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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil
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Iyer Mitra and another person Saikat Datta has been baiting Rafale along with Ajai Shukla.. Take it from me pic, you will see a much more dirty campaign soon... The result will be a massive blow out on their face when GOI finally comes out in open and says loud and clear what's in Rafale MII.
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Sisi l'avait déjà dit.
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http://www.newsx.com/national/43472-dealing-with-old-scams-biggest-challenge-manohar-parrikar
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D'abord, l'article demande plus de clarté, comme si ce n'était pas le cas: mais il y a des milliers de pages dans le contrat donnant tous les détails, et la question est de savoir si cela doit être partagé avec les médias? La politique Dassault est que c'est le client qui peut communiquer au sujet d'un contrat. Deuxièmement, l'article prétend que le Rafale a eu une histoire mouvementée avec HMD. En fait plusieurs HMD ont déjà été intégré sur le Rafale, mais l'armée de l'air française n'en veut pas tant que la masse totale n'est pas inférieure à 1,3 kg avec tous les équipements, y compris la vision de nuit. Pour le moment, personne n'est en mesure d'en livrer, et même si l'Inde choisit un HMD, la France ne s'en équipera pas. Troisièmement la description de l'utilisation de la datalink bidirectionnelle pour le METEOR est complètement fausse. Personne ne poursuit une cible à travers l'autodirecteur d'un missile! La portée de l'autodirecteur est très inférieure à la portée du radar. De plus allumer en permanence l'autodirecteur: risquerait d'user la réserve d'énergie électrique juste avant de pouvoir vraiment accrocher, serait le meilleur moyen de révéler le missile et de l'exposer à du brouillage. La datalink bidirectionnelle est utilisé pour avertir l'avion lorsque la cible est verrouillée, et à ce moment l'avion peut finir l'attaque. Mais le Rafale peut rompre l'attaque dès que le METEOR est tiré, parce SPECTRA est en mesure de suivre une cible qui a été initialisée par un radar pendant le temps de l'attaque. Et pour IRST il est disponible: l'OSF est un équipement plug and play, la France a deux types d'OSF: OSF-IT qui est sans IRST et OSF avec un IRST.
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C'est un article qui accumule les conneries. Sur la liaison unidirectionnelle j'ai déjà répondu sur les sites indiens et ça donne ça: Etant donné : que le passage du radar en liaison bidirectionnelle ne pose pas de problème de faisabilité. que l’option liaison bidirectionnelle est à chaque fois proposée notamment aux 5 Forces clientes, dont l’IAF, sans encore avoir été retenue à ce jour. On a du mal à croire que SAAB fasse passer l’IAF pour des nuls qui ne retiendraient pas une option soit disant “décisive en performance”. Concrètement, une liaison unidirectionnelle n’empêche pas le Rafale, comme pour les autres chasseurs, d’infléchir sa route dès que le missile est parti pour arrêter de s’approcher trop directement vers la cible. Une liaison bidirectionnelle permet de savoir si l’autodirecteur a accroché ou non, ce qui, vue les vitesses relatives, a lieu très peu de temps avant l’interception. Le gain en temps est donc faible au point que ni les Forces françaises, ni l’IAF ne se sont précipitées sur l’option. La future présence d’antennes latérales sur le Rafale et la future antenne tournante sur le Gripen ne feront que permettre de plus infléchir la route une fois le missile parti.
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Il semble qu'ils n'ait pas tiré les deux derniers (mais peut être la procédure c'est d'en avoir en réserve en cas de problèmes avec ceux qui sont prévus). C'est en tous cas comme cela que j'interprète ce passage:
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Je pense que tu es optimiste sur ta longévité
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Et puis de toute façon avec SPECTRA il n'y en a pas besoin. Il n'y aura pas de support de cette conférence. Par contre rien n'empêche un forumers de demander à Stephane Fort la répétition de la conférence ...
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Oui, je pense par exemple qu'il y a de la virtualisation aussi dans le Radar, mais elle n'est peut être pas au même niveau. En effet il y a une constante recherche de la plus grande facilité de portage du logiciel et il est possible voire probable que le "temps radar" avec un balayage électronique (la gestion des émissions d'un pointage à l'autre ...) soit plus contraignant que le "le temps EMTI". Il faut donc virtualiser sans perdre en performance : Pour faciliter le portage (et pour diminuer les coûts et délais de développement), il est bon d'utiliser un codage de haut niveau. Derrière ce codage, d'autres logiciels prennent le relais (operating systems, handlers, drivers ...) pour s'interfacer avec les machines, c'est là qu'on peut s'appuyer sur une des architectures de virtualisation. On diminue les facilités de portage dès qu'il faut avoir ponctuellement recours à de l'assembleur plus facile à optimiser pour gagner en réactivité vers l'une ou l'autre des machines. A chaque changement de génération de calculateur, les performances supérieures du hard diminuent le besoin d'avoir recours à l'assembleur. Mais chaque demande d'amélioration de performance temps réel (par exemple un entrelacement encore plus serré) peut amener à y revenir. A chaque changement de calculateur, le radariste doit supprimer le maximum des recours à de l'assembleur, et doit réécrire, en fonction des nouvelles machines, le code des parties qui ne peuvent éviter le recours à de l'assembleur.
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http://aero-baas.fr/agenda/laquitaine-berceau-du-rafale
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Dans la même conférence, il a été présenté l’hypothèse d’une moins bonne qualité des voies du radar de l’Eurofighter pour expliquer notamment la moins bonne appréciation faite par les suisses. Ce radar dispose bien du nombre de voies permettant de faire du monopulse (écartométrie) mais leur qualité ne serait pas suffisante en “look down” pour séparer les échos sols des échos des avions. Moins il y a de bruit dans ces voies plus la séparation Doppler est efficace (il est vrai que les retours sol des Alpes ont du secouer un peu les radars).
