-
Compteur de contenus
25 201 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
73
Tout ce qui a été posté par herciv
-
2023 Guerre de Soukhot
herciv a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Cool il faut bombarder les hôpitaux donc au mépris de toutes les lois de la guerre. Surtout il ne faut pas que l'armée Israélienne en laisse un seul debout. Bon après si la haine qu'ont les palestiniens contre les israéleins se propage à d'autre peuples musulmans forcément çà va se tendre un peu pour la survie d'Israël ... Mais çà c'est pas grave on verrra çà plus tard. Il suffira de bombarder les hôpitaux de tous les musulmans du monde. EN fait tout le monde approuve le bombardement des hôpitaux. De toute façon les gens qui parle de çà sont des anti israélien en particulier à l'ONU. D'ailleurs pourquoi en parler ? C'est rien du tout un bombardement d'hôpital. Je ne comprend pas une vision aussi courte d'esprit ... Oui je sais les images de manifestations monstre pour les palestiniens sont des fakes. -
2023 Guerre de Soukhot
herciv a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Pour moi ce conflit israëlo/palestinien met en lumière le talon d'achille des US qu'est le PO/MO. Très clairement ce talon d'achille est en train d'être mis à contribution pour essouffler les US et leur faire disperser leurs moyens comme L'Ukraine d'ailleurs. Encore un ou deux coups comme çà et la Chine pourra jouer ses cartes. -
2023 Guerre de Soukhot
herciv a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est d'autant plus génant que TRUMP va appuyer ou çà fait mal : pour mener une guerre il faut quelqu'un de fort, comparer à quelqu'un possiblement atteint de alzheimer. Le tableau de cette élection est d'une grande clarté si ce sont ces deux là qui font la course. -
2023 Guerre de Soukhot
herciv a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Oulà tu n'as rien compris alors. Le petit jeu de l'Iran n'est pas prêt de s'arrèter même après plusieurs frappes US chez eux. Le but de cette période intermédiaire est de mobiliser le monde musulman contre les US et le block occidentale. Dit autrement le but iranien est de fractionner clairement le monde. Tu remarqueras qu'en Indonésie par exemple il y a eu plus de 2 millions de manifestants en faveur des palestiniens. Ce qui est gênant pour les US c'est que de facto ils ne sont pas les maitres du temps. Le timing iranien ne les intéresse pas. Ce qui ne les intéresse pas non plus c'est qu'ils voulaient garder le moyen-orient loin de l'affrontement US/Chine. Clairement cette haine anti-occidentale est en train de monter, alors que les US voulaient maintenir une certaine neutralité de cette population grâce aux accords d'Abraham. Bref ce qui devait rester un affrontement indo pacifique est en train de faire tache d'huile et possiblement les US sont en train de perdre le contrôle parce qu'ils ne pourront pas tenir plusieurs front à la fois (Ukraine, MO et Indopac) c'est trop pour eux. Le budget US est déjà bien trop en limite de rupture d'autant que les principaux acheteurs actuels de dettes US ne seront pas dans le bon camp. -
2023 Guerre de Soukhot
herciv a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
A mon avis excellent article de the conversation : Comment l’Iran mobilise son « Axe de la Résistance » face à Israël Publié: 30 octobre 2023, 20:08 CET auteur Hussein Abou Saleh Docteur associé au Centre d'études et de recherches internationales (CERI), Sciences Po L’attaque dévastatrice du Hamas le 7 octobre a changé la donne au Moyen-Orient. Le dossier israélo-palestinien, relégué au second plan depuis au moins une dizaine d’années, est brutalement revenu au cœur de la géopolitique régionale. Alors que la guerre en cours entre le Hamas et Israël enhardit les mandataires de l’Iran dans la région, tous les acteurs impliqués (étatiques ou non étatiques) manœuvrent dans un jeu de pouvoir très complexe qui peut conduire à une guerre régionale