herciv

Oui mais les US ne peuvent pas en Inde être qualifié en ce sens.

Oui mais ca n'est pas du tout ce qui a percuté chez moi. Moi c'est plus l'utilisation par les russes de leur missiles pour dégarnir les défenses anti aérienne sur le front et donc permet à des armements comme le KA-52 d'être beaucoup plus à son aise.

A condition que chacun ne se fasse pas tordre le bras pour suivre l'un ou l'autre. Il faut un troisième gros / très gros larron (je vois bien l'Inde dans le rôle, mais elle est draguée de très près par les anglo-saxons).

Le problème c'est que dans ces conditions l'OTAN a un objet politique mais dont la politique est surtout faite outre atlantique. Quand tous les pays OTANESQUE seront convoqués pour la baston contre la Chine, il faudra bien se rendre à l'évidence que l'objet de l'OTAN ne sera plus la seule défense de l'Europe. Le non dit de cette histoire c'est que ce sont les troupes US qui était attendu en Europe pas aider les pauvres européens sous militarisé. Là il va falloir aider les US pour Taïwan.

Je ne sais pas qui a raison mais concernant les KA-52 la source d'origine n'est pas Lord truck mais le financial TIme, Ukrain War et The Telegraphe. Sur les deux autres post OK mais c'est surtout pour illustrer que l'offensive n'est pas la promenade de santé comme celle de l'été dernier. Une tendance qui semble se dégager est justement l'affaiblissement des stocks de missiles anti-aériens coté ukrainien.

Celui-là est intéressant et montre à quel point la défense des villes et objectifs vitaux au-delà du front contre les missiles russes dénude le front contre les menaces aériennes.

Quelqu'un peut valider ce post, surtout la partie sur la 37ème ?

La Jordaniens voudraient normaliser leurs relations avec la Syrie et l'Iran !!! Là pour le coup on mesure à quel point l'influence US n'est plus la même. Post édité suite à une mauvaise compréhension.

Un résumé des unités et des équipement des brigades blindés et motorisées ukrainennes : via Asia Times 116e brigade: 90 x BMP (polonais/tchèque), déjà livré. 13 x T-64 (ukrainien), sous la main. 17 x chars non spécifiés, à déterminer. 12 x AS-90 (obusier britannique de 155 mm), livraison en avril. —ce sont des obusiers de 155 mm équivalents à Krab, M109, PhZ2000, etc. 47e brigade: 99 x M2 Bradley, livraison fin mars. 28 x T-55S (Slovaquie), sous la main. 12 x M109 (canon automoteur américain 155mm), sous la main. 12 x D-30 (ancienne artillerie tractée soviétique), sous la main. 33e brigade: 90 x MaxxPro (MRAPS américain), 20 sous la main, le reste à la fin mars. 14 x Leopard 2A6 (allemand), livraison estimée en avril. 4 x Leopard 2A4 (Canadien), livraison avril. 14 x Leopard 2A4 (polonais), livraison mars. 12 x M119 (obusier léger américain de 105 mm), sous la main. 21e brigade: 20 x CVRT (ancien Scorpion britannique avec canon de 76mm), livraison en avril. 30 x Senator (IMV canadien, équivalent du Humvee, etc., mitrailleuses légères uniquement), sous la main. 20 x Bulldog, 21 x Husky (APC léger britannique, semblable au M113), x 10 M113, à portée de main. 30 x T-64 (ukrainien), sous la main. 10 x FH70 (ancien obusier italien tracté de 155 mm des années 1960), sous la main. 32e brigade: 90 x MaxxPro (MRAP américain), sous la main. 10 x T-72 (Pays-Bas), livraison en avril. 20 x réservoirs non spécifiés (vœux pieux), à déterminer. 12 x D-30 (anciens obusiers soviétiques), sous la main. 37e brigade: 30 x Mastiff/Husky (MRAP britannique avec armes légères), livraison en avril. 30 x Mastiff/Wolf (même chose), livraison prévue. 30 x Senator (IMV canadien, équivalent au Humvee), livraison à déterminer. 14 x AMX-10 (char à roues français avec petit canon de 105 mm), livraison en mars. 16 x réservoirs non spécifiés (vœux pieux), à déterminer. 12 x D-30 (obusiers soviétiques à nouveau), livraison à déterminer. 118e brigade: 90 x M113 (boîte de conserve APC américaine de l’époque du Vietnam), à portée de main. 28 x T-72 (polonais), d’ici avril. 6 x M109 (artillerie américaine de 155 mm SPG), livraison en mars. 8 x FH70 (ancien obusier tracté italien), attendu en avril. xxxx – Quelque chose d’illisible mais qui semble peut-être plus celui du sénateur IMV. 117e brigade: 28 x Viking (Pays-Bas petit APC), à portée de main. 10/20 x XA185 (APC finlandais équivalent à BTR-82a, etc.), estimé d’ici avril. 10 x Sénateurs (Canadian Hummer), livraison à déterminer. 31 x PT-91 (T-72 polonais améliorés), livraison en avril. 12 x D-30 (artillerie soviétique), sous la main. (xxxx – Quelque chose d’illisible). 82e brigade: 90 x Strykers (IFV américain), attendu en mars. 40 x Marders (IFV allemand), attendu en avril. 14 x Challenger-2 (MBT britannique), attendu en avril.

