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Wallaby

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Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. https://www.thailande-fr.com/politique/106731-la-chine-envisage-une-implantation-militaire-en-thailande (2 septembre 2020) Les États-Unis estiment également que le Cambodge a signé un accord secret avec Pékin pour permettre aux forces armées chinoises d’utiliser l’une de ses bases navales – une information que les deux pays asiatiques ont publiquement démenti, selon le rapport.
  2. https://www.lefigaro.fr/flash-eco/hollywood-s-autocensure-pour-gagner-le-marche-chinois-accuse-un-rapport-20200805 (5 août 2020) Scénaristes, producteurs et réalisateurs pratiquent des altérations en tout genre, dans l'espoir de toucher les 1,4 milliard de consommateurs que compte la Chine, selon Pen America, association américaine de défense de la liberté d'expression. Cela va, relève-t-elle, de la suppression d'un drapeau taïwanais du blouson de Tom Cruise dans «Top Gun: Maverick» à l'effacement de la Chine comme source d'un virus zombie dans le film «World War Z», sorti en 2013. Il s'agit aussi d'éviter certains sujets sensibles, tels que le Tibet, Taïwan, Hong Kong ou le Xinjiang, et de ne pas montrer des personnages de la communauté LGBTQ. «L'apaisement du gouvernement chinois et de leurs censeurs est devenu une façon comme les autres de faire des affaires», souligne le rapport. A Hollywood, certaines personnes «s'approprient volontairement ces restrictions, sans qu'on le leur demande», et d'autres invitent les censeurs chinois sur les tournages, dénonce encore le rapport.
  3. https://www.corona24.news/c/2020/09/01/free-corona-test-china-arouses-suspicion-in-hong-kong.html À partir du 1er septembre, vous pourrez faire un test corona gratuit à Hong Kong, payé et effectué par des médecins et des entreprises de la République populaire de Chine. Cela semble formidable, mais Charis Cheung, une infirmière de 47 ans de l'hôpital Princess Margaret de Hong Kong, ne se soucie pas d'y participer. "C'est dangereux", dit-elle via un lien vidéo. "J'ai surtout peur que mon ADN ne finisse dans une base de données en Chine. Le microbiologiste Ho Pak-Leung a déclaré à la radio de Hong Kong que tester tout le monde revient à "gaspiller des munitions", car le nombre d'infections est relativement faible. Hong Kong pourrait avoir à faire face à une troisième vague de corona, mais le nombre total d'infections est actuellement inférieur à cinq mille. Le nombre de nouveaux cas a également fortement diminué récemment : le 1er septembre, il n'y en avait que neuf. Alors pourquoi procéder à des tests massifs ? La Chine l'a déjà fait dans la ville chinoise de Wuhan, où l'épidémie a débuté. Là, près de dix millions de personnes ont été testées en dix jours. Ce qui n'a donné que trois cents cas asymptomatiques. L'opposition de l'éminent microbiologiste Ho aux tests de masse lui a valu des critiques féroces sans précédent de la part de Carrie Lam personnellement. Sans le citer nommément, elle a déclaré que "les soi-disant experts, médecins ou membres du public continuent à chercher des excuses pour dissuader les citoyens de se faire tester". Ben Cowling, chef du département d'épidémiologie et de biostatistique de l'université de Hong Kong, est prudent quant à savoir s'il se sent injustement traité par les commentaires de M. Lam. Il s'est également exprimé à la BBC en faveur de tests ciblés, et non de tests sur l'ensemble de la population de Hong Kong. "J'espère qu'elle ne fait pas référence à moi", dit-il en réponse à des questions écrites. "Je ne le pense pas non plus. J'ai exprimé mon inquiétude quant à l'absence de logique scientifique pour les tests de masse. C'est une question scientifique, pas politique. ”