à part entière ; mais un tel scénario peut être évité par une fin négociée. Vers une « unité des fronts » Nous sommes entrés en territoire inconnu, car les objectifs politiques et militaires israéliens n’ont pas été définis de façon claire, ce qui rend cette guerre de vengeance différente de toutes les opérations israéliennes précédentes contre le Hamas, que ce soit en termes de durée, d’objectifs ou de nombre de victimes des deux côtés. La rhétorique des responsables israéliens, dont certains ont nié l’existence de civils innocents à Gaza, comme l’a fait le président de l’État hébreu, a oscillé entre une position maximaliste et minimaliste, allant de l’appel à une occupation totale de Gaza malgré les avertissements du président américain à la création d’une zone tampon et à la « simple » destruction de l’infrastructure du Hamas. Le 7 octobre, au moment où le Hamas déclenchait son opération sans précédent, Mohammed Deif, le commandant militaire de sa branche armée a appelé tous les Arabes et musulmans et, spécialement, l’Iran et les États et organisations qu’il domine, à se lancer dans une guerre totale contre Israël. Il a cité, dans cet ordre, le Hezbollah libanais, l’Iran, le Yémen, les milices chiites irakiennes et la Syrie. Il a proclamé ce jour comme « celui où votre résistance contre Israël converge avec la nôtre », dans ce que l’on appelle « l’unité des fronts », qui est une stratégie de dissuasion initiée par le Hezbollah. Cette stratégie de dissuasion consiste à coordonner, politiquement et militairement, les réponses de toutes les milices mandataires de l’Iran dans la région et à se rassembler pour se soutenir mutuellement si l’une d’entre elles est attaquée. La multiplicité des fronts dominés par les milices par procuration de l’Iran peut dissuader les adversaires de Téhéran de passer à l’action… ou au contraire accélérer la descente de la région dans un chaos total. Tensions majeures à la frontière libanaise Après le 7 octobre, la situation sécuritaire s’est rapidement détériorée à la frontière libanaise d’Israël, du fait d’escarmouches de plus en plus intenses entre Tsahal et le Hezbollah. De plus, deux nouveaux éléments intéressants sont apparus sur le front libanais. Pour la première fois depuis la fin de la guerre civile, nous avons assisté à la réémergence « temporaire » des forces Al-Fajr, la branche militaire de la Jamaa Islamiya. Cette milice libanaise islamiste sunnite, qui a été dissoute en 1990, a annoncé qu’elle participait aux hostilités au-delà des frontières libanaises israéliennes « en défense de la souveraineté libanaise, de la mosquée Al Aqsa et en solidarité avec Gaza et la Palestine ». Le 29 octobre, elle a lancé des missiles depuis le Liban vers Kiryat Shmona, dans le nord d’Israël. Cette milice combat de façon quasi-indépendante du Hezbollah (même s’il existe une coordination militaire entre les deux organisations). En outre, le Hamas et le Jihad islamique palestinien au Liban ont publié des communiqués assumant l’entière responsabilité de plusieurs attaques contre Israël. Ils ont lancé ces attaques depuis les territoires libanais, rappelant les années où le sud du Liban était dominé par les activités militaires de l’OLP palestinienne (à partir de 1969), au point d’être surnommé « Fatah Land ». Leur participation aux hostilités est encore limitée, mais elle est importante en termes symbolique. Il est clair que le Hezbollah coordonne les activités de toutes les milices opérant à la frontière libanaise pour envoyer un message clair : la zone est ouverte à toutes les factions islamistes et non islamistes, invitées à se joindre, même symboliquement, à la lutte contre Israël dans le but d’exprimer leur solidarité avec Gaza. En d’autres termes, le Hezbollah déclare que ce combat n’est pas sectaire, mais qu’il unit les musulmans et concerne tous les Arabes et les musulmans. Ce message d’unité musulmane contre Israël intervient après des années de