pascal Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin il y a 17 minutes, Alexis a dit : Et qui sont incomparablement plus dignes que nous La Shoah n'a pas la même résonance chez eux que chez nous ... c'est peu que de le dire 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin il y a 16 minutes, Alexis a dit : Les Japonais et les Sud-Coréens ont conservé leur cerveau Les Australiens aussi, peut-être, dans une posture "on ne critique pas ouvertement les Américains, mais on ne les soutient pas ouvertement non plus"... enfin sauf lorsque Trump parle de paix. https://theconversation.com/muted-response-from-albanese-government-on-us-attack-on-iran-259510 (22 juin 2025) Le cabinet du Premier ministre a publié une déclaration d'un porte-parole du gouvernement, mais il n'était pas prévu dimanche après-midi qu'Anthony Albanese ou un autre ministre s'adresse aux médias. Le gouvernement n'a cessé d'appeler à la désescalade du conflit au Moyen-Orient. La déclaration du porte-parole du gouvernement reconnaît la menace que représente le programme nucléaire iranien, mais ne fait pas spécifiquement référence à l'action militaire américaine. Il a déclaré : "Nous avons été clairs sur le fait que l'Iran a un programme nucléaire : « nous avons clairement indiqué que le programme nucléaire et de missiles balistiques de l'Iran constituait une menace pour la paix et la sécurité internationales ». "Nous prenons acte de la déclaration du président américain selon laquelle l'heure de la paix a sonné. "La situation en matière de sécurité dans la région est très instable. "Nous continuons à appeler à la désescalade, au dialogue et à la diplomatie. "Les Australiens qui se trouvent en Israël, en Iran et dans la région doivent continuer à suivre les informations sur la sécurité publique fournies par les autorités locales, et notamment à s'abriter sur place si nécessaire. "Le ministère des affaires étrangères et du commerce communiquera directement avec les Australiens inscrits sur les préparatifs des départs assistés. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin (modifié) il y a 28 minutes, Poivre62 a dit : C'est quand même pas sur ce forum qu'on risque de trouver bcp d'intervenants qui n'imaginent pas qu'il faut se méfier de toute conclusion hâtive sur une guerre. On connaitra les résultats de celle ci.... dans quelques temps (qui peut être se comptera en décennies sur certains aspects) Le resultat est dėjà certain. Le programme nuke iranien ira a son terme. Et le rėgime survivra. Ces gens sont trop bien organisé et ont largement eu le temos de se preparer. Ils ont avec eux la geopgrahie de leur pays. A l'inverse c'était une veritable erreur stratégique a ne pas commettre par les US pour le Japon et la Corėe. A mon sens l'erreur de trop a leur yeux. Malgré un coup au but ne pas constater que le programme nuke iranien sera terminé fait de cette agression US une erreur profonde d'amateur irresponsable. Je trouve également la réaction japonaise et coréenne très en phase avec ce que j'attendais de la France. Enfin on a deux pays qui se sont synchronisé pour envoyer un message clair aux US. Modifié le 23 juin par herciv 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin En fait longtemps, l'OTAN a servi de cerveau à l'Europe. Peut-être que ce cerveau est en état de mort cérébrale, mais le problème c'est qu'on n'avait pas un cerveau de souveraineté européenne de rechange. La voiture a un pneu crevé, mais on n'a pas de roue de secours. Donc on erre comme un canard sans tête. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin il y a 30 minutes, Alexis a dit : Voici des gens qui sont alliés avec les Etats-Unis depuis trois quarts de siècle, qui ont d'ailleurs toujours des bases américaines sur leur territoire, qui dépendent des Etats-Unis aussi pour la dissuasion puisqu'ils n'ont pas d'armes nucléaires... ... Et qui sont incomparablement plus dignes que nous ==>Les Japonais et les Sud-Coréens ont conservé leur cerveau Enfin ! Il était temps. Si on me demande plus tard c'est a ton post que je fixerai le début de la défiance globale aux US. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin Via zonebourse "Si vous pouvez garder la tête froide alors que tout le monde perd la sienne, c'est peut-être que vous ne comprenez pas la situation", a déclaré Paul Jackson, responsable mondial de la recherche sur l'allocation d'actifs chez Invesco. "L'avenir nous dira si l'absence de réaction du marché relève de la naïveté ou d'une évaluation correcte de la situation", a-t-il ajouté. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
