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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Quand la situation présente une grande activité, tu n'as pas en général les capacités de tout enregistrer, les deux avions pouvaient donc se partager le travail par exemple en n'écoutant pas les même bandes de fréquences.
  2. Si même Poutine est contre le Rafale .... ça prouve bien que c'est ce qu'il craint le plus
  3. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Carbone a été abandonné au profit de Spectra. Carbone c'est un démonstrateur des technologies utilisées dans Spectra: c'est utiliser de telles technologies de façon bourrin un peu comme le NGJ alors que Spectra les utilise de façon intelligente. Donc il n'y aura pas de nacelles sur le Rafale sauf si un client export en veut absolument et pourtant le Rafale est aussi capable que les anciens avions avec des nacelles, ce qui implique que l'ASTAC sera bien remisé.
  4. L'IAF a peur d'un nouvel achat G2G elle pense que du coup ce serait le dernier, et elle ne veut pas 36 Rafale mais 114, même si ils arrivent un peu tard.
  5. Dans l'article ce qui m'a intéressé, outre le fait que la Grèce pourrait vouloir encore 2 escadrons de Rafale, c'est ça:
  6. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Il n'a pas compris que le Rafale devait remplacer 7 types d'avions anciens, y compris lorsqu'ils sont équipés avec des nacelles. L'avantage de l'Astac est qu'il est porté par un avion de chasse qui pousse les batteries à allumer leur conduite de tir, chose qu'elles ne font pas face à un Gabriel. Du coup, ça concerne moins les bandes plus basses, GSM ...
  7. Rafale à l'export : et maintenant ? Après l'Indonésie (42 Rafale), Dassault Aviation n'en a pas encore terminé avec des contrats pour son avion de combat. Où l'avionneur va-t-il signer sa prochaine commande ? Dassault Aviation a-t-il fait le plein de commandes à l'export pour le Rafale ? Pas vraiment, l'avionneur pourrait encore réserver quelques surprises. Plusieurs pays, dont certains assez improbables (Irak et Arabie Saoudite), pourraient se laisser tenter ou retenter par l'avion de combat tricolore, qui n'en finit plus d'accumuler des succès à l'export depuis sept ans (285 exemplaires), la première datant de février 2015 en Égypte. Entre 2015 et 2017, l'ancien ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a favorisé la vente de 84 Rafale (Égypte, Qatar et Inde). Et depuis son arrivée au ministère des Armées en 2017, Florence Parly a quant à elle aidé la vente de 195 Rafale. Avec les six appareils supplémentaires en passe d'être acquis par la Grèce, elle dépassera la barre symbolique de 200 Rafale vendus lors de son passage au ministère des Armées (Qatar, Égypte, Grèce, Croatie, Émirats Arabes Unis et, enfin, Indonésie). Soit 285 Rafale vendus à l'export. Outre la Grèce qui prévoit de signer les six Rafale entre la mi-mars et la mi-avril, la ministre pourra-t-elle participer à la nouvelle signature d'un dernier contrat Rafale ? Les succès du Rafale font boule de neige dans d'autres pays, qui n'étaient pas intéressés comme l'Arabie Saoudite. "Il y a toujours des pays qui sont dans les tuyaux (...) On fait des prospections ailleurs mais on a déjà un gros carnet de commandes", a confirmé la semaine dernière sur BFM Business le PDG de Dassault Aviation, Eric Trappier. L'armée de l'air irakienne volera-t-elle en Rafale ? L'Irak, qui a reçu des Mirage F1 au début des années 1980 (121 sur 129 exemplaires), est très intéressé par le Rafale depuis plusieurs mois. À l'occasion du centenaire des forces armées irakiennes, le 6 janvier 2021, le ministre irakien de la Défense, Juma Inad Saadoun avait annoncé être en négociations avec la France pour l'achat de Rafale. "Nous sommes maintenant en train de discuter des aspects financiers", avait-il précisé lors d'un entretien sur la télévision d'État Al Iraqiya. Il a rencontré le PDG de Dassault Aviation Eric Trappier en fin d'année. Début 2022, le dossier reste encore compliqué, tant sur le plan géopolitique que sur le plan