sectarisation du Moyen-Orient. Le Hezbollah n’a mené que des attaques limitées contre Israël depuis la fin de la guerre israélo-libanaise de 2006, et est intervenu militairement en Syrie pour appuyer le régime de Damas, combattant alors dans le camp opposé au Hamas, lequel s’était porté au soutien du camp anti-Assad. Cette prise de position avait valu au Hezbollah de devenir très impopulaire aux yeux des populations sunnites de la région. En se joignant à la lutte contre Israël, le Hezbollah se réaffirme aux yeux de l’ensemble des Arabes de la région non pas en tant qu’acteur sectaire, mais plutôt en tant que groupe révolutionnaire islamique qui vise à mettre fin à l’arrogance israélienne. Ce recadrage correspond à l’image qu’il se faisait de lui-même. Le Hezbollah se considère en effet comme un modèle pour le Hamas et d’autres forces islamiques qui luttent contre Israël. Malgré leurs divergences sur la guerre en Syrie, ils ont restauré leurs relations en août 2007 et les hauts commandants du Hamas, comme Ismaël Haniyeh (le chef du bureau politique du Hamas) et Yahia Sinwar (chef du bureau politique du Hamas à Gaza), ont publiquement remercié l’Iran pour son aide précieuse en matière de financement, de logistique et d’approvisionnement en armes. Le rôle des Houthis du Yémen L’attaque du Hamas est survenue à un moment au Moyen-Orient où les États-Unis ont tenté d’étendre les accords de paix d’Abraham (qui ont permis ces dernières années, un rapprochement entre Israël et plusieurs États arabes, sous la férule de Washington) à l’Arabie saoudite. Ces accords, qui visent à établir les bases d’une nouvelle architecture de sécurité au Moyen-Orient afin d’assurer une meilleure sécurité régionale aux alliés des États-Unis, sont désormais menacés, et la normalisation entre Israël et Riyad semble à présent une perspective fort improbable. L’échec annoncé de ce réchauffement est d’autant plus dommageable pour Washington que les Chinois ont, il y a quelques mois, enregistré un succès diplomatique majeur en négociant une détente entre l’Arabie saoudite et l’Iran, après de longues années de soutien de Téhéran aux milices yéménites houthies qui combattaient l’Arabie saoudite au Yémen. Dans le cadre de ce rapprochement entre Riyad et Téhéran, des pourparlers se sont tenus entre les houthis et les Saoudiens pour soutenir le processus de paix au Yémen. Les Houthis sont une autre partie de l’axe iranien dans la région. Leur ascension en tant qu’acteur politique et militaire yéménite les a enhardis. Ils ont déclaré qu’ils étaient prêts à se joindre au Hamas dans une guerre totale contre Israël pour défendre Gaza et la mosquée Al-Aqsa. En guise de démonstration de force, ils ont lancé le 19 octobre trois missiles de croisière et des drones qui ont été interceptés par un destroyer américain en mer Rouge. Selon les États-Unis, ces missiles se dirigeaient « potentiellement vers Israël ». L’attaque est en soi symbolique, mais elle envoie un message politique fort qui réaffirme la primauté stratégique des liens des Houthis avec « l’Axe de la résistance » soutenu par l’Iran et signale la volonté de la milice de s’engager militairement dans des guerres ou des tensions régionalisées ou internationalisées. Cela a été clairement défini dans le discours de leur chef. Les Houthis disposent d’un formidable arsenal de missiles à longue portée qui seraient capables de frapper Israël. Tous ont été soit saisis à l’État yéménite en 2014, soit acheminés par l’Iran. Les attaques de missiles lancées par les Houthis ont coïncidé avec d’autres attaques menées par des milices chiites soutenues par l’Iran, visant des bases américaines et des garnisons accueillant des soldats américains en Irak et en Syrie. L’Iran a stratégiquement externalisé le risque de confrontation directe avec les États-Unis et Israël via son Axe de la Résistance : quand de telles attaques ont lieu, sa responsabilité n’est pas directement engagée. Ce positionnement