion à la zone euro pour une assurance politique supplémentaire. Un banquier norvégien sceptique affirme qu'il faudrait une « météorite » politique pour que son pays change d'avis sur l'adhésion à l'UE. Compte tenu de l'expérience de la première administration Trump, cela n'est pas inimaginable. Mais il serait ironique que le 47e président devienne un grand unificateur de l'Europe. Article du 18 décembre 2024 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 10 janvier Share Posté(e) le 10 janvier Le 09/01/2025 à 14:17, Titus K a dit : Toutes les capitales européennes ? Pas tout à fait. Prenons Oslo, où de hauts responsables politiques norvégiens se plaisent à affirmer que « nos relations bilatérales avec les États-Unis seront toujours sûres ». Et ils ont d'excellents arguments en leur faveur. Jusqu'à ce que quelqu'un révèle à trump l'existence du Svalbard? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 10 janvier Share Posté(e) le 10 janvier il y a 17 minutes, Patrick a dit : Jusqu'à ce que quelqu'un révèle à trump l'existence du Svalbard? Ils doivent compter sur le fait que géographiquement les Svalbard font partie du plateau continental eurasiatique, à la difference du Groenland qui est américain ... bon je suis pas sur que ca fasse une difference 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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