financier. Les Etats-Unis ont réagi violemment contre ces discussions entre la France et l'Irak. En France, Bercy et les banques françaises seraient très réticentes à s'engager sur une telle opération par rapport à un client qui n'a pas une excellente réputation en matière de paiement. La presse évoque un paiement en pétrole pour l'achat de 14 Rafale. certains observateurs estiment que les conditions ne semblent pas réunies pour concrétiser cette opération mais, parfois, il suffit souvent d'une volonté politique pour finaliser... L'Arabie Saoudite est-elle vraiment intéressée ? Aussi surprenant que que cela puisse paraître, l'Arabie saoudite s'intéresse au Rafale. C'est un véritable coup de tonnerre tant le royaume wabhabite est la chasse gardée des Américains (F-15) et des Britanniques (Tornado puis Typhoon) depuis plus de 50 ans. Cet intérêt des Saoudiens pour l'avion de combat tricolore donnerait des "boutons" aux Britanniques et à BAE Systems, qui ont dû mal à relancer le Typhoon à l'export en général, et en Arabie Saoudite où un prospect pour 48 appareils est à l'arrêt depuis plusieurs mois. Pourtant, Ryad avait été clair en mars 2018, il avait signé un protocole d'accord avec le Royaume-Uni mais Berlin a très rapidement bloqué l'exportation du missile air-air Meteor, un des atouts opérationnels du Typhoon. Ce qui ne veut pas dire que la porte est grande ouverte pour la France. Il faut se rappeler qu'en 2006, Paris avait tenté le tout pour le tout pour vendre de gré à gré 72 Rafale. Mais Jacques Chirac s'était finalement cassé le nez, l'Arabie Saoudite portant son choix finalement sur le Typhoon, porté par Londres. En 2015, une rumeur persistante circulait dans les milieux industriels et étatiques sur une opportunité de vente. Et en 2018, Ryad choisissait à nouveau le Typhoon. En 2022, Paris doit régler un dossier très irritant pour l'Arabie Saoudite, qui porte sur la disponibilité des frégates Sawari 2. Un dossier qui n'est toujours pas réglé semble-t-il. Un dossier qui doit être traité avant de penser au Rafale. Nouvelles commandes en Inde, Égypte et Grèce ? Dassault Aviation participe à deux appels d'offres, l'un pour l'armée de l'air pour 114 appareils, l'autre pour la Marine (entre 26 et 57 appareils). Dans ce cadre, le Rafale Marine a effectué des essais réussis en janvier à Goa sur une plateforme terrestre. L'appareil est bien adapté à la configuration du porte-avions indien en termes de gabarit, notamment il peut prendre les ascenseurs. Son concurrent américain, le F-18 de Boeing a quant à lui fait des essais en décembre. Une décision est attendue en fin d'année pour le Rafale marine. Sur le Rafale Air, une décision n'est pas attendue avant 2023/2024 en Inde, qui doit recevoir en 2022 ses trois derniers Rafale sur les 36 commandés en 2016. L'Égypte devrait commander de nouveaux Rafale au standard F4, qui remplaceront tout ou partie de sa flotte de F-16 (environ 110 F-16). D'autant que le pouvoir égyptien reste très mécontent des limitations imposées par les Etats-Unis sur ses F-16. Ainsi, Le Caire pourrait se décider sur une nouvelle tranche en 2023. Enfin, la Grèce, au-delà des six Rafale dont le contrat va être prochainement signé, pourrait vouloir deux escadrons composés de 18 Rafale chacun. Athènes va-t-elle commander douze autres Rafale pour former un deuxième escadron ? A suivre. En tout cas, l'armée de l'air grecque veut également acquérir 40 appareils supplémentaires d'ici à 2035, selon le ministre de la Défense grec, Nikólaos Panayotópoulos. Michel Cabirol
  8. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Non j'ai écris un article dans 45eNord.ca le 5 Avril 2014 sur le logiciel du F-35 dans lequel je prédisait que celui ci serait opérationnel en 2031. A l'époque L.M. prétendait qu'il le serait en 2018. Alors il fallait supporter les railleries sur les forum anglo-saxon, mais petit à petit la date prévisionnelle a dérivé vers la date que j'avais prédite, je crois que maintenant c'est 2027 officiellement, même si occasionnellement on voit apparaitre 2030.