accroît son influence dans les négociations directes et indirectes ainsi que son influence régionale. Une guerre totale est-elle possible ? Pour conclure, tous les acteurs semblent marcher sur une corde suspendue au-dessus du cratère d’un volcan. Ils attendent tous d’en savoir plus sur les objectifs politiques et militaires de la guerre israélienne à Gaza et de pouvoir évaluer les capacités de résistance du Hamas à l’attaque dont il fait l’objet. Si l’armée israélienne enregistre des pertes importantes, la position stratégique de l’axe soutenu par l’Iran s’améliorera, sans frais pour Téhéran mais à un coût terrible pour la population de Gaza et à Hamas. Mais que se passerait-il si Israël menaçait l’existence même du Hamas après une invasion terrestre ? Les intenses escarmouches aux frontières libanaises d’Israël se transformeraient-elles alors en une guerre à part entière ? L’Iran se joindrait-il aux hostilités ? Et si Israël se sentait renforcé par le soutien inconditionnel de l’Occident à son droit à se défendre et considérait cette solidarité comme un blanc-seing pour frapper l’Iran, dont l’ambition nucléaire effraie les responsables de l’État hébreu ? Dans un tel cas de figure, et face à la riposte de Téhéran, les États-Unis utiliseront-ils leurs destroyers dans la région de la Méditerranée orientale pour attaquer l’Iran et défendre Israël ? À ce stade, impossible d’apporter de réponse tranchée à toutes ces questions. Nous pouvons seulement constater que la région semble se diriger vers une nouvelle phase où la sectarisation des politiques étrangères des acteurs régionaux sera reléguée au second plan, la détente entre l’Iran et l’Arabie saoudite se consolidera, la question palestinienne s’imposera pour longtemps au premier plan, et les milices mandataires iraniennes s’affirmeront de plus en plus. -
Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
herciv a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
https://www.lalettre.fr/fr/entreprises_defense-et-aeronautique/2023/10/02/dassault-prospecte-des-fournisseurs-pour-son-futur-avion-spatial,110060237-art Dassault Aviation souhaite aller vite sur le développement de son projet d'avion spatial. Des discussions sont en cours avec plusieurs industriels du "new space", y compris outre-Atlantique, pour assurer la propulsion du futur appareil. [...] -
ON va le garder mais il va probablement être dupliqué C"est la stratégie de LM pour mettre l"industrie d,'un pays derrière elle. C'est aussi une stratégie qui permet d'éviter une rupture sur une pièce, une compétence, à cause d'une guerre par exemple. Tu sécurise donc tes clients. D'autre part de cette manière on met dans la même galère que nous tout un tas de pays qui auront des intérêts convergents. Tous ces pays deviennent donc des apporteurs d'affaires et là clairement cà ouvre le champ des possibles à tous les non alignés ce que ne pourront pas faire ni US ni les chinois. De ce point de vue le SCAF est plutôt un piège... Mais bon c'est un autre sujet. Si Dassault veut rester le centre de ce mouvement il faut absolument montrer des signes de bonne volonté. Il faut aussi qu'ils continuent à avoir un train d'avance sur par exemple HAL ou tout autre industriel de ce club. Plus globalement ce mouvement est précurseur d'un très vaste mouvement stratégique qui va structurer les 80 prochaines années comme dit Biden. Dassault doit agir en ayant en tête que LM est au centre d'un bloc et que cette place là n'est pas pour nous.
-
Donc on est d'accord alors.
-
De toute façon il va falloir que dassault continu sa montée en charge pour je pense chercher les 6 rafale/ mois. Pour plein de raisons je pense que l'assemblage hors France de deux ou trois rafales par mois est à considérer de prêt. Ne serait-ce que pour limiter le risque de rupture d'une des chaînes.
-
Mais évidemment. Ca s'appelle du transport stratégique. Mais ça ne veut pas dire que le casa n'a aucun avantage sur le C5.
