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[Iran]


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Les soviétiques le faisaient il y a 25 ans. Cela ne me semble pas "impossible" que les Iraniens y arrivent.

Par contre, pour de déterminer quel est le satellite à brouiller, et comment le suivre, j'aimerais bien savoir comment ils s'y sont pris !

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Les soviétiques le faisaient il y a 25 ans. Cela ne me semble pas "impossible" que les Iraniens y arrivent.

Par contre, pour de déterminer quel est le satellite à brouiller, et comment le suivre, j'aimerais bien savoir comment ils s'y sont pris!

C'est assez facile ... il y a des éphémérides tenu a jour par les astronome amateur sur les orbites des satellites. Quand un satellite est spotté et qu'il ne correspond a rien d'officiellement envoyé dans le ciel ... c'est soit un truc extra terrestre, soit un bidule espion. Apres il est assez rapide de faire le tri parmi ceux capacble d'envoyer ce genre de machin discret dans l'espace et qui ne veulent surtout pas le dire :lol:

Allo moscou c'est vous le satellite là? non non c'pas nous c'est le grand satan, vous pouvez vous amuser avec :lol:

Il suffit d'avoir des moyen d'astronomie décent pour observer un satellite en orbite basse, si tu arrive a pointer dessus ton télescope grosso modo tu arriveras aussi pointer dessus ton "gros" laser moyennant un peu de patience et de mécanique.

Toi aussi éblouis le satellite qui mate les fesses de ta femme qui bronze dans le ton jardin ---> http://www.heavens-above.com/

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J'ai eu une discussion interessante a propos de la prise de contrôle du drône cet après-midi avec un pro.

L'etat de l'art en france pour la protection des communications militaires il y a plus d'une décennie sur du matériel vendu au moyen orient c'était:

- évasion de fréquences a 5000 cycles/seconde sur une bande d'une centaine de Mhz a quelques milliers de Mhz en pseudo-aléatoire par algorythmes eux mêmes cryptés en 256bits , en laboratoire ils atteignaient 100.000 sauts/secondes .....il y a quinze ans et en france

- Une autre couche de cryptage pour les données en 256bits.

Il doute que qui que ce soit de nos jours soit seulement capable d'intercepter le signal , encore moins de le suivre quelques dixièmes de secondes , quand a pouvoir en faire quelque chose c'est juste impossible selon lui.

Il ne voit pas comment les USA auraient pu faire moins bien pour un drône espion et encore moins de nos jours...juste des foutaises selon ses termes.  

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apparemment le drone US n'était pas la première victime  :lol:

Téhéran prétend avoir quatre drones espions israéliens en sa possession

15/12/11

Le Tehran Times a rapporté, jeudi 15 décembre 2011, que l'Iran dispose de plusieurs avions espions étrangers en sa possession qu'il envisage de présenter prochainement.

L'Iran prévoit d’exposer publiquement plusieurs de ces avions espions sans pilote qu'elle prétend avoir en sa possession dans un proche avenir, y compris quatre drones israéliens, affirme le Tehran Times. Selon le quotidien iranien, l'Iran disposerait également de trois drones américains, y compris le RQ-170 américain déjà montré cette semaine. Les journalistes iraniens et certains ambassadeurs étrangers seront autorisés à visiter l'exposition.

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On peut parler d'evasion de frequence et de tout le tatoin qui va avec, l'essentiel est d'interrompre la communication, pas de rentrer dans le faisceau pour y decrypter les bits, et si on brouille le signal suffisamment pres du drone ou suffisamment fort, il doit etre assez facile de le faire tomber. Les iraniens aussi savent utiliser un four a micro-ondes, faudrait pas les prendre pour des chevres talibanes  :lol:

Prendre le controle d'un drone, doit etre la tache juste un cran au-dessus en terme de complexite technologique a mettre en oeuvre pour y parvenir, peut-etre encore un cran supplementaire pour le faire atterir sans trop de casse...