tipi Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin il y a une heure, Alexis a dit : Ukraine février 2022, Israël octobre 2023... Iran juin 2025 Tu peux ajouter Iran septembre 1980… 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin Il y a 3 heures, pascal a dit : à cela deux raisons essentielles l'Iran "utile" est à l'ouest, l'est est plus vide vers l'est les distances deviennent importantes J'en rajouterais une troisième : la plupart des bases de missiles balistiques aptes à atteindre Israël sont à l'ouest du pays pour des raisons liées à leur portée ( 1400 / 1500 km ) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin Trum en mode je ne maitrise plus rien : via lefigaro : Frappes sur l’Iran : l’augmentation des prix du pétrole ferait «le jeu de l’ennemi», selon Trump Le président américain Donald Trump a déclaré ce lundi qu’une augmentation des prix du pétrole ferait «le jeu de l’ennemi», après l’intervention militaire des États-Unis en Iran qui fait redouter des représailles de Téhéran déstabilisant le marché de l’or noir. «Tout le monde, gardez les prix du pétrole bas. Je surveille ! Vous jouez le jeu de l’ennemi. Ne le faites pas!» a écrit, en majuscules, le chef de l’État sur sa plateforme Truth Social. Dans un message séparé, adressé à son ministère de l’Énergie, il a aussi appelé à «forer à tout-va», «maintenant!». 2 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin (modifié) il y a une heure, herciv a dit : "Si vous pouvez garder la tête froide alors que tout le monde perd la sienne, c'est peut-être que vous ne comprenez pas la situation", a déclaré Paul Jackson, responsable mondial de la recherche sur l'allocation d'actifs chez Invesco. Je reformule : si vous n'êtes pas en train de courir dans tous les sens comme un canard sans tête, vous n'êtes pas normal ! Pas d'accord avec M. Jackson - Il y a encore des scénarios où la situation ne dérive pas sur le plan pétrolier (quoique sur d'autres plans oui certes) - Quelle que soit la situation, "perdre la tête" n'est jamais une bonne solution Exemple des raisons pour lesquelles il n'est pas recommandé de perdre la tête Ca vous donne l'air... un petit peu ridicule, on dira Modifié le 23 juin par Alexis Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin La France commence a rapatrier d'Israël. Il y a du taf. Au moins 250000 personnes pourraient être concernées. https://www.lesechos.fr/monde/afrique-moyen-orient/la-france-commence-a-rapatrier-ses-ressortissants-en-israel-2172295 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin il y a 7 minutes, Alexis a dit : un petit peu Rien qu'un peu. L'histoire jugera. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin Il y a 4 heures, Alexis a dit : Le faible nombre des centrales électriques est vraiment une faiblesse stratégique d'Israël Aucune d'entre elles n'est d'ailleurs nucléaire. En Ukraine, l'impossibilité pratique de viser les centrales nucléaires a contribué à limiter l'aptitude de la Russie à complètement éradiquer l'approvisionnement électrique ukrainien Selon la page wiki ils ont 4 centrales électriques dont une a déjà été endommagée ( ou un relais ou centrale secondaire, peu d'informations ) à Haïfa lors des frappes qui ont mis hors service leur seule raffinerie en fonctionnement ( mais une autre devrait être réactivée). 2 centrales seraient au gaz et deux au charbon. Selon les informations israéliennes les installations électriques mises hors service ce matin ont été réactivée. Enfin il existe une centrale nucléaire. En cas de neutralisation des centrales électriques c'est échec et mat car l'électricité voyage mal et Israël n'est pas reliée au réseau de ses voisins. L'Iran dispose encore d'environ 1000 missiles aptes à frapper Israël ( moins ceux détruits dans les zones de stockage atteintes par l'aviation israélienne ) + ceux en cours de production. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 23 juin Auteur Share Posté(e) le 23 juin https://www.lemonde.fr/international/article/2025/06/23/pour-les-monarchies-du-golfe-israel-a-remplace-l-iran-comme-agent-de-destabilisation-du-proche-orient_6615433_3210.html Pour les monarchies du Golfe, Israël a remplacé l’Iran comme agent de déstabilisation du Proche-Orient La fuite en avant belliqueuse de l’Etat hébreu suscite fébrilité et colère dans les palais de la péninsule Arabique. Les élites de la région, qui redoutent des représailles contre les bases américaines présentes sur leur sol, appellent à un règlement du dossier nucléaire iranien par la voie diplomatique. L’entrée en guerre des Etats-Unis contre l’Iran est un scénario noir pour les monarchies du Golfe. Le soutien qu’elles ont manifesté à l’Iran depuis le 13 juin, en condamnant l’attaque israélienne contre cette « nation amie », pourrait ne plus suffire. Elles ont été placées en état d’alerte face à d’éventuelles représailles de Téhéran, qui menace