  4. L'Uranium, ce n'est plus vraiment la fête. Quant à l'or c'est les Suisses, les Sud-Africains, les Canadiens.
  5. En anglais. Mais elle reste écrite en chinois (中華民國).
  6. Marc-Antoine Pérouse de Montclos (5 octobre 2018) 11:50 Et puis le dernier argument que je voudrais mettre en évidence et il est davantage d'ordre méthodologique pour nous chercheurs, c'est finalement la nécessité pour nous aussi de déconstruire la mise en récit des menaces globales. Alors ça, je crois que c'est très important parce que quand vous regardez tous les protagonistes de la lutte antiterroriste contre les groupes djihadistes aujourd'hui, y compris les groupes djihadistes, ils ont tous intérêt à globaliser la menace. Alors les États concernés qui sont souvent des gouvernements autoritaires, c'est le moins qu'on puisse dire et peu démocratiques et très corrompus, c'est formidable pour eux le terrorisme, c'est une nouvelle rente qui remplace celle du communisme du temps de la guerre froide. Autrefois on monnayait son soutien à l'occident contre un soutien financier et militaire la coopération etc en promettant de ne pas basculer dans le camp soviétique. Aujourd'hui heureusement qu'il y a l'épouvantail Osama ben Laden pour vendre du soutien. C'est pas l'actuel gouvernement où son prédécesseur qui va critiquer des gouvernements extrêmement démocratiques comme ceux d'Idriss Deby au pouvoir depuis 1990 ou bien de Paul Biya au pouvoir depuis 1982 sans même parler d'IBK dont tout le monde connaît l'extrême intégrité et la capacité à bien gérer la reconstruction de son pays. Donc effectivement à partir du moment où ces gouvernements sont alliés, là en l'occurrence de la France, pour combattre cette menace que l'on nous présente comme globale, comme si demain Boko Haram allait commettre des attentats là devant la Fondation Jean Jaurès, effectivement ça crée de l'effroi mais du coup on tait les critiques contre des gouvernements qui sont très largement responsables de la montée en puissance de ces groupes soit par défaut parce qu'ils n'ont pas su protéger les populations et bien gérer les conflits, soit activement parce que justement leur répression donne de la légitimité à des djihadistes qui se présentent comme des résistants voire même des nationalistes en Somalie contre l'occupation militaire américaine ou par procuration éthiopienne ou kenyane.
  7. Mais en fait cette carte est un peu trompeuse : Marc-Antoine Pérouse de Montclos (5 octobre 2018) 30:15 C'est tous les travaux de Stephen Pinker mais ça vaut vraiment pour la zone sahélienne, c'est à dire qu'en fait on a une létalité des conflits qui ne cesse de s'amoindrir. Il y a moins de conflits armés en Afrique. Mais néanmoins on vous présente l'Afrique, notamment sahélienne comme à feu et à sang et on n'avait jamais vu ça c'est inédit. Et du coup on se prémunit parce que nos standards de sécurité ne cessent de s'élever donc pour se protéger finalement on considère comme rouges des zones où autrefois on pouvait se rendre mais qui n'étaient pas [moins ?] menacées.
  8. https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2020/08/21/coronavirus-ce-que-l-on-sait-et-ce-que-l-on-ignore-sur-les-contaminations-en-exterieur_6049561_4355770.html (21 août 2020) Les contaminations en milieu extérieur sont a priori nettement plus rares qu’en intérieur, car la densité humaine y est généralement moins élevée. Les virus sont aussi confrontés aux éléments naturels : le vent ou la brise permettent de les disperser, et les rayons ultraviolets détruisent assez efficacement les particules virales. « Avec le vent, la particule fine va vraiment voyager loin, mais, en voyageant sur cette distance-là, elle se dilue », selon Jean-François Doussin, qui fait le parallèle avec un phénomène plus perceptible, la fumée de cigarette : plus celle-ci va voyager loin, plus elle se dissipera et deviendra inodore. Il est également permis de penser que la plupart des lieux de passage ne permettent pas des contacts suffisamment prolongés pour que la dose virale inhalée devienne infectante. Ces suppositions faites, il n’existe quasiment pas de données sur les contaminations en extérieur, hormis celles d’une étude chinoise [1] disponible en prépublication (à un stade où elle n’a donc pas été relue par d’autres