Avis isolé ? Réalité ?

Un long tweet qui explicite plusieurs avis pas très optimiste sur l'offensive ukraininenne.

Les entreprises US mitigée sur une guerre. Le découplage avec la Chine risque d'être douloureux.

Eh bien çà n'est pas vraiment une surprise. Il y a une lente escalade organisée par ces deux pays. Ce n'est pas la démarche de Blinken qui changera quoi que ce soit. On comprend juste maintenant que c'était très solitaire.

Baston autour du remplacement ou de l'évolution du F-135. Rappel le pentagone a indiqué sa préférence (sans conviction ) pour l'évolution du F135 soit le l'ECU. ET bien là en fait LM soutien un AETP. A mon sens le soutient du pentagone risque d'assécher les financements pour les AETP. ET dans ce cas il ne pourrait plus y avoir d'évolution après le block4. Evidemment ca n'arrange pas LM. Le but n'est donc pas de remettre en question l'ECU mais plutôt que les recherches sur les AETP continuent à recevoir des financements. https://breakingdefense.com/2023/06/lockheed-backs-new-aetp-engine-for-f-35/ Lockheed soutient le nouveau moteur AETP pour F-35 « Je vais plaider, et je plaide, pour [le programme de transition adaptative des moteurs, ou AETP] », a déclaré Greg Ulmer, chef de l’aéronautique de Lockheed Martin, qui a qualifié « certaines » approches actuelles de la modernisation des moteurs du chasseur. Par MICHAEL MARROWsur juin 21, 2023 à 8:56 AM Lockheed Martin soutient officiellement une alternative à l’ancien moteur F135 qui équipe le F-35, a déclaré le chef de la division aéronautique de la société dans une interview au Salon du Bourget. « Je vais plaider, et je défends, pour [le programme de transition adaptative des moteurs, ou AETP], un autre moteur », a déclaré Greg Ulmer, vice-président exécutif de l’aéronautique de Lockheed. « Je pense doncque les approches d’aujourd’hui sont à très courte vue et n’envisagent pas une vision à plus long terme » pour le F-35, a-t-il ajouté. Le soutien d’Ulmer à un nouveau moteur pour l’avion de combat interarmées découle en partie de ses décennies de vie restante, qui comprendront des mises à niveau futures. « Mettons autant de marge dans l’avion que possible aujourd’hui, de sorte qu’à l’avenir, je n’ai pas besoin de mettre un autre moteur. Je n’ai pas besoin d’apporter un nouveau refroidissement de gestion de l’alimentation et de la chaleur dans l’avion », a-t-il déclaré. Et, a souligné Ulmer, un moteur adaptatif apporte d’autres améliorations au-delà des augmentations de puissance et de refroidissement, telles qu’une plus grande poussée et une plus grande efficacité énergétique. « Vous bénéficiez donc de nouvelles capacités en termes de puissance et de refroidissement. Mais vous obtenez également une amélioration des performances de l’avion avec AETP », a-t-il déclaré. « Je pense plus largement. Je pense à plus long terme. Le plaidoyer du maître d’œuvre de l’avion au nom d’AETP est une aubaine pour GE Aerospace, qui a fait pression pour une option de moteur adaptatif, et est à l’inverse un coup dur pour le fabricant de moteurs historique Pratt & Whitney, qui cherche à maintenir son verrou sur l’alimentation de la flotte de trois variantes. Les deux motoristes ont conçu des prototypes par l’intermédiaire d’AETP, qui devrait entrer en concurrence dans le cas où une solution de moteur adaptatif serait finalement retenue, mais Pratt, en tant que fournisseur historique de moteurs, bénéficierait du maintien du F135 en place et de son amélioration grâce à son préféré Engine Core Upgrade (ECU). Malgré la décision de l’armée de l’air de fermer AETP dans le cadre de sa demande de budget pour l’exercice 2024, Ulmer a insisté sur le fait que l’intérêt pour AETP prévalait dans les couloirs du Pentagone. « Je pense qu’ils ont pris une décision éclairée par le bloc quatre et les exigences telles qu’ils les comprennent aujourd’hui. Je pense qu’il y a des éléments au sein du