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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Boeing dans le rouge pour la troisième année d’affilée
  2. Franco-German Dispute Stalls New European Fighter-Jet Plans Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Le différend franco-allemand bloque les projets de nouveaux avions de combat européens Le PDG de Dassault Aviation reproche à Airbus les difficultés rencontrées dans les négociations Dassault est le chef de file du projet, l'expertise devrait être en France : PDG ParTara Patel 26 janvier 2022, 13:10 UTC+1Mise à jour le26 janvier 2022, 17:26 UTC+1 Le développement d'un futur avion de combat européen évoqué pour la première fois par l'ancienne chancelière allemande Angela Merkel et le président français Emmanuel Macron en 2017 est paralysé par un différend entre les principaux fournisseurs de l'industrie. Le patron de Dassault Aviation SA a averti mercredi que les discussions avec la branche allemande d'Airbus SE se sont enlisées dans une lutte de pouvoir sur la "division du travail" qui pourrait menacer le projet. "Nous avons toujours des difficultés avec Airbus", a déclaré Eric Trappier, directeur général de Dassault, lors d'une conférence de presse à Paris. "Il n'est pas toujours facile de négocier avec les Allemands". Le fabricant français de l'avion de combat Rafale et Airbus sont en négociations sur la prochaine phase de développement de l'avion, connue sous le nom de New Generation Fighter, qui n'entrerait pas en service avant environ 2040. Airbus doit accepter que "l'expertise se trouve en France plutôt qu'ailleurs", a déclaré M. Trappier. "Ce qui est clair, c'est que Dassault sera le leader", a-t-il ajouté. La possibilité que l'Allemagne commande des avions de combat américains pour transporter des armes nucléaires dans le cadre d'un accord de longue date de l'OTAN pèse également sur le projet, a déclaré M. Trappier. L'impasse survient près de cinq ans après que les dirigeants français et allemands se soient mis d'accord sur une alliance de combat aérien qui incluait le nouveau jet, laissant le Royaume-Uni dans le froid suite à la décision du pays de quitter l'Union européenne. La société londonienne BAE Systems Plc, la plus grande entreprise de défense d'Europe, a poursuivi le développement d'un avion de guerre rival, le Tempest, et a recruté l'Italien Leonardo SpA et le Suédois Saab AB dans son camp. Capacités de conception BAE, Leonardo et Airbus collaborent sur le modèle actuel de l'Eurofighter, un rival du Rafale. En formant une nouvelle alliance, Airbus a cherché à jouer un rôle plus égal dans l'avion successeur, bien que Dassault dispose de capacités de conception avancées grâce à son travail sur des générations d'avions de guerre, notamment le Mirage, qu'il a fabriqué des années 1950 aux années 1990. La série de succès du Rafale de Dassault - dont une commande exceptionnelle de 80 appareils par les Émirats arabes unis - a peut-être renforcé la position de la société française dans la bataille pour la suprématie sur le projet. Si la collaboration échoue, Dassault conserve un plan B, a déclaré M. Trappier, sans donner de détails. S'il a exclu une collaboration avec le Royaume-Uni, affirmant que les discussions avec les fournisseurs de ce pays sur le futur avion de combat européen ont pris fin, il a ajouté qu'Airbus ne partageait pas sa vision de la manière dont l'industrie devrait être organisée pour développer l'avion. Un porte-parole d'Airbus n'était pas disponible pour un commentaire immédiat. La confiance de Dassault a été renforcée par la méga-commande des Émirats arabes unis. La victoire sur les fournisseurs européens et américains rivaux a couronné une série de victoires après des accords avec la Grèce, la Croatie et une commande supplémentaire avec l'Égypte plus tôt en 2021. Les actions ont augmenté de 4,3 % à 17 h 25 à Paris, et ont gagné 22 % au cours des 12 derniers mois. Pour ce qui est de l'avenir, M. Trappier a déclaré qu'il était optimiste et que 2022 pourrait donner lieu à des contrats supplémentaires, citant les discussions en cours avec l'Inde et l'Indonésie pour des avions Rafale. Dassault a eu du mal à vendre les avions à réaction en dehors de la France pendant plus d'une décennie après leur entrée en service dans l'armée française en 2004. - Avec l'aide de Siddharth Vikram Philip et de Christopher Jasper.
  3. Nucléaire, histoire d’un sabotage d’État Dans un livre au vitriol, Bernard Accoyer dénonce la lente infiltration des antinucléaires au cœur du processus de décision. Explosif. Dans un livre enquête fouillé, Bernard Accoyer dévoile les dessous ahurissants de cette patiente tentative de « sabordage » d’une filière d’excellence, le nucléaire.© LAURENT CIPRIANI / POOL / AFP Par Géraldine Woessner Publié le 25/01/2022 à 17h00 Janvier 2022. Alors que les prix de l'électricité flambent, une dizaine de réacteurs nucléaires sont mis à l'arrêt pour maintenance et le vent ne souffle pas, rendant les éoliennes inutiles. Pour éviter des black-out, la France est contrainte d'importer massivement de l'électricité et de booster ses centrales à charbon. Le gouvernement, au pied du mur, fait mine de découvrir un fiasco dont nos autorités ont pourtant écrit le scénario, du premier accord politique signé entre Lionel Jospin et les Verts en 1997 à la fermeture de la centrale de Fessenheim par Emmanuel Macron. Dans un livre enquête fouillé*, l'ancien président de l'Assemblée nationale et cofondateur de l'association Patrimoine nucléaire et climat dévoile les dessous ahurissants de cette patiente tentative de « sabordage » d...
  4. Quand la Chine concurrence les États-Unis : allons-nous vers un déclassement du modèle industriel de la défense américaine ?
  5. Désolé ce titre est arrivé dans ma boite aux lettres alors que c'est un titre de 2016 !
  6. Les réseaux derrière le contrat Rafale en Inde Pour les sources d'Intelligence Online à New Delhi, la signature du contrat Rafale pourrait intervenir avant la fin du printemps.
  7. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Pilot Ejects After F-35 Lightning II ‘Landing Mishap’ on USS Carl Vinson in South China Sea
  8. Picdelamirand-oil