chercheurs). Sur 318 foyers de transmission (« clusters ») identifiés entre janvier et février 2020 dans 120 villes chinoises, un seul comportait un environnement extérieur. La pertinence de ces données est toutefois à nuancer, du fait du peu d’activité touristique en extérieur à cette période. Contactée par Le Monde, l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France affirme n’avoir repéré aucun cluster impliquant un environnement exclusivement extérieur. Même si un événement s’est déroulé en partie à l’air libre, l’ARS ne peut pas distinguer précisément le mode de contamination : gouttelettes en suspension dans l’air, contact direct et prolongé entre personnes, contamination en lieu clos, etc. Au niveau national, la plupart des foyers détectés se sont formés dans des endroits fermés. [1] https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.04.04.20053058v1 (7 avril 2020) Indoor transmission of SARS-CoV-2 - Hua Qian, Te Miao, Li LIU, Xiaohong Zheng, Danting Luo, Yuguo Li Contexte : Début avril 2020, la pandémie COVID-19 avait infecté près d'un million de personnes et s'était propagée à presque tous les pays du monde. Il est essentiel de comprendre où et comment le SRAS-CoV-2 se transmet. Les méthodes : Les rapports de cas ont été extraits des commissions sanitaires municipales locales de 320 villes préfectorales (municipalités) en Chine, à l'exclusion de la province de Hubei, entre le 4 janvier et le 11 février 2020. Nous avons identifié tous les foyers impliquant trois cas ou plus et avons examiné les principales caractéristiques des espaces clos dans lesquels les foyers ont été signalés ainsi que les problèmes d'environnement intérieur associés. Résultats : Trois cent dix-huit foyers avec trois cas ou plus ont été identifiés, impliquant 1 245 cas confirmés dans 120 villes préfectorales. Nous avons divisé les lieux où les foyers sont apparus en six catégories : habitations, transports, alimentation, divertissements, achats et divers. Parmi les foyers identifiés, 53,8% concernaient trois cas, 26,4% quatre cas et seulement 1,6% dix cas ou plus. Les foyers domestiques étaient la catégorie dominante (254 foyers sur 318 ; 79,9 %), suivis par les transports (108 ; 34,0 % ; à noter que de nombreux foyers concernaient plus d'une catégorie de lieux). La plupart des foyers domestiques ont concerné trois à cinq cas. Nous n'avons identifié qu'un seul foyer dans un environnement extérieur, qui concernait deux cas. Conclusions : Tous les foyers identifiés de trois cas ou plus sont survenus dans un environnement intérieur, ce qui confirme que le partage d'un espace intérieur est un risque majeur d'infection par le CoV-2 du SRAS. https://www.corona24.news/c/2020/05/26/is-the-chance-of-contamination-indoors-as-great-as-outdoors.html (26 mai 2020) Selon plusieurs études, le risque de contamination à l'extérieur est beaucoup plus faible qu'à l'intérieur. "Un contact de courte durée présente un risque très faible. Un coureur que vous dépassez dans les bois ne me semble pas poser de problème", explique Mme Bruijning [épidémiologue à l'hôpital universitaire d'Utrecht]. Elle est donc favorable au retour à la normale des sports d'équipe. Y compris donc par des entraînements et des compétitions réguliers. "Bien sûr, je ne parle pas d'un match de lutte, mais de football ou de hockey, par exemple. Ce contact à court terme ne devrait pas être un problème". Elle ne pense pas cela simplement parce que c'est amusant de rejouer des matchs. "Si nous laissons tomber les mesures qui ne sont pas très utiles dans ce confinement intelligent, vous obtenez un soutien pour garder les autres mesures importantes plus longtemps. Je dirais "soyez intelligent"." Vous devriez donc pouvoir faire de l'exercice à l'extérieur, mais cela ne veut pas dire que tout est soudainement une bonne idée à l'extérieur. Si vous dînez pendant des heures avec un groupe d'amis, avec un auvent au-dessus de votre tête, et que vous tenez les couverts des autres, cela peut être risqué, dit M. Bruijning. Et les festivals ou les manifestations à l'extérieur sont également risqués. "Là, vous êtes en contact avec beaucoup de gens différents et il y a des conversations ou des chants bruyants. Ce sont des choses pour lesquelles nous disons : vous ne devriez pas faire cela".
