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[Iran]


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Il y a 6 heures, nemo a dit :

Trump aurait un peu trop tiré sur la corde?

Trump est le golden torrent qui fera peut-être déborder le vase,  ce qui serait une sacré performance vu que nos voisins  européens font tout ce qu'il peuvent pour agrandir le vase à leur frais, mais à la décharge de trump, le vase était déjà bien rempli à son arrivée, l'amende de BNP et d'autres datant  de Obama (qui avait le talent de nous faire des coups de p*** sans faire cesser le flot incessant de louanges à son égard dans nos médias).

Modifié par Carl
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Il y a 10 heures, Skw a dit :

Mais alors à bas bruit pour commencer. La société s'appelle Instex, basée en France, dirigeant allemand, capitaux Uk+Fr+De.

Article... du NyTimes.

Citation

After months of delay, and after enduring mockery from the Trump administration, three major European allies on Thursday finally introduced a financial mechanism [...].

The question now is whether anyone will actually use it.

The new company, called Instex, for Instrument in Support of Trade Exchanges, would essentially allow goods to be bartered between Iranian companies and foreign ones without direct financial transactions or using the dollar. By avoiding the American banking system and currency, the hope is that European companies and others will feel confident that they can do business with Iran without being subject to the sanctions.

[...]

On Tuesday, leaders of the American intelligence agencies told Congress that Iran was in compliance with the deal, which only covers nuclear activities and not other issues like missile development or support for terrorist groups. That judgment apparently outraged President Trump, who said in a Twitter message that “Perhaps Intelligence should go back to school!”

-> deepl tel quel ->

Après des mois de retard, et après avoir subi les moqueries de l'administration Trump, trois grands alliés européens ont finalement introduit jeudi un mécanisme financier [...].

La question qui se pose maintenant est de savoir si quelqu'un l'utilisera réellement.

La nouvelle société, appelée Instex, pour Instrument in Support of Trade Exchanges, permettrait essentiellement le troc de marchandises entre des sociétés iraniennes et des sociétés étrangères sans transactions financières directes ou utilisant le dollar. En évitant le système bancaire et la monnaie américaine, on espère que les entreprises européennes et d'autres auront confiance qu'elles peuvent faire des affaires avec l'Iran sans faire l'objet de sanctions.

[...]

Mardi, les dirigeants des services de renseignement américains ont déclaré au Congrès que l'Iran se conformait à l'accord, qui ne couvre que les activités nucléaires et non d'autres questions comme le développement de missiles ou le soutien aux groupes terroristes. Ce jugement a apparemment scandalisé le président Trump, qui a dit dans un message Twitter que "Peut-être que l'intelligence devrait retourner à l'école !"

Traduit avec www.DeepL.com/Translator

instex.fr et instex.eu ont été enregistrés déjà. :blush:

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  • 2 weeks later...

Mauvaise nouvelle pour l'Iran. Je ne vois pas très bien ce que pourrai faire l'Iran en représailles :

http://www.opex360.com/2019/02/14/teheran-promet-des-represailles-apres-un-attentat-meurtrier-commis-contre-les-gardiens-de-la-revolution/

L'attentat a été revendiqué peu après par Jaich al-Adl, un groupe rebelle. Qui vient du Sistan-Balouchistan. Mais que pourrai faire l'Iran en représailles ou pour contrer ce groupe ? Quelles sont les possibilités pour l'Iran ?

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Il y a 4 heures, Kelkin a dit :

Rare moment d'honnêteté en marge du sommet de Varsovie :

C'est avec ce genre de lecture que je remarque que les homme de paix partent les premiers, surtout si ils ont une vraie vision, alors que les trouduk' continuent à rependre/faire le mal sans même une sanction des urnes. Tiens, je vais aller pleurer en écoutant un peu de musique... 

Révélation

 

 

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Il y a 4 heures, Kelkin a dit :

Rare moment d'honnêteté en marge du sommet de Varsovie :

Un peu plus de détails dans cet article du Jerusalem Post de mercredi 13

Citation

435686

“From here I am going to a meeting with 60 foreign ministers and envoys of countries from around the world against Iran,” Netanyahu said

“What is important about this meeting – and this meeting is not in secret, because there are many of those – is that this is an open meeting with representatives of leading Arab countries, that are sitting down together with Israel in order to advance the common interest of combating Iran.” Netanyahu said.

On the northern front, Israel is working to oust Iran from Syria, Netanyahu said. 

"What we are doing is pushing and driving Iran from Syria. We are committed to doing this," he said. “It is cold in Warsaw right now but Israel's foreign relations are warming up, warming up for the better."