    Eurofighter

    http://www.f-16.net/forum/download/file.php?id=25484&sid=5fd71907ad137a02dcc17774fb7f7a09 Traduction en Anglais d'un interview de Henri-Pierre Grolleau paru dans le Air Fan spécial salon du Bourget de 2017 page 8
  9. Picdelamirand-oil

    Eurofighter

    C'était un honteux Trollage, mais même dans ce cas, il y a toujours un fond de vérité dans ce ce que je dis, même si on ne peut pas dire pourquoi.
  10. Picdelamirand-oil

    Eurofighter

    Non le logiciel suffit bien pour qu'on soit prêt ou pas, mais les descriptions initiales de F4, lorsqu'il a été annoncé, parlait bien de GaN pour F4. Si il y a du retard ce serait quand même décevant car cela voudrait dire qu'on est obligé d'acheter plus de GaS et à mon avis dans ce cas on ne les remplacera pas. De mon point de vue l'argument essentiel pour les ventes d'occasion c'est d'avoir plus de F4.2 y compris les Radar et SPECTRA GaN.
  11. Picdelamirand-oil

    Eurofighter

    Non c'est pas à ce moment là que Thales a dit qu'il ne serait peut être pas prêt : c'est quand Dassault a dit que la F4.2 serait livrée en 2024 au lieu de 2025. Et Thales a simplement fait savoir officieusement qu'il ne serait peut être pas prêt. Ma conclusion est fin 2024...début 2025.
  12. Picdelamirand-oil

    Eurofighter

    C'est du Radar 2 dont on parle, les Kowaitiens ont le Radar 0, les Espagnols et les Allemands ont le Radar 1.
  13. Picdelamirand-oil