Pentagone qui parlent qu’il y aura un bloc 5 et un bloc 6, et qu’il y aura d’autres considérations à l’avenir », a-t-il déclaré. On ne sait pas comment les acheteurs internationaux du chasseur pourraient réagir à une décision de remotoriser l’avion avec le groupe motopropulseur adaptatif coûteux, qu’Ulmer a décrit comme un « commerce » que chaque client devra peser en fonction de ses besoins prévus. Étant donné que le moteur adaptatif ne s’adaptera pas à la variante à décollage et atterrissage verticaux du chasseur, par exemple, Ulmer a estimé que l’ECU serait disponible pour les clients qui ne souhaitent pas utiliser de moteur adaptatif. RÉSEAUX / CYBER, SPONSORISÉ Lorsque nous parlons de ce qui permettra JADC2, nous parlons vraiment de l’Internet des objets de combat Les commandants de combat peuvent avoir des unités sur lesquelles ils ont autorité de commandement, mais s’ils ne peuvent pas leur parler et se connecter à eux, ils n’ont pas le contrôle. C’est ce que permet IoWT. De BREAKING DEFENSE Une infrastructure de soutien supplémentaire sera nécessaire pour soutenir plus d’un type de moteur, bien qu’Ulmer ait minimisé cette préoccupation, soulignant que les exigences en matière de capacités doivent passer en premier. « Si la capacité est nécessaire, d’un point de vue technologique, ils devront mettre en place l’infrastructure pour soutenir cela », a-t-il déclaré. « S’ils passent à un [moteur adaptatif], ils devront mettre en place tous ces deltas pour soutenir cela », a-t-il déclaré. « Mais ce sera axé sur les capacités, à mon avis. » Mais le financement de l’AETP – et encore moins de l’AETP et de l’ECU simultanément – sera coûteux, l’une des principales raisons pour lesquelles le secrétaire de l’Air Force, Frank Kendall, a déclaré plus tôt cette année que le service avait décidé d’interrompre l’AETP. Les membres duComité des services armés de la Chambre chercheraient à maintenir l’AETP au cours de l’exercice 24 avec un financement d’environ 588 millions de dollars, selon le projet de texte de loi précédemment publié par le comité, les crédits de la Chambre soutenant également le financement continu, mais au montant inférieur de 150 millions de dollars. Ulmer a déclaré que 150 millions de dollars seraient suffisants pour maintenir le programme en vie jusqu’à l’année prochaine, lorsque le Bureau du programme conjoint (JPO) F-35 devrait formaliser ses besoins en matière de puissance et de refroidissement jusqu’à la fin de la durée de vie de l’avion. Recommandé L’état de la domination aérienne en Europe et ce dont les chefs d’état-major de l’air disent qu’ils ont besoin pour garder une longueur d’avance sur la menace Le général (à la retraite) Jeff « Cobra » Harrigian, commandant récemment retraité des forces aériennes américaines en Europe et en Afrique, décrit l’espace de combat européen et ce qui préoccupe les chefs d’état-major de l’air alors que l’Ukraine se défend. En BRISANT LA DÉFENSE Parallèlement à la modernisation des moteurs, le JPO poursuit également des modifications au système de gestion de la puissance et de la chaleur (PTMS) de l’avion. « Nous utiliserons les exigences pour définir ce dont nous avons besoin, puis nous déterminerons ce qui, selon nous, fournit la meilleure solution », a-t-il déclaré. Lundi, Raytheon Technologies (désormais rebaptisé RTX) par l’intermédiaire de sa filiale Collins Aerospace a souligné que son offre pour le PTMS, appelée Enhanced Power and Cooling System, offrirait une marge de refroidissement significative pour prendre en charge les futures mises à niveau. Ulmer a déclaré qu’il était ouvert à des options au-delà du PTMS actuel fourni par Honeywell, bien qu’il ait souligné que les exigences devaient venir en premier avant que le bon choix pour le Joint Strike Fighter puisse être identifié. « Ce n’est pas parce que quelqu’un a une offre aujourd’hui que c’est la solution », a-t-il déclaré.

