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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Bon donc la position de l'Arabie saoudite est effectivement compliquée mais pas du tout de la manière dont je l'avais pensée. https://www.opex360.com/2023/08/16/aviation-de-combat-du-futur-larabie-saoudite-seme-la-zizanie-entre-le-royaume-uni-litalie-et-le-japon/ Pour résumer la position des uns et des autres, Londres considère que la participation de Riyad impliquerait une contribution financière potentiellement importante. Selon le Financial Times, il serait question de « dizaines de milliards de dollars ». « L’Arabie Saoudite est l’un des partenaires stratégiques du Royaume-Uni et le ministère de la Défense souhaite approfondir les travaux sur le GCAP. Nous considérons Riyad comme pouvant être un partenaire clé dans ce programme », a ainsi confié un responsable britannique de « haut niveau ». Quant au Japon, il met en avant plusieurs arguments pour s’opposer à l’arrivée de l’Arabie Saoudite dans le GCAP. D’abord, il estime que cela affecterait le débat en cours sur l’assouplissement des restrictions qu’il s’est donné en matière d’exportations d’équipements militaires. Ensuite, et Dasault Aviation ne dit pas autre chose s’agissant du SCAF [Système de combat aérien du futur], la venue d’un quatrième partenaire ne pourrait que compliquer davantage les aspects industriels et technologiques du projet… même si Riyad n’a pas grand chose à apporter sur ces plans là. Enfin, Tokyo met en avant des préoccupations concernant la sécurité entourant le partage d’informations sensibles. Quoi qu’il en soit, rejoindre le GCAP serait un moyen pour l’Arabie Saoudite d’atteindre son objectif de devenir un producteur d’équipements militaires… et non plus seulement un importateur. « Le fait que l’Arabie saoudite puisse rejoindre le Royaume-Uni et l’Italie montre également que les grandes puissances prennent le pays plus au sérieux qu’auparavant, bien que le Japon traîne les pieds, et cela représenterait un tournant diplomatique et commercial pour le royaume », a d’ailleurs estimé Neil Quilliam, un expert du Moyen-Orient de membre du programme Moyen-Orient Royal Institute of International Affairs [Chatham House, ndlr], dans les pages du Telegraph.
  2. OK j'ai trouvé merci pour l'info : https://www.al-monitor.com/originals/2023/08/why-japan-opposed-saudi-arabia-joining-uk-italy-gcap-fighter-jet-alliance Pourquoi le Japon s’oppose-t-il à ce que l’Arabie saoudite rejoigne l’alliance des avions de combat GCAP entre le Royaume-Uni et l’Italie ? Le Japon s’inquiète des problèmes futurs avec l’Arabie saoudite en tant que l’un des quatre décideurs du conseil d’administration du Programme mondial de combat aérien disposant d’un droit de veto, selon les experts. Un modèle de l’avion de combat Tempest, qui devrait être fabriqué d’ici 2035. - Tolga Akmen/AFP/Getty Images Salim A. Essaid @salim_a_essaid 14 août 2023 Alors que l’Arabie saoudite fait pression pour rejoindre le Royaume-Uni, l’Italie et l’alliance japonaise d’avions de combat de nouvelle génération, Tokyo serait opposé à la candidature de Riyad pour des raisons techniques et géopolitiques, même s’il tente d’améliorer ses relations avec le royaume du Golfe. La demande de l’Arabie saoudite d’être le quatrième ajout au programme trinational Global Combat Air Program (GCAP) a été confirmée vendredi par de hauts responsables de Londres, Tokyo et Rome au Financial Times (FT). Des trois pays membres, ajoute le quotidien britannique, le Japon est le seul à s’opposer hardiment à leur intronisation. GCAP cherche à développer et à exporter des avions de combat de sixième génération très avancés d’ici 2035. Le prince héritier saoudien Mohammed bin Salman aurait fait une demande officielle lors de la visite du Premier ministre japonais Fumio Kishida à Djeddah à la mi-juillet. Le 31 juillet, le ministre saoudien de la Défense, le prince Khalid bin Salman, a rencontré son homologue japonais, Yasukazu Hamada, et a discuté de la coopération et des échanges bilatéraux en matière de défense, ainsi que de la nouvelle stratégie de défense nationale de Tokyo formulée en décembre dernier, selon un communiqué de presse du ministère japonais de la Défense. La motivation de l’Arabie saoudite à rejoindre