 

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La « guerre » contre l'Iran de Benjamin Netanyahu

À Varsovie, le Premier ministre israélien s'est félicité de son « intérêt commun » avec les pays du Golfe dans la « guerre » contre la République islamique.

https://www.lepoint.fr/monde/la-guerre-contre-l-iran-de-benjamin-netanyahu-15-02-2019-2293714_24.php#xtor=CS3-190

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  • 2 weeks later...

https://nationalinterest.org/blog/paul-pillar/trump-administrations-anti-iran-theatrics-failed-warsaw-45222 (21 février 2019)

La mise en scène anti-iranienne de l'administration Trump a échoué à Varsovie

Dans sa campagne obsessionnelle d'alimenter une hostilité maximale à l'égard de l'Iran, l'administration Trump est isolée, sauf en ce qui concerne les partenariats avec les rivaux régionaux de l'Iran, à savoir Israël, l'Arabie saoudite et les Emirats arabes unis.

La conférence est devenue ce que la plupart des gouvernements européens - dont la participation à la réunion était inégale et souvent de faible niveau - avaient averti qu'il s'agirait, à savoir d'une manifestation non pas de l'unité des États-Unis et de l'Europe sur la politique envers l'Iran, mais de leur désunion. Le fait que la déclaration finale de la conférence ne mentionne pas l'Iran doit être une grande déception pour l'administration.

(c'est moi qui souligne)

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Allégations de sabotage US du programme balistique et spatial iranien (taux d'échec de lancement de 67%...).
Les mêmes méthodes "left of launch" utilisées pour freiner le programme nord coréen... et ce depuis au moins 12 ans (Bush 2).

 

 

Modifié par rogue0
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  • 1 month later...

Bon bah finalement le gars Trump l'a fait Washington désigne les gardiens de la Révolution iranienne comme «organisation terroriste» (http://www.lefigaro.fr/international/washington-designe-les-gardiens-de-la-revolution-iranienne-comme-organisation-terroriste-20190408) et font maintenant pression sur les alliés en renforçant les sanctions

Comme d'habitude l'Iran applique la réciproque, et « déclare qu’il considère le régime des Etats-Unis comme un Etat parrain du terrorisme » et les forces américaines déployées au Moyen-Orient, dans la Corne de l’Afrique et en Asie centrale, comme des « groupes terroristes »...

Pour certains militaires américains, la décision de Donald met leurs troupes en danger. Bibi se marre et remercie de ce second cadeau (après la possible reconnaissance par les USde l'annexion du Golan par les Israéliens) en fin de campagne électorale. Les saoudiens doivent se marrer vu qu'eux, grand financier de l'intégrisme sunnite et du terrorisme (flemme de mettre les liens), ont bien avancé dans la construction de leur premier réacteur nucléaire d'essais (https://www.france24.com/fr/20190408-arabie-saoudite-reacteur-nucleaire-riyad-image-google-earth-iran-israel) sans être inquiété et sans avoir eu a signer de protocole additionnel de sur la non prolifération...

Quand à nous, Manu et la France dise : c'est pas bien de jeter de l'huile sur le feu... (mince, je trouve plus le lien)

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  • 3 weeks later...

ca sent comme une odeur de guerre.

L'Iran tente de raisonner Trump... sur Fox News

Le chef de la diplomatie iranienne a averti le président américain des risques de guerre entre Washington et Téhéran. Sur sa chaîne préférée.

https://www.lepoint.fr/monde/l-iran-fait-la-lecon-a-trump-sur-fox-news-29-04-2019-2310031_24.php#xtor=CS3-190

 

C'est un invité pour le moins inattendu qu'a reçu vendredi Chris Wallace sur le plateau de Fox News. Les téléspectateurs de l'émission Fox Sunday diffusée dimanche par la chaîne américaine conservatrice ont eu la surprise d'apercevoir sur l'antenne le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif. Ancien ambassadeur de la République islamique à l'ONU, le chef de la diplomatie iranienne, qui a étudié aux États-Unis et s'exprime parfaitement en anglais, n'est pourtant pas connu pour être un adepte de la chaîne de télévision préférée de Donald Trump. Mais l'Iran étant plongé dans une grave crise économique, la voix officielle de l'Iran à l'étranger s'est résolue à s'adresser au pensionnaire de la Maison-Blanche.

FoxNewsSunday✔@FoxNewsSunday

Iranian Foreign Minister says 4 key leaders are trying to drag Trump into a conflict with Iran

L'Iran face « au groupe des B »

« Israël, John Bolton, l'Arabie saoudite et les Émirats arabes unis ont tous montré leur souhait d'entraîner les États-Unis dans un conflit [avec l'Iran] », a déclaré Mohammad Javad Zarif. Il a notamment dénoncé ce qu'il appelle le « groupe des B », autrement dit le conseiller américain à la Sécurité nationale, John Bolton, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu (dit « Bibi », NDLR), le prince héritier saoudien Mohammad ben Salmane (MBS), et le prince héritier d'Abu Dhabi, Mohammed ben Zayed (MBZ), tous les quatre à la pointe de la lutte contre la « politique déstabilisatrice » de la République islamique d'Iran.