Voilà entre autres avantages.

Ce qui est en rouge dit qu'il y a de la fibre optique. Moi je comprend qu'elle est utilisé par le Talios mais rien ne dit qu'elle n'est pas utilisée pour d'autres capteurs en sus. Ce serait naturelle compte tenu des débits de données que peuvent supporter une fibre. On peut même prévoir de transporter plusieurs signaux différents grâce au multiplexage.

D'après cet article trouvé sur f-16.net je pense que oui : Craig Hoyle Par Craig Hoyle19 juin 2023 Enregistrer l’article L’armée française salue une avancée majeure avec son avion de combat Rafale, avec le type construit par Dassault prêt à employer une série de nouvelles capacités opérationnelles. Approuvé en mars pour l’introduction à la flotte et maintenant impliqué dans une activité de test et d’évaluation opérationnelle (OT&E), le nouveau standard F4.1 du chasseur représente la première étape d’un processus d’amélioration en trois parties qui renforcera encore ses capacités d’ici la fin de la décennie. « Avec ce standard F4, la France et le Rafale entrent dans une nouvelle ère de combat aérien collaboratif », explique le général Arvind Badrinath, chef des avions de combat et directeur du programme Rafale pour la Direction générale de l’armement (DGA). Rafale B359 Source : DGA Six Rafales ont jusqu’à présent reçu des mises à jour de la norme F4.1 pour soutenir les activités d’essais et d’évaluation opérationnels en cours Jusqu’à présent, plusieurs avions en service ont été mis à la nouvelle norme à partir de la configuration F3R actuellement opérationnelle, y compris les modèles B/C de l’armée de l’air et M de la marine. « Nous avons modifié six avions afin qu’ils puissent être utilisés immédiatement sur le porte-avions [Charles de Gaulle] et depuis les bases aériennes pour tester toutes les nouvelles améliorations dans un environnement opérationnel », explique Badrinath. L’avancée clé de la mise à jour concerne les améliorations de connectivité au sein d’une formation multi-avions de Rafales à l’appui des tâches air-air et air-sol. « Maintenant, nous pouvons partager toutes sortes d’informations provenant du radar, de tous les capteurs, de la guerre électronique [EW] et de l’optronique », explique Badrinath. Les mises à jour du radar RBE2 de Thales prennent en charge une fonctionnalité améliorée d’indication et de suivi des cibles en mouvement au sol, tandis que le capteur infrarouge modifié de recherche et de suivi de l’avion fournit une détection passive à plus longue portée des menaces aériennes. Les avions F4.1 ont la capacité de transporter jusqu’à trois bombes AASM « Hammer » de 1 000 kg (2 200 lb) AASM « Hammer » de Safran Electronics & Defence. La nacelle de désignation laser Thales Talios bénéficie d’un mode « vision permanente », capable de maintenir le suivi de la cible dans de mauvaises conditions météorologiques. Des fibres optiques ont été installées sur l’avion pour relayer l’imagerie aux normes HD du capteur au cockpit, où deux nouveaux écrans numériques ont été intégrés. Parmi les autres avantages, citons l’utilisation par le pilote d’un écran amélioré monté sur le casque Thales Scorpion pour afficher les données pertinentes, ce que Badrinath décrit comme « l’un des changeurs de jeu ». Des étapes de cyberprotection améliorées assurent également le cryptage des données, tandis que le jet bénéficie également de mises à jour du système de communication. Une nouvelle capacité de simulation embarquée soutiendra également les tâches de formation avancées. L’objectif est d’avoir une approche globale sur le tir de missiles air-air, et d’être robuste si nous sommes confrontés à un brouillage ou à tout type de tir.f contre-mesure devant nous », dit Badrinath. « Toutes les tactiques peuvent être vraiment améliorées maintenant, en utilisant ces fonctionnalités supplémentaires. » Les activités OT&E se poursuivront jusqu’en 2024, tandis qu’une norme initiale de capacité opérationnelle sera autorisée à être utilisée avant la fin de cette année. Cela soutient un calendrier français d’utilisation opérationnelle du Rafale M modifié sur le Charles de Gaulle. Il dit que l’expérience précoce au cours de la campagne d’essais a conduit l’armée à adopter la devise « Maintenant, combattez connecté ». Deux Rafale aux normes F4.1 sont exposées à l’extérieur de la DGA au salon du Bourget. Un exemple de l’armée de l’air apparaît avec deux marteaux de 1 000 kg et la nacelle Talios, tandis qu’un M de la marine est configuré avec une charge complète de huit missiles air-air; Une autre amélioration rendue possible grâce à la dernière configuration. Plus tard cette décennie, des fonctions supplémentaires seront introduites via les mises à jour F4.2 et F4.3, parmi lesquelles une radio et des communications par satellite définies par logiciel Thales. Les activités de qualification sur les normes à venir seront finalisées début 2025 et début 2027. « Il y a eu une approche progressive depuis le début du programme Rafale », explique Badrinath. « Chaque fois, il y a eu des améliorations dans toutes les directions. » Il note que les forces armées françaises fournissent tous les six mois un retour d’information à la DGA sur les futures mises à jour potentielles. Badrinath décrit le Rafale F4 comme « un avion très efficace, prêt à réaliser n’importe quel type de mission. Nous avons un produit qui est vraiment prêt pour les 10 à 15 prochaines années. » Et il note que pour les acheteurs internationaux actuels et futurs de type multi-rôle, « Si vous achetez, vous faites partie du club Rafale », et capable de bénéficier pleinement de l’investissement de la France dans les technologies de pointe. Tous les Rafale configurés en F3R – y compris les nouveaux exemplaires qui seront livrés à l’armée de l’air française cette année – seront mis à jour à la nouvelle marque par Dassault, la DGA ou au niveau d’un escadron, la tâche ne prenant pas plus d’une semaine pour les exemplaires nouvellement produits. Pendant ce temps, Paris devrait approuver dans les prochaines semaines sa prochaine loi de programmation militaire, le plan de dépenses devant inclure un dernier lot de 42 Rafale pour la France. À plus long terme, une future norme d’exploitation F5 ajoutera dans les années 2030 la capacité de transporter le missile nucléaire de quatrième génération en développement de MBDA – baptisé ASN4G, et la famille Future Cruise/Anti-Ship Weapon, qui doit succéder aux missiles actuels SCALP-EG et AM39 Exocet. L’armée de l’air française exploite ses Rafale B / C avec deux autres types de combat construits par Dassault. Les opérations avec le chasseur Mirage 2000-5 devraient se terminer en 2029, tandis qu’une mise à niveau de mi-vie récemment approuvée pour le Mirage 2000D à attaque au sol verra ce type rester utilisé jusqu’en 2035. Parallèlement, la DGA modifiera l’année prochaine sa structure organisationnelle actuelle pour ajouter le ravitailleur/transport multirôle Airbus Defence & Space A330 Phenix de l’armée de l’air et l’avion de patrouille maritime Dassault ATL-2 Atlantique modernisé de la marine au portefeuille d’avions de combat. La mesure reflète : les étapes en cours pour ajouter une connectivité étendue aux plates-formes de support pour travailler aux côtés du Rafale. « Nous pouvons être encore plus efficaces et adopter une approche globale », note M. Badrinath.