  9. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Non Les F_35 block 2B sont au F_35 block 4 ce que les Typhoon tranche1 sont au Typhoon tranche 3 et non pas ce que les Rafale F1 sont aux Rafale F3. Il arrive un moment où si la télé tombe en panne, on préfère la changer que la réparer.
  10. Défense : les armées sont-elles en surchauffe ?
  11. Est-ce que les militaires Ukrainiens de l'ile du serpent étaient encore sur le Moskva?
  12. 88544 personnes ont signé sur 100000 nécessaires
  13. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Peut être que c'est ce qui frappe le plus les non spécialistes?
  14. Le F-35 est très exigeant au niveau sécurité et sécurité des communications car une indiscrétion peut avoir un impact sur la flotte mondiale des F-35. Donc la sécurité est spécifiée par les américains que accréditent les bâtiments, les procédures, les niveaux d'habilitation, les matériels et les logiciels. Pour des raisons de coût on regroupe donc tout ce qui doit être ainsi protégé dans le même bâtiment (qui devient une belle cible).
  15. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Peut être que le problème c'est que pour 2021-22 la dépense prévue était de 314 millions d'AUD et la dépense réelle de 623 millions d'AUD et qu'en plus ils craignent "qu'une série de variables" () pourrait faire grimper les coûts au-delà de 2032.
  16. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Australia To Spend A Whopping $14.6B To Maintain Its US-Origin F-35 Stealth Fighter Jet Fleet? Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) L'Australie va dépenser la somme astronomique de 14,6 milliards de dollars pour maintenir sa flotte de chasseurs furtifs F-35 d'origine américaine ? Par Ashish Dangwal- 14 avril 2022 La flotte australienne de chasseurs à réaction F-35 a récemment été sous les feux de la rampe en raison d'un débat portant sur les préoccupations liées à son coût de fonctionnement, à ses capacités et à sa viabilité pour la Royal Australian Air Force. Une nouvelle mise à jour a révélé que Canberra a l'intention de dépenser la somme énorme de 14,6 milliards de dollars australiens (10,87 milliards de dollars) pour exploiter sa flotte de Lockheed Martin F-35A Lightning II jusqu'en 2053. Le 6 avril, le vice-maréchal de l'air Leon Phillips, chef de la division des systèmes aérospatiaux, a déclaré aux membres de la commission des affaires étrangères, de la défense et de la législation commerciale du Parlement australien qu'une série de variables pourrait faire grimper les coûts au-delà de 2032. Le point le plus crucial à souligner, selon l'AVM Phillips, est qu'il n'existe pas de capacité opérationnelle finale une fois l'acquisition du projet livrée, en particulier pour les capacités modernes. "Il y a une évolution constante des capacités pour faire face aux [opérations]", a-t-il ajouté. De 2015 au 30 juin 2021, le ministère australien de la Défense (DoD) a dépensé 623 millions de dollars australiens pour maintenir la flotte de 48 appareils. Le coût de l'allocation budgétaire pour 2021-22 était de 314 millions d'AUD, selon l'AVM Phillips. La flotte de F-35 en Australie a déjà fait l'objet de nombreuses controverses en raison de problèmes de coûts et de maintenance. En février 2022, des documents gouvernementaux ont révélé que le chasseur F-35A de l'Australie passera moins de temps dans les airs que prévu, ce qui a déclenché un débat national sur sa capacité et sa viabilité pour la Royal Australian Air Force. Les heures de vol estimées pour 2021-22 ont été réduites de 11 813 à 8 773, selon les documents cités par le journal australien. L'opposition a déclaré que le programme d'avions de combat de 16,6 milliards de dollars