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Effectivement, à cette époque là les commandes pour la France commençaient à sérieusement baisser, le milieu des années 80 à vu le début de la fin de la famille des amx 10 p puis AMX 30, les derniers ont été produits au début des années 90. Pas beaucoup d'autres choix que d'aller sur les marchés export, déjà très porteurs dans les années 60 puis 70 avec l'exportation à plusieurs centaines d'exemplaires des AMX 13, puis AMX 30, AMX 10, seul l'AMX 10 RC ne connaitra pas le succès des autres engins avec une petite centaine d'engins exportés au Maroc puis 12 livrés au Qatar au début des années 90, l'EBG qui ne sera pas exporté. L'AMX 32 puis 40 étaient destinés aux marchés export mais ne trouvèrent pas preneurs. A la suite de cela on verra bien que cette stratégie du quasi "tout-export" fût un échec, le Leclerc exporté à 436 exemplaires, les Caesar et Aravis ont plus de succès, le VBCI qui ne s'exporte pas non plus.

Première photo premières erreurs, de gauche à droite AMX 30B2, AMX 32/105, AMX 32/120, AMX 40, Leclerc. Saumur conserve 3 AMX 32 et non 2, celui "canibalisé" en extérieur vient de Roanne d'où il est parti au début des années 2000, il était déjà dans cet état à ce moment là. Les T1 qui pourrissent à Bourges, faut, il n'y a qu'un seul char T1 sur les 4 qui est à Bourges, les 3 autres étaient soit chez le constructeur soit à Gien. L'AMX 40 conservé à Bourges est en fait le 3ème qui était conservé à Saumur, il n'a pas de camouflage "vert pâle", c'est simplement le camouflage brun sur la tourelle qui a vieilli et le châssis plein de mousse verte, n'ayant pas de caractère historique il n'a pas été conservé. Tout cela pour dire que, quand on fait un article, surtout daté du 15 mai 2016, on essaie de prendre les infos au moment d'écrire l'article et non des infos datant de plusieurs années et qui plus est fausses.

Dommage qu'il n'y ai jamais eu de suites, aujourd'hui un MARS 15, avec chenilles souples et une vétronique moderne ça serait le top.

http://www.ouest-france.fr/normandie/alencon-61000/patrick-pilotera-le-char-de-la-2e-db-vendredi-soir-lonrai-4413557 N'y a t-il pas quelque chose qui vous choc dans cette "interview" du "pilote" du Sherman? Pour ma part, plusieurs choses me chagrinent, je suis très critique c'est vrai mais quand quelque chose m'exaspère je ne peux m’empêcher d'y apporter des corrections: - Les manettes: Ne serais-ce pas plutôt les "Bandes"? - Chef de poste? chef d'engin ou chef de char oui je veux bien. - Tirailleur? Tireur ou opérateur tourelle non? - "Le char, une fois qu'on le met en route, il avance toujours". Ben oui quand ta passé la vitesse et relâché l'embrayage, comme sur une voiture. - "Je donne des petits acoups exclusivement pour le mettre en position": Il a vraiment appris à piloter un char à l'armée? Il saurait qu'un engin qui se pilote avec des bandes ne se pilote pas par accoups mais en tirant doucement sur l'une ou l'autre des bandes justement. Désolé mais bon ya des fois, c'est comme le collectionneur à Troyes qui repeint un 10PAC90 de couleur sable sans respecter l'aspect initial du véhicule, soit vert uni soit avec le camouflage adéquat puisqu'il a été vendu à l'indonésie, ou encore soulever juste l'avant d'un AMX 32 avec un chariot élévateur pour le déplacer (pas bon pour les barres de torsion arrière qui prennent toute la masse du véhicule dans les dents), ou encore le proto Leclerc export avec démarreur et starter au volant. Gnarf gnarf gnarf !!!!!!!!

Il n'y en a plus assez sur les 406 fabriqués pour pouvoir livrer quoi que ce soit.

D'un seul côté c'est pareil, tu sors du gabarit, d'un seul côté mais tu sors.

Ca coûte plus cher de concevoir un lanceur escamotable plutôt que deux caissons sur les côtés de tourelle. Oui c'est un problème de gabarit ferroviaire.

Prendre des engins étrangers alors qu'on a foutu à la ferraille des centaines de 10P qui auraient pu rendre le même service, voir des châssis 30B2 potentiellement.

Je sais, d'où le terme "petite", c'est utopique effectivement compte tenu de la situation industrielle actuelle en terme de surfaces de production et du "tout alu" actuel, sans parler des outillages sous bâche depuis 10 ans.

Qui croyait à ça? Ceux qui n'ont jamais mis les pieds sur la chaîne de montage Leclerc, ni même chez Nexter et qui ne connaissent ça que de l'extérieur et par des "on dit que, on m'a dit que, il parait que". Mais il y avait quand même une petite possibilité de pouvoir relancer une prod.

l'OFL120F1 est un développement conjoint avec l'allemagne? Il a été mis en service en quelle année dans les deux armées?