d’attaquer les bases américaines sur leurs sols et de fermer le détroit d’Ormuz, une voie commerciale stratégique dans le golfe Arabo-Persique. Dimanche 22 juin, les monarchies du Golfe ont, en chœur, appelé à la désescalade et à une sortie de crise politique. La fuite en avant belliqueuse d’Israël, tenté par un changement de régime en Iran, nourrit leur peur d’un engrenage vers une guerre incontrôlable et généralisée au Moyen-Orient. Jusqu’au moment des frappes américaines, dans la nuit de samedi à dimanche, les responsables golfiens ont essayé de convaincre le président Donald Trump de renoncer à l’option militaire pour donner sa chance à la diplomatie. « La désescalade est extrêmement importante. Nous pensons toujours qu’il existe une voie de retour aux négociations », plaidait, vendredi, Anwar Gargash, le conseiller diplomatique du président émirati, Mohammed Ben Zayed Al Nahyane, devant des journalistes, dont Le Monde. « Riyad ne soutient ni l’escalade ni un changement de régime, soulignait Ali Shihabi, un analyste politique saoudien. Une solution diplomatique semble très difficile à trouver actuellement, mais pas impossible. » Le ralliement d’Abou Dhabi et de Riyad aux efforts de médiation du Qatar et du sultanat d’Oman confirme le changement d’approche dans les deux capitales, jadis fervents soutiens, aux côtés d’Israël, de la politique de pression maximale de M. Trump. Certes, l’affaiblissement de la République islamique et de son programme nucléaire, après celui de ses alliés, le Hamas palestinien et le Hezbollah libanais, puis la chute du dictateur syrien Bachar Al-Assad, est un « changement géostratégique » bienvenu pour les monarchies sunnites. Mais après avoir subi les représailles de Téhéran sur leurs installations pétrolières, auxquelles les Etats-Unis n’avaient pas répondu durant le premier mandat de Donald Trump, Abou Dhabi et Riyad ont misé sur la détente et le rapprochement avec leur grand rival chiite. Obstacle à une stabilisation régionale Cette stratégie de « neutralité positive » a été payante. Elle a tenu les monarchies du Golfe à l’écart des confrontations qui ont embrasé la région depuis le début de la guerre à Gaza, en octobre 2023. Israël, qui poursuit des guerres à Gaza, au Liban, en Syrie, au Yémen et désormais en Iran, et parle de redessiner un « nouveau Moyen-Orient » par la force, menace leurs efforts. L’Etat hébreu leur apparaît désormais comme un acteur déstabilisateur, un obstacle à leur vision d’une stabilisation régionale par le dialogue et l’intégration économique. « Les préoccupations doivent être résolues par la voie diplomatique… Les problèmes sont nombreux dans la région. Si nous choisissons de tout régler au marteau, rien ne restera intact, déplore ainsi Anwar Gargash. Cette guerre va à l’encontre de l’ordre régional que les pays du Golfe souhaitent construire, qui est axé sur la prospérité régionale. » Abou Dhabi et ses partenaires golfiens partagent l’inquiétude d’Israël à l’égard de la menace posée par le programme nucléaire iranien. Mais, à leurs yeux, la réponse ne peut être que politique, pour s’assurer le respect par l’Iran de ses engagements internationaux. Les Emirats plaident pour que l’Iran renonce à enrichir de l’uranium, sur leur modèle. Dans le cadre de l’accord 123 signé en 2009 avec les Etats-Unis, ils reçoivent un soutien technologique américain pour leur programme nucléaire civil et s’approvisionnent en uranium sur le marché mondial. La poursuite de la guerre en Iran pourrait contrarier le développement économique des monarchies du Golfe – leur priorité. « Toute action militaire sera préjudiciable à l’ensemble de la région », insiste le conseiller diplomatique émirati, évoquant la déstabilisation engendrée par l’offensive américaine en Irak en 2003. En l’absence d’alternative crédible au régime des mollahs, l’Iran est, à leurs yeux, menacé de sombrer dans le chaos. Les monarchies du Golfe pourraient, elles, devenir la cible de représailles. « L’Arabie saoudite a dit à l’Iran qu’elle riposterait contre les infrastructures pétrolières iraniennes si l’Iran attaquait ses infrastructures. Elle est donc préparée, mais elle ne s’attend pas à ce que cela se produise », prévient Ali Shihabi. Lors de sa tournée dans le Golfe, mi-mai, Donald Trump semblait acquis à la vision golfienne d’une stabilité régionale. Le revirement du président républicain en faveur d’une intervention militaire contre l’Iran, sous l’effet des manœuvres du premier ministre Benyamin Nétanyahou pour l’emmener avec lui, a été une douche froide. « Donnez-moi un seul exemple d’un Etat qui a attaqué cinq pays en deux ans ? Israël mène aujourd’hui des attaques sans aucun contre-pouvoir de la communauté internationale. Il n’est tenu par aucune