C'est pour ca qu'on ne peut baser ses moyens militaires sur les drones que tres partiellement, parce qu'on ne peut les utiliser a 100% qu'au dessus d'un terrain qu'on maitrise a minima. Les elucubrations visant une AdA constituee a 50% de drones, 25% de vecteurs pilotes et 25% de MdC me herissent le poil. Rien ne remplace l'autonomie et le jugement du pilote et de se qui se trouve entre ses 2 oreilles, ni la fiabilite de ses agissements quand il est place au coeur de l'action  8)

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Iran will launch 10 days of naval drills from Saturday around the Strait of Hormuz, a crucial oil shipping route, media said, after a rumour earlier this month that it planned to close the waterway. "Our naval drill will begin from 24 December lasting 10 days covering east of Strait of Hormuz and the Gulf of Oman to the Gulf of Aden", navy commander Admiral Habibollah Sayari was quoted as saying on Thursday by the Fars news agency.

http://www.navyrecognition.com/index.php/news/year-2011-news/december-2011-navy-naval-news/256-iran-to-hold-naval-drills-around-hormuz-straight.html
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La mayonaise commence à monter. l'idée ne plait pas beaucoup coté USA :lol:.

http://fr.news.yahoo.com/fermer-le-d%C3%A9troit-dormuz-serait-facile-dit-liran-152558039.html

TEHERAN (Reuters) - Fermer le détroit d'Ormuz, comme l'Iran menace de le faire, est "plus facile que de boire un verre d'eau", a assuré mercredi le chef de la marine iranienne qui mène depuis samedi des manoeuvres dans cette région où transite un tiers du pétrole transporté par mer.

"Fermer le détroit d'Ormuz est vraiment facile pour l'armée iranienne (...) Comme le disent les Iraniens, c'est plus facile que de boire un verre d'eau", a dit Habibollah Sayyari à la chaîne iranienne en langue anglaise, Press TV.

"Mais pour le moment nous n'avons pas besoin de le fermer puisque nous contrôlons la mer d'Oman et son trafic", a-t-il ajouté.

Quelques heures plus tard, le commandement de la Ve Flotte américaine, basée au Bahreïn, faisait savoir qu'un blocage du détroit d'Ormuz "ne serait pas toléré".

"Le libre passage des biens et des services par le détroit d'Ormuz est vital pour la prospérité de la région et du monde", a souligné un porte-parole de la Ve Flotte à Manama. "Quiconque menace la liberté de navigation dans un détroit international se met clairement en dehors de la communauté des nations et une interruption du trafic ne sera pas tolérée."

Environ un tiers du pétrole transporté par voie maritime a transité par le détroit en 2009, selon l'Agence américaine d'Information sur l'Energie (EIA) et les équipages de l'US Navy affectés à la sécurité de la zone.

L'essentiel du pétrole exporté par l'Arabie saoudite, l'Iran, les Emirats arabes unis, le Koweït et l'Irak ainsi que la quasi-totalité du gaz naturel liquéfié en provenance du Qatar emprunte cette voie de 6,4 km de large entre les rives du sultanat d'Oman et les côtes iraniennes.

La tension est montée d'un cran entre l'Iran et l'Occident depuis la publication début novembre du dernier rapport de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) selon lequel Téhéran aurait bien cherché à se doter de l'arme atomique et pourrait continuer à le faire.

Téhéran assure que son programme nucléaire est destiné uniquement à produire de l'électricité.

SANCTIONS

L'Iran a affirmé mardi que le pétrole cesserait de transiter par le détroit d'Ormuz si les exportations iraniennes d'hydrocarbures devaient faire l'objet de sanctions internationales.

L'Union européenne a renforcé ses sanctions contre l'Iran le 1er décembre en ajoutant 180 noms de personnalités et d'entités à la liste des compagnies déjà visées. L'imposition d'un embargo sur le pétrole iranien est actuellement à l'étude à Bruxelles.

"Si des sanctions étaient imposées (contre les exportations iraniennes d'hydrocarbures), cela créerait une situation anormale et pourrait ouvrir la voie à n'importe quelle action. Si le détroit d'Ormuz était fermé, aucun pétrole du Golfe ne serait exporté. La situation serait difficile pour tout le monde", a prévenu le gouverneur iranien de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), Mohammad Ali Khatibi.

"Le marché pétrolier tel qu'il fonctionne actuellement satisfait tout le monde, pourquoi certains pays veulent-ils changer la situation actuelle?", a-t-il ajouté.