  9. Pour moi le travail d'un épidémiologue consiste entre autres à faire des statistiques et de calculer des proportions, et de les mettre dans un diagramme de Pareto. De cette façon on peut classer les différents modes de contamination en fonction de leur occurrence statistique, ce qui permet de s'attaquer à ceux qui ont le plus grand poids statistique en priorité. Idéalement, il faudrait pouvoir faire ce classement également concernant les transmission de virus hors clusters, ce que tu nommes les "cas diffus". Ne disposant pas de statistiques sur les cas diffus, n'est-il pas légitime de supposer, en première approximation, que les proportions des différents modes de contamination des cas diffus sont les mêmes que les proportions des cas de clusters ? D'autre part, il y a une proportion qui me parait cruciale pour décider de la politique en matière de port de masque, qui est la proportion de cas de transmission en plein air par rapport aux cas de transmission à l'intérieur de bâtiments. Mon intuition profonde est que le poids statistique des transmission en plein air est minuscule par rapport au poids statistique des transmissions à l'intérieur des bâtiments. Cette transmission en plein air se produit peut-être dans de rares cas, mais mon hypothèse est qu'elle n'est pas significative statistiquement, que ce soit pour les cas diffus ou pour les clusters. Y a-t-il un seul cas publié dans une revue médicale à comité de lecture décrivant une transmission en plein air ?
  10. https://www.stern.de/gesundheit/corona-news--gegner-der-corona-politik-wollen-taeglich-in-berlin-demonstrieren-9396510.html (1er septembre 2020) Selon Christian Drosten, les personnes qui ont survécu à une maladie Covid-19 sont protégées contre le fait de l'attraper à nouveau. Au moins pour la durée de la pandémie actuelle, l'immunité devrait se poursuivre, a déclaré le virologue de l'hôpital de la Charité de Berlin dans un podcast de la NDR. "Je suis très confiant à ce sujet." Dans des cas exceptionnels, un nouveau contact avec le virus pourrait éventuellement entraîner une nouvelle infection superficielle, mais il est peu probable qu'il en résulte une pneumonie grave. En raison de la concentration plus faible du virus dans ces cas, aucune autre grappe d'infection ne devrait se développer. Les cas de réinfections signalés ces derniers jours sont appelés "cas rares" par Drosten. Ils n'auraient probablement aucune importance épidémiologique en termes de propagation et de dangerosité. Les scientifiques rapporteraient ces cas dans les communications, les médias s'en empareraient et en tireraient de nombreuses questions, par exemple sur l'immunité ou l'efficacité des vaccins. "Ceci ne décrit pas la réalité médicale et le cas normal."
  11. https://www.huffingtonpost.fr/entry/pour-continuer-lecole-en-plein-coronavirus-les-familles-americaines-ont-trouve-une-solution_fr_5f4b58c6c5b697186e3747f1 (30 août 2020) Une solution trouvée aux États-Unis en pleine épidémie de coronavirus qui peut coûter jusque 10.000 dollars par trimestre... Ces “capsules” (“pods”, en anglais) qui se développent un peu partout à travers le pays sont constituées de petits groupes d’enfants, souvent du même quartier, se réunissant dans les maisons des uns et des autres pour travailler avec un enseignant ou un tuteur qui est souvent présent physiquement, “Sur le principe, les capsules d’apprentissage semblent être une solution nécessaire à la crise actuelle”, souligne Clara Totenberg Green, spécialiste de l’éducation pour les écoles publiques d’Atlanta, dans un article du New York Times. “Mais en pratique, elles vont accentuer les inégalités, la ségrégation raciale et les écarts de réussite au sein des écoles”, avertit-elle. “Les enfants des parents qui ont les moyens de rejoindre des capsules vont très probablement revenir à l’école en étant plus avancés académiquement, alors que de nombreux enfants défavorisés auront du mal chez eux sans ordinateur ou sans une bonne connexion internet pour suivre l’enseignement à distance”, conclut Clara Totenberg Green.
