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Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. http://thediplomat.com/2016/10/taking-the-rohingya-insurgency-at-face-value/ (30 octobre 2016) Après les attaques mortelles contre trois postes de police qui tuèrent neuf officier de police le long de la frontière Birmanie-Bangladesh, les spéculations ont fleuri tant de la part du gouvernement birman que des médias. L'attaque a été effectuée apparemment par un groupe massif estimé à 400 personnes qui ont coordonné des attaques simultanées contre trois postes de police des frontières aux environs de Maungdaw, dans l'État birman de Rakhine. Tandis que le gouvernement décrit une force insurmontable de combattants bien entraînés et bien soutenus financièrement, la réalité à leur sujet est beaucoup plus embarrassante : les postes de police ont été submergés par une guerilla composée surtout de petits enfants dirigés par des hommes opprimés armés d'ustensiles agricoles, qui ont volé leurs fusils et ont disparu rapidement. Ni les militaires ni la police ne peuvent les retrouver. L'insurrection que le gouvernement tente d'identifier est plus un soulèvement, même si celui-ci est bien coordonné. Les preuves de financement et de liens avec des groupes clandestins pourraient être avérés lorsque l'enquête avancera, mais pour le moment, les pièces à conviction suggèrent que les attaques étaient localisées dans les zones proches de la rivière Naf, que les assaillants n'étaient armés que d'épées et d'ustensiles avant de pouvoir dérober les fusils dans les postes de police, et que leur tactique initiale était digne de débutants. Ce n'est pas une invasion djihadiste de la Birmanie. C'est un acte désespéré.
  2. https://asialyst.com/fr/2016/11/28/scandale-park-geun-hye-symptome-coree-malade/ (28 novembre 2016) Ce qui se passe en Corée aujourd’hui est le symptôme d’une société malade. Malade de sa partition en 1945... ...Malade d’un miracle économique applaudi,... mais aussi grâce des sacrifices imposés sous la poigne de fer de Park Chung-hee. ...Malade de ses grandes familles dirigeantes et de ses groupes industriels, les chaebol. Qui a oublié l’arrogance de l’héritière de Korean Air qui en 2015 empêchait un avion de décoller pour des cacahuètes « mal servies » ?
  3. https://asialyst.com/fr/2016/12/02/indonesie-complot-contrejokowi-manifestation-anti-blaspheme/ (2 décembre 2016) D’après lui [un universitaire de Singapour], les manifestations anti-Ahok révèlent une « guerre idéologique » entre les « partisans des intérêts établis », qui n’hésitent pas à mobiliser les réseaux religieux pour défendre leur cause, et les « réformateurs », incarnés par Ahok et le président Jokowi.
  4. https://asialyst.com/fr/2016/11/30/birmanie-paix-finit-pas-negocier/ (30 novembre 2016) L’impuissance d’Aung San Suu Kyi à s’opposer à l’armée est en passe de décevoir une bonne partie des populations ethniques dans l’État Shan et l’État Kachin, où les conflits s’éteignent et se rallument sans fin depuis 2011.
  5. C'est plus nuancé que ce qu'on entend chez bon nombre de responsables républicains. Je crois que c'est Marco Rubio qui promettait d'abroger l'accord dès le premier jour de sa présidence.
  6. Le régime irakien utilise des bombes barils ( https://en.wikipedia.org/wiki/Barrel_bomb#Iraq ), et cela n'a jamais dissuadé les pays occidentaux de soutenir le régime irakien de la même façon que les Russes soutiennent le régime syrien. Pourquoi cela ne dissuade pas les pays occidentaux ? Serait-ce parce que l'information sur l'Irak n'est pas traitée de la même façon que l'information sur la Syrie par les médias occidentaux ? Telle est la thèse de Patrick Cockburn :
  7. http://theconversation.com/cuba-is-poor-but-who-is-to-blame-castro-or-50-years-of-us-blockade-69528 (2 décembre 2016) Article sur l'économie de Cuba par une universitaire britannique auteure de "Che Guevara : la science économique d'une révolution".