Lire aussi États-Unis-Iran : Trump allume la mèche

Se positionnant en victime, le ministre iranien, voix fluette et vocabulaire sommaire, a soigneusement évité les questions dérangeantes de Chris Wallace pour interpeller indirectement le président américain. « Je ne pense pas que le président Trump souhaite cela. Je pense que le président Trump a fait campagne en promettant de ne pas conduire les États-Unis dans une autre guerre. »

Trump n'est pas un va-t-en-guerre

Des propos qui ont dû faire sourciller de l'autre côté de son écran un certain Donald Trump. Durant la campagne présidentielle, le milliardaire républicain a en effet pourfendu les interventions américaines en Irak (2003) et en Libye (2011), avant de passer aux actes à son arrivée à la Maison-Blanche. En décembre dernier, le président américain a annoncé à la surprise générale le retrait des 2 000 forces spéciales américaines opérant en Syrie (il devrait finalement en rester 200, NDLR). Puis, dans la foulée, il a décidé de réduire sensiblement le nombre de soldats américains opérant en Afghanistan, soit environ la moitié des 14 000 troupes sur place.

FoxNewsSunday✔@FoxNewsSunday

Iranian Foreign Minister talks Trump having an America First agenda

En ce qui concerne l'Iran, Donald Trump n'a jamais exprimé son souhait d'entrer en guerre contre la République islamique. Lui, qui avait promis durant la campagne présidentielle de « déchirer » l'accord sur le nucléaire iranien – le « pire jamais conclu par les États-Unis » selon lui –, a tenu parole en se retirant du texte en mai 2018, alors que celui-ci avait été également signé par la Chine, la Russie, le Royaume-Uni, la France et l'Allemagne et qu'il avait été endossé par une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU. « Le message [envoyé] est que les États-Unis ne sont pas fiables », a souligné Mohammad Javad Zarif sur Fox News. Et d'ajouter, au sujet de Donald Trump, en utilisant soigneusement ses mots : « Peut-être croit-il à l'Amérique d'abord, mais l'Amérique ne peut être première dans un environnement global qui n'est pas sûr [...] Vous pouvez vivre dans un environnement global sûr que si vous vous respectez vous-même en respectant votre signature. »

Lire aussi Les États-Unis veulent-ils attaquer l'Iran ?

Sanctions « les plus dures de l'histoire »

Depuis qu'il a quitté l'accord sur le nucléaire, Donald Trump prône une « pression maximale » sur le régime iranien pour l'amener à « changer de comportement » au Moyen-Orient et le contraindre d'accepter un accord global avec Washington. Son secrétaire d'État, Mike Pompeo, a ainsi énuméré une liste de douze conditions à respecter par Téhéran pour la conclusion d'un nouveau texte, parmi lesquelles figurent notamment l'arrêt total des activités nucléaires iraniennes, la fin de la prolifération de ses missiles balistiques, ainsi qu'un retrait de l'Iran et de ses groupes alliés de la Syrie, de l'Irak, du Liban et du Yémen. « Une reddition pure et simple », résume-t-on à Téhéran, où l'on a catégoriquement rejeté le diktat américain.

FoxNewsSunday✔@FoxNewsSunday

Mohammad Javad Zarif says President Trump pulled out of the Iran Deal because he didn't like President Obama

Pour mettre l'Iran à genoux et le contraindre à accepter ses conditions, le président américain a prononcé deux salves de sanctions drastiques – « les plus dures de l'histoire », a-t-il dit – contre le système bancaire et le pétrole iranien, en août et novembre 2018. Or, celles-ci ont contribué à faire plonger la monnaie iranienne, qui a perdu 70 % en un an, et ont nourri l'inflation qui avoisinerait les 40 %. D'après les chiffres du Fonds monétaire international, l'économie devrait à nouveau être en récession cette année de 6 %, après avoir déjà perdu 3,9 % en 2018. De quoi alimenter le mécontentement grandissant de la population iranienne vis-à-vis du régime, accusé de gabegie et de corruption, et alimenter les manifestations sporadiques qui secouent toujours l'Iran.