    Eurofighter

    Et je suppose qu'ils retireront le Typhoon en 2030
  14. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Oui ils ont mis 40 ans à faire un Mirage 2000 et ils pensent pouvoir faire un Rafale en 5 ans.
  15. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Le problème c'est la sécurité et les protocoles qu'on peut valider sur un porte avion pour y faire face, sinon il peut décoller à 24,5 t depuis le tremplin. Cela ne se calcule pas sur un coin de table, et il vaut mieux faire des mesures avant de s'avancer. http://www.air-defense.net/forum/topic/21-linde/?do=findComment&comment=1476797
  16. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Bof, ça n'occupe que 7 points d'emport, il peut faire mieux... Je suis sûr qu'on peut lui mettre 4 bidons une nou-nou et quelques missiles.
  17. Je ne vois pas de problèmes, mais ce n'est pas une configuration utilisée, donc il faut peut être faire des essais. On peut aussi imaginer 2 Meteor à la place des 2 MICA EM et on peut imaginer que pour F4 le point 3 sera ouvert pour 2 MICA supplémentaires.
  18. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Chez moi c'est tombé en marche!
  19. Fadjar Prasetyo est pour l'achat immédiat du Rafale mais c'est le concurrent du président de la république qui peut bloquer longtemps la vente....
  20. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Moi j'attends qu'on me dise que le Rafale a décollé du tremplin avec une masse de plus de 24 t.
  21. Picdelamirand-oil

    [Rafale]