-
2023 Guerre de Soukhot
herciv a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
J'ai rien compris. Trop de sigles. -
Je ne sais pas si je refais l'histoire mais j'ai un peu l'impression que le tempest s'est monté sans les allemands qui sont alors venu nous voir. Ensuite les brits sont allés voir les japonais réduisant de facto le workshare que les allemands auraient obtenu en lâchant du lest pour les saouls. Les anglais se sont eux-mêmes savonner la planche. Bref pour moi le typhoon c'est mort pour les saouls. Mais la contre partie c'est que les allemands ne sortiront pas du scaf ...
-
2023 Guerre de Soukhot
herciv a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Tactique du salami chère aux chinois. On redecoupe une tranche plus bas. -
2023 Guerre de Soukhot
herciv a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
-
2023 Guerre de Soukhot
herciv a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
J'imagines que çà a été tournée le 07/10 : -
2023 Guerre de Soukhot
herciv a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
-
Les canadiens publient des info intéressante sur le coût estimé du programme F-35 chez eux. Le chiffre intéressant c'est 10,7 milliard de dollars canadiens sans les armes et la formation chiffrées par ailleurs pour 88 chasseurs. Un prix spéciales perdant manifestement très au-delà des 81 milllions dont on nous rabat les oreilles. https://calgaryherald.com/news/politics/canadas-new-fleet-of-f-35-fighter-jets-will-cost-73-9b-over-their-lifetime-pbo/wcm/bbbfabe7-b46b-4edb-bc12-cabaa9548384 La nouvelle flotte d’avions de chasse F-35 du Canada coûtera 73,9 milliards de dollars au cours de leur durée de vie, selon le DPB Les nouveaux avions remplaceront les CF-18 vieillissants de l’ARC, les quatre premiers appareils devant être livrés en 2026 et les 18 derniers en 2032 OTTAWA — Le Canada paiera environ 73,9 milliards $ US pour acheter, faire voler et entretenir sa nouvelle flotte d’avions de chasse F-35, a annoncé jeudi le directeur parlementaire du budget. Yves Giroux a déclaré que son analyse indépendante du projet d’approvisionnement est « globalement conforme » aux propres estimations du gouvernement de janvier, qui indiquaient que le coût serait d’environ 70 milliards $. Contenu de l’article La phase d’acquisition coûtera environ 19,8 milliards $, selon le rapport de M. Giroux, dont 10,7 milliards $ pour 88 avions, 2,1 milliards $ pour les armes et les munitions et 5,9 milliards $ pour des éléments tels que les coûts de conception et de dépôt, l’infrastructure et la formation. En janvier, le gouvernement fédéral a annoncé un accord avec Lockheed Martin et le gouvernement américain pour acheter les jets au coût d’environ 85 millions de dollars américains chacun. La ministre de la Défense de l’époque, Anita Anand, a déclaré à l’époque que le coût d’acquisition était de 19 milliards de dollars et que le coût à vie de l’accord serait d’environ 70 milliards de dollars. Les nouveaux avions remplaceront les CF-18 vieillissants de l’Aviation royale canadienne, les quatre premiers appareils devant être livrés en 2026 et les 18 derniers en 2032. Le gouvernement a dû dépenser des centaines de millions de dollars pour la flotte de CF-18 afin qu’elle continue de voler jusque-là. D’ici 2032, les CF-18 auront 50 ans d’existence. On s’attend à ce que les F-35 soient en service pendant 30 ans pour un coût de 53,8 milliards de dollars, selon le rapport du directeur du budget. M. Giroux a prévenu qu’un retard d’un an dans le programme ajouterait environ 400 millions de dollars en coûts de phase d’acquisition, et qu’un retard de trois ans ajouterait jusqu’à 1,1 milliard de dollars. Le rapport n’inclut pas les 500 millions de dollars qui ont déjà été dépensés par le gouvernement fédéral entre 2010 et 2022 dans le cadre de l’initiative multilatérale dirigée par les États-Unis, connue sous le nom de programme d’avions de combat interarmées. Le gouvernement conservateur s’est d’abord engagé à acheter 65 F-35 sans appel d’offres en 2010, mais des inquiétudes concernant le coût et les capacités l’ont forcé à reconsidérer sa décision. Puis, en 2015, les libéraux ont promis de lancer un appel d’offres ouvert pour remplacer les CF-18 et de ne pas acheter de F-35 du tout. Le gouvernement prévoyait d’acheter 18 Super Hornet sans concurrence à titre de mesure « provisoire », mais a annulé le plan après que Boeing eut lancé un différend commercial avec la société aéronautique montréalaise Bombardier. Ottawa a lancé un processus d’appel d’offres ouvert pour la nouvelle flotte en juillet 2019.