le GCAP semble être conforme aux objectifs du pays de diversifier ses partenaires mondiaux, qui comprennent des fournisseurs d’armes. Le royaume a été le deuxième importateur mondial d’armes de 2018 à 2022, dont 78% – dont 91 avions de combat – ont été reçus des États-Unis, selon l’Institut international de recherche sur la paix de Stockholm. Le réchauffement des liens du pays du Golfe avec la Chine constitue également un obstacle à la possibilité de recevoir des avions de combat avancés des États-Unis, dans le contexte de négociations bloquées depuis 2020 entre les États-Unis et les Émirats arabes unis sur l’accès aux F-35 initialement accepté par l’ancien président Donald Trump pour la normalisation avec Israël dans les accords d’Abraham. Washington s’inquiète de la fuite d’informations sensibles vers la Chine, a rapporté le FT la semaine dernière, citant des personnes familières avec le sujet. Les contributions de l’Arabie saoudite au GCAP pourraient inclure une expertise en ingénierie, mais son offre principale est financière pour un projet dont les coûts sont estimés à des dizaines de milliards de dollars, selon des personnes informées de la question, a déclaré FT. La rivalité avec la Chine dans l’esprit du Japon Shigeto Kondo, chercheur principal à l’Institut japonais des économies du Moyen-Orient, a déclaré que le Royaume-Uni et l’Italie accueilleraient probablement l’Arabie saoudite en tant qu’ajout au GCAP compte tenu de leur longue histoire d’échange d’armes pour la finance avec le royaume. Les objectifs du Japon sont différents, a-t-il ajouté, et tournent autour de l’urgence de respecter l’échéance de 2035 aux fins de sa sécurité future. « Si nous retardons la livraison d’avions de combat d’un ou deux ans, cela donne un avantage à des pays adversaires comme la Chine et la Russie et pourrait signifier beaucoup pour les capacités de défense japonaises », a déclaré Kondo à Al-Monitor, expliquant que l’ajout d’un autre membre au groupe trinational retarderait probablement ses capacités de prise de décision et ralentirait ses progrès globaux. En outre, le Japon serait préoccupé par les problèmes géopolitiques futurs avec l’Arabie saoudite en tant que l’un des quatre décideurs du conseil d’administration de GCAP disposant d’un droit de veto. « Si l’Arabie saoudite dit qu’elle veut vendre cet avion à la Russie ou à la Chine, nous y opposerons certainement notre veto », a déclaré Kondo à propos du Japon, un membre du Groupe des Sept (G-7) ayant des intérêts alignés sur l’Occident. « Ce que nous craignons, c’est que l’Arabie saoudite ne fasse une sorte de représailles contre nous si nous ne votons pas en leur faveur et [l’Arabie saoudite] dise 'si nous ne pouvons pas exporter vers la Chine, nous opposerons également notre veto à vos exportations' vers des pays d’intérêt », a-t-il déclaré, comme avec des pays d’Asie du Sud et du Sud-Est comme l’Inde, que le Japon considère comme un marché d’exportation précieux avec des liens étroits avec l’Arabie saoudite. Le Japon entretient des relations étroites avec l’Arabie saoudite qui n’ont fait que croître au cours des 50 dernières années et comprennent des échanges commerciaux et énergétiques en pleine croissance, selon le ministre saoudien de l’Énergie, le prince Abdulaziz bin Salman, en juillet, a rapporté l’agence de presse publique saoudienne. Pourtant, tous les secteurs du gouvernement japonais, en particulier l’armée liée à la levée de l’interdiction d’exportation d’armes du Japon en avril 2014, n’ont pas développé une relation étroite avec le royaume du Golfe au fil des décennies – ce qui influence la décision de Tokyo de les accueillir ou non au GCAP, a expliqué Kondo. « Par conséquent, le Japon maintiendra sa position de s’opposer à l’adhésion de l’Arabie saoudite probablement, compte tenu de la façon de penser des officiers du ministère de la Défense », a-t-il déclaré, ajoutant que le ministère japonais de la Défense avait très peu de contacts avec les responsables de la défense du Moyen-Orient pour développer cette confiance pour le moment. Surtout avec la guerre russe contre l’Ukraine, le ministère japonais de la Défense se concentre sur la collaboration avec des partenaires familiers tels que les pays européens et les États-Unis, a déclaré Kondo. Si le ministère pouvait travailler avec l’Arabie saoudite en tant que partenaire ayant le potentiel d’ouvrir les exportations vers la région du Golfe et plus encore, le Japon et le GCAP bénéficieraient grandement de cette base de consommateurs élargie, a-t-il ajouté.