résolution des Nations unies ni convention internationale », interpelle Mohammed Baharoon, directeur du centre de recherche B’huth, basé à Dubaï. Jusque dans les cercles du pouvoir à Abou Dhabi et à Riyad, M. Nétanyahou est désormais dépeint par certains en agent du chaos, sans autre stratégie que le recours à la force ni plan de sortie de crise. « Benyamin Nétanyahou veut aller de guerre en guerre pour détourner l’attention de Gaza et des pressions qu’il subit en interne. Il cherche à éviter la justice et est obsédé par le pouvoir », estime Ebtesam Al-Ketbi, directrice du centre de recherche Emirates Policy Center. « Nétanyahou est perçu comme un agent déstabilisateur et les progrès futurs de son gouvernement semblent très improbables », abonde l’analyste saoudien Ali Shihabi. « Flop complet » « Israël réduit à néant les ambitions des Saoudiens de stabiliser la région. Il leur pose des problèmes à Gaza. Au Liban et en Syrie, il cherche à étendre ses frontières et va-et-vient dans leur ciel aérien à sa guise. Pendant deux décennies, ils ont fait le pari que l’acteur le plus rationnel était Israël, aujourd’hui ils pensent que l’Iran est un acteur plus adulte », explicite Xavier Guignard, chercheur associé à Noria Research, basé dans le Golfe. Pour l’Arabie saoudite, M. Nétanyahou est devenu un obstacle à une normalisation des relations avec Israël. « L’extrémisme de Benyamin Nétanyahou et de son gouvernement a bloqué la poursuite de la normalisation avec les Saoudiens, et l’accord plus large entre les Etats-Unis et l’Arabie saoudite qui y était associé, pointe Camille Lons, spécialiste du Golfe à l’European Council for Foreign Relations, à Paris. Aujourd’hui, les Saoudiens se félicitent de n’avoir pas fait la normalisation, comme les Emirats. » En 2020, les Emirats ont établi des relations diplomatiques avec Israël dans le cadre des accords d’Abraham. « Les Emirats ne vont pas forcément l’admettre – ils disent que ça leur permet d’avoir un canal privilégié avec Israël –, mais la réalité est que ces accords sont un flop complet. Cela ne leur a pas donné les leviers pour faire avancer la question palestinienne. » Abou Dhabi n’envisage néanmoins pas de remettre en question ces accords, présentés comme un « choix stratégique ». « Le gouvernement israélien ne va pas durer, c’est le plus extrême qu’a connu le pays, comme Bachar Al-Assad l’était en Syrie, conclut Mohammed Baharoon. Les Emirats ne sont pas investis avec un gouvernement, mais avec un Etat. Les accords d’Abraham sont un aspect important de leur vision régionale et cette guerre ne la remet pas en cause. » 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin (modifié) il y a 5 minutes, g4lly a dit : https://www.lemonde.fr/international/article/2025/06/23/pour-les-monarchies-du-golfe-israel-a-remplace-l-iran-comme-agent-de-destabilisation-du-proche-orient_6615433_3210.html Pour les monarchies du Golfe, Israël a remplacé l’Iran comme agent de déstabilisation du Proche-Orient La fuite en avant belliqueuse de l’Etat hébreu suscite fébrilité et colère dans les palais de la péninsule Arabique. Les élites de la région, qui redoutent des représailles contre les bases américaines présentes sur leur sol, appellent à un règlement du dossier nucléaire iranien par la voie diplomatique. L’entrée en guerre des Etats-Unis contre l’Iran est un scénario noir pour les monarchies du Golfe. Le soutien qu’elles ont manifesté à l’Iran depuis le 13 juin, en condamnant l’attaque israélienne contre cette « nation amie », pourrait ne plus suffire. Elles ont été placées en état d’alerte face à d’éventuelles représailles de Téhéran, qui menace d’attaquer les bases américaines sur leurs sols et de fermer le détroit d’Ormuz, une voie commerciale stratégique dans le golfe Arabo-Persique. Dimanche 22 juin, les monarchies du Golfe ont, en chœur, appelé à la désescalade et à une sortie de crise politique. La fuite en avant belliqueuse d’Israël, tenté par un changement de régime en Iran, nourrit leur peur d’un engrenage vers une guerre incontrôlable et généralisée au Moyen-Orient. Jusqu’au moment des frappes américaines, dans la nuit de samedi à dimanche, les responsables golfiens ont essayé de convaincre le président Donald Trump de renoncer à l’option militaire pour donner sa chance à la diplomatie. « La désescalade est extrêmement importante. Nous pensons toujours qu’il existe une voie de retour aux négociations », plaidait, vendredi, Anwar Gargash, le conseiller diplomatique du président émirati, Mohammed Ben Zayed Al Nahyane, devant des journalistes, dont Le Monde. « Riyad ne soutient ni l’escalade ni un changement de régime, soulignait Ali Shihabi, un analyste politique saoudien. Une solution diplomatique semble très difficile à trouver