-
J'aimerais bien une coop avec les suédois. Eux le Neuron like, nous le NGF. Cà me parait ultra simple comme montage et tout le monde garde des compétences ultra importantes pour chacun.
-
2023 Guerre de Soukhot
herciv a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Mais c'est pas possible de lire des trucs pareils. Les médecins çà se trouvent. Je peux t'en citer au moins deux qui sont normalement sur le Cdg mais qui pourraient embarquer du jour au lendemain sur le Dixmude. Ensuite il n'y a pas que de la chirurgie de guerre à faire. Il y a beaucoup de cas de déshydratation ou de malnutrition etc qui peuvent se gérer avec des médecin civils par exemple de médecin sans frontière ... -
Guerre Russie-Ukraine 2022+ : géopolitique et économie
herciv a répondu à un(e) sujet de Skw dans Politique etrangère / Relations internationales
Faut faire attention à ce genre d'article qui ne fait que pousser VZ a la porte. En gros les US le rende responsable de l'échec de la contre offensive et voudraient un homme à eux dans la barraque. Ce n'est rien d'autre que çà cette article. C'est un peu oublier dans quelles difficultés il est et qu'il a tout un etat major qui fonctionne quoiqu'on en dise. -
2023 Guerre de Soukhot
herciv a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Toutes les emprises ne sont pas vendues. Il reste, brest, toulon, saint mandé, Lyon, Bordeau. Mais OK je suis d'accord tout çà ne va pas remonter en compétence en trois coups de cuillère à pots. -
Je ne parle pas de limite de capacité mais il ne faut pas faire dire à cette démonstration plus que ce qu'elle est. Les US dans le contexte actuelle ont démontré leur capacité à déployé a j+1 ou +2 un paquet de moyen grâce à leur C5/C17. Pour faire ce déploiement des KC ont été utilisé et peut-être des chasseurs. Ce qui m'interroge c'est d'abord le changement de contexte à venir : - plus de champ de bataille, on est passé en quelques semaine à une guerre haute intensité en Ukraine une seconde potentielle en Israël et un certain nombre d'autres provocations dans cette région - une possible déflagration mondiale qui limitera fortement les couloirs disponibles sans escortes Ce qui m'interroge également c'est le besoin de renouvellement des KC de l'US air Force alors même que le besoin opérationnelle est en croissance forte compte tenu de ce type d'opération et par exemple de l'Ukraine.
-
2023 Guerre de Soukhot
herciv a répondu à un(e) sujet de Titus K dans Politique etrangère / Relations internationales
Il reste st mandé quand même Et puis le Ssa est en début de remontée en puissance. C'est quand même un bon signe d'arriver à déployer deux navires "hopitaux" quoique la polémique actuelle dise. -
Et puis point ultra important un a400m peut ravitailler ses accompagnateurs je ne sais pas si c'est possible pour les c17/c5.
-
Pour moi ce que montre vraiment cette opération c'est qu'un renforcement d'urgence à j+1 ou +2 est possible tant que les C5 /C17 peuvent voler mais si les point chauds se multiplient ça va devenir ingerable. En clair les US vont devoir regonfler les effectifs de toutes leur base par simple souci de prepositionnement. Idem pour nous.