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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil
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C'est assez contradictoire ce qui est dit à propos de la qualification des ISE. Jusqu'à présent ils disaient que les ISE allaient être testés en conditions réelles en Inde avant d'être déployés sur tous les Rafale Indien. Et là maintenant ça y est, on les incorpore maintenant à un rythme rapide.
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Bien sûr les Indiens font une évaluation subjective et la façon dont ils la restitue est forcément simplifiée: par exemple 300 % d'efficacité est une moyenne (ou du moins on peut le supposer) ce qui signifie qu'il y a des domaines où le Rafale fait moins bien et d'autre où il fait mieux, donc on pourra toujours trouver des exemples pour invalider l'estimation. Mais les Indiens sont très contents de leur Rafale, il y en a toujours un pour aller là où il faut qu'il soit (ça c'est pour la disponibilité) et un seul Rafale bien souvent ça suffit (ça c'est pour l'efficacité). Bien sûr un Rafale parfois c'est beaucoup trop, mais dans ce cas on peut toujours envoyer deux SU-30 MKI.
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C'est eux qui disent que 36 Rafale valent 270 SU-30, pas moi, il y a longtemps que je ne vend plus rien. Oui sur ce préjugé tu n'es pas accessible au raisonnement.
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Ce n'est pas 200% d'efficacité, c'est 200% d'efficacité en plus. Non on ne fait pas pale figure: Tes 270 SU-30 ne vont pas générer plus de sorties que 108 Rafale car les SU-30 feront peut être deux sorties par jour quand les Rafale en feront 5 (c'est le rapport 2,5 clamé par l'IAF) et une paire de Rafale aura la même efficacité que 6 SU-30 MKI (c'est le 200% en plus d'efficacité). Donc il suffit de prendre en compte l'efficacité du Rafale et de réduire la taille des patrouilles pour être aussi omniprésent qu'avec les 270 SU-30 MKI.
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Quel sera le PROCHAIN client à choisir le Rafale ? (9e pays, 10 client, 9e sujet, saison 12 ep 15)
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de bubzy dans Europe
C'est parce qu'il faudrait un M-88 de 8.3t de poussée pour être conforme au cahier des charges car cela ferait 12450 livres au lieu de 11250 pour le 7.5 t et alors que 12125 livres sont demandées. -
Non ils mettent le F-15 à peu près au niveau du SU-30 MKI mais leur avion est forcément un peu meilleur.
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Non, Les Allemands et les Espagnols se rapprochent finalement du nombre prévu et les Anglais et les Italiens ont acheté à la place des F-35.
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Ils sont en temps Indien, si ça ne se fait pas dans cette vie, ça se fera dans la prochaine.
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Ce n'est d'ailleurs peut-être pas pour rien que nous on a pu diminuer de 1/3 le nombre de Rafale que l'on compte acheter.
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Non tu n'as pas bien compris: en efficacité le Rafale est à 300, le SU-30 MKI est à 100 et le F-16 est à 70 Donc avec 36 Rafale en l'air on a une efficacité de 36*300 = 10800 et il faut 10800/70 = 154 F-16 (et non pas 102) pour atteindre la même efficacité. Et on n'a pas tenu compte du fait qu'il est sans doute plus facile de mettre un Rafale en l'air qu'un F-16. On peut tenir compte de ce fait pour le SU-30 MKI il faut 2.5 fois plus de SU-30 MKI que de Rafale au sol pour en avoir le même nombre en vol et il faut 3 fois plus de SU-30 MKI en vol que de Rafale pour avoir la même efficacité. La combinaison des deux donne un facteur 7.5 et donc 36 Rafale sont équivalents à 270 SU-30 MKI. C'est comme si ils avaient doublé leur flotte de SU-30 MKI !!! M'enfin au départ j'avais rapporté ça surtout pour faire comprendre qu'il fallait arrêter de comparer le Rafale aux F-15 et F-16.