https://www.standard.co.uk/news/world/ukraine-counteroffensive-institute-for-study-war-zaporizhzhia-b1088683.html L’Ukraine pourrait « suspendre sa contre-offensive », selon l’Institut pour l’étude de la guerre Selon un groupe de réflexion, les forces de Kiev pourraient interrompre temporairement leurs opérations pour « réévaluer leurs tactiques » Comment planifier un road trip le long de la Florida Keys Scenic Highway K Les forces de Yiv pourraient interrompre temporairement leurs opérations de contre-offensive pour réévaluer leurs tactiques pour les opérations futures, selon des experts militaires. Le colonel Margo Grosberg, du Centre de renseignement des forces de défense estoniennes, a déclaré le 16 juin que, selon lui, « nous ne verrons pas d’offensive au cours des sept prochains jours ». Le Wall Street Journal a également rapporté le 17 juin que les forces ukrainiennes « ont pour la plupart interrompu leurs avancées ces derniers jours » alors que le commandement à Kiev réexamine les tactiques. Le groupe de réflexion basé à Washington, l’Institute for the Study of War (ISW), a déclaré dans sa dernière mise à jour sur la guerre que ces rapports sont cohérents avec leurs observations récentes de l’ampleur et de l’approche des contre-attaques ukrainiennes localisées dans le sud et l’est du pays. Il a ajouté que « l’Ukraine n’a pas encore engagé la majorité de ses forces disponibles dans les opérations de contre-offensive et ne semble pas encore avoir lancé son effort principal ». Les frappes ukrainiennes contre la Russie ont entraîné de lourdes pertes des deux côtés, selon le Royaume-Uni « Les pauses opérationnelles sont une caractéristique commune des grandes entreprises offensives, et cette pause ne signifie pas la fin de la contre-offensive de l’Ukraine », a-t-il ajouté. Cependant, le SIE a déclaré que les forces ukrainiennes avaient poursuivi leurs actions de contre-offensive sur au moins quatre secteurs du front le 18 juin et avaient réalisé des gains territoriaux limités. Des images géolocalisées suggèrent que les forces ukrainiennes ont fait des avancées limitées à moins de 30 km au sud de Kreminna. [1] Le chef de l’administration militaire de la ville d’Avdiivka, Vitaliy Barabach, a rapporté que les forces ukrainiennes avaient avancé à plus d’un kilomètre au nord d’Avdiivka sur la ligne de front de la ville de Donetsk au cours des deux dernières semaines. Des sources russes ont affirmé que les forces ukrainiennes avaient mené des opérations de contre-offensive au sud, au sud-ouest et au sud-est de Velyka Novosilka sur la frontière administrative entre l’ouest des oblasts de Donetsk et de Zaporijia orientale et avaient fait quelques avancées localisées. « Les forces ukrainiennes ont poursuivi les opérations de contre-offensive dans l’ouest de l’oblast de Zaporijia, et des images géolocalisées suggèrent que les forces ukrainiennes sont entrées dans la partie occidentale de Pyatykhatky (41 km au sud-est de la ville de Zaporijia), au sud-ouest d’Orikhiv. » Les forces ukrainiennes ont libéré huit colonies au cours des deux dernières semaines de leurs opérations offensives, y compris le village de Piatykhatky, a déclaré lundi la vice-ministre de la Défense, Hanna Maliar. « Au cours de deux semaines d’opérations offensives dans les directions de Berdiansk et Melitopol, huit colonies ont été libérées », a déclaré Maliar sur l’application de messagerie Telegram. Un responsable installé par la Russie a déclaré que l’Ukraine avait repris Piatykhatky, un village de la région méridionale de Zaporijia, et s’y retranchait tout en essuyant des tirs de l’artillerie russe. Pendant ce temps, le ministère britannique de la Défense a déclaré lundi qu’au cours des 10 derniers jours, la Russie avait probablement commencé à déplacer des éléments de son groupe de forces de Dnipro (DGF) de la rive orientale du fleuve Dnipro pour renforcer les secteurs de Zaporizhzhia et Bakhmut. Le redéploiement de la DGF reflète probablement la perception de la Russie selon laquelle une attaque ukrainienne majeure sur le fleuve Dnipro est désormais moins probable après l’effondrement du barrage de Kakhovka et les inondations qui en ont résulté, a déclaré le ministère dans une mise à jour.