  12. http://ncov.mohw.go.kr/en/infoBoardView.do?brdId=14&brdGubun=141&dataGubun=&ncvContSeq=3401&contSeq=3401&board_id=&gubun= (19 août 2020) Gouvernement coréen : Code de conduite pour le public 1. Ne sortez pas. n'allez pas au travail. ou n'allez pas à l'école si vous n'êtes pas bien avec de la fièvre ou des symptômes respiratoires (par exemple, toux, mal de gorge, douleurs musculaires). *Si une fièvre de 38 degrés Celsius ou plus élevée persiste. ou si les symptômes se détériorent, contactez le centre d'appel du KCDC au 1339/code de zone+120 ou un centre de santé publique local. 2. Reportez ou annulez les courses non essentielles, les réunions, les dîners, les événements, les voyages, etc. {Repas) Choisir des plats à emporter/livraison plutôt que de manger dans un restaurant/café. *En particulier, reportez ou annulez les événements ou les rassemblements s'ils fournissent des repas car de nombreux cas récemment signalés ont été rapportés où les gens ont été infectés en mangeant ensemble. (Exercice) Évitez les salles de sport et faites de l'exercice à la maison. (Rassemblements sociaux) Organiser des rassemblements virtuels plutôt que des rassemblements en personne. (Utilisation maximale des PC/Smartphones) 3. Lorsque vous sortez en public, respectez les mesures de prévention et de contrôle des infections, y compris le port d'un masque, et évitez les espaces clos et bondés mal ventilés. N'oubliez pas d'éviter les trois C : [Crowded places] les lieux bondés, [Close contact settings] les lieux où les contacts sont étroits et [Confined and enclosed spaces] les espaces confinés et fermés. {Port du masque) Veillez à porter un masque à l'intérieur et à le garder à l'extérieur s'il n'est pas possible de garder une distance de deux mètres *Évitez les activités qui ne peuvent pas être faites avec un masque, comme manger, chanter et prodiguer des encouragements à haute voix. (distanciation) Gardez une distance de deux mètres (au moins un mètre) par rapport aux autres. -Veillez à ne pas vous livrer à des activités qui libèrent des gouttelettes respiratoires dans l'air, comme crier, scander et prodiguer des encouragements à haute voix. Evitez également les contacts physiques tels que les poignées de main et les accolades.
  13. https://www.leparisien.fr/paris-75/covid-19-sept-tentes-de-depistage-gratuit-des-lundi-a-paris-30-08-2020-8375487.php Voir en bas de l'article la vidéo "Covid-19 : 4 heures d'attente pour un dépistage le week-end, «c'est l'enfer»"
  14. https://taiwaninfo.nat.gov.tw/news.php?unit=56&post=182432 (3 août 2020) Dans un communiqué, le dalaï-lama a souligné la réalisation exceptionnelle constituée par la contribution du président Lee Teng-hui au développement démocratique de Taiwan. « Le meilleur hommage que nous pouvons lui rendre est de nous souvenir de son courage et de sa détermination et de s’inspirer de son dévouement envers la démocratie », a-t-il déclaré. François de Rugy, président à l’Assemblée nationale française du Groupe d’études à vocation internationale sur les questions liées à l'expansion de l’économie taiwanaise, a salué « la mémoire de Lee Teng-Hui, premier président élu de Taiwan, qui vient de disparaître ». « Il a beaucoup œuvré pour la mise en place et l’ancrage d’une véritable démocratie. Cet héritage est bien vivant. Mes plus sincères condoléances à ses proches et à tous les Taiwanais », a-t-il ajouté. Plusieurs députés et sénateurs français ont eux aussi fait part de leurs condoléances.
  15. https://www.thelocal.dk/20200828/danish-intelligence-scandal-related-data-sharing-with-us-agency-according-to-media (28 août 2020) La coopération entre l'agence de renseignement militaire danoise Forsvarets Efterretningstjeneste (FE) et son homologue américaine, la National Security Agency (NSA), a été liée aux récentes critiques d'un organisme de surveillance officiel à l'encontre du service danois. La radio danoise DR rapporte cette connexion sur la base de sources anonymes indépendantes. La collaboration est décrite dans le reportage comme une collecte top-secrète d'un grand nombre de données brutes provenant de l'accès par câble donné par FE à la NSA. Le câble en question est utilisé pour tous les types de communication numérique, y compris les appels téléphoniques, l'Internet et les messages SMS, rapporte DR. En tant que tel, la NSA a pu avoir accès à des données qui auraient pu inclure des informations personnelles et des communications privées de citoyens danois. Les critiques rendues publiques par un organisme de surveillance, TET (Tilsynet med Efterretningstjenesterne), en début de semaine, comprennent l'affirmation selon laquelle FE pourrait avoir transmis une "quantité importante d'informations sur les citoyens danois" en violation des lois du pays. La NSA n'a pas fait de commentaires sur cette affaire. La DR n'a pas été en mesure de préciser quand exactement a commencé la coopération signalée avec la NSA et si elle existe toujours. Mais le radiodiffuseur signale qu'il s'agissait d'une "collaboration extrêmement précieuse" pour FE. Il n'a pas non plus été possible à DR de préciser si la coopération avec la NSA est légale ou illégale. Plusieurs cadres supérieurs actuels et anciens de FE ont été suspendus en raison du rapport du TET. https://www.thelocal.dk/20200824/why-suspension-of-intelligence-chief-is-a-shock-in-pragmatic-denmark (24 août 2020) Le chef du service de renseignement militaire danois FE (Forsvarets Efterretningstjeneste) a été suspendu après avoir été accusé par un organisme de surveillance de plusieurs infractions. Lars Findsen, le chef du FE, a été suspendu de son service avec deux collègues jusqu'à nouvel ordre après que l'agence ait été accusée par un organisme de surveillance d'une série d'infractions, notamment la violation des lois sur la protection des données, la rétention d'informations et d'avoir entravé l'enquête sur l'organisation. Il accuse également FE de "gestion inappropriée d'informations concernant un employé de (TET)", ce qui a été interprété comme une accusation d'espionnage de FE contre TET. https://www.bbc.com/news/world-europe-53889612 (24 août 2020) Selon les médias locaux, le service de renseignement de la défense est accusé de ne pas avoir enquêté sur les allégations d'espionnage dans les services armés.