actuellement, mais pas impossible. » ... Donc comme çà il n'y a plus de doute. C'est Israël le fauteur de trouble au MO. Ca va être compliqué de revenir à une situation stable et sans risque pour Israël maintenant. Modifié le 23 juin par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alexis Posté(e) le 23 juin C’est un message populaire. Share Posté(e) le 23 juin "C'est maintenant le moment pour la paix !" Révélation 1 7 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 23 juin C’est un message populaire. Share Posté(e) le 23 juin (modifié) Israël, qui a déjà bombardé l'Iran fin juin, bénéficie désormais d'un soutien direct des États-Unis sur le plan militaire et diplomatique. Il est hautement probable que Tel Aviv intensifie ses frappes sur l'Iran, en coordination avec Washington, afin de poursuivre la stratégie visant à affaiblir durablement les capacités nucléaires et militaires iraniennes. Une escalade violente pourrait survenir, avec ripostes iraniennes plus massives. Le risque d'un affrontement régional plus large, incluant Syrie, Iraq ou forces pro-iraniennes, est élevé. La communauté internationale, notamment l’ONU, appelle à la désescalade , mais les pressions sur Israël et les États-Unis pourraient renforcer leur détermination. Israël et ses alliés considèrent très sérieusement la possibilité d’une fermeture du détroit d’Ormuz par l’Iran, à la suite des frappes américaines contre ses installations nucléaires : Le Parlement iranien a voté en faveur d’un projet de fermeture du détroit, bien que cette décision reste symbolique, car seule la haute autorité iranienne (Conseil de sécurité nationale suprême) peut l’autoriser. Le risque économique est énorme : environ 20 % du pétrole mondial transite par ce passage, et un blocage occasionnerait une flambée des prix, aggravant encore l’inflation . L’Iran brandit la menace de fermer le détroit d’Ormuz comme réponse symbolique aux frappes américaines, mais Il est peu probable qu’il passe à une fermeture totale, étant donné les conséquences économiques désastreuses pour lui-même. Le risque le plus réaliste reste des opérations asymétriques (mines, missiles, harcèlement), destinés à créer de la perturbation sans déclencher le feu vert immédiat d’un blocus. Les forces occidentales sont déjà en alerte, prêtes à riposter militairement si l’Iran tente de véritablement bloquer le passage. Bref, la menace est réelle sur le plan diplomatique et économique, mais peu susceptible de devenir un blocus effectif. l'Iran a conservé une part significative de son stock de matière fissile enrichie malgré les frappes sur ses installations nucléaires. Avant les attaques, l'Iran détenait environ 400 kg d'uranium enrichi à 60 %—un niveau proche du seuil requis pour fabriquer une arme nucléaire. Ce stock permettrait en théorie de produire plusieurs armes en quelques semaines seulement. Les frappes américaines (et israéliennes) ont ciblé les infrastructures de Natanz, Fordow et Isfahan, détruisant des centrifugeuses et des bâtiments, mais n'ont pas visé directement les stockages de matière fissile. L'Iran avait anticipé et évacué ou déplacé une partie des stocks avant les frappes. Lewis souligne que l’Iran a mis en place une nouvelle installation d’enrichissement, distincte de celles frappées, et cette dernière est restée intacte malgré les attaques sur Natanz et Fordow. Bien que Natanz et Fordow aient subi des dégâts, le programme nucléaire n’est pas sensiblement ralentit, et l’Iran continue à enrichir efficacement D'après l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), l'Iran continue d'augmenter sa production de matière enrichie, avec un stock global qui a progressé de près de 950 kg à plus de 9 000 kg, dont plus de 400 kg à 60 % . Cela signifie que la matière première nécessaire pour asseoir un programme d'armement nucléaire reste intacte. Le stock d'uranium enrichi à 60 % en fait un potentiel de frappe nucléaire à court ou moyen terme, si la volonté politique se concrétise. De plus les infrastructures peuvent être remplacées, et le savoir-faire reste présent en Iran. C’est sûr que la situation est extrêmement tendue, voire alarmante : L’Iran est aujourd'hui capable de produire rapidement du matériel de qualité militaire, malgré les frappes américaines. Le contrôle du détroit d’Hormuz devient encore plus sensible, car l’Iran pourrait jouer de cette carte pour répondre à de nouvelles pressions. Le Moyen‑Orient devient ainsi encore plus imprévisible, avec un potentiel de conflit majeur impliquant de nombreuses puissances. Dr. Lewis confirme ce que certains experts craignaient : malgré les frappes ciblées, le programme nucléaire iranien reste largement opérationnel. Les bombardements n’ont pas porté un coup durable