Essai apparemment réussi mais le manque de stabilité sur la cible me questionne. Toujours cette satané durée de plusieurs secondes.

Bof. Comme dit par ailleur, la mobilité protège bien des drones. Utiliser une lada pour installer un lance missile me semble à moi une bonne idée de ce point de vue.

Dit autrement, les deux avions (F-35 et rafale) qui sont acheté actuellement ne sont pas des avions obtenu par consensus opérationnel ou industriel. Le consensus c'est le truc que les européen disent aux français quand ils veulent faire croire qu'ils veulent coopérer. C'est un mot complètement absent de leur discours avec les US.

C'est gentil de nous faire la leçon sur le partage et le consensus, faudra penser à faire la même avec les US.

@bubzy ca fait plaisir de te revoir

C'est un travail de recadrage tout en douceur qu'il faut faire régulièrement sinon on les perd.

Ce serait bien d'avoir une roadmap sur ce sujet de l'après f-35. Parce qu'on parle quand même de 2070 pour cet "après". Alors que le SCAF c'est plutôt 2045. Entre les deux il y a quand même 25 ans et donc au minimum 25 budgets à construire pour faire vivre les deux projets. Je dis pas que c'est impossible à faire, par contre je dis que à un moment il faudra choisir entre les deux voir entre les trois si les US sortent un projet concurrent ... ET dans ce cas que fera la Belgique ?