  16. En plus, elle a un masque élégant : source : https://www.scotsman.com/news/opinion/columnists/covid-why-nicola-sturgeon-right-be-anxious-scotsman-comment-2957652
  17. Avec la curiosité que du temps de Tchang Kaï Chek et jusqu'aux années 1980 Taïwan était précisément une dictature de parti unique.
  18. https://www.lesechos.fr/monde/asie-pacifique/la-ville-de-prague-lache-pekin-pour-se-rapprocher-de-taipei-1162657 (14 janvier 2020) Considérant que la Chine populaire est un « partenaire peu fiable », qui plus est « animée par un fort ressentiment », la ville de Prague a ostensiblement fait le choix de signer, lundi, un accord de partenariat avec Taipei, la capitale de Taïwan. Le document est un véritable camouflet pour Pékin. Cette décision est pour le moins inhabituelle tant les décisions ont lieu en sens inverse, au détriment de Taiwan et au profit de la Chine. Mais le maire de Prague a tenu bon et a procédé en deux temps. Zdenek Hrib, membre du Parti pirate (anti-système), a déjà annulé un accord de jumelage avec Pékin en octobre pour protester contre la politique « d'une seule Chine » .
  19. C'est une propriété du cerveau, qui s'ingénie à boucher les trous de l'inconnu par du connu. Le cerveau passe son temps à faire des inférences, ce qui lui vaut l'épithète de "bayésien" ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Inférence_bayésienne#Prise_de_décision_bayésienne_et_neurosciences ). Par exemple dans chaque œil il y a un point aveugle sans la moindre cellule photoréceptrice dans la rétine au niveau du raccordement du nerf optique. Normalement on devrait voir un gros point noir en plein dans notre champ de vision. Mais ce n'est pas le cas, parce que le cerveau complète avec les informations visuelles obtenues précédemment sous un autre angle, ou simplement en prolongeant par continuité les lignes qui bordent le point aveugle. Autre exemple, les photorécepteurs sensibles à la couleur ne sont présents que dans le milieu de l'oeil, et la périphérie n'est vue qu'en noir et blanc. Donc normalement on ne devrait voir la couleur qu'au centre du paysage et tout le reste devrait être en noir et blanc. C'est le cerveau qui rajoute la couleur là où il n'y en a pas. De façon générale, le cerveau a une extraordinaire capacité à extraire (ce qu'il croit être) le message utile et à éliminer (ce qu'il croit être) le bruit. C'est pour cela qu'on peut lire une phrase sans problème où l'on a interverti plusieurs lettres à l'intérieur des mots. Sleon une édtue de l'Uvinertisé de Cmabrigde, l'odrre des ltteers dnas un mot n'a pas d'ipmrotncae, la suele coshe ipmrotnate est que la pmeirère et la drenèire lteetrs sinoet à la bnnoe pclae. Le rsete peut êrte dnas un dsérorde ttoal et vuos puoevz tujoruos lrie snas porblmèe. C'est prace que le creaveu hmauin ne lit pas chuaqe ltetre elle-mmêe, mias le mot cmome un tuot. Le cerveau ne lit pas "ce qui est écrit", mais "ce qui l'arrange". Il recrée le texte à sa sauce.