à l’enrichissement, et d’un point de vue stratégique, l’Iran conserve sa capacité de montée en puissance. Les frappes aériennes ponctuelles (USA, Israël) ne neutralisent pas le programme nucléaire iranien. L’Iran conserve une capacité de représailles indirectes (milices chiites, Houthis, cyberattaques). Maintien d’une tension latente plutôt qu’une guerre ouverte. Instabilités intermittentes du transport maritime (détroit d’Ormuz), hausse du coût du pétrole/gaz. Pression accrue sur la chaîne logistique européenne. Si l’Iran juge les frappes trop lourdes, elle pourrait tenter de fermer Ormuz totalement ou intensifier les tirs de missiles sur Israël, des bases US, voire des installations pétrolières du Golfe. Rupture des approvisionnements en pétrole/gaz du Moyen‑Orient → hausse brutale des prix de l’énergie en Europe. Engagement indirect des forces de l’UE (sécurisation du commerce maritime). Pression migratoire accrue du Moyen‑Orient, effets collatéraux terroristes possibles. Les frappes ayant montré leurs limites, la coalition occidentale pourrait intensifier les sanctions économiques ainsi que le travail diplomatique, tout en gardant l’option militaire à l’horizon. Tensions sur les prix des métaux rares et du pétrole à long terme. Impact sur les industriels européens déjà éprouvés par la hausse du coût de l’énergie. Polarisation du jeu diplomatique (Chine, Russie vs. coalition occidentale). Si l’Iran effectuait un test nucléaire début 2026, on basculerait brutalement du jeu des tensions à un nouvel équilibre où elle devient de facto une puissance nucléaire déclarée. Voici les effets à envisager : L’Iran rejoint le club des États nucléaires, ce qui renverse le calcul de la dissuasion. Limitation des options militaires directes de la part des États‑Unis et d’Israël (plus de raids envisagés sans craindre l’escalade ultime). Pression immédiate pour un accord de containment (de type Corée du Nord), car le conflit militaire direct devient trop risqué. Conséquences régionales Course à la nucléarisation : l’Arabie saoudite pourrait annoncer à son tour un programme nucléaire militaire (avec possible soutien du Pakistan). Renforcement de la ligne dure en Israël (possibilité de frappes préventives extrêmement risquées). Polarisation du Golfe : tensions extrêmement fortes avec les Émirats, Bahreïn, le Koweït. Conséquences pour l’Europe Instabilités accrues sur le marché de l’énergie (possibilité de blocage du détroit d’Ormuz). Pression migratoire majeure en cas de conflit régional. Remise en cause du JCPOA ainsi que des mécanismes de contrôle de la prolifération. Une fois la bombe testée, deux scénarios dominent : Contenance / équilibre de la terreur (style Inde‑Pakistan) — forte probabilité à terme. Action militaire immédiate d’Israël / États‑Unis — moins probable à cause du coût humain, militaire, et économique extrêmement élevé. Ce n’est plus uniquement une question de stabilité du Moyen‑Orient ; c’est la fin du monopole nucléaire tacite d’Israël, l’ouverture d’une course à l’atome, et une nouvelle ligne de faille majeure où la France, l’Europe et l’OTAN devront définir leur rôle. L’accord de Vienne était la dernière tentative d’ancrer l’Iran dans le jeu du commerce mondial adossé à l’Occident. Depuis Trump (2018), puis Biden (2021‑2024), l’espoir d’une levée des sanctions est devenu quasi théorique. Avec le retour de Trump en 2025 et l’ancrage de Netanyahou, la ligne est claire : le rapport de force prime sur le dialogue, et tout signe de “faiblesse” devient une prise à attaquer. L’Iran est déjà arrimé à l’alternative sino‑russe du commerce international, où elle bénéficie du poids de la Chine pour vendre son pétrole, de la Russie pour contourner les sanctions financières, et où elle bénéficie globalement d’une intégration à un pôle alternatif. Ce pôle une sorte de second poumon économique est de plus en plus viable (la Russie elle‑même en est la preuve), malgré l’absence de technologies de pointe de l’Occident. Le coût diplomatique du passage au nucléaire militaire devient plus faible que le coût de continuer à jouer à la dupe du jeu du JCPOA. Et en échange, l’Iran obtient : Une dissuasion ultime vis‑à‑vis d’Israël et des États‑Unis. Une carte majeure pour sanctuariser son régime malgré toutes les tentatives de changement de régime. Une position de force vis‑à‑vis du Golfe (et de l’Arabie saoudite en particulier). Le commerce des hydrocarbures est au cœur du nouvel équilibre, et c’est justement le lieu où l’Europe risque de jouer le rôle du dindon de la farce. Voici où nous en sommes, schématiquement : Avant la guerre en Ukraine, les hydrocarbures iraniens visent principalement l’Asie (Chine, Inde), avec un espoir d’élargissement à l’Europe si un retour à l’accord