était "truffé de problèmes" et a demandé au ministre de la défense Peter Dutton de s'expliquer sur ces données. Plus tard, le chef de la RAAF, le maréchal de l'air Mel Hupfeld, a réfuté les spéculations des médias sur les capacités de l'avion, affirmant que les nouveaux chiffres étaient fondés sur la compréhension croissante de la RAAF des exigences en matière de capacité du F-35A et sur la montée en puissance de la capacité. "Je peux confirmer que le programme JSF a respecté tous ses engagements en matière d'exercices, d'activités de vérification et de validation, et d'entraînement", a-t-il ajouté. Inquiétudes concernant le programme F-35 de la RAAF L'Australie a rejoint le programme F-35 en tant que partenaire industriel de niveau 3 en 2002. Elle prévoyait de dépenser environ 16 milliards de dollars pour quatre escadrons, soit environ 72 avions en tout. Fin 2021, la RAAF avait reçu 44 de ses 72 F-35A, la dernière unité de première ligne, le 75e escadron de Tindal, dans le Territoire du Nord, ayant reçu son premier appareil en décembre. La RAAF a l'intention de rendre tous ses appareils opérationnels d'ici à la fin de 2023. Toutefois, les experts de la défense estiment que le Lockheed Martin F-35 Joint Strike Fighter fourni à la RAAF a été un désastre. Ainsi, les deux avions de combat F-35 de l'Australie, achetés pour plus de 280 millions de dollars en 2013, sont probablement trop vieux pour être mis à niveau avec la configuration actuelle. Dans le même ordre d'idées, l'US Air Force s'inquiète également du fait que ses F-35 vieillis ne sont plus que des avions d'entraînement coûteux. La majorité de la flotte australienne sera modernisée pour être plus proche de celle des États-Unis, mais cela nécessitera encore plus d'argent. L'année dernière, le chef d'état-major adjoint de l'armée de l'air américaine, le lieutenant-général S. Clinton Hinote, a exprimé de graves inquiétudes quant à l'obsolescence des logiciels, déclarant que "le bloc qui sort de la chaîne en ce moment n'est pas un bloc qui me convient pour affronter la Chine et la Russie". Il a ajouté qu'un scénario de guerre centré sur la protection potentielle de Taïwan contre les attaques aériennes chinoises démontrait que "chaque [F-35] qui sort de la chaîne aujourd'hui est un chasseur que nous ne prendrions même pas la peine d'utiliser dans ces scénarios." Selon Independent Australia, l'avion était prévu pour être un chasseur furtif à faible coût, léger et très performant. L'avion a un rayon d'action limité, une faible capacité de survie en combat aérien et des dépenses courantes élevées, chaque avion coûtant 100 millions de dollars (140 millions de dollars australiens). La finalité du F-35 a été remise en question. L'avion de combat devra être ravitaillé en vol s'il doit se rendre à Taïwan ou près de la Chine pour aider les jets américains en cas d'urgence, en raison de sa portée de combat de seulement 1000 km. Le Sydney Morning Herald a également déclaré que le principal défi de la RAAF dans sa lutte contre la Chine serait d'arriver à temps. Une autre grande préoccupation concernant le F-35 australien est son incapacité à transporter le missile antinavire à longue portée. Toutefois, le pays a récemment annoncé qu'il prévoyait d'accélérer l'acquisition de missiles air-sol à longue portée (JASSM-ER), dont la portée peut atteindre 900 km. Ces missiles équiperont les F-35 australiens dans un avenir proche.
  17. Ils n'avaient plus de munitions, en se regroupant ils en retrouvent. Les 1000 qui ont été fait prisonnier sont certainement ceux qui n'ont pas voulu tenter la manœuvre complexe et très risquée. En plus ils n'étaient peut être pas vraiment utiles si il y a des pénuries.