  20. https://www.bfmtv.com/sante/on-a-appris-de-nos-erreurs-l-infectiologue-karine-lacombe-evoque-des-progres-face-au-covid-19_AV-202008290082.html (29 août 2020) Karine Lacombe, professeure de médecine et cheffe du service des maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Antoine à Paris. "On a beaucoup progressé en termes de traitement : on sait par exemple que la dexamethasone, qui fait partie des corticoïdes, marche et a un effet positif sur la mortalité. On utilise maintenant de manière systématique la dexamethasone sur les patients qui arrivent à l’hôpital avec des problèmes d’oxygène." "On est bien mieux pris en charge à l’hôpital. On voit tout de suite le profil de chacun et on arrive même à voir la façon dont ils vont évoluer. Et donc on personnalise la prise en charge." Elle a illustré: "A celui-ci on va donner des corticoïdes, à celui-là on va attendre, pour celui-ci on va mettre en place une anticoagulation en plus des corticoïdes". source : https://www.bbc.com/news/health-53096736 (20 juin 2020)
  21. https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-20-aout-2020 Répartition des clusters (hors Ehpad et milieu familial restreint) par type de collectivité, inclus entre le 9 mai et le 18 août 2020 (N=892) (Source : MONIC) Entreprises privées et publiques 26% Etablissements de santé 14% Milieu familial élargi (concerne plusieurs foyers familiaux) 14% Evènement public ou privé: rassemblements temporaires de personnes 11% Etablissements sociaux d’hébergement et d’insertion 7% EMS de personnes handicapées 3% Communautés vulnérables (gens du voyage, migrants en situation précaire, etc.) 3% Milieu scolaire et universitaire 3%
  22. J'ai du mal à croire qu'une seule bouffée de cigarette suffise à transmettre le virus :
  23. https://www.lefigaro.fr/flash-actu/polemique-sur-une-visite-a-taiwan-prague-convoque-l-ambassadeur-chinois-20200831 Un délégation conduite par le président du Sénat tchèque Milos Vystrcil est arrivée à Taipei dimanche, provoquant la colère de la Chine qui déploie d'intenses efforts pour maintenir l'isolement de l'île
  24. https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/masque-gestes-barrieres-vrai-faux-masques-82528/ (18 août 2020) Ainsi, une étude publiée en juillet dans Clinical Infectious Diseases montrait que des particules d'ARN viral étaient présentes dans des échantillons récoltés dans l'air et sur des surfaces au sein d'un hôpital londonien. Si aucune trace de virus vivant n'a été identifiée dans ces échantillons, les auteurs estimaient que la possibilité d'une transmission aérienne ne pouvait toutefois pas être exclue sur la base de ces résultats. Ainsi donc, on est en plein pic de l'épidémie dans un hôpital londonien où se trouvent des patients de coronavirose. On réussit à récolter des virus dans l'air, mais pas de chance, ces virus étaient morts. A fortiori, dehors où le vent souffle un air pur sans cesse renouvelé, loin d'un hôpital où il y a des patients, en dehors d'un pic épidémiologique, y a-t-il une probabilité de récolter des virus vivants capables de se reproduire ?