    Non c'est l'efficacité du Rafale qui explique qu'on peut limiter leur nombre (parce que les politiques sont inconscient des risques qu'ils prennent) La durée de vie des Rafale est calculé à 7500/250 = 30 ans (je ne tiens pas compte de l'augmentation à 9000 h du potentiel car on ne sait pas comment il sera géré). Donc si l'objectif est que chaque Rafale atteigne sa durée de vie prévue, cela veut dire qu'on le retire 30 ans après son introduction et donc la période de retrait durera aussi longtemps que la période d'acquisition.
  22. Nucléaire : le gendarme de l'atome réclame « plus de marges » Pour le président de l'Autorité de sûreté nucléaire, Bernard Doroszczuk, le système électrique français fait face à un double défi : l'absence de marge de manoeuvre et un déficit d'anticipation sur l'évolution du parc nucléaire. Deux enjeux à prendre en considération dès à présent afin de ne pas mettre en concurrence, le moment venu, sécurité d'approvisionnement et exigences de sûreté. Par Enrique Moreira Publié le 19 janv. 2022 à 17:17 Mis à jour le 19 janv. 2022 à 18:25 A bon entendeur. Même si la sûreté des installations nucléaires de l'Hexagone se maintient dans l'ensemble à un « niveau satisfaisant », l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a tenu à faire passer mercredi, par la voix de son président, Bernard Doroszczuk, un certain nombre de messages forts aux pouvoirs publics qui se démènent actuellement pour limiter l'envolée des tarifs de l'électricité. Alors que les candidats à l'Elysée soupèsent la relance du programme nucléaire évoquée par Emmanuel Macron, le premier voeu du gendarme du nucléaire est « de maintenir des marges de manoeuvre dans le dimensionnement du système électrique et des installations » pour ne pas avoir à transiger sur des questions de sécurité qui pourraient mettre le réseau sous très forte tension. Que ce soit à court, moyen ou long termes. Réacteurs à l'arrêt Dans cet hiver qui voit le prix de marché de l'électron évoluer à des niveaux stratosphériques, la production nucléaire « est marquée par une moindre disponibilité du parc nucléaire que celle envisagée », rappelle-t-il. Les raisons de cette situation étaient pour certaines connues de longue date (retard de l'EPR de Flamanville, fermeture des réacteurs de Fessenheim, opérations de grands carénages…), mais d'autres ne l'étaient pas (pandémie de Covid-19 et mise à l'arrêt de cinq réacteurs). Ces dernières semaines, EDF a en effet découvert au sein de cinq réacteurs - à Civaux, Chooz et Penly-, des fissures qui réclament réparations et qui pourraient éventuellement être détectées sur d'autres réacteurs de conception similaires - ce qui pourrait grever davantage la production atomique. « Il s'agit d'un événement sérieux car il concerne un circuit qui est directement connecté au circuit primaire principal, a précisé Bernard Doroszczuk. C'est un événement sérieux car il possède un caractère potentiellement générique », c'est-à-dire qui peut concerner des familles entières de réacteurs, a-t-il ajouté, jetant un voile sur la suite, et notamment sur d'éventuelles fermetures de sites supplémentaires pour inspection. « Si la sûreté l'exige, nous le ferons », dit-il. Ces mêmes enjeux se retrouvent également à moyen et long terme, et c'est le deuxième message de l'ASN. Sera-t-il possible de conserver des marges de manoeuvre sur la production si la décision d'arrêter 12 réacteurs nucléaires, en plus des deux de Fessenheim comme le prévoyait la loi de programmation pluriannuelle de l'énergie 2019-2028, est maintenue ? Ce choix devra être « dûment pesé, sauf impératif de sûreté » et « au regard de prévisions réalistes de mise en service de nouveaux moyens de production d'ici à 2035 », a mis en garde le président de l'ASN. La décision qui en résultera, « quelle qu'elle soit », devra arriver dans les cinq ans - car il faudra une dizaine d'années ensuite pour pouvoir ajuster le tir. Parallèlement, « EDF devra questionner et justifier individuellement la capacité des réacteurs les plus anciens à poursuivre leur fonctionnement au-delà de 50 ans », juge le gendarme du nucléaire. Pour pouvoir le faire, l'électricien français va devoir « faire évoluer ses méthodes de justification », prévient l'ASN. Selon l'autorité, la dernière inspection de sûreté des vieux réacteurs de 900 MW « ne permet pas de conclure » à leur poursuite au-delà de 50 ans. Dans les conditions actuelles, ce scénario « présente le risque d'engager le système électrique dans une impasse », a jugé le responsable. « Plan Marshall » Enfin, et c'est le dernier voeu de l'ASN, il conviendrait de « mettre en place un véritable plan Marshall » pour le nucléaire si la construction de nouveaux réacteurs est confirmée. Ce cas échéant, la filière industrielle du nucléaire devra se démultiplier pour répondre à l'ampleur du programme dans sa durée - et avec les exigences requises, elle qui peine à achever le chantier de l'EPR de Flamanville. Particulièrement en ce qui concerne les compétences, un souci identifié depuis longtemps. « Une fois le projet industriel décidé, il faut qu'il soit soutenable du point de vue technique et financier », a martelé Bernard Doroszczuk.
  23. Pour moi les livraisons ne doivent pas diminuer: même quand on perd un avion on ne diminue pas les livraisons. Si on veut en tenir compte on met une colonne "avions en ligne", mais ce n'est pas utile de compliquer ton tableau. Par contre comme un avion ne peut pas être livré deux fois ça justifie de décrémenter le pays qui livre en même temps qu'on incrémente le pays qui est livré. De toute façon la France reste propriétaire des 6 autres avions grecs et des 12 avions Croates et le fait qu'elle les immobilise est son problème qui se traduirait si il y avait une colonne "avion en ligne". Après tout on n'a pas décrémenté les 14 Rafale cannibalisés.
  24. Les Croates: le contrat n'est même pas en vigueur. Les 6 autres Grecs c'est après la livraisons des 6 neufs qui se feront à la fin de cette année, donc en 2023, et sans doute pas au début.
  25. Je trouve ton tableau trompeur: Il donne l'impression qu'il y a 221 Rafale dans la nature: le total de la colonne Livrés. Or aujourd'hui l'armée de l'air a 152 Rafale moins les 6 qui sont partis en Grèce soit 146 Rafale les autres pays ont bien les quantités que tu as inscrites et donc le total des Rafale volant aujourd'hui est de 239 et non pas 221. Je pense qu'il faudra diminuer les livraisons françaises seulement lorsqu'on augmentera les livraisons qui sont faites aux autres pays à partir de ces avions. Cela devrait d'ailleurs permettre de surveiller le minimum de l'effectif Français qui ne sera peut être pas si dramatique que cela.
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