  8. http://asia.nikkei.com/Politics-Economy/International-Relations/US-opposes-granting-China-market-economy-status (24 novembre 2016) Les Etats-Unis s'opposent à la reconnaissance à la Chine du statut d'« économie de marché ». http://www.la-croix.com/Economie/Economie-et-entreprises/Les-Etats-Unis-lEurope-face-montagne-chinoise-2016-11-28-1200806349 (28 novembre 2016) L'UE prévoit "un système qui permettrait de traiter la Chine comme n’importe quel pays comparable en cas de soupçon de « distorsion de marché », ce qui rendrait plus supportable, espère Bruxelles, le refus de lui accorder le statut d’économie de marché". « Face à l’Europe, la Chine pourrait également réagir en imposant des tarifs punitifs à certains pays membres et pas à d’autres, comme une manière de diviser pour mieux régner », avertit Jean-Vincent Brisset. L’Union européenne n’a plus que quelques jours devant elle pour montrer qu’elle n’est pas dupe en affichant son unité.
  9. http://www.tagesspiegel.de/politik/russland-und-der-westen-putins-neue-weltordnung/14921698.html (1er décembre 2016) Le Nouvel ordre mondial de Poutine. Le président de Russie Vladimir Poutine fait les louanges de la Chine, zappe l'Europe et tend la main au prochain président américain Trump. Simultanément, il met en garde contre le non-respect des intérêts russes. Par Claudia Von Salzen Les principaux fonctionnaires et dignitaires russes étaient comme chaque année invités dans la somptueuse Salle Saint-Georges du Kremlin, pour écouter le discours de Vladimir Poutine sur l'état de la nation. Tandis que le président annonçait un nombre record de constructions de nouveaux logements, et qu'il remerciait les agriculteurs russes pour leur engagement, ou qu'il rendait hommage au "travail efficace" de l'armée russe en Syrie, ils l'interrompirent par des applaudissements. Poutine a aussi affirmé qu'il y avait eu de nombreux cas de corruption aux niveaux fédéral, régional et communal. Il n'a pas évoqué le cas le plus spectaculaire, mais que chaque personne présente dans la salle avait à l'esprit, à savoir l'arrestation il y a deux semaines du ministre de l'Économie Alexeï Oulioukaïev, accusé de corruption. C'est la première fois que la justice russe s'en prend à un ministre, signe qu'au sein du cercle rapproché du pouvoir, personne ne peut se sentir en sécurité. À Moscou, on doutait nettement qu'Oulioukaïev soit vraiment coupable de corruption. "Le combat contre la corruption n'est pas un show" a dit Poutine dans son discours. Le successeur d'Oulioukaïev, le vice-ministre des finances Maxime Orechkine, est également compté parmi les libéraux. Les relations avec la Chine montrées en exemple Poutine a aussi esquissé dans son discours de plus d'une heure sa conception d'un futur ordre mondial. Ce n'est donc pas un hasard qu'il ait nommé "le partenariat harmonieux" avec la Chine en premier. La relation sino-russe serait pour lui "un exemple de relation pour un ordre mondial qui n'est pas fondé sur l'idée d'un pays dominant, aussi puissant soit-il, mais sur un équilibre harmonieux des intérêts de tous les États". En arrière plan, on retrouve le concept mis en avant par la Russie de monde multipolaire, qui s'oppose du point de vue russe à l'ordre mondial façonné par les USA. Poutine aspire à une coopération plus étroite également avec l'Inde et le Japon. Dans le décompte fait par Poutine des partenaires importants, l'Europe n'a pas été mentionnée. Le chef d'État russe a tendu la main au futur président américain Donald Trump. "Nous sommes prêts à coopérer également avec le nouveau gouvernement américain". Il est pour lui important de normaliser les relations bilatérales "sur une base d'équité et de réciprocité". La coopération de la Russie et des USA pour la résolution des problèmes mondiaux et régionaux est, dit-il, dans l'intérêt du monde entier. Simultanément, il a lancé au futur président un avertissement clair : "les tentatives de briser l'équilibre stratégique sont extrêmement dangereuses et peuvent mener à une catastrophe mondiale". On ne doit pas l'oublier "une seconde". Poutine a préconisé une coopération avec les USA contre le terrorisme international. "Le mythe de l'agression russe et la propagande" Les points de friction les plus importants entre la Russie et l'Occident - l'annexion de la Crimée, l'intervention de Moscou en Ukraine et l'accusation d'une tentative d'influencer les États occidentaux, dernièrement durant la campagne électorale américaine, ont été écartés par Poutine dans une périphrase comme étant un "mythe d'agression russe, de propagande et d'ingérence dans les élections étrangères". La Russie ne veut ni n'a besoin d'une confrontation avec d'autres pays, a dit le président. "Contrairement à certains collègues étrangers, qui voient dans la Russie un adversaire, nous n'avons jamais cherché à nous faire des ennemis. Nous avons besoins d'amis. Mais même ces propos conciliants sont assortis d'un avertissement : "nous ne tolérerons aucune atteinte ou non-respect de nos intérêts".