"Nous espérons vraiment que ce pire scénario ne se produira pas parce qu'il nuirait à tout le monde, nous voulons que les choses restent stables pour les consommateurs, les producteurs et les investisseurs."

IMPACT DES SANCTIONS

En réponse aux menaces iraniennes, la France a appelé mercredi l'Iran à respecter la liberté de navigation.

"Comme sur les droits de l'homme et la prolifération nucléaire, nous appelons les autorités iraniennes au respect du droit international et en particulier de la liberté de navigation dans les eaux internationales et les détroits", a déclaré Bernard Valero, porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

"Le détroit d'Ormuz est un détroit international. En conséquence tous les navires, quel que soit leur pavillon, bénéficient du droit de passage en transit, conformément à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer adoptée en 1982 et au droit international coutumier de la mer", a-t-il ajouté dans un communiqué.

Selon un rapport de l'AIEA publié début décembre, l'Iran pourrait perdre près d'un quart de ses capacités de production pétrolière en cas de renforcement des sanctions internationales.

En déplacement dans la province d'Ilam (ouest) mercredi, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a une nouvelle fois affirmé que l'Iran ne céderait pas aux pressions internationales.

"Nous ne céderons pas à la pression exercée pour que nous abandonnions nos droits. Le peuple iranien ne renoncera pas à son droit (à la technologie nucléaire), même d'un iota, en raison des pressions", a dit le chef de l'Etat.

Certains responsables pétroliers iraniens ont toutefois indiqué que les sanctions internationales frappaient de plein fouet le secteur énergétique national qui dépend essentiellement de l'investissement étranger.

Si les quatre volets de sanctions adoptés par les Nations unies n'interdisent pas l'achat de pétrole iranien, la plupart des compagnies pétrolières internationales ont suspendu leur transactions avec l'Iran.

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Fermer le détroit d'Ormuz, comme l'Iran menace de le faire, est "plus facile que de boire un verre d'eau", a assuré mercredi le chef de la marine iranienne

C'est marrant, la dernière fois qu'ils ont essayé, leur marine s'est faite décimer...
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Principalement, mais Praying Mantis est la partie la plus violente de toute une série d'opérations US dans le Golfe face aux Iraniens en 87-88.

Operation Earnest Will : escorte de pétroliers par la Navy à partir de l'été 1987

Operation Prime Chance 1 : reconnaissances d'hélicos du 160th pour anticiper ce genre d'attaques

21 septembre 1987, une reconnaissance "Prime Chance" repère le navire Iran Ajr en train de poser des mines. Il est attaqué par les hélicos puis abordé par la Navy.

16 octobre 1987 : le pétrolier MV Sea Isle City se prend un missile Silkworm. En riposte, la Navy détruit deux plate-formes pétrolières iraniennes dans l'Operation Nimble Archer trois jours après.

Et enfin en avril 1988 le USS Samuel B. Roberts est endommagé par une mine iranienne et les américains ripostent avec l'opération Praying Mantis.

Les opérations d'escorte Earnest Will continuent ensuite jusqu'en septembre 1988 (en juillet 1988, le croiseur USS Vincennes prend un Airbus d'Iran Air venant de décoller pour un Tomcat iranien et l'abat, tuant tous les passagers), et les opérations Prime Chance jusqu'à lété 1989.

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C'est marrant, la dernière fois qu'ils ont essayé, leur marine s'est faite décimer...

La situation n'est quand même pas comparable, les tentatives des années 80' se résument à des raides légers de speedboat en fibre de verre prévus pour la pêche à la base et de mines dérivantes sans réel doctrine militaire digne de ce nom. Ils ont affrontés l'armada américaine de la même manière qu'ils attaquaient les tanker irakiens/koweitien.

Aujourd'hui ils ont une doctrine d'emploie des armes type asymétrique, des sous-marins , des missiles terre-mer, air-mer, missile balistique contre mer couvrant tout le golfe persique et la moitié de la mer d'Oman, des mines intelligentes style mine CAPTOR, des Speedboat militarisés etc.