  3. Tu as une info sur ce refus ? Moi je n'est vu qu'une évocation d'une éventuelle participation.
  4. Tiens c'est marrant, je viens d'en parler concernant les saoudiens qui veulent aussi intégrer les BRICS ce qui n'est pas très conforme à une participation dans le TEMPEST.
  5. Mon impression profonde c'est que les anglais et les italiens tentent une approche sur les saouds en organisant une fuite dans leur presse. Ce faisant ils activent la presse saoudienne qui va vouloir interroger leur gouvernement ... qui n'aura pas grand chose à répondre quelque soit le cas de figure, et qui ne pourra même pas démentir puisque justement il va devoir réfléchir. Depuis 2021 la diplomatie saoudienne se détourne doucement de l'occident. J'ai donc des doutes sur le tempest. Ce serait jeter au feu les premières années de MBS aux manettes diplomatiques. Peut-être une fausse barbe saoudienne ? Par contre çà peut faire monter la pression si il y a le rafale en ligne de mire. Il se pourrait qu'en fait les saoudiens se servent de cette fausse barbe pour monter soit dans l'AMCA soit dans tout autre solution franco/indienne dans la défense.
  6. SI bien au contraire. Les saouds acceptent maintenant des paiements de pétrole dans d'autres monnaies que le dollar US. Ce qui met fin au pétrodollar. On est encore loin de la fin de la suprématie de celui-ci mais c'est un coup de canif remarquable. Il y a d'autres coup de canif comme le pilotage de la production de pétrole sans tenir compte de l'avis des US et par contre une coordination effective et récente avec les russes pour maintenir un cour du baril plus haut. https://www.bfmtv.com/economie/international/petrole-apres-la-russie-l-arabie-saoudite-annonce-a-son-tour-une-baisse-de-son-offre-en-aout_AD-202307030463.html On pourrait aussi évoquer ce rapprochement avec les BRICS qui ont clairement décidé de commercer en faisant beaucoup moins appel au dollar. https://www.lesechos.fr/monde/afrique-moyen-orient/en-froid-avec-washington-larabie-saoudite-se-rapproche-un-peu-plus-des-brics-1949196 https://www.courrierinternational.com/article/vu-de-russie-pourquoi-l-arabie-saoudite-souhaite-t-elle-rejoindre-les-brics Bref rien n'est clair et cette évocation du TEMPEST rajoute au brouillard.
  7. Si le problème français était Toulon alors les italiens sont encore plus proche. J'ai surtout l'impression que les saouds sont sollicités de toute part et font monter les enchères. J'ai du mal à voir une vrai ligne directrice, si ce n'est la vague impression qu'ils ont intérêt à rester non alignés ce que ne permet pas le TEMPEST.
  8. Ce n'est pas la percée qui est importante en soit mais la capacité de conserver le petit bout de terre conquis. Sans approfondissment de la percée à Robotnyne ou Zapo ce sont des avancées qui me semblent éphémères. Koupiansk semble par ailleurs être le prochain Bakmut.
  9. On doit attendre une confirmation officielle côté saoud. Pour l'instant on n'a rien de plus qu'un article dans un canard anglais et dans un autre italien. L'Italien évoquant des freins japonais en plus. Les saouds semblent jouer sur plusieurs tableaux sans qu'on sache vraiment vers où la balance peut pencher. Les chinois ? Le rafale (avec l'entremise Indienne ) ? , le tempest ? C'est très confus. Je rappel par exemple çà : Avec la Chine https://www.france24.com/fr/moyen-orient/20221209-des-milliards-d-euros-de-contrats-signés-pendant-la-visite-de-xi-jinping-en-arabie-saoudite https://www.lemonde.fr/blog/cartooningforpeace/2023/03/16/la-chine-reconcilie-liran-et-larabie-saoudite/ Ou avec l'Inde avec laquelle il y a des accords stratégiques : https://www.arabnews.fr/node/289021/monde-arabe
  10. C'est très confus. Des deux côtés il y a des sources affirmant le contraire l'une de l'autre ... Rybar annonce la fin de la tête de pont par exemple.
  11. Oui peut-être mais les pertes en matériel semblent importantes. La tête de pont ukrainienne semble très fragile et largement dépendante de l'artillerie qui semble être sous le feu russe.
  12. herciv