  10. http://geopolis.francetvinfo.fr/syrie-vladimir-poutine-recadre-son-partenaire-erdogan-sur-son-allie-assad-127317 (1er décembre 2016) [Poutine] a demandé au président turc des explications sur ses propos contre le président Assad. Récemment réconciliée avec la Russie, la Turquie a fait savoir qu’il ne fallait pas prendre les mots du Président Erdogan au pied de la lettre.
  11. http://foreignpolicy.com/2016/11/30/can-a-ticking-time-bomb-in-kinshasa-be-defused-democratic-republic-of-congo-joseph-kabila-moise-katumbi-election/ (30 novembre 2016) La situation pourrait être explosive le 19 décembre prochain, date officielle, selon la constitution, de fin du mandat du président Kabila qui s'accroche au pouvoir. L'opposant Moïse Katumbi exilé aux Etats-Unis, mais toujours populaire, a annoncé qu'il allait rentrer au pays, sans préciser la date. Les Occidentaux menacent de sanctionner le régime. Les évêques tentent une médiation. http://www.voaafrique.com/a/moise-katumbi-a-voa-le-peuple-congolais-va-recuperer-le-pouvoir-apres-le-19-decembre/3617031.html (30 novembre 2016) Moïse Katumbi : "Je privilégie le dialogue avec la Cenco [les évêques] mais, s'il n'y a pas d’accord, le peuple va récupérer le pouvoir et faire appliquer notre constitution. Le peuple congolais va libérer le pays car nous ne pouvons accepter qu’un groupe s’éternise au pouvoir et continue à maltraiter le peuple congolais."
  12. http://uk.reuters.com/article/uk-germany-usa-nuclear-idUKKBN13B1GO (16 novembre 2016) Le député allemand CDU Roderich Kiesewetter "a dit qu'un parapluie nucléaire franco-britannique pour l'Europe serait coûteux, mais qu'il pourrait être financé par un budget militaire européen commun qui doit démarrer en 2019, avec des commandements européens communs de médecine, de transports et de reconnaissance. Rainer Arnold, porte-parole des sociaux-démocrates au parlement allemand a rejeté la suggestion de Kiesewetter comme "en dehors de la cible", expliquant que le Parti Républicain de Trump ne voudrait jamais accepter un affaiblissement de l'Otan et serait sceptique sur quelque plan de renforcer les capacités nucléaires européennes.
  13. Ce que j'ai cru comprendre, c'est que Renzi propose de supprimer le système actuel avec des Sénateurs forts "beaucoup + impliqués dans un processus électoral direct" pour les remplacer par des sénateurs faibles, "élus locaux qui ne représentent qu'eux meme au final et qui n'ont jamais reçu de mandat de députation par le, peuple". D'autre part il propose de réduire leur nombre de 315 à 100. D'une certaine façon, Renzi fait un copier-coller de la Ve République française (sauf pour ce qui est du nombre de sénateurs) - voire du Bundesrat allemand, dans l'intention de supprimer le système italien actuel assez américanisé avec des sénateurs forts.