JCPOA était conclu. L’Europe bénéficie indirectement du pétrole du Golfe (Arabie saoudite, Émirats) ainsi que du gaz naturel russe. Après la guerre en Ukraine, Le gaz russe devient un produit géopolitiquement toxique pour l’UE. L’Europe se tourne de plus en plus vers le GNL américain, qatari, ainsi que vers des approvisionnements plus chers (Algérie, Norvège). La Russie resserre son commerce du pétrole/gaz vers la Chine, l’Inde et, indirectement, l’Iran (troc de pétrole, équipements, savoir‑faire). L’Iran devient un pivot du “deuxième poumon économique” : Une fois nucléaire (et donc sanctuarisé), l’Iran devient une ancre majeure du commerce de la zone sino‑russe : Exportation de pétrole à prix réduit à la Chine (et indirectement à la Russie). Exportation de gaz naturel (et demain d’hydrogène ou d’ammoniac) via des pipelines orientés Est. Conséquences spécifiques pour l’Europe : Le coût de l’énergie restera structurellement plus élevé qu’en Asie, où l’Iran fournit du pétrole/gaz à prix “ami” à la Chine et à l’Inde. L’UE devient dépendante du trio États‑Unis / Qatar / Norvège pour son gaz naturel, tandis que l’alternative iranienne devient totalement fermée. Le pétrole iranien devient une monnaie géopolitique majeure du nouvel axe anti‑occidental, limitant la capacité de l’Europe à jouer la carte du retour à la table des négociations. La Chine pourrait profiter de la situation Une escalade majeure des Etats Unis contre l’Iran mobiliserait une part importante du groupe aéronaval américain et le commandement central (CENTCOM), ainsi que des ressources en logistique, renseignement et défense antiaérienne. Ce poids militaire laisserait l’Indopacifique plus vulnérable à un éventuel défi majeur de la part de la Chine. Taïwan : Profiter de la saturation opérationnelle américaine pour tenter une opération de force rapide (de type “fait accompli”). Corée du Nord : Appuyer une offensive limitée contre la Corée du Sud (ou intensifier les tensions) pour fixer davantage de moyens militaires américains en Asie du Nord‑Est. Si Washington est mobilisé contre l’Iran, elle ne peut pas répondre pleinement à une crise majeure en Asie du Nord‑Est sans atteindre rapidement la limite de ses moyens (géopolitiques, militaires, logistiques). Pékin pourrait justement calculer que c’est maintenant ou jamais pour atteindre un de ses buts stratégiques (réunification de Taïwan) avant que la fenêtre ne se referme. La Russie pourrait jouer un rôle indirect en intensifiant le conflit en Ukraine, forçant ainsi l’Occident à disperser davantage ses ressources. Voici un schéma détaillé de la manière dont tout pourrait s’articuler : Phase 1 (Courte échéance : Été–Automne 2025) Fermeture du détroit d’Hormuz À la suite des bombardements américano‑israéliens, l’Iran choisit de fermer partiellement Hormuz pour signaler qu’il dispose encore d’une capacité de nuisance majeure. Conséquence immédiate : hausse du prix du pétrole de 20–40 %, effets en chaîne sur l’inflation en Europe, au Japon et en Corée du Sud. Sauvegarde du stock de matière fissile Le programme iranien est dispersé de manière à garantir la pérennité de l’enrichissement, malgré les frappes. L’Iran sort ainsi de la dépendance vis‑à‑vis du jeu des sanctions. Imprévisibilité générale du Moyen‑Orient Le conflit devient de basse intensité en surface (conflit asymétrique, attaques de groupes proxys), tandis que le jeu majeur est la dissuasion nucléaire. Le coût du contrôle du Golfe devient prohibitif pour les États‑Unis. Phase 2 (Hiver 2025–2026) Explosion d’une bombe atomique iranienne L’Iran annonce/teste une arme nucléaire rudimentaire (discrète), déclenchant une crise majeure. Conséquences : Fin de tout espoir de retour à l’accord de Vienne. Positionnement de l’Iran comme puissance nucléaire de facto. Normalisation du commerce avec le pôle sino‑russe Le pétrole iranien est désormais canalisé presque exclusivement vers la Chine, tandis que la Russie bénéficie du contrôle indirect du détroit d’Hormuz pour maximiser les prix du brut qu’elle exporte. Impact économique majeur pour le bloc occidental Avec un pétrole à 100–130 $/baril, tensions sociales accrues en Europe (inflation), nouvelles difficultés pour le dollar comme monnaie de réserve unique du commerce de l’énergie. La Russie bénéficie d’une rente massive, intensifie son effort militaire en Ukraine (plus de matériel, plus de munitions). L’Europe voit son budget de défense comprimé par la hausse des prix de l’énergie ainsi que la contraction économique générale (inflation, taux élevés), ce qui réduit mécaniquement la capacité à atteindre les 2 % du PIB de défense. L’Iran devient un pion majeur du jeu eurasien, tandis que le Moyen‑Orient devient trop instable pour garantir l’accès des alliés