    Armée de Terre polonaise

    A mon avis plus encore que la seconde guerre mondiale, les combats fratricides de la première guerre mondiale ont laissé beaucoup d'amertume. https://www.pologne.travel/fr-be/quoi-visiter/fortifications-forteresses-et-sites-militaires/un-front-de-l’est-fascinant-et-oublie-de-la-premiere-guerre-mondiale On associe souvent la Première Guerre mondiale à la Bataille de la Somme, de la Marne ou à Verdun, dont on connaît tous les détails. Des batailles non moins importantes et dramatiques ont néanmoins eu lieu sur le Front de l’Est – à Gorlice, à Przasnysz ou à Przemysl. La Première Guerre mondiale a été pour la Pologne une longue expérience des plus traumatisantes. Pendant cette guerre, plus de trois millions d’hommes ont été mobilisés, provenant du territoire de la future Deuxième République Polonaise et destinés à trois armées distinctes. Des affrontements sanglants se sont déroulés entre les armées allemandes, russes et austro-hongroises sur le territoire de ce qui sera plus tard la Pologne. Les Polonais, qui n’avaient pas d’Etat propre (depuis 1795), étaient citoyens de Russie, d’Allemagne ou d’Autriche-Hongrie et appelés au service militaire. Leur situation dans ces armées respectives était loin d’être facile. Même s’ils pouvaient pratiquer leur religion et communiquer en polonais, il y avait beaucoup de discrimination dû à leur nationalité. Mais le plus grand drame pour ces soldats était les combats fratricides. Lors de la Première Guerre mondiale 220.000 soldats sont morts ou ont disparus dans l’armée austro-hongroise, 200.000 dans l’armée russe et plus de 110.000 dans les rangs de l’armée allemande. Des milliers de gens ont fui les combats sur le Front de l’Est. Environ 900.000 civils ont fui ou ont été forcés de fuir la Galicie. 3,5 millions de civils ont été chassés du Royaume de Pologne ou de la partie occupée par les Russes et contraint de quitter direction la Russie. 1/3 étaient des Polonais. Lors de la Première Guerre mondiale, le plus grand nombre de pertes humaines a été enregistré dans les Balkans, ainsi que dans l’ancienne République de Pologne : quasiment 90 % du territoire était un grand champ de bataille. C’était la conséquence d’une guerre où, contrairement au front de l’Ouest où les soldats se battaient dans des tranchées, à l’Est le front était en perpétuelle mouvement et les soldats perdaient ou gagnaient constamment du terrain, avec comme résultat que tout était totalement détruit. C’est la raison pour laquelle les pertes étaient les plus lourdes de toute l’Europe en Pologne et en Serbie. En Warmie et Mazurie de violents combats se sont déroulés, appelés plus tard la Bataille de Tannenberg ou Stebark. L’armée russe a finalement subi le 30 août une lourde défaite, 30.000 soldats russes ont été fait prisonniers par les allemands, pendant que le général Alexander Samsonow se donnait la mort dans une cabane forestière tout près de Wielbark. Lors de la Bataille des Lacs de Mazurie du 8 septembre, l’armée allemande a infligé à nouveau une importante défaite à l’armée russe. Pas moins de 60.000 soldats russes y ont laissé la vie et 40.000 ont été fait prisonniers.
  13. herciv