  14. http://www.politico.com/story/2016/11/trump-putin-russia-231785 (28 novembre 2016) Pour l'auteur, Trump est isolé dans sa position de politique russe, y compris au sein de sa propre équipe. Cette position, perçue comme une volonté "d'apaiser Poutine", a face à elle une "inébranlable opposition bipartisane et institutionnelle". Ivo Daalder, ancien ambassadeur américain auprès de l'Otan, dit que Trump a contre lui tous les militaires, tout le Département d'État, toute la communauté du renseignement américains, et tous les pays alliés. [Par rapport aux militaires, il faudrait nuancer au vu de la déclaration pro-Trump signée durant la campagne par 88 anciens généraux et amiraux. Source : http://www.politico.com/magazine/story/2016/10/how-mike-flynn-became-americas-angriest-general-214362 - mais 88, c'est très peu comparé aux 500 anciens généraux et amiraux qui avaient soutenu Romney en 2012, sur un total de 900 anciens généraux et amiraux : http://www.theatlantic.com/politics/archive/2016/09/why-trumps-support-from-military-leaders-isnt-that-impressive/498806/ ] Dans l'équipe Trump, les opposants à cette politique sont le vice-président Mike Pence, le chef de la CIA Mike Pompeo et éventuellement Mitt Romney s'il devenait Secrétaire d'État. Flynn est plus ambivalent. Depuis des mois les leaders républicains du Congrès ne cessent de fustiger la réponse timide d'Obama à l'annexion de l'Ukraine et au soutien russe des séparatistes d'Ukraine orientale. Ils seront bien en peine de soutenir la politique de Trump. En mars 2015 une résolution préconisant la fourniture d'armes à l'Ukraine a été approuvée à la Chambre. En septembre, la Chambre a donné l'ordre à l'Imprimerie nationale de ne jamais imprimer de cartes indiquant la Crimée comme un territoire russe. En juillet, l'équipe Trump a bloqué l'inscription dans le programme Républicain de propositions anti-russes. S'il le souhaitait, Trump ne pourrait faire éliminer les sanctions anti-russes consécutives à l'affaire Magnitski sans un vote du Congrès. Paul Ryan, le président du groupe républicain à la chambre, n'a cessé de critiquer Trump. Mitch McDonnell son homologue au Sénat s'est déclaré en faveur de la fourniture d'armes aux ukrainiens et de l'installation de systèmes anti-missiles en Europe de l'Est. Les sénateurs John McCain et Bob Corker ont enjoint Trump de ne pas faire confiance à Poutine. Ed Royce, président de la commission des affaires étrangères de la Chambre, s'est déclaré "prêt à travailler avec l'administration Trump pour contrer la propagande russe, renforcer l'Otan, et agir depuis une position de force". La Russie est "le domaine de politique étrangère où une opposition unie [bipartisane] est la plus probable" selon un sénateur démocrate. Le président du Comité des chefs d’état-major interarmées, le général Joseph Dunford a déclaré en 2015 que la Russie était la "plus grande menace à notre sécurité". Si Trump relâche la "posture confrontationnelle" vis à vis de la Russie, cela démoralisera les employés du Pentagone, dit l'ancien responsable des affaires russes au Pentagone Evelyn Farkas. Le directeur national du renseignement James Clapper a dit en juin que l'Amérique était dans "une sorte de guerre" avec la Russie dans le cyberespace. Lorsque John Kerry a conclu un accord avec les Russes sur la Syrie cet automne, un Pentagone "sceptique" a saboté l'accord par des fuites dans les médias et des tracasseries administratives. De nombreux experts, dont l'ancien ambassadeur à Moscou Michael McFaul prédisent que Trump va sortir de ses illusions sur la Russie quand les services de renseignement le brieferont sur les agissements russes. Certains expliquent l'inflexibilité de Trump dans sa posture jusqu'à présent par l'existence de conflits d'intérêts personnels qu'il aurait en Russie. Pour Dmitri K. Simes, un ancien conseiller de Nixon, Trump pourrait réussir la quadrature du cercle : à la fois être ferme avec Poutine sur certaines lignes rouges, tout en rassurant Poutine sur : - l'absence d'intention américaine d'évincer Poutine du pouvoir - l'absence d'intention américaine d'humilier Poutine Simes met en garde Trump et Poutine contre le risque de déclarations publiques qui pourraient déclencher une escalade verbale, qui pourrait être décuplée par l'hypersensibilité aux insultes de l'un et l'autre personnages, et leur recommande d'utiliser un canal de diplomatie confidentiel.
  15. http://www.dw.com/en/italys-vote-could-spell-years-in-the-wilderness/a-36583187 (30 novembre 2016) Le professeur de droit constitutionnel Massimo Velloni dit que la suppression de l'élection des sénateurs au suffrage universel direct qui est proposée dans le référendum constitue "de sévères limitations à la participation démocratique". L'idée derrière la proposition de Renzi est que vous avez des élections, les gens choisissent leur gouvernement pour cinq ans et qu'après cinq ans vous vérifiez le résultat et votez si vous avez aimé ou non. Et entre-temps vous la fermez.