  18. Les unités du Corps des Marines ont pu percer pour rejoindre le régiment Azov à Marioupol - Arestovych À Marioupol, des unités de la 36e brigade de marine ont pu percer pour rejoindre le régiment d'Azov. Oleksii Arestovych, conseiller du chef du bureau du président, l'a annoncé sur Facebook. Arestovych a déclaré que la percée avait été un succès à la suite d'une manœuvre complexe et très risquée. "A Marioupol, des unités de la 36e brigade de marine, à la suite d'une manœuvre complexe et très risquée, ont fait irruption pour rejoindre le régiment d'Azov, qui a professionnellement organisé cet événement", a écrit Arestovych. Arestovych a également parlé des résultats de cette percée, notant qu'Azov a reçu des renforts importants. De plus, selon lui, la 36e brigade a évité la défaite par endroits et a reçu de sérieuses opportunités supplémentaires, en fait, a obtenu une seconde chance. "Les défenseurs de la ville, désormais conjointement, ont sérieusement renforcé leur zone de défense. En général, le système de défense de la ville s'est développé et renforcé. C'est ce qui se passe lorsque les officiers ne perdent pas la tête, mais maintiennent fermement le contrôle des troupes. pas perdre aussi. L'armée sait quoi faire », a ajouté Arestovitch. Comme l'a rapporté l'agence de presse ukrainienne, l'armée russe progresse dans la région d'Azovstal et du port maritime de Marioupol. Le commandant en chef des forces armées d'Ukraine, Valerii Zaluzhnyi, a déclaré que l'armée ukrainienne combat héroïquement à Marioupol, la communication avec eux est maintenue.
  19. La Russie prête à l'offensive dans l'est et le sud du pays - État-major général Les troupes russes sont prêtes pour une offensive dans les directions Donetsk et Tauride. Cela a été rapporté par le service de presse de l'état-major général des forces armées ukrainiennes à 18h00. "Dans les directions de Donetsk et de Tauride, selon les informations disponibles, l'ennemi est prêt pour des opérations offensives. Il continue de concentrer ses principaux efforts sur la capture de certains quartiers de la ville de Marioupol et sur des frappes aériennes", indique le communiqué. Maintenant, les envahisseurs tentent de prendre d'assaut Severodonetsk, Rubizhne et Popasna. En outre, ils continuent de tirer des missiles et des bombes dans les régions de Kharkiv et de Zaporizhzhia. Dans la direction de Slobozhanske, Kharkiv est partiellement bloqué par l'ennemi. En raison de l'impossibilité de sa capture, les forces armées de la Fédération de Russie continuent de détruire l'infrastructure de la ville avec de l'artillerie. Dans le même temps, il n'y a pas d'actions offensives dans le nord du pays. Dans la direction de Pivdennobuzske, l'ennemi effectue une reconnaissance aérienne afin d'identifier des unités des Forces armées ukrainiennes. L'état-major général signale également que des unités distinctes des 103e, 109e, 113e, 125e et 127e régiments de fusiliers motorisés opèrent dans le cadre du groupement de forces ennemies dans une partie des territoires des régions du sud-est de l'Ukraine. Leur recrutement a été effectué lors de la mobilisation forcée d'hommes des territoires temporairement occupés des régions de Donetsk et Louhansk. Structurellement, ces régiments comptent jusqu'à 5 bataillons d'environ 300 militaires chacun. Dans le même temps, seuls 5 à 10% du personnel ont une expérience des opérations de combat. La direction régimentaire est composée d'officiers des forces armées de la Fédération de Russie. Ces formations connaissent d'importants problèmes d'approvisionnement en armes, munitions et médicaments. Comme l'a rapporté l'agence de presse ukrainienne, la veille, le chef de l'administration régionale de Louhansk a expliqué que les troupes russes ne passaient pas à l'offensive en raison du temps pluvieux. Selon le Times, la Russie essaie d'amener des forces dans le Donbass qui seront cinq fois plus importantes que celles de l'Ukraine.
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