    Armée de Terre polonaise

    La dernière fois qu'ils ont voulu montrer leurs muscles, il y a eu deux gros voisins qui leur sont tombés dessus.
  14. Et puis comme tout champ de mines ils permettent de concentrer les colonnes et donc de faciliter la tâche de l'artillerie.
  15. C'est inutile maintenant. La moindre pluie les mines vont s'enfoncer. Donc oui la méthode recherche la nuit tombante va être moins efficace. Puisque les mines seront moins chauffées par le soleil le jour.
  16. herciv

    Le F-35

    C'est le module qui permet de récupérer de la puissance mécanique dans le f-135 pour la transformer en puissance électrique. Il a été bien réalisé mais il est tellement sollicité par des besoins qui n'avaient pas été anticipé qu'il est utilisé largement au-delà de ses capacités et vieilli beaucoup trop vite. PW a une ligne dédiée juste au remplacement de ces modules mais tous les ans il y a de nouveau F-35 qui arrivent avec de nouveau moteurs et les besoins en production de module explosent.
  17. herciv

    Le F-35

    Et pour aller dans le sens de l'article de @PolluxDeltaSeven on a les chiffres pour le nombre d'heures des f-35 australiens pour la FY22/23 : soit 7388 heures pour 14000 visée dans le PAES 2020-2021. Il faut noter que dans le PAES 22-23 la cible était encore 8800 heures. C'est dire comment il est compliqué de planifier quoique ce soit avec le F-35 en terme opérationnel. https://www.defence.gov.au/sites/default/files/2023-05/2023-24_defence_pbs_00_complete.pdf https://www.defence.gov.au/sites/default/files/2022-03/2022-23_Defence_PBS_00_Complete_0.pdf https://www.defence.gov.au/sites/default/files/2022-02/2020-21_Defence_PBS_00_Complete.pdf
  18. Oui sûrement mais aussi tout ce qui ressemble à un piège métallique.
  19. herciv

    La Force aérienne suisse

    EN fait la production ne ralenti pas. Ce sont uniquement les livraisons des LRIP16 et 17 (et donc les recettes) qui sont stoppées. Même si il y a un petit ralentissement quand çà va reprendre çà parait gérable ... pour LM et uniquement pour LM parce que pour PW justement çà m'a l'air de plus en plus tendu.
  20. Bien joué. Il utilise l'inertie thermique différentes entre les mines et la nature.
  21. herciv

    Le F-35

    D'une En relisant son article je m'aperçois des chiffres énormes concernant la flotte de F-35 en 2030. PW devra livrer non seulement 150 moteurs ECU par an mais en plus il faudra assurer la production et le remplacement de 2000 modules ECU sur les F-35 existants. C'est titanesque et surtout çà veut dire des investissements en moyens de production qui ne seront pas amortissables sur le long terme pour PW. D'autre part en fait en réduisant la livraison de F-35 actuellement, PW est en mesure de rattraper son retard de production de moteurs mais aussi de modules de puissance justement pour les f-135 actuels dont le module est à bout de souffle le cas échéant.
  22. herciv

    Le F-35

    C'est pas @PolluxDeltaSeven c'est @prof.566. L'article est une très bonne synthèse des craintes qu'il peut y avoir sur le block4 et de l'impasse que représente ce standard. Les clients qui vont être livré jusqu"à l'arrivé de l'ECU auront des problèmes de refroidissement et de génération électrique encore plus difficiles à gérer que ceux qui resteront eu block3F. Le veillissement du moteur risque d'en être accéléré.
  23. Défense de zone autour de Kiev il me semble.
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