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Ils n'étaient pas si incompétents que ça, tout de même. Ils avaient des missiles terre-mer (des batteries Silkworm, fournies par... les Chinois, encore eux ^^), une aviation en état de marche. Ils avaient causé pas mal de dégâts aux Irakiens aussi, même si j'entends déjà dire que la marine irakienne, ça n'était pas un adversaire si terrible que ça.

Quant à l'absence de doctrine... c'était quand même l'ancienne marine du Shah. Ils avaient encore de très beaux restes, malgré un contexte difficile.

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Ils n'étaient pas si incompétents que ça, tout de même. Ils avaient des missiles terre-mer (des batteries Silkworm, fournies par... les Chinois, encore eux ^^), une aviation en état de marche. Ils avaient causé pas mal de dégâts aux Irakiens aussi, même si j'entends déjà dire que la marine irakienne, ça n'était pas un adversaire si terrible que ça.

Quant à l'absence de doctrine... c'était quand même l'ancienne marine du Shah. Ils avaient encore de très beaux restes, malgré un contexte difficile.

Il faut aussi observer les moyens déployés par les US. Faible contingent de troupes mais deux PA sur zone il me semble. Techniquement la disproportion existe toujours mais la Navy serait contrainte de déployer beaucoup plus de monde sur zone d'une part et probablement de devoir consentir à une véritable renchérissement du prix des hydrcarbures pendant une durée certes pas éternelle mais potentiellement conséquente. Vu la capacité des USA en matière de guerre des mines et les moyens iraniens d'aujourd'hui, la question pourrait-elle même être réglée seule ?

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Il faut aussi observer les moyens déployés par les US. Faible contingent de troupes mais deux PA sur zone il me semble. Techniquement la disproportion existe toujours mais la Navy serait contrainte de déployer beaucoup plus de monde sur zone d'une part et probablement de devoir consentir à une véritable renchérissement du prix des hydrcarbures pendant une durée certes pas éternelle mais potentiellement conséquente. Vu la capacité des USA en matière de guerre des mines et les moyens iraniens d'aujourd'hui, la question pourrait-elle même être réglée seule ?

Dans ce cadre l'USNavy n'irait pas seule et c'est là que la doctrine des 1000 navy ship prendrait tout son sens. La lutte anti mine pourrait très bien etre menée par des alliés OTAN et la Royale, comme la Royal Navy ou comme la Regia Marina en sont tout à fait capables

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Ils n'étaient pas si incompétents que ça, tout de même. Ils avaient des missiles terre-mer (des batteries Silkworm, fournies par... les Chinois, encore eux ^^), une aviation en état de marche. Ils avaient causé pas mal de dégâts aux Irakiens aussi, même si j'entends déjà dire que la marine irakienne, ça n'était pas un adversaire si terrible que ça.

Quant à l'absence de doctrine... c'était quand même l'ancienne marine du Shah. Ils avaient encore de très beaux restes, malgré un contexte difficile.

La marine irakienne a été quasiment décimée lors de l'opération Morvarid (perle) dès le début de la guerre d'où son absence pour le reste du conflit.

La marine du Shah était une marine de type classique pas du tout taillée pour la guerre asymétrique. Depuis le début des années 90, la doctrine iranienne en ce qui concerne sa marine, est adaptée pour une guerre asymétrique avec l'objectif de bloquer le détroit et de faire face à la Vème flotte.

Une analyse pertinente avait été faite en 2008 par Fariborz Haghshenass de chez Washingtin Institut for near east policy http://www.metransparent.com/IMG/pdf/PolicyFocus87.pdf

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Pont plats à la mer :

http://www.navy.mil/navydata/navy_legacy_hr.asp?id=146

Ships Underway

  Underway Aircraft Carriers:

              USS Carl Vinson (CVN 70) - port visit Hong Kong

              USS Abraham Lincoln (CVN 72) - Pacific Ocean

            USS John C. Stennis (CVN 74) - 5th Fleet

  Underway Amphibious Assault Ships:

              USS Bataan (LHD 5) - 5th Fleet

              USS Makin Island (LHD 8) - 5th Fleet

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Ils auraient également lancé un SM de 600 tonnes dénommé Fateh, 4,5 fois plus grand que les classes Ghadir (Yono 120) mais 4,5 fois plus petit que les classe Kilo.