occidentaux à l’énergie. Phase 3 (Printemps–Été 2026) La Chine s’engage contre Taïwan la Corée du Nord, qui pourrait profiter de la crise générale pour lancer une attaque limitée (ou simplement intensifier les provocations) contre le Sud, tandis que les États‑Unis voient leur attention diluée entre Moyen‑Orient, Europe de l’Est et Asie‑Pacifique. Profitant de la crise générale, Pékin intensifie le jeu militaire autour de Taïwan. Le lien est indirect, mais crucial : la distraction iranienne permet à la Chine de tenter une opération majeure sans affronter la pleine capacité militaire américaine. Conséquences globales cumulées Le commerce maritime devient extrêmement risqué (Hormuz + détroit de Taïwan). Les alliances de circonstance (Russie–Iran–Chine–Corée du Nord) deviennent de facto un bloc eurasien militaire, économique et technologique. L’Occident est condamné à une révision brutale de ses modèles d’approvisionnement en énergie, tandis que le coût du conflit devient un poids majeur sur la stabilité sociale interne (inflation, tensions géopolitiques, fragmentation de l’opinion). L’attaque nord‑coréenne mobilise davantage de ressources militaires américaines en Asie. Les États‑Unis, déjà accaparés par la sécurisation du Golfe et du pétrole du Moyen‑Orient, voient leur disponibilité opérationnelle saturée. L’Europe devient ainsi la variable d’ajustement par défaut : Contrainte par la hausse du coût de l’énergie. Incapable de s’engager militairement de manière significative (faute de ressources économiques). Dépendante de plus en plus du parapluie américain… lui‑même saturé. Ce n’est plus une succession de crises, mais un effet de meute synchronisé, où : Le nucléaire iranien devient le point de bascule initial. Le conflit en Ukraine bénéficie indirectement du renchérissement du pétrole. La Corée du Nord devient un multiplicateur du conflit majeur. Les États‑Unis voient leur capacité de répondre à toutes les menaces simultanément diminuer, tandis que l’Europe devient le ventre mou du jeu. Modifié le 23 juin par Picdelamirand-oil 1 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin il y a 9 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Israël, qui a déjà bombardé l'Iran fin juin, bénéficie désormais d'un soutien direct des États-Unis sur le plan militaire et diplomatique. Il est hautement probable que Tel Aviv intensifie ses frappes sur l'Iran, en coordination avec Washington, afin de poursuivre la stratégie visant à affaiblir durablement les capacités nucléaires et militaires iraniennes. Il y a un scénario qui pourrait éviter çà : engager fermement l'Europe dans la reconnaissance du nucléaire iranien. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 23 juin Auteur Share Posté(e) le 23 juin il y a 5 minutes, herciv a dit : Il y a un scénario qui pourrait éviter çà : engager fermement l'Europe dans la reconnaissance du nucléaire iranien. L'entité qui n'arrive déjà pas a reconnaitre "UN" état palestinien S'opposer à son maitre sur un sujet aussi sensible que la prolifération nucléaire meme pas en reve. La prolifération nucléaire est un tabou important pour les USA qui ne peuvent permettre au reste du monde une dissuasion du faible aux forts. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Coriace Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin (modifié) On peut bannir les "analyses" chatgpt ? @hercivque l'UE reconnaisse à une théocratie Islamiste qui a juré la destruction (entre autre)d'Israel, des USA et par extension de l'UE, le droit d'avoir des armes nucléaires ? Mais ce n'est même plus Munichois à ce niveau là, il faudrait un nouveau mot. Comment on appelle les habitants de Téhéran ? Modifié le 23 juin par Coriace 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin à l’instant, g4lly a dit : L'entité qui n'arrive déjà pas a reconnaitre "UN" état palestinien Je sais Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin à l’instant, Coriace a dit : On peut bannir les "analyses" chatgpt ? Elles sont anti sionistes ? 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin il y a 3 minutes, g4lly a dit : L'entité qui n'arrive déjà pas a reconnaitre "UN" état palestinien On peut espérer que certains suivent l'exemple de la Corée du Sud et du Japon. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin La France commence a rapatrier d'Israël. Il y a du taf. Au moins 250000 personnes pourraient être concernées. https://www.lesechos.fr/monde/afrique-moyen-orient/la-france-commence-a-rapatrier-ses-ressortissants-en-israel-2172295 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
aubais30 Posté(e) le 23 juin Share Posté(e) le 23 juin 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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