Les retards de paiement sont résorbés maintenant, perso c'est paiement environ 1 mois après la période. Pour les réservistes, qui n'ont pas d'emploi dans le civil, c'est plus simple puisqu'ils peuvent être dispo bien plus longtemps et voir leur temps porter à 120 jours, c'est faisable sans soucis. Au niveau disponibilité en 8 ans de réserve, avec mon activité professionnelle, je n'ai jamais pu me rendre dispo pour un vigipirate, seul le temps pour la FMIR et les week instruction puis plus tard une ou deux semaines de temps en temps pris sur les congés.

La pression en chambre est liée à l'énergie dégagée par la combustion des poudres propulsives présentes dans la douille, les deux sont liées. Donc augmenter la résistance de la chambre pour accepter des pressions plus élevées liées à l'amélioration de l'énergie développée par les poudres je peux comprendre.

C'est pour cela, au sujet des poudres potentiellement plus énergétiques, que j'employai le terme "utopique". C'est clair que relancer la chaine de production du Leclerc avec un délai de livraison assez long, sans parler du prix, vu la situation actuelle dans la péninsule arabique, ce n'est peut-être pas ce que recherchaient les Saoudiens. S'il peuvent se procurer rapidement des M1, même si le coût de fonctionnement est plus élevé au final, ça me parait logique de leur part. Après rien ne dit dans cet article que, sur le plus long terme, il n'y aura pas un renouvellement de leur parc. Et cette acquisition est encore soumise à la validation des autorités compétentes aux USA, donc rien n'est fait.

C'est bien ça.

Oui il en, a, ça fait parti du "soutient" qu'il peut recevoir des industriels. C'est un AMX 32 à commandes éléctriques.

Autre option, travailler sur des poudres beaucoup plus énergétiques permettant à volume égal d'avoir une vitesse initiale équivalente, mais c'est utopique. Cela pourrait d'ailleurs d'appliquer au 120mm pour lui permettre d'accroitre sa vitesse initiale, mais il faudrait aussi augmenter la résistance de la chambre du canon et de la culasse pour pouvoir supporter des pressions bien plus élevées. Cela impliquerai aussi un changement des récupérateurs et des freins de recul du canon pour les adapter a encaisser cela, voir peut-être , et du coup, adjoindre un frein de bouche au canon. Quelques critiques sur cette vidéo: Tourelle marine de 100mm compact et non pas 105mm. Démarreur et starter sur le volant d'un Leclerc, humm hummm, déja le démarreur sur le volant c'est limite, mais le starter, il n'y en a pas.

Architecture d'un OCC de 120mm Leclerc: Culot métallique équipé d'un initiateur pyrotechnique (a déclenchement électrique) et du tube porte amorce (TPA). Jupe combustible sertie/collée dans le culot métallique et remplie de poudre propulsive appelé douille combustible. Projectile muni de son système d'amorçage, de ses deux ceintures (cuivre et plastique) serti sur la bague de liaison qui le relie à la jupe combustible. Donc douille combustible + projectile = cartouche Donc, le diamètre de la douille combustible peut effectivement rester le même moyennant un rallongement pour loger la poudre propulsive nécessaire pour envoyer le 140mm à la même vitesse initiale que le 120mm soit environ 1750m/s. D'où la différence de longueur entre le 120 et le 140 malgré un diamètre de douille identique.

Tient on va faire un peu de pub.

C'est fort probable qu'il y ai quelques rechanges, mais de toute façon le contrat de soutient passé avec Nexter prévoit une disponibilité des rechanges, que ce soit en France ou en OPEX, très rapidement. De toutes façons les rechanges, qui viennent des engins démantelés (ce n'est pas un secret quand on li régulièrement les auditions des généraux et autres colonels ou des pdg des entreprises d'armement), qui sont révisées, remises à hauteur, et stockées.

Faut demander à l'auteur de l'article dédié à cette tourelle dans le TNT56 !!!

Que ça coûte cher ce n'est pas le problème, de toute façon les lunettes chef ou tireur de son plus fabriquées, elles sont soit réparées soit réformées. Stocker une lunette chef de rechange ou une lunette tireur de rechange à bord de l'engin, pour un échange sur le terrain, n'est pas viable et pas réalisable par l'équipage contrairement au changement d'un épiscope. cela demande un retour en base arrière pour une intervention par les équipes de maintenance. La dépose d'une lunette chef, encore, ce n'est pas ce qu'il y a de plus compliqué, mais c'est encore la même problématique, planter la mire de simbleautage, avec la lunette de simbleautage dispo sur l'engin, avoir l'outillage qui va bien pour effectuer ce changement. Alors déposer une lunette tireur c'est encore pire. Dans tous les cas une évacuation ou un abandon et une destruction du véhicule touché (suivant la situation tactique rencontrée) sont les meilleures solutions.

Pardon, je n'avais pas tout lu, désolé.

C'est ce qui a permis de conserver une certaine compacité à la culasse, car s'il avait fallu augmenter le diamètre de la chambre du canon il aurait fallu concevoir entièrement une nouvelle culasse.