Une traduction du descriptif venant du site Mashreq contrôlé par les Pasdaran d'après ce que j'ai compris

Equipped with advanced sensors while reducing radar and sound effects and having secure communications systems for exchanging data with naval units and air units, Fateh [submarine] has become a part of Iran's naval defence system.

Navy commanders have known all the time that, despite the advantages that ships have in changing the course of a war, their biggest problem was being able to see ships and other vessels from far distances. Seeing ships with equipped eyes was possible only from a distance of around 30 km due to the curve of the earth. During the day this problem would be solved only in foggy weather. With the invention of submarines in 1775 and their proven effectiveness, a new chapter in naval wars began. As a naval vessel, submarines did not face the significant problem that ships had because they were underwater and hidden from view and range of ordinary weapons. Later, submarines were developed further for military purposes and with technological advances in naval physics and later naval mechanics this war machine became significantly more effective. Submarines were used extensively during the two world wars and with the start of the Cold War gradually a new nuclear submarine was built. These submarines are driven for years by a small nuclear reactor. Sometimes, they do not need fuel for the duration of their working life. Consequently, they can navigate endlessly as far as time is concerned. During the Cold War, nuclear submarines deployed with intercontinental ballistic missiles were used as an important balance of power tool. The Russians even put a satellite in space with these missiles from submarines.

Despite the significant capabilities of nuclear submarines, diesel submarines, which were later fitted with electrical engines, continued to be popular in naval forces because of operational needs such as movement in shallow waters, less noise, and offensive capabilities in engaging enemy submarines. Nowadays, the main submarines used in the world continue to be of the diesel electric kind, although there are projects for nuclear offensive submarines with a life span of 30 years without the need for refuelling.

As one of the oldest civilizations with a top naval power, Iran always wanted to have submarines in its naval force. This had not been realized before the revolution and, even after the revolution and many years after the imposed war [iran-Iraq War], this valuable tool did not exist in our country's navy.

According to Admiral Shamkhani, the naval commander at the time, in the decade of the 1990s Iran had the option of purchasing either missile launching ships or submarines from Russia. The experts chose submarines and today the advantage of this correct decision is known to all. With the purchase of these Russian submarines, the need arose for the country's experts to learn their technology. At the same time that they discovered and fixed the problems in these submarines they also began studies and the building of different kinds of submarines in accordance with local needs.

The Ghadir Submarine was the result of about a decade of scientific efforts and delivered to the Islamic Republic Naval Forces as a midjet [as received] submarine. Along with building small submarines such as Nahang and also wet submarines like Al-Sabehaat, measures were taken to design and build larger submarines. Tody, there is talk about two models of about 500 and 1,000-ton weight levels. These submarines, which seem to be the same Fateh and Bethat submarines that recently one of the deputies at the Naval Force talked about, are in fact a harbinger of a scientific revolution in the country's naval industries. Here we will introduce the Fateh submarine.

The 527-ton Fateh submarine is a medium-weight submarine and its tonnage under water is 593 tons. From the aspect of operational capabilities, this submarine is much better than Ghadir and has the ability to move in depths of 200 meters in normal conditions, while its maximum accessible depth is 250 meters.

In designing this submarine our country's experts have tried to maximize its combat capability. That is why Fateh has four launch centres for 533-millimeter torpedoes and the capacity to carry eight sea mines. It has been mentioned that this submarine has two reserve torpedoes. This can be interpreted in two ways: either there are two extra torpedoes in addition to the four existing ones in the launcher, or for each launcher two reserve torpedoes are considered. The second assumption would make the Fateh submarine a high constancy war machine.

Mashreq can report that Fateh can navigate the oceans for 35 days, which is a significant improvement from the Ghadir submarine. Fateh's speed on the surface is 11 knots (20.35 km per hour), while underwater it is 14 knots (25.9 km per hour). This submarine can carry underwater missiles and surface-to-air shoulder-launched missiles, and can also transport commandos to their destination. Considering that the main submarines announced so far have been heavy submarines and the light Ghadir submarine, we will make a comparison between these two and Fateh's capabilities. Information about these three submarines is diverse and there are little common characteristics among them.