Pression des faucons

Mais ces mesures punitives américaines n'ont pour l'heure pas changé d'un iota la politique iranienne au Moyen-Orient. Téhéran continue à soutenir le Hezbollah au Liban, le Hamas et au Djihad islamique à Gaza, le régime syrien à Damas, les milices chiites irakiennes en Iran, et dans une moindre mesure, les rebelles houthis au Yémen. L'Iran poursuit des activités nucléaires limitées dans le cadre de l'accord sur le nucléaire qu'il respecte toujours, selon l'Agence internationale de l'énergie atomique, ainsi que ses tests de missiles balistiques. « Je pense que les intentions du président Trump, faire pression sur l'Iran – la politique de pression maximale – dans le but de mettre l'Iran à genoux pour que l'on cède à la pression, sont vouées à l'échec », a souligné le ministre iranien des Affaires étrangères sur Fox News. « Et je pense que les quatre individus le savent. »

FoxNewsSunday✔@FoxNewsSunday

Iranian Foreign Minister, Mohammad Javad Zarif says the United States involvement in the region has only caused more problems

Sous l'impulsion de ses faucons, John Bolton et Mike Pompeo, et en étroite collaboration avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, Donald Trump a récemment accentué la pression sur Téhéran en classant les Gardiens de la révolution, l'armée idéologique de la République islamique, sur la liste américaine des organisations terroristes, une première pour une entité faisant partie d'un gouvernement étranger. « À Téhéran, le ministre des Affaires étrangères estime que Trump a pris cette décision pour augmenter la pression sur l'Iran afin d'arriver à un nouvel accord, mais aussi de satisfaire Israël », confie une source proche du dossier. « Mais Mohammad Javad Zarif estime que Mike Pompeo, John Bolton, Benjamin Netanyahu, Mohammed ben Salmane et Mohammed ben Zayed cherchent de leur côté un affrontement militaire avec l'Iran et il est possible que cela arrive. »

« Propagande et désinformation » (Bolton)

C'est exactement . « La nouvelle accusation [des États-Unis vis-à-vis des Gardiens de la révolution] est très dangereuse, car je pense que l'équipe des B veut en réalité pousser les États-Unis, et votre président Trump, vers une confrontation qu'il ne souhaite pas. » En classant les Pasdaran iraniens sur leur liste des organisations terroristes, les Américains suppriment les derniers canaux de communications qui existaient entre eux, en Syrie, en Irak, ou dans les eaux du Golfe persique, augmentant considérablement le risque d'incidents entre militaires américains, gardiens de révolution et les groupes qui leur sont inféodés dans la région. « Or, en l'absence de réseaux de communication dans cette période fragile, il y a de fortes chances qu'un incident entre Iraniens et Américains ne se transforme en guerre », avertit Ariane Tabatabaei, chercheuse en sciences politiques associée à la Rand Corporation.

FoxNewsSunday✔@FoxNewsSunday

.@AmbJohnBolton responds to Chris' interview with the Foreign Minister of Iran #FNS #SundayMorning

S'il est difficile de mesurer l'impact réel qu'a pu avoir cette interview sur Donald Trump, Fox News n'a en tout cas pas laissé le doute s'immiscer dans l'esprit du président américain. Immédiatement après Mohammad Javad Zarif, c'est John Bolton qui était l'invité de la chaîne américaine. Le conseiller américain à la Sécurité nationale y a notamment dénoncé une « propagande soigneusement préparée [...] pour désinformer le corps politique américain ». Visé personnellement par le ministre iranien durant son entretien, John Bolton a déclaré que la politique iranienne de Donald Trump était claire avant même qu'il intègre l'administration en mars 2018. « Il s'agit d'imposer une pression maximale sur le régime pour qu'il change de comportement », a-t-il souligné. Et d'ajouter, au sujet de son accusateur : « Et je crois que cela fonctionne et c'est la raison pour laquelle ils sont inquiets. »

Modifié par zx
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il y a une heure, zx a dit :

L’arrivée d’un porte-avions américain au Moyen-Orient annoncée d’une façon tonitruante par Washington

Et M. Bolton d’insister : « Les États-Unis ne cherchent pas la guerre avec le régime iranien, mais nous sommes totalement préparés à répondre à toute attaque, qu’elle soit menée par procuration, par le corps des Gardiens de la Révolution islamique ou par les forces régulières iraniennes. »

Ça me fait penser au sketch du blouson noir de Coluche " Bob, tu vois, il est sympa s'tu veux, mais il t'attaque pas, y cherche à se défendre". 

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il y a 13 minutes, Phacochère a dit :

Et M. Bolton d’insister : « Les États-Unis ne cherchent pas la guerre avec le régime iranien, mais nous sommes totalement préparés à répondre à toute attaque, qu’elle soit menée par procuration, par le corps des Gardiens de la Révolution islamique ou par les forces régulières iraniennes. »

Ça me fait penser au sketch du blouson noir de Coluche " Bob, tu vois, il est sympa s'tu veux, mais il t'attaque pas, y cherche à se défendre". 

depuis le temps que les USA menacent l'Iran j'ai fini pas en oublier la raison ..... ils veulent quoi concrètement les USA puisque de toutes les façons ce n'ai jamais assez ?

 

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