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Et aussi en Libye : ça s'est vérifié plusieurs fois!!!
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M88, histoire... et tout ce que vous savez !
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de TMor dans Europe
Une description du MCV-99 moteur à cycle variable destiné à la propulsion du successeur du Concorde. (On savait être ambitieux dans ces temps là) http://le-pointu.aviatechno.net/images.php?image=36&dir=7 -
http://documents.irevues.inist.fr/bitstream/handle/2042/1616/nondispo.pdf?sequence=1
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Ce sont les pilotes néerlandais qui, à l’issue de l’évaluation du Rafale, avaient exprimé leur admiration en parlant de “solid tracks” produites par le RBE2. Il semble qu’ils subissaient des oscillations des vecteurs vitesse des pistes issues du radar de leur F16. Chez Thales, ça reste l’anecdote préférée pour expliquer aux stagiaires radaristes que la taille de l’antenne et la puissance de l’émetteur ne suffisent pas à faire un bon radar. Comme ça a été présenté récemment par Thales lors d’une conférence sur le Rafale à Bordeaux, il est impératif de regarder le nombre de voies antenne et le nombre de voies de réception (et leur qualité). En l’occurrence, les radars des F16 des Pays Bas ne disposaient pas (ne disposent pas) de voies d’écartométrie permettant de faire du monopulse. Le radar était moins cher au détriment de la performance.
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Il était aussi rapporté que SPECTRA avait détecté des batteries (lointaines sans doute) que les F16 US super bien équipés n’avaient pas détecté dans ce même exercice.
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M88, histoire... et tout ce que vous savez !
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de TMor dans Europe
C'est ce qu'il y a d’intéressant avec le M-88 le cœur c'est à dire la partie "chaude" où la technologie s'exprime a été prévue dès l'origine pour pouvoir s'adapter à une gamme de poussées comprises entre 7.5 T et 11 T, ça facilite son utilisation éventuelle dans le Kaveri qui est un moteur à cycle variable. D'autre part les progrès technologiques permettent d'envisager le moteur de 8.3 t de poussée sans modification des entrées d'air du Rafale au contraire du 9 t d'il y a quelques années pour lequel il fallait augmenter le débit d'air. -
Il a fait son raisonnement sur la base de ce qu'il connait c'est à dire le SU-30 MKI Le Rafale ne semble pas spécialement fragile c'est même plutôt le contraire. En fait on est obligé de le refaire au fur et à mesure des dégradations si on veut garder la furtivité. Et c'est cher!
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Il y a un Indien qui a fait ce calcul: sur la vie opérationnelle de l'avion on change 3 fois de moteur Le Rafale a deux moteurs donc il en faut 6 par Rafale Il faudra au moins 300 Rafale donc ça fait 1800 moteurs rien que pour les Rafale Il faut compter en plus les Tejas et les AMCA (qui est bi moteur aussi) Et ne pas oublier les moteurs d’hélicoptère et de Drone.
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Rafale jet: Parrikar keen on SAFRAN's manufacturing unit in Goa Read more at: http://economictimes.indiatimes.com/articleshow/55016003.cms?utm_source=twitter.com&utm_medium=referral&utm_campaign=ETTWMain&utm_source=contentofinterest&utm_medium=text&utm_campaign=cppst
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Tous les “traitements radar” sont effectués dans et par le radar, en particulier : Détections et poursuites des échos dans la zone de veille fournie par l’EMTI. La rapidité d’obtention et la stabilité des vecteur vitesse de ces pistes font la réputation du RBE2 (la stabilité du vecteur vitesse est vitale pour ne pas gâcher l’énergie du missile en lui corrigeant inutilement, sa direction son point de ralliement). Poursuites renforcées sur des pistes sélectionnées par l’EMTI y compris en dehors de la zone de veille. La constitution de la carte sol lors d’un mode SAR lancé sur une désignation reçue de l’EMTI. Pour toutes ces fonctions, le radar gère les différentes formes d’onde (la fameuse GAFO, comme Gestion Automatique des Formes d’Onde) et effectue de l’antibrouillage (CCME). La principale différence par rapport au RDY tient au fait que l’EMTI assure seul l’affichage des données radar, opération impossible à faire par le radar puisqu’il faut fusionner les données entre les capteurs embarqués et extérieurs.
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Quand on parle de configuration hard, on parle de tranches de production. Le principe est de ne pas avoir d’évolutions hard au milieu d’une tranche de production et, comme les modes radar sont les mêmes entre une antenne PESA et une antenne AESA jusqu’à F3R, les évolutions hard de la partie calcul ne peuvent se justifier par des améliorations. Par contre, des évolutions entre deux tranches peuvent être nécessaires suite à des obsolescences pour lesquelles il n’y aurait pas eu de stockage de composant. Donc, même si les UC des tranches précédentes (celle qui produisait des PESA) sont différentes de celles de la 4ème tranche, elles peuvent fonctionner avec des antennes AESA.
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Oui c'est l'époque où chez Dassault j'avais des stagiaires, il y en avait un qui s'appelait Eric Trappier.
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Bon sang, si l'antenne est plug and play c'est obligatoirement que la partie calcul est la même.
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Les changements mineurs doivent aider, mais franchement je n'en sait rien. Ceci dit la philosophie de l'interface homme machine d'un système d'arme n'est pas la même que celle relative au grand publique, par exemple dans un système d'arme on ne fera jamais un bouton en relief, on doit utiliser la ressource rare au mieux pour l'efficacité de la mission. Cette non débauche de moyens rend les compatibilités plus faciles aussi.