As far as weight is concerned, Fateh is about 4.5 times heavier than the 114-ton Ghadir and 4.5-times lighter than the 2,350-ton Kilo [class] submarine. Ghadir has two 533 mm torpedo launchers and there is no information on any reserve torpedoes. However, some experts say it has the capacity to carry two reserve torpedoes. Kilo, which is also called silent killer, has six 533-millimeter torpedo launchers and can carry 18 torpedoes, 12 of which are reserve torpedoes. Fateh is Ghadir's big brother with four torpedo launchers and with two reserve torpedoes we can assume that it has two reserve torpedoes for each launcher (eight in total). Therefore, by adding to the launching chambers in Fateh's design, they were thinking of more launches over shorter time periods, as well as also holding more ammunition to stay in the battle longer. The conclusion is that Fateh's offensive capability at the start of a conflict is twice as great as Ghadir and two-thirds that of Kilo. Each three torpedoes of Fateh is equal to two torpedoes of Kilo, while every three torpedoes of Ghadir can do the job of one [torpedo of] Kilo submarine. With the depletion of ammunition, Ghadir is forced to either leave the conflict scene or embark on identifying and supervising.

Of course, we should note that more submarines mean the ability to engage more targets at the same time. Also building more Kilos may have been impossible, but it is possible to build a number of Fatehs and Ghadirs per year.

To further explain this, we should say that, if we consider two torpedoes for Ghadir the number of Fateh's reserve torpedoes is equal to that or four times that. However, even with 12 torpedoes, it still does not equal the 18 torpedoes of Kilo. In fact, Kilo can reload its six launchers twice and fire them at the enemy. If Fateh has eight reserve torpedoes, like Kilo it can reload its launchers twice, but in total it has six torpedoes less than Kilo.

On the number of mines, Fateh's ability to carry eight is equal to one-third of the Kilo submarine, which shows the country's decision to use fewer underwater mines. Other comparable features between Fateh and Kilo are their speeds. Both have the same speed on the surface, but underwater Kilo reaches 17 knots (31.45 km per hour) while Fateh reaches 14 knots, meaning 82 per cent of Kilo's speed. Also, maximum depth for Kilo is 300 meters and its operational depth is 240 meters, while for Fateh these numbers are 250 and 200. Therefore, the smaller and lighter submarine Fateh has reached 83 per cent of Kilo's capability. As far as the duration of missions are concerned, foreign sources say Kilo can navigate for 45 days, while Fateh navigates for 35 days. Therefore, in this feature, Fateh reaches about 78 per cent or more than two-thirds of Kilo's capability, while it is much lighter and smaller in dimensions.

Considering the speed of Fateh's navigation by using air pipes, which is eight knots (14.8 km per hour), we can estimate the range of Fateh to be more than 6,700 km. This is an impressive range that makes this submarine capable of missions beyond close waters into the north of the Indian Ocean and even the Gulf of Aden. In the overall comparison, we should say that, even though the Fateh submarine has only 23 per cent of the weight of Kilo on the surface, in its main technical characteristics it has reached 75 per cent (three-fourths) to more than 80 per cent (four-fifths) of the Kilo submarine's capabilities. Part of this success is owned to the use of advanced equipment in Fateh, which is very small and lighter than the foreign submarine, Kilo. With what they had, Iranian designers have made optimum use of Fateh's internal space. Like Ghadir, the systems used in Fateh are of the new kind with modern technology. While they reduce the need for service personnel, it also reduces the possibility of developing problems and lengthens the time between repairs. It has a simple process of identifying problems and repairing them.

Equipped with advanced sensors, while reducing radar and sound effects and having secure communications systems for exchanging data with sea level units and air units, Fateh has become a part of Iran's naval defence system. Considering that it is built locally, it will be less costly compared to foreign models of the same kind. In addition to making the enemy unable to infiltrate our shores, this submarine gives the Islamic Republic Navy a free hand to be present in the two strategic areas of the Strait of Malaga [as published] and Strait of Baab al-Mandeb. With its presence in our territorial waters and international waters close to our shores, it also makes the presence of submarines of the Kilo class and 1,000-ton Iranian submarines such as Be'that in high waters possible for carrying cruise missiles and even ballistic missiles possible.

Source: Mashreq News website, in Persian, 28 November

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