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En Inde les évaluations du Rafale sont les suivantes: Pour mettre en vol un Rafale: un escadron de Rafale peut remplacer 2,5 escadrons de SU-30 MKI (Dixit IAF) Une fois les avions en vol, une estimation de l'efficacité: si un SU-30 MKI est au niveau 100 un F-16 a 30 % d'efficacité en moins et un Rafale a 200 % d'efficacité en plus. Les Indiens estiment que le SU-30 MKI est supérieur au F-15.
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Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Ils vont fouiller sous prétexte de savoir si un truc ne pourrait pas être une cause de défaillance et pour cela il faudra qu'ils comprennent comment ça marche...et après ils passeront à l'autre et ainsi de suite. -
Airbus A200M Futur Cargo Tactique Militaire (FCTM ) ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Europe
Dassault peut tout faire, il a même fait le Mercure! Mais c'est pas sa tasse de thé. Ce serait une cellule un peu plus lourde que l'ATL2. Mais à l'époque il y avait le Transall et l'ATL2 dans la même catégorie, avec les mêmes moteurs ce qui montre qu'il y a quand même des différences. -
Condoléances.
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Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
D'abord je ne connais pas très bien ce qui se passe à bord du Rafale. Je n'avais pas à en connaitre. Mais en restant dans les généralités, ce qui caractérise ce type de système c'est qu'il faut à la fois un haut niveau de sécurité et un haut niveau de sureté de fonctionnement ce qui est antinomique même si ce n'est pas intuitif. Je prends l'exemple d'un PA, si tu appuis sur la détente le coup doit partir, c'est la sureté de fonctionnement, l'idéal c'est que ce soit sûr à 100%. Mais tu vas quand même vouloir que le coup ne parte pas tout seul, donc tu vas mettre une sécurité et là tu n'a plus une probabilité de 100% que le coup parte, alors tu étudies comment tu peux enlever facilement la sécurité tout en faisant des actions qui soient intentionnelles...etc. Alors rien que pour pouvoir calculer une probabilité de défaillance les US vont vouloir l'architecture du système... et beaucoup d'autre chose et ça Dassault va pas apprécier surtout si c'est pour vendre quelques Rafale seulement à l'Allemagne. -
Pour l'instant la situation sur le marché du Rafale va en s'améliorant, et ce malgré la présence du F-35, pourquoi ne pas imaginer que cela continue ainsi? Peut être que le temps ne joue pas en faveur du F-35? Le Rafale correspond pile poil à la définition que Brown a donné de l'avion de génération 5- qui devrait être développé pour coûter moins cher lorsque c'est pas Dimanche.
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Exportation du Rafale: prospects et clients potentiels
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Là c'est Dassault qui ne sera pas d'accord pour ne pas donner aux US les informations qu'ils demanderaient pour faire l'intégration. -
Quel sera le PROCHAIN client à choisir le Rafale ? (9e pays, 10 client, 9e sujet, saison 12 ep 15)
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de bubzy dans Europe
Faut pas être impatient, on est rassasié pour l'instant. -
Je crois qu'il est complètement pourri, et que les US raclent la pourriture, et qu'ils auront fini seulement en 2031. En attendant, pour les contrats à l'export, le parapluie US est là pour compenser....à condition de ne pas chier dans les bottes US, qu'on se le dise. Tous ces pays qui achètent des F-35 sous traitent leur sécurité aux US.
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Quel sera le PROCHAIN client à choisir le Rafale ? (9e pays, 10 client, 9e sujet, saison 12 ep 15)
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de bubzy dans Europe
5 chez les sous traitants c'est la cadence qu'il faudrait pour alimenter une chaîne d'assemblage à Mérignac et une en Inde... enfin peut être pas tous les sous traitant si on prend en compte les besoins de Make in India mais certains. -
Armée de l'air indonésienne
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Asie / Océanie
85% -
énergie Avenir du nucléaire civil en France et dans le monde ?