  25. 28 minutes du 28 août 2020. C'est amusant de voir les éclairs qui foudroient le regard de la présentatrice au moment où s'expriment ses invités. Extraits : Anne-Elisabeth Moutet 24:53 Oui, évidemment, les autorités essaient d'éviter un reconfinement parce que l'économie n'y survivrait pas, mais c'est vrai que, alors qu'on avait atteint un moment où les Français s'étaient montrés pleins de discipline pour porter le masque et en général pour tenir un certain nombre de mesures à part quelques exception qu'on a à juste titre rendues publiques, là, on a tout de même un tout petit peu l'impression spécialement avec certains édits comme l'idée de faire porter le masque à tout le monde à toutes les heures dans toutes les rues de Paris et d'autres grandes villes, que le gouvernement est en train de refaire la même erreur qui est aussi une erreur politique du début : plutôt que de dire écoutez, des masques on n'en a pas, on a dit "ça ne sert à rien" et le citoyen moyen se rend parfaitement compte quand on le prend pour un imbécile et je vais rester polie. 26:14 : Je pense qu'il faut le porter en entreprise, je pense qu'un de ces jours on va peut-être le porter sur un plateau d'émission, et tout ça c'est parce qu'on est en intérieur, qu'on sait que les aérosols sont diffusés de cette façon là, mais dans les rues, quand il n'y a pas beaucoup de monde, ça me parait ridicule. Jean Quatremer 27:26 : Quel est l'objectif du port du masque généralisé dans l'espace public à l'extérieur, alors qu'il n'y a aucune démonstration scientifique qui montre que le virus risque de se transmettre à l'extérieur (...) comme si le virus attaquait dans la rue mais n'attaquait pas aux terrasses de restaurants. https://www.ladepeche.fr/2020/08/28/le-port-obligatoire-du-masque-en-exterieur-est-excessif-9037899.php Pour Stéphane Gayet, infectiologue, "la décision de rendre obligatoire le port du masque en plein air" est "incohérente". Stéphane Gayet, infectiologie et hygiéniste au CHU de Strasbourg. Que pensez-vous des obligations de port du masque qui se généralisent sur le territoire ? Pour moi, elles ne se justifient pas, que ce soit sur le plan épidémiologique ou sanitaire. J’ai l’impression que ce sont des mesures qui sont décidées d’une façon politique unilatérale et que l’exécutif s’appuie de moins en moins sur les avis d’experts. Et dans ce contexte, la décision de rendre obligatoire le port du masque en plein air me paraît incohérente. Elle ne se justifie que pour les personnes qui restent côte à côte et de façon immobile. Dès l’instant où vous êtes mobiles, il n’y a aucun risque d’être gravement infecté. Vous pouvez être contaminé éventuellement, mais ce sera par une dose minimale, qui justement participe à provoquer l’immunité collective. Le retour de l’épidémie ne justifie-t-il pas, selon vous, la mise en place de ces mesures beaucoup plus fortes pour minimiser les risques ? Non, je pense que c’est contre-productif. Déjà, les gens commencent à s’agacer, parce qu’ils se renseignent et ils prennent conscience que ce port obligatoire du masque en plein air quand on est mobile, ça n’a pas de sens. Et les gens n’apprécient pas cette mesure parce qu’elle est très restrictive sur le plan social. On ne voit plus d’expression sur le visage, alors qu’elle est essentielle dans la communication non-verbale. Ce qu’il faut maintenir, ce sont les gestes barrière, surtout pour les populations les plus fragiles, comme les aînés, et répéter qu’il faut faire attention dans le cercle privé. https://www.lemonde.fr/economie/article/2020/08/30/masque-obligatoire-en-entreprise-elisabeth-borne-evoque-des-exceptions-de-bon-sens_6050393_3234.html Elisabeth Borne a ajouté que dans les entreprises qui ont « toutes les bonnes règles », on pourra « avoir des assouplissements au caractère systématique du port du masque ». Elle a évoqué par exemple des locaux avec « une très bonne ventilation » ou « dans des grands volumes ». On peut donc se demander si dehors dans la rue il n'y aurait pas quelque chose comme une "très bonne ventilation" ou un "grand volume"... https://www.lemonde.fr/idees/article/2020/08/28/face-a-l-epidemie-les-ecueils-de-la-differenciation_6050189_3232.html Éditorial du "Monde" : Que la Préfecture de police de Paris ait jugé nécessaire d’obliger les cyclistes parisiens à porter le masque paraissait tout aussi peu rationnel. https://www.huffingtonpost.fr/entry/a-paris-lobligation-de-porter-un-masque-a-velo-interpelle_fr_5f482f40c5b6cf66b2b51d82 Un avis que partagent certains médecins, qui ont fait part de leurs craintes après la généralisation du port du masque à Paris. “Le masque en intérieur : OUI. En extérieur à l’air libre....?!? Quels arguments médicaux?! J’en vois pas”, a ainsi twitté un praticien [Gérald Kierzek]. J'ai soutenu l'obligation du masque dans les espaces clos et notamment au travail, mais l'imposer dans toutes les rues de Paris, à pied, en vélo et en voiture, ça devient n'importe quoi. Pourrait-on piloter la santé publique autrement que par de grandes embardées ? — Dominique Dupagne (@DDupagne) August 27, 2020
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