  16. Deux recensions critiques du livre de Michael Flynn coécrit avec Michael Ledeen : https://www.brookings.edu/blog/markaz/2016/07/19/realist-or-neocon-mixed-messages-in-trump-advisors-foreign-policy-vision/ (19 juillet 2016) Le livre est contradictoire, mi-réaliste, mi-néoconservateur. Serait-ce parce que Michael Flynn est réaliste et que Michael Ledeen est néoconservateur ? http://nationalinterest.org/feature/michael-flynn-donald-trumps-machiavelli-18544 (29 novembre 2016) Le livre est paranoïaque et manichéen. Plus précisément, il relève de la psychologie du "système de croyance fermé" analysé par le psychologue Rokeach - parcouru qu'il est de syllogismes du type : Daèche est adversaire des Etats-Unis, l'Iran est adversaire des Etats-Unis, donc Daèche et l'Iran sont des alliés. Si je comprends bien c'est du même acabit que le discours de George W. Bush sur "l'axe du mal".
  17. http://www.dw.com/de/deutsche-unzufrieden-mit-der-eu/a-36574250 (29 novembre 2016) Sondage. Une armée européenne est-elle souhaitable ? Oui 54% - Non 41%. Un référendum sur l'adhésion de l'Allemagne à l'UE est-il souhaitable ? Oui 42% - Non 52%. L'adhésion de la Turquie est-elle souhaitable ? Oui 15% - Non 82%.
  18. https://www.franceculture.fr/emissions/les-pieds-sur-terre/les-pieds-sur-scene-12 (29 novembre 2016) [à partir de 00:11:40] Récit du caporal chef Benjamin (9 minutes). En 2009 mon régiment a été désigné pour partir en Afghanistan...
  19. http://thediplomat.com/2016/11/south-koreas-president-lost-the-mandate-of-heaven/ (21 novembre 2016) Nous devons comprendre un trait distinctif de la culture politique coréenne qui donne la priorité à des éléments de vertu, honte, et besoin de sauver la face. Légalité mise à part, de nombreux Coréens ont ressenti avant tout que Park avait fait honte à la nation et qu'elle devait donc démissionner.
  20. http://thediplomat.com/2016/11/killing-the-mekong-dam-by-dam/ (28 novembre 2016) Les barrages construits par le Laos sur le Mékong sans l'autorisation de la Mekong River Commission mettent en danger la sécurité alimentaire de toute la région, que ce soit à cause de l'impact sur la pêche ou le rétrécissement du delta du Mékong au Vietnam par perte de l'apport d'alluvions.
  21. http://nationalinterest.org/feature/chinas-shiny-new-air-bases-the-south-china-sea-18530 (28 novembre 2016) Selon un article chinois paru en juin, les aérodromes construits par la Chine dans les îles Spratleys peuvent difficilement se transformer en bases aériennes importantes : - Les îles sont régulièrement traversées par des typhons - La maintenance du matériel est délicate dans un environnement salin, chaud et humide. - Les défis à relever pour les besoins humains de milliers d'hommes sont considérables : eau, électricité, etc...
  22. http://pluzz.francetv.fr/videos/fidel_castro_l_enfance_d_un_chef.html Fidel Castro, l'enfance d'un chef. Documentaire de Daniel Leconte, 2005.
  23. http://www.nytimes.com/2016/11/28/us/politics/donald-trump-transition.html (28 novembre 2016) Après un rendez-vous au Pentagone avec Ashton Carter, Jean-Yves Le Drian devrait rencontrer des membres de l'équipe de transition Trump.
  24. C'est pas gagné pour Romney : http://www.nytimes.com/2016/11/27/us/politics/trump-adviser-steps-up-searing-attack-on-romney.html (27 novembre 2016) Dimanche matin, Kellyanne Conway, conseillère de haut rang, a rajouté sa contribution à une campagne publique pour saper l'un des concurrents [pour le poste de Secrétaire d'État], Mitt Romney — un geste remarquable de la part d'un membre de l'équipe du président élu. Dans des passages à la télévision, elle a accusé Mr Romney d'avoir "fait l'impossible pour faire du tort" à Trump durant les élections primaires républicaines.
  25. https://www.theguardian.com/film/2016/sep/22/tales-of-film-making-in-china-hollywood-hong-kong (22 septembre 2016) Le marché chinois du cinéma devrait dépasser le marché américain en 2017. L'article explique la façon dont les cinéastes s'adaptent à la censure. Puisque les industries cinématographiques étrangères tentent de pénétrer le marché chinois, on peut faire le pronostic pessimiste que la censure chinoise aura un impact mondial.
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