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de LBP dans Economie et défense
Lettre de Bernard Accoyer à RTE Monsieur le Président Vous avez, dans votre conférence de presse du 25 octobre, présenté les résultats de l’étude réalisée par RTE intitulée « Futurs énergétiques 2050 ». Je souhaite d’abord saluer l’immense travail de grande qualité réalisé par vos collaborateurs et l’initiative de la très large concertation publique, inédite et fructueuse, qui l’a nourri. Toutefois, les résultats de cette étude sont entachés d’une hypothèse de départ très restrictive, pourtant d’importance majeure. Le scénario de référence prévoit une consommation d’électricité en 2050 limitée à 645 TWh, à peine supérieure de 35 % à celle de 2019, dernière année « normale » connue, alors qu’il faudra s’être débarrassé des énergies fossiles, qui ont représenté près de 70 % de l’énergie finale consommée cette même année. La marche à franchir est donc immensément haute. Pourquoi cette limitation à une valeur aussi faible, alors que vous avez reconnu et écrit dans vos documents que des pays voisins comparables au nôtre prévoyaient des augmentations de leur consommation d’électricité de 70 à 80 %, c’est-à-dire deux fois plus élevées ? D’où vient cette limitation drastique ? Vous avez, en réponse à une question, répondu dans votre conférence que vous aviez travaillé la « main dans la main » avec l’association NégaWatt et l’ADEME, dont on ne peut ignorer l’opposition au nucléaire, de notoriété publique. C’est évidemment votre droit, mais je m’étonne qu’à l’inverse vous n’ayez même pas pris en considération les estimations de nos deux Académies, celle des sciences et celle des technologies, dont les compétences sont incontestables et l’indépendance de jugement totale ?Vous ne pouvez ignorer que toutes deux ont abouti à des prévisions qui se situent entre 800 et900 TWh et sont d’ailleurs parfaitement cohérentes avec celles des pays voisins précités. À moins que vous n’ayez choisi de suivre une consigne venue du ministère, ce qui serait contraire à la mission de prospective légalement dévolue à RTE, que vous avez opportunément rappelée au début de votre conférence ?Sur le fond, vous avez tenté de justifier cette très faible consommation par les progrès d’efficacité énergétique attendus. Vous ne pouvez cependant ignorer que ces progrès ont été très faibles depuis plus de 20 ans, de moins de 1 % par an. Passer à une échelle requise au moins trois fois supérieure sera d’évidence un défi majeur qui ne se décrète pas. Miser à ce point sur les progrès d’efficacité énergétique représente par conséquent un grand risque, qui sera très difficile à corriger au fil du temps dans un secteur dont vous êtes le premier à reconnaître les très grandes constantes de temps d’évolution. Vous les avez d’ailleurs opportunément rappelées en conclusion de votre conférence de presse en déclarant qu’il y avait urgence à se mobiliser pour 2050. Cette hypothèse restrictive introduit donc un biais majeur dans vos prévisions. Vous avez certes évoqué une hypothèse « Réindustrialisation profonde » à 752 TWh qui va dans le bon sens, mais elle n’a pas été documentée comme le scénario de référence et mériterait d’être poussée plus loin au vu des variantes « Hydrogène + » et « Efficacité énergétique réduite »susceptibles de cumuler leurs effets additifs à l’hypothèse « Réindustrialisation profonde ». Il me paraît donc indispensable de pousser les études jusqu’aux niveaux de consommation anticipés par les Académies pour réellement disposer d’une vision prospective complète et robuste. Par ailleurs, concernant la capacité nucléaire en 2050, vous vous êtes limité à« la proposition industrielle la plus haute de la filière [qui] consiste à date à atteindre un parc nucléaire d’une capacité complète de 50 GW en 2050 »tout en précisant plus loin avec raison : « Cette projection pourra être amenée à évoluer avec le temps : sans réinvestissement dans la filière, sa capacité projetée à long terme continuera de diminuer, tandis qu’une décision rapide de relance pourrait conduire, ultérieurement, à revoir à la hausse ses perspectives ». Pourquoi, là encore, ne pas avoir élargi l’éventail des possibilités, ce qui relève à nouveau pleinement de votre mission prospective ? Car il est essentiel d’y voir clair dès que possible. Ce serait en l’occurrence indispensable à deux égards : vos études publiées le 25 octobre mettent clairement en évidence que c’est le scénario qui comporte le plus de nucléaire qui : est le moins coûteux de tous ; a le moins besoin de capacités de « flexibilité » pour assurer l’équilibre du réseau ; a le moins d’impact sur les modifications des réseaux de transport et régionaux ; a le meilleur bilan carbone de tous. Ceci sans compter qu’il minimise le recours aux éoliennes et aux grands parcs photovoltaïques qui posent d’importants problèmes potentiels d’acceptabilité sociétale. De plus, pour faire face à des consommations qui ont toutes chances d’être supérieures à celle de votre scenario de référence, il sera nécessaire d’augmenter la production, donc la capacité nucléaire qui est le moyen le plus performant au vu de votre étude. Afin d’éclairer les décisionnaires politiques et permettre aux industriels de se positionner, il me semble de ce fait indispensable d’étudier des scénarii comportant notablement plus de nucléaire. Mais peut-être cela est-il prévu dans les mois qui viennent, puisque vous avez annoncé que vos études vont être complétées ?Les échanges avec nos voisins européens vont constituer un enjeu de plus en plus crucial. Vous insistez sur la nécessité d’accroître les capacités des lignes d’interconnexion, sans évoquer les capacités de production qui seront effectivement disponibles. Dans une Europe aux capacités de production pilotable réduites, fortement dépendante de l’énergie éolienne et donc des régimes de vent en Europe de l’Ouest, il est peu vraisemblable que les secours entre pays soient au rendez-vous à la bonne échelle. Quant au photovoltaïque, on ne peut bien sûr rien en attendre lors des pointes de consommation hivernales les plus élevées à 19 heures. Les prévisions d’importations très élevées figurant dans votre étude me semblent donc pour le moins optimistes et porteuses de risques et de contraintes fortes sur les consommateurs. Je voudrais terminer par une considération stratégique : il y a une très forte dissymétrie entre un risque de surinvestissement et celui d’un sous-investissement dans le nucléaire. Dans le premier cas, l’électricité nucléaire française trouvera très facilement à s’exporter dans une Europe qui manquera de moyens pilotables, il n’y a donc aucun risque d’investissements échoués. Dans le deuxième cas, le pays risque de manquer d’électricité, d’autant plus si des difficultés de développement des sources renouvelables se font jour. Les conséquences économiques et sociales seraient alors majeures pour le pays et ses citoyens. Développer le nucléaire est par conséquent une opération sans regret. Je reste à votre disposition, avec le Collège d’experts de PNC-France, pour participer aux réflexions concernant la capacité nucléaire souhaitable, et vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de mes salutations distinguées. -
énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
La surveillance côtière à l'épreuve du développement éolien Le développement des éoliennes en mer posant un défi aux systèmes de surveillance par radars que les entreprises de défense et de sécurité peinent encore à résoudre, les pays européens multiplient les initiatives afin de venir à bout du problème. [...] -
Armée de l'air indonésienne
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Asie / Océanie
Je pense que c'est une incompréhension de journaliste: ça n'apparait pas dans les communiqués officiels ni de Dassault ni du ministère des armées qui eux disent "la dernière version". -
Armée de l'air des E.A.U
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Libanais_75 dans Afrique / Proche Orient
Ce n'est pas une erreur de traduction, il y a la même affirmation en Anglais !!! Mais ce n'est pas pour ça que j'ai mis l'article et c'est sans doute un peu trop